| | | « It’s gonna be a great night » - Mikayla Joey Davis |  |
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 | | Sujet: « It’s gonna be a great night » - Mikayla Joey Davis Sam 19 Déc - 11:04 | |
|   (c) Sulky & Chrys« It’s gonna be a great night »Une semaine des plus affreuses, oui, c’était le mot à adopter ! J’avais disparu de Berkeley durant une année pour me réfugier à New York afin d’accomplir l’un de mes rêves, devenir une star de cinéma. J’avais réussi à concrétiser ce rêve puisque j’étais apparu dans deux grands films qui avaient eu un immense succès et qui avaient tout les deux été numéro un du box-office mondial. J’étais très fier de mes exploits et j’aimais cette popularité qui me suivait partout. Bien que celle-ci porte aussi des inconvénients nombreux, je ne pouvais pas me plaindre. Ça avait toujours été le genre de vie que j’avais envisagé. Mais, j’avais peut être vu un peu trop loin. En effet, même si mon séjour à New York se passa relativement bien, il se fut une période après mes deux films où je n’eus plus aucune demande pour tourner un nouveau film. J’étais au chômage. Ce n’était pas vraiment un problème côté financièrement puisque j’ai toujours été riche cependant, je commençais à regretter d’avoir quitté Berkeley. J’avais bel et bien le droit à des petites demandes pour des rôles dans des films bidon mais je ne voulais pas me lancer dans des projets tels que ceux-ci pour être persuadé que ces films ne verraient jamais le jour. Avant tout, si j’étais partit, c’était à cause de Soukaïna. Cette fille que j’avais tant aimé qui s’en était allée avec son putain de mec et ses deux enfants ! Ce fut sans doute l’amour de ma vie et moi, comme un con, je l’avais laissé filer. Je regrettais tout particulièrement cet acte et même si j’étais partit à Paris en l’espace d’une semaine afin de la retrouver, j’avais fait choux blanc pour mon plus grand malheur. Mais à quoi bon continuer à être une star si je ne peux partager ce succès avec personne si ce n’est ces magnifiques déesses qui se jetaient toutes à mes pieds ! Mais bon, cela ne date pas seulement de ma popularité. Bien avant, les filles étaient déjà toutes raides dingues de moi et, c’est compréhensible !
Bref, ce que je voulais dire par cette semaine affreuse, c’était simplement que de reprendre les cours après avoir eu une année pour entrer dans le monde actif, celui du travail, j’en avais vraiment marré d’écouter ces professeurs raconter des trucs complètement bidon ! De plus, pour entrer à nouveau à Berkeley, j’avais été obligé de redoubler ma seconde année. Autant dire que les cours, je les connaissais déjà tous par cœur ! D’un côté, c’était un gros avantage car cela m’apportais une répétition et, je n’avais pas besoin de réviser pour les différents contrôles, ou du moins, presque pas besoin. En ce vendredi après-midi, j’avais eu cours d’informatique. Un cours qui, selon moi ne sert à rien du tout ! Tout le monde à un ordinateur chez soi et tout le monde sait s’en servir, c’est tellement évident ! J’avais passé tout le cours à chatter avec certains amis avant d’aller sur mon site web. En effet, mon agent avait trouvé que de me faire un site web pour mes fans étaient une excellente idée. Ils pourraient être courant de ce que je fais de ma vie, quels sont mes prochains films ou mes prochaines publicités. Cependant, à présent, je n’étais plus qu’un simple étudiant de Berkeley. En naviguant un peu, je remarquai que mon agent avait agit très vite. En effet, celle-ci avait déjà publié l’info comme quoi j’avais être la nouvelle égérie masculine de la marque Hemerson. Une marque très admirée pour laquelle j’avais signé un contrat d’une année. Je m’en fichais pas mal d’être affiché partout dans la ville, ce qui m’intéressait, c’était que j’allais pouvoir me rapprocher d’Heavynne, cette fille qui ressemble tant à Soukaïna.
