I can hardly breathe, You make me wanna scream ! && Bradley

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I can hardly breathe, You make me wanna scream ! && Bradley 000b0f9b

<< I want to drive you into the corner,

and kiss you without a sound. >>

Quand Chance se leva ce matin là, tout se passa comme d'habitude. Elle envoya valser son réveil contre le mur puis se hissa tant bien que mal au dessus d'Evan, un énième étudiant qui avait eu la chance de connaître la douceur des draps de satin. La jeune conseillère d'orientation ne savait pas encore que cette journée serait... particulière !

En arrivant à Berkeley, la jolie blonde se gara très mal. Elle n'avait jamais sut se garer correctement. La sonnerie ne tarderait pas à retentir, aussi, ses enjambées se firent plus grandes. D'ailleurs, l'anglaise manqua de briser ses talons Jimmy Choo ! Il est vrai qu'une jupe de tailleur Chanel, ce n'était pas très pratique pour faire de la course à pieds mais c'est tellement facile à enlever !

Une fois les élèves dans leurs salles de classe respectives, les couloirs de l'université étaient si calmes... Tout semblait désert... Vers huit heures du matin, errer telle une âme perdue était un des passes temps favoris de la Miss Macdrow ! Flâner pourrait devenir une véritable passion pour la belle ! Les pauvres chéris... Ils paraissaient fatigués, certains baillant ouvertement devant leur professeur de droit ou de sciences politiques.

Quelquefois, Chance se rendait à l'infirmerie afin de tenir compagnie aux malades. Le plus souvent, les maux se trouvaient être fictifs, simple motifs permettant aux plus malins de manquer les lois de Newton ou encore la Révolution française vue par les historiens.
L'infirmière, qui l'aimait bien, lui laisser un libre accès. Inutile de préciser que Sexy C ne manquait jamais une occasion de lui rendre un petite visite même si son travail n'était pas une tâche désagréable à ses yeux.

Sur la table d'observation se trouvait couché une silhouette masculine. Chance fit volte face et se dirigea au centre de la pièce puis obliqua sur la gauche afin de poser la question qui lui était venue à l'esprit.

CHANCE - Bonjour comment allez-vous ? Moi aussi je vais bien, c'est formidable ! Dites-moi, qui est ce jeune homme ?
L'INFIRMIERE - C'est Bradley, c'est sa troisième année d'études je crois.
CHANCE - Charmant...
L'INFIRMIERE - Chance reprenez vous, vous n'allez pas l'ajouter à cette si longue liste soyez raisonnable !
CHANCE - Calmez-vous ! Je n'ai encore rien fait !

Chance laissa l'infirmière à ses occupations et s'approcha du dénommé Bradley.

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I can hardly breathe,
You make me wanna scream !

Bradley lui avait une vie un peu moins débauché que celle de Chance il se leva pour une fois seul de son lit ne sachant pas trop ou était Plum, et oui aussi étonnant que cela soit Bradley avait maintenant une petite amie, la fidélité ? Et bien il s’en sortait encore un peu mais c’est vrai que les vestiges du passé, son aspect charmeur et dragueur faisait qu’il luttait avec lui-même pour ne pas tomber dans certains lits.
Bref maintenant qu’il n’avait plus à coucher avec des filles à droites à gauche, et surtout toujours des filles hors de l’université il dormait toujours dans sa chambre ici à Berkeley. Et vous l’aurez deviné quand on dort dans une chambre à deux cent mètres à vol d’oiseau de son université, on n’arrive jamais en retard et on a beaucoup plus de temps pour faire du sport.

Le sport, voilà un mot qu’il n’avait plus rencontré depuis maintenant quelques semaines, Bradley se remettait d’une blessure au dos, son docteur lui avait formellement interdit de faire du sport et encore moins du basket son sport de prédilection. Mais ce matin enfin prenait fin cette restriction, et comme si Dieu existait son professeur de droit était absent ce qui voulait dire pas cours de la matinée. Vous avez donc tout de suite compris ce qu’il allait faire ce matin non ? Et bien pour les moins perspicaces d’entre vous Bradley va jouer au basket avec ses amis. Amis qui eux n’ont jamais cours, enfin qui n’y vont jamais.
Il prit donc son petit déjeuner rapidement puis s’habilla ce qui lui prit un peu plus de temps, Bradley aimait plaire et donc prenait beaucoup soin de son apparence, sa passait donc par une belle coiffure, et un beau style vestimentaire, ok il serait habillé sportif mais sportif classe.

