the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez

« Where are you ? I need you » Arsène { London }

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyLun 2 Mar - 18:16




    « Where are you ? I need you » Arsène { London } 33aa000 « Where are you ? I need you » Arsène { London } London-towerbridge « Where are you ? I need you » Arsène { London } 047

    « In the blink of an eye.You held my hand, you held me tight. Now you're gone and I'm still crying.Shocked, broken...I'm dying inside »

    7 jours, voilà tout le temps que Roxanne avait passée en dehors du continent Américain pour retourner dans son pays natal ; l'Angleterre. Rien n'avait changé et personne n'avait reprit le logement où elle avait passée son enfance, elle y avait fait d'ailleurs un tour mais très rapidement avant que ses souvenirs ne lui reviennent. Elle avait découverte une étrange photo en fouillant dans les affaires de sa mère mais elle n'avait pas osée la prendre, elle avait préférée repartir au plus vite. Après s'être ressassée son passé, elle s'enfermait presque chaque soir dans son nouveau logement qui était assez luxueux vue tout les contrats qu'elle avait eut dans la capitale Anglaise. Elle enchaînait les shooting photos et elle apparaissait même sur les magazines de la ville voir d'immenses affiches pour des produits de cosmétiques. Son compte en banque se portait au mieux mais son moral quant à lui, était en baisse de jour en jour, ça se dégradait... Si elle restait chez elle c'était pour boire, elle était retombée dans l'alcool et elle ne fréquentait plus aucun autres hommes. Sa vie ne se résumait plus qu'à trois choses ; Travail, dormir, boire. Elle était trop déprimée pour sortir dehors car elle ne pensait qu'à une personne nuit et jour ; Arsène. Il la hantait jusqu'au bout, elle n'arrivait pas à se remettre car toutes les fois où elle essayait de s'endormir normalement, de plus en plus fort, des voix dans sa tête lui chuchotaient à railleur, toutes les choses blessantes que lui avait dit son bien aimé ;

    « Mais vas-y, casse-toi donc pauvre conne, retourne a ta vie d’avant, fais la folle, défonce-toi les naseaux à la poudre, brille sous les projecteurs puis crève sous un pont ! Pauvre fille. Tu es pitoyable Roxanne, juste pitoyable. »


    C'étaient les phrases qu'elle entendait le plus souvent et celles qui l'ont le plus choquée, blessée... elle mourrait de l'intérieur, de jour en jour. Elle se demandait même si elle ne ferrait mieux pas de se jeter sous un pont comme il le lui avait dit. Chaque nuit elle pleurait dans son lit, froid et vide. Il ne l'avait pas choisi elle, il fallait qu'elle s'en remette ou alors elle retombera définitivement dans la drogue et autres sales affaires dans lesquelles elle n'était plus depuis de nombreuses années. Roxanne avait prit un peu de poids, elle avait mangée des tonnes et des tonnes de chocolat jusqu'à en vomir, elle s'en foutait, ça lui faisait du bien et ne gâchait en rien sa carrière, ça lui donnait juste légèrement plus de formes. Arsène lui manquait horriblement, il l'avait blessé comme jamais personne ne l'avait fait mais elle n'arrivait plus à lui en vouloir totalement, elle s'en voulait aussi à elle même d'être aussi schizophrénie et jalouse par moments mais elle ne pouvait pas lutter contre sa propre nature... Alors qu'elle allait s'endormir, elle fit un cauchemar où elle se retrouvait au jour de la Saint Valentin, quand elle tenait celui qu'elle aimait dans ses bras comme un enfant, quand elle le rassurait et quand elle lui disait qu'elle était là,...lui n'était plus là, il l'avait abandonné et tout ça pour sa ' meilleure amie '. Elle finie par se réveiller en sursaut lorsque dans son rêve, elle se retrouvait seule sans le franco russe et qu'elle se retrouva entourée de toutes les personnes qu'elle voulait oublier c'est à dire ; ses parents. L'endroit où elle avait passée son enfance était en ruines mais aucun objet n'avait été déplacé, tout était resté exactement comme avant comme si, c'était fait exprès. Roxanne avait découvert un drôle de papier qui lui rappela un vieux souvenir dans lequel sa mère portait un nourrisson inconnu et qu'elle le donnait à un grand homme pas très rassurant. Mais qui était ce bébé ? Elle n'avait jamais comprit ça mais le papier qu'elle avait trouvée lui donnait certains soupçons ; elle avait une sœur. La jeune Dickens était aussi bien tracassée par les secrets de sa famille qu'Arsène mais avouons le, l'alpha prenait tout de même la plus grande place de ses pensées. Les seuls hommes auxquels elle parlait étaient ses collègues et de rares amis sur lesquels elle pouvait compter sinon, elle ne c'était jamais remise avec quelqu'un d'autre car elle savait qu'elle verrait toujours la même image ; celui de son Hercule (a)

    Insomniaque, elle décida de s'habiller d'une robe bleu ciel souple aux courtes manches et elle prit un blouson. Que ce qu'elle comptait faire ? Danser, une de ses passions qui lui permettaient souvent d'oublier ses petits soucis. Elle marcha le long des rues de la capitale Anglaise, la nuit venait tout juste de tombée et quelques gouttes de pluies tombaient. Roxanne arriva dans une immense salle de danse qui appartenait à une de ses amies de longue date qui s'empressa de la rejoindre dans la pièce où elle commençait à danser. Intriguée par son retour improvisé, elle lui demanda ;

    - Tu n'étais pas partie aux États-Unis toi ?

    - Si mais je n'ai pas appréciée mon établissement scolaire puis je préfère faire du mannequinat.


    - Roxanne... je doute de ta sincérité, c'est encore une histoire d'homme n'est ce pas ?

    - Je ne peux rien te cacher Jude mais je n'ai pas envie d'en parler car j'ai encore plus mal que la dernière fois de plus, il me hante tout le temps...


    - Tu finiras bien par l'oublier, fais moi confiance. Bon je te laisse, fais pas de bêtises.