La sonnerie avait rententit dans tout le bâtiment à 15 heures et je me précipité hors de la classe pour ensuite aller au parking, là où, mon chauffeur m’attendait. Des élèves étaient toujours très étonnés de voir à quel point j’avais de l’argent ce qui me faisait bien rire. Certains ne pouvaient tout simplement pas me supporter à cause de mon argent mais moi, j’en ai tout simplement rien à foutre ! Enfin bref, j’avais passé le reste de ma soirée chez moi, dans ma grande villa avant de me décider à sortir. Il était 23 heures et je venais de terminer un film portant sur une histoire vraie. Un film que j’avais trouvé particulièrement sympathique. Je me dirigeai vers ma grande salle de bain et pris un bon bain avant de m’habiller convenablement pour sortir et, sans demander à mon chauffeur de m’amener ou que ce soit, je pris les clés de ma voiture et partit en direction du centre ville. Ce dernier était très animé, chose plutôt normale en début de week-end. Je garai ma voiture au bord de la rue puis, je me dirigeai vers le Bimbo’s 365. J’y avais passé tellement de temps avant de partir à New York que je connaissais parfaitement bien les barmen et les barmaids bien entendu. Je m’installai au bar et commandai un whisky. C’est là que je vis, pas plus loin de deux tabourets Mikayla. Celle-ci ne semblait pas m’avoir aperçu c’est pourquoi je me levai et vint m’installer à côté d’elle.
Thomas : « Toujours aussi sexy à ce que je vois ! » |
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| | Sujet: Re: « It’s gonna be a great night » - Mikayla Joey Davis Sam 19 Déc - 12:04 | |
| Mikayla Joey Davis se plaisait beaucoup à Berkeley, depuis deux ans. Bien que la routine l'emmerdait un peu, elle aimait beaucoup les fins de semaine où elle pouvait faire la fête jusqu'au bout de la nuit, sans rendre de compte à personne, totalement libre de ses propres faits et gestes. Depuis qu'elle était là, elle n'avait ni père, ni mère, ni frère sur le dos. Si jamais elle découchait, personne ne venait lui prendre la tête. Elle se sentait bien. Pas quelqu'un pour la fliquer chaque instant. C'était le bonheur, la vie d'étudiante dont elle avait rêvé depuis si longtemps. De plus elle étudiait ce qu'elle aimait vraiment et ce pour quoi elle était douée, le mannequinat, elle n'avait donc pas de quoi se plaindre. Pour la première fois de sa vie, elle allait en cours avec plus ou moins de plaisir, elle était intéressée et faisait de son mieux car dans ce monde, c'était les meilleures qui arrivaient à persévérer. Pas de place pour tout le monde. Enfin bref, voilà un nouveau weekend qui débutait pour Boucle d'Or. Elle n'avait rien de prévu, et ce n'était pas dérangeant. Rien de prévu signifiait pour elle - weekend plein d'imprévus ! Et ça, c'était bien plus excitant qu'un truc tout planifié quatre mois à l'avance. Avec elle, c'était sur le coup. Quand elle avait envie d'un truc, c'était maintenant, tout de suite. Pas dans trois semaine. Elle est spontanée, imprévisible, et c'est aussi ce qui fait son charme.
Ce jour là, après la fin des cours, Mikayla était allée faire un peu de shopping avec quelques amies. Non, pas dans un vulgaire magasin où toutes les pauvres filles se ruaient dès le début du weekend, mais dans une boutique de luxe, là où personne ne se bousculait pour essayer un vêtement, là où tout était parfaitement bien rangée. En achetant ses fringues dans ce genre de boutique, elle était sûre de ne pas se retrouver avec le même haut qu'une autre fille, vu le prix que ça lui coutait. Mais il faut dire qu'elle, elle pouvait se le permettre. Un haut à 180 $, ce n'était pas ce qui allait l'appauvrir. Avec tous les petits boulots de mannequin qu'elle avait fait, les publicités pour des marques de vêtements ou de cosmétique, les photos et les défilés, Mikayla avait bien remplis son compte bancaire, sans oublier ses parents qui étaient également là pour ça. Enfin bref, bilan de cette après-midi, une somptueuse robe rouge et noire, avec les chaussures à talon qui allaient avec, ainsi que les accessoires, genre colliers, bracelets, etc. Et puis aussi quelques hauts et un jean.
