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Give me my paper - Bradley T. Cooper

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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 EmptyLun 22 Mar - 20:19

Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 168hf0p-19c9f96 Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 000k4wq9-10d0854
"Give me my paper "

    Quand on est enfant on aime tout le monde donc que ce soit un frère jumeau ou une personne d’autre sa ne change rien l’essentiel c’est que l’on puisse avoir quelqu’un qui fait la police pendant qu’on joue le voleur ou l’inverse. Bradley qui n’avait pas eut la chance d’avoir un frère avait Drew, enfin quand je dis la chance d’avoir un frère je pense me tromper. Avoir un frère c’est un poids permanent c’est toujours être comparé à quelqu’un si on est le plus petit, et devoir être gentil avec quelqu’un si on est l’ainé. Un frère qu’il soit grand ou petit c’est donc des obligations et franchement c’est lourd. Bradley voyait en Drew un frère mais le frère qui n’a que des avantages je vais vous expliquer et vous comprendrez tout de suite pourquoi. Bradley pouvait à tout moment être méchant avec Drew au pire ils ne se parlaient plus ils ne vivaient pas sous le même toit ce qui laissait le temps aux conflits de s’apaiser. Quand Bradley s’ennuyer un coup de téléphone et hop il y avait Drew pour s’amuser, c’était un frère sur commande, et sa marchait comme sa dans les deux sens. En grandissant les liens se sont forcit mais jamais personnes n’a forcé l’un des deux à aimer l’autre et c’est surement ça qui a cloché chez les deux frère Johansten, les deux frères voulaient s’affirmer comme l’ainées, au début la mère a eut beaucoup d’emprises sur eux, ils étaient très petits et écoutaient. Mais en grandissant la haine qu’il avait enfouie au profond d’eux a fait surface et voilà pourquoi maintenant ils se haïssent. Attention ce n’est que l’avis de Bradley une personne qui ne les connaît que depuis trois ans, une personne qui ne fait pas du tout d’étude de médecines, encore moins de psychologie et donc qui n’a aucunes légitimé.
    Pour ce qui est de Nena cette histoire il la suivit, car oui la jeune Nena reste tout de même une des belles gosses de l’université, Bradley est sortit avec elle durant une soirée, l’un des premières soirées qu’il a vécu sur le campus, un coup d’un soir puis ensuite elle est sortie avec Thomas, Bradley s’en moquant pas mal. Quelques mois après elle sort avec Nick c’est tout de même là qu’on est en droit de se poser quelques questions, les deux frères ont le même physique, qui dit même physique dit surement même plaisir au lit, pourquoi sortir avec le second. Surement pour rendre jalouse Thomas, cette fille a tout pour elle sauf surement (sans aucuns doutes même) un cerveau …

    La richesse enlève beaucoup de choses pour le père de Thomas et Nick c’est le cœur et pas seulement dans l’amour paternel qui ne leur a jamais donné mais aussi dans le fait qu’il n’a jamais eut d’honneur. L’honneur d’être un gars honnête d’être un diplomate pas véreux. Vous allez me dire quand on est diplomate qu’on tien dans ses mains beaucoup de choses on a tendance à abuser du pouvoir et je le comprends à 200 % je pense même que si j’étais à sa place j’aurai fait de même, mais si l’on ne peut plus avoir confiance au représentant de l’Etat à qui faire confiance ? La réponse est bien celle que j’attends, on ne peut faire confiance à personne en ce bas monde il ne faut compter que sur une personne c’est vous. Chose que vous comprenez vite quand vous êtes fils de riche. Même vos parents ne font pas partie des gens à qui vous pouvez faire confiance ils vous délaissent préférant le travail.
    Même si il faut l’avouer sans l’argent de ses parents Bradley n’aurait jamais eut la même vie, Bradley veut être indépendant veut gagner de l’argent et ne pas vivre avec les rentes de son père mais il ne se voile pas les yeux, il doit tout à se père si absent, mais le lui rendra t’il un jour ?

