Sujet: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Sam 2 Jan - 21:35
laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett et naomi j. venn Une vraie rencontre, une rencontre décisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin. ♪
Une fine gouttelette s’écrasa sur le doux visage pâle de Naomi, et celle-ci, dans un sursaut se redressa, pour voir de quoi il s’agissait. Un verre à moitié plein à la main, un homme d’une vingtaine d’année était accoudé à ses côtés, sur l’immense canapé de cuir des OMEGA. Et celui-ci, loin d’être sobre tanguait quelque peu, à chacun de ses pas. Parfois Naomi se haïssait d’avoir choisit une fraternité où dormir quelques secondes devenaient si difficile, mais les rayons du soleil traversaient aisément la pièce et lorsque son regard se porta sur l’horloge, elle put y lire une heure assez avancée dans la matinée. En prenant soin de ne pas bousculer les autres fêtards endormis dans la pièce, elle se hissa hors de celle-ci et traversa l’immense villa pour rejoindre la salle de bain. A peine debout, elle fut prise d’un tournis désagréable. Les effets de l’alcool après une nuit folle, elle connaissait pourtant si bien. Ne se laissant pas abattre par ces tambourinements dans sa tête, elle accéléra le pas jusqu’à la salle de bain, qu’elle espérait vide. Et heureusement, elle eut cette chance. Elle ferma la porte à clé derrière elle, et laissa sa robe fine de la veille tomber sur ses hanches parfaites. Rapidement, ses sous vêtements d’un rouge flamboyant tombèrent à leur tour à terre, et la jeune femme se glissa sous un jet d’eau bouillante. Pour décompresser, elle ne connaissait rien de mieux, c’était certain. Sous l’eau bouillante, l’odeur de l’alcool, du tabac, disparaissait instantanément. Elle prit soin de l’y aider en savonnant chaque parcelle de son anatomie féminine, et quelques instants plus tard, elle s’enroulait d’une serviette chaude et se dirigeait dans sa chambre pour y enfiler des vêtements propres.
Elle enfila son tee-shirt et se tourna vers son reflet, dans le miroir mural. Elle avait rapidement enfilé un jean particulièrement moulant qui lui faisait de magnifiques fesse, et un top qui dessinait sa taille parfaite. Malgré que son père fût le plus grand homme d’affaire du milieu de la mode, Naomi aimait se vêtir de vêtements simples pour tous les jours. Les robes chanel, ou Dior, elle les réservait exclusivement pour sortir, ainsi, elle pouvait se confondre dans la masse d’étudiants de Berkeley. Parce qu’être cataloguée comme une enfant de riche, bien que l’avis des autres compte peu pour elle, n’était pas tous les jours de tout repos. Surtout lorsqu’il s’agissait de se faire des amis. Elle avait déjà trop souffert par des amis intéressés par sa réputation uniquement. Enfilant des escarpins, elle se glissa hors de sa chambre et cette fois-ci, rejoint la cuisine. Une bonne tasse de café serait idéale pour commencer la journée. Repoussant sa longue chevelure brune sur ses épaules, elle se dirigea jusque dans l’immense pièce et ouvrit un tiroir pour en sortir de quoi se concocter une bonne tasse de café. Mais rien. Plus un seul gramme de ce fichus café moulu. Le regard de la jeune femme vagabonda un instant dans l’immense pièce, mais en vain, puisque l’objet de ses désirs ne se trouvaient visiblement pas là. Excédée, que les OMEGA soient incapables de faire les courses, elle quitta la pièce par la porte fenêtre. Elle n’avait plus qu’à se trouver un Starbuck Coffee, si seulement elle savait où elle pouvait en trouver. Sa première idée fut de rejoindre l’université pour se contenter d’un de ces fichus cappuccino de machine à boisson. Mais l’idée de s’abreuver de ce liquide infecte fut présente dans son esprit et elle décida de se mettre à la recherche d’un café. Le centre ville semblait l’endroit idéal.
Naomi soupira, elle avait fait le tour de cette rue déjà cinq fois, et elle tournait tout simplement en rond. Bien sûr il y avait eut une crêperie, mais comme par hasard, ils étaient impossible de lui fournir un café. « Nous n’en avons plus Mademoiselle, je vous serre autre chose ? » C’est en repensant à la voix horripilante de la serveuse qu’elle finit par pester plus fort encore. Elle tourna finalement au coin d’une rue, et s’engouffra dans une ruelle déserte. Peut être que par miracle, pour une fois, elle trouverait l’objet de son bonheur, mais plus elle avançait plus le nombre de piétons se réduisait. Son sac collée contre sa silhouette parfait, elle se frayait un chemin jusqu’à l’autre bout de cette petite rue obscure. Elle sursauta lorsqu’un chaton bondit à ses côtés et se trouva totalement ridicule. Et froussarde. Inspirant profondément, elle se contenta de marcher encore un petit peu, mais elle n’eut que très peu de chance lorsqu’elle glissa au sol. Assise, les fesses par terre, son sac à main à moitié renversé en pleine milieu du bitume, il fut quelques instants à la jeune femme pour se décider à se relever. Pourquoi certaines journées s’annonçaient fichues d’avance ? Elle détestait ce genre de moments, ceux où tout va mal. Pas de café, un mal de tête de plus en plus présent, et la voilà maintenant à terre, dans une rue sale, à ramasser son portable, ses clé et son rouge à lèvre. Se relevant doucement, elle était déjà en train de râler. Mais un bruit de pas dans son dos aurait pourtant dut l’alerter qu’elle n’était plus seule. Mais non, la jolie Venn se plaisait à insulter son fichus sac à main de ne pas rester fermer lors de ses gestes brusques…
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Dim 3 Jan - 18:13
"OH MY GOD!" . Call me Aby, darling...
Je déteste le réveil... Cette invention venant directement du tréfonds des enfer & sans frais de transport. Cet horrible grincement plus sonore qu'une locomotive mal réglée me défonçait les tympan sans la moindre retenue. J'écrasais mon poing sur celui-ci avant que la jeune fille ne hurle. Oui c'est toujours étonnant ma façon d'éteindre les réveil, qu'ils soient à moi ou non. Le fait est que ce réveil-ci ne m'appartenais pas. Mais surtout que le réveil était très proche de son visage à la demoiselle. Voila pourquoi elle avait hurler! Tout s'explique. Je me lève nonchalamment & chope mon paquet de cigarette. J'en sort une, sort mon briquet & l'allume. Je tire sur la cigarette & enfile un boxer. Autour de moi, le bordel monstre. J'avais tout envoyer en l'air en faisant l'amour à la demoiselle... Je passais ma main dans mes cheveux & me grattais la joue avant de reprendre une taff. J'enfilais un pantalon rapidement & regardais le lit ou la jeune fille était encore. Mon collier étaient brulant sur ma peau tiède & mon pantalon pas encore refermer. Je me grattais l'épaule & décidais de me réveiller pour de bon. Je poussais les affaires sur le bureau, faisant ainsi tomber deux ou trois bouquin & un classeur. Sur l'espace vide, je renversais ma poche gauche de manteau. Je commençais à me rouler un joint avec la manière d'un expert. Bon ça commençais à faire beaucoup de joint d'affiler & je n'avais pas été clean depuis plus de trois jours... Il faudrait que je calme le jeu tout de même. Je me redressais, enfilais un débardeur, une chemise que je refermais après avoir jeter ma cigarette dans un cendrier. Cette fois-ci, pas de cravate! Je laissais le haut de ma chemise ouverte, laissant voir ma chaine d'argent autour de mon cou. Je fermais mon pantalon & me rassit. J'allumais le joint & me détendis dans mon siège. Je me tournais enfin vers la jeune fille & lui dit d'une voix douce "bonjour ma jolie". Rien d'extraordinaire, pas de paroles réconfortante sur mon état de santé mentale, pas de câlin après une nuit hot & surtout pas de mots d'amours. Ce qui était bien c'est qu'aucune de mes conquêtes, ou très peu, ne s'attendait à ce genre d'attention venant de moi. Après tout je n'étais qu'un robot, dont la fonction "se reproduire" était largement désaffectueuse. Je tirais sur mon joint & le tendis à la jeune femme qui le pris entre ses doigts fins. Je finis par me redresser totalement, chassant d'un geste de la main sur mon visage toutes les petites fourmis qui avaient élus domicile dans mes joues. Je finis par récupérer mon manteau & mon écharpe & m'habiller. Pendant que je mettais mes chaussures, je lui laissais l'un de mes numéros. Cette filles m'ennuyais trop pour que je lui laisse le vrais. Mais elle avais l'avantage de ne pas trop parler pour ne rien dire & d'être douée au pieu. J'ouvris la porte & sortit, sans vraiment savoir ou j'allais aller...