    Son amie repartit, la laissant seule dans l'immense salle aux nombreux miroirs et une radio en fond. Roxanne l'alluma et elle commença à s'échauffer doucement. Elle n'avait pas danser depuis un moment, enfaite depuis qu'elle était partie aux USA. Une fois qu'elle se jugeait assez échauffée, elle commença à faire une chorégraphie compliquée dans lequel le moindre faux pas pourrait faire mal. Alors qu'elle dansait à merveille, elle crue voir l'image d'Arsène dans un des reflets de miroirs ce qui la perturba immédiatement, elle tomba. Elle venait tout juste de se fouler la cheville et de criée de douleur. La jeune anglaise ne c'était pas du tout ratée, elle venait de se foulée la cheville en beauté. Sans qu'elle n'y touche, la radio s'arrêta, elle devait être trop vieille... Roxanne resta au sol et elle dit à voix basse :

    « Où es tu ?... J'ai besoin de toi... »


    Son visage se crispa, revoilà qu'elle se mettait à penser à lui alors qu'elle avait fait exprès de venir ici afin de danser jusqu'à l'épuisement sans penser à celui dont elle était toujours éprise. Elle croyait sentir sa présence et son odeur ; était-elle entrain de se faire des illusions ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyLun 2 Mar - 19:32

2 jours… Deux jours que Roxanne était bel et bien partie. Elle n’allait pas revenir, non, elle n’allait jamais revenir. Cette évidence tuait Arsène à petit feu alors qu’il était resté dans la chambre de celle-ci ces 48 dernières heures. Sans se laver, sans travailler, sans rien faire à vrai dire. C’était limite s’il en oubliait de boire. Il n’avait rien avalé non plus et chaque fois qu’il quittait le lit de la demoiselle, une douleur lancinante lui déchirait tous ses membres. Tout ça c’était dans sa tête… Il le savait et pourtant, ça paraissait trop vrai pour n’être que le simple fruit de son inconscient. Tout cela lui rappeler le travail de Sigmund Freud concernant l’hystérie et ses principes. Il en était là… Qu’elle honte ! Et chaque fois qu’il fermait les yeux, il se revoyait en train de lui lancer toutes ces horreurs au visage… « Ouai binh j’en ais bien profiter de ton Cul, et sans payer en plus !! » Mais pourquoi… pourquoi lui avait-il dit tout ça ?? Et ce « ADIEUX » qu’il n’oublierait jamais. Ça faisait donc si mal un chagrin d’amour ? Ah… Il comprenait mieux les réactions de Cameron ç présent, car si elle l’aimait comme lui aimait sa petite mannequine, alors… C’était terrible… Toujours allongé comme une loque sur ce fichu lit regorgeant de souvenirs divers et variés, il fumait sa douzième clope de la journée… Une épaisse fumée s’était d’ailleurs empilée dans la pièce, ne laissant plus qu’un brouillard de nicotine. Ça puait, il respirait mal, mais il s’en moquait. Arsène ne voyait plus tellement l’intérêt de prendre soin de tout ce qui l’entourait puisque plus rien ici n’avait de valeur. Plus rien. Même ce pot de crème de marron explosé contre le mur. Il n’avait pas non plus ramassé les débris de vitre et de miroir dans la salle de bain. Ni même soigné sa main d’ailleurs. Le sang avait depuis longtemps séché, il n’avait plus mal. On se serait cru dans un film bidon dans lequel un camé terminait de consommer sa dose d’opium. Les lumières âcres qui se mêlaient à l’épais brouillard, le bordel, un corps inanimé… Sur chaque coin de ses yeux rouges, on pouvait voir quelques larmes. Elles aussi semblaient figées. Sans même coulée, elles ressemblaient plus à des perles de glace que l’on avait posé sur ses paupières foncées par la fatigue. Tout en écrasant sa cigarette dans le cendrier à côté de lui, posé sur les draps, le jeune homme repensa alors à sa conversation avec Junji… C’était peut être trop tôt pour laisser tomber. Il devait… Agir ? La retrouver ? Mais comment ?! Il ne savait même pas où elle était allée ! En Russie ? En Australie ? En France ? En Espagne ? Il y avait tellement de destinations possibles… Roxanne… Ce prénom le fit à nouveau se représenter cette scène dans le couloir, et il la revit pour la énième fois s’éloigner avec ses grosses valises, ses cheveux battants sur ses épaules toutes minces… Il serra la mâchoire et toussa. Il venait d’avaler de travers sa dernière bouffée… Non ! Non ! Et Non ! Il ne pouvait pas vivre sans elle ! Rien que de l’imaginer l’oublier pour se réconforter dans les bras d’un autre… Aaaaah !! Jamais !!

Se redressant, Arsène s’empressa d’ouvrir la fenêtre et respira un grand coup d’air pur. Il faisait beau et il lui sembla que cela faisait une éternité qu’il n’avait pas vu le soleil. Ses yeux lui brûlèrent un instant… Et il en suffoqua d’admiration. Le vent que ce geste produisit fit bouger un papier qui se colla sur le jean du garçon, au niveau de sa cheville. Intrigué mais sans plus, ce dernier le ramassa et regarda vaguement ce qu’il représentait : Un dessin. Mais de quoi… ? Ce devait être Roxanne qui… Tout à coup, le franco-russe pris conscience de l’importance de ce petit bout de rien du tout qu’il n’avait même pas remarqué jusque là. C’était un tour oui mais laquelle ?!

« Tower bridge ! » S’exclama-t-il en enserrant le papier à l’intérieur de sa main. « Londres ! Elle est à Londres ! »

Sans plus perdre de temps, il enfila le premier pull qui lui tombait sous la main, ne prit pas la peine de se coiffer ni même de se laver, attrapa sa sacoche contenant tout son argent et ses papiers et voilà qu’il était parti pour la capitale Anglaise… C’est ainsi que commença une semaine mouvementée. Il dût d’abord se battre pour obtenir une place dans le prochain avion décollant pour Paris. Arrivé là-bas, il n’attendit pas le lendemain pour prendre le ferry. Il passa son temps à se retenir de vomir en vue de la tempête cette nuit là. Dans sa couchette, il eut le temps de réfléchir à un plan une fois arrivé. Londres… C’était grand, et elle pouvait être n’importe où. De plus, il n’avait presque plus d’argent et sentait franchement mauvais. Un mélange de tabac et d’alcool… Burk ! Une fois su les quais, il se reçu une mémorable averse de grêlons sur la tête et remercia le Royaume Unie pour cet accueil chaleureux. Il couru jusqu’au centre et pris un taxi qu’il paya pour faire le tour de la ville… Premier échec. Pas de Roxanne. C’était couru malgré tout, il fallait tenter. La déception, aussi profonde fut-elle, ne l’empêcha pas de continuer ses recherches. Le cœur en miette, il n’attendait plus que de la revoir pour le reconstruire… Le 4ème jour, il trouva une famille où se loger… Enfin il put prendre une douche et l’homme lui prêta des vêtements de son fils décédé l’année dernière, qui « faisait sa taille et avait à peu près son âge » pour reprendre les propos du vieil Homme.. Gêné, le dandy les accepta quand même. Il s’agissait d’un jean tout simple et d’une chemise peut être un tout petit peu trop grande pour lui et d’un gilet à carreau qu’il ne enfila à contrecœur. S’il ne faisait pas british là… Ses recherches s’accentuèrent… Il dormait depuis 3 jours chez ces aimables gens lorsqu’il commença à perdre espoir ce soir là…

