the great escape
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p.v ♦ thats just one blast from the past after another

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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
prénom, pseudo : julia.
date d'inscription : 15/04/2010
nombre de messages : 36874
avatar : nina dobrev.

p.v ♦ thats just one blast from the past after another Empty
MessageSujet: p.v ♦ thats just one blast from the past after another p.v ♦ thats just one blast from the past after another EmptyJeu 24 Juin - 0:59

p.v ♦ thats just one blast from the past after another 008e0zwa p.v ♦ thats just one blast from the past after another Nina-1
The.purpose.of.life's.to.fight.maturity
Back in black. I hit the sack. It's been too long I'm glad to be back. Yes, I'm let loose. From the noose. That's kept me hanging around. I've been looking at the sky and it's gettin' me high. Forget the hearse 'cause I never die, I got nine lives. Cats eyes. Abusin' everyone of them and runnin' wild. acdc - back in black

Mademoiselle Dubois, vous voudriez bien apporter ces dossiers dans la salle au bout du couloir s'il vous plait. Bien sûr, elle avait une tête de coursière, c'était bien connu maintenant. Elle leva les yeux au ciel, voilà trois bonnes heures que ses fesses étaient posées sur une de ces inconfortables chaise de cours sans interruption, sa seule occupation étant de compter le nombre de fois où son voisin de table se fourrait le doigt dans le nez. Dans chaque classe il y avait un brassage de personnalité assez étrange, ainsi elle annota qu'elle était assise entre un fourreur de nez précoce et une hystérique d'Hannah Montana, tee-shirt à l'effigie de l'idole des pré-pubère féminine américaine de notre temps. Au départ pas tellement enjoué à l'idée de devoir amener des dossiers dans une autre classe, finalement elle se demanda si son professeur ne lui offrait pas une échappatoire histoire de la faire aller prendre l'air. Elle se redressa sur sa chaise, regardant son professeur avec une petite hésitation alors que deux voix féminine derrière elle s'élevait du cortège d'étudiant, l'une d'elle résonnant à l'oreille de Constance comme étant la voix de Clélia, l'une de ses camarades de classe omicron, l'autre inconnue. J'ai entendu dire qu'il y avait une superstar dans la classe de théâtre,murmura l'inconnu à l'adresse de sa voisine Clélia. Une superstar dans l'enceinte de Berkeley, ça n'était pas nouveau, ce qui était nouveau c'est qu'elle pouvait l'apercevoir dès maintenant en classe de cinéma.Sérieux ? Qui ? À croire que Clélia était aussi curieuse qu'elle et arrivait à transmettre les pensées de Constance par sa propre bouche. Sa curiosité fut piquée au vif, elle eut une soudaine envie d'aller faire un tour dans la divine classe de cinéma. Son professeur vint se poster devant elle avec une pile de dossier, même si elle acquiesça positivement de la tête à sa requête, bien que devina qu'en réalité il lui imposait une telle course, ne lui laissait pas le choix. Elle prit les dossiers dans ses mains, les serras contre sa poitrine dans l'étreinte de ses bras sans même regarder de quoi il s'agissait, se leva de sa chaise et se mit en chemin. Quelle célébrité pouvait bien habiter les couloirs de Berkeley ? Ce devait être un jeune acteur ou une jeune actrice, Harrisson Ford par exemple ne reprendrais pas ses études à son âge. Quelqu'un dans la vingtaine histoire de se faufiler incognito parmi la jeunesse Berkéléene, assez beau à regarder tout de même, pas n'importe qui peut faire du cinéma ou de la musique en tant que grande star s'il n'a pas un minimum de charisme et la beauté en accord. Cette curiosité la rongeait, tellement qu'elle pressa le pas dans le couloir histoire d'arriver plus vite à l'échéance, la superstar n'attendait qu'elle après tout. Elle n'eut pas besoin de taper à la porte, le professeur principal de la section Cinéma étant déjà présent prêt de la porte, armée d'un sourire comédien qu'elle trouva quelque peu hypocrite sur le moment, mais fit l'impasse en se souvenant qu'elle pénétrait dans une salle bondée de petit talent d'acteur et donc d'hypocrite. Elle avait une bien piètre opinion des acteurs depuis qu'elle s'était rendue dans une soirée mondaine et qu'une de ces pimbêches a ballon de baudruches nibard lui avait cherché des noises. Heureusement pour elle, repenser à ce bellâtre de William Carmichael rehaussait sa vision de ce qu'était le monde des acteurs, il est sympa William. Plongée dans ses pensées tout droit dirigées vers Carmichael, elle fixa le professeur l'espace d'un instant alors qu'il la débarrassait des dossiers qu'elle portait dans le creux de son étreinte. Finalement un sifflement aiguë suivi de petits rires et sifflements vinrent éveiller l'attention de Constance, elle haussa un sourcils et dirigea son regard noisette vers l'assemblée d'étudiant en cinéma qui venaient carrément de la siffler et qui maintenant ricanait, heureux de leurs exploits. Elle avait l'habitude de ce genre d'attitude, lâcha un petite rire amusée alors qu'elle dévisageait l'ensemble du groupe, s'amusant à décortiquer chacun des visages qui riaient et lui adressait un regard emprunt soit de provocation, soit de charme, soit les deux. Seulement l'une des carrures, le coude appuyés sur le dossier de son siège, décontracté et semblait la fixer avec un sourire tracés d'un rictus nerveux. Elle fronça les sourcils, croisant ainsi le regard de William Carmichael qui d'instinct changea son petit rictus par un sourire beaucoup plus naturel. Décidément il était très bon comédien lorsqu'il s'agissait de cacher sa surprise, elle lui adressa un air enchanté, enchanté par cette belle rencontre et préféra filer avant de s'attirer les remarques salaces et divers sifflements des camarades de classe de William. Le hasard faisait tout de même bien les choses aujourd'hui, alors que ses pensées se dirigeaient vers Carmichael, celui-ci pointait le bout de son nez inopinément, comme dans le scénario d'un film bas de gamme, les retrouvailles fortuites et au combien gênante d'un ancien couple.