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Se perdre est un art en soit. Une maitrise rare de nos jours puisqu'ils y a des GPS, des cartes, des boussoles & j'en passe. Pour ma part, je ne suis pas exempt du manque de savoir en matière de perdition. Je en me perd plus moi mes amis, je me laisse aller par le vent, là ou me porte mon instinct, voila la différence. Le fait est qu'à force de me laisser porter par mon instinct, je ne savais plus trop où j'allais... Mais cela n'avait absolument aucune importance. Je flânais dans les rues, regardant une vitrine & une autre, passant m'acheter un croissant par-ci & un sprite autre part. a quoi bon se prendre la tête inutilement d'ailleurs? Ne pas savoir ou l'on se trouve n'est pas forcément une source d'angoisse en plus, en ce qui me concerne je trouve cela reposant. Pas de prise de tête à surveiller la route, pas de "dans 200m tournez à gauche" avec une voix sexy mais surtout très chiante & répétitive. La paix quoi! Voila! J'étais habité par la paix! & la paix n'a pas de prix, du moment que personne ne sait que vous l'avez... Je regardais les immeubles si haut, les maisons plus grandes les unes que les autres & les boutiques plus remplies encore qu'un paquet de bonbon taille maxi. Mon bon vieux Londres n'a pas tout ces immeubles, mais niveau boutique remplie, ça me connais! J'ai même acheter une petite boutique de friandise au pied de big ben, avec un seul employé qui marche magnifiquement bien. Je vais d'ailleurs devoir en employer un deuxième, comme c'est navrant. Enfin bref, je me mis à tourner & viré, tant & si bine que je finis par ne plus voir personne dans les rues. Les rares gens que je rencontraient encore allaient dans le sens inverses, mais je décidais de montrer aux gens que moi, j'allais par là! La question était, "par là" c'était où?
Au moment ou je me posais la question, il n'y avais absolument personne pour y répondre. Pensez-vous, une rue ou il n'y a même pas de portes, qui voudrais s'y aventurer!? Bah justement... Une très jolie demoiselle face à moi, les fesses sur le bitumes & le sac à moitié renverser s'offrit à mon regard assoiffé. Je m'approchais lentement, avec toute la lenteur qu'un prédateur peu avoir lorsqu'il à repérer une proie potentiel. La poitrine de la jeune femme n'étais pas négligeable & son visage était presque angélique. Un régale pour les yeux. Sa taille était parfaitement serrée par son haut & son cou pourrais assoiffer un homosexuel endurci. (le mot est bien choisit d'ailleurs.) Je m'approchais de la demoiselle & me penchais pour lui tendre... une capote! Je dût me retenir de ne pas rire.
Mademoiselle, vous oubliez ceci.
Réussit-je à dire, sans pour autant arriver à cacher la pointe de perversité dans ma voix. D'un côté, après réflexion, je n'avais pas vraiment essayer de la dissimuler. Avoir une voix pleine de sous-entendu m'avais toujours plut, depuis mon plus jeune âge d'ailleurs. Mais qu'est ce que je raconte? J'dit des conneries! Revenons à la jeune demoiselle qui s'était redresser depuis & tenais le préservatif un peu comme si elle allait s'écrouler à nouveau. J'ignorais que les préservatif servaient aussi à garder l'équilibre... J'adore cette jeune femme!
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Sam 9 Jan - 18:28
La douceur du caractère de Naomi s’était envolé, et ce depuis déjà quelques secondes maintenant. Voir même quelques heures. Excédée par toutes ces choses qui se produisaient si mal ce jour là, comment pouvait on avoir si peu de chance ? Cela ne lui ressemblait pas. Pour cela, elle haïssait l’université. Quand elle vivait encore chez ses parents, elle ne manquait jamais d’une goutte de café, parce qu’elle avait tout ce qu’elle désirait, tout le temps. Pire, elle n’avait même pas à se démener pour l’obtenir. Il y avait Margarette pour succomber à ses désirs dans la demeure familiale. Cette femme douce et serviable qui ne manquait jamais de céder aux caprices de Naomi. Elle se souvenait même qu’elle avait été capable, un matin, de lui apporter une pâtisserie française, invendable à New York. Comment elle s’était débrouillé, Naomi n’en savait rien, elle n’avait jamais cherché à le savoir parce que c’était toujours ainsi, quand elle voulait, elle avait. Lorsque la vois mélodieuse de Naomi résonnait, on accourait pour la servir. Où était passé ce fichu privilège ? Envolé avec les années en plus, avec son âge qui ne cessait de s’accroître. Résignée à devoir trouver seule son café, elle s’engouffra dans une ruelle sombre et vide, et ne mit que quelques instants avant de se retrouver les fesses par terre, sur ce fichu bitume. Le regard plus que dépassé par les évènements, elle soupira fortement, et râla comme elle savait si bien le faire. Une princesse pourrie gâtée, c’est comme ça, il paraît. Elle se résigna cependant à ramasser ce que son sac avait déversé un peu partout dans la ruelle. Que pouvait-il y arriver de pire ? Et surtout, comment rendre cette journée plus agréable après tout cela. D’abord, elle s’était éveillée dans sa fraternité et non dans la chambre d’un séduisant étudiant, ensuite elle avait dut supporter un mal de tête infernal, n’avait pas trouvé une goutte de café, et venait de se perdre dans une ruelle où elle trébucha malencontreusement. Non, vraiment, rien ne pourrait obscurcir plus sa journée. Mais une voix la tira de cette conclusion qu’elle formait dans sa tête, et elle souleva ses grands yeux pour dévisager un homme, d’une vingtaine d’année qui se tenait devant elle, une capote à la main. Sa voix, pleine de sous entendu et sûrement d’un peu de perversité, facilement perceptible résonna. Naomi sentit son cœur vaciller. Elle ne connaissait pas ce jeune homme, mais son sourire charmant la prit de court. Sans compter ses grands yeux dont l’expression principale était sans nul doute de l’amusement. Ses traits fins mais masculins étaient parfaits, et clairement séduisant. D’ailleurs à en voir sa façon de parler, il n’avait nul problème avec la gente féminine. L’assurance qu’il dégageait était sûrement l’indice de trop pour confirmer cette hypothèse. Mais l’attention de Naomi fut à nouveau attirée par le préservatif qu’il lui tendait. C’était une rencontre assez étrange, vue de l’extérieur. En se relevant, tant bien que mal, Naomi s’en empara, le tenant entre ces doigts en le fixant. Comme si c’était la première fois qu’elle en tenant, chose impossible vu qu’il était à elle. Surtout en sachant le nombre de préservatif qu’elle avait déchiré dans sa vie. Elle tenta de reprendre son calme, mais c’était elle était comme chamboulée de l’intérieur, par cette rencontre, par cette première entrevue assez étrange et peut être même par ce charmant jeune homme qui, il fallait l’avouer, était plutôt à son goût. Sa silhouette était impeccable et son corps appelait au viol, presque. Mais Naomi, comme à son habitude, attendit de reprendre ses esprits avant de répondre, d’un ton quelque peu détaché.
NAOMI – Merci beaucoup, je risque d’en avoir besoin… Il aurait finit par me manquer...
Quelques sous entendus dissimulés ? Peut être bien que oui, ou peut être bien que non. Toujours est-il que le regard du jeune homme savait si bien la déstabiliser. Il dégageait quelque chose, quelque chose qu’elle ne comprenait pas encore très bien. Mais elle pouvait à présent revenir sur le fait que sa journée ne s’améliorerait jamais. Parce que contre toute attente, c’était peut être, finalement le début d’une journée… Intéressante. Elle fit un faible sourire à cet inconnu au corps de rêve et se décida finalement à ne pas s’en aller comme cela, sans même prêter plus attention à lui.
NAOMI – Et puis, merci aussi de rendre ma journée beaucoup moins désagréable que je ne l’aurais envisagée…
Peut être était ce un compliment, et c’était assez impressionnant, sorti des fines lèvres pulpeuses de Naomi. Pour elle, les compliments n’étaient jamais de rigueur, surtout avec de parfaits inconnus. Et dans ces circonstances-ci. Elle se trouvait totalement perdue dans une ruelle avec un inconnu qui pouvait très bien ne pas lui vouloir que du bien. Mais Naomi avait cet amour pour le danger, et l’inconnu et elle ne fit aucun mouvement de fuite, bien au contraire, elle fixait toujours le splendide brun droit dans les yeux, le dévisageant peut être un peu trop indiscrètement. Mais ses traits la fascinaient totalement. Elle en avait oublié son café, ou presque.
