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aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao

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MessageSujet: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyMer 20 Jan - 16:14


aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao 1aa14 aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao Nfmro8
« le seul mystère, c'est qu'il y
ait des gens pour penser au mystère.»

    Nous étions en pleine période hivernal et pourtant en californie ont pourrait croire que c’est encore l’été, avec un thermostat qui ne passe pas sous la barre des 20 degrés et un soleil quasi omniprésent il n’y avait aucun indice nous mettant sur la voie de quelle saison nous nous trouvions ‘phrase qui veut rien dire xD). Voila peut être une des choses qu’il regrettait depuis qu’il s’était installé ici, il n’y avait aucune saison et on ne pouvait faire la distinction entre ces dernières, il y avait du soleil 365 jours par an et une température constamment élevé, si il y avait bien un endroit ou on pouvait parler de réchauffement climatique c’était bien ici, en californie. Au moins à new york il y avait des saisons et bien qu’avant il se plaignait des hivers un trop rude et des été un peu trop caniculeux il n’avait en réalité pas de quoi se plaindre, ici il n’avait vu aucun flocon de neige depuis ses deux ans d’habitation et ca lui manquait vraiment, la neige avait toujours été une sorte de moyen de retomber enfance, faire des anges dans la neige, les concours de bonhomme de neige et sans oublier les incontournable bataille de boule de neige, tant de souvenir qui refaisaient surface d’un seul coup, nostalgie quand tu nous tient.
    Samedi après midi et aucun projet en vu pour notre jeune hildebrand, aucun devoirs en retard à rendre et étonnamment il était même en avance pour les études, il n’émettait aucun réel entrain à sortir avec quelques amis, l’envi de traîner à ne rien faire dehors n’était pas la, d’humeur légèrement casanière il était décidé à ne pas faire grand-chose aujourd’hui, mise à part se relaxer. En cette nouvelle journée d’hiver ensoleillé un brin de folie semblait avoir prit possession d’edward qui avait légèrement eut le mal du pays, ou de la ville comme on préfère, et peut être qu’un retour aux sources ne serait pas si mal, au contraire ca ne pourrait faire que du bien au jeune homme. Bien évidemment il n’avait pas assez de temps pour faire new york – berkeley en à peine un week end ou du moins il n’aurait pas le temps de profiter de cette petite escapade et sécher les cours n’était même pas envisageable pour ed qui faisait passer ses études avant tout. Assit par terre appuyé sur le rebord de son lit les jambes allongé par terre et croisé il zappé, la télévision n’offrait vraiment rien d’intéressant et plus préoccupé par comment il allait pouvoir se changer les idées il ne faisait même pas attention à ce qui se passait devant lui. C’est alors, qu’à la télévision passa une pub, une pub pour la patinoire de la ville qui signalait des offres exceptionnelles sur les prix des tickets d’entrées, très vite edward fut prit d’une nouvelle vague de nostalgie et se souvint qu’autrefois il allait régulièrement à la patinoire, chaque hiver avec sa sœur il patinait pendant des heures et au fil du temps ed était devenu plutôt bon, certes pas un champion mais assez bon pour pouvoir acquérir une vitesse assez conséquente sur la glace. Décidé il fit un bond pour se redresser et s’empressa de s’engouffrer dans son placard à la recherche de son sac de sport, la dedans il était sur de trouver une paire de patin, comme si il avait déjà prévu le coup quand il était partit. Une fois les patins trouvé il se mit en route vers la patinoire, rêvant déjà à ses futurs exploits sur la glace et à ses souvenirs qui d’une certaine façon l’apaisaient.

    Une fois arrivé devant la patinoire il constate qu’il n’y avait pas foule, la promotion à la télévision n’avait pas vraiment l’air de porter ses fruits, certainement qu’en californie ils préfèrent tous le sable chaud à la glace froide ce qui est compréhensible. Enfin ce n’était pas edward qui allait se plaindre de cette piste qui s’offrait quasiment à lui tout seul. Payant son entrée il s’empressa d’enfiler ses patins et de se mettre en piste pour quelques tours histoire de voir si il n’avait pas trop perdu la main après deux ans d’abstinence de patinage.

    hrp : y a surement des fautes je me suis pas encore relu, je le ferais plus tard ^^.

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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyJeu 21 Jan - 20:36

    aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao 116-1 aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao Miranda3
    Tu fais en moi transparaître ce passé douloureux.

    Citation :
    Nao’, tu me manques, j’te propose qu’on se rejoigne à la patinoire dans une heure. Bisous.