Une fois prêt et partit de chez lui il arriva enfin sur le terrain de basket, celui de l’université ou l’attendait 5 amis à lui pour faire un petit trois contre trois, la partie favorite de Bradley, seul problème ils avaient tous l’habitude de jouer dur, un peu trop dur parfois, mais bon le dos de Bradley était opérationnel aujourd’hui avait dit le médecin donc il ne devrait y avoir aucuns problèmes sauf que…
Au premier engagement Bradley saute au moment ou un autre saute et lui tape involontairement dans le dos et là c’est le drame, une douleur atroce s’empare de tout son corps, il tombe au sol n’arrivant quasiment plus à bouger, la douleur est pire qu’avant et le match n’est déjà qu’un lointain souvenir, le futur proche pour le jeune Américain c’est l’infirmerie.

Ne pouvant que très mal marcher c’est un collègue à lui qui le soutient pour aller vers l’infirmerie, une marche très spéciale ou étrangement Bradley boite alors qu’il n’a pas mal à la jambe, bred une douleur qu’il n’arrive pas à décrire, et surtout la haine envers son docteur qui ne la pas correctement soigné.
Une fois arrivé à l’infirmerie la première question de l’infermière fut « C’est pourquoi », et Bradley qui souffrait pas mal et qui était passablement de mauvaise humeur lui annonça avec un faux air joyeux « C’est pour danser normal dans une infirmerie non ? ». Fort heureusement pour le jeune blond l’infirmière devait avoir l’habitude de se genre de réflexion puisqu’elle ne broncha pas et l’installa sur un lit, lui donnant un médicament qui devait le faire dormir et surtout passer la douleur.

Il était un peu défoncé quoi ! Quand tout à coup la conseillère d’orientation entra dans la salle, que pouvait-elle bien faire là ? Première chose qui vint à l’idée de Bradley fut qu’elle venait voir la véracité des maladies, il devait tellement y avoir d’élèves qui venaient ici pour faire péter, inventant telle ou telle maladie imaginaire.

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<< I want to drive you into the corner,

and kiss you without a sound. >>

C'était un beau jeune homme. Ses vêtements laissaient deviner une musculature agréable à regarder. De taille assez grande, beaucoup plus imposante que celle de la conseillère d'orientation, l'étudiant avait lui aussi des cheveux blonds et des yeux clairs. Ses traits étaient charmants, son sourire devait certainement en être tout autant.

Crispé, le bel inconnu souffrait ou, du moins, semblait souffrir. Aussi, Chance s'adressa à l'infirmière et s'enquit de son état. Cette dernière lui demanda de s'occuper de lui car le travail l'accablait !
On ne s'improvise pas infirmière comme on s'improvise vendeuse de chaussures ! Tant bien que mal, l'anglaise tenta de se remémorer ses vagues souvenirs de cours de science et vie de la Terre. Elle aurait dû écouter le professeur au lieu d'embrasser son voisin !

D'un air faussement gêné, la petite blonde demanda à Bradley ce qui lui était arrivé. Celui-ci lui conta une histoire de basket, de blessure au dos renouvellée, etc... Du véritable chinois, de nombreux - trop nombreux - termes techniques et scientifiques propres à la médecine...
Après quelques minutes de réflexion, elle aida le sportif, à en juger par son style toutefois classe, à s'assoeir dos à elle. Une marque violacée zébrait la peau fine du dit "Mr. Cooper". La jeune femme avança un doigt vers lui. Son index zigzagua pour atterir au creux des reins, ce qui fit frissoner le patient. La coupable s'excusa. Etait-il chatouilleux ?

Je t'ai fait mal ?

Ne voulant pas l'inquièter, ce n'était pas son but, souvenez-vous, elle lui indiqua que tout irait bien. Afin de vérifier son état générale, Chance fit le tour de la table d'observation et se plaça face à son interlocuteur dont elle n'avait toujours pas entendu la voix.
Très professionnelle, son regard se porta sur les bras, le cou, le visage ou encore le torse de la "victime". A part cette marque dans le dos, tout semblait normal. Aussi, en posant ses deux mains sur les épaules nues du jeune homme, la salvatrice l'aida à s'allonger. L'impact fut électrique.

Cette fois, elle ne voulait pas être trop direct. C'est ainsi que l'âme dévergondée trouva un autre chemin dans le but d'assouvir sa soif de curiosité.

Tu as peut être une petite amie à prévenir ? Veux tu que je la fasse venir ? Il me suffit juste de son nom.

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I can hardly breathe,
You make me wanna scream !