Elle ne put s'empêcher de penser à cette adorable rencontre durant la journée, elle ne se souvenait pas avoir eu connaissance de la présence du jeune homme sur Berkeley, savait qu'il était américain d'origine et qu'il venait de Californie mais n'avait pas fait le rapprochement entre une possible scolarité à Berkeley et lui. Finalement tout prenais son sens lorsqu'elle y pensait avec plus de minutie, le fait par exemple qu' Evan lui pose constamment des questions vis a vis de lui et essayer de mettre autant d'énergie à lui faire cracher le morceau sur la nature de sa relation avec William, ou encore le fait qu'on disait qu'une petite star en herbe se trouvait sur le campus. Elle qui croyait ne jamais le revoir, elle se retrouvait à partager les mêmes locaux que lui, ce qui n'était pas pour son déplaisir, bien entendu elle avait le sens de convenances, et William n'était pas la pire compagnie au monde loin de là. Elle marchait en direction du bâtiment des omicrons où elle résidait dans un appartement avec son colocataire Alban, qui devait par ailleurs l'attendre pour manger... ou lui faire à manger. Elle se demanda ce qu'elle allait bien pouvoir lui faire à manger, où même s'il avait pris les devants et avait cuisiné et dans ce cas de figure, ce qu'il lui avait concocté de bon. Il imagina un plat de pâtes à la Carbonara, Alban cuisinait divinement ce plat et rien que d'y penser, les effluves divines du plat lui parvinrent au nez rien que par le biais de son imagination, tellement qu'elle fut déconcentrée et en ouvrant la porte du bâtiment menant sur le chemin des grecs, poussa la porte en plexiglas sur un étudiant qui croisait son chemin.Oh pardon ! Elle n'était guère du genre à s'excuser, mais là se prendre une porte en plein dans la poire, elle fut prise d'un élan de compassion. Sur l'instant elle reconnut la personne qu'elle venait de bousculer, même s'il se cachait le visage en lâchant quelques cris de douleur étouffés, l'un des siffleurs enjoués de tout à l'heure et tout son groupe qui le suivait de prêt. Elle eut un sourire amusé, alors que les camarades du jeune homme se moquait ouvertement de lui. Alors si vous êtes là j'en déduis que ... sa parole fut coupée non pas par une autre, mais plutôt par une vision. La carrure de William se tenant devant elle alors que le reste du groupe de garçons s'en allait vers le réfectoire dans le sens opposés.