    La silhouette étendue de Naomi, les jambes en l’air, appuyée sur le ventre et ses avants bras, semblait immobile depuis un certain temps. En réalité, la jeune femme était plongée dans la lecture de l’un de ces magasines sans fichu intérêt, sur la gente féminine. Comment mettre sa poitrine en avant, comment séduire l’homme de vos rêves, quels sous vêtements sont fait pour toi ? Autant d’articles que Naomi jugeait simplement stupide et inintéressant, pourtant, elle ne cessait d’acheter ce genre de magasine. Peut être juste pour pouvoir rire en arrivant aux pages ‘J’ai un problème, aidez moi !’ En lisant combien les filles pouvaient être stupides, Naomi se sentait toujours mieux. Etonnant. Seulement, le visage de la jeune femme venait de se redresser, en effet son portable venait de vibrer sur le lit, elle l’attrapa furtivement avant d’y lire un message. Sa meilleure amie voulait l’emmener à la patinoire. Cela faisait en effet un bon bout de temps qu’elle n’y avait plus mis les pieds, peut être parce que les patins n’avaient jamais été son fort. Le pire était qu’elle aimait cela, cette ambiance fraîche, pouvoir glisser sur la glace, pouvoir faire des allés retours à la patinoire. Mais la dernière fois, elle avait manqué de se tordre une cheville. D’ailleurs sa meilleure amie s’en rappelait à coup sûr, mais Naomi pensa qu’elle voulait juste rire une nouvelle fois. Pour changer. La jeune femme lâcha immédiatement son magasine pour enfiler une tenue digne d’être mise pour sortir de sa chambre. Elle enfila son jean fétiche, avec un peu de chance il lui permettrait de tenir debout sur le sol gelé, s’arma d’un débardeur et d’une petite veste en cuir noir. Elle attrapa son sac à main, y fourra le nécessaire et prit soin de recoiffer sa longue chevelure brune. En quelques minutes à peine, elle serait prête, et heureusement, parce que la patinoire n’était pas tout près. Elle descendit les marches quatre à quatre se ruant à l’extérieur. Il faut dire que cela faisait déjà un bon bout de temps que la jeune femme n’avait pas eut la chance de voir son amie. Elles avaient toute deux un emploi du temps chargé et se voir devenait quelque chose de difficile. En quelques minutes seulement, elle était dans un taxi, en route pour le lieu du rendez vous avec Crewdie.

    La route défila à une allure folle, tandis que la jeune femme écoutait en boucle une chanson sur son Ipod. Naomi était ainsi. Lorsqu’elle avait un coup de cœur, elle pouvait écouter une chanson des centaines de fois sans s’en lasser, c’était un peu la même chose pour tout dans la vie de Naomi. Malheureusement trop souvent, elle finissait par se lasser. Des musiques, des plats, et souvent même des hommes. Peut être était ce juste dut à sa peur effroyable d’être aimée. La voiture finit par stopper sa route devant le grand bâtiment, et la jeune femme se hissa hors du véhicule après avoir tendu de l’argent au chauffeur. Elle s’engouffra dans les portes en verre, et décida d’attendre son amie ici. Mais elle n’eut même pas le temps d’ôter son Ipod de ses oreilles que son téléphone vibrait à nouveau.

    Citation :
    Merde. Je ne peux pas t’rejoindre. J’espère que t’es pas encore partie de chez toi. Désolée, j’me rattrape plus tard, gros empêchement. J’te raconte au téléphone demain.

    Alors que son regard lisait ces quelques mots, Naomi sentit une certaine déception envahir son corps tout entier. C’était bien le genre de sa meilleure amie d’oublier ses empêchements. Naomi cependant décida de louer des patins. Certes elle aurait un mal fou à tenir dessus, mais maintenant qu’elle se trouvait là. De plus, ce ne serait que des heures d’entraînement bénéfiques en plus. Elle enfila ses patins, se sépara de son sac à main et décida qu’il était tant de se lancer réellement. Miracle, ses pieds glissaient parfaitement bien, elle fixait ses patins, presque surprise de sa prestation. Elle ne s’était encore pas laissé tomber à terre. Sauf qu’elle aurait sûrement dut relever la tête. Elle percuta quelqu’un, doucement heureusement, et se sentit tomber en arrière. Son premier réflexe fut de se retenir à la personne, en s’agrippant à son corps. Ainsi équilibrée, elle releva les yeux. Mince. Le splendide jeune homme à qui elle venait de se rattraper n’était pas si inconnu que cela. Edward. Naomi perdit cette fois l’équilibre intérieurement…

    NAOMI Edward...

    Prononça t-elle faiblement tandis qu’il faisait renaître en elle de vieux souvenirs parfois trop douloureux pour les supporter. Elle tenta cependant de les extraire de son esprit. Doucement, ses mains se détachèrent progressivement du jeune homme, jusqu’à ce qu’elle se sente réellement en sécurité, debout devant lui.

    NAOMI Je ne suis pas vraiment douée pour ça...

    S’expliqua t-elle, les joues pourpres.
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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptySam 23 Jan - 15:38


aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao 1aa14 aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao Nfmro8
« le seul mystère, c'est qu'il y
ait des gens pour penser au mystère.»

    Avant d’entrer sur la glace et de se laisser porter par ses patins sur la piste durant quelques a heures le jeune homme devait se mettre en condition, c’est pourquoi il sortit de sa poche arrière son ipod et mit ses écouteurs dans les oreilles choisissant une playlist qu’il s’était lui-même composé. La chanson sur laquelle tomba notre jeune epsilon fut « i’m not youri boyfriend » du duo 30H!3, une chanson avec un rythme entraînant qui avait le don de redonner la forme à ed, mettant son ipod dans l’une des poches de sa veste, il glissa ensuite dans les poches de cette dernières et posa ses patins sur la glace. Légèrement désiquilibré au début dut à son manque de pratique ces dernières années il avait tendance à se pencher un peu trop vers la droite ou vers la gauche, avancent doucement et petit à petit quelques souvenirs lui revenaient de temps à autres au fur et à mesure qu’il avançait sur la glace, il se revoyait quelques années en arrière ou il faisait également ses premiers pas sur la glace, bien que ses débuts ne furent pas très glorieux et qu’il passa la majorité de son temps les fesses par terre il en gardait un très bon souvenir, un souvenir de famille, en effet sa grande sœur et sa mère avaient été présente pour admirer les exploits de leurs grand edward, aujourd’hui c’était bien différent, il se retrouvait dans une ville totalement différente de sa terre natale et surtout il était seul, ni sa sœur, ni sa mère n’étaient présente pour le voir refaire ses débuts sur la glace.
    Au fur et à mesure qu’il avançait il reprenait confiance en lui et en ses capacités, prenant de la vitesse petit à petit sans réellement s’en rendre compte il se laissait porter par le rythme de la musique qui également accélérait de plus en plus vite, devenant plus souple sur ses patins il évitait les quelques personnes se trouvant sur son passage avec plus d’aisance qu’au début. Finalement c’était mieux qu’il n’y ait pas grande monde en ce samedi, cela lui facilitait la tâche dans sa familiarisation avec la patinoire, moins il y avait de monde et plus il avait d’espace. Continuant ses tours de pistes il se remémorait le passé, comme ci le fait de patiner lui faisait reprendre goût à une vie qui finalement n’était pas si lointaine, une vie d’insouciance car en effet en patinant il n’avait besoin de penser à rien d’autre qu’à éviter les personnes devant lui, un bon moyen pour se vider l’esprit.

