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davis&charlotte .and they run the night.

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MessageSujet: davis&charlotte .and they run the night. davis&charlotte .and they run the night. EmptyMer 15 Oct - 0:03

and they run the night.


Davis&Charlotte



Davis avait passé des appels toute la journée. S'octroyant du temps libre au lieu d'aller en cours, il se fichait bien de passer pour un branleur. Parce que le jeune homme avait bien plus de culture que la moitié de de l'université réunie. Brillant, le jeune homme avait passé sa vie à apprendre en passant par toutes les matières et il était clair qu'il aurait pu clouer le bec de bon nombre d'abrutis qui auraient voulu étaler devant lui leurs peu de connaissances acquises. Alors ce qu'il voulait avant tout, pendant qu'il sirotait une bière au café du coin, c'était se recréer un réseau, rétablir les bases de sa vie et repartir sur les routes de l'insomnie et du danger. Et pour cela, il allait devoir retrouver son réseau et ses contacts qui avaient connu et appris à vénérer les activités illicites qu'il menait chaque nuit depuis qu'il avait compris que son fric en poche et son pouvoir pouvait lui apporter un tout autre chemin que celui proposé par ses parents. Suivant une route barrée depuis son plus jeune âge, il avait frôlait les limites de la mort, s'était déconnecté du cercle familial et le vivait pourtant très bien. Davis aimait les sensations fortes mais ce qu'il aimait encore plus, c'était sa double vie. Charmant et incroyablement gentleman le jour, il devenait un goujat de premier ordre dès que la nuit coulait le long de la voie lactée. Diablement destructeur pour les gens qui l'entourait, c'était un électron libre qui avait des moyens illimités pour se croire au dessus des règles et limites que les autorités imposaient dans chaque ville où il posait ses valises. San Francisco ne dérogerait pas à la règle puisque les nouvelles allaient de bon train. L'héritier déchu Agusto venait d'arriver en ville et les affaires allaient reprendre. Les rumeurs s'éparpilleraient en un rien de temps et bientôt tout le monde n'aurait plus qu'un sujet sur les lèvres. Ces évènements mythiques qui en avaient faits frissonner plus d'un étaient sur le point de repartir et, ramenant le sujet sur le devant de la scène, Davis comptait bien s'octroyer les clés de la ville une fois le soleil couché et ses rayons loin de la portée de son cerveau en ébullition. Ce soir il allait organiser de nouveau les plus grands tournois qui n'aient jamais vu le jour parce qu'il était connu pour ça. Sa réputation s'était répondue comme une trainée de poudre. Les amateurs de ses activités avaient parlé de ce qu'il se passait à Barcelone. Puis c'était à la Nouvel Orléan que les jeux avaient débuté. Et toujours la même personne à la tête de cette spirale envoûtante. Davis vendait du rêve, de l'excitation, l'idée d'un contrôle permanent dans une illégalité parfaite. ça ramenait les gosses de riche en manque d'adrénaline, les hommes d'affaire lésés et les femmes qui voulaient donner un tout autre sens à leur vie. Tous étaient près à payer le prix fort pour faire partie de cette jeunesse incrédule qui brûlait les étapes de la vie et mettait celle-ci entre les mains du destin. Tout était organisé et prévu pour ce soir même. Quand Davis avait une idée en tête, il l'a mettait de suite à éxécution sans perdre de temps. L'oméga passait son doigt sur l'écran tactile de son téléphone et appuyait sur le prénom de Charlotte qui s'y affichait. Elle ne décrochait pas alors il comptait bien lui laisser un message peu explicite mais qu'elle comprendrait aisément. Ce qu'il fallait savoir, c'était toujours de cacher ses deals. Parce qu'il ne tournait pas dans le trafic de drogue mais le trafic de sensations fortes et d'argent. On peut dire qu'il valait mieux ne prendre donc, aucun risque. Charlotte, je viens d'arriver en ville. J'ai besoin de toi. Si tu es toujours partante, j'ai un petit travail pour toi. Commences par le lexington club j'ai entendu dire que c'était le meilleur repère pour nos habitudes... Pour le business ? Trop direct à son goût. Il raccrochait étant sûr qu'elle comprendrait. Son ancienne acolyte avait toujours eu le don pour lui ramener nombres de clients potentiels aux sorties des bars et clubs. C'était elle qui, avec une subtilité déconcertante, arrivait à exploiter ces gens pour qu'ils soient attirés par son idée. Et puis, grâce à elle, la rumeur prendrait forme, de l'ampleur, et en une semaine, Davis s'approprierait de nouveau le monde de la nuit d'une nouvelle ville pleine de ressources et ça, elle savait le faire avec finesse et audace. Autant dire que jusqu'alors, Davis n'avait jamais reçu de visites de la police. Sûrement que son nom ne donnait pas matière à... La nuit tombait rapidement mais les ardeurs de Davis Agusto prenait de l'ampleur au fur et à mesure qu'il patienter au milieu du bitume, entouré des collines verdoyantes de la ville, illuminées par l'astre lunaire. Plusieurs voitures étaient déjà présentes, de gros cylindres qui n'attendaient qu'une chose, montrer leur capacité. Ce soir, ce serait une course qui brûlerait les esprits et éveillerait les sens. Davis attendait l'arrivée de Charlotte qui signifierait le début de cette effervescence. Les participants se préparant mentalement ou discutant tout autour des voitures, la foule était déjà bien présente pour une première entrée en matière. Sourire en coin, le jeune homme comptait les billets qui s'étaient alignées rapidement au creux de ses mains. Etre riche et en vouloir toujours plus, un concept bien connu et pourtant, il y donnait une toute nouvelle envergure...

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MessageSujet: Re: davis&charlotte .and they run the night. davis&charlotte .and they run the night. EmptyMar 11 Nov - 23:26

«and they run the night.


»
Charlotte & Davis


I Can Transform Ya ft. Lil Wayne & Swizz Beats by Chris Brown on Grooveshark



Pute. Ouh quel vilain mot, décidemment il n’y a pas que des gâteries qui sortent de ma bouche. Vulgaire ? Soyons réalistes quelques instants la vie est une pute mal léchée. Elle vous laisse entrevoir la possibilité d’avenir, d’aller de l’avant et comme un imbécile vous plongez en plein dedans et vous vous retrouver comme moi aujourd’hui. Charlotte de la Croix, vingt et un an plus d’hommes que de fruits et légumes proscrit par jour, plis de poudre que dans le nez de Kate moss, plus d’alcool que dans le corps de Gérard Depardieu, et un sacré statut : Divorcée. Comment en être arrivée là, prenez une fille de bonne famille, prenez un charmant garçon, mélanger le tout et vous avez ce fameux cocktail Molotov. J’étais donc dans ma période pute, je n’avais pas peur des mots, je baisais comme je respirais, mais même en me tapant la terre entière rien enlever mon amertume. Flottant entre la vie et la mort, je ne prenais plus rien en sérieux, que même un petit séjour en taule ne me ferais pas peur. Une journée comme les autres, je ne pouvais plus être sobre pour la simple et unique raison que ma vie était trop merdique pour que je puisse la regarder en face. Je voulais me voiler les yeux dans un nuage de fumée toxique, pour ne pas tomber trop de haut. Personne pouvait me dire qu’il faut se relever que la vie c’est fait de hauts et de bas, quand on connait que les bas cette hypothèse est clairement ironique. J’étais devenue un monstre, encore plus sans-cœur qu’en France. Oui c’était possible, je vous l’accorde que j’avais passé une bonne semaine à écouter du Dany Brillant et du France Gall en me noyant dans l’alcool et les larmes suite à la disparition soudaine de ce chien d’Alec. Mais pas grave. Toute façon nous n’aurions jamais pu finir heureux et à deux, heureux mais séparés simplement. Nous avions poussés le bouchon trop loin que rien ne pouvait nous ramener à la source. Nous étions comme des âme-sœurs aveugle courant les bras-devant vers les inconnus pour se réconforter dès la moindre petite vague de détresse. La journée avait commencé par des cours encore plus lassant que le dernier Woody Allen, j’avais passé la journée à ruminer en griffer mes feuilles blanches quand mon ordinateur avait plus de batterie. Si je pouvais taper la gamine à ma droite en cours qu’est-ce que je m’en serais donner à cœur joie, mais non. La journée de cours finie, je n’avais rien à faire je prenais par dépit un jeune Gamma sur ma route, pour terminer ma journée dans sa chambre et baiser, encore et encore. Jusqu’à ce qu’un appel me sortait des draps subitement. Davis. Je n’eus pas le temps de répondre, le temps de pousser ce grand tatoué de mon corps pour me lever. Une fois son message écouté un sourire naquit doucement sur mes lèvres, finalement ma soirée s’annonçait bien mieux que cette journée désastreuse. J’enfilais ma culotte et ma veste laissant mes affaires ici en disant au jeune homme de les garder en souvenir avant d’aller en trombe dans ma chambre dans la maison Gamma. Une robe sexy à souhait des jambes légèrement luisantes, des talons hauts, les cheveux lâchés, des lèvres rouges j’étais parée pour récupérer ma petite marchandise au Lexington Club. Je n’étais pas le genre de fille très riche, mais j’avais eu la chance de coucher avec un des mecs qui travaillait avec Xzibit de Pimp My ride, du coup j’avais une caisse que je ne sortais pas souvent mais qui était digne de l’émission. Le modèle ? Aucune idée, ça roulait vite il y avait de la nitro, des écrans partout, des enceintes c’est tout ce qui m’apportait. Une fois en route, je lui envoyé un simple message « Ok, je viendrais accompagnée. » De ce message il allait comprendre que je ne comptais pas venir avec un ou deux clients, loin de moi cette idée. Avant tout, avant de toucher ces hommes en manque d’adrénaline il fallait toucher les filles, majeures de préférences. Une brune, une blonde, deux rousses, et une asiatiques je les préparées avec assez d’alcool sur le speech qu’elles avaient à faire à quelques hommes que j’avais déjà observé dès mon arrivée. Mais moi je m’attaquais au plus gros client, celui qui allait claquer toute sa thune, pour prouver que ce n’est pas qu’un homme marié. Toute façon vu mon opinion sur le mariage il n’allait pas faire long feu. Après quelques œillades, quelques caresses sur sa cuisse je l’avais convaincu à rejoindre la course. Mes claudettes quant à elles m’avaient ramené les cinq clients que je leur avait demandés. Ils avaient de beaux bolides ça c’est sûr mais pas ce que nous avions Davis et moi des gros cylindre toute façon ce n’était pas le but, certains venaient que pour parier d’autre pour tester la vitesse, le danger, la peur, et la possibilité de se taper les minettes qui trainaient dans le coin. Les deux rousses je les laissais au marié en leur donnant le lieu de rendez-vous. Je m’en fichais qu’il les baise avant tant qu’on puisse se le farcir après ça m’arrangeait. Dans la voiture, la musique à fond je fonçais sur les routes de San Francisco avant de regarder mes copines d’un soir « Les filles, le deal c’est simple, vous leur faîtes croire ce que vous voulez, mais vous ne couchez pas avec ce soir, le lendemain, le surlendemain je m’en contrecarre. Mais pas ce soir, sinon ils ne reviennent pas ». Une des filles un peu éméché me demandait comment elle serait payée. Un sourire aux lèvres prenait part sur mon visage. Je sortais de ma culotte mon pochon de coke une fois garée devant le lieu de rendez-vous en leur mettant un peu dans chaque main « D’abord ça, et après je vous emmène en after les filles. » Mensonge, elles allaient être tellement défoncées que j’appellerai un taxi, je glisserai 100 dollars dans leurs jupes et le tour est joué. Une fois le nez rempli, nous sortions toutes de la voiture. Elles étaient sexy à souhait, mais mon regard cherchait juste mon acolyte du soir, Davis. D’une démarche féline je m’approchais de lui, en passant délicatement ma langue sur mes lèvres, avant qu’une fois à sa hauteur je caresse sa douce cicatrice tout en plantant mon regard dans le sien « Tu m’avais presque manqué bad boy ». C’était une taquinerie, il n’avait rien d’un bad boy sinon on serrait en taule depuis bien des années. Je m’écartais alors en lui montrant les 11 inconnus derrière moi, lui présentant chacune des filles, visiblement bien dressées puisque je les voyais l’aguicher avec simplicité comme si c’était inné chez elle. Puis les clients. Je chuchotais à l’oreille de Davis : « Le marié, fais lui voir gros, il a de quoi peser lourd, il veut m’impressionner. ». Puis je déposais un baiser sur sa joue, pour laisser les clients se ramenaient vers nous. Let’s race boys.



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MessageSujet: Re: davis&charlotte .and they run the night. davis&charlotte .and they run the night. EmptyMar 25 Nov - 23:28

and they run the night.
Davis & Charlotte



Davis semblait siffloter bien trop joyeusement devant le parterre légèrement désert de la route qui s'étalait devant lui à perte de vue. Au travers d'une brume à peine dissimulée par les rayons de la lune qui dardait sur le bitume, ses traits avenants, l'astre lunaire semblait lui montre la voie, le chemin à pacourir jusqu'à la rançon d'une gloire qui lui serait attribuée de façon éternelle. Sourire en coin, perpétuelle mine encleinte à toutes les plus belles paroles, Davis attendait comme les quelques hommes qui se tenaient là, des habitués de ses grandes parades, que d'autres personnes adeptes des nuits longues et fastidieuses, viennent à poindre leur nez. Mais pour ça, il savait très bien sur qui compter. C'est pourquoi il avait appeler Charlotte, la seule jeune femme de l'université à être parfaitement au courant de toutes les magouilles dans lesquelles il trempait avec une obstination à la limite de l'incongru. Une folie passagère semblait faire trésaillir ses prunelles d'un sombre supplice mais il n'en retirait aucun égo supplémentaire, aucune forme hautaine à l'horizon ni même l'espace d'un instant, des traits audacieusement irreverenscieux sur son visage. Non. Davis se contentait d'en retirer une fierté presque trop humble par rapport à ce que tout cela lui rapportait. Il était respecté dans le milieu, presque craind parce son talent à toujours déjouer les lois des heures sombres du cosmos juste en claquant des doigts. Mais il était indéniable que son charisme obsessionnel et son éducation méticuleuse avait eu raison de lui et c'était en partie ce qui faisait son bagou qui ne laissait en rien indifférent les clients potentiels qu'il avait ameutés au fur et à mesure des années, dans les différentes villes où il avait insufflé son goût indubitable pour les plus grandes mascarades entreposées dans de beaux lieux choisis évidement, par ses soins. De nombreuses fois évidement, les évènements avaient tournés courts. Surtout les courses de voitures où la police jugeait bon de se pointer aux plus mauvais moments pour  venir trahir leurs plus grandes sensations volées à la nuit. Eclairage à demie coulée sur les capôts, les plaques d'immatriculation complètement camoufflées par toutes sortes de subterfuges, Davis avait su réinventer une activité frauduleuse en l'ombre d'une conquête spatiale au confin d'une redécouverte de soit-même. En gros, il expliquait qu'au lieu de se payer des psys ou de rester à se prendre la tête avec sa femme, il valait mieux venir avec lui, goûter à tous les plaisirs qu'il offrait dorénavant. Après tout, les filles frissonnaient à chaque course et les hommes se sentaient plus forts, plus grands, plus fierts d'eux en rentrant chez eux. Alors c'était tout bénèf pour tout e monde et même les perdants n'étaient laissés de côté pour Davis. Après tout, c'était des clients et de futurs clients potentiels. Il se devait de les bichonner avec un sourire illusoire qu'il contrôler le monde alors que c'était le bel oméga qui tenait les ficelles avec cet air si symbolique d'avoir déjà tout compris à la vie du haut de sa maigre vingtaine. Faisant voltiger les clés de la voiture de luxe sur lequel il était assis, il les rattrapait avec dédain jusqu'à ce que, dans son mouvement frénétique, il aperçoive des phares de voiture illuminées la piste. Du monde. Et pas des moindres. Il observait de longues gambettes dénudées sur des talons stratosphériques et des hommes à la mine sereine. Mais ce qu'il voyait, c'était l'accueil magnanime que lui faisait Charlotte alors qu'elle affichait son air le plus diabolique en faisant crisser ses doigts sur sa cicatrice morbide qu'il affichait sur la joue. Les nuits ont dû te paraître bien plus douce sans moi dans les parages. Ravis de pouvoir retourner ton quotidien... Qu'il dit en haussant un sourcil pendant qu'il souriait en reluquant l'homme marié de haut en bas. S'écartant légèrement, il prenait la posture du grand patron en tapant dans ses mains, les joignant en un manège à la maître burns dans les simpsons. Mes amis, ce soir est votre soir. Si vous ne connaissez pas les règles et bien tant mieux, il n'y en a pas. Bienvenue aux nouveaux, félicitation aussi aux anciens, en espérant que vous ne vous entretuerez pas à la recherche d'une gloire qui ne sera qu'éphémère une fois le levée du jour. Soyez bons, pariez gros et empochez encore plus. Qu'il disait de sa voix portante avant qu'il ne lance les festivités et se tourne de suite vers Charlotte. Le départ était lancé, les premiers bolides fonçaient à en faire écumer le sol anthracite. Mais lui ne s'occupait que des billets qui s'étaient rapidement entassés dans sa main. Il en prenait un et le glissait négligemment dans le soutient gorge de la jeune femme. Alors dis moi, je sais que t'as déjà une cible ce soir... Qu'il disait parce qu'il savait pertinemment que la jeune femme était du genre à croquer à tous les fruits défendus autour d'elle. Quand à eux, le business restait le business malgré son allure grandiose et jamais il n'avait touché au délice qu'elle représentait. Pas encore du moins ... A moins que tes habitudes aient changé... Il passait un doigt sur l'arrête de son menton, comme à l'époque. Ce petit geste si significatif de leur plus grande complicité à l'époque reflétait le bonheur de la retrouver ici. Néanmoins une ombre s'affichait sur son regard et il n'aurait su dire si cela venait de ses grands airs belliqueux ou alors de quelque chose de plus profond ...

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MessageSujet: Re: davis&charlotte .and they run the night. davis&charlotte .and they run the night. EmptyLun 26 Jan - 11:44

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