Il était désormais 23 heure. Mikayla était dans sa chambre d'étudiante, à la cité universitaire de Berkeley. Elle s'était décidée à sortir faire un tour au Bimbo's 365, comme elle le faisait assez souvent. Elle avait déjà commencé à se préparer. Elle avait enfilé son nouveau jean, avec un des hauts qu'elle s'était achetée dans l'aprèm'. Un débardeur blanc bien décolleté et moulant, qu'elle avait rentré dans son jean, qui était en fait un taille haute. Par dessus, une belle ceinture et le tour était joué. Elle était vraiment sublime, extrêmement classe. Elle se maquilla et se coiffa. Elle avait opté pour des cheveux détachés, qui retombaient sur ses épaules nus. Elle finit par enfiler ses chaussures, une veste, et choisit le sac à main qu'elle prendrait. Une fois toute prête, elle sortie de sa chambre, descendit du bâtiment, et par chance, elle pu avoir un taxi sur le champ, qui la mena jusqu'à la boite, où elle arriva à peine un quart d'heure plus tard. Elle passa tout d'abord par le vestiaire, elle donna sa veste à l'homme qui était devenu un ami à elle, avec le temps. Son entrée fut assez remarquée, comme à son habitude. Elle s'installa au comptoir, sur un grand tabouret, et se commanda une bière, boisson dite pour homme mais qu'elle, elle adorait. Quelques minutes plus tard, elle entendit tout près d'elle une voix qui lui paraissait familière, un jeune homme qui s'adressait à elle. Elle ne mit pas trop de temps pour le reconnaitre, c'était Thomas Johansten qui était venu s'installer à ses côtés. Elle se tourna vers lui et ne pu s'empêcher de sourire, à ce qu'il venait de lui dire.
MIKAYLA - « Et oui, toujours ! »
Et elle rit un coup. Elle ne pensait pas tomber sur lui ce soir là, et pourtant. Je vous avez bien dit que l'imprévu était mieux que tout ! Tomber sur ce bel acteur qui avait eu tant de succès en moins d'un an, une vraie chance pour la belle.
MIKAYLA - « Alors dis moi, comment tu vas ? T'es venu ici draguer quelques jeunes demoiselles, ou bien au contraire, te faire draguer par elles ? »
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| | Sujet: Re: « It’s gonna be a great night » - Mikayla Joey Davis Sam 16 Jan - 20:37 | |
| (c) Sulky & Chrys« It’s gonna be a great night » Cela me faisait le plus grand bien de me retrouver dans ce lieu que j’avais tant fréquenté au court de ma jeunesse. En effet, même si je n’avais pas l’âge lorsque j’ai commencé à sortir, je n’ai jamais eu aucun mal à pénétrer dans cette boîte de nuit hautement estimée. A vrai dire, je n’avais que 13 ans lorsque, pour la première fois, j’avais réussi à convaincre le videur de me laisser rentrer mes amis et moi. D’un autre côté, ce n’était pas bien difficile. C’est certains qu’une fille a beaucoup plus de facilité à entrer dans un lieu tel que celui-ci même si elle en a pas l’âge. Elle peut très bien se vêtir d’un décolleté plongeant et d’une mini jupe cachant tout juste ses fesses parfaitement ajutées au reste de son corps élancé et, par un sourire, demander à plusieurs fois au videur de faire comme si elle est en âge de fréquenter ce genre d’endroit. Il y a cependant, parfois, des chances pour que le videur s’en tienne à son travail et respecte les règles qui stipulent que les jeunes âgés de moins de 21 ans ne peuvent pas rentrer dans tel ou tel boîte de nuit. Toutefois, on le sait tous, les videurs sont bien souvent à l’entrée dans le seul et unique but de toucher un salaire à la fin du mois qui pourra tout juste lui permettre de nourrir sa famille s’il en a une et parvenir aux besoins quotidiens. En ce qui me concerne, comme l’argent n’est et n’a jamais été un problème, j’ai toujours su persuadé le videur de me laisser rentrer. Quelques billets glissés par un poignée de main et personne ne voit rien. C’est vrai que lorsque j’avais 13 ans, ça ne fonctionnait pas vraiment ainsi. Cependant, mes amis et moi étions suffisamment malins pour se rendre compte des options possibles comme par exemple une sortie de secours qui n’est pas surveillée ni utiliser. Ou du moins, qui l’est par ces personnes complètements saouls qui doivent à tout prix sortir prendre l’air afin de dégueuler le surplus d’alcool qui les rend lavette.