Dans les rues de Londres il pleuvait encore… Et Arsène était tout simplement épuisé. Il avait perdu du poids à force d’oublier de manger et surtout, sa peine n’allait qu’en grandissant. Marchant seul sur les trottoirs, il shootait dans tout ce qui passait : cannette, papier, journal, mégo, caillou… Pfff… Monde de merde ! Mais alors qu’il passait devant un bâtiment fitness, il entendit le prénom qu’il recherchait de la bouche d’une jeune femme qui parlait avec une autre. Levant brusquement son visage vers elle, il marcha en leur direction et tira la fille en question par l’épaule pour qu’elle se retourne :

« Vous avez dit.. Roxanne ? :O/O: » S’enquit-il avec des yeux ronds et l’air limite psychopate (xD)

Quel idiot ! Il y avait des milliards de Roxannes ici ! Malgré tout, son interlocutrice répondit, l’air surprise et agacée :

« Oui j’ai dit ça et alors ?! Lâchez-moi espèce de malade ! »

Sans se préoccuper plus d’elle, le dandy trempé jusqu’aux os se précipita dans les escaliers et monta les marches 4 à 4 jusqu’à entendre de la musique. Attiré par celle-ci, il traversa un couloir et se rendit jusqu’à une salle dont la porte était restée entrouverte. Ravalant sa salive, le jeune homme la poussa délicatement et passa sa tête au travers histoire de voir si… NOM D’UN CHIEN !! C’était elle !! Si ça ce n’était pas de la chance… Le cœur d’Arsène bondit dans sa poitrine à le faire s’écrouler au sol, néanmoins ce ne fut pas lui qui perdit l’équilibre mais sa chère et tendre qui se trouvait maintenant allongée sur le sol à gémir, alors que la musique s’était arrêtée. Prenant son courage à deux mains, c’est les jambes tremblantes que son amant pénétra l’immense salle aux multiples miroirs. Elle ne l’entendait pas et lui ne faisait pas de bruit. Comme un chat, il se glissa derrière elle en même temps que ses yeux devinrent vitreux. Comment décrire ce bonheur qui lui donnait des ailes à cet instant ? Avançant ses bras, il souleva délicatement Roxanne qu’il se dépêcha ensuite d’enserrer dans ses bras. Très fort ; comme s’il ne voulait plus jamais qu’elle s’en aille.

« Oui moi aussi… Moi aussi j’ai besoin de toi mon amour. » Murmura-t-il alors comme une plainte en se retenant de l’étouffer tant il se sentait… Libéré d’une angoisse trop imposante pour être portée toute une vie. « Roxanne, ma Roxanne… Je t’ais cherchée partout, j’ai bien cru que je ne te verrais plus jamais ! Je t’aime tellement… Ne pars plus sans moi j’t’en pris. Plus jamais ! »

Et il l’embrassait comme il le pouvait entre deux mots, entre deux soupires. C’était trop beau pour être vrai. La peur de rêver, que tout cela ne soit qu’un simple et stupide rêve ! Non, non elle était bien là dans ses bras et c’était bien son odeur, ses cheveux… Ses yeux. Déposant son front contre le sien, Arsène grimaçait de souffrance et plusieurs larmes s’enfuirent sur ses joues jusqu’à mourir sur le sol. Il entoura son visage de ses mains et repensait à tout ce mal qu’ils s’étaient fait alors que… Alors qu’aucun des deux ne le méritait.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyLun 2 Mar - 23:16

    Tous ces jours elle les avait gâchée ; tout ce qu'elle avait fait c'était de se morfondre de l'acte qu'elle avait fait en partant des états-unis de façon aussi précipitée sans prévenir personne de où elle allait. Toujours pliée de douleur sur le parquet, elle gémit encore un peu avant de se demander si elle était devenue maboule. Pourquoi le voyait-elle partout ? C'est dingue ça, il était devenu une véritable obsession. Il était donc si irremplaçable que ça ? Apparemment oui ou sinon elle ne penserait pas autant à lui. Elle avait l'impression de voir flou jusqu'à ce que quelqu'un la soulève. Sonnée, elle ne ne chercha même pas à bouger. Alors qu'elle n'avait plus d'espoir, son amour perdu ne l'était plus, il l'enserra dans ses bras de manière à ce qu'elle ne puisse le rejeter. Rêvait-elle ? Non c'était peu probable vue à quel point il la serait dans ses bras, ça ne pouvait pas être irréelle. Sur le choque elle ne répondue pas tout de suite, trop occupée à se poser de questions. Une lumière vint l'illuminée soudainement. Si il l'avait cherché jusqu'ici ce n'était pas pour rien, il l'aimait vraiment ou alors il n'aurait pas autant cherché à la retrouver. Elle ferma les yeux en comprenant enfin qu'il l'avait choisi elle et pas une autre. Arsène n'avait pas attendu pour l'embrasser, elle n'avait même pas plus en placer une. La belle Anglaise se laissait totalement faire et puis il embrassait toujours aussi bien... Personne ne lui arrivait à la cheville non PERSONNE ! Une fois que le baiser avait prit fin, elle déposa ses mains légèrement tremblantes sur le visage de son Franco-russe et elle redessina les traits de son visage du bout de ses petits doigts. Son front fini collé au sien, elle murmura ;

    « Arsène... plus rien ni personne ne nous séparera à présent, je te le promet. »

    Un sourire des plus gratifiants s'afficha sur les lèvres rosées de la jeune femme malgré le fait qu'elle ait toujours mal à la cheville. Cette douleur n'était rien face à cette magnifique surprise qui venait de lui redonner le goût de vivre. Elle l'embrassa à son tour en s'empara de sa nuque. Roxanne l'embrassait passionnément avec beaucoup d'amour comme pour se rattraper de son dernier baiser qui lui était rempli de haine. Si elle ne se contrôlait pas elle ne mettra jamais fin à ce baiser mais elle avait besoin de lui parler là maintenant tout de suite.

    « Je t'aime imbécile... mon imbécile mais... j'ai mal à la cheville là j'arrive même pas à tenir debout correctement...»