NAOMI – Ca vous arrive souvent d’apparaître dans une rue déserte pour rendre son préservatif à une fille ? Ou tout simplement, rendre un préservatif à une fille sans même essayer d’avoir à l’utiliser ?
La Naomi troublée se reprenait toujours bien au bout de quelques secondes, la situation ne semblait ne pas y faire exception. Enfouissant ses derniers objets dans son sac, elle ne quittait pas l’apollon des yeux.
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Mer 13 Jan - 8:01
Because you are so gorgeous... Let me lick your lips...
Merci beaucoup, je risque d’en avoir besoin… Il aurait finit par me manquer... Et puis, merci aussi de rendre ma journée beaucoup moins désagréable que je ne l’aurais envisagée…
Vu la tenue de cette jeune femme, sa cambrure naturelle, sas jambes interminable & ce petit sourire, croyez le ou non je la croyais sur paroles. Je la regardais des pieds à la tête, ne loupant pas le moindre détails. Je ne cherchais pas vraiment à être discret, mais vu sa manière de me reluquer, je doute qu'elle se soit aperçut de quoi que ce soit. Je passais ma main dans mes cheveux en me redressant face à elle. Elle avait l'air de meilleure humeur, tant mieux. Je lui sourit un peu & découvrait ainsi les fossettes de mon visage. Mes yeux s'enfoncèrent profondément dans son regard, comme si je pouvais l'avoir nue dans mes bras tout de suite. Comme si je caressais ses épaules & sa taille du bout des doigts. Je la déshabillait du regard si j'ose dire. Je ne cherchais toujours pas à être discret, puisque d'après moi cela est d'une inutilité remarquable. autour de nous, le calme plat toujours, pas la moindre personne ne passe, personne ne regarde par la fenêtre. Je crois qu'il est encore trop tôt. Il serait peut-être temps que j'aille en cours un jour? Enfin pourquoi est-ce que je pense à ça maintenant? J'approche la main de la jeune femme de mes lèvres & y dépose un baiser. Une manière comme une autre de dire bonjour en signalant que je ne suis pas n'importe qui. Je fût des plus heureux de rendre une journée plus ensoleillée à cette jeune frêle & douce... bombe sexuelle! Bon d'accord je sais que je suis brusque parfois, mais aujourd'hui, je en voulais pas me presser, encore moins jouer les grosse brute assoiffé de sexe. De toute manière ce n'était & ne sera jamais mon genre d'agir ainsi. Si j'ai dragué par le passé, c'est uniquement avec une certaine classe & ce sans le moindre mot grossier à quelque moment que ce soit. Je me reculais, la laissant enfin ranger son préservatif dans son sac, plus ou moins soigneusement. Elle semblais soudainement presser. Il me fallut environs 5 bonnes secondes pour me rendre compte que si elle était si pressée, c'était juste pour me regarder sous toutes les coutures. Elle m'analysait, m'observait, me jaugeait & ça me plaisait. Pour une fois la fille que je drague ne fait pas que se laisser draguer, elle me drague aussi. Je dois avouer que ça fait plaisir aussi. Je défroissais ma veste & me mis à regarder la rue entière. Je ne suis pas dur genre à parler pour ne rien dire, ni même à parler tout court. Quoi que je dise, je calcule son poids auparavant, voit sur quoi je peux déboucher & quelles réponses je peux obtenir avant de réfléchir à ma réponse possible. Mais je dois avouer qu'avec cette charmante demoiselle, je ne voulais rien faire d'autres que me laisser bercer. Je retirais finalement ma veste, ayant un brin trop chaud pour une raison inconnu & la pliait un peu avant de la draper sur mon avant bras. Je m'avançais & lui tournais autour, en profitant pour sentir son parfum. Je laissais ma veste la frôler, mes mains s'aventurer sur ses épaules avant qu'elle ne me dise d'une manière des plus amusée:
Ça vous arrive souvent d’apparaître dans une rue déserte pour rendre son préservatif à une fille ? Ou tout simplement, rendre un préservatif à une fille sans même essayer d’avoir à l’utiliser ?
Oh mais qu'entends-je? une boutade des plus adorable à mon gout. Je me laissait à rire, appuyer contre un mur. Je ne me lassais plus de regarder sa peau, de regarder ses beaux yeux. elle ressemblais à un petite princesse, malgré ses vêtements des plus simple. Je n'ose imaginer ce que cela donnerait si elle était en tenue de soirée. Soudain je pensais à Kirsten. Oui cette jeune femme dégageais le même charme que Kirsten ou presque. Déstabilisant un temps, puis des plus agréable lorsque je me rendis compte que leurs charmes étaient semblables mais pas identique. La jeune femme face à moi était moins prude que Kirsten, manifestement plus ... coquine aussi. Qu'un inconnu lui rendent une capote aurait surement rendu ma petite princesse rouge comme une tomate. JE reposais mon regard sur la jeune femme avant d'effectuer une petite révérence digne des jeunes prince ou des courtisans.
Je suis Aby Elliot Lovett, & croyez-le ou non ma chère demoiselle, la rendre sans avoir ne serait-ce que penser à l'utiliser ne m'est jamais arriver & ne m'arrivera surement jamais.
Je lui lançait un regard profond. Noyé de sous-entendu il la pénétra jusqu'au tréfonds de son âme. Insinuant des images des plus osées dans son esprit & imprimant sur son visage une expression que je nommerais "craquante". Je repassais encore une fois ma main dans mes cheveux. Je devrais me débarrasser de ce tic des plus énervant. Mon sourire en coin revint, le célèbre sourire qui est figé sur mon visage la plupart du temps. Je passais ma main sur ma joue, comme si je réfléchissait. Je la regardais de fond en comble & finis par fouiller ma veste afin d'en sortir une cigarette & un briquet. Je lui tendis le paquet avec le briquet sans vraiment faire attention à ce qu'elle me dit. Je crois qu'elle à refuser, mais on n'est jamais sûr de rien. J'allumais ma cigarette, tirant une bouffée & recrachant la fumée comme un petit brouillard d'entre mes lèvres à demi-closes. Je remis ma veste & l'ajustais sur mes épaules avec l'art & la manière de ceux qui portent souvent des costumes trois pièces. Je réajustais ma chemise, tirant une nouvelle fois sur ma cigarette je m'avançais dans la rue, continuant à réfléchir. Je ne voulais pas laisser partir une si jolie demoiselle. Je me tournais & surpris un regard un peu vague, soit elle réfléchissait aussi, soit elle matait. Dans les deux cas, je ne m'y intéressait pas beaucoup. Ce qui m'intéressais était de l'avoir pour moi pendant quelques heures & de faire connaissance. Et puis pourquoi pas un peu plus d'ailleurs, sait-on jamais.
Mademoiselle, seriez-vous encline à venir prendre un café avec moi avant de faire plus ample connaissance? Je meurt de faim & de soif.
Pour illustrer mes dire, je me frottais le ventre, froissant ainsi ma chemise blanche cassée. Je lui tendis le bras & dans ma tête une foule de questions se posèrent en même temps. Ma chambre était-elle rangée? N'y avait-il pas de visite de prévue dans la journée? qui était susceptible de venir m'emmerder avec une jeune femme si je rentrais avant le début de l'après-midi? Toutes ces questions eurent des réponses que m'ont assez satisfait pour ne pas changer mes plans. si tout se passaient bien, nous irions finir de prendre un verre dans ma chambre d'étudiant. J'espère qu'elle aime le cinéma parce qu'avec le lot de films que je me suis acheter il serait vraiment dommage qu'aucun ne lui plaisent. Je m'étais aussi payer un écran géant dont je ne m'étais servit que deux ou trois fois jusqu'à présent. Pour une chambre d'étudiant, elle était assez spacieuse pour que je puisse me le permettre. Mais pourquoi je part si loin? Je lui demanderai plus tard si elle veux voir un film en particulier. De toute manière, j'ai toutes sortes de films disponible & je peux en avoir des milliers d'autres.
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Mer 13 Jan - 14:19
Laisse moi au moins rêver de ton corps nu collé sensuellement au mien...