    Continuant son ascension il jetait de temps à autre quelques regards sur l’entrée de la piste qui voyait de temps en temps deux ou trois personnes faire leurs entrée, certaines personne semblait un peu plus expérimenté que d’autre mais pour la plupart c’était très certainement leur premier pas sur des patins, normale qu’en californie on est pas l’habitude au froid et de faire du patin à glace, ici c’était plus la plage et la nage qui était privilégiée. Cependant il s’avérait que le jeune homme ne fit pas assez attention à ce qui l’ entourait, en effet alors qu’il effectuait une énième tour de piste il sentit d’un seul coup quelque chose l’aggriper, une main ? Suite à cette sensation il retrouva directement par terre, se tournant vers la personne qui était également à terre il put remarquer que c’était une femme, et qui plus est pas une inconnue. En effet c’était Naomie, une jeune femme avec qui il traînait quelques fois et avec qui il partageait son lit de temps à autre. Quand cette dernière l’eut enfin lâché il se releva en lui tendant sa main pour l’aider à se relever, une fois l’un en face de l’autre Edward répondit à la jeune femme; « c’est pas grave y a un début à tout. »
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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyLun 25 Jan - 19:06

    Une main glissa le long de la joue de Naomi, d’une douceur irremplaçable, celle-ci se fraya un petit passage jusqu’à son oreille, y repoussant derrière celle-ci une mèche de cheveux rebelle. Naomi, assise à terre face au jeune homme le dévisageait amoureusement, son cœur battait d’une façon équivoque à ce qu’il se passait. Cet homme faisait battre son cœur, le rythme saccadé de celui-ci l’empêchait presque de se concentrer sur le regard du jeune homme. Un sourire faible et gêné sur son visage, Naomi le dévisageait totalement, finalement, il lui tendit la main pour l’aider, d’un geste chevaleresque à quitter le sol. Hugo était un tel gentleman à ses temps perdu.

    Naomi glissa sa main dans celle d’Edward et c’est seulement à ce moment qu’elle s’aperçut que finalement, la douceur de la peau d’Hugo semblait pour la première fois égalée, peut être même qu’elle préférait la sensation du contact avec Edward. Et ce n’était pas peu de s’en apercevoir, en effet, le jeune homme avait cette façon si délicate d’être par instants. Il faisait ainsi renaître de tendres souvenirs, toujours les meilleurs. Naomi tenta de se débarrasser de tous ces vieux souvenirs pour se concentrer sur le regard particulièrement profond d’Edward. Cet homme avait tout pour la charmer, son corps était un objet de désir pour Naomi, qui y succombait bien souvent ces derniers temps. C’était étrange, mais elle appréciait réellement Edward, d’une façon qu’elle n’aurait cependant pas sut avouer. Un faible sourire prit naissance sur le bout de ses lèvres lorsqu’un son mélodieux sorti des lèvres parfaites du jeune homme. Elle n’aurait sut dire si c’était parce qu’elle appréciait entendre sa voix, ou si c’est ce qu’il disait qui avait de l’importance. Pour la première fois depuis que Crewdie l’avait planté, elle remerciait intérieurement celle-ci. Parce que sans pouvoir le comprendre, sans pouvoir se l’avouer, la présence d’Edward lui avait manqué. Elle s’en rendit compte à cet instant là. Finalement, sa main glissa de celle du jeune homme et elle s’appuya sur le rebord de la patinoire en espérant pouvoir simplement garder l’équilibre quelques temps. Le temps au moins de s’abreuver de l’odeur du jeune homme, de ressentir chaque sentiments étrangers qui prenaient vie en sa compagnie. Elle décida cependant de briser la glace, cette fois ci sans s’étaler forcément par terre, elle venait de comprendre que c’était loin d’être une bonne idée.