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p.v ♦ thats just one blast from the past after another Empty
MessageSujet: Re: p.v ♦ thats just one blast from the past after another p.v ♦ thats just one blast from the past after another EmptyDim 27 Juin - 18:43

    Evidemment, Berkeley recelait de surprise, la Californie ne restait jamais vraiment fidèle à elle même. L’Europe, vieux continent par excellence, avait tenu ses promesses dans la mesure où Paris était en effet bien une ville extrêmement romantique mais totalement déprimante lorsqu’on voulait oublié quelqu’un, Londres répondait bien à sa réputation de ville extrêmement fêtarde, et enfin, les parisiennes avaient ce charme indéniable qu’on ne retrouvait que chez très peu d’américaines. Les deux cultures étaient véritablement différentes, et l’océan qui les séparaient signifiait parfaitement bien ce gouffre majeur. William avait eut un peu de mal, au début, pour s’adapter à ce nouveau style de vie. Vivre en Europe demandait bien plus de marque d’attention sur soi même et vis à vis des autres qu’en Amérique, où tout le monde faisait preuve d’un égoïsme bien plus visible. Peu à peu, il avait réussi à surmonter une mélancolie, résultat de l’absence de celle qu’il avait très lâchement quitter à San Francisco, pour se faire au mode européen, et pour redevenir le Will dont les journaux tenaient la liste des conquêtes, loin du William amoureux qu’il avait été à Berkeley. Aventures d’un soir, relation un peu plus poussées mais uniquement basées sur le plaisir sans sentiments, tout cela s’était enchaîné de l’autre coté de l’Atlantique, mais jamais ce manque de celle qu’il avait laissée à Berkeley n’avait pu être comblé. Au final, il y était donc revenu. Retour aux sources, retour en Californie là où on ne pouvait pas imaginer par avance les surprises qui allaient l’attendre là-bas. Retour aux origines, oui, voilà, c’était bien cela, il avait assez goûté une nouvelle fois au star système pour comprendre que ce n’était plus vraiment ce à quoi il aspirait. Evidemment, il adorait toujours être devant les caméras, sous la lumières des projecteurs, mais toute l’ambiance strass et paillettes qu’il avait vécu à coté lui montrait à quel point dans les étreintes factices, et les nuits faites de plaisirs éphémères était loin de se trouver le véritable bonheur. William ne pouvait pas retrouver les sensations divines qu’il avait connu à Berkeley, en d’autre compagnie.