Ceux qui répriment leur désir, sont ceux dont le désir est assez faible pour être réprimé. - William Blake -
Doucement, la main de Naomi se laisse emporter dans celle chaude d’Aby et délicatement, celui-ci y dépose un baiser digne des garçons de bonne famille. Naomi, encore quelque peu bouleversée par cette rencontre imprévue, se laisse totalement aller à ce geste qu’elle juge totalement séduisant. Tout comme l’est ce jeune homme qui, depuis maintenant quelque minutes captive totalement son regard. Mais c’est la sensation ressentie par ce premier contact, qui pourrait le plus porter confusion chez la jeune brune. Est-ce normal qu’un simple baiser, déposé furtivement sur sa main créer un tel remue ménage à l’intérieur de son ventre. A moins que ce soit uniquement la faim ? Pourtant, une sensation de chaleur l’envahit et elle tente tant bien que mal de ne rien laisser paraître, comme à son habitude. Il faut dire qu’elle est assez forte à ce petit jeu là, jouer de ses mimiques et expressions uniquement quand elle le désire. La rue est déserte, quelques bruits de voiture au loin se font entendre, mais l’endroit est pourtant réellement calme si bien qu’un faible sursaut se fait voir sur les épaules frêles de la jolie Venn lorsqu’une voix masculine, et particulièrement séduisante se fait entendre.
ABY - Je suis Aby Elliot Lovett, & croyez-le ou non ma chère demoiselle, la rendre sans avoir ne serait-ce que penser à l'utiliser ne m'est jamais arriver & ne m'arrivera surement jamais.
Tout d’abord, Naomi prend le temps d’apprécier cette voix, nouvelle et très agréable. Elle se surprend à penser qu’elle aimerait entendre celle-ci la bercer, lui parler, durant peut être des heures entières. Les tonalités de sa voix masculine ont ce petit quelque chose de charmant, d’agréable. C’est comme une douce mélodie, grave et masculine, mais enivrante. Enivrante, comme son odeur, lorsqu’il décide d’ôter sa veste. Son parfum plane dans l’air et l’air de rien, Naomi tente de faire en sorte que cette odeur reste graver dans son esprit. Un petit sourire naît sur les lèvres de la jeune femme, elle lit dans son ton tellement de sous entendu qu’une autre jeune femme pourrait peut être en être choquée. Mais rien ne choquera Naomi, non, parce que c’est elle habituellement qui provoque. Et pour une fois, elle a enfin trouver quelqu’un qui connaît les règles de son jeu et qui se prête à y jouer sans même qu’on ne le lui demande. La séduction, les sous entendus, tout cela, elle les connaît si bien, mais jamais sortit des lèvres d’un homme, aussi attirant qui plus est. Elle le fixe, se mordillant la lèvre inférieur. Le soleil reflète sur une partie de son visage, et elle observe la délicatesse de ses traits, la douceur de ses lèvres, la légère marque de sa fossette. Avec son regard à tomber par terre, et son sourire charmeur, quelle fichue fille n’est pas encore passer dans ses bras. Cela se lit si bien sur lui, que cet homme est un tombeur, Naomi saurait les reconnaître à des kilomètres, peut être parce qu’il se trouve que ce sont toujours ceux qui l’attirent réellement. Se sent-elle attirée cette fois ci par cet apollon, par celui qui se désigne comme étant Aby Elliot Lovett ? C’est fort probable. Le regard du jeune homme la transperçant, elle perdit pied quelques instants, se laissant à rêver de certaines scène peut être déplacée pour une première rencontre. Tentant de chercher la sensation que pourrait provoquer ses lèvres, cherchant doucement les siennes, les embrassant furtivement, juste pour y goûter, comme à un fruit défendu. Aurait-elle chaud si les mains agiles du jeune homme venaient à se faufiler sous son débardeur, aurait-elle cette montée d’adrénaline en lui ôtant ses vêtements. Toutes ces idées, tous ces fantasmes défilaient dans son esprit, alors que leur regard ne se quittait plus. Cela dura quelques instants. Le temps de conclure sur le fait qu’elle désirait vraiment en savoir plus sur lui, et que son corps tout entier l’appelait. C’était impossible à contrôler, à réprimer, il était comme un aimant. Et même si Naomi ne couchait qu’avec des hommes qui l’attiraient, elle n’avait jamais sentie tant de tensions sexuelles en si peu de temps. Elle ne connaissait pas ce bel inconnu et pourtant, elle se serait, volontiers, adonner à quelques baisers langoureux dans cette rue déserte, à l’abris de tous regards. Mais cela était il digne d’une Venn ? Elle en doutait. Cependant, cela faisait maintenant un bout de temps qu’elle n’agissait plus uniquement comme l’aurait voulut ses défunts parents. Et là, face à cet homme à la fois séduisant et sexuellement attirant, dur était de luter.
NAOMI – C’est intéressant ça…
Elle le fixa encore quelques secondes, de son regard coquin et de son sourire espiègle, avant de finalement remettre son sac à main sur son épaule. Elle était sur le point de continuer son numéro de charme, pourtant, il remit sa veste sur ses épaules, et se retourna au bout de quelques instants. Une sensation brève de déception traversa Naomi tandis que le regard de la jeune femme ne put s’empêcher de poursuivre sa silhouette. A travers sa veste, la musculature de son dos restait impeccablement dessinée, et lorsque les yeux de la jeune femme descendirent sur ses fesses, elle les trouva particulièrement à croquer. Qu’avait cet homme pour la repousser ? Mais bon sang, rien ! Et le laisser partir n’était pas vraiment à son goût, elle n’eut pas le temps de faire un seul pas pour suivre sa trace, qu’il se retourna, laissant une Naomi figée devant lui. Un sourire coquin se dessina sur ses lèvres, finalement il ne partait pas sans elle. Etait ce une partie de gagner ? Elle n’en savait rien, elle voulait juste passer du temps avec lui, beaucoup plus de temps, peut être pour apprécier sa voix agréable, peut être pour matter encore un peu son corps de rêve, ou peut être pour découvrir qui se cachait derrière un si joli prénom ? Sûrement un amant exceptionnel, peut être l’espérait elle, ne se l’admettant pourtant pas encore à elle-même.
ABY - Mademoiselle, seriez-vous encline à venir prendre un café avec moi avant de faire plus ample connaissance? Je meurs de faim & de soif.
Un sourire satisfait, voilà, ce qui prit place sur son visage doux. Elle rêvait d’un peu plus de temps avec lui, et aussi d’un café qui la remettrait sur pied, bien qu’elle soit déjà de bien meilleure humeur. Comme quoi, certaines personnes sans même s’en apercevoir sont capables de faire beaucoup pour nous. D’un pas assuré, Naomi avança vers le jeune homme et lui fit un de ses plus beaux sourires.
NAOMI – Peut être pourrais je commencer par me présenter, je m’appelle Naomi June Venn et croyez le ou non, je ne puis refuser une invitation comme celle-ci, je n’ai jamais été en aussi bonne compagnie depuis bien longtemps… De plus, je rêve d’un café… Et de vous… Connaître mieux.
Le regard coquin de Naomi reprit place sur ses grands yeux expressifs, tandis qu’elle commençait à marcher en compagnie de celui qui renversait à cet instant son esprit entier. Cette beauté, cette façon de s’exprimer et même de marcher, n’étaient que des choses que Naomi pouvait apprécier sincèrement chez le jeune homme. Qui avait donc décider de mettre un homme si sexy devant elle, en pensant qu’elle n’aurait aucune envie d’y toucher ? C’était mal la connaître. Elle passa sa main dans sa longue chevelure brune, et puis, d’une voix toute douce, décida de briser le faible silence qui s’était installé entre eux deux.
NAOMI – Et si vous me parliez de vous… Qui se cache derrière ce corps de rêve ?
Sa main frôla, peut être inconsciemment, ou peut être pas, celle du jeune homme et elle détourna le regard de la route qui se dessinait devant eux pour porter son attention sur l’objet de ses désirs, celui qui faisait en elle, monter inexplicablement la température. Doucement, elle se plaça devant lui, ralentissant l'allure pour le stopper face à elle, et doucement, sa main vint se poser sur le torse du jeune homme. Le tissus de sa chemise, sous ses doigts, elle caressa du bout de son index cette partie de son corps et doucement murmura quelques mots.
NAOMI - Uniquement les choses intéressantes et croustillantes...
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Jeu 14 Jan - 5:24
« J'ai toujours été en décalage. » Je suis de ceux qui vous font rêvez de choses que vous n'aurez jamais.