    NAOMIJe ne savais pas que tu aimais patiner, peut être aurais je fais mes débuts plus tôt si je l’avais sut…

    Quelques mots, innocents, ou presque. Y pouvait elle quelque chose si elle ne rechignait jamais à passer du temps avec le jeune homme. Bien entendu, cela terminait toujours de la même façon, les deux jeunes gens s’abandonnant à leurs hormones, et s’embrassant fougueusement le temps d’une nuit torride. Elle s’était fait à l’idée, être une femme que l’on aime posséder dans son lit, et non une femme que l’on aime aimer. Oui, avec le temps, Naomi avait finit par s’y faire, et tant qu’elle pouvait profiter des lèvres du jeune homme contre les siennes, elle ne se plaignait pas. De plus, cela ne lui aurait pas ressemblé de vouloir plus. Elle ne voulait d’ailleurs rien de plus. Du moins, c’est ce qu’elle prônait, mais elle était bien trop perdue pour pouvoir se fournir à elle-même une réponse claire. A vrai dire, les traits d’Edward lui rappelaient si bien son premier amour, ses deux amours d’enfances à vrai dire. Il possédait quelques traits de caractère similaire au deux. Il semblait être un étroit mélange des seuls hommes qu’elle ait put aimer. Comment pouvait-elle vraiment prôner l’indifférence face à de tels faits ? Elle passa machinalement la main dans sa longue chevelure, et brisa à nouveau le petit silence entre eux.

    NAOMITu viens patiner tout seul ? Ou une horde de filles te suit ? Enfin, comment vas-tu ? Monsieur Mystère…

    Ce surnom lui allait comme un gant, tant il était difficile pour Naomi, de le cerner réellement.

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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyMar 26 Jan - 20:18


aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao 1aa14 aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao Nfmro8
« le seul mystère, c'est qu'il y
ait des gens pour penser au mystère.»

    Ici il y avait peu de personne qu’ Edward s’imaginait tenir debout sur des patins à glace, la plupart de ses amis préféraient de loin la plage et la mère, tous ignoraient certainement la signification du mot patiner, ne signifiant pour eux que tenir sur deux patins semblait très facile alors qu’en vérité c’était bien plus dur qu’il n’y paraissait. En effet le jeune epsilon paierait cher pour voir ses amis sur des patins, un spectacle à ne pas rater c’était certains ainsi que de bonnes en heures de rigolade en perspective, enfin il ne profitera très certainement jamais d’un tel spectacle, la plupart des étudiants ici ont une certaine étroitesse d’esprit qui déconcerte l’Hildebrand beaucoup se limite seulement à ce qu’il connaissent, ne prenant même pas la peine de s’ouvrir à d’autres horizons il n’osent tenter d’allé vers l’inconnu ce qui explique la peu de monde présent en cette journée d’hiver aux allures d’été.
    Parmi ces personnes dont il n’aurait absolument pas douté de leur présence en ces lieux était Naomi Venn, il est vrai qu’elle il avait plus l’habitude de la voir sur la plage en bikini entouré d’une folle d’homme et donc l’image de la femme faisant bronzette sur la plage lui était resté en tête, une image pas des plus désagréables, c’est pourquoi la voir ici prit Edward au dépourvu et par surprise. La relation qui liait ces deux jeunes gens est des plus particulières, ainsi qu’ambiguë, en effet le jeune epsilon à toujours était habitué à être bien entouré, être l’un des plus populaires de son bahut si ce n’est LE plus populaire, tout comme la jeune femme certainement. Néanmoins il à toujours sut que toutes ces personnes n’étaient la que pour s’attirer les bonnes grâces d’Edward ce qui ferait monter en flèche leurs côtes de popularité et pour cela ed’ ne s’est jamais plaint, jamais il à réclamé la sincérité de qui que ce soit car après tout toutes ces personnes n’étaient que pour faire jolies, tel des bibelots sur une meuble. Tout de moins ceci c’est toujours passé ainsi jusqu’à sa rencontre avec Naomi, ils ont tout de suite bien accroché et une belle amitié en perspective, cependant il s’avérait que la jeune femme s’intéressait à l’homme ce qui était une première, pas vraiment habitué il s’est un peu révélé tout en préservant sa personne et son image bien sur, « ne jamais parler de sa vie privée, » c’était son seul credo ainsi que sa règle d’or. Naomi elle s’avéra être un peu trop curieuse et c’est pourquoi l’epsilon dût avoir recours à une certaine méthode pour la détourner de n’importe quelle piste, ils couchèrent ensemble. En soit il n’y a rient de bien étrange, l’un comme l’autre sont habitué à ce genre d’amitié améliorée mais le principal problème qui se profilait pour l’homme c’était qu’il commençait à éprouver des sentiments envers la jeune femme, sentiment qui lui était encore inconnu que l’on appelait couramment l’amour ? Impossible, ce mec n’est jamais tombé amoureux et parlé de coup de foudre serait bien trop grotesque à ses yeux, il préfère définir ce qu’il ressent comme une petite amourette passagère qui avec le temps s’effacera de plus en plus jusqu’à ce que plus rien n’existe mis à part une attirance physique et une relation charnel, c’était du moins ce de quoi il essayait de se convaincre.

