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Sunshine in Berkeley ? close

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MessageSujet: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptyJeu 22 Juil - 18:52

    Sunshine in Berkeley ? close Fnb006 Sunshine in Berkeley ? close Ashley-Benson-ashley-benson-11779156-100-100
    In past, we were together.
    In the future, we shall always have an attraction.
    But maintaining that is it?



    L’université était belle et bien fermée depuis quelques semaines. Pratiquement un mois que le jeune homme était en vacance. Il était resté sur la ville pour pouvoir voir des amis à lui et pouvoir aller faire la fête, mais il avait prévu de partir chez lui en Italie dans quelques semaines. Mais avant de partir, il devait se rendre sur Berkeley pour venir chercher quelques affaires dans son casier. L’université était vide, personne n’était venu ici depuis longtemps, pourtant quelques fois de nombreux élèves se perdaient dans les couloirs venant suivre des cours d’été, ou pour chercher des affaires qu’ils avaient oubliées. Notamment Martin qui avait laissé un carnet très important dans son casier. Le soleil brûlait le sol de l’université. Le jeune homme avait les pieds sur l’herbe, il se mit à marcher d’un pas nonchalant. Regarde chaque immeuble comme si c’était la première fois qu’il mettait les pieds pour la première fois dans l’université, pourtant il avait de nombreuses fois pris ce chemin pour se rendre en cours ou pour ressentir la mauvaise humeur de certains élèves ou même de certains professeurs qui n’avaient pas compris qu’il ne fallait pas hausser le ton avec Martin.

    Pénétrant dans le centre du bâtiment, il monta les escaliers qui régnaient en maître sur le hall. S’arrêtant devant une immense fenêtre, il admira la vue qui était grandiose. De là on avait vu sur tout le campus. L’endroit qui manquait le plus au jeune homme. Il se rappelait de toutes les fêtes qui étaient organisées. Ainsi que de la maison des Epsilons. Cette grande maison qui était la sienne ou plutôt celle de sa confrérie. Cette grande maison constituée de tous les élèves qui avaient le plus d’argent. Ils étaient les plus riches de la confrérie, les plus puissants quand on parle du pouvoir grâce à l’argent. Mais il continua son chemin. Il n’avait pas de temps à perdre. Il ne voulait pas passer toute sa journée à l’intérieur de l’université, sauf si il y avait une bonne raison qui le retenait. Mais pour l’instant, rien ne l’intéressait plus que de récupérer son carnet et de partir dans son cabriolet pour aller à la plage ou se détendre dans un bar. Atteignant l’étage désiré, il se mit à marcher vers une rangée de casiers qui étaient tous identiques et rangés de la même façon. Comme ça personne ne pouvait râler, quoi que certains élèves râlaient de ne pas être près de leurs amis ou même parce qu’ils étaient à côté du grand méchant loup et qu’ils avaient peur de se faire manger un de ses quatre. A cette idée, Martin sourit, il aurait bien été à la place du grand méchant loup pour dévorer les pauvres brebis qui se seraient égarées. S’arrêtant devant un grand casier bleu et long, il s’approcha de lui et colla ses mains sur le fer qui était gelé.