    Il était de retour en cours depuis maintenant quelques semaines, mais la fin de l’année approchait à grand pas. Il était résolu à ne plus faire comme avant, à ne plus choisir dans quel cours il mettrais les pieds à l’avance pour sécher les autres sans mauvaise conscience. Oui, il fallait qu’il passe son année, ne pas redoubler était à la fois capital pour lui, et pour se réputation internationale, parce que oui, malgré tout ce que l’on pouvait dire ou faire, la presse pourrait prendre ce fait pour véritablement essayer de l’humilier et en ce moment, ce n’était pas vraiment l’instant propice à cela. Des révélations surprenantes venaient d’être faites : la grossesse d’Evan, et l’arrivée étrange de Nina sur le campus, tout cela était déjà bien assez prenant pour qu’il n’ai pas en plus à se débattre avec les journalistes sur le fait que, oui, il avait été mauvais et que oui, il devait redoubler son année. Hors de question. Alors des son retour, il était retourné en classe, pas vraiment rempli de bonne volonté, mais le principal était qu’il était présent, qu’il écoutait, d’une oreille ok, et qu’il rendait ses devoirs. De ce fait, il pouvait peut être prétendre passer en troisième année, tout du moins, il l’espérait. Il savait que l’année prochaine poserait des problèmes niveau organisation, pourtant, il devrait le faire, il ne laisserait sûrement pas Evan assumer seule cet événement alors qu’il avait sa part de responsabilité là dedans. Toutes ces questions hantaient l’esprit du jeune acteur, une part d’incertitude pesait sur sa carrière, une autre sur sa future vie familiale. Il était bien trop jeune pour avoir de telles responsabilités, mais il avait peut être déjà la maturité pour. La vie qu’il avait vécu jusqu’ici l’avait obligé à ne fait une adolescence que très courte, et à vitre prendre conscience du role important que chacune de ses actions avait sur sa carrière. Tout pouvait influer sur celle-ci. Les pensées du jeune homme étaient perdues à ce propos en cours, et c’est quand la porte s’ouvrit pour laisser entrer une nouvelle arrivante qu’il en sortie pour focaliser son attention sur cette brune qui lui disait vraiment quelque chose.

    L’hésitation ne dura même pas une seconde, il la connaissait. Cependant, si sa présence ne l’aurait aucunement étonnée s’il était encore à Paris, la voir ici, dans les locaux de l’université de Berkeley, comme une apparition gracieuse, ou cela lui posait problème. N’était elle qu’une apparition, un jeu de son esprit, ou était elle bien réelle ? Il avait bien entendu qu’il y avait des français sur le campus, mais il n’avait jamais eut l’idée qu’elle ait participé à ce projet. En fait, ce n’était pas qu’il était heureux ou malheureux de la revoir, au contraire, mais c’était que la surprise était telle qu’il était choqué. Un rictus s’était installé sur son visage, William avait une sainte horreur des surprises, c’était dans sa nature, il aimait tout contrôler, que chaque chose soit à sa place et que rien n’arrive sans qu’il ne le sache. Une fois encore, et pour la troisième fois depuis qu’il était rentré, cela ne se passait vraiment comme cela était prévu. Constance à Berkeley, un de ces nouveaux fantômes parisiens qui étaient vraiment surprenants. C’est au moment où son visage vint se poser sur le sien qu’il comprit que la surprise ne devait pas être uniquement du coté du jeune homme, mais bel et bien partagée. En même temps, qui prévoirait que cela puisse se passer de cette manière ? Rien n’est jamais sur, et on ne peut jamais être certain qu’un adieu est définitif. William tacha de reprendre un contenance, de retrouver un sourire un peu plus naturel qu’il adressa à la française qui de toute évidence avait été envoyée par un autre prof pour il ne savait quelle besogne. De toute part de la salle, Will entendait les sifflements de ces camarades, pour eux, la maturité n’était pas encore acquise. Lui était le seul qui paraissait un peu moins intéressé par la jeune femme. Normal, il la connaissait, avait entretenu une sorte de liaisons, une relation de près de deux mois pas vraiment basée sur les sentiments. Il ne put lui adressé qu’un regard, même pas un signe de tête, déjà elle était repartie, rester trop longtemps pour rien aurait sembler louche évidemment.
    Durant la fin du cours, il fut assailli par les souvenirs parisiens. Ces soirées mondaines qui semblaient ne jamais vouloir finir où il avait rencontrer pour la première fois Constance, le fait qu’au moment où il l’avait vu, il avait vu en elle l’antithèse d’Evan, au niveau physique premièrement, plus grande que l’américaine, brune, elles n’avaient pas vraiment de point commun. Et puis au niveau à la fois du comportement et des sentiments qu’il pouvait avoir pour elle, s’il avait été amoureux d’Evan, cela n’avait pas été le cas pour Constance, se contentant juste de passer des soirées, de discuter, de rire et de coucher avec elle. Dit comme cela, ce comportement pouvait paraître totalement abjecte, mais cette relation, cette amitié amélioré convenait parfaitement à l’un et l’autre qui n’avaient aucune envie de s’engager. Bien avant que William n’ait pu replonger profondément dans ses souvenirs, mettant de coté tout ce que le prof pouvait raconter sur le maître du film à suspense, c’est à dire Alfred Hitchcock, il entendit la sonnerie absolument horrible de l’université. Fin de la matinée, fin de la journée pour William vu qu’il n’avait rien l’après midi. Fin des problèmes donc, pas tout à fait, il avait encore la vision de Constance arrivant dans cette salle. Ne pas savoir l’avait vraiment choqué de toute évidence. Fermant l’ordinateur portable posé sur la table, le rangeant ensuite dans son sac, n’étant plus vraiment concentré sur ce qu’il faisait à présent. Il sortit de la salle, adressant un regard rapide à son professeur en guise d’au revoir. Il avait besoin d’un café, de quelque chose de fort qui le ferait se remettre de cette surprise, qui était plutôt bonne dans le fond, la jeune femme était quelqu’un qu’il appréciait, mais après restait à voir ce qu’elle pouvait dire sur son compte car sa réputation était plutôt mal en point à Berkeley. Il avait quand même abandonné une femme enceinte, à sa décharge, il ne savait mais tout de même ! Marchant rapidement, il suivit les garçons de sa classe qui se dirigeaient vers le réfectoire. Il n’avait pas vraiment à y aller, mais il pensait y retrouver une connaissance avec qui prendre un café avant de rentrer dans sa propre sororité, là où il irait manger. Un attroupement se créa, un mec venait de se prendre la porte en verre devant lui, il fallait quand même ne pas être doué, mais il avait remarqué que c’était pour beaucoup le cas dans cette université.