    Après être restant quelques instants par terre sur la glace aux côté de la jeune il se relevait enfin aida son amie à se relevé. C’était avec plaisir qu’il profitait de chaque instant qui marquait le contact de sa peau contre la sienne, une peau d’une rare douceur, une main qu’il aurait pu tenir des heures encore mais la situation n’était pas vraiment appropriée à ses pensées. Laissant la main de la femme glissé de la sienne pour aller se poser contre le rebord le jeune homme lui tenait parfaitement bien sur les lames, de vieux réflexes qui revenaient petit à petit, au fur et à mesure qu’il passait du temps sur la glace. Quand la jeune femme prit l’initiative de briser le silence qui s’était installé entre les deux personnes Edward écoutait attentivement les quelques mots prononcés par son interlocutrice, plus hypnotisé par les lèvres de cette dernière il n’en restait pas moins très concentré sur ses paroles pour au final affiché un petit sourire; « si j’aurais été sur que tu accepterais mon invitation à me rejoindre cela ferai bien longtemps que tu serais à mes côtés sur la glace. ». Des paroles assez direct voir insolente mais c’était toujours comme ça entre eux deux, ils ne cachaient rien de ce qu’ils ressentaient sur le moment présent et c’était la base de leur « relation ». Les paroles qui suivirent la réponse d’ed’ le fit bien rire intérieurement, il n’était pas un coureur de jupon ou bien un don juan et pourtant il avait la réputation d’être souvent entouré de filles, de beaucoup de fille, pourquoi une telle réputation ? Allez savoir il n’était pas un star que l’on idolâtré ou encore qui faisait fantasmé les adolescente d’aujourd’hui et pourtant cela étonné à chaque fois que l’on le voyait seul. La fin de la phrase de la femme ne put que lui arracher un sourire, elle avait toujours cette envie d’en apprendre plus sur le blond et ce petit surnom était en réalité plein de sous entendus et il le comprenait parfaitement. « non je suis seul, je venais recherché un peu de solitude mais ta compagnie vaut bien celle de toutes les filles du campus réunit et c’est bien mieux qu’une quelconque solitude. Après tout de la solitude je peux en avoir n’importe quand mais un moment avec Naomi venn, c’est de plus en plus difficile à obtenir avec tous ces mecs qui te tournent autour. » Tout un discours juste pour dire qu’il appréciait la compagnie de la jeune femme, encore une manière bien particulière à Edward de prouver son affection, toujours à tourner du pot sans vraiment aller à l’essentiel du premier coup. « en bref je vais pas trop mal et toi comment tu te portes ? ». Suivit de ces quelques paroles qui pour une fois avaient le mérite d’être brève il avançait à reculon un peu plus loin sur la glace tout en y ajoutant quelques paroles « ça te dis de patiner avec moi, à ce que j’ai vu t’es pas très à l’aise sur des patins donc si tu veux je te prête mon bras l’espace d’un tour de piste », suite à cela il lui tendait au loin la main en espérant qu’elle accepte pour qu’il n’ait pas l’air trop ridicule à tendre le bras tout seul.
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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptySam 30 Jan - 19:54

    On voyait toujours mieux Naomi avec un bikini et une serviette de plage pour jouer les crêpes qu’avec des patins pour glisser sur la glace, pourtant, la jeune femme avait en effet une passion pour la patinoire. Certes, elle n’avait jamais été douée pour cela, surtout qu’il était assez rare qu’elle vienne souvent. Peut être parce qu’elle détestait la solitude plus que tout, et que ses amis n’avaient pas tendance à fréquenter ce genre de lieu. Alors elle optait pour les plages, pour une baignade entre deux heures de bronzage intense. D’ailleurs, c’était loin de déplaire aux hommes à qui elle s’offrait l’espace d’une nuit, parce que la peau légèrement hâlée de la jeune femme ne laissait quiconque indifférent. Mais en réalité, la jolie brune, avait passé toutes ses vacances dans les Hampton, et New York avait tendance à être une ville beaucoup plus froide l’hiver. La belle aimait d’ailleurs particulièrement les hivers blancs. Pour elle, noël n’était plus vraiment noël sous une chaleur de plomb. Elle ne s’y ferait sûrement jamais, aux chaleurs de cette ville. La patinoire lui offrait la possibilité en plus de cela, de se remémorer de doux souvenirs. Combien de fois avait elle tenue la main de sa grande sœur juste pour ne pas perdre l’équilibre. A l’époque, les deux Venn étaient inséparables, et Caroll veillait sur sa sœur mieux que quiconque. Malheureusement, les deux jeunes femmes semblaient être éloignées par tant de choses. Pourtant, aux dires de beaucoup, le jeune homme qui se tenait face à Naomi semblait apprécier autant l’une que l’autre. A cette pensée, une petite pointe de jalousie s’empara de la poitrine de la jeune femme, qui l’air de rien, se concentra de nouveau sur le splendide brun, aux allures séduisantes. Lui au moins semblait particulièrement à l’aise sur la glace. Naomi s’agrippa au rebord de la patinoire, tandis qu’elle dévisagea de nouveau Edward. C’est fou combien le mystère qui entourait cet homme lui plaisait. A la fois séduisant, incroyablement sexy et souriant, il avait tout pour plaire à la jeune femme, pour séduire d’ailleurs n’importe laquelle des femmes de l’université, et peut être même du monde entier. En avait il confiance seulement ? De son pouvoir de séduction. Très certainement à en voir le nombre de jeunes femmes qui se sentaient inlassablement attiré par lui. Naomi en faisait d’ailleurs partie.

    Depuis le premier jour où elle avait croisé son regard, elle avait sut qu’elle ne lui résisterait que très peu de temps. Mais c’était quelque peu différent dans son cas à elle. Parce qu’Edward semblait être le mélange étroit de deux des hommes les plus importants de la vie de la belle. Il lui rappelait tant de souvenirs, qu’elle ne pouvait s’empêcher d’aimer sa présence. Se replonger dans des souvenirs romantiques, fougueux et torrides la poussait à rechercher sa présence. Mais finalement, plus qu’une simple ressemblance avec des fantômes de son passé, Edward était l’homme le plus incroyablement mystérieux que la jolie Venn ait eut la chance de croiser ces dernières années. Si bien, qu’il éveilla sa curiosité rapidement. Son air de garçon parfait semblait cacher bien plus que cela, Naomi en était convaincue, mais au lieu de se prendre au jeu et de la laisser comprendre, il avait préféré détourner son attention. Il avait choisit une méthode qui faisait ses preuves. C’est certain que le temps qu’il glisse ses lèvres le long du corps de l’étudiante, elle avait déjà oublié qu’elle cherchait qu’il était vraiment. Et surtout, Edward lui procurait ce petit quelque chose, qu’elle recherchait avec d’autres, en vain. En effet, avec lui, les sensations semblaient être tellement plus fortes, elle appréciait sentir ses baisers brûlants sur sa peau. Il la surprenait toujours un peu plus, et elle adorait la flemme qu’il faisait naître en elle. Toujours, elle le désirait d’une façon plus forte que les fois précédentes, jamais elle ne se lassait de la découverte de son corps. Elle aimait l’avoir contre elle, elle aimait l’embrasser, sucer délicatement sa langue, puis s’abreuver de son odeur, dévorer ses lèvres, mordiller son cou, et descendre avec sa bouche sur son torse parfait. Glisser ses longs doigts fins sous les vêtements du jeune homme et s’abandonner à des plaisirs charnels qui la conduisaient toujours, à l’orgasme…

    Heureusement, la voix d’Edward la tira de nouveau de ses songes. Elle sentit ses joues bouillantes, elle espérait qu’Edward n’ait pas vraiment remarqué sa brève absence. Et surtout qu’il fut impossible pour lui de savoir à quoi elle l’imaginait déjà, à savoir, nu collé contre elle. Elle rougit de plus belle à sa phrase. Alors comme cela, sa présence, il semblait l’apprécier, petite révélation qu’elle accueillit avec joie. Elle aussi aimait tellement quand il n’était pas loin.

    NAOMITu doute encore que je puisse refuser une de tes invitations ?

    En réalité, c’est certain, elle ne l’aurait jamais fait. Parce qu’elle aimait être à ses côtés plus que tout ces derniers temps. Plus elle le voyait, plus elle l’appréciait, s’en était d’ailleurs effrayant, mais Naomi ne pouvait s’empêcher de s’accrocher pourtant. De s’accrocher à ce qu’elle semblait ressentir, cette sensation d’être vraiment bien qu’en sa présence. Tous les hommes qui lui tournaient autour ? A croire que les gens s’imaginaient toujours des choses. Les hommes dans la vie de Naomi en effet étaient nombreux, pourtant, elle se sentait toujours aussi seule, surtout ces derniers temps. Elle tenta de ne même plus penser à cela, et de se concentrer sur la beauté d’Edward, ce qui ne fut pas compliqué.

    NAOMIAlors profites bien de moi, je suis à cet instant tout à toi…

    Une phrase à double sens ? Peut être bien, la jeune femme avait ce don de toujours parvenir à ce genre d’allusions, il faut dire que le beau brun éveillait à cet instant chacun de ses sens.

    NAOMI Beaucoup mieux maintenant…

    Répondit-elle à sa nouvelle question. En réalité, beaucoup mieux n’était qu’un euphémisme, elle se sentait vivante, et vraiment bien, sans comprendre à quoi cela était dût. C’était magique avec Edward, elle ne comprenait pas, mais elle vivait des moments fabuleux où tout son corps semblait planer, comme s’il était une drogue dure qui lui faisait un bien fou. Le seul problème, comme toutes les drogues, l’addiction semblait se faire ressentir… Elle attrapa les mains du jeune homme qui l’inviter à patiner. Patiner avec lui ? Quelle idiote aurait put refuser ? Elle s’agrippa au jeune homme, et le toucher provoqua une espèce de sensation agréable dans son ventre. Bon sang, il la retournait totalement.

    NAOMI En espérant que le tour de piste soit long, que je puisse profiter de toi…

    Ajouta telle en se collant à lui. En effet, le parfum du jeune homme vint emplir ses narines. « Edward serre moi contre toi. » Cette pensée hantait son esprit, tandis qu’elle lui jetait des petits regards discrets. Cet homme semblait différent de tous les autres. Naomi inspira profondément, tandis qu’ils évoluaient ensemble sur la piste. Elle ne voulait pas voir ce moment prendre fin.

    HJ : Désolée, c'est pas vraiment bien. Je me rattrape la prochaine fois... (L)

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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyDim 14 Fév - 0:28


aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao 1aa14 aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao Nfmro8
« le seul mystère, c'est qu'il y
ait des gens pour penser au mystère.»