    Elle s'appuya sur lui afin de ne pas se ramasser. Son regard avait l'air de lui dire ' t'attends quoi pour me porter sur ton dos ? ' mais sans pour autant le lui supplier. C'était un supplice, cette absence d'une semaine. D'ailleurs elle se demandait comment elle avait fait pour rester en Angleterre au lieu de courir prendre la première embarcation et partir le retrouver à Berkeley, là où leur histoire d'amour avait commencée. Elle ne le lâchera plus maintenant qu'elle l'avait, elle le collerait jusqu'à ce qu'il en ait marre et tant pis. La jeune Dickens finie par se reculer pour aller se maintenir au mur et elle tira une grimace de souffrance. Ce n'était vraiment pas agréable d'avoir une cheville autant foulée, elle en boitait. Roxanne remarqua soudainement qu'il y avait une chaise non loin d'Arsène ce qui lui donna envie d'utiliser ses dernières forces pour le pousser à s'asseoir dessus. Sans attendre, elle reprit sa bonne vieille habite ; celle de lui monopoliser les genoux autant de temps qu'elle le voulait. Il ne manquait plus qu'un détail qui lui venue à l'esprit tout dessuite puisqu'elle frotta son nez à celui de son Hercule.

    « Ça m'a drôlement manqué... »


    Elle sourit en coin avant de se demander si Arsène voudrait rester un peu de temps, ici à Londres. Ce serait bête qu'il ne puisse pas profiter d'une telle Capitale avec elle et puis Berkeley attendra, ils pouvaient faire tellement de choses ici qu'elle ne saurait les énumérer. Son regard pétillait encore plus qu'avant maintenant qu'elle sentait qu'il était le bon, son âme sœur. Il n'y avait que lui pour la chercher jusqu'à l'autre bout de l'Atlantique, elle en était certaine. Il n'avait pas changé, il avait toujours d'aussi beaux yeux, une blancheur de peau incomparable, ses cheveux noirs courts et il sentait bon m'enfin elle n'allait pas s'imaginer qu'il puisse puer comme un rat dégoût et puis même, il lui en faudra beaucoup plus que de mauvaises odeurs pour la repousser (a) Elle avait tellement de choses à lui dire qu'elle ne savait pas par quoi commencer. Bon allons y doucement...

    « Je n'ai pas envie de partir de Londres du moins pas tout de suite. Bien sûr je ne veux pas que tu retourne à San Francisco sans moi mais si il le faut je te retiendrais ici et puis c'est une belle ville avec pleines de surprises, je suis sûre qu'elle te plaira. Je connais pratiquement tous les plus beaux endroits et les parcs sont très propres, on pourrait y pique niquer. Ah oui et j'ai mon propre logement ici aussi et je ne te ficherais pas à la porte... je préfère légèrement pouvoir profiter de la chaleur que tu m'apporte quand tu m'enlace dans tes bras la nuit...»

    Roxanne se coupa. Elle se savait très bavarde et n'avait pas envie de lui prendre la tête dès le début. Quelques larmes étaient toujours présentes sur le visage d'Arsène. Délicatement, elle passa le dos de sa main sur ses joues afin de les lui enlever.

    « Ne pleure plus, c'est pas digne d'un homme ça ! »

    La zêta eut un petit rire avant de l'embrasser à nouveau. Un seul baiser par jour ne lui suffirait pas, elle en voudrait des centaines non des millions même tellement qu'elle ne pouvait pas s'en passer. Elle l'embrassa longuement en restant sur ses confortables genoux qui arrivaient toujours à la supporter malgré sa prise de poids de quelques kilos. Troublée, elle recula son visage et elle baissa son regard pour voir ses cuisses, elle haussa un sourcil avant de dire ;

    « J'ai mangée trop de chocolat... ra à cause de toi j'ai prise du poids tu mérite un châtiment vilain... prends ça pour la peine »

    Roxanne chatouilla le bas du ventre d'Arsène. Elle allait finir expulser mais c'est pas grave, au moins il rira au lieu de pleurer c'est déjà ça. Les petites chatouilles avaient l'air de faire un sacré effet à son amoureux, un point faible bien pratique pour le plier à ses envies. Si il essayait de faire la même chose ça ne servira à rien puisqu'elle, le craignait pas plus que ça ce genre de choses. La jeune Dickens mit fin à ses chatouilles.

    « J'ai toujours adoré ton point faible. »

    Elle afficha un sourire de satisfaite par son travail. Roxanne n'avait peut être pas trouver toutes les failles de l'anatomie d'Arsène mais elle avait trouvé un sacré point faible. Il faisait totalement nuit et il tombait des trombes à l'extérieur. On a toujours dit que l'Angleterre était un pays pluvieux mais il y avait des jours où il pouvait y faire très beau aussi. Oubliant la pluie, elle proposa à son cavalier ;

    « On va faire un petit tour ? »

    Après lui avoir demander, elle tenta de se lever en vain, sa cheville lui faisait trop mal. Elle était retombée sur Arsène. Le fixant de ses grands yeux, elle lui demanda ;

    « Porte moi j'arrive plus à tenir debout.... »

    Une bonne raison pour se retrouver sur son dos, il allait devoir bosser dur le ptit franco-russe mais si il avait assez de force pour la porter ça ne devrait pas le déranger.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyMar 3 Mar - 17:29

« Where are you ? I need you » Arsène { London } 180-400x-tower%20bridge
° Would You Marry me? °
R & A



