J’étais actuellement dans le parc, à regarder le ciel, écoutant le chant mélodieux des oiseaux qui commençaient sérieusement à me casser les oreilles. Quand les jours se ressemblaient, quand le monde vous paraissez tellement monotone et beaucoup trop prévisible, vous n’aviez qu’une seule envie, réussir à sortir de ce quotidien qui en venait à rendre votre vie d’un terrible ennui. Bien que ces temps ci ma vie soit quelque peu mouvementée, elle ne l’était hélas pas dans le bon sens, mais je refusai catégoriquement de me plaindre, même si la situation était des plus catastrophiques, j’avais déjà connue bien pire. Des souvenirs me revinrent soudainement en tête, des souvenirs que j’aurais tant voulu effacer de ma mémoire, mais qui étaient hélas prêt à me hanter et à me tuer à petit feu. Tant que je n’aurai guère établie cette vérité qui me rongeait de l’intérieur, jamais je ne pourrai être pleinement légère. Cela doit probablement paraître confus, c’est donc pour cela que je souhaite ressassé de nouveau cette histoire qui n’avait démarré que d’un stupide verre, lors d’une stupide soirée, organisée par un stupide ami. Cette nuit là avait été comme les autres. J’avais rencontré un charmant jeune homme, dont le prénom m’a légèrement échappé. Nous avions conversé une bonne partie de la soirée, de tout et n’importe quoi, buvant verre sur verre, n’ayant nullement conscience de la gravité de nos actes.

Ce qui du se produire se produisit, nous avions terminé la nuit dans un lit quelque peu miteux, poussiéreux et moche, du moins à en croire mes souvenirs quelque peu confus. Ce matin là je m’étais réveillée avec un mal de crâne abominable, consciente de ma nouvelle connerie. A ce moment là, je n’avais guère été consciente de ce que cette histoire allait pouvoir engendrer, préférant prendre la fuite, comme les précédentes fois. J’eus tout de même la courtoisie de lui laisser un mot, même si cela n’allait probablement pas arranger sa stupéfaction, car en générale, il est vrai que c’était les hommes qui avaient pour habitude de s’en aller au petit matin, sans se retourner. Mon regard s’était tourné une nouvelle fois vers ce jeune homme mystérieux, et je fus attendri devant cette divinité masculine encore dans le royaume des songes et de l’insouciance. Son ego avait probablement du en prendre un sacré coup, mais dans la vie des claques on en prenait, bien malgré nous. Le malheur étant désormais qu’il a fallut que d’une seule fois pour que je tombe enceinte avec la certitude qu’il en soit le responsable. De toute évidence, je n’aurais pu le garder, mes revenues ne me le permettaient pas, et puis je n’étais pas capable d’assumer un enfant, pas toute seule. Je fus donc obligée de prendre une abominable décision, celle d’avorter. Je n’en n’avais parlé à personne jusqu’à aujourd’hui, même pas au principal concerné, préférant garder cela secret, même si je regrettais de ne pas le lui en avoir informé.

Je me mis à secouer la tête légèrement, afin de chasser ces souvenirs qui ne cessaient d’enivré mon esprit déjà tourmenté, avant de me décider à me lever pour rejoindre les locaux de l’université. C’était l’heure du déjeuner, et à vrai dire, je n’avais pas très faim. Je n’avais qu’une seule envie à présent, rejoindre le gymnase et m’entrainer sur la chorégraphie que j’avais élaborée la veille, par simple plaisir de se vider la tête pour quelques instants. C’est d’un pas résigné que je me dirigeai vers ce que cette école osée appeler un « restaurant universitaire », mais la bouffe d’ici était toujours mieux que les pattes grillés que me confectionnais mon père, même si elles étaient préparées avec amour. Je ne pus m’empêcher de sourire à cette pensée quitte à passer pour une dingue devant mes autres camarades. J’avançai dans la file d’attente, qui aujourd’hui semblait beaucoup moins longue que d’habitude, et me fit servir par l’une des cantinières pas très abordable. Celle-ci me servit de la salade et…de la viande ! Avais-je omis le fait que je sois végétarienne ? Et cette garce le savait très bien, vue le sourire narquois qu’elle me lançait à présent, espérant probablement que je réplique quelque chose. Je ne répondis que d’un grand sourire et m’en alla, devant le regard frustré et aigri de ma comparse. Je scrutai un moment la salle du regard, et n’aperçue aucun visage connue, aucun sauf un. A croire que le destin me força à le côtoyer, et à devoir le regarder dans les yeux, après l’immonde bavure que j’avais commis à son égard. Avec un peu de chance, il ne se rappellerait probablement pas de moi. Dans tous les cas, cette mascarade devait désormais prendre fin. Oui, j’allais tout lui avouer, mais hélas je ne pouvais pas lui claquer cette nouvelle comme ça, car de un, il ne me connaissait presque pas, même si lorsque que j’avais été sous l’emprise de l’alcool je lui en avais raconté de belles à mon sujet, et lui aussi d’ailleurs. De deux, je ne savais même pas s’il allait me laisser l’aborder. Je pris mon courage à deux mains, et m’avançai d’un pas qui se voulait blaser devant le jeune homme. Une fois arrivée à sa hauteur je pris directement la parole :