    Décidant d’emprunter l’autre porte, ce ne fut pas sans nouvelle surprise qu’il tomba sur une fille, assez grande, long cheveux bruns, sourire charmant, yeux d’un brun profond : Constance. Face à face, comme il y avait quelques mois dans la capitale française. La surprise fut moins forte à ce moment là, William était déjà un peu plus habitué au fait de la retrouvée, la, devant lui. Adoptant cette fois un vrai sourire, non pas comme celui de circonstance qu’il lui avait montrer toute à l’heure, il lui dit juste :

    « Je te croyais en France Constance… Qu’est ce que tu fais là ? »

    Le ton n’était pas vraiment inquisiteur, il n’avait pas du tout intérêt à se faire de nouveau ennemis à Berkeley. C’était juste de la surprise, et encore une fois, la volonté de comprendre. Faisait elle partie de ce programme d’échange ou bien était elle venue comme cela, en candidate libre française si l’on pouvait dire, en Californie. La situation d’anciens amants qui se retrouvait était véritablement étrange, mais il fallait faire avec. Il était au moins sur du bon caractère et du bon fond de la jeune femme, ce dont il était moins certains chez Nina par exemple. William choisit de mettre l’embarras de coté et pris Constance dans ses bras un bref moment. Ce geste, bien que totalement inattendu, était le moyen américain de se dire bonjour entre gens proches et Will en avait repris l’habitude. Il espérait juste que cela ne soit pas mal interprété par la jeune française. Une fois l’étreinte terminée, il reprit :

    « Désolé, je manque à toutes les régles de politesse c’est juste que la surprise de te voir ici est tellement grandeque… Enfin… Comment vas tu ? »

    Il avait prononcé la dernière phrase en français. Durant son séjour, la jeune française avait réussit à lui apprendre deux trois mots dans la langue de Molière, un véritable miracle. Bien qu’étrange, retrouver la jeune femme faisait plaisir à William.
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MessageSujet: Re: p.v ♦ thats just one blast from the past after another p.v ♦ thats just one blast from the past after another EmptyLun 20 Sep - 10:14

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