C’était sans rire qu’Arsène croyait ne plus jamais la revoir. Depuis cet instant où elle avait courue dans le couloir de la confrérie, ses valises dans chaque main… Repenser à ce moment faisait mal… Plus encore qu’on ne pouvait l’imaginer. Arsène n’était pas arrivé à se faire à la seule idée qu’elle ne lui reviendrait pas, qu’elle allait refaire sa vie ailleurs… une vie où il n’aurait pas sa place. Impossible… Si lui n’y arrivait pas, elle n’avait pas le droit de le faire ! Pas le droit de l’oublier comme ça, comme si leur histoire n’avait été qu’un piètre passage d’un long roman. Non, cet amour valait quelque chose, ça le jeune homme en était convaincu. Il n’avait jamais éprouvé ça pour quiconque, ce besoin affectif hardent et passionnel mais aussi cette envie de rester… Toute sa vie avec cette même personne. La fille qui aura fait battre son cœur, celle qui lui aura aussi fait découvrir le monde des sens, du sexe. Et pourtant, ce n’était pas gagné ! Lui, intellectuel introverti et abonné aux heures supplémentaires. Aujourd’hui il en était sûr : si Roxanne avait tant voulu l’embrasser ce soir là, c’est parce qu’elle avait une idée de ce qu’il se passerait ensuite. Elle avait dût sentir ce que notre dandy n’avait pas vu jusqu’à… Jusqu’à cette fameuse nuit. Elle avait bien fait de lui forcer la main, et surtout, elle avait eut raison de lui envoyer ce majestueux coup de pieds dans les bijoux de familles auquel cas tout ce serait terminé sur le tas. Il fallait le secouer un peu ce garçon ! Et là, qui est-ce qui venait de traverser L’Atlantique avec comme seul bagage le reste de ses économies ? Hein ? Qui avait tout laissé en plan à Berkeley, aussi bien ses études que ses amis pour rejoindre Londres avec 1% de chance de la revoir… Et encore. Ç’avait été plus fort que lui, il avait compris que Roxanne était plus que sa maîtresse et plus aussi qu’une sa vulgaire petite amie. Elle était son âme sœur, sa moitié comme dirait Socrate. Sans elle… Ce serait comme manger du pain sans sel, boire de l’eau sans minéraux, manger du sable. Et non, maintenant qu’il l’avait dans ses bras, il ne lui laissait même pas le temps d’en placer une que déjà il s’était emparé de ses lèvres. Comme ça lui avait manqué… C’était seulement maintenant qu’il s’en rendait compte et heureusement d’ailleurs. Le goût de sa bouche, la douceur de ses cheveux, le parfum de sa peau… Une drogue dont il ne pouvait pas espérer pouvoir se passer… Mais elle l’embrassa à son tour après lui avoir effectivement promis que dorénavant, ils ne se sépareraient plus. Il lui était donc aussi indispensable ? C’était bon à entendre… Et rassurant. Souriant de plus belle, Arsène en avait presque oublié la blessure de la donzelle jusqu’à ce que celle-ci ne le pousse sur une chaise et vienne occuper ses genoux, comme avant. « Ça m'a drôlement manqué... » Lui confessa-t-elle en venant frotter doucement son nez contre celui de son jules. Ce dernier esquissa un sourire conquis et ferma les yeux. Les larmes contenues jusqu’à maintenant s’affaissèrent et roulèrent sur ses pommettes avant que la mannequine ne se charge de les essuyer.

« Je n'ai pas envie de partir de Londres du moins pas tout de suite. Bien sûr je ne veux pas que tu retournes à San Francisco sans moi mais si il le faut je te retiendrais ici et puis c'est une belle ville avec pleines de surprises, je suis sûre qu'elle te plaira. Je connais pratiquement tous les plus beaux endroits et les parcs sont très propres, on pourrait y pique niquer. Ah oui et j'ai mon propre logement ici aussi et je ne te ficherais pas à la porte... je préfère légèrement pouvoir profiter de la chaleur que tu m'apporte quand tu m'enlace dans tes bras la nuit...»

Le dandy avait écouté attentivement les propos de sa capricieuse petite blondinette. Elle ne voulait pas repartir ? Mais… Et ses études alors ? Et puis, il allait prendre du retard et… STOP ! Il était venu pour elle après tout. Et puis… Il avait une demande très spéciale à lui faire, quelque chose qui demandait qu’ils restent encore quelques temps à Londres… De plus, elle avait l’air tellement enthousiaste à l’idée de passer quelques jours avec son amoureux dans sa ville natale, il ne pouvait pas lui refuser ça… c’était adorable. Arsène se mordilla doucement la lèvre inférieure puis leva son regard bleu pâle sur elle, lui laissant deviner sa réponse positive avant même d’avoir repris la parole :

« Et bien… S’il faut ça pour te faire plaisir alors… Et puis les partiels ne sont que dans quelques semaines, j’ai encore le temps de me reposer un peu… On a qu’à passer quelques jours ici mais s’il te plaît, pas plus de deux semaines… où mon patron risque de me le faire regretter amèrement quand nous serons de retours à San Francisco. Par contre, tu vas devoir m’entretenir, je n’ais plus un sous… »

Il déposa un rapide baiser sur le bout de son nez

« On a qu’à dire qu’on se fait une petite virée en amoureux, et puis… J’ai plus l’habitude de dormir seul, j’ai froid. »

Elle se mit à le chatouiller. Oh la garce ! Elle savait pertinemment qu’il détestait ça et tout ça parce qu’elle avait pris quelques kilos. Hum… Qui lui allaient à merveille d’ailleurs. Au moins, elle avait un peu de mou, ce qui serait plus confortable (a) De toute façon, elle était toujours à croquer. Le Franco-russe se retint de l’envoyer balader au fin fond de la salle et se contenta d’essayer de lui attraper les mains pour qu’elle cesse mais sans succès, encore une fois. « J'ai toujours adoré ton point faible. » Ah ouai ? Bizarrement lui maudissait sa mère de lui avoir transmit ça. Il entrelaça ses doigts au sien et rétorqua avec malice :

« Mais t’inquiète pas… J’vais t’aider à les perdre ces misérables kilos. On pari qu’en une semaine ils sont parti ? (a) »

Il se leva ensuite, acquiescant à sa proposition mais leva les yeux vers le plafond lorsqu’elle lui demanda explicitement de la porter sur son dos. Il ravala une réplique sur sa fameuse prise de poids et accepta. Nos deux tourtereaux quittèrent le bâtiment, la belle sur le dos de son cavalier servant, pour se retrouver sous une averse tiède mais sévère. Qu’importe, cela faisait plus de mal que de bien après un moment émotionnel intense. Arsène avait toujours la même idée en tête depuis qu’il s’était souvenu qu’il possédait encore la bague dans sa poche. Elle aimait le « Tower Bridge » ? Et bien ils allaient y aller. Au bout de quelques minutes de Taxis, le couple sortit sur une large place qui donnait une vie magistrale sur ce fameux monument. Toutes les lumières, l’eau qui s’écoulait et les bateaux… S’en était presque féerique. Le cœur battant, le petit prince fit remonter sa princesse sur son dos et ils empruntèrent le trottoir jusqu’à parvenir à l’une des deux tours. Là il monta les escaliers marche par marche (c’était un effort à faire xD) puis enfin, ils atteignirent la passerelle donnant sur toute une immense partie de la ville et surtout, un paysage incroyable de beauté. Arsène libéra Roxanne et lui conseilla de se maintenant à lui pour ne pas avoir à s’appuyer sur son pied blessé, puis il l’observa avec insistance :

« Alors ? Heureuse ? » Lui demanda-t-il en une murmure tandis qu’ils s’enlaçaient tendrement au milieux de ces deux tours et de cette plateforme.

Et lui ? Heureux ? Oh que oui… Mais encore plus dans quelques instants si elle acceptait sa proposition. Quel meilleur endroit pour déclara sa flamme à celle que l’on aime par-dessus tout ? Celle avec qui on veut partager sa vie. Lui avait un petit faible pour la tour Eiffel mais ceci était plus original… Ils iraient à Paris une autre fois. Dans la ville natale de notre Alpha.

« Roxanne… » Soupira-t-il tout en s’approchant du bord et en posant ses mains sur les hanches de la donzelle. « Avant que tu t’en ailles, y’avait quelque chose que je voulais te demander. Mais je me rends compte qu’aujourd’hui mieux qu’hier, cette demande prend tout son sens. Ici, je n’pouvais pas rêver mieux, mais c’que j’veux te dire surtout, et te le faire rentrer dans le crâne une bonne fois pour toute… - Il rit à cette remarque qui caractérisait on n’peut mieux notre furie romantique mais continua bien vite – J’veux que tu comprennes à quel point je t’aime, et surtout combien ta présence m’est bénéfique. Je n’ais jamais été aussi heureux que depuis ce soir où je t’ais revu. Si j’avais su que cette heure de colle m’apporterait tout ça, j’aurais sauté dans les bras de ma prof d’Art Plastique. – Il rit à nouveau et ferma les yeux, son cœur menaçant de quitter sa poitrine - Dis-moi Roxanne… »

Entre-temps et sans que la miss ne s’en rende compte, il avait sortit la bague de sa poche qu’il cachait toujours dans sa main. Ses yeux étaient maintenant deux billes ardentes, et ses lèvres ne demandaient qu’à lui poser cette ultime question qui n’attend qu’une seule réponse… Il avait peur, mais il le cachait bien, le bonheur l’aidant dans sa tâche. Il n’y avait pas de raison qu’elle refuse… Replaçant une mèche des cheveux de sa petite amie derrière son oreille, il lui présenta son autre main encore fermée qu’il rouvrit progressivement…

« … Veux-tu m’épouser ? »

Ces mots étaient sortis limpidement, et sa voix grave sembla raisonner jusqu’aux étoiles tant c’était puissant. Jamais il ne s’était imaginé demander cela à une femme un jour. Jamais. Et voilà qu’il avait complètement découvert sa paume, laissant à l’heureuse concernée, l’occasion d’admirer la fameuse bague qui trônait devant ses yeux.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyMer 4 Mar - 17:49

    Après une dispute pareille, Roxanne se gardera bien ses futures reproches et tentera de mieux garder le 'self-contrôle' pour éviter de tout détruire sur son passage. Ça serait vraiment un gâchis de mettre fin à leur histoire juste pour des crises de jalousies, elle s'en rendait compte maintenant qu'elle savait qu'il était le bon. Elle n'aurait jamais pensée qu'un homme puisse faire autant de recherches juste pour la retrouver surtout qu'il c'était ruiné au niveau de ses économies. La belle Anglaise avait tellement déprimée de l'absence de son Franco-russe qu'elle se demandait si elle arrivait à tenir plus de deux semaines à Londres mais elle n'avait plus à se poser ce genre de questions puisqu'il était là et rien que pour elle. Elle s'en foutait de ses études elle, tout ce qui comptait c'était qu'elle reste avec lui jusqu'à la fin de ses jours. La jeune Dickens restait sur les genoux de son Arsène, c'était plus confortable qu'une chaise à son goût. Il n'y avait plus aucune larme sur le visage de son Alpha, elle avait tout essuyé sans en laissée une seule. Il avait accepté sa proposition mais lui avait demandé de l'entretenir. C'était étrange qu'il dise ça puisqu'en général les homme n'aiment pas être entretenus par leurs femmes au niveau financier. Roxanne afficha un sourire satisfaite de sa réponse et lui dit ;

    « On s'en fiche des partiels, ça peut attendre et puis n'oublies pas que tu es doté d'une grande intelligence, tu t'en sortiras. Ça ne me pose pas de problèmes, l'argent ce n'est pas ce qui me manque. J'ai eus beaucoup de contrats à Londres et mon compte en banque se porte au mieux, j'ai bien choisie mon agent. Pour ce qui est de ton patron il n'aura pas à s'inquiéter, on va pas rester un mois ici et tu ne te ferras pas virer. »

    Et puis même, elle pouvait très bien convaincre le patron d'Arsène de ne pas le mettre à la porte juste parce qu'il avait passé du temps avec elle. Roxanne se demandait si elle arriverait à marcher une fois qu'ils seraient dehors, sa cheville lui faisait tellement mal... La jeune Dickens allait insister pour qu'il la porte malgré sa prise de poids et puis si il ne lui avait pas balancé autant d'horreur, elle ne se serrait pas autant goinfrer de chocolat (a) Comme toujours, il ne supportait pas les chatouilles qu'elle lui administraient mais à elle, à l'amusait fortement.

    « On ne se ferra pas une ' petite ' mais une grande virée en amoureux chou. Tiens comme c'est étonnant tu as déjà des idées derrière la tête pour me faire perdre mes kilos... petit coquin ! »

    Une semaine d'abstinence... elle se demandait vraiment comment elle avait fait pour être rester une semaine entière à se passer du corps de son apollon. Avant qu'il ne la porte sur son dos, elle prit son blouson, l'enfila puis laissa Arsène supporter sa masse. Ils se retrouvèrent dehors, sous la pluie en pleine nuit. Elle adorait être sur le dos de son ingénu et puis il avait quand même beaucoup de force pour réussir à la porter comme ça, elle devrait le faire plus souvent ça. Roxanne était loin de se douter de ce qu'il gardait précieusement dans sa poche. Un grand sourire s'afficha une fois qu'elle vue le Tower Bridge, c'était tellement beaux toutes ces lumières, ces navires et l'eau qui s'écoulait sans compter la pleine lune qui était vraiment magnifique. Jusqu'au bout, Arsène porta sa princesse jusqu'à une des passerelles puis il la déposa doucement. Émerveillée par le paysage, elle avait les yeux qui brillaient de milles feux. Elle avait l'air d'être une enfant qui venait de recevoir tous les cadeaux qu'elle voulait à Noël. Après avoir admirée la vue, elle se tourna vers son Hercule et rétorqua ;

    « Bien évidemment, je suis comblée... »

    Roxanne se tut quand elle eut l'impression que son franco-russe prenait un air sérieux comme si il allait lui annoncer quelque chose de très important. Elle fut attentive à chacune de ses paroles, elle ne manquait pas une seule miette. Certaines choses qu'il disait étaient comment dire... suspectes, elle sentait venir quelque chose de gros mais elle ne restait pas insensible à ce qu'il racontait. La Zêta resta muette jusqu'au bout. Arsène fini par bouger sa main, un gest qui n'était pas passé inaperçu. Roxanne avait l'impression que son cœur allait exploser, son rythme cardiaque c'était considérablement accéléré jusqu'à ce qu'elle voit une bague. C'est alors qu'il prononça LA phrase qu'elle n'aurait jamais crue entendre une seule fois dans sa vie ; « … Veux-tu m’épouser ? ». Elle plaça ses mains devant sa bouche. Complètement ahurie par cette demande, elle resta quelques secondes sans rien dire. Il pleuvait toujours mais elle s'en fichait, elle était plus préoccupée par Arsène et sa demande en mariage. Roxanne croyait qu'elle était entrain d'avoir des hallucinations sur place et pourtant elle n'avait ni bue ni prit de la drogue. Elle dit enfin ;

    « Arsène... je ne pourrais te dire qu'une seule chose... et c'est... »

    La demoiselle se coupa pour prendre une grande inspiration et crier ;

    « OUI ! »

    Sans attendre, elle bondit sur son fiancé pour ensuite laisser couler quelques larmes exprimant sa joie. Roxanne n'avait pas attendue pas une seule réaction de sa part pour l'embrasser avec fougue et passion prise dans l'exaltation de ce moment unique. Des trombes d'eaux tombaient du ciel mais elle continua de l'embrasser sous la pluie. C'est fou comme les temps avaient changés et en bien. Maintenant elle pouvait ouvertement croire en l'amour et en son idylle avec son petit Alpha. Elle se fichait des conséquences que pourraient avoir ses fiançailles du moment qu'elle restait avec lui. La jeune femme désormais fiancée finie par mettre fin à son baiser pour admirer les yeux bleus de son futur époux. Un grand sourire aux lèvres, elle baissa légèrement son regard pour regarder sa bague et elle s'exclama :

    « Je suis la femme la plus heureuse au monde, merci... »


    Elle enlaça Arsène très fort dans ses bras avant de reprendre ;

    « Si j'aurais crue un jour que j'aurais une demande de mariage... je serais venue à Berkeley plus tôt. »

    Roxanne déposa son front légèrement mouillé contre celui d'Arsène avant de lui murmurer ;

    « Toi et moi c'est pour la vie à présent... Ma vie n'aurait plus d'importance sans toi, je t'aime tellement... »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyMer 4 Mar - 22:27

Comblée ? Vraiment ? Alors qu’est-ce que ça allait être une fois qu’il lui aurait fait sa fameuse demande… ? La vue était splendide et la pluie ajoutait un certain charme à tout ça. Le bruit de l’eau qui coule sur la rambarde, les gouttes qui viennent rejoindre le canal. Tous les deux étaient déjà trempés jusqu’aux os, pourquoi s’abriter ? S’ils devaient s’enrhumer, c’était déjà fait. Arsène admirait sa belle émerveillée devant un tel paysage. Ils n’avaient pas vécu si loin l’un de l’autre en fin de compte… Mais rien ne les réunissait d’avance. C’est par un pur hasard que tous les deux avaient rejoins l’école de Berkeley. Sans ça… où donc en serait leur vie ? Le jeune homme ne pouvait pas s’empêcher parfois de penser à ce qui aurait été si…Si… Si… Mais c’est bien connu : « Avec des ‘si’ on mettrait Paris en bouteille. » Toujours est-il qu’il arborait lui aussi un bonheur complet. Certes, leur relation n’avait pas si bien commencée que ça, de plus, il s’en était fallut d’un cheveu pour qu’elle cesse il y a quelques jours. Ils s’étaient pris la tête de nombreuses fois et principalement à cause de la jalousie maladive de la donzelle. Pourtant, c’était cette même fille qui faisait battre le cœur de notre ingénu. Elle qu’il aimait plus que n’importe qui. Jusque là, il avait voué un culte à sa mère qu’il adorait, mais maintenant… maintenant il rejoignait le monde des adultes, enfin. Et même plus que ça ! Il s’apprêtait à la demander en mariage ! Son cœur manquait d’explosait à chaque pulsation… Ses lèvres tremblaient mais on pouvait prendre ça pour le froid. Il avait finalement réussi à prendre son courage à deux mains et s’était lancé. Trop tard pour revenir en arrière… Elle le fixait avec attention. Elle devait se douter de ce qu’il allait dire mais ne devait pas encore en croire son imagination. La fameuse phrase sortie de la bouche d’Arsène comme une mélodie sensée charmée la mannequine… Il faut croire que ça avait marché. Elle était hypnotisée et avait vite plaquée ses mains sur sa bouche, de la même façon que si elle avait voulue retenir un cri. Son amant tenta de ne pas se laisser troubler jusqu’à ce qu’elle réponde ou plutôt… Ne hurle sa réponse :

« OUI ! »

Du même coups, plusieurs autres personnes à côté d’eux s’étaient retournés et, se doutant de ce qu’il venait de se passer, affichèrent un grand sourire. Le franco-russe quant à lui, ravala un profond soupire de soulagement quand sa princesse lui sauta au cou en versant des larmes de joies. L’émotion était plus forte qu’il ne pouvait l’imaginer avant de la vivre… Il l’avait fait ! Il lui avait demandé sa main et… Et elle avait dit OUI !!! Affichant un sourire radieux, le futur marié l’enserra à son tour dans ses bras et tourna sur lui-même en partageant leur baiser. Un baiser d’amour intense et toujours bien différent de tous les autres. Un baiser que deux amants s’échangeaient, certain des sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. La vie semblait tout de suite plus simple… Plus belle aussi. Dire que, quelques semaines auparavant, Arsène restait persuadé qu’elle ne l’aimait pas. A en juger par sa réaction de ce soir, il avait tout faux. Elle aussi d’ailleurs… Et elle devait le savoir maintenant. Les crises de jalousie d’accord… mais elle n’avait plus intérêt à se barrer en Suisse ! « Je suis la femme la plus heureuse au monde, merci... » Pourquoi le remercier ? Puisque c’était réciproque… Elle aussi avait fait de sa vie autre chose qu’un mixte entre famille et travail. Ce n’était pas important ça peut être ? Elle était arrivée dans sa vie au bon moment, comme une fusée sur la lune. Alors, qui oserait contrarier leur union maintenant ? Ah ! Les mauvaises langues pouvaient bien se tenir ! « Toi et moi c'est pour la vie à présent... Ma vie n'aurait plus d'importance sans toi, je t'aime tellement... » Arsène ferma les yeux lorsque leurs fronts se touchèrent et laissa la pluie dégouliner sur son visage…

« Merci de t’être mêlée de la mienne… » Répondit-il d’une voix douce en caressant sa joue du dos de sa main.