Ce soir, je n’avais eu aucun mal à pénétrer dans le Bimbo’s 365. En même temps, c’est tellement logique puisque je suis en âge légal de fréquenter ces endroits. J’étais venu seul mais je ne comptais pas repartir seul c’était certains. Ce n’est pas du tout dans mes habitudes bien que cela m’arrive tout de même de temps en temps. Pénétrant dans la boîte de nuit, je me rendis compte qu’elle n’avait pas changé même au court de cette année d’absence. Cependant, elle était bien différente des boîtes que j’avais eu l’occasion de fréquenter à New York. Même si New York n’est pas réputée pour ses boîtes ou bars du soir, je dois dire qu’il y a là, une nette différence que n’importe quel individu remarquait au premier coup d’œil. Toutefois, je ne pouvais pas me passer de l’ambiance qui régnait à Berkeley puisque c’était tout de même dans cet endroit que je me sentais le mieux. J’étais d’ailleurs revenu pour l’une de ces raisons puisque ce n’était pas la seule non plus …
La musique était montée à un volume sonore élevé ce qui était tout à fait normal et en tant qu’habitué, ça ne me dérangeait en aucun cas. Lorsque je me dirigeais vers le comptoir, je remarquai quelques personnes mal à l’aise. En même temps, elles devaient être âgées d’une quarantaine d’années. Je ne veux pas dire que ces vieilles personnes n’ont pas leur place dans cette boîte toutefois, ce n’est pas vraiment habituel de croiser des personnes telles que celles-ci.
Ensuite, je vis Mikayla. Cela me faisait vraiment bizarre de la revoir après une année sans avoir de nouvelles de sa part. Il faut dire que je n’avais donné de nouvelles à personnes. J’étais partit comme un voleur sans avertir quiconque et voilà que j’étais de retour à Berkeley même. Je me demandais si elle allait m’en vouloir puisque nous avions l’habitude de nous voir régulièrement auparavant. Enfin, j’en doutais fortement. Mikayla n’était pas ce genre de fille de plus, je l’avais connu juste avant de m’en aller. A l’époque elle débarquait à Berkeley et je dois dire que j’ai tout de suite apprécié cette fille.
Mikayla : « Alors dis moi, comment tu vas ? T'es venu ici draguer quelques jeunes demoiselles, ou bien au contraire, te faire draguer par elles ? »
Je ne pu m’empêcher de sourire face à ses questions. Oui, si j’étais venu dans ce bar c’était bel et bien pour faire des rencontres et pour draguer mais il faut dire que je me faisais tout autant draguer. Par ailleurs, a peine étais-je arriver que j’avais sentis une jeune femme me mettre la main aux fesses alors que je traversais la foule postée au milieu du bar à danser tout en buvant des verres. Je ne lui avais adressé qu’un petit clin d’œil avant de rejoindre le comptoir du bar.
Thomas : « Très bien ! Je suis entouré de belles femmes, que demandez de mieux ? … et toi ? » fis-je tout en souriant et en vérifiant que de l’autre côté de moi ne se trouvait pas un monsieur, ce qui n’était effectivement pas le cas mais il s’agissait d’une charmante demoiselle à la longue chevelure brune et aux yeux verts.
Thomas : « Hum, je pense un peu des deux j’imagine ! Qu’est-ce que tu veux, c’est comme ça lorsqu’on est un joli jeune homme et en plus de ça, une star ! » fis-je en rigolant avant de boire une gorgée de mon verre.
Thomas : « Alors, je t’ai pas trop manqué durant tout ce temps ? » |
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