Est-ce que vous avez déjà réfléchit sur les mensonges? Oui les mensonges, les démons qui nous font sentir puissant, manipulateur ou coupable, selon la personne & le degrés du mensonge. Le mensonge est un mot ample, devenue des plus banale. Pourtant il dénonce quelque chose de terriblement mal vue, l'omission de détails, la déformation de la vérité ou l'invention complète de quelque chose qui n'est & ne sera jamais existant. Le mensonge, malgré la banalité de ce mot, est si ample qu'il possède diverses facette. Il y a les mensonges sombres ou noir, ceux qui font mal pour faire mal, ceux qui sont si mal vue qu'ils peuvent crée des cassures au sein d'une communauté. Ces mensonges profond & mouvant vous emporte rapidement & vous finissez par vous y empêtrez jusqu'au cou sans autres solution pour rétablir la vérité que de fuir. Ceux là sont à éviter tant que possible, vous l'aurez deviner vous-même j'imagine. Totalement à son opposé, vous avez les mensonges dit "blanc". Ces mensonges bénéfiques sont là pour rassurer les autres, pour être gentil, pour donner le sourire ou quoi que ce soit dans ce genre. Vous n'avez donc jamais dit à vôtre mère qu'elle faisait encore jeune pour son âge en pensant "Tu ressemble à un chien vue de dos, lâche-moi". Bon évidemment moi ça ne m'est jamais arrivé, mais j'ai eut nombres de belle-mère dans ce genre. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai interdit à mon père de se remarier. Non pas que je voulais que ma mère garde sa place, mais bien sûr que toutes femmes voulant se marier avec lui ne voulait que & uniquement que son argent & donc le mien. Et n'ayant pas prévu de me retrouver sur la paille avant ma retraite, voir même si possible plus tard, je préfère paré à toute éventualité. D'ailleurs ces femmes pratiquent le mensonge noir sans la moindre retenue, elles vendent de l'amour, des sourires & un peu de bonheur contre une souffrance sans égales par la suite. C'est ce pouvoir par les mots qui me fascine au plus haut point. Tout le bonheur qu'on peux donner en quelques mots & toutes la souffrance qu'on peux souffler sur la personne jusqu'à ce que le bonheur précédent s'envole. Un vrai bonheur pour moi, pour toutes mes magouilles. J'en suis totalement dingue. Il y a aussi les mensonges mi-blanc mi-noir, aussi appeler "mensonge gris". J'en frissonne tellement ce pouvoir m'excite depuis toujours. Petit déjà je m'exerçais au pouvoir des mots, voyant l'impact qu'un visage d'enfant sage & quelques mots mignon insufflait à mes petits bonshommes, à mes majordomes & mes servantes. Je me souviens de leurs sourires, des petites taches rouges qui grandissaient sur leurs joues, du regard un peu fuyant sous le compliment, du regard profond devant la phrase tout bonnement à croquer. Je me souviens de l'air choquer face à une phrase cruelle, je me rappelle des larmes ravalées lorsque je touchais un point sensible. Mon dieu comme tout c'est bon encore aujourd'hui. Je me laissait aller, tirant sur ma cigarette & regardant dans le vague, sans trop faire attention. Je fût tirer de mes rêveries par sa main frôlant la mienne. Sa main? Mais à qui ? Ah oui je me souviens de ce qu'elle m'avait dit quelques secondes plus tôt.
Peut être pourrais je commencer par me présenter, je m’appelle Naomi June Venn et croyez le ou non, je ne puis refuser une invitation comme celle-ci, je n’ai jamais été en aussi bonne compagnie depuis bien longtemps… De plus, je rêve d’un café… Et de vous… Connaître mieux. Et si vous me parliez de vous… Qui se cache derrière ce corps de rêve ?
Mon regard s'aventura sur son corps pour la énième fois de la matinée. Je voyais les reflets précieux dans ses cheveux. Je ne pouvais pas décrocher des deux saphir planter dans son regard à elle. Je savourait toutes les formes de son visage, sa peau lisse qui semblait si douce. Ce petit sourire des plus craquant qui se dessinait sur son visage quand elle se rendait compte de mes regards insistant sur sa personne. Pour une fois, regarder le visage & seulement le visage suffisait à me rendre dingue. Je n'osait descendre les yeux pendant près de 2 secondes après avoir regarder son visage. Mais finalement pourquoi se privé du plaisir des yeux? Mon regard descendit le long de la courbe de ses épaules si fines, sa poitrine mise en avant par une cambrure des plus parfaite. Je ne put retenir un leger petit soupir de chaleur. Je n'en mettrais pas ma main à couper, mais il me semble que je rougissais. Elle détournât les yeux du chemin de bitume devant nous & qui soudain me semblât tout bonnement magnifique. Pendant que je le regardais avec application & minutie, elle passât devant moi, ce geste attirât mon regard sur ses longues jambes. Je crut que ma tête me tournait pendant quelques secondes, mais ce n'était que le sang qui hurlait à mes tempes "PRENDS-LA". Sa main se posât sur mon torse, jouant avec le tissu de ma chemise d'une des manière les plus sexy que je n'ai jamais vu. JE ravalais ma salive, mais étant bonne acteur je gardais mon sourire en coin. Je m'accrochais à deux main à mon air calme, décontracté & sans le moindre soucis. Sauf que j'en avais un, savoir où & comment j'allais lui faire l'amour. Je chassais cette pensée de ma tête, il fallait auparavant faire connaissance avec elle. Et puis de toute manière nous verrons bien. Je déposais ma main sur la sienne & la fit lâcher le tissus blanc avant de déposer sa main sur sa gorge, non sans avoir pris le temps de glisser mes doigts sur sa peau.
Uniquement les choses intéressantes et croustillantes...
D'un côté, je ne voyais pas vraiment quoi dire sur moi qui soit très intéressant & qui ne la ferais pas fuir en courant. J'avais beau me creuser la cervelle je ne trouvais pas. Bientôt je remarquais un nouveau flot de gens, je la pris bras-dessus bras-dessous en cherchant un café potable & avec le moins de monde possible. une chance dans une ruelle un bar qui passait inaperçu m'appelait. En y entrant je remarquais que c'était un Bar qui avait pour thème les bandes dessinées & la littérature. Je décidais d'en profiter pour commencer mon récit. Je ne savait pas vraiment par où commencer. En fait je commençais par tirer la chaise de la jeune fille & la remettre dès qu'elle commençât à s'assoir. Par la suite je fit le tour de la table & m'assit face à elle. Je lui tendit l'un des deux menus face à nous & entamais mon récit pour de bon cette fois. Pendant que je récitait une partie de ma vie, je me mis à lire le menu avec distraction, regardant de temps en temps le cou de la jeune femme, ou bien ses épaules.
Et bien je viens de Londres. J'étudie à Bekerley seulement depuis cette année. auparavant je travaillais avec mon père dans une entreprise passablement florissante. Cette même entreprise qui nous à rendu très riche tout les deux. ainsi j'ai étendu mes propres entreprises, ouvert diverses boutiques, pâtisseries & autres. Je suis diplômer d'un peu partout, La Sorbonne, Cambridge & Oxford dans diverses matière que je ne citerait pas par peur de vous paraitre trop barbant.
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Jeu 14 Jan - 20:53
Abreuves moi au moins de désir...
Ses lèvres laissaient à désirer... Son corps tout entier...