Il s’empara ensuite délicatement de celle de la jeune femme et enfonça directement son regard dans le sien. La bague dans l’autre main, il l’a glissa à au doigt de Roxanne, sans précipitation, puis admira un moment cet ensemble gracieux. C’était exactement la bonne taille… Et la couleur lui allait à merveille… Aimait-elle les rubis ? Qu’importe… relevant son visage, il murmura :

« Je ne me voyais pas passer la bague au doigt d’une fille avant mes 40 ans… »

Rieur, il lia ses doigts aux siens et inclina sa tête sur le côté afin de l’embrasser une nouvelle fois. D’abord un petit baiser plaisantin, puis un langoureux contacte qui le fit frissonner jusqu’au plus profond de ses entrailles. La libérant de son étreinte, Arsène n’attendit aucune réaction de sa part pour la porter à nouveau, mais comme une princesse cette fois. Ils descendirent rapidement les escaliers pour rejoindre à nouveau les rues Londoniennes lorsque le Parisien s’arrêta, lançant un regard malicieux à sa fiancée :

« Ne grossie pas plus d’ici les prochaines semaines… Ou je ne pourrais plus te porter jusqu’à l’hôtel. »

La gratifiant d’une mimique moqueuse, il l’emporta au travers de la capitale jusqu’à ce qu’ils croisent un bar convenable et non pas rempli de poivrots en tout genre et y rentrent… Là ils s’assirent à une table et purent commander une boisson chaude chacun ainsi que leur repas, tous les deux n’ayant pas manger depuis… Un certain temps en ce qui concernait le petit prince. On leur amena aussi des serviettes afin qu’ils puissent se sécher la tête. Une fois le serveur parti, Arsène s’appuya sur la petite table et se pencha sur son interlocutrice.

« Après ça, je visiterais bien ton chez-toi… C’est loin d’ici ? Et dès demain je compte bien que tu me fasses découvrir tous les endroits où tu vas. »

Se ravisant il s’appuya contre la baquette et s’étira le dos comme un chat en proie à la fatigue :

« Je vais enfin pouvoir dormir un peu cette nuit… Je tombe de sommeil. » Il se frotta les paupières « J’arrivais pas à dormir sans ma bouillotte préférée. »

C’était pas mignon ça ? Elle était sa bouillotte humaine favorite ! xD Ce n’était pas forcément un compliment et ça, il le savait, c’est pourquoi il usa d’un ton ironique, une lueur de bêtise dans la pupille. On leur apporta leurs plats…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptySam 7 Mar - 0:04

    On peut dire « Avec des ‘si’ on mettrait Paris en bouteille. » il y a aussi « Avec des ' si ' on peut refaire le monde » qui est plus comment dire... généraliste vue qu'elle ne concerne pas qu'une ville mais toute la planète. Dans le cas de Roxanne, si elle n'avait rejoint Berkeley et donc retrouvé Arsène, elle serait très certainement rester la garce, la pimbêche de mannequin qui n'est jamais stable et qui ne fait rien d'autre que de faire la fête. Sa vie avant se résumait à ça ; le mannequinat & s'amuser mais depuis qu'elle avait réussie à séduire son Franco-Russe, elle voyait la vie d'un autre angle. Elle avait toujours eut un petit faible pour lui mais lui ne s'en rendait pas compte. La belle Anglaise se souvenait parfaitement de leur rencontre à Paris, ils n'étaient que des adolescentes et elle venait tout juste de fugué de Londres. La mère d'Arsène ne voulait pas qu'il la fréquente car elle pensait qu'elle aurait une mauvaise influence sur lui mais il ne l'écoutera pas vue que au contraire, il passera beaucoup de temps avec elle à traîner dans la capitale française. Souvent, il lui racontait l'histoire de la ville, des différents monuments et autres sujets plus ou moins intéressants mais elle était plus captivée par le mouvement de ses lèvres que par ses dires. Tout le temps qu'ils avaient passés ensemble lors de leurs adolescences, elle c'était retenue de ne pas lui sauter dessus et pourtant elle mourrait d'envie de l'embrasser... Quelques années plus tard, elle partira sans prévenir et délaissera totalement le jeune Alpha car elle devait absolument fuir les autorités avec lesquelles elle avait de sérieux problèmes. C'est alors qu'elle enchaîna les voyages et qu'elle s'éloigna de plus en plus d'Arsène jusqu'à ce qu'ils se croisent – par hasard – à une heure de colle dans la même université. Elle n'aurait jamais penser qu'il puisse vivre aux états-unis... elle le pensait trop attachée à sa patrie pour la lâcher mais c'était une bonne surprise de le retrouvé. Même si celui-ci avait une ' petite amie ', elle s'acharnera à tenter de le faire flancher et elle parviendra à son but en seulement quelques heures. Roxanne avait le don bien particulier de faire craquer tous les hommes ; pas un seul ne lui résistait même pas le petit ingénu qui était désormais son fiancé. Personne n'avait cru en l'air idylle, tous avaient crus que ce n'était qu'une histoire de ' pieu ' alors que c'était évident qu'ils s'aimaient pour de vrai, chacun était devenu accro à l'autre et se montraient jaloux enfin surtout la donzelle car monsieur se faisait plus discret. Pendant qu'il l'enserrait dans ses bras, les autres étrangers regardaient le couple, ils avaient l'air d'être contents pour eux, ils seront peut être bien les seuls d'ailleurs.... On ne voyait pas trop couler les larmes de joie de la jeune femme car elles se fondaient avec la pluie. L'idée d'être mariée ravissait notre Dickens qui allait enfin pour avoir une vie stable. Elle souriait à pleines dents lorsqu'il caressait sa joue avec la paume de sa main. Son touché, elle l'avait enfin retrouvée, elle en frémit d'ailleurs. Lorsqu'elle entendue la remarque de son fiancé lorsqu'il lui passa sