| | | Tu me fuis, je te suis! (Bryan) |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: Tu me fuis, je te suis! (Bryan) Mer 15 Fév - 15:05 | |
| - Je venais il y a peu de débarquer ici à Berkeley sur les conseils de mon père, ne voulant que je gâche mon potentiel, ce don que j’avis pour la photographie à savoir capter le « truc » qui faisait que mon cliché avait quelque chose de différent des autres. J’avais découvert cette passion après la perte de ma mère cela faisait maintenant 12 ans que j’immortalisais certaines scènes, certains plans de nature tout ce qui avait le don d’attirer mon regard. Mais mon père m’avait également demandé de ne pas m’isoler, de faire en sorte que je sois bien intégrer au sein de cet établissement qui avait voulu m’avoir au sein de leur université m’ayant décerné une bourse n’étant pas pauvre, vivant même aisément dans le sens ou rien ne nous manquait même si nous ne faisions pas parti de la haute société mais avec un tel potentiel que celui que j’avais et des notes excellente, mon profil avait retenu toute leur attention, profil envoyé à mon insu par mon père me laissant ensuite lé décision d’envoyer ma candidature ou non à cette université réputée ou seuls certains membres pouvaient y entrer, membre dont je faisais dorénavant partie !
Berkeley, lieu sympa et chic, ou s’y mêlait beaucoup de personnes en tout genre, certaines extravagantes, d’autres réservées, ou encore discret, il y a avait un tout que chacun pouvait être classé appartenant à telle ou telle confrérie, pour ma part, je faisais partie des Sampi Tau Nu, ce qui me reflétait très bien, j’aimais profiter de la vie intensément qu’il ne me fut pas longtemps pour intégrer les soirées en tout genre, les boites de nuit entourée de nouvelles rencontres. En parlant de nouvelle rencontre j’avais rencontré un jeune homme qui avait été la cible d’une bande de rapace, non de couguars à qui j’étais venue en aide, se retrouvant dans un sale état, drogué et dans un état alcoolisé aussi ne faisant pas bon mélange que je l’allais ramener chez moi pur plus de sécurité, je n’aimais pas savoir les gens en danger ou en difficulté qu’ayant le cœur sur la main, le raccompagné jusqu’à ma demeure était ma première idée.
Je l’avais installé non sans mal dans ma chambre, envahit de tant d’effet , il était très disposé au fait de vouloir approfondir notre rencontre, ce qui n’aurait pas été des plus désagréable loin de là, mais ma conscience me l’interdisait que je l’installais ensuite, sur mon lit après être rentré en taxi, j’avais pris possession du canapé avant de me déshabiller prise de fatigue par cette soirée mouvementée. Bref, au petit matin allant récupérer des vêtements propres dans la commode de ma chambre je ne pus me résoudre à ne pas jeter un œil sur Bryan, pour savoir s’il dormait, mais au même instant il se réveilla, je lui lançais un sourire avec ensuite une air embêter lorsque je vis qu’il était nu , non pas que le corps d’un homme et le sien en l’occurrence me gênait mais la situation pouvait prêter à confusion que je rattrapais le coup en lui disant que rien n’était arrivé avant de l’inviter à prendre une petit déjeuner bien consistant ou nous fîmes connaissance. Un bon début de journée en soit se quitter sur de très bons termes.
Jusqu’au jour où je vis qu’il me fuyait, je ne sus pourquoi d’ailleurs que discutant avec des filles de mon cours, je le vis avec ses potes mais n’aimant pas le fait de me faire prendre pour une idiote ou une pestiférée, je décidais d’aller le voir de ce pas l’air fâchée, sourcils froncés.
-Excusez-moi les filles j’ai quelqu’un à aller voir, on se voit plus tard…
Traversant une partie du campus d’un pas décidé et vif, je ne pus résister à prendre des gants pour m’interposer entre lui et ses amis, me mêlant à eux.
-Vous pouvez nous excusez un moment, on a des choses à se dire, bye ! Me tournant vers Bryan je le regardais un instant sans dire un mot, avant de prendre la parole, me fichant éperdument s’il y avait du monde autour de tous ou pas.
-Alors ? C’est quoi la raison ? Je ne suis pas assez populaire pour que tu ne m’adresses la parole en public, à moins que je ne fasse pas partie de ton rang social ? Pourquoi es-tu ainsi, pourquoi me fuis-tu ? Je t’ai aidé on a passé une bonne matinée toi et moi, et là tu fias comme si de rien, mais réponds moi bon sang !
Je n’aimais pas me sentir utiliser, la preuve est que j’étais une personne conviviale, et sociale avec tous, rare étaient ceux que je détestais, au final je ne détestais personne, mais là, me sentir si énervée et le montrer était une chose des plus surprenantes !
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Tu me fuis, je te suis! (Bryan) Mar 21 Fév - 16:04 | |
|   Berkeley était un endroit rêvé pour tous les étudiants, ceux qui disaient qu’ils n’aimaient pas vivre ici, travailler ici étaient certainement des menteurs. C’était un endroit superbe ou l’on pouvait tout faire. Il y avait tellement d’option, tellement de matières que tout le monde pouvait y trouver son bonheur. Bryan lui avait testé une université en France et pas des moindre il avait été à la Sorbonne. Un endroit très réputé en France, un endroit d’où sortent beaucoup de têtes pensantes. Il n’avait fait qu’une seule année. Bien sur les cours ne lui plaisaient pas, mais ceux qui le connaissent savent qu’il y a autre chose. Ce qui ne lui plaisait pas c’était la vie qu’il avait eut là bas. Disparition presque inquiétante d’une petite amie, puis perte de sa nouvelle petite amie qui portait en plus son fils. En gros il n’avait pas été aidé par la vie. Il avait vécu deux grosses désillusions en France. Perte, disparition pourtant il été resté en Europe décidant de mettre un pied dans l’Angleterre de ses ancêtres.
Angleterre ou il avait encore une fois testé une université, des cours qui ne lui plaisaient pas, un environnement qui ne lui plaisait pas. Mais cette fois-ci dans sa vie tout allait mieux, il avait retrouvé sa mère qu’il n’avait pas vu depuis des années. Donc il avait apprécié mais avait décidé de tout changer. Sa mère était devenue commercial au niveau international, un truc qui lui plaisait pas mal. Donc durant toute une année il l’avait aidé dans son métier, presque un stage en entreprise qui l’avait sur-motivé. Riche, intelligent, rien ne pouvait donc l’empêcher d’aller à Berkeley qui est-il faut me souligner une université pour l’élite.
Quand je dis Berkeley élite, je veux dire que si vous n’êtes pas riche il faut êtres intelligent, si vous n’êtes pas intelligent il faut être riche. Si vous n’avez ni l’un ni l’autre vous devez passer votre tour. Dès ses premiers pas là bas il avait tout aimé. Le cadre était magnifique, belle bâtisse entouré de plusieurs bâtiments qui étaient les maisons de confrérie. Un parc immense qui devait être splendide en été (qui est splendide en été). En gros tout pour qu’il aille bien, tout pour qu’il bosse bien. Surtout qu’il n’y avait personne qu’il connaissait, une nouvelle vie. Loin de l’Europe qui avait fait verser trop de larme. Car oui Bryan est quelqu’un de sensible, on dit souvent de lui qu’il a la sensibilité d’un artiste. Les mecs de son équipe de boxe disent qu’il a une sensibilité d’homosexuel, chacun son point de vue. En gros il est le genre de mec qui quand il est submergé par certaines émotions ne peut retenir ses larmes. Sa peut choquer beaucoup mais il parait que cela plait aux femmes.
Donc voilà la perte consécutive de ses deux petites amies et de son fils ou sa fille l’avait fait verser plusieurs litres de larme. Les retrouvailles avec sa mère n’avaient pas non plus été là pour faire sécher ses yeux. Il souhaitait donc repartir du bon pied. En Amérique ou il avait grandit, l’endroit ou tout ne c’était pas super bien passé, mais c’était avant. C’est donc bien décidé à tout réussir que le duc d’Ecosse, ou plutôt le futur duc d’Ecosse c’était lancé.
La première année fut superbe, la deuxième année fut marqué par l’arrivé de son frère. Un frère avec qui il ne s’entendait pas du tout, tout comme avec son père. Il lui reprochait d’avoir prit le partie de son père, de ne pas être franc. Puis bon il était un peu jaloux de lui quand ils étaient petits. D’habitude c’est le petit frère qui s’inspire du grand frère, soyons franc et disons le haut et fort. C’est l’inverse chez les Mcfenders, c’est bien Bryan qui s’inspirent de Drew et non l’inverse. C’est surement pour ça qu’à l’heure actuelle, quand on croise les frères séparément il n’y a pas photo, c’est les deux mêmes.
Quelques ressemblances physiques, le même caractère et les mêmes attitudes. Choses qui n’étaient pas le cas avant. Enfin oublions, deux ans qu’ils sont donc dans la même université, et deux ans qu’ils ne s’adressent pas la parole. Un jour il va bien falloir qu’ils fassent tout les deux des efforts pour recoller des morceaux.
Voilà maintenant que vous en savez bien plus sur lui passons au présent. Fin de cous, Bryan entrain de discuter avec ses amis. Les moments qu’il apprécie, oui Bryan est comme ça. Un Alpha très sociale, ce qui choque souvent comme on dit que les gens de cette confrérie ne pensent qu’au travail. Tranquillement entrain de parler quand une jeune femme vint le voir. C’était Maelle, une belle brune qu’il avait rencontré en boite. Il ne se souvenait de rien mais elle lui avait tout expliqué. Il était au bar entouré de couguar qui essayaient de le faire boire et qui l’avaient drogué pour qu’il tombe dans leurs draps. Elle l’avait donc remmener chez elle, lui ne se souvenait que du matin. Un réveil lui nu, elle en petite tenue, très sexy. Elle lui avait sortie une explication qu’il avait totalement crue.
Mais voilà le lendemain discussion avec ses potes, et là ils lui parlent de Maelle. Lui expliquant qu’elle lui a certainement raconté des conneries, qu’elle a du le droguer et abuser de lui. Voilà pourquoi depuis il la fuit, donc la voir arriver comme ça dans la discussion ne lui plaisait pas tellement.
Je te fuis pas, c’est juste l’impression que tu as. Lâcha-t-il simplement, comme si elle allait le croire. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Tu me fuis, je te suis! (Bryan) Lun 12 Mar - 17:28 | |
| - J’essayais de m’intégrer ici à Berkeley, chose qui n’était pas évident au final malgré mon côté sociable pourtant mais il fallait du temps pour se créer des liens en tout genre, même si certaines de mes rencontres me ravivaient comme celle d’avec Felina, une jeune femme très…très intéressante en bien des points mais il y avait eu aussi Bryan, qui justement se marrait avec ses potes et bien cela n’allait pas durer puisqu’il me fuyait comme la peste mais pourquoi donc alors que je l’avais retiré des sales pates de ses couguars tandis qu’il était dans un état enivrant ce fameux soir. Je voulais savoir, connaitre la cause de son éloignement alors que tout semblait bien se passer entre lui et moi, ayant même pris le petit déjeuner ensemble le lendemain parlant de tout et de rien après s’être vu dans un état très naturel, à demi nue pour moi et totalement pour lui.
Le voyant donc au loin je m’étais approché monopolisant la conversation tout en s’immiscent au centre de leur groupe qui fut bien vite dissipé avec mon arrivée ; mais je tenais à avoir une réponse à son comportement. Il me répondit avec une certaine décontraction hallucinante que j’en revenais pas !
« Je te fuis pas, c’est juste l’impression que tu as. »
-Tu me prends pour la dernière des demeurées c’est ça ? Je pensais que t’étais clean et un mec bien, au fond je me suis trompée.
J’étais face à lui m’écartant peu à peu avant de le laisser en plan sans pur avoir autant fini de lui dire certaines choses.
-La prochaine fois tu te débrouilleras pour te sortir de ta galère, peut-être que tu te réveilleras à côté d’une vieille mégère shootée et sentant l’alcool à tout bon tout de champs ! Ou dans un hôpital !
Seuls ceux à un ou deux mètres pouvaient entendre mes paroles, mais il venait de me blesser sincèrement, comme s’il avait deux faces, et le fait de me faire avoir de la sorte et négligé également avait toujours eu tendance à me faire mal. J’étais adulte certes mais je n’avais jamais eu pour habitude de me faire rejeter, toujours intégrer partout depuis mon plus jeune âge, me faisant à toute situation et compagnie mais à croire que là ce fut une première dont je me serais bien passée !
Je décidais de poursuivre mon chemin, me sentant sur les nerfs, et je devais me calmer, car j’étais calme de nature mais je pouvais tout à fait être l’extrême, c’était rare mais cela se produisait parfois, alors je décidais de m’aérer la tête et d’aller dans un coin de verdure reculée sur le campus, prenant une profonde inspiration avant de fermer un instant les yeux pour décompresser. Je fis cela plusieurs fois jusqu’à a retrouver une sérénité parfaite avant de retrouver le sourire, retournant vers le centre du campus pour rejoindre la maison de ma confrérie, celle des Sampi Tau Nu afin d’aller y récupérer mon maillot de bain, voulant me rendre à la piscine pour me détendre ou encore me rendant à la salle de sport, bref je devais me défouler pour décharger le trop plein !
Je marchais donc d’un pas sûr et franc pensant à mon ancienne vie, entourée de mon paternel, de ses ouvriers, du Ranch ou j’avais toujours vécu sereine, mais ici malgré mon talent de photographe il y avait cette petite chose, ce petit décalage qui faisait que j’avais encore du mal à me fondre dans la masse. Les cours n’étaient pas un souci, le relationnel non plus au final, je me ferais un cercle social dans les temps à venir mais c’était plus le mal du Pays je pense, ma verdure, mes chevaux, mes amis, les randonnées, les tâches au Ranch bref, j’avais quitté un mode de vie pour venir étudier ici c’était un trop grand changement je pense. Je devais prendre cela aussi sur moi et faire que tout aille bien. Partie dans mes rêverie à presque regretter le temps passé au foyer familial, sachant pourtant que t’intégrer Berkeley en cours d’année et étant boursière était une fabuleuse chance que je percutais quelqu’un, qui ne fut autre que Bryan ou je fis un écart sans même lui adresser un mot, fuyant son chemin …
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| | | | Augusto P. Da Volpedo there's no place like berkeley › prénom, pseudo : Stéph'
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| | Sujet: Re: Tu me fuis, je te suis! (Bryan) Ven 13 Avr - 23:03 | |
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