Certains se plaisent à émettre partout l’idée que le sexe et l’amour sont toujours étroitement liés. Naomi n’est pourtant pas de ceux là, certes, elle aussi, a eut droit à son lot de relation amoureuse, à son lot de cœur qui bat, de respiration qui s’accélèrent, de mains qui deviennent humides lorsque l’autre s’approche. De son lot de premiers baisers, de son lots de « Je t’aime » murmuré à son oreille. Mais les souvenirs les plus ancrés de Naomi concernant l’amour sont toujours les déceptions qui ont succédés à toutes ces joies, alors avec le temps, elle a cessé d’y croire, elle a appris à séparer l’amour et le sexe, à en faire deux choses distinctes, l’une à fuir en toutes circonstances, l’autre, à apprécier dès que l’occasion se présentait. Et c’est comme ça, que Naomi a appris à aimer les plaisirs charnels de la vie, juste pour ce qu’ils sont. Un baiser déposé délicatement dans le creux du cou d’un amant, une main baladeuse et agile qui se faufile sous les vêtements, une caresse un peu trop appuyé, provoquant une excitation certaine. C’est à peu près tout ce à quoi se résument ses relations avec les hommes. Et pourtant, cela n’en est pas moins passionné. Parce qu’à chaque fois que la jolie brune décide de s’offrir à un homme, c’est son corps entier qu’elle livre dans un jeu de séduction et de sensualité dont seule elle a le secret. Avec le temps, avec les années, elle a appris à manier ce genre de relations. Au départ peut être un peu trop hésitante, à présent semblable à celle d’une experte, sa façon de séduire les hommes. D’abord avec quelques regards coquins, quelques petits sourires, puis un premier contact physique, quelques phrases pleines de sous entendus dissimulés sous des airs angéliques, et les hommes succombent à coup sûr. Peut être même qu’elle arriverait à les mener par le bout du nez sans prononcé un mot, juste à l’aide de sa paire de jambes parfaite, et de sa poitrine particulièrement mise en valeur par une silhouette des plus agréables à contempler. Oui, avec le temps, Naomi avait pris conscience de son pouvoir de séduction, et elle aimait s’exercer, toujours de la même manière. C’est un peu comme une chorégraphie, que l’on fait de mieux en mieux à mesure que l’on l’a répète, mais ce jour là, loin de là l’idée de se perfectionner, les mots sortaient tout seuls, les regards en coin n’étaient même pas étudiés pour plaire à cet homme, à ce dieu vivant tombé du ciel pour elle. Parce qu’il se passait quelque chose d’autre, elle n’était pas aussi détachée qu’avec un autre homme, c’est comme si son corps entier se sentait particulièrement impliquer cette fois-ci. Comme une envie de vraiment le connaître et non d’un faire un simple amant. Même si l’idée de sentir sa peau chaude contre la sienne était loin de lui déplaire. Et qu’il lui serait assez difficile de résister longtemps à ses pulsions le poussant vers lui. D’ailleurs, ce fut rapidement chose faite, sa main se baladait sur la chemise du jeune homme tandis qu’elle lui murmurait quelques mots à l’oreille. Ce fut la deuxième fois que leur peau entrèrent réellement en contact, il prit sa main et la posa sur sa gorge. Ses doigts glissèrent sur la peau brûlante de désir de Naomi mais celle-ci ne montra à aucun instant ce qu’elle ressentait à cet instant là. Pourtant, c’était tellement plaisant. Voilà un bon moment qu’elle n’avait pas ressentit ce genre de réaction. Tout ses sens semblaient en éveil devant un tel spectacle, un corps si plaisant à admirer, si près d’elle, et si inaccessible à la fois. Elle se serait facilement approcher de lui pour goûter ses lèvres si elle ne s’était pas retenue. Mais elle avait un certain principe, plus l’on attendait, meilleur c’était. Ses joues devaient pourtant trahir cette chaleur envahissante dans chacun de ses membres, par une légère couleur pourpre, à laquelle elle décida de ne pourtant pas prêter attention, avec un peu de chance, Aby ferait de même.
L’endroit était reculé, si bien qu’elle n’y avait, au paravent, jamais mis les pieds. C’est bras dessus, bras dessous que Aby venait de la conduire dans ce petit bar, où les gens n’étaient que peu nombreux. L’ambiance y était pourtant agréable, à moins que cela ne soit encore créer par cette présence masculine qu’elle prenait plaisir à apprendre à apprécier. D’un geste clairement charmant, il l’aida à prendre place sur l’une des petites chaises. En réalité, Naomi appréciait particulièrement ces petites attentions dont il faisait preuve. Cela le différenciait tant des autres hommes, si ennuyeux. Depuis qu’elle était à Berkeley, Naomi avait put rencontrer des gens différents, de tout horizon, parfois ayant eut le même genre d’éducation qu’elle, parfois au contraire ne lui ressemblant en aucune chose dans sa manière d’agir. Mais jamais, un jeune homme n’avait déposé un baiser sur sa main au moment des présentations, et ce goût pour de telles politesses plaisait particulièrement à Naomi. C’était nouveau, c’était simplement inattendu. Il lui tendit un des deux menus posés sur la table tandis qu’il se plongea dans le récit de sa vie. Sans en perdre une miette, le regard ne Naomi vagabondait entre les lèvres parfaites et humides du jeune homme, bougeant et l’appelant à des folies excitantes, et son regard si profond qui donnait envie de simplement, se laisser aller à le contempler. Parfois elle jetait un coup d’œil à ses mains, triturant le menus. Elle souriait, buvant ses paroles, à la fois intéressée et curieuse. Elle comprit alors qu’il était quelqu’un d’important, elle se trouva assez stupide de ne pas l’avoir remarqué plus tôt, peut être parce qu’elle était bien plus captiver par sa beauté, et par son charme fou, par son côté irrésistible et tentant. Mais de toute façon, cela n’avait pas vraiment grande importance, si ce n’est que cela faisait partie de lui et qu’elle l’aurait apprécié, même si cela n’avait pas été le cas. Il se stoppa finalement, après l’énumération d’un grand nombre d’universités, de quoi étonner et faire naître l’admiration dans le regard de Naomi. Il semblait être cultivé, et avoir de quoi parler de lui pendant des lustres, à côté sa vie pouvait paraître bien fade. Elle n’était diplômée d’aucune université encore, elle n’était qu’une nouvelle étudiante parmi toutes celles de Berkeley. C’était sa première année, et elle n’avait même pas de vraie expériences professionnelles. Peut être était ce pour cela qu’elle était fasciné par lui, par cet homme, surgit de nulle part qui l’avait ôté à sa vie bien trop monotone de ces derniers mois. Oui, Aby Elliot Lovett, elle n’était pas près d’oublier ce nom, et le personnage qui se cachait derrière. Tandis qu’une serveuse s’approchait d’eux, Naomi lança un regard au menu, et releva les yeux vers la jeune femme d’une vingtaine d’année qui les coupait dans leur conversation. Celle-ci ne se gêna pas pour scruter avec attention les traits du beau brun, ce qui fit réellement rire intérieurement Naomi. Apparemment, elle était loin d’être la seule dont la beauté ténébreuse du jeune homme troublait. Cependant, Naomi mit fin à cette contemplation en ramenant l’attention de la serveuse sur elle, en lui adressant la parole.
NAOMI – Personnellement je vais prendre un café et un muffin au chocolat…
Naomi hésita quelques instants à donner un surnom au jeune homme juste pour attiser une réaction de la jeune femme, mais abandonna l’idée, Aby ne serait peut être pas du genre à se moquer ainsi de tout le monde, comme Naomi prenait plaisir à le faire, elle laissa simplement la serveuse prendre leur commande et la regarda s’éloigner finalement d’un pas gracieux, que Naomi lui envia un instant. Finalement, c’est à Aby qu’elle s’adressa à présent.
NAOMI – Barbant ? Je ne pense pas que quelqu’un d’aussi diplômé puisse être barbant, mais je te fais confiance cependant… En tout cas, je dois dire que je serais tenté par une de tes pâtisseries, j’ai la fâcheuse tendance d’être gourmande… Enfin, j’aime les bonnes choses, et j’en redemande, quoi de plus normal ?
Encore des sous entendus ? Peut être bien, comme à son habitude, Naomi savait se montrer très joueuse. Finalement, elle décida de livrer quelques informations sur elle, après tout, lui lui en avait déjà dit énormément.
NAOMI – En attendant, je suis plutôt impressionnée, surtout que moi je ne suis diplômée de nulle part, en fait c’est ma première année d’université, à Berkeley, aussi… C’est d’ailleurs étrange que l’on ne se soit pas croisé avant… Et dommage… J’aurais particulièrement aimé connaître ce magnifique sourire avant…
Naomi replia le menu et le posa sur le coin de la table après que ses doigts ne l’aient tourné dans tous les sens. Une habitude, de jouer avec ce qui lui tombait toujours sous la main.
NAOMI – Quelle est la chose la plus folle que tu ai faite ?
Demanda t-elle si spontanément qu’elle en fut elle-même étonnée. Elle aurait put l’écouter parler durant des heures finalement, fixer ses lèvres se mouvant dans une danse particulièrement sensuelle, la poussant à le désirer toujours un peu plus…
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Ven 15 Jan - 6:54
Because you are so gorgeous... Let me lick your lips...
Je ne pouvais plus me résoudre à la quitter du regard, plongeant celui-ci dans l'abime de l'imaginaire & des fantasmes. Je ne pouvais pas passer à côté des images obscènes qui me traversaient l'esprit à chaque fois que ses lèvres lisses & pleines faisaient un mouvement. Comment ne pas les imaginer glissant lentement sur mon torse, puis mon ventre puis.... Oui bref vous avez compris je pense. Je me laissais totalement aller à la contemplation de cette entité qui n'as pas grand chose d'humain, mais tiens bien plus de la nymphe ou de la demi-déesse. Ses cheveux entouraient son visage tel une auréole bienveillante & son sourire des plus coquin ne tardât pas à faire monter des vapeurs de désir dans mon torse & mon estomac. La biochimie n'a jamais été mon truc, mais je pense qu'on peux dire qu'entre Naomi & moi il y a une alchimie certaines. Une attirance sans conditions des phéromones de l'un & de l'autre. C'est à la fois suaves & enivrant, à la fois doux & hypnotique, agréable & presque terrifiant. Un mouvement de sa tête fit parvenir son parfum jusqu'à moi & je tentais de reposer les pieds sur terre. Je m'exhortais à regarder le menu en sentant la présence d'une serveuse près de moi. Je remarquais que l'arrivée de cette gêneuse fit sourire Naomi qui passait son regard d'elle à moi & de moi à elle. Je ne savais pas pourquoi & quand j'y repense je m'en fichais un peu. Elle commandât quelques menu bidule avant que la serveuse ne se tourne vers moi. Je me retins de lui demander une Naomi sur un lit de chocolat & finalement lui demandait un Thé à la rose & un flan nature. La jeune femme partit & je put à nouveau laisser aller mon imagination perverse aller comme elle le désirait. Je n'en écoutais pas moins ce que Naomi me disait, avec une grande attention même. Je voulais la connaitre par cœur, savoir à l'avance ses réactions, pouvoir dire à quoi elle pense par un simple hochement de tête. Je l'étudiais ainsi sans la moindre pudeur. finalement, mourant de chaud, je retirais ma veste & la déposais sur le dossier clair de ma chaise blanche. La table était d'un blanc immaculée elle aussi, ce que je n'avais pas encore remarquer. La décoration était faites avec gout, il y avait peu d'images de Bande dessinées, mais elles étaient dispersées dans la pièce avec goût, tant & si bien que leurs nombres n'était pas une enclave à la beauté du lieu. Je pense que je reviendrais ici. Pour patienter, je me tournais sur ma gauche pour y prendre une bande dessinée. Celle-ci narrait les aventures d'un chien malchanceux amoureux d'une chatte. N'y voyez rien de pervers, mais je trouvais cette bande dessinée des plus déplacée. Je la reposais & en pris une autre. Cette fois-ci, je ne pouvais que fondre face à un très vieux Spirou. Sachez le, ce volume valait au moins 200$. Je sortit un mot de ma poche & le donnait au serveur pour qu'il le donne au gérant. Dessus il y avait le nom de la bande dessinée, son éditeur, le numéro du volume & le prix approximatif de ce petit bijoux. J'y joint évidemment mon numéro de téléphone. Je ne suis pas collectionneur, mais je m'y connais en affaire. Acheter cette petite BD pourrait mener à développer ce petit café de manière sympathique. Je souris & revint à la table, ouvrant ma chemise sur mon débardeur blanc avec de fines rayures noirs & grises dans le sens de la longueur. Ce débardeur me serrait assez pour passer inaperçu sous une chemise & me tenir chaud.Je sortit mon collier de sous le tissus & l'exhibait. Je l'aimais beaucoup ce collier, il avait appartenu à mon père pendant qu'il était encore fou, ambitieux & surtout quand il avait encore une once d'intelligence. Ce collier me rappelais qu'à tout instant si je me ramollissait je finirais comme mon père. Beurk.
Barbant ? Je ne pense pas que quelqu’un d’aussi diplômé puisse être barbant, mais je te fais confiance cependant… En tout cas, je dois dire que je serais tenté par une de tes pâtisseries, j’ai la fâcheuse tendance d’être gourmande… Enfin, j’aime les bonnes choses, et j’en redemande, quoi de plus normal? En attendant, je suis plutôt impressionnée, surtout que moi je ne suis diplômée de nulle part, en fait c’est ma première année d’université, à Berkeley, aussi… C’est d’ailleurs étrange que l’on ne se soit pas croisé avant… Et dommage… J’aurais particulièrement aimé connaître ce magnifique sourire avant…
Le sourire qui suivit partit sans que je ne le veuille. Un petit rire m'échappa même. Je suis habitué au compliment, mais ceux-là me touche vraiment... Je passait ma main dans mes cheveux & regardais dans la salle. Il y avait quelques adolescents de 15 ou 16 ans qui lisaient avec passions, mais il y avait aussi un quadragénaire qui avait garder son âme d'enfant & qui lisait un Tintin avec un réel amusement dans le regard & dans le début de sourire sur son visage. voila de quoi je veux avoir l'air plus tard, à mes 40 ans. Je veux ressembler à un bel homme, pleins de fraicheur & de vitalité. Pas comme la loque maladroite dénué de charme qu'est mon père. Quand je pense qu'un test ADN à son insu m'a permis de savoir que ce n'était même pas mon père biologique.. Qu'il ne s'en doute pas me laisse perplexe puisque je ne lui ressemble même pas un peu. Mais pourquoi ma mère m'a garder, ça c'est une grande question à laquelle seule elle pourrait me répondre. Ne sachant ni comment la retrouver, ni à quoi elle ressemble, je ne le saurais jamais. Je dois avouer aussi que je m'en fiche quelques peu, ça ne changera pas ma vie de savoir qu'elle m'a garder parce qu'elle voulait enfanter une fois dans sa vie ou parce qu'un fou l'a menacer pour qu'elle garde le bébé. Je m'en tapais royalement. surtout là tout de suite. Je ne pouvais plus quitter le sourire de Naomi, absorber dans cette dimension de désir & d'envie diverses. Je me voyais la prendre là, sur la table. Je me mis à rougir quelques peu avant de me racler la gorge. J'avais à nouveau envie de fumer. Je me levais, enfilais am veste & sortit une cigarette. Je me dirigeais vers la serveuse un peu pls tôt & la pris à part pour lui dire quelque chose comme "Gardez nôtres commande au chaud je vous prie mademoiselle, je vais fumer & nous revenons. Vous êtes un amour" avant de lui sourire & de quitter le comptoir du bar. Je pris le manteau de la jeune femme, l'aidait à le mettre & enfin nous sortîmes ensemble. Je me rappelais soudain d'une question que j'avais quelque peu oublier, qu'elle m'avais poser au moment ou je me disais que j'avais envie de fumer.
Quelle est la chose la plus folle que tu ai faite ?
J'en déduisait rapidement qu'elle me draguais, ensuite qu'elle voulait me tutoyer. Pour finir elle voulait savoir à quelle point je pouvais la surprendre. Je m'installais à une table de la terrasse, tirant le cendrier vers moi & déposant mon briquet & mon paquet sur la table, au cas ou elle fumerait. Je tirais sur le tube que je venais d'allumer & me mis à réfléchir... La chose la plus folle que j'ai fait jusqu'à maintenant... J'imagine qu'elle veux savoir la plus folle dans le positif évidemment. Je me passais la main dans les cheveux, une nouvelle fois, continuant de me dire qu'il fallait que je me débarrasse de ce tic. L'éternel sourire aux lèvres je soulevais un sourcil avant de dire d'une voix détendu.
Vous voulez que je vous tutoie peut-être? Enfin bref, la chose la plus folle que j'ai faite... Voila une question loin d'être simple... Je dirais que c'est la création de diverses Rave Party à travers le monde. Et bientôt une non loin d'ici d'ailleurs.
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Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Ven 15 Jan - 21:15
Approches, plus près, jusqu’à ce que ton odeur vienne chatouiller mon nez, et que mon corps s’emballe encore.
Nous défendre quelque chose, c'est nous en donner envie.
Naomi se perdit dans la contemplation de son corps, ses yeux, rivés sur le débardeur rayé, qui mettait particulièrement en avant les muscles de son torse. Elle pouvait, à travers le fin tissus, deviner le corps d’athlète d’Aby, et c’était loin de lui déplaire. Naomi appréciait ce spectacle, savourant chaque fois qu’il bougeait d’un minime millimètre, faisant vaciller son corps. C’était la tenue idéale pour faire naître dans l’esprit de la jeune femme quelques idées déplacées, pour une première rencontre peut être. Mais comment ne pas l’imaginer l’ôtant devant elle, ou mieux encore, elle, glissant ses mains sous celui-ci savourant du toucher ce corps parfait avant d’y déposer doucement ses lèvres, à la poursuite de caresses qu’elle s’imaginait sensuelle et clairement excitante. Chaque parcelle de son corps était attirante et plus les secondes passaient, plus la jeune femme se sentait totalement impuissante devant tant d’alchimie. Résister n’était qu’une épreuve douloureuse et difficile. Pourtant, elle ne céda à aucune pulsion, elle le fixait simplement, s’imprégnant de chacune de ses mimiques, peut être pour les garder en mémoire, pour se les visionner de nouveau lorsqu’elle ne serait plus en si charmante compagnie. Naomi ne pouvait nier que cette rencontre venait de bouleverser quelques petites choses en elle. Il était improbable avant ce matin là qu’elle ne s’entiche d’un jeune homme, qu’elle ne soit plus maîtresse de ses émotions, mais il avait renversé certains principes à vrai dire. Il commanda lui aussi à son tour, et sa douce voix berça quelques instants la jeune femme, qui ne pouvait s’empêcher d’être au moins d’accord sur un point avec la serveuse, cet homme était séduisant, étonnant et clairement parfait. Du moins en apparence, et même si elle ne le connaissait que très peu, elle l’appréciait déjà.
Il avait ce petit quelque chose que tant d’autres n’ont pas, et Naomi comprit très vite, après mure réflexion pour chercher à déterminer où elle avait put déjà entendre parler de lui, sa grand-mère. En effet, la vieille femme, avant son décès brutal, se plaisait à raconter à sa petite fille, préférée sois disant en passant, comment était l’homme idéal. Et en y repensant, Naomi pouvait enfin s’imaginer cet homme qu’elle avait toujours crut inventer, sous les traits de cet excitant presque inconnu. En effet, il avait ce sourire charmeur, ce petit rire agréable à entendre et à regarder, ses dents parfaitement alignés et blanches ne manquaient pas d’attirer le regard, ses faussettes étaient craquantes, son regard pénétrant séduisant, et son corps tout entier, totalement sexy. Oui, Naomi put le confirmer lorsqu’il se leva, après la contemplation d’un bande dessiné, lorsque son regard se laissa guider jusqu’au fesses du jeune homme. Musclés, fermes, tout y était. Le corps idéal, le physique d’un dieu, et en plus, il était intéressant. Peut être finalement que la jeune fille aurait dut y croire, à ce qu’elle croyait n’être que des légendes. Mais contrairement à ce que penser sa grand-mère de l’homme parfait, à savoir qu’il fallait l’épouser, Naomi préférait largement le déshabiller et lui montrer quelle amante se cachait derrière son visage pâle. Parce que le grand amour n’était pas pour elle et cela, elle en était consciente depuis bien longtemps, elle n’y pensait d’ailleurs même pas, non, parce que l’unique chose dont elle avait envie était de passer sa journée aux côtés d’Aby, pour continuer de ressentir cette petite étincelle de désir qui naissait dans son ventre, qui se propageait dans chacun de ses membres, allant même alimenter une chaleur certaine dans sa silhouette entière, n’oubliant pas de la faire rougir en passant.
Le regard de la jeune femme vacilla dans la pièce, elle remarqua alors la décoration, qu’elle n’eut pas le temps d’apprécier précédemment, à cause de la contemplation des traits délicats de cet homme, qui lui avait rendu un préservatif, au milieu d’une rue déserte. Quelques personnes lisaient dans chaque coin de la pièce, et Naomi se rendit compte que l’ambiance était agréable, et tranquille, loin de l’agitation certaine du reste de la ville, ici, elle se sentait détendue, et réellement sereine. C’était mieux encore qu’une drogue, ou qu’un peu d’alcool, la sensation d’être juste bien, en charmante compagnie et dans un endroit sympathique. Ses pensées semblaient claires, et tous ses maux avaient disparus, comme si l’espace de quelques instants, Aby avait été capable de supprimer de son esprit la douleur des six derniers mois, la remplaçant par un bien être certain. C’était une chose qui la poussait sûrement aussi autant vers lui, il lui apportait des sensations si lointaines, qui paraissaient hier encore si inaccessible. Peut être même que pour la première fois depuis longtemps, Naomi passerait une nuit paisible, loin des cauchemars retraçant le décès brutal de ses deux parents. Peut être que cette nuit, elle la passerait avec Aby, ou au moins en y repensant. Etrange, toutes ces petites choses qui surgissaient dans son esprit, y fleurissant sans qu’elle n’y comprenne grand-chose. Elle l’appréciait déjà tant, l’attirance physique avait donc ce pouvoir ? Elle commençait à y croire… Le jeune homme se releva finalement, et cette fois ci pour sortir dehors, fumer. Naomi le suivit de bonne grâce, après qu’il n’est précisé à la serveur leur retour prochain. Son charme était complètement impossible à décrire, tant de sensualité dans chaque mouvement, cet homme avait le don de faire tourner des têtes. D’habitude, Naomi se serait trouvé niaise d’y succomber aussi, mais bien trop occuper à penser à chaque chose qu’elle pourrait sûrement faire avec lui, dans plus d’intimité, elle n’y fit même pas attention. Dehors, il se laissa tomber sur l’une des chaises, tandis que le soleil faisait naître de jolis reflets dans ses cheveux. Passer ses mains douces dans la chevelure du jeune homme, s’approcher doucement de lui, murmurer quelques phrases coquines à son oreille, déposer un baiser dans le creux de son cou, prendre place sur ses genoux, et parcourir des mains son corps, lui ôter sa chemise, son débardeur avec délicatesse et lenteur, déposer ses lèvres sur les siennes et l’embrasser à la fois langoureusement et passionnément, passer sa main dans ses cheveux, descendre ses lèvres sur son corps, le déshabiller doucement, découvrir chaque parcelle de son corps, jusqu’à le connaître par cœur. Tant d’idées qu’elle tenta de réprimer, sans y parvenir. C’était de plus en plus compliqué de ne pas succomber. Cet homme était un fantasme vivant, totalement impossible de le nier. Il fallait redescendre sur terre, avant qu’elle ne lui saute dessus, ne se retenant plus. Surtout que c’était loin d’être sa principale envie, elle aimait faire durer les choses. Peut être parce que pour la première fois, l’après l’effrayait. Il la transportait dans une sensation de plénitude et de désir, qu’elle risquait de voir s’évanouir lorsqu’elle aurait succombé totalement à ses attentions douces et à son regard ténébreux. Elle choisit, de continuer une discussion qui commençait finalement à être vraiment intéressante.
ABY - Vous voulez que je vous tutoie peut-être? Enfin bref, la chose la plus folle que j'ai faite... Voila une question loin d'être simple... Je dirais que c'est la création de diverses Rave Party à travers le monde. Et bientôt une non loin d'ici d'ailleurs.
C’était sans s’en rendre compte, que la jeune femme l’avait tutoyé, si submergée par ses envies qu’elle en avait oublié sa politesse. Elle ne répondit pas à cette question, rougissant simplement un peu plus que quelques instants précédents. Puis, elle écouta attentivement la réponse qu’avait à fournir le jeune homme. Un fêtard, c’était certain. Elle commençait doucement à cerner le personnage bien qu’elle était certaine, qu’il serait près à la surprendre lorsqu’elle s’y attendrait le moins, c’est ce qui rendait les choses plus intéressantes encore, cette certitude qu’il était loin d’être ennuyant et routinier. Naomi était elle aussi, toujours prête pour faire la fête, d’où son appartenance à la fraternité des OMEGA qui l’avait recruté avant même de la connaître, sûrement à cause de son nom.
NAOMI – Un grand fêtard alors ? Enchantée ! Et ravie… Surtout que si c’est bien la soirée à laquelle je pense, tout le monde rêve d’y participer, et d’y être invité. Les commérages vont tellement vite à Berkeley, s’en est effrayant parfois… Peut être que l’on aura l’occasion de s’y croiser, avec un peu de chance…
Naomi avait en effet entendu parler de l’évènement, même un site internet précisait aux élèves que c’était LA soirée. Elle ne pensait cependant pas rencontrer celui qui l’organisait, celui qui était l’auteur de cette nuit de folie, tant attendu par tous les élèves de l’université. Elle était impressionnée, de plus en plus. En réalité, ce jeune homme était plein de bonnes manières, cultivés, intéressés par les bandes dessinés, et il aimait faire la fête. Sans oublier ses forts atouts physiques. Avait-il au moins un défaut ?
NAOMI – Et si tu me parlais de ton plus grand défaut, je vais finir par croire que tu es parfait, sexy, cultivé, intéressant, amusant… Attention je vais genre, tomber amoureuse.
Comme si c’était son genre de s’éprendre des gens. La peur de perdre ceux qu’elle aime a toujours tant terrifié Naomi que l’amour, elle l’a laissé de côté. Même son amitié, elle ne la donne que rarement. Et depuis que ses parents étaient morts, dans un terrible accident de voiture, c’était bien pire. Elle se sentait seule mais l’idée de s’accrocher à de nouvelles personnes pouvant l’abandonner, c’était trop difficile.
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laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett