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Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn

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MessageSujet: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyDim 28 Fév - 19:18

Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Mangokulfi_s2-11-194c1f2 Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Shantel-vansanten...-100-100-194c202
Le sexe n'est pas une réponse. Le sexe est une question. Et la réponse est : "oui"
Steve Martin

    Far away
    This ship is taking me far away
    Far away from the memories
    Of the people who care if I live or die

    Elles étaient là, les paroles de cette chanson de MUSE qui résonnaient dans toute ma grande maison. En ce dimanche après-midi, j’étais seul chez moi, la musique à fond et je surfais sur le net. A vrai dire, les dimanches, il n’y a jamais bien grand-chose à faire. Bien qu’au départ mon après-midi était censée se passer autrement, il avait fallu qu’il pleuve abondamment et que ma sortie soient annulées. En effet, n’étant pas du genre à rester enfermer chez moi, la veille, j’avais prévu d’aller faire une sortie à la plage en compagnie d’une fille que j’avais rencontré la veille lors d’une soirée organisée dans le centre ville de Berkeley. Même si le présentateur de la météo avait annoncé du beau temps, apparemment, il s’était bel et bien trompé. Alors que je surfais sur youtube tout en étant connecté à facebook, je vis Mackenzie se connecter et j’allais lui parler histoire de garder contact. Nous échangeâmes quelques mots avant qu’elle ne me demande de passer chez elle parce qu’elle avait quelque chose d’important à me dire. Je ne savais pas du tout la chose qui lui était si importante et je dois dire que la façon dont elle récita la chose me fit légèrement paniquer. Je lui écrivis à plusieurs reprise dans le chat de facebook mais malheureusement, je n’eus droit à aucune réponse de sa part. Je ne perdis pas plus de temps inutilement.

    Je pris juste le temps de monter à l’étage et d’aller prendre une douche ne m’étant pas encore habillé de la journée. Quelques minutes plus tard, je sortis de la salle de bain et retournai dans ma chambre afin de m’habiller. Comme à mon habitude, j’optai pour quelque chose de classe mais de décontracté à la fois. Je sortis un jean foncé et légèrement troué à la hauteur de mes genoux. Evidemment, ils étaient troués intentionnellement. Puis, je pris un t-shirt noir sur lequel j’enfilai rapidement une chemise de couleur beige. Elle était de la marque Hemerson, ce contrat que je venais de signer pour en être l’égérie masculine. Je pris mon portable ainsi que mes clés de voiture et je me dirigeai vers l’enceinte des ALPHA.
    Ayant suffisamment d’argent pour avoir ma propre maison, je ne vivais pas à côté de l’université comme la plupart des étudiants. Le voyage me pris plusieurs minutes mais j’en profitai pour me passer un vieux disque des années 80. Du rock évidement !

    Il était 14 heures quand j’arrivai enfin à l’université. Je me garai le plus proche de l’enceinte des ALPHA puis, je me dirigeai vers celui-ci. Je rencontré de magnifiques demoiselles qui m’adressèrent toutes, pour la plupart, de charmants sourires. La plupart de ces filles étaient déjà un jour ou l’autre passer dans mon lit. Certaines ne s’en souvenaient même pas étant trop bourrée la fois où nous avions couché ensemble. Dommage pour elles, elles ne savent pas ce qu’elles ont oublié. Je pénétrai dans la demeure et montai à l’étage. Je connaissais parfaitement bien le chemin amenant à la chambre de Mackenzie ayant tout de même l’habitude de l’emprunter. Après tout, elle moi partageons ce lien si étrange. En effet, à chaque fois que nous sommes ensemble, c’est bizarre mais nous terminons dans le même lit.
    J’arrivai devant la porte de sa chambre et je frappai à celle-ci tout en attendant à l’extérieur. Je n’avais vraiment pas la moindre idée de ce dont elle voulait me parler mais je n’en restais pas moins intrigué. J’espérais surtout que ce n’était pas grave. Je la voyais bien me dire « Thomas, je suis enceinte… de toi ! » Ah non, je l’ai déjà vécu cet épisode là. Enfin, il ne s’est pas exactement déroulé de cette manière là mais peu importe, je ne demande pas à revivre quelque chose de semblable de toute façon.
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MessageSujet: ai Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyDim 28 Fév - 21:19

Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Icons1moi Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Qpq99h

    « on ne sait pas pourquoi, on ne sait pas comment,
    mais on finit toujours par coucher ensemble. »


      " To make a mountain of, your life is just a choice
      But I never learned enough to listen to the voice that told me
      Always love, hate will get you everytime
      Always love, don't wait 'til the finish line
      "

    Mackenzie détestait les dimanches après-midi, et particulièrement quand il pleuvait comme aujourd'hui. Elle était sensé sortir avec quelques uns de ses amis et finalement, ça avait été annulé à cause de ce temps de merde. Elle se retrouvait donc seule dans sa chambre, avec uniquement son ordinateur portable, puisque celle qui partageait sa chambre était partie en week-end. Heureusement qu'il était là lui d'ailleurs son PC, sinon je pense qu'elle serait déjà morte d'ennuis. Ecoutant l'une des chansons de Nada Surf, Mackenzie se connecta sur Facebook. A peine quelques minutes passèrent et Thomas Johansten vint lui parler. Tout deux étaient lié d'une amitié assez étrange. En effet, à chaque fois qu'ils se croisaient, se voyaient, ils finissaient par coucher ensemble. Phénomène étrange et inexplicable. C'était une pulsion incontrôlable. Il l'attirait, elle l'attirait. Quoi qu'il en soit, Mack fut ravie qu'il vienne lui parler. C'est alors qu'après avoir échangé quelques mots, une idée traversa l'esprit de la belle brune. Une idée assez tordue je dois dire. Que peut-on faire un jour de pluie? Resté à la maison, évidement. Et comment faire pour rester chez soi tout en ne s'ennuyant pas? Être à deux, c'est aussi évident. Elle lui demanda donc de passer chez elle, prétextant qu'elle avait quelque chose d'important à lui dire, qu'elle devait absolument le voir et lui parler. Après lui avoir dis cela, elle mis fin à leur discussion. Thomas continua de lui parler, lui posant des questions sur ce qu'elle lui voulait, mais elle ne répondit pas. Elle partit se préparer. Il allait sûrement pas tarder.

    Elle fit un tour dans sa salle de bain. Elle prit rapidement une douche puis revint dans sa chambre pour choisir sa tenue. Elle prit d'abord le nouvel ensemble de lingerie qu'elle s'était achetée il y a une semaine. C'était un string et un soutien-gorge rouge assez sexy je dois dire. Elle enfila cela, puis elle décida de faire simple; elle prit un short en jean de son armoire et une chemise rouge à carreaux et à manches courtes. Il faisait froid, certes, mais sa chambre était bien réchauffée. Elle refit ensuite un petit tour dans sa salle de bain histoire de se maquiller et de se coiffer. Enfin prête, quelqu'un toqua à la porte. Ça devait sûrement être lui. Elle se regarda une dernière fois dans le miroir puis alla lui ouvrir la porte. Elle s'écarta pour le laisser entrer, lui déposé un baiser sur la joue puis referma la porte. Il avait l'air préoccupé, c'est sûrement ce qu'elle lui avait dit qui lui faisait cet effet.

    « Alors la star du cinéma, tu va bien? Ça fait un moment que je ne t'ai pas vu... » Mackenzie lui sourit.
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyLun 1 Mar - 19:46

Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Mangokulfi_s2-11-194c1f2 Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Shantel-vansanten...-100-100-194c202
Le sexe n'est pas une réponse. Le sexe est une question. Et la réponse est : "oui"
Steve Martin