    Entre bien être et malaise…En la présence de la jeune femme Edward ne savait quelle attitude adopter, pour quelqu’un qui avait constamment la solution à tout, qui était tout le temps calme et pour qui relations amicales rimait avec popularité, c’était assez frustrant, bien qu’à l’extérieur rien ne transparaissait c’était un véritable foutoir dans la tête du jeune étudiant. En effet lui qui d’habitude contrôle tout perdait totalement le contrôle de lui-même en la présence de Naomi, une sensation qui le troublait, même plus, le perturbait. De nombreuses questions se dressaient en face de lui, combien de temps pouvait il encore tenir ? Allait elle un jour cessait d’être aussi curieuse ? Pourquoi porter autant d’intérêt envers une personne ? Pourquoi ce sentir aussi bien avec quelqu’un ? Des questions auxquelles il n’avait aucune réponse mais simplement des hypothèses et certainement qu’il restera toujours sur sa faim avec ses hypothèses, des questions bien trop étrange pour être posé et que certainement elle ne comprendrait pas, tellement elles ne ressemblaient pas à l’image du personnage que s’était façonné Edward, un perpétuel conflit, un conflit qu’il s’était lui-même imposé…Mais dans tout ce foutoir il fallait bien trouver réconfort quelque part, un jour finirait elle bien par cessait d’être aussi curieuse et intéresser par le jeune homme et finirait elle enfin par ne traîner avec lui que pour être plus apprécié du campus, bien qu’elle n’en avait pas besoin. Une situation des plus confuse, car bien qu’il espérait plus que tout qu’elle finirait par se lasser secrètement il aimait l’intérêt que lui portait la jeune femme, un intérêt qui se faisait assez rare dans son entourage, cela ajoutait un peu de piment dans leur relation, chaque fois il devait faire preuve d’encore plus d’innovation pour détourner la jeune femme de la bonne route et le tout se finissait constamment au lit et qui n’appréciait pas les parties de jambes en l’air avec Naomi Venn, personne et c’est surtout pas le jeune Hildebrand qui allait s’en plaindre. Joueur ? Ça oui il l’était. Pourquoi s’embêtait elle avec Edward, avec son physique elle pouvait avoir à ses pieds n’importe quel homme de Berkeley alors pourquoi s’acharner sur un homme qui s’obstine à l’éloigner de lui-même, quand on dit que l’être humain est attiré par l’interdit et le mystère c’est que ça doit être vraie, et du mystère avec Edward on était servi, surtout lorsque l’on prenait la peine d’un peu gratter la surface. À chaque jour suffit sa peine…
    Assez réfléchit pour aujourd’hui, il allait devoir prendre la peine de se laisser aller et prendre la vie comme elle venait sans trop réfléchir, profiter de l’instant présent, profiter…une chose qui ne lui était pas des plus familières. D’autant plus qu’avec Naomi il y avait de quoi profiter, il y avait bien plus qu’un physique de rêve, qu’une tentation, elle lui apportait bien plus. De nouvelles sensations, de nouvelles pensées et de nouvelles idées, un mélange explosif qui lui faisait apprécier la jeune femme encore plus.

    Il put remarquer une légère absence de la part de la jeune femme ainsi que ses joues qui prenaient un teint légèrement rosé, quoi de plus évident lorsque le paysage qui nous entoure est blanc et glaciale. Cependant il fit comme ci il n’avait rien vu tout en écoutant la réponse de la jeune femme à laquelle il répondit immédiatement. « j’aurais aimé ne pas en douter, mais j’ai entendu dire que t’avais des vues sur un mec alors bon peut être que tu aurais préféré passer ton temps avec lui. », le ton dit sur un ton des plus amicale et calme, il arrivait à merveille à cacher la pointe de jalousie que l’annonce de cette nouvelle avait déclenché en lui. En effet Edward avait beaucoup d’amis, de connaissance, de contact et à Berkeley tout finit par se savoir plus ou moins vite, avec Edward c’est plutôt vite, il ne lui avait pas prit beaucoup de temps pour se tenir au courant de l’actualité de la jeune femme, une jalousie qui dans son cas était assez rare, voir inhabituel, ressentir de l’envie envers un autre homme n’était pas familier chez lui, mais comment ne pas envier l’homme partageant son temps avec une jeune femme comme Naomi Venn. Heureusement pour lui il savait camoufler ses émotions ou sinon il n’aurait pas vraiment sut comment réagir à cette nouvelle. Bougeant avec habilité sur la glace tout en restant à proximité de la jeune femme il écoutait attentivement ce que cette dernière avait à dire. A l’entente de la phrase de la jeune femme l’epsilon ne pu empêcher l’apparition d’un rictus sur son visage ressemblant fortement à un léger sourire, une phrase à double sens comme il en avait l’habitude et comme il les aimaient. « juste pour cet instant ? », il rentrait volontairement dans le jeu de la jeune femme, tout simplement car il aimait ça ce jeu de séduction et cette attirance constante entre eux, une sensation des plus agréables dont il ne se lassait jamais. Il sourit à la remarque de Naomi qui prétendait allait beaucoup mieux, un sourire qui en disait beaucoup plus que des mots et qui ne rendrait des paroles que superflues.
    A cet instant il invita la jeune femme à patiner, un bras tendu il maintenant son invitation tout en reculant petit à petit pour obliger Naomi à lâcher le rebord et avancer un peu d’elle-même, fallait bien qu’elle se débrouille comme une grande. Laissant la jeune femme s’aggriper à lui ils commençaient à avancer de quelques coup de patin tandis que le jeune homme glissait sa main dans celle de la femme, « si ça t’arrange on peut en faire plus d’un. », le tout englober d’un sourire des plus chaleureux et amicale.

    hrp : ton post était très bien, je suis désolé d'avoir mis aussi longtemps pour répondre, je mettrais beaucoup moins de temps les prochaines fois.
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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyLun 15 Fév - 20:33