Il est vrai que les vêtements que Bradley portent lui permettent facilement de mettre en valeur son corps, il triche un peu c’est vrai il n’a pas la musculature de Stalonne ou autre personne vraiment très caisses, il à tout simplement ce qu’il faut ou il faut et il en joue beaucoup. Il ne suffit pas d’être beau pour plaire, et même j’irais plus loin il n’y a pas besoin d’être beau pour plaire il suffit simplement de savoir mettre en valeur les atouts que l’on a. Pour Bradley c’était plus simple il avait la chance d’avoir les cheveux clair et les yeux clairs, pas bleu à son grand regret mais clair, un peu de bronzage et tout ça ressortait.
Ensuite il prenait quelques vêtements un peu trop serré pour sa taille et hop au premier coup d’œil on pensait qu’il était fort musclé, de la triche oui mais il faut bien répondre aux jeunes femmes qui elles ont toutes une panoplie de triche, pour n’en citer que certains on pourrait parler du maquillage qui permet de cacher certains défauts et de mettre en avant certains traits du visage, les soutien gorge rembourré qui font maintenant une percé dans le monde de la vente et qui sont purement une arnaque !

Bref vous l’aurez compris, dans un monde ou l’apparence fait loi il faut travailler cette apparence et Bradley sait très bien s’y prendre. Enfin avouons une chose au moment précis ou je vous parle il est allongé sur un lit pourrit de l’infirmerie et il souffre pas mal, donc vous l’aurez deviné son apparence il s’en tape un peu. Il avait une douleur assez importante mais forte heureusement le cachet faisait très vite effet il ne ressentait plus la même douleur, il savait ou il avait mal mais c’était un peu moins fort. Seul gros problème il avait l’impression de planer, c’était l’effet secondaire du médicament, il ne fallait pas conduire, et surtout rester coucher ce que Bradley était forcé de faire puisqu’il n’arrivait plus à se lever.
Il pensait pouvoir tranquillement s’endormir quand la conseillère d’orientation s’avança vers lui, que lui voulait-elle ? Toute manière il n’avait pas cours elle ne pourrait lui reprocher de simuler pour éviter tel ou tel cours de droit. Mais non étrangement elle commença à l’ausculter, lui demandant d’ôter son t-shirt, ce que Bradley fit bien qu’il fut un peu réticent, pas la peine de le foutre quasiment à poil pour toucher le bas du dos non ?

Bref il était maintenant torse nu, assis et dos à la jeune femme qui lui touchait des parties du dos ou il n’avait pas mal, la jeune femme posa son doigt sur une marque qu’elle qualifia de zébré et violacé, en faite c’été une ancienne cicatrice d’une opération qu’il avait subit étant jeune. Cette cicatrice ne lui faisait pas du tout mal mais c’était un point très sensible, surement trop sensible voilà pourquoi il frissonna légèrement. Autant vous dire quelque chose, lui qui avait l’habitude de se retrouver nu devant des femmes, certaines même plus vieille que lui, n’était pas forcement à l’aise à l’instant ou je vous parle.
Quand elle lui demanda si elle lui avait fait mal il lui fit un signe de la tête, le signe voulait dire non, comment voulait-elle lui faire mal alors qu’elle n’appuyait pas du tout ou il avait un problème, en gros elle ni connaissait rien et sa se voyait mais que voulait elle vraiment .

Quand elle passa devant lui il ne put qu’admirer son décolté plongeant, que voulez vous ce n’est qu’un homme et quand une femme est un peu penché devant lui laissant apparaître une poitrine généreuse il ne peut que jeter un coup d’œil, mais attention un simple coup d’œil pas le style de mec qui bave comme un gros porc, Bradley savait se tenir.
Une fois rallongé il pensait en avoir finit avec cet étrange Check-up, elle ne devait rien savoir sur son état, sur son dossier médical, sur ses antécédents médicaux et encore mois sur la médecine et pourtant elle c’était improvisé infirmière. Une situation étrange qui le devint encore plus quand elle lui demanda si il fallait faire venir une petite amie ? Franchement quelle question, Bradley répondit donc.

-Non c’est bon merci !

Elle n’avait pas une question très franche, elle ne savait pas si il avait une petite amie et qu’il ne voulait pas qu’elle vienne ou si il n’en avait pas…

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I can hardly breathe,
You make me wanna scream !

Décidément ! Rien ne se goupillait comme prévu ce jour-là ! Peu importait, Chance Macdrow n'abandonnait jamais ! C'est pourquoi, tout en souriant à son interlocuteur, la jeune femme commença à remplir une sorte d'avis de passage. Elle tendit un stylo à Bradley afin qu'il signe le document. Puis, elle lui expliqua que ses parents n'étaient pas obligés de le signer mais qu'il devrait rapporter le papier avant la semaine d'après.

Comme le sportif ne semblait pas très bavard, l'anglaise se décida à faire la conversation. Après tout, elle savait très bien parler de tout et de rien, ce qu'elle faisait avec un grand nombre de professeurs de l'université américaine, en vérité... Ainsi, elle lui posa des questions sur son âge, les études qu'il suivait, sa confrérie, etc...
Bradley lui répondait, évidement, mais le jeune homme semblait distant, un air étrange se dessinait sur son visage. Un air que la jolie blonde ne parvint pas à décrypter d'ailleurs...
L'étudiant la vouvoyait, normal me direz vous. Mais, afin de limiter cette distance, la conseillère d'orientation déclara :

Tu peux m'appeler par mon prénom, tu sais... Je n'ai que quelques années de plus que toi, je pourrais être ta soeur aînée ! Ou même ta petite amie !

Sur ces mots bien choisis, la belle laissa place à un rire qui dévoila des dents blanches et alignées. Lui, au contraire, se contenta de sourire à nouveau. Chance décida donc de stopper cet éclat et repris un air plus neutre, commun. C'était une situation assez embarassante, à dire vrai... Mais le fait de passer pour une créature disons... singulière ou bien originale ne l'impressioner pas. Selon elle, il fallait bien de tout pour faire un monde comme le notre !

Quelquefois, les questions les plus indiscrètes sont les meilleures ! Comment pouvez-vous obtenir des réponses à vos interrogations les plus profondes autrement qu'en vous informant ?
Cela explique le dialogue qui suivit cette scène.

Beau comme tu es, tu dois avoir une fille ou peut être plusieurs à prévenir ! Si tu veux, je peux sortir de la pièce pour que tu puisses téléphoner tranquille !

En réalité, les murs étaient tellement fins que Sexy C aurait tout entendu ! Machiavélique ? Mais non voyons !!

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I can hardly breathe,
You make me wanna scream !

C’est exact elle n’était pas franchement tombé sur quelqu’un qui allait lui dire cash, « je suis libre » ou « je suis pris », surtout que Bradley était vraiment à milles lieux de penser qu’elle était entrain de le draguer, lui il souffrait, il était un peu dans les vapes à causes des médicaments et ne pouvait même plus se lever seul. Croyez-le, il n’avait pas fier allure dans cette situation et ne comprenez pas franchement pourquoi elle ne voulait pas le lâcher. Bradley qui était en droit avait l’habitude de toujours lire ce qu’il signait, c’était une règle d’or dans le droit, toujours lire et même relire un contrat ou même un acte de passage, sa éviterait toujours de tomber dans un piège. Mais là il n’était pas dans son assiette, peut être que Miss Macdrow ne le voyait pas mais quelqu’un qui le connait le serait directement, la preuve il venait de signer le papier sans même le lire, un comble !
Puis après la signature de se questionnaire, elle enchaina avec un grand nombre de question, qui soit dit en passant ne serviraient à rien pour son dossier, Bradley ne rêvait pas elle était entrain de lui faire la discussion, elle qui avait l’air de vouloir entrer dans le rôle d’une infirmière n’y arrivait vraiment pas. Pourquoi ça ? Tout simplement parce qu’elle ne s’occupait que du beau Bradley alors que d’autres personnes venaient de rentrer dans l’infirmerie, un garçon venait de se couper le doigt, une fille qui avait surement raté une expérience de chimie et qui en avait reçu plein la figure. Autant dire des cas bien plus grave que le cas Cooper, et pourtant elle avait l’air de s’y intéressait énormément. Vous allez me dire de quoi se plaint-il ? Qui ne rêve pas d’avoir une infirmière sexy rien que pour soi ?

Quand elle lui proposa de l’appeler par son prénom, il sourit légèrement. Oui elle restait tout de même une conseillère d’orientation, genre de femme que Bradley n’allait jamais voir puisqu’il pensait pouvoir se débrouiller seul. Les appeler par leur prénom était chose assez rare, ils avaient tout de même le statut identique à celui d’un professeur, mais il lui répondit.

-D’accord comme vous voulez !

Un Bradley en bon état aurait tout de suite compris qu’il était entrain de se faire légèrement draguer, mais le Bradley que vous voyait sur se lit n’est pas en bon état. Il ne faisait donc pas forcement attention aux petits mots qui donnait tout le sens aux phrases du style « Ou même ta petite amie », « Je ne suis pas beaucoup plus âgées que toi ». En gros elle lui envoyait des signaux qui voulaient dire « Je suis parfaite pour être une de tes conquêtes », ou plutôt « Tu es parfait pour que je te croque », oui la seconde phrase ressemblait plus à l’attitude de Chance.
Elle repassait encore une fois à l’attaque, cette fois ci elle lui avouait qu’elle le trouvait beau, bien sur en étant moins directe, elle pouvait profiter de son statut pour glisser des mots qui ne prenaient pas le même sens que si ils sortaient de la bouche d’une élève.

-Que vous soyez là ou non sa ne changera rien je n’ai personne à prévenir.

» ebony&cen .Gonna make you scream.
» - maybe I just wanna breathe. • Appie
» MEMPHIS •• I just wanna make you swet. (hot)
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