    Ses mains se baladèrent vers le cadenas. Composant rapidement un numéro. Un clic se fit entendre. Il ouvrit son casier et découvrit de nombreuses choses mal rangées. Il n’était pas vraiment très ordonné. Mais il arrivait à s’y retrouver. Il tira un carnet du lot de cahiers rangés en vrac. Le carnet était d’un cuir noir et portait une série de lettres qui était gravée dans une fine encre d’or. Les lettres représentées étaient les lettres : MDT. Autrement dit : Martin de Thomas. C’était le carnet du jeune homme depuis sa première année à Berkeley, c’était une sorte de carnet où il marquait toutes les choses qui lui étaient chères. Ce n’était pas un journal, il détestait qu’on puisse penser ça de lui, il n’était pas une de ces petites chochottes qui passaient leurs temps à écrire dans un journal en espérant recevoir une réponse d’un stupide bouquin qui contenait des pages blanches. C’était une vision très imaginatives de la vie. Entendant un bruit dans le couloir, il arqua un sourcil et s’arrêta. Il claqua la porte de son casier et attendit une réponse. Il pensait que c’était une personne qui voulait lui faire un coup monté mais bien sûr, ce ne pouvait pas être possible, les seules personnes présentes ici n’étaient que des élèves qui voulaient étudier pour rattraper leurs moyennes qui étaient au plus bas. Martin n’en avait pas vraiment besoin. Regardant une dernière fois son casier, il reprit le cadenas et le ferma, quand ce petit clic se fit entendre il sourit et prit le petit carnet qu’il tenait dans la main. Il l’ouvrit de sa main gauche et put découvrir une photo qu’il n’avait pas vu depuis longtemps. C’était une photo de lui petit avec une jeune personne à ses côtés, une ancienne petite-amie qui lui aurait brisé le cœur ? Ou tout simplement une jeune fille qu’il avait aimée depuis tout petit ? Non ce n’était rien de tout ça. C’était simplement une jeune fille à qui il tenait beaucoup depuis tout petit mais de qui il avait perdu la trace. Il s’était dis que c’était la fin et qu’il devait enlever toute trace. Il avait prévu de brûler cette photo, mais il se mit à la déchirer en plusieurs petits morceaux et la jeta dans une des poubelles qui étaient près de son casier
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MessageSujet: Re: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptyVen 23 Juil - 2:16

    L'université de Berkeley n'était plus ouverte à tous. En effet, c'était bel et bien seuls les élèves en rattrapage ou les habitants de Berkeley qui pouvait encore accéder à leurs affaires. Après avoir revu sa mère à Paris où Spencer y avait passé trois semaines, elle avait décider de revenir pour quelques jours à San Francisco pour retrouver ses amis et voir son père. Même si celui-ci vivait avec sa "vraie" famille, il trouverait surement un peu de temps pour elle. Mais elle devait se poser et récupérer quelques affaires. En réalité, elle avait aussi envie de retrouver sa chambre, son lit dans les tons de gris, sa moquette confortable, sa vue imprenable sur le campus...

    Cela ne faisait pas longtemps qu'elle était revenue mais elle était déjà débordée. Fêtes, plage, shopping... Berkeley lui avait manqué. La sensation du soleil qui lui brulait la peau, le vent chaud en sortant de l'eau, le sable... Et surtout ses amis !

    Elle franchissait les portes de l'université. C'était désert. Un bruit de fond, mélange de paroles et de bruits de pas. Elle aurait pu trouver la situation effrayante mais elle se sentait bien ici. Les dales, les plafonds, tout ici lui plaisait. C'était chez elle, le seul endroit où elle se sentait bien, épanouie. Elle se dirigea vers les casiers. Elle observa un moment les rangées de portes bleus métalliques et en frôla une au passage. Elle était glacée. En tournant dans une nouvelle allée, elle s'aperçu qu'un jeune homme était là. Il était brun, grand et semblait bien bâtit malgré que Spencer ne distinguait pas son visage. On aurait pu croire qu'il volait dans un casier car il le referma avec cette rapidité nerveuse qui caractérise les voleurs. Mais c'était très peu probable. Les casiers étaient soit vides soit dépourvus d'objets de valeurs. La jeune femme ne s'arreta pas pour ne pas attirer volontairement son attention, mais elle soigna sa démarche. Elle adorait que les garçons la regarde mais ne sachant pas à qui elle avait à faire, elle n'insista pas et continua en pensant à autre chose. Elle franchit une nouvelle porte. Après avoir fait quelques pas dans cet autre couloir, elle se rendit compte que ce jeune brun l'avait suivi. Les portes vitrées reflétaient un visage magnifique. Des yeux clairs et un air mauvais et noir mais très attirant. Leurs regards se croisèrent pour la première fois dans la vitre. Spencer ferma les yeux lentement et sentait l'adrénaline la parcourir. Elle eu un temps d'arrêt puis marcha d'un pas plus rapide en espérant qu'il la suivrait jusqu'à sa chambre. Elle était dans cet état à la fois d'excitation et d'impatience qu'elle adorait, quand tout devenait plus intense, ses sens étaient éveillés, plus fort. Une odore de fleur et d'épices flottait dans l'air. Etait-ce son parfum? Ou le fruit de son imagination? Elle entendait ses pas qui suivaient son rythme. Sa respiration se fit plus saccadée. Elle voulait se retourner mais il fût plus rapide, il attrapa violemment son poigné.
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MessageSujet: Re: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptyVen 23 Juil - 16:46

