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Suis moi, je te fuis ! Fuis moi, je te suis ! { <•> Anton Miller <•> }

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MessageSujet: Suis moi, je te fuis ! Fuis moi, je te suis ! { <•> Anton Miller <•> } Suis moi, je te fuis ! Fuis moi, je te suis ! { <•> Anton Miller <•> } EmptyJeu 29 Oct - 22:37

    Aujourd’hui c’était journée de repos pour Fran’. Elle n’avait pas cours de la journée, et n’avait rien de spécial à faire. De ce fait elle avait pu dormir longuement ce matin. Emmitouflée dans ses couvertures elle était restée au lit jusqu’à 11h. Finalement c’était des bruits dans le couloir de la maison EPSILON qui avaient eu raison de son sommeil. Elle s’était extirpée du lit tant bien que mal pour enfiler son jogging et filer faire un jogging tout le long du chemin des Grecs. En rentrant elle avait croisé d’autres EPSILONS avec qui elle avait déjeuné, avant de remonter dans sa chambre prendre une douche et s’habiller plus joliment. Dehors il faisait relativement froid. On aurait dit que l’hiver arrivait avant l’heure. Francesca resta quelques instants, plantée devant sa penderie à double battants à laquelle elle avait le droit étant EPSILON. Frany avait entendu dire que même les BETAS n’avait pas droit à tant de luxe … Cette pensée la fit sourire. Après tout elle «était peut-être une gentille fille, ça ne l’empêchait pas d’aimer être dans des lieux privilégiés et luxueux. Même s’il s’agissait d’une résidence universitaire. De plus les maisons de confrérie étaient toujours plus agréables que les chambres minables qu’on louait aux jeunes n’appartenant à aucune sonorité. Je disais donc que Francesca resta plusieurs longues minutes, plantée devant sa penderie, en sous vêtements archi-sexy, comme toujours d’ailleurs, avant de finalement choisir sa tenue du jour. Elle opta pour un jean sac d’os noir, un tee-shirt avec un gobelet remplie de crème chantilly et de fruit dessiné dessus. Fran adorait ce tee-shirt, peut-être parce qu’il lui donnait toujours envie de sourire, et de manger aussi … Aux pieds, elle ne pouvait se résoudre à porter de simple basket de ville. Il lui fallait absolument une pièce de créateur, ou deux sur elle, tous les jours, pour se sentir bien et forte. Elle enfila donc de magnifique Low Boots Louboutin, reconnaissables grâce à leurs célèbres semelles rouge. Fran’ les adorait, d’ailleurs elle adorait tout ce que Louboutin faisait ! Elle était de loin sa plus grande fan. Elle se jeta ensuite un coup d’œil dans la glace, et alla se maquiller furtivement dans la salle de bain. Elle ramassa les serviettes qu’elle avait laissé au sol après sa douche, passa un petit coup de ballet pour enlever les cheveux de par terre et se parfuma. Elle retourna dans sa chambre et se dirigea vers un placard rempli de sac à main plus somptueux les uns que les autres. A la manière dont ils étaient tous empilés, on aurait pu croire que la personne à qui ils appartenaient ne faisait pas attention à leur valeur. Hors c’était plus une question de place que d’un manque certain de soins de la part de notre jeune Italienne. Elle attrapa un grand caba marron tressé Zac Posen, et une pochette noir posée sur sa commode. Elle vida la pochette sur son lit, et rempli le caba des objets éparpillés sur la couette. Son portable, son portefeuille, ses papiers d’identités, ses cartes bleues, quelques chouchous, un mini déodorant, des mouchoirs senteur menthe qui avaient le don de vous arracher le nez lorsque vous étiez malade, deux ou trois briquet, deux paquets de malboro et un de camel, du maquillage et enfin son blackberry (différent de son portable, puisque sur son blackberry elle note tout ses rendez-vous, ses analyses, des infos sur des gens, des adresses, des e-mails, et elle y reçoit des messages et en renvoie tandis qu’avec son portable elle se contente d’appeler et de recevoir des appels … très différents donc !).
    Après avoir donc effectué le transfert de la pochette au sac, elle attrapa ses clefs sur sa table de nuit, refit vaguement son lit, attrapa son sac au vol et se fourgua son MAC sous le bras, couru vers la sortie. Lorsqu’elle n’avait rien à faire, personne à voir, aucun cours à réviser, et que le temps ne lui donnait pas envie de sortir, Francesca se rendait toujours dans un endroit bien précis. Ou plutôt deux ! Premièrement elle passait au starbuck, se chercher un bon café avec double dose de mousse, ensuite, soit elle filait à la salle de sport, soit elle se rendait à la bibliothèque. Aujourd’hui ce serait la bibliothèque ! Après avoir chantait à tue-tête « Baby one more time » dans sa jolie petite New Beatle rouge, durant tout le trajet qui la séparait de sa résidence au centre ville, Francesca se gara et se dirigea vers l’entrée de l’établissement. Au fil des jours elle avait appris à connaitre les moindres recoins de son nouveau refuge. En Italie elle allait toujours dans la même petite bibliothèque sympa et cosy qui faisait aussi café, au début ça n’avait pas été facile de faire des infidélités à cet endroit tant aimé par la jeune fille pour cette immense bâtisse très fréquentée. En entrant tout était plongé dans le silence. Francesca fit quelque pas, puis ferma les yeux bien forts. Cela lui faisait tellement de bien d’être dans un lieu si silencieux. Elle avait tout le loisir de reposer son esprit. De plus elle avait trouvé un petit coin bien éloigné du reste des gens au fin fond de la bibliothèque. Personne n’y venait jamais. Elle s’y rendit donc, mais lorsqu’elle passa de l’autre côté d’une étagère poussiéreuse, sa place était prise. Un garçon lui tournait le dos. Elle fronça les sourcils. En un mois de temps, c’était la première fois qu’elle voyait quelqu’un dans ce coin de la bibliothèque. Elle resta planqué un moment à observer le garçon, il avait l’air plongé dans ses pensés. Puis elle décida de s’avancer. Elle déposa son ordinateur sur la table, son sac et tout son barda. Puis elle leva la tête vers le jeune homme.

    Alors ça ! Si je m’attendais à voir quelqu’un ici, ce n’est certainement pas à toi, Miller, que j’aurais pensé !

    Le jeune homme leva la tête vers elle. Elle le connaissait relativement bien, il faut dire que lors d’une soirée ou un truc dans ce genre, ils avaient fait connaissance, et très vite sympathisé. Depuis Francesca et lui jouaient une sorte de jeu du chat et de la souris. Un coup « je t’aime » et l’instant d’après « je te hais ». C’était leur manière à eux d’être amis. De plus une sorte de séduction s’était installé. Cela dit Anton sortant déjà avec une fille, Francesca se voyait mal piquer le mec d’une autre. Elle se disait que c’était leur truc, leur façon de s’apprécier. Bien que le jeune homme ne l’ai jamais ouvertement repoussait, elle n’était jamais allé très loin non plus. Premièrement elle n’était pas du genre à venir trainer sur les plates bandes d’une autre nana et deuxièmement ce n’était pas une des ces pétasses qui saute sur tout ce qui bouge. Elle était beaucoup plus sophistiquée que ça. Comme ils étaient relativement éloignés du reste des gens présents dans les lieux, ils n’étaient pas obligés de chuchoter. Francesca fixa Anton et lui fit son plus beau sourire.

    Alors tu es là pourquoi ? Laisse moi devinez tu t’es pris une dissertation pour avoir raté tes derniers exams … C’est ta dernière chance de rattraper ta note ! Autrement je ne vois pas ce que tu pourrais faire dans une bibliothèque. Oh attend ! Tu sais que c’est une bibliothèque au moins ?

    Francesca rigola doucement. Elle s’assit en face de lui et lui signala qu’il s’agissait d’une blague. Elle alluma son ordinateur et fit mine de s’y intéresser de plus près. Quelques instants plus tard elle se leva pour aller chercher un livre. Lorsqu’elle revint, Anton était toujours là. Elle se rassit et se plongea dans sa lecture, jusqu’à ce que le jeune homme se décide enfin à la tirer de ce stupide bouquin …


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MessageSujet: Re: Suis moi, je te fuis ! Fuis moi, je te suis ! { <•> Anton Miller <•> } Suis moi, je te fuis ! Fuis moi, je te suis ! { <•> Anton Miller <•> } EmptyVen 30 Oct - 20:59

Le jeune homme était devant sa glace, l'air plutôt explicite il admirait une de ses nouvelles tenue. Ornant un jean noire, une veste en cuire ouverte et un tee shirt blanc en dessous il ne tarda pas à enfiler ses Ray ban et son bonnet. Un dernier coup de déodorant et il s'en alla sac sur l'épaule. A vrais dire sa journée était planifiée à l'avance. Il devait étudier un bouquin et rédiger des pages entières de résumé. Évidemment pour se faire il devait se rendre à la Librairie de La Ville. Enfaite il n'y avait jamais mis les pieds. Mais comme il a toujours aimé lire il prévoyait d'y entré un de ces quatre. Enfin il fallait avouer que c'était cette fois ci par pure intérêt. Il aurait préférer passer une après midi entre Amis à faire du Basket ou encore rester avec sa Copine. Engageait sur le Trottoir remplis de touriste il


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