    « Bon sang même saoul tu veux pas me dire qui se cache derrière ce beau minois Edward ? » Une forte d’ose d’alcool coulait déjà dans les veines de la jeune femme tandis qu’elle était collée contre Edward, il faut dire qu’elle l’avait cherché toute la soirée et qu’il l’avait soigneusement évité, mais maintenant il était face à elle, et bien qu’elle semblait totalement ivre, elle avait encore les idées claires. Assez pour penser à questionner le jeune Hildebrand. C’était devenu un jeu entre eux, depuis maintenant quelques semaines, depuis qu’ils s’étaient rencontrés et avaient échangés leurs premiers mots en italien. Le jeune homme approcha doucement ses lèvres de celle de Naomi, assez pour qu’elle sente l’odeur de l’alcool s’échappant de ses lèvres. « Tu vas pas encore m’embrasser pour détourner l’attention hein ? » C’était devenu sa façon à lui de ne pas répondre, jamais, de la laisser simplement avec ses questions et son envie de savoir. Une nouvelle fois, il déposa ses lèvres sur celles de la jeune femme. Ce fut douloureux au premier instant, l’embrasser, lui, aux airs si semblables à ceux de son passé, des deux hommes qu’elle avait aimé et qui lui avait brisé le cœur, c’était comme revivre un de ces moments, de recommencer dans le passé. S’en était malsain, mais il ne fallut qu’un instant pour qu’elle ne prenne finalement goût à ce baiser. Sauf que l’alcool y aidant, cela ne s’était pas arrêter à un seul, et une nouvelle fois, elle n’avait rien put lui soutirer… Elle n’en connaissait pas bien plus sur Edward, si ce n’est qu’il préférait préserver la vérité, plus que tout…

    Aujourd’hui, elle ne n’a pas vraiment beaucoup plus avancé. Elle a certes passé énormément de temps à comprendre, à chercher des réponses, mais cela ne semblait pas avoir vraiment aboutit. Pourtant, elle n’avait pas vraiment abandonné, ce n’était pas son genre, loin de là. Déterminée et ambitieuse, la jeune femme ne se laissait jamais abattre. Elle aurait ses réponses, elle en était certaine. Un jour, mais elle n’était plus aussi pressée qu’auparavant, parce qu’elle se demandait réellement que deviendrait leur relation, sans cette part de mystère englobant le jeune homme. Est-ce que cela serait aussi intéressant d’être l’actrice principale de leur relation s’il n’y avait plus de recherches à faire, s’il n’y avait plus de mystères entre eux ? Elle n’en avait aucune idée, mais par méfiance, elle ne voulait pas prendre le risque. Elle baissa doucement les yeux lors de la remarque du jeune homme. Les choses semblaient circuler à une vitesse folle à Berkeley. Naomi l’avait remarqué à plusieurs reprises à propos de ses amis, mais il semblait que sa vie à elle aussi soit mise en avant, et ce n’était pas pour lui plaire… Sûrement que le jeune homme faisait allusion à Nathaniel. Entre eux cela semblait être le début de quelque chose. Naomi n’aurait à cet instant put dire comment les choses évolueraient sur le long terme, à vrai dire, ce n’était pas vraiment l’instant d’y penser, non, elle décida au contraire de sauter à pied joints dans le petit jeu du jeune homme. Cultiver le mystère sur ce qu’elle pensait réellement, ce qu’elle ressentait réellement, ne rien dévoiler, pourquoi ne pouvait elle pas elle aussi avoir ses petits secrets ? « Alors cesse donc de douter charmant jeune homme… Et puis tu sais, les rumeurs qui circulent à Berkeley ne sont pas toujours fondées… Bien sûr je serai ravie de t’éclairer… Si tu me parlais de toi… » Elle était bien entendu convaincue qu’il préférerait ne rien savoir plutôt que de parler de lui, de toute façon, elle était persuadée que cela n’avait qu’une faible importance à ses yeux. Pourtant, elle aurait peut être aimé que cela l’intéresse, un temps soi peu, juste pour avoir l’impression de compter. Elle ferma les yeux pour ne pas rougir à l’entente de la douce voix mélodieuse d’Edward. Il avait sûrement compris le double sens, et sa phrase lui remémora alors des souvenirs plutôt brûlants. Le jeu de séduction qui s’était au fil du temps installer entre eux n’était pas bien méchant, mais chacun d’eux prenait un malin plaisir à y jouer. C’était un peu comme un jeu de rôle, où chacun d’eux enfiler un masque, protégeant sa véritable personnalité pour juste s’amuser le temps d’une après midi, ou bien d’une nuit. Les lèvres de Naomi s’étendirent en un sourire charmeur tandis qu’elle fixa le jeune Hildebrand avec fascination. « Pourquoi, tu aimerais que ce soit plus qu’un simple instant ? » Naomi voyait sa relation avec Edward lui échapper doucement, tout cela devrait bien prendre. Elle n’aurait blessé Nathaniel pour rien au monde, c’était certain, mais après tout, que faisait elle de mal ? Elle s’accrocha au bras du jeune homme tandis qu’il commençait doucement à patiner. Naomi comprit rapidement son petit manège qui visait à l’éloigner du bord. Elle se laissa guider, se laissant totalement entre les mains du jeune homme. Elle semblait avoir une confiance aveugle en cet homme dont elle ne savait presque rien. Elle eut même le courage de se rapprocher plus d’Edward encore pour glisser quelques mots à son oreille. « Ca m’arrangerait, au moins le temps que tu m’avoues enfin qui tu es Edward… » Elle en remettait une couche, si la flatterie, la séduction n’avait pas marché, peut être que l’insistance finirait par l’aider à obtenir ce qu’elle désirait. « Et puis aussi, je ne vais pas nier que j’aime ta présence… Et que je n’ai pas vraiment envie que tu t’en ailles maintenant… Sinon, il y aurait peu de chance que je progresse sur la glace, ce serait bien dommage pour toutes les prochaines fois où tu m’inviteras… » Elle lui sourit, avec la ferme intention d’obtenir quelque chose de lui, avant que cet instant ne prenne fin.
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MessageSujet: Re: aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao aller ou on veut ou vers ou nos patins nous portent | PV nao EmptyDim 23 Mai - 13:14

  • Direction, corbeille du RP, nettoyage de printemps.
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