    N’étant point discret, la réalité l’avait rattrapé. Il pensait être seul dans cette immense université, mais il ne l’était pas. Quelqu’un avait pénétré dans l’enceinte de l’université. Quelqu’un se tenait près de lui. Non loin de sa porté. Son cœur battait. Il battait d’une telle force qu’il pensait qu’il allait sortir de sa cage thoracique. Il claqua la porte de son casier. Son attitude pouvait semblait bien curieuse, son apparence physique n’arrangeait rien. Il n’était pas du style à être un petit fils de bonne famille qui écoute ses parents avec attention et qui passe ses samedis à jouer au Monopoly avec ses parents. Non il était plutôt le genre à se rebeller et à reprocher aux autres d’exister. Cet être semblait curieux et mystérieux ce qui avait tendance à fasciner les autres. Son regard cherchait tout autour de lui une présence humaine et au meilleur des cas d’un animal sans défense. Mais aucun animal sans défense ne pesait le poids d’un homme. Clic… Clac….Clic. Son regard se posa vers le bruit qu’il entendait, c’était un humain et pour être plus précis une femme. Ce bruit là était le bruit des talons d’une jeune femme. Ce ne pouvait pas être le bruit de chaussures communes, elles étaient bien trop silencieuses. Pourquoi avait-il réagi comme ça ? Il passait pour un voleur. C’était peut-être une jeune femme qui allait se plaindre auprès d’un surveillant qui passait par là. Il sentit entre ses mains une feuille brillante où deux personnes souriaient. Il fronça les sourcils et la déchira sous l’influence de la colère et de l’adrénaline qui lui couraient dans les veines. Il jeta le contenu dans une poubelle noire et se mit à courir dans les couloirs de Berkeley.

    Jamais il n’avait pensé faire ça un jour de sa vie. L’accélération des battements de son cœur lui envoyait davantage de sang dans ses veines pour lui permettre d’aller plus vite. Il parcourut de nombreux couloirs à la recherche de cette inconnue. Mais il n’y avait rien, les couloirs étaient vides comme si il s’était mis à rêver. Pourtant les pas étaient bien réels, mais il devait s’éloigner de la réalité et devenir fou. Il se demandait si il n’allait pas se faire interner pour avoir entendu des voix. Il s’obstina à marcher. D’un pas plus calme, il savait très bien qu’il avait toute sa raison. Il y avait quelqu’un. Une femme. Il était sûre de la trouver. Il allait la trouver. Mais à force de tourner, il finit par lever la tête et il regarda devant lui. Il aperçut une jeune femme de dos. Des cheveux blonds qui tombaient dans son dos. Elle était face à une baie vitrée. Mince et grande, elle semblait magnifique. Il s’approcha doucement d’elle et se posa derrière elle. La regardant dans la baie vitrée, il pouvait admirer ses traits. Comme toutes les filles, ses traits étaient très fins. Ses yeux étaient d’un bleu océan. Ses pommettes légèrement relevées. Elle avait des lèvres pulpeuses qui brillaient de milles feux. Elle semblait aussi fragile qu’une statue et si irréelle. Il ne l’avait jamais vue. Si il avait su la voir, il aurait tout fait pour la convoiter. Un visage comme celui-ci ne pouvait s’oublier. C’était impossible. Quand elle ferma les yeux, son teint pâle lui donnait des allures de poupée de porcelaine. Il avait envie de glisser ses doigts sur cette peau laiteuse pour la caresser et la toucher. Pour briser cette illusion de rêve. Mais il ne put faire un pas, elle se mit à le fuir. Il fronça les sourcils et se mit à lui courir après une nouvelle fois. C’était plus intense, il avait envie de savoir qui elle était, d’où elle venait. Mais surtout, il avait la curieuse envie de la toucher pour accéder à la vérité. Était-elle un rêve ou une réalité ?