    Parlons un peu drogue puisque Thomas veut en parler, c’est une chose qui circule beaucoup dans tous les milieux oui l’argent est là. Dans le métier du cinéma ou de la mode on peut même se voir donner de la cocaïne, chose très chère et pourtant … Et pourtant on vous en donne comme on donne quelques pièce à un mendiant, manque de chance après une première et une seconde prise vous tomber rapidement accro et là il faut banquer. Beaucoup de gens ont perdus leur richesse dans cette merde. Bradley lui n’y a jamais touché et ne souhaite pas y toucher, il a déjà le vis de l’alcool dans le sens, un vis sa suffit deux c’est bien trop.

    Entendant la phrase de Thomas il ne pu s’empêcher de grandement sourire, il faut savoir que Bradley n’a jamais peur. Un problème qu’il a depuis la naissance, la peur n’est pas quelque chose qui se pose sur ses nerfs, même si il est en face de sa plus grande phobie.
    Alors se retrouver en face de Thomas même si il pouvait être menaçant ne lui faisait pas peur mais vraiment pas peur, il ne pu donc le prendre au sérieux et enchaina.


      Bradley : « Me fait pas mal s’il te plait ! »


    Insistant sur le « s’il te plait ! » comme pour bien montrer qu’il se moquer de lui… Thomas lui en avait déjà mit une sa pourrait recommencer.
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 EmptyMar 23 Mar - 18:01

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Une amitié née des affaires vaut mieux qu'une affaire née de l'amitié.
David Rockfeller


De ma vie, j’ai été mêlé à de nombreuses bagarres c’est le moins que l’on puisse dire. J’ai cette tendance – je ne sais pas de qui je la tiens – à être impulsif. Je ne réfléchis pas vraiment avant de faire ou dire quelque chose. En même temps, ayant grandit dans une famille très fortunée, il faut dire qu’il m’a toujours suffit de claquer les doigts pour avoir ce que je souhaite. C’est par ailleurs souvent ce qu’on reproche aux gosses de riches, avoir plus que les autres. Mais que voulez-vous ? Peut être bien qu’étant petit nous avons la dernière voiture télécommandée même pas encore sortie dans les grands magasins ou encore le dernier train électrique au circuit géant. Oui, peut être bien que nous avons tous ces jouets que les autres enfants rêvent d’avoir chez eux mais qui n’ont malheureusement pas les moyens d’en avoir. Cependant, ce qu’il faut savoir, c’est que tous ces jouets ne sont qu’un leurre. Vous pensez vraiment que ma mère me donnait suffisamment d’argent quand j’étais petit pour me faire plaisir ? Non, c’était juste une façon de se débarrasser de moi. Avec l’argent qu’elle me donnait, il me suffisait d’aller dans le supermarché le plus proche et de prendre tout ce que je voulais pour ensuite payer avec un billet qui ne faisait pas sa valeur d’apparence. Je suis conscient qu’au début, Madame Johansten essayait de faire de son mieux pour s’occuper de ses deux enfants mais au final, elle a finit par faire tout de travers. D’un autre côté, n’entretenant pas d’excellentes relations avec sa mère, elle n’a jamais eu d’exemple sur qui se reposer. C’est un peu comme pour ma part. Je n’ai pas eu de père, personne à qui demander telle ou telle chose. C’est peut être pour cette raison aussi que je n’ai jamais réussi à garder une fille auprès de moi. Il a toujours fallu que je la trompe, que je la jette pour X raisons.

Heureusement, je n’ai peut être pas eu de famille normale, mais j’ai au moins eu d’excellents amis sur qui compter. Je crois même que si je m’en suis sortit, c’est un peu grâce à eux d’une certaine façon. C’est vrai qu’au cours de ma vie, je n’ai pas toujours traîné avec les bonnes personnes. J’ai rencontré des jeunes très dérangés, drogués, fous, colériques comme des personnes très sympathiques et ouvertes d’esprit.
Et même encore à Berkeley on fait ce genre de rencontre. Prenons par exemple Maxwell Atwoodth, mon meilleur ami. Lui comme moi faisons partit de la confrérie les DELTA, nous nous sommes immédiatement bien entendus et c’est un type très bien.

BRADLEY : « Me fait pas mal s’il te plait ! »

Et si je prends comme exemple Bradley, c’est un mec super lourd. Non, je plaisante. En fait, avant que Nick vienne mettre son grain de sel, le jeune IOTA et moi étions d’excellents amis. Nous n’étions sans doute pas aussi proches au point d’être des meilleurs amis mais c’était une personne avec qui j’aimais discuter et rigoler. Et puis, il a fallu que Nick choisisse ce même ami. D’habitude il choisit très mal ses amis mais là, on peut dire qu’il a fait une exception ! Si je ne voulais plus voir Brad’ après ça, c’est pour la simple et bonne raison que j’étais persuadé au plus profond de moi-même que Nick faisait ça dans le but de m’énerver. J’étais certains qu’il se rapprochait de lui dans le but de parfois lui soutirer des informations à mon compte et pourquoi pas les balancer pour me mettre dans de mauvaises positions ? Après tout, il en serait capable. Mais ça, personne n’a l’air de le remarquer. Tout le monde pense que Nick l’est gentil, Nick l’est drôle, Nick l’est si, Nick l’est ça… En fin de compte, personne ne le connait comme je le connais.

THOMAS : « Ouais c'est ça rigole! Tu mériterais de souffrir mais bon, vu déjà ta tête, j’ai pas envie de l’amocher davantage, tes parents verraient une occasion de rejeter la faute sur moi et me colleraient un procès au cul ! »

Ça ne se voyait pas du tout que je plaisantais mais c’était le cas. Et ça durait même depuis plusieurs minutes à présent. J’étais persuadé que Bradley le savait. Il m’avait quand même eu en ami durant quelques temps, du moins, suffisamment pour savoir que je ne cesse de sortir des blagues et des plaisanteries à chaque phrases.
Nous continuâmes à avancer en direction de la sortie et au passage, je croisai une jeune pompom-girl de l’équipe de football de Berkeley. Cette fille me disait quelque chose… ce n’est que lorsqu’elle arriva à notre hauteur et qu’elle me salua d’un grand sourire que ça me revins. Une fille avec qui j’avais partagé une excellente soirée à l’arrière de ma voiture si vous voyez ce que je veux dire…
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 EmptyMer 24 Mar - 16:09

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"Give me my paper "

    L’argent ne fait pas le bonheur, beaucoup le disent et quand on voit la vie des deux jeunes hommes on comprend que c’est vrai, enfin la vie c’est peut être viser trop larges nous dirons plutôt l’enfance, car tout deux on eut une enfance assez spéciale. L’un comme l’autres avec des parents un peu abscent même totalement abscent, des parents qui en gros achetaient leur enfants, mais il ne faut pas se leurrer il y en a pleins des parents comme sa en Amérique, le pays de l’argent est aussi le pays ou les enfants sont le moins biens traités. Beaucoup d’amis au beau Bradley ont sombrés dans la drogue et l’alcool, des choses chère mais que l’on achète facilement quand on est riche, des choses qui vous font tout oublier, des choses qui vous rapprochent de gens. Car oui quand vos parents ne se sont pas trop occupé de vous il vous manque en faite quelque chose, c’est insconscient mais c’est vrai. Alors vous chercher à vous faire des amis, et dans l’Amérique que nous sommes c’est même l’envie d’appartenir à un groupe qui prime, beaucoup tombent donc dans le groupe le plus accueillant et le moins regardant sur ses membres j’ai nommé le groupe des drogués…
    Pourquoi Bradley avait il évité ce groupe ? Et bien parce qu’il avait une volontée de fer, le jeune homme ne voulait pas non plus appartenir à un groupe, il voulait s’en sortir seul, n’éprouvant pas spécialement ce besoin d’être entouré, d’être apprécié et mit en évidence. Puis il avait son meilleur pote avec lui, un meilleur pote qui vivait les mêmes galèrent que lui et avec qui il a fait les 400 coups, cet ami c’est Drew à la manière de Maxwelle Atwoodth pour Thomas, Drew c’est celui qui a permis à Bradley d’être celui qu’il est actuellement. Ils se connaissent depuis la tendre enfance, tout deux fils de riches, tout deux avec des parents qui vont et viennent, ils se sont servit mutuellement de famille, et depuis ils sont comme les doigts de la mains. Dans les bons comme dans les mauvais moment, les plus grosses connerie que Bradley a faite c’est avec Drew, à chaque fois qu’il se retrouve en prison c’est la faute de Drew et vice versa, ils s’aiment comme deux frères avec les avantages mais aucuns des inconvénients…

    Ensuite Bradley a trouvé beaucoup d’autres personnes avec qui discuter sans prise de tête, mais je ne pense pas me mouiller en disant qu’il a très peu de vrais amis, enfin des vrais amis personne n’en a beaucoup.L’ami avec un grand A celui sur qui vous pouvez compter, celui a qui vous dites tout et qui vous dit tout, la personne en qui vous avez tellement confiance qu’elle est en gros votre journal intime. Bradley lui faisait énormément confiance à Drew mais il ne lui confiait rien, il était comme ça le beau blond très renfermé sur lui-même, ses galères il préferait ce les garder, chacuns sa merde tout le monde a des ennuis donc pas la peine de saouler Drew avec. C’est surement pour sa que parfois Drew fait la gueule, parce qu’il se confie tout le temps à Bradley lui racontant les choses dont il a le plus honte, Bradley quand à lui ne lui confie rien. Bien au contraire il se moque souvent de Drew, mais ce n’est pas pour être méchant bien au contraire c’est pour lui prouver qu’il ne faut pas se prendre la tête pour ça ce ne sont que des broutilles…

      Bradley dit : « Ahahaha, toujours autant de repartit mon beau Thomas, promis un jour je t’apprendrais comment répondre à quelqu’un qui te domine verballement, et autrement qu’avec les poings… »


    C’est vrai que Thomas était encore plus impulsif que Bradley mais on pouvait le comprendre, Bradley était très habille avec les mots il savait en jouer et en déjouer, il pouvait faire beaucoup de mal en tapant la ou sa fait mal. Cette façon d’analyser les gens, cette façon de trouver les mots pour plaire ou déplaire. Déranger ou encourager, tout ça il l’avait apprit à l’école, non pas l’école de la vie comme certains disent mais simplement en cours de droit.
    Connaitre la loi c’est bien mais vous ne trouverez jamais un cas qui colle parfaitement à ce que dis la loi, il faut donc improviser et il y a toujours moyen de faire dire ce que l’on veut à une page pleine de mots, il suffit de convaincre les autres que vous avez la bonne parole. Pour ça il faut être droit, assuré et surtout ne jamais employé de mot incompréhensible, se mettre au niveau des gens et ne pas les prendre de haut, voilà un moyen de les caresser dans le sens du poil. Pour énervé Thomas il sufissait à Brad de faire l’inverse.
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 EmptyLun 29 Mar - 19:39

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L’argent ne fait pas le bonheur mais il y contribue ! C’est vrai que moi comme Brad’ n’avons sans doute pas eu une enfance des plus heureuses. Mes parents comme ses parents ont été absents pour cause de travail ou je ne sais encore quelle raison. Ma mère, c’était par son travail. Etant médecin, en plus de cela chef d’un immense service dans le meilleur hôpital de Los Angeles, elle avait des horaires de folies. Je ne la voyais quasiment jamais et je crois qu’au fond, si je ne me suis jamais bien entendu ou comporté avec elle, c’est parce que pour moi, c’est une étrangère. On aurait pu partager de très bons moments j’en suis persuadé, les week-ends par exemple mais au lieu de passer ses fins de semaines avec moi, elle préférait s’enfermer dans son bureau au second étage de la grande villa dans laquelle nous vivions plutôt que de sortir à l’extérieur lors des beaux jours et faire un peu de football avec nous. Je passais mes week-ends en compagnie de mes amis et c’est en quelque sorte de cette façon que j’ai grandit. Je n’ai peut-être pas eu de famille mais j’ai eu des amis et c’est ça qui est important au fond. Avoir des personnes sur qui compter dans n’importe quel moment difficile de la vie. Après tout, il nous faut bien, à tous, une épaule sur qui se reposer en cas de coup dur. Personnellement, j’ai des meilleurs amis mais de là à leur pleurer dans l’épaule dès que quelque chose ne va pas, ce n’est pas du tout moi. Je donne toujours cette impression d’aller bien, que tout roule dans ma vie et cela, même lorsque rien ne va. Mais c’est comme ça que j’ai été élevé. Ma mère n’a jamais voulu m’écouter lorsque je lui disais avoir des ennuis. Elle se contentait de me dire que tout allait s’arranger, que j’étais un homme et que je devais garder la tête haute et continuer. C’est ce que j’ai fait et c’est encore aujourd’hui ce que je fais. Et puis, ce n’est pas pour rien qu’on ma décerné le prix du meilleur acteur dans la catégorie meilleure révélation l’an passé.

Je suis loin de connaître Bradley comme je connais par exemple mes meilleurs amis mais il me semble qu’il est pareil. A vrai dire, j’ai cette impression qu’on se ressemble énormément. Et puis c’est vrai, on s’est toujours parfaitement entendu hormis cette histoire avec Nick. Mais là encore, ce n’est pas de sa faute. Je mettrais plutôt cela sur le dos de Nick. Comme s’il ne pouvait pas se trouver d’autres amis, il a été obligé de me piquer les miens. En y pensant, c’est peut être pour ça que je n’ai pas énormément de vrais amis. Et puis au fond, la plupart des gens qui peuvent s’intéresser à moi sont souvent là pour me lécher les bottes et surtout, pour ma fortune. C’est pas inventé, c’est prouvé ! Tous le monde coure après l’argent et même les personnes qui disent être le contraire se mentent à elles-mêmes !

BRADLEY : « Ahahaha, toujours autant de repartit mon beau Thomas, promis un jour je t’apprendrais comment répondre à quelqu’un qui te domine verbalement, et autrement qu’avec les poings… »

Je ricané quelque peu face à sa remarque. C’est vrai que la façon la plus intelligente de répliquer lors d’un conflit n’est en tout cas par le moyen de la force physique. Mais moi, c’est de cette façon que j’ai grandit. Personne n’a été là pour me dire qu’il ne faut pas se battre car cela ne résout rien et au fond, je crois que même si on me l’aurait dit, ça n’aurait rien changé. J’ai un tempérament de feu comme on dit alors autant dire qu’essayer de me résonner en me sortant des conneries pareilles, c’est juste impossible !

THOMAS : « Sans façon merci ! C’est pas de cette façon que je vois un homme se défendre. J’appelle ça une lavette ! »

Je lui adressai tout de même un sourire de sympathie histoire qu’il n’y ait pas de mal entendu. Car au fond, je ne souhaitais pas qu’une bagarre éclate dans ce couloir. On commençait à renouer un peu alors autant continuer sur cette voix plutôt que de, direct, se taper dessus. Je continuai à avancer en direction de la sortie tout en croisant ces charmantes demoiselles au corps de déesse puis nous arrivâmes à l’extérieur et je me tournai vers Bradley.

THOMAS : « Alors t’avais quoi de prévu ? Je doute que sois passé par là exprès pour me parler. Au fond je sais que je peux te manquer mais bon, il doit y avoir une autre raison quand même. »
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 EmptyMer 31 Mar - 20:20

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    Comment expliquer à Thomas que lui et Bradley c’est vraiment le même combat avec les mêmes armes ou quasiment. Le deux jeunes gens ont été en gros abandonné par leurs parents, ok Thomas n’avait que sa mère et Bradley avait les deux mais franchement même combat. Le père de Bradley travaillait beaucoup, sa mère elle partait beaucoup en voyage avec ses copines, comme si les amis c’était bien plus important que la famille. Les seules fois ou le beau blond retrouvait ses parents c’était lors de repas entre amis, là ou il s’amusait un peu mais ou il n’avait pas ses parents pour lui seul, ou il n’arrivait pas à capter toute leur attention. Quand vous avez des parents qui choisissent les amis plutôt que la famille vous avez tendance à faire pareil. Et l’on dit bien que l’on ne choisit pas sa famille, alors que les amis si. Tout comme Thomas Bradley a donc choisit de laisser de coté cette famille qui n’avait pas l’air de vouloir de lui et de se consacrer à trouver des amis des vrais. Et oui c’est facile d’être entouré, vous avez de l’argent tout le monde veut être votre ami et venir jouer chez vous, pour pourquoi pas voler un ou deux petits trucs. Les vrais amis Bradley en a peu mais il sait qu’avec eux il peut tout faire.
    Etrangement encore une fois, tout comme Thomas il ne serra jamais le style de mec à se confier, quand sa va mal il voit les choses positivement en se disant qu’il y a toujours pire, quand il a envie de se confier il prend sur lui et ne se confie pas. A quoi sa sert d’avoir des bons amis si c’est pour ne pas les avoir en cas de coup dur. Et bien pour Bradley rien que l’idée d’avoir quelqu’un qui est présent et qui pourrait écouter parler si il venait à vouloir se confier et bien c’est difficile. Ok la phrase est difficile à comprendre, la chose qui donne confiance à Bradley et bien c’est de se dire, « Si un jour j’ai un problème, si un jour je veux me confier, ben il y a quelqu’un ». Voilà donc le vrai Bradley un gars qui n’a jamais besoin de personne mais qui veut toujours pouvoir compter sur quelqu’un.
    Après il y a la deuxième facette de Bradley, il n’aime pas être seul, ce n’est pas un solitaire, enfin pas dans le sens propre. Il aime être accompagné mais sa n’empêche que dans une masse on peut parfois se sentir seul. Enfin que voulez vous c’est al vie, l’argent amène beaucoup de choses et ce ne sont pas forcement des choses biens. Que peuvent-ils faire ? Se dire que leurs parents c’est du passé et qu’il ne faudra jamais reproduire la même chose avec leurs enfants. Quelque chose de difficile en soi, comment voulez vous être un bon père ou une bonne mère si vous n’en connaissez pas ?

      Bradley dit : « Tu ne savais pas que j’en étais une ? Franchement en faite tu ne me connais vraiment pas du tout ! »


    Bradley n’avait pas du tout de problème avec sa virilité, il savait pertinemment que c’était un homme, il pouvait aller au charbon à n’importe quel moment. Comme tous les mecs qui savent qui ils sont, Bradley n’a aucuns problèmes avec les homosexuels, n’a aucune réticence à s’habiller en femme pour s’amuser. Il sait qui il est et surtout qui il n’est pas, ce que les autres pensent de lui il s’en moque comme de sa première dent de lait, l’important et de toujours avoir confiance en soi. Un grand sage disait, « Comment inspirer confiance quand on n’a pas confiance en soi ? », Bradley c’était servit de cette phrase pour mettre de l’eau à son moulin narcissique, il l’avait donc transformé en « Comment se faire aimer si l’on ne s’aime pas ? ». Bradley lui s’adorait, s’aimait même plus que tout, voilà surement pourquoi il était très apprécié de tous, que se soit de la gente féminine que de la gente masculine…
    Il suivit Thomas vers la sortie, toute manière lui aussi devait sortir pour aller au terrain donc… Quand une bande de quatre déesses sortit de nulle part, Bradley salua le groupe de filles, il en connaissait deux, très profondément si vous voyez ce que je veux dire.

      Bradley dit : « Thomas je te suis depuis deux jours, j’ai appris ton emploi du temps par cœur pour enfin te croiser aujourd’hui ! »


    Il se retint de rire mais ne pu se retenir trop longtemps, il se mit à rire. Il préférait cette relation de je te lance des piques tu me réponds plutôt que celle ou Thomas l’ignorait !
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper - Page 2 EmptyDim 4 Avr - 13:43

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BRADLEY : « Tu ne savais pas que j’en étais une ? Franchement en faite tu ne me connais vraiment pas du tout ! »

C’est vrai qu’au fond, je ne sais pas grand-chose sur Bradley. C’est clair que nous avons partagé un lien d’amitié mais cela n’a malheureusement pas duré très longtemps puisqu’il y a eu quelques complications lorsque Nick a fait irruption dans notre amitié. Autant dire qu’il a toujours eu le don de m’énerver celui-ci. En plus, je suis persuadé que Bradley et moi n’aurions eu aucun mal à nous entendre. C’est vrai que cette scène peut laisser penser le contraire mais ne vous fiez pas aux apparences. Nous ne sommes pas en train de nous battre, c’est déjà ça ! Plus sérieusement, j’ai pendant longtemps pris le jeune blondinet pour une personne avec qui je ne m’entends pas, une personne que je connais un peu mais que je ne désire pas davantage connaître. Ca ferait louche de nous voir rigoler ensemble du jour au lendemain non ? Enfin, je n’en ai jamais rien eu à faire du regard des autres même si j’adore quand on me regarde avec des gros yeux et qu’on m’envie au plus haut point. Cela dit, il n’était pas vraiment question du regard des autres. Je n’avais tout simplement pas envie que Bradley me prenne pour un mec chouette qui oublie du jour au lendemain. Je suis loin d’être rancunier il m’est très rare de faire la tête à une personne parce qu’elle à pu dire ça ou faire ça. Mais quand Nick est mêlé à une quelconque histoire je ne réagis pas de la même manière. A croire qu’en fait c’est lui qui me fait cet effet. C’est peut-être le cas en fait, sans doute parce que j’ai vraiment envie de lui faire comprendre qu’il n’y a pas de place pour sa petite personne dans ma vie, qu’il me l’a déjà assez gâché comme ça et qu’il ferait bien de construire sa vie de son côté plutôt que d’essayer de ruiner la mienne.

THOMAS : « Ta raison. Et peut-être bien que je n’ai pas envie d’en connaître davantage. »

Je lui jetai un regard avant de reprendre mon chemin en direction de l’extérieur du bâtiment. Cette phrase n’était pas faite pour le blesser ou blesser qui que ce soit mais vu qu’il semblait jouer de la situation ou de mes paroles, pourquoi ne pas en faire autant. Et puis, pour éviter les maux entendus, moi non plus je n’ai rien contre les personnes homosexuelles, bisexuelles où je ne sais quoi encore ! Pour tout vous dire, moi qui suis purement hétérosexuel, j’ai quand même eu une aventure avec un homme une fois. Et c’est loin d’être agréable, je ne désire pour rien au monde renouveler cette expérience. En plus de cela, ce n’était pas avec n’importe quel gars, non, c’était avec Tom Hamrey. Je me souviens encore de ce qui s’est passé ce soir là. En fait, c’était après que Soukaïna m’ait brisé le cœur en partant pour l’Europe avec ses jumeaux et son putain de mari. Je ne sais moi-même pas ce qui m’a pris en cette fameuse soirée mais les choses sont allées si vite. Il était à côté de moi et moi, étant un homo, je le méprisais et je m’en amusais à le ridiculiser en public mais durant cette soirée, ma vision des choses et de ces personnes a complètement changé voilà pourquoi quelques heures plus tard on s’est retrouvé chez lui. C’était une expérience, pas vraiment sympathique mais une expérience tout de même. Quelque chose qui reste entre lui et moi et au fond, même si ça se sait un jour ou l’autre – ce qui risque d’être le cas – je m’en fiche un peu. Après tout, je suis persuadé que ce n’est pas pour ça que les filles vont moins m’aimer, bien au contraire.

BRADLEY : « Thomas je te suis depuis deux jours, j’ai appris ton emploi du temps par cœur pour enfin te croiser aujourd’hui ! »

Le voyant rire, je ne pu me retenir aussi de rire mais mon rire fut moins long que le sien puisqu’au fond, ça devait être plus drôle pour lui d’avoir dit ça. Je secouai la tête puis nous arrivâmes à l’extérieur et j’allai m’assoir sur une table en pierre près de la cour déposant mon sac parterre.

THOMAS : « Et après c’est toi qui dis que si tu étais une nana, même pas tu poserais les yeux sur moi ? Permets-moi d’en douter. Et évite de faire ça à l’avenir tu veux ? J’ai déjà suffisamment de paparazzis à mes trousses ! »

Oh oui les paparazzis ! Qu’est-ce que je pourrais les étrangler ou pire ceux-ci ! Je ne veux pas dire par là que de voir ma face dans des magasines people ou des affiches me rend fou, bien au contraire, c’est toujours ce dont j’ai rêvé mais d’être constamment traquer par des photographes, nom de Dieu que c’est énervant. Comme si les filles qui me traque ne me suffisent pas… Mais je savais bien que Bradley ne m'avait pas suivit depuis deux jours sans quoi je l'aurais déjà remarqué et puis, c'était une plaisanterie, encore heureux !

HJ: Désolé pour l'attente.
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