« Je peux m’asseoir? »

Je n’attendis guère une quelconque réponse de sa part, et m’assis directement. Je n’avais pas vraiment pour habitude de polémiquer trois plombes, même si là j’avais un peu de mal à aller droit au but.

« TU MA LACHER LACHEMENT ET EN GUISE DE RECOMPENSE UNE LETTRE... »

J'avais passé la matinée à composé de la musique avec ma simple guitare de couleur noir. Depuis mon enfance, je m'étais découvert un petit talent de guitariste, quand j'étais à Paris, dans mon quartier, j'aimais pouvoir en joué pendant des heures, voir même jusqu'à la tombée de la nuit. Parfois les passants mettaient une simple pièce d'un euro voir deux parfois mais j'étais heureux avec ça, car je les ramenais à met parents qui eux, était fier de voir leur fils avec une petite paye. Le soir, j'aimais pouvoir écrire, en m'éclairant de la lumière que dégageait la lune. J'aimais écrire voilà pourquoi je faisais des études de journalisme. Met parents étaient fier de moi, c'est ce dont j'avais toujours rêvé, malgré d'être partis comme un lâche. En parlant de lâcheter, je ne vous est pas parler de ma relation d'un soir que j'ai eu avec une charmante demoiselle auquel je n'aurais jamais pensé couché avec elle. Malgré tout cela c'est fait après plusieurs verres, tequila, vodka, bière voir d'autre si je ne m'abuse. Je ne pense pas avoir pris soin de mettre protégé, après tout, je n'avais rien sur moi, car c'était normalement qu'une simple soirée, et je n'avais pas pensé à couché avec la première venue. Le lendemain matin, je pensais pouvoir réveillé, en l'ayant à met côtés et partir comme un voleur, comme un lâche, ce dont j'avais toujours eu l'occasion de faire. Sauf que cette fois-ci, je me réveilla seul, était-elle partie ou prenais t-elle une douche? J'avais beau vérifier chaque recoin de la chambre, elle n'y était pu, elle était partit, lâche, voleuse. Une simple lettre sur la lettre, la première de toute met relation d'un soir. Je fila donc de cette chambre, dans les recoins de la maison, toute les bouteilles et les verres n'y étaient toujours pas mient à la poubelle, ou dans des sacs. Les jours avaient passés et je faisais comme-ci de rien n'était. J'avais eu d'autre relation d'un soir, après tout j'étais jeune et je profitais de la vie au maximum. J'avais eu besoin de sexe, d'alcool, de femmes, de musique, d'écrire, c'était ma vie. Dans les bars ont me connaissaient, comme un homme fumeur, n'importe qu'elle marque de cigarette, tant que j'en avais eu aux lèvres, ont me connaissaient également comme le type qui voulais toujours boire, que ce soit d'un verre ou d'un verre de tequila, pur, comme pour se faire du bien. Parfois, je courrais dans les rues ou je faisais des pompes pour me muscler les bras ou bien des abdos, pour me muscler l'abdomen. Le sport était quelque chose de privilégié dans ma vie, c'était grâce à ça si j'étais toujours en forme car sinon je ne ressemblerais à rien. J'avais beau vouloir me changé les idées, je me demandais sans cesse ce qu'était devenu la nana au visage matte. Ce qu'elle était devenue. C'est vrai, on ne dirais pas comme ça, mais parfois je me posais des questions, on ne ses jamais ce qui pourrais très bien arrivé. J'avais repris les cours, et je me m'étais à fond dans ceux-ci, je ne voulais pas raté ma vie, bien au contraire, je voulais la réussire. Aujourd'hui il était l'heure de mangé, l'heure que j'attendais chaque jours, car c'était le seul moment ou je pouvais être libre. J'étais à une table seul, comme à mon habitude, et je commençeais à mangé des lasagnes, tout aussi meilleur que celle de mon père. Je buvais mon verre d'eau quand une nana fut son apparition, je n'eu même pas le temps de lui répondre qu'elle s'asseya déjà en face de moi. Je la reconnaissais mais je ne voulais pas avoir affaire à elle, surtout après la nuit que j'avais passé et encore moins la matinée. Je continua donc de mangé met lasagnes pour ne pas avoir affaire à elle. L'ignorance était quelque chose de bien, un outil permettant de ne plus se rappeller, d'oublier le plus important dans une vie. Je me demandais bien ce qu'elle me voulait, après des jours et des jours d'ignorances. La plupart des gens sur les tables qui se trouvaient autour de moi, me regardais. Pourquoi? J'avais l'habitude d'être seul, petit français, travaillant seul, restant seul dans son coin. J'étais comme ça ici et cela ne me dérangeais guère. Je finissa mon assiette de lasagne, m'essuya les lèvres et pris soin de finir mon verre d'eau. Je pris la parole, j'en avais marre qu'elle me regarde.
« Qu'est ce que tu me veux? Je crois qu'ont à plus rien à se dire. J'en suis même sur.»
Je me leva de ma chaise et partis en direction des lavages et vidages de plateau. Je fis la queue sans trop savoir ce que je faisais à cet instant. C'était bizzard qu'elle vienne, surtout maintenant. Je me demandais ce qu'elle me voulais. Après avoir vidé mon plateau, je retourna en face d'elle, me remettant sur ma chaise. J'étais sur au moins d'avoir quatre regards sur moi, je ne sais pas pourquoi mais c'était une sensation assez agaceante.
« Ta deux secondes, je t'écoute.»