    La course fut plus brève. Il venait de la retrouver, elle était au bout du couloir près d’une pièce qui était fermait par une porte. Il se rapprocha dangereusement d’elle. Pouvant sentir son parfum. Une odeur sucrée lui chatouilla les narines. Il apprécia cette senteur. Sa main saisit violemment son poigné et il retourna la jeune femme pour qu’elle lui fasse face. Sous l’excitation et la rapidité de son geste, il se retrouva à la plaquer contre le mur. Sentant son corps aux formes généreuses sous le sien, il la regarda curieusement en restant silencieux.
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MessageSujet: Re: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptySam 24 Juil - 1:41

    La pression sur son poignet était forte mais elle raviva le feu qui circulait dans les veines de la jeune blonde. Ce contact était puissant, passionné, même si ce n'était que la sensation de ses mains fortes encerclant sa main fine. L'adrénaline n'avait jamais été aussi présente. Se geste brutal la retourna, leur permettant de se voir en chair et un os pour la première fois. Les yeux bleus de Spencer étaient grand ouverts, du à la surprise, créant une expression magnifique et innocente sur son visage. Elle le regardait dans les yeux. Les siens étaient bleus très clairs, perçants, durs. Il l'avait plaquée contre le mur tiède, mains collées contre la paroi. Elle était coincée, emprisonnée dans l'étau de fer de ses mains fortes. Leurs corps se touchaient. La sensation des muscles de ce magnifique brun sur chaque parties du corp de Spencer était divine. L'air de l'apollon changea. Elle ne pouvait interpréter cet aspect de confusion et de désire intense, comme si il voulait palper les moindres parcelles de sa peau. Le seul bruit dans l'allée déserte était celui leur respiration haletante et forte. Soudain le désire fut trop fort, il relâcha les mains de Spencer pour plaquer sa taille contre la sienne. Les mains maintenant libre de la jeune fille se glissèrent sous le t-shirt gris du jeune homme, pour détailler de ses doigts tous le relief de son ventre, de son torse musclé et chaud. Elle avait vu la porte qui était maintenant à proximité. Elle dégagea une de ses mains pour tenter de l'ouvrir. Peu importe ce qu'elle contenait mais on aurait pu les surprendre dans le couloir. Il agrippa la cascade blonde de Spencer et embrassait son cou rapidement. Malgré que leurs lèvres ne s'étaient pas encore touchées, une décharge électrique parcouru la jeune fille, du bas de son dos jusqu'à sa nuque ce qui la fit inspirer par à coups, ne pouvant lutter contre le plaisir qu'elle ressentait. Lentement, ils se dirigèrent dans la petite pièce. Le mystérieux brun ferma la porte avec sa jambe rendant la pièce sombre et tourna vite le verrou de la main qui ne tenait pas Spencer puis la fit glisser le long du dos de la jeune fille pour arriver à sa cuisse qu'il souleva d'un mouvement brusque, arrachant un soupir de plaisir à sa nouvelle conquête.
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MessageSujet: Re: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptySam 24 Juil - 23:19

    C’était intense, toxique tellement sulfureux. Tout allait si vite, ils ne se connaissaient pas. Ils étaient face à face en train de se dévisager. Les yeux de Martin s’attardèrent dans les siens, ils étaient curieusement bleus. Ils semblaient si purs. Elle ne pouvait représenter le mal. Elle ne pouvait être méchante. Elle ne représentait que l’image parfaite du paradis. Jeune blonde au fin corps, elle était dotée d’un incroyable visage si pur. Il n’avait envie que d’une chose, le toucher, dévorer cette brebis qui semblait s’être perdue. Comme tous les méchants loups, Martin voulait la dévorer. C’était une attirance physique. Une certaine frustration lui avait traversé le corps. Il ne savait pas qui c’était trouvé derrière lui. Il n’avait pas pu mettre de visage sur cette femme. Il l’avait trouvée et l’avait plaquée contre un mur. Maintenant, il ne se lassait de la regarder, examinant chaque paroi de son visage. Elle semblait angélique et il ressemblait à un démon. Profitant de sa position de force masculine, il remonta ses mains et caressa ses bras avec violence comme si c’était la dernière fois qu’il pouvait toucher une femme si pure, du moins si elle l’était. Il inclina son visage et déposa violemment des baisers dans son corps chaud. Ses mains se déplaçaient sur son torse de pierre. La chaleur de son corps était étouffante. Il se sentait vibrer. Cette sensation d’inconnu était si excitante. Il ne comptait pas s’attendre là. Il voulait aller plus loin et il semblait que l’ange veuille aller plus loin. Il la poussa légèrement à l’intérieur de la salle. Ce n’était pas une salle comme les autres, il pensait tomber sur un placard à balais ou autre, mais il était tombé sur une salle de classe vide. Les pupitres s’alignaient les uns après les autres. Cette odeur de craies chatouillait les narines du jeune homme. Fermant à la volée la porte de la classe, il ferma les yeux pour savourer la douceur de sa peau. La chaleur de sa peau était en train d’envahir celle de Martin. Sa main caressa sa cuisse et la remonta. Il parcourut sa gorge de baiser en laissant déraper quelque fois sa langue dans son cou. Il remonta vers le haut de sa gorge et s’agrippa à son oreille. Il la saisit avec ses dents et la mordilla avec finesse et douceur. Avant de lui murmurer d’une voix ténébreuse « J’ai envie de toi. ». Il venait de se mettre à nu. Elle était au courant de sa voix de ténor. Elle venait de résonner dans cette toute petite classe vide. Détachant son oreille, il la regarda avec intensité pour lui faire savoir le désir qu’il avait au fond de lui. C’était une façon de lui faire comprendre à quel point il désirait être avec elle, sentir son corps contre le sien à nu pour pouvoir en apprécier toutes les délicatesses que la nature avait pues lui faire cadeau. Mais il ne comptait pas être un sauvage. Ses parents lui ayant payé la meilleure des éducation, il ne pouvait pas se montrer sauvage. Il attendait son avis. Il sentait qu’elle le désirait. Qui ne pouvait pas désirer son corps de rêve ? Il comptait faire d’elle une nouvelle proie. Mais à chaque fois, il voulait avoir l’accord de sa prétendante. Il ne voulait pas profiter d’elle ou du moins de sa faiblesse, mais ce qu’il ne savait pas c’était que derrière ce soi disant ange se cachait un démon qui ressemblait au portrait de Martin. Un être sans cœur qui n’a envie que d’une chose se faire plaisir en étant égoïste. C’est ainsi que le diable regard sa prêtresse dans les yeux pour essayer d’en savoir davantage sur ce regard de velours qui le rendait fou et incontrôlable.

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MessageSujet: Re: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptyDim 25 Juil - 2:14

    Tout était bon. Sa main imposante sur sa cuisse, la sensation de sa langue tiède dans son cou... Tous donnait envie à Spencer. La salle était remplie de bureaux long, pour deux ou trois personnes. Les volets étaient fermés mais le soleil passait entre les fines planches de bois brun, se reflétant sur la poussière de craie qui envahissait la pièce. Elle avait du mal à respirer. Il mordilla son oreille pour lui chuchoter qu'il avait envie d'elle, ce qui augmenta le désir de la jeune femme. C'était la première fois qu'elle entendait sa voix rauque et grave, d'autant plus sexy. Il se détacha de son oreille pour connaitre sa réaction. Son visage semblait impatient mais comme si il attendait une réponse, son approbation. On aurait dit qu'une fois qu'elle l'aurait autorisé, il allait la dévorer. Il allait devenir incontrolable. A l'idée que l'attente serait bientôt récompensée, elle esquissa un sourire pour la première fois, qui fut discret mais diabolique. Elle savait bien que ses précédentes expressions étaient totalement différentes et que l'apollon en face d'elle aurait pu se tromper sur sa réele nature. Elle n'était pas une petite chose fragile que l'on soumet. Elle adorait jouer avec ses proies. Elle posa donc ensuite ses deux mains sur son torse, agrippa son t-shirt fermement puis le poussa rapidement, tout en le regardant et en continuant de fixer son regard menaçant. Ils atterrirent sur un des bureaux, long. Il s'allongea et elle monta sur le bureau, sur lui. Elle adorait cette sensation de puissance, de domination sur un être qui semblait bien plus imposant et mauvais. Il se laissa pourtant faire et la regarda avec un désir plus fort que tout. On se demandait comment il pouvait lutter. Cela semblait impossible, cela devenait souffrance. Elle déboutonna sa robe bleu puis la retira, dévoilent son corp fin seulement habillé de son ensemble de lingerie rouge en dentelle, qu'elle se félicita d'avoir mit. Elle était quasiment nue, même ses sous vêtements avaient une légère transparence qui ne pouvait échapper à sa prochaine victime. Il la contemplait longuement, explorant chaque recoins, s'attardant sur ses formes. On aurait dit qu'il allait lui bondir dessus. Qu'il devenait fou. Son regard à elle aussi devait la trahir. Elle voulait enfin que leur lèvres se touches. Celles de sa victime étaient rosées, fines et appétissantes. Elle n'allait pas pouvoir lutter longtemps contre l'envie de l'embrasser. Elle espérait qu'il serait le premier à aller vers elle. Elle était devenue chasseur et lui chassé. Elle chercha le bas de son haut dans l'obscurité pour enfin pouvoir contempler sa beauté à l'état pur. Il ne lui laissa pas le temps et joignit ses mains pour retirer son haut lui même.
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MessageSujet: Re: Sunshine in Berkeley ? close Sunshine in Berkeley ? close EmptyMar 27 Juil - 16:31

    Assommant désir qui vous envahit sans se défaire de vous. Il prend tout contrôle. Votre corps n’est plus que l’esclave du désir. Vous devez vous y plier à un moment ou à un autre. Les rayons du soleil se dessinaient sur la peau légèrement bronzée du jeune brun. Ces petites rayures formaient un dessin uniforme sur sa peau. Il balada son regard clair sur ce qu’il pouvait appeler sa prochaine conquête. Les rayons du soleil éclairaient son corps avec soin pour montrer le spectacle qu’attendait Martin. Comme un enfant impatient, il attendait son du. Comme le diable, il comptait bien profiter de ce moment. Sa voix tremblait à l’idée de ce qu’il attendait, l’attente était un supplice. Il sentait son corps s’engourdir, il avait tant besoin de ça comme un drogué s’injectait sa dose à chaque fois qu’il y pensait. Martin était un peu un drogué du sexe, mais c’était rare. Cette fille l’excitait, l’envahissait comme un démon qui essayait de prendre son emprise. Ce n’était qu’une illusion. Personne ne pouvait contrôler l’esprit de Martin. Se laissant tomber, il se rattrapa sur une large table. Montant sur lui, la jeune femme ne s’attendait pas à ce qu’il emprisonne sa taille de ses mains. Son regard pur était le reflet de son âme, la seule chose qui ne semblait pas pourrie par le temps. Il cherchait à déceler son secret. La comprendre, l’étudier avant de la pratiquer. Il s’était apparemment trompé sur elle, elle n’était pas un céleste papillon qui avait besoin d’aide pour voler. Il la comparait plutôt à une mante religieuse qui cherchait à prendre le contrôle sur le mâle pour le dévorer par la suite, mais c’était mal connaître Martin, aussi mauvais qu’un scorpion, il n’allait pas se laisser faire. Étant macho, il allait le lui prouver, la laisser le gouverner pendant une courte période, mais il comptait dire quelques mots.
    Relevant sa tête et le haut de son corps en la laissant sur elle, elle débouta sa courte robe légèrement transparente à la lueur du soleil, il pouvait deviner ses courbes, son corps. Il n’en avait que le contour, mais plus elle continuait son travail, plus elle se dévoilait au méchant loup qui se mordilla la lèvre. Excitation ? Certes, elle prenait son envol, elle désirait le dominer, mais Martin la contrôlait, il la façonnait à sa manière, la travaillait pour qu’elle ait une forme des plus agréables. Posant ses mains sur ses cuisses, elles caressèrent les moindre bouts de peau qu’elles pouvait trouver, admirant cette fine dentelle rouge qui était légèrement transparente. Mais l’emprisonnant dans son piège, il désirait la faire attendre comme elle avait pu le faire attendre. Il posa ses lèvres dans son décolleté et déposa de multiples baisers pour remonter vers son cou qu’il gravit sans véritable difficulté. Il s’approcha de ses lèvres, s’arrêta un moment contemplant son regard pur et aussi clair que le sien. Ils étaient deux démons, enfermés dans une même pièce à double tours et attendaient le moment où ils pourraient emprisonner l’autre pour qu’il se détruise et se consume dans une danse de plaisir. Il frotta ses lèvres aux siennes, mais ne déposa pas de baiser. Il embrassa le bas de son menton et décolla son visage du sien en admirant ce visage qui était surpris de n’avoir aucun baiser en échange. Mais Martin était un chasseur, à son tour, il voulait dominer, la chasser. Il lui fit un petit sourire en coin et retira son tee-shirt qu’il jeta par terre, elle pouvait enfin observer son torse. Un torse convoité de nombreux hommes. Ses pectoraux étaient musclés sans être trop durs. Ses tablettes de chocolat étaient dessinées ce qui lui donnait un air musclé. Sans être Musclor, il était devenu un jeune homme bien plus que musclé. Il descendit ses mains vers son jean qu’il commença à retirer doucement en enlevant doucement sa ceinture. Mais l’attente se lisait sur le visage de la jeune femme. Il la prit délicatement par la taille et la colla au mur tiède qui était disposé derrière eux. Délicatement, il effleura les lèvres de la jeune femme avec les siennes pour lui offrir un réel baiser. Il la porta dans ses bras, mettant chacune de ses jambes autour de son bassin, il la déposa sur la table en restant sur elle. Libérant ses lèvres, il leur trouva un goût sucré. Est-ce lui qui rêvait.? Une délicieuse odeur de sucré s’épanouissait dans les air pour épouser les narines du jeune homme, cette odeur de fleur était son parfum. Un délicat parfum qu’il n’oublierait pas de si tôt. Se redressant pour défaire le bouton en métal de son jean. Il lisait en elle, une hâte d’explorer ce que la nature avait offert à Martin. Mais à son tour, son regard s’attarda sur ses courbes, elles étaient si fines et à la fois généreuses, il s’y serait perdu. La regardant à nouveau dans les yeux, leurs regards s’échangèrent et leurs lèvres se collèrent une fois de plus pour s’offrir un baiser sauvage.
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