    Je suis loin d’être le genre de garçon à se faire des films. Pour tout vous dire, je prends la vie comme elle vient, je suis plutôt quelqu’un de relaxe qui prend tout au second degré comme mes études par exemple. Enfin, c’était surtout le cas avant que je ne parte à New York. En effet, l’an dernier, quand j’étudiais le droit, c’était loin d’être la branche que je préférais. Si je m’étais orienté dans cette branche, c’était surtout parce que c’était ce que ma mère voulait. Après tout, c’était Madame Johansten qui avait payé mes études et si je voulais pouvoir intégrer l’université, il fallait que quelqu’un puisse me payer mes études. J’étais persuadé qu’en choisissant un autre cursus, ma mère allait ramener ses belles paroles que d’habitude elle se les garde bien. C’était comme Nick, mon frère jumeau. Lui qui poursuit des études de médecine. Des études qui lui réservent un excellent avenir brillant – tout comme ma mère si on enlève le côté familial. A la différence, Nick a toujours voulu s’orienter dans cette direction. Moi, ce qui m’intéressais vraiment, c’était de devenir acteur, devenir une personnalité importante. Être reconnu dans la rue, faire en sorte que les jeunes femmes se retournent à mon passage et crie mon nom en me sautant dessus avec à la main un stylo pour que je leur signe un autographe où bon leur semble. C’était cette seule et unique chose qui m’intéressait. La popularité pour être un peu plus direct.
    Même si je suis populaire depuis… quasiment toujours, j’ai toujours éprouvé ce besoin de me faire remarquer parmi une foule de personnes toutes différentes - ou semblables – les unes des autres. Mon ancienne meilleure amie, qui à l’époque étudiait la psychologie s’était permise d’entrer dans ma tête et d’analyser ce comportement. Elle en avait déduit que j’avais tellement manqué d’affection dans mon enfance que j’en cherchais aujourd’hui partout. Pour tout vous dire, je ne sais pas si elle a tord ou raison mais sans doute qu’il y a un peu de vrai dans ce qu’elle en a déduit.

    Et là, devant cette porte, je me fais certains films. Entre autre des éléments que Kenzie pourraient m’avouer et qui changerait à jamais ma vie. J’avais déjà vécu cet épisode en compagnie d’Aislynn, une fille, une charmante pompom-girls avec qui j’avais couché avant de partir à New York. A mon retour, on s’était rapidement croisé sur le toit de l’université et alors que je m’apprêtais à user encore une fois de mon charme, elle m’avait sortit cette nouvelle à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Je l’avais mise enceinte. Autant dire que cette phrase eut l’effet d’une bombe si bien que j’en avais même oublier de respirer ce qui s’était très vite sentit lorsque je commençai à me sentir mal. Même si je connais les risques que je cours en couchant avec une femme différente presque chaque soir, je dois dire que le fait de mettre une fille enceinte est sans doute la pire des choses qui pourraient m’arriver. Je n’ai même pas peur de chopper un foutu virus ou autre, ou du moins, cela me fait moins peur que de devenir père. Je n’arrive déjà pas à me gérer alors comment ferais-je avec un gosse sur les bras ? Autant dire que c’est mission impossible. De plus, ayant moi-même vécu une enfance des plus difficiles sans père, je ne voudrais en aucun cas offrir cette vie à qui que ce soit, même à mon meilleur ami.
    Complètement perdu dans mes pensés, je n’entendis pas la démarche féminine s’avancer vers la porte ci-bien que je fus surpris lorsque la porte de la chambre de Mackenzie s’ouvrit. Je la regardai et lui rendit son sourire. Les mains dans les poches de mon jean, je m’avançai dans sa chambre tout en l’écoutant.

    MACKENZIE : « Alors la star du cinéma, tu va bien? Ça fait un moment que je ne t'ai pas vu... »

    Mackenzie et moi sommes amis depuis un certains temps et c’est vrai que nous nous sommes installés dans cette routine qui consiste à se voir régulièrement mais depuis mon retour à Berkeley, il est vrai que je lui ai consacré bien moins de temps. Il faut dire que depuis que je suis devenu une star, je suis très demandé. Mais bon, sans prétention, à Berkeley je suis déjà une star depuis bien longtemps.

    THOMAS : « Très bien ! Et toi, jolie demoiselle ? Ouais, vois-tu, étant une star, je suis plutôt pas mal demandé. » fis-je avec une pointe d’humour puis, je me tournai une nouvelle fois vers Kenzie.

    THOMAS : « Alors, c’est quoi le truc super important que tu voulais me dire ? Pitié, si c’est pour me dire que tu es enceinte, laisse-moi sauter par la fenêtre avant. » répondis-je en faisant allusion à la nouvelle qui avait déjà traversé toute l’université du fait de la grossesse d’Aislynn, enfant qu’elle avait perdu à la suite d’un accident. Et bien heureusement d’ailleurs !
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyMer 3 Mar - 21:32

    Il y avait une question que les gens se posaient souvent à propos de Mackenzie; pourquoi faisait-elle partie de la confrérie Alpha? Je dois dire que c'est une bonne question. En effet, pourquoi pas la confrérie Bêta, Oméga, Iota, Sigma ou encore Epsilon? Celles-ci auraient très bien pu lui correspondre aussi. Il est vraie que Mackenzie a l'intelligence d'une alpha, mais elle a également le charme et le physique d'une bêta, l'esprit fêtard et déluré d'une oméga, le côté sportif et compétitif d'une iota, la fortune et la classe d'une epsilon, le talent de photographe d'une sigma... Mais voilà. Même si elle avait hésité à faire son choix au début, surtout entre Oméga et Alpha, elle avait finalement décidé de faire partie de la dernière, car elle avait privilégié le naturel au superficiel, ainsi que ses études et par conséquent son avenir. En effet, la belle brune avait un but dans sa vie, un rêve de petite fille, devenir un jour avocate, qu'on l'appelle non plus Wordenn, mais Maitre Wordenn. Et en plus, ça sonne plutôt bien non? (a) Enfin bref, c'est pour cette raison qu'elle avait voulu intégrer les Alpha, pour rester sérieuse dans son travail, parce qu'elle savait très bien qu'en étant avec des fêtards tout le temps, elle aurait mis ses études de côté et serait sortie tous les soirs; déjà que maintenant elle est souvent dehors...

    Peu de temps après qu'elle lui ait demandé de venir, Thomas débarqua chez elle. Il était beau, comme à son habitude. Que voulez-vous? On a la classe ou on ne l'a pas, et lui, il l'a, tout simplement. Après que Mack ait lancé la conversation, il lui répondit, ce qui fit bien rire la belle.

    « Oh oui oui ça va merci ! Et bin alors je devrai me réjouir que le grand, le beau, le merveilleux Monsieur Johansten m'accorde quelques minutes de sa vie ! » Et elle continua à rire. Elle alla vers le petit frigo qu'il y avait dans la chambre et en sortie des bières et des jus de fruits, selon ce qu'il voudrait boire. Elle se releva ensuite, entendant qu'il revenait sur leur conversation de tout à l'heure... Elle s'approcha de lui, lui sourit lorsqu'il parla de femme enceinte, puis elle répondit.

    « Non rassure toi, tu n'auras pas besoin de sauter, je serai trop triste de te perdre, et toutes tes groupies aussi... Non c'est quelque chose d'un peu plus agréable que ça, enfin j'espère que ça l'est pour toi du moins... » Elle s'approcha encore de lui, jusqu'à ce qu'ils soient l'un contre l'autre.
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyDim 7 Mar - 16:28

Ca aurait été n’importe quelle autre fille, probablement que je n’aurais pas pris sa demande au sérieux et je serais resté chez moi à surfer sur le net et à manger des cochonneries devant mon écran d’ordinateur mais Mackenzie était aussi une amie et je ne pouvais pas lui faire un coup pareil. Sans compter que depuis que j’avais appris cette nouvelle avec Aislynn, j’étais devenu en quelque sorte un peu parano. Imaginez un peu la scène que dans quelques années, une fille débarque avec à sa main, un petit garçon ou une petite fille et qu’elle me dise « Thomas je te présente ton/ta fils/fille ». Sincèrement, depuis que j’avais appris avoir mis cette fille enceinte, je m’imaginais tous les scénarios possibles. Même si ce n’est qu’une vieille histoire et que je ne risque pas d’être père étant donné qu’elle a perdu le bébé en chutant dans les escaliers cependant, elle a bien attendu une année avant de m’annoncer cette nouvelle. D’accord, j’étais partit pour New York entre temps mais c’était pas comme si j’avais disparu de la surface de la planète. J’étais joignable presque à n’importe quel moment mais non, elle avait préférée laisser se dérouler une année avant de me l’avouer. Alors, qui ne me dit pas que je n’ai pas mis une autre fille enceinte auparavant et que celle-ci ne m’a encore rien dit mais qu’un jour ou l’autre, elle va débarquer pour me le dire et me réclamer du fric ? Ouais, enfin, d’un autre côté, je crois que si c’était le cas, ce fille se serait présentée maintenant. Car après tout, c’est maintenant que je suis devenu populaire et c’est maintenant que je suis devenu millionnaire donc ce serait stupide d’attendre. Mais bon, avec la mentalité de ces femmes, on sait jamais après tout. Il faut s’attendre à tout !

Je venais de frapper à la porte de sa chambre et je croisai plusieurs jeunes femmes dans les couleurs. Toutes ces filles étaient à tomber. Enfin, la plupart. Quelques unes avaient cette tête d’intello. N’empêche, sans leur lunette, avec un peu de maquillage, des fringues un peu moins amples, elles seraient sans doute magnifiques. Mais non, certaines d’entre elles préféraient s’obstiner dans leur étude et n’négliger ce qui peut être bien comme le sexe, l’alcool et les sorties. Heureusement, Kenzie est loin d’être ce genre de fille et sans doute que si elle avait été comme ces filles, je ne la connaitrais pas car je ne me serais jamais intéressé à elle.
Celle-ci me fit entrer dans sa chambre et c’est là qu’on débuta notre conversation.

MACKENZIE : « Oh oui oui ça va merci ! Et bin alors je devrai me réjouir que le grand, le beau, le merveilleux Monsieur Johansten m'accorde quelques minutes de sa vie ! »

THOMAS : « Oui, tu peux. Je ne suis pas comme ça avec tout le monde. » fis-je en plaisantant.

Puis, il y avait eu cette question qui me trottait dans la tête. Pourquoi voulait-elle absolument me voir ? Elle m’aurait simplement dit ça en m’envoyant un message sur mon portable et en me répondant que je verrais bien pourquoi en venant la voir, j’aurais compris là où elle voulait en venir mais là, je m’étais posé de nombreuses questions n’ayant eu aucune réponse après toutes les questions que je lui avais posées à la suite de sa demande.

MACKENZIE : « Non rassure toi, tu n'auras pas besoin de sauter, je serai trop triste de te perdre, et toutes tes groupies aussi... Non c'est quelque chose d'un peu plus agréable que ça, enfin j'espère que ça l'est pour toi du moins... »

Je la regardai me posant certaines questions mais lorsque celle-ci se rapprocha de moi à être carrément contre moi, je compris parfaitement où elle voulait en venir et je ne pus m’empêcher de sourire plutôt satisfait. Oui, j’étais content d’avoir fait le déplacement pour venir la trouver car je savais parfaitement comment la suite des événements allait se dérouler. En même temps, c’était toujours pareil entre elle et moi alors ça ne m’étonnerait pas du tout que cette fois-ci aussi soit pareille. On allait sans doute coucher ensemble pour au moins la dixième fois si ce n’est pas plus.

THOMAS : « D’un peu plus agréable, oui, c’est exactement ça. »

Je la regardai dans les yeux et respirai son parfum que je connaissais parfaitement bien à présent. Je déposai l’une de mes mains sur ses hanches et la rapprochai encore un peu plus de moi.
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyLun 5 Avr - 18:03

    La relation de Mackenzie et Thomas était assez étrange. A la base, ces deux là étaient amis, seulement amis et rien d'autre, même si ils étaient attirés l'un par l'autre. Il ne s'était rien passé. Mais le fait est qu'un jour, ils sont allés plus loin et depuis, ça ne cesse de recommencer encore et encore, chaque fois qu'ils se croisent, qu'ils passent du temps ensemble, qu'ils se retrouvent tous les deux quelque part... Forcément quand on prend gout aux bonnes choses, difficiles de s'en défaire. C'était le cas pour eux deux. Ils avaient couché ensemble une fois, et quelle fois ! C'était assez merveilleux. La combinaison de l'expérience qu'ils avaient acquis tous les deux chacun de leur côté au cours des années avait rendu la chose magique. Pourtant, qui l'aurait dit? C'est vrai, faire l'amour avec un ami, ça n'a rien de bien passionnant si on regarde, c'est même assez bizarre. Bon d'accord, la première fois, ça peut être excitant. C'est quelque chose qui vous travaillait depuis longtemps et vous passez à l'acte pour voir ce que ça donne et parce que vous n'arrivez plus à contrôler vos pulsions. Mais quand on remet ça une deuxième, puis une troisième, une quatrième et une cinquième fois, et ainsi de suite, c'est moins banal, c'est tout de suite plus étrange aux yeux des autres. Et pourtant, eux, ils adoraient ça. Ils ne s'en lassaient pas. Ils savaient que c'était du sexe, simplement et purement du sexe, sans amour et sans envie de fonder quelque chose ensemble, c'est peut-être ça qui les attiraient autant, sûrement même. En tout cas, Mackenzie savait qu'elle pourrait toujours compter sur Thomas. Elle avait beaucoup de chance, elle en était consciente. Cet homme a en lui toute sorte de qualité, à commencé par son physique de rêve. Comment ne pas être attiré par lui? Comment ne pas lui céder?

    Thomas se tenait debout, Mackenzie était contre lui. Elle avait envie de lui, plus elle était proche de lui, mieux elle se sentait. De plus, il lui avait suffit de parler un peu pour qu'il comprenne où elle voulait en venir ce soir là. Si ce n'est pas ça la complicité ! Enfin bref. Thomas posa l'une de ses mains sur les hanches de la belle, quand à elle, elle passa ses bras autour du coup de Johansten, en passant par moment ses mains dans ses cheveux, toujours aussi doux et beaux, d'ailleurs. Elle se rapprocha alors de son oreille et lui chuchota:

    « Tu sais bien que les acteurs ont toujours été mon fantasme... Surtout quand ils ont ta beauté. Et grâce à toi, Johansten, je peux le réaliser, mon fantasme, et pas une, pas deux, mais des dizaines de fois... » Puis elle lui déposa tendrement un baiser dans le coup, qui vira sur sa bouche. Baiser fougueux, comme toujours.
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyLun 5 Avr - 19:23

    C’est plutôt étrange mais, même si je suis là, dans la chambre de Mackenzie et que je me pose pleins de questions, surtout le pourquoi du comment elle m’a demandé de venir. Au fond de moi, je me doute que ce n’est rien de grave. Et puis, lorsque j’ai franchis le seuil de la porte, je me suis tout de suite rendu compte que tout allait bien et ce fut d’ailleurs un grand soulagement. Car malgré tout, même si je ne connais pas énormément de choses sur Mackenzie, c’est avant tout une amie. Ce n’est pas parce que nous passons notre temps à coucher ensemble que derrière toute cette mascarade il n’y a rien. A vrai dire, on peut résumer notre lien « d’amitié améliorée ». Je pense que si j’avais dit ça il y a plusieurs années en arrière, tous le monde m’aurait regardé avec de gros yeux et se seraient demandé de quoi je parlais mais de nos jours, c’est très courant. Coucher avec sa meilleure amie, avec sa cousine ou pourquoi pas sa sœur pendant qu’on y est ? Oui, ce genre de nouvelles ne surprend plus personne actuellement. Personnellement, si j’avais une sœur, je ne pourrais jamais m’imaginer coucher avec, déjà parce que c’est dégoûtant et aussi parce que… c’est dégoûtant ! La jeune Wordenn est loin d’être ma meilleure amie et je suis loin d’être son meilleur ami. Je pense même que je n’ai pas du tout les caractéristiques qu’elle peut rechercher chez un garçon pour qu’il devienne son meilleur ami. Je ne sais même pas si elle compte dans ses amis une personne différente, une personne à qui elle raconte sa vie et ses petits secrets. Je n’en ai pas la moindre idée pour la simple et bonne raison que notre relation s’est toujours arrêtée au sexe. D’accord, malgré tout, nous sommes amis. J’irais même jusqu’à dire que nous sommes de bons amis mais nous sommes encore loin de nous raconter notre vie. Je ne le fais déjà pas à mon meilleur ami alors ce n’est pas pour le faire à Mackenzie et au fond, est-ce que ça l’intéresserait vraiment de connaître les moindres détails de ma vie ? J’en doute, j’en doute…

    Alors oui, même si je suis loin de la connaître, je sais ce qui va se passer ensuite. De plus, en entrant dans la pièce, j’avais senti cette odeur d’orange mélangée à je ne sais quel autre substance. C’était clair qu’elle venait de sortir de sa salle de bain. Ce n’est qu’un simple détail, mais c’est aussi un détail qui peut avoir toute son importance lorsque l’on y réfléchit bien. Je n’attendis par ailleurs pas bien longtemps avant de voir que j’avais parfaitement raison. Comme quoi, on me prend parfois pour un idiot mais au fond, j’ai un bon raisonnement qui fait ses preuves lorsque c’est nécessaire.

    MACKENZIE : « Tu sais bien que les acteurs ont toujours été mon fantasme... Surtout quand ils ont ta beauté. Et grâce à toi, Johansten, je peux le réaliser, mon fantasme, et pas une, pas deux, mais des dizaines de fois... »

    Je ne pu m’empêcher de sourire légèrement face à cette remarque. Conscient de ma popularité en tant qu’acteur et de ma beauté, je ne peux qu’imaginer ce que ressent Mackenzie. Dire qu’elle a la chance de coucher avec moi. Et comme elle venait de le citer, ce ne serait pas la première fois et ni la dernière fois. Au fond, beaucoup de jeunes femmes ont eu la chance de coucher avec moi et je pense qu’aujourd’hui, elles doivent bien s’en vanter devant leurs copines. Cette pensée ranima un léger sourire puis, je la laissai m’embrasser de ses lèvres douces et humides. Je prolongeai ce baiser en glissant mes mains le long de son corps parfaitement bien entretenu et sexy puis je m’avançai légèrement en la faisant reculer vers son lit.

    THOMAS : « Tu as de la chance d’en connaître un alors ! » répondis-je entre deux baisers avant de l’allonger gentiment sur le lit et d’enlever mon t-shirt pour le laisser tomber parterre et me dresser au-dessus des lèvres de ma partenaire.
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptyDim 11 Avr - 18:44

    Thomas était vraiment très attirant, très beau, très sexy, très tout.Je pense que tous les garçons rêvent d'avoir un physique pareil, et les filles d'avoir un partenaire tel que lui. Mackenzie craquait complétement pour Thomas, seulement physiquement bien sûr. Son petit côté prétentieux, fier, malin et le fait qu'il avait connu la célébrité plaisait beaucoup à Mack, et pourtant d'habitude, ce genre de personnes assez méprisantes l'agaçaient. Mais lui, c'était sa petite exception, celle qui confirmait la règle, comme on dit. Mackenzie trouvait même qu'elle avait la chance de l'avoir là, dans ses bras, tout proche d'elle. Bon n'exagérons pas non plus, ça n'aurait pas été lui, ça en aurait sûrement été un autre aussi beau, mais lui, c'était vraiment le top. Elle en était consciente. Avoir la possibilité de coucher quand elle le voulait avec un bel homme comme ça, elle pouvait s'en vanter, mais ce n'était pas son genre. Ses exploits au lit, elle les gardait pour elle, ainsi que le nom de ses conquêtes. C'était son jardin secret.

    Thomas était arrivé depuis moins de cinq minutes et pourtant Mackenzie était déjà allongée sur le lit, avec sur elle Thomas, qui venait de retirer son tee-shirt. Et oui, ils étaient très rapides ces deux-là, quand ils avaient envie de la même chose. Ils continuaient de s'embrasser. Mackenzie commença à déboutonner les premiers boutons de sa chemise, puis repassa ses mains derrière le torse de Johansten en le caressant par moment. Elle l'embrassait sur les lèvres, puis dans le coup, le lobe de l'oreille... Elle l'embrassa de nouveau et se laissa par moment, faire par Thomas.
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MessageSujet: Re: Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn Parce qu'il peut y avoir du sexe sans amour - PV Mackenzie Kendra Wordenn EmptySam 17 Avr - 17:16

    C’est vrai que j’ai toujours eu du succès auprès de la gente féminine et ce, depuis mon plus jeune âge. En effet, alors que je n’étais encore qu’un petit garçon de 5 ans, je draguais ma maîtresse d’école. C’était une charmante femme, un peu trop stricte à mon goût mais charmante tout de même. Par ailleurs, en repensant à elle, je me suis toujours demandé pourquoi elle ne s’était pas plutôt lancée dans une carrière bien plus valorisante que prof pour des gosses de 4-5 ans. Elle avait tout pour plaire, elle aurait très bien pu percer dans le domaine du cinéma voire dans la domaine du mannequinat j’en suis persuadé. Sans doute que tout cela n’est pas son truc. Enfin bref, comme je le disais, la première fille que j’ai draguée était beaucoup plus âgée que moi, pour être plus précis elle avait 19 ans de plus. Autant dire que je n’ai jamais fait plus fort que cela. Malgré tout, je dois bien admettre que j’apprécie les femmes un peu plus âgées. Ce n’est pas pour ce fait qui attire beaucoup d’autres hommes comme quoi c’est plus excitant de coucher avec une femme plus âgée parce qu’elle a plus d’expérience, de connaissance. Non, c’est loin d’être cette idée qui m’attire chez une femme plus âgée mais c’est plutôt son côté plus mure, plus réfléchit. Il n’y a qu’à prendre ces filles de l’université. La plupart courent après les t-shirt Hello Kitty ou les « jouets » Titi. Elles sont loin d’être toutes comme ça et bien heureusement. Par ailleurs, Mackenzie est loin d’être ce genre de fille, elle est plus réfléchit même si, vu nos passe-temps on pourrait en douter, c’est loin d’être son cas. Sa beauté m’a toujours attiré et je crois que si j’ai posé les yeux sur cette jeune brune, c’est tout d’abord grâce à ça. La première fois que je l’ai rencontré elle portait une mini jupe et je ne suis pas resté indifférent face à ses jambes sans aucune imperfection. Tous les hommes de l’établissement de Berkeley ont du succomber à ses magnifiques jambes mais malheureusement, certains ne peuvent pas se vanter d’avoir couché avec elle. Moi, si. Bien que je ne suis pas du genre à raconter les moindres détails se rapportant à ma vie sexuelle. De toute manière, tout le monde sait que je suis un coureur de jupons, tout le monde sait que je couche avec des filles régulièrement alors les détails ne sont pas vraiment nécessaires. L’essentiel est connu de tous.

    Je venais à peine d’arriver et moi qui avais pensé que ‘Kenzie avait quelque chose d’important à m’annoncer, je fus agréablement surpris de voir qu’elle allait parfaitement bien. Je me doutais que cette virée jusqu’à sa chambre allait nous amener à coucher ensemble, après tout, c’est ce que nous faisons à chaque fois. Comme si nous sommes reliés par un aimant, une obligation qui nous empêche de partir sans avoir accomplit cet acte. Peu importe les lieux, on trouve toujours un moyen de se rendre discrets aux yeux de la foule pour coucher ensemble. Cette situation est quelque peu bizarre je vous l’accorde mais elle n’est pas pour autant désagréable, bien au contraire.

    J’étais au dessus de Mackenzie qui était allongée sur son lit universitaire. Je retirai mon t-shirt pour le lancer quelque part dans la pièce puis je me penchai pour l’embrasser à nouveau. Je sentis la fraîcheur de ses mains sur mon torse et sur mon dos ce qui me donna un léger frisson qui ne dura pas bien longtemps étant trop concentré à faire autre chose. Je me laissai embrasser puis, je retirai la chemise que portait ma partenaire en la jetant aussi quelque part dans la pièce. Elle portait un magnifique soutien-gorge rouge en dentelle que je me permis d’admirer durant les brèves secondes avant de rejoindre ses lèvres. Continuant dans ce même rythme, je détachai ma ceinture ainsi que mon pantalon et le retirai lui aussi. Je fis glisser mes mains le long du corps de Mackezie en caressant chacune de ses formes puis je vins déposer quelques baisers sur la poitrine de celle-ci avant de faire glisser mes mains et de l’aider à retirer son pantalon. Comme à chaque fois, nous allions passer un excellent moment.
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