La situation se montrait des plus inconfortables, surtout que ce silence pesant commençait quelque peu à me mettre mal à l’aise. Dans tous les cas, son regard en disait long sur ses pensées actuelles, et il ne valait peut-être mieux pas le contrarier avec ce sujet fâcheux pour le moment, même si ce n’était pas réellement dans mes habitudes de prendre des pincettes. Bien que je me fiche complètement de ce qu’il pouvait bien penser à mon égard, il fallait bien que je sois franche, même si l’idée de lui mentir encore un certain temps m’avait pendant un petit moment traversé l’esprit. J’aurais peut-être pue regretter ma fuite s’il ne serait guère passé entre les cuisses d’un nombre incalculable de jeunes femmes, car bien que je ne le connaissais pas vraiment, je mettais quelque peu informé sur sa réputation aussi glorieuse que la mienne. Mon regard pesait sur lui, et je me demandai quand il allait enfin craquer, et briser ce silence de mort. De toute évidence, il m’en voulait. Mais à quoi aurait-il pu s’attendre ? Je l’avais probablement devancé, et avait eu l’extrême intelligence de partir la première, bien que ce genre d’attitude me dégoute au plus au point, c’est ce que j’étais devenue dès aujourd’hui. J’étais loin d’avoir une vision idyllique et utopique des relations hommes/femmes, mais je n’avais pas toujours été comme cela. Il m’était déjà arrivée de croire au prince charmant et à ce genre de baliverne. Désormais pour moi l’homme n’était qu’un vulgaire insecte, écrasé sur le par brise de ma piètre existence.

Je fini par jeter un petit coup d’œil à mon assiette et la poussa bien loin de moi. Mon visage se tourna de nouveau vers mon interlocuteur lorsque celui-ci prit la parole. Pas très loquasse, je le regardai partir sans éprouver une quelconque surprise. Sa réaction était tout à fait légitime, et à vrai dire je ne pourrai nullement m’en plaindre. Cela retardera l’échéance de ces aveux qui promettaient de l’énerver d’avantage. Dans tous les cas, ce n’était pas plus mal. Je tournai de nouveau mon visage vers mon assiette et mangea cette salade qui allait se montrer que très peu nourrissante. A ce rythme là je ne tiendrai nullement toute la journée, mais tant pis. Je me laissai surprendre par un bruit de chaise, et leva instantanément la tête et fut quelque peu surprise de la trouvaille. C’était encore lui, qui m’accorda deux secondes pour lui parler, et pas une de plus. Moi qui croyais avoir échappé à la confrontation, je m’étais belle et bien trompée. Bien qu’il fût assez difficile de garder mon éternel visage serein, il m’était désormais impératif de lui parler de cette nuit qui avait réussi à chambouler tout mon monde. Je ne savais même pas s’il allait me comprendre, mais à vrai dire cela ne m’importais pas réellement. Mon regard se risqua à croiser de nouveau le siens qui semblait tellement distant. Je soupirai, avant de croquer un morceau de ma pomme. Je ne pus m’empêcher de sourire devant sa mine grave et accusatrice, me jugeant déjà coupable.

« Arrête de jouer les hommes bafoués, car tu savais bien comment cette histoire se terminerai. »

Dis-je légèrement amusée de cette situation qui n’avait rien de si hilarante. Mon plus grand défaut est que je ne prenais jamais rien au sérieux. A part la danse, je n’avais accordé jusqu’ici aucun intérêt au commun des mortels, ce qui faisait parfois de moi une jeune femme égoïste, ce que je n’étais pas tout le temps. Les deux secondes avaient été dépassées depuis longtemps, mais il était toujours là, prêt à écouter les immondices que j’étais prête à lui raconter. Je ne pouvais plus me dégonfler désormais, et puis c’était maintenant ou jamais. De toute évidence, il ne pourrait nullement me tuer dans un endroit public, donc je devais en profiter. Mon sourire s’effaça et mon visage habituellement neutre fit de nouveau son apparition. Je ne comptai pas m’excuser, chose qui m’écorchera surement la bouche, étant donné la grande fierté mal placé que j’avais toujours possédé. Et puis, ce n’était pas complètement de ma faute.

« Tu dois bien te douter que ce n’est pas par plaisir que je viens te voir aujourd’hui. Je sais ce que je suis pour toi, une vulgaire catin, une fille écervelée et j’en passe des meilleures. Mais passons le passage des insultes s’il te plait, car je souhaite aller droit au but. Je suppose que tu dois probablement m’en vouloir d’être partie comme une voleuse, et je comprendrai, mais je ne suis pas venue te parler de ça. Après cette soirée, j’ai apprit que…j’étais enceinte, avec la certitude que tu en sois le responsable. J’ai paniqué, ne me sentant pas capable d’élever un enfant toute seule, du coup j’ai avorté s’en t’en avoir parlé. »

Ça c’est fait et ce n’était plus à refaire. J’avais dit cela d’une traite, et je fus heureuse que celui-ci ne m’interrompe nullement durant mon récit, qui fut bien plus long que ce que j’avais pu imaginer. Qu’est ce qu’un enfant pour un jeune homme aussi libertin que lui ? Pourquoi est ce que je ressentais cette culpabilité en ce moment même ? J’ignorais qu’allait-être sa réaction et à vrai dire je me doutais bien qu’il n’allait nullement sauter de joie devant cette nouvelle qui avait tout de même son importance. Dans tous les cas, il pouvait me blâmer. Mon regard se montrait quelque peu fuyant, mais j’eus tout de même le courage d’ajouter :

« La seule chose que je regrette, c’est de ne rien t’avoir dit. »

« TU MA LACHER LACHEMENT ET EN GUISE DE RECOMPENSE UNE LETTRE... »

Je m'étais installé sur la chaise, je voulais à tout pris partir mais j'avais une intuition que la demoiselle en face de moi allait me parler d'un quelque chose assez... Bizzard ! Les regars de la restauration universitaire avaient tous les yeux braquer sur nous. Pourquoi? Simplement parsque j'avais la plus grande habitude de mangé seul et surtout être seul à la table. Elle me regarda avec un sourire qui voulait tout dire. Puis elle pris la parole, disant que je savais comment sa allait se finir. Oui je le savais mais ce que je ne savais pas sais que c'est elle qui avait pris la chasse, la fuite avant mon heure. Me laissant seul dans un lit inconnu au drap aussi blanc qu'une colombe. Puis avec les secondes qui passèrent, elle perdit son magnifique sourire, oui elle avait un magnifique sourire, tout un comme magnifique regard à vrai dire. Mais les femmes de l'universiter en était bonder, c'est bien pour cela que la plupart passaient dans mon lit. Non je n'étais pas sentimental et encore moins un bon parleur, ni un loveur. Ici y'a pas de sentiment, juste des centimètres. Derrière elle je pouvais apercevoir une bande de minettes, en première sans doute vu leurs peau parfaite et les regards ne sachant pas ou aller. Ce qui était bien ici, c'est que des j'avais l'occasion de parler avec une femme, tout le monde me regardais, en pensant à eux même : Il va se la faire ! Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'elle est déjà passée et ce n'était pas vraiment prévu. L'alcool à tout fait comme travail le soir-ci et je dois avoué qu'elle est un bon coup. Son regard était devenu bizard, perdant son magnifique sourire, pous afficher juste c'est lèvres. Elle respira un bon coup, j'étais près à entendre ce qu'elle voulait me dire depuis dix minutes déjà. Elle prit la parole et je fus scotché sur ma chaise. Elle venait de dire qu'après le petit coup de nuit, elle était tombée enceinte et qu'elle était sur que c'était de moi. Je me mis au fond de ma chaise, perdu. Comment était-ce possible ? Mettre une femme enceinte pour la première ! Je c'est que je ne m'étais point protégé mais je n'avais rien prévu comme protection sur moi. Mais elle m'avait dit qu'elle prenait la pilule alors pour moi, c'était bon, elle n'aurait pas pu tomber enceinte de moi. Je la regarda après de longue seconde de longue respiration.
« C'est impossible que ce soit moi. Et tu sais pourquoi? Parsque tu ma dit avant qu'ont passent à l'acte que tu prenais la pilule !.»
J'étais devenu pale comme un linge délavé. J'avais parlé à haute voix par énervement, maintenant tous les regards étaient sur elle. Je la regardais, il fallait à tout pris que je face quelque chose pour pas que les gens parlent sur elle et que des rumeurs persiste. J'hésita un instant puis lui pris la main doucement. Tous les regards étaient la maintenant, il fallait que je la face partire d'ici, ça allait être horrible pour elle autrement. Je me leva donc et lui pris son plateau en lui faisant signe de tête de venir. J'alla vidé son plateau et la retrouva. Je mis met mains dans les poches de mon jean, trop concentré et surtout bouleversé par la nouvelle assez moche... Je ne savais plus ou donné de la tête. Elle avait été enceinte de moi, la première femme depuis met relations d'un soir ! Je la regarda longuement, ne sachant ni quoi dire ni quoi faire. En faite, il n'y avait plus rien à faire, mais à dire il y avait sans doute. Et surtout des excuses non? Car c'était tout de même ma faute si elle était tombée enceinte et également de la sienne car elle aurait du prendre sa pilule. Je l'enmena à une autre table ou je m'installa, de nouveau au fond de ma chaise. Les regards étaient de moins en moins là, c'était plutôt rassurant.
« Ecoute, au point ou ont en est, y' a plus rien à faire. Je suis content que tu es prise cette décision car c'était impossible que cette enfant viens. Que ce soit toi ou moi, cela aurait été impossible pour nous de l'élévé sachant que nous ne sommes pas ensemble et que c'était juste pour un coup d'un soir. Qui n'avait pas été prévu bien évidement. Mais sache juste, que de toute met relations d'un soir, tu es la seule qui est tombée enceinte de moi ! Et je trouve cela bizard, frusquent, sa me fou même les boules. T'imagine, moi avoir les boules quoi ! Une première depuis de nombreuse années. C'est de ta faute et de la mienne également. J'aurais du me protégé, mais n'ayant rien sur moi, j'aurais pas pu, mais je comptais sur toi pour te protégée. C'est facile pour vous non? Prendre un petit cachet, un verre d'eau et hop !»
Je ne savais plus ou donné de la tête à ce moment précis. J'étais déconecté de la planète Terre, déconecté de tout. J'étais devenu bizard, blanc très blanc, je commencea à prendre de l'air comme-ci j'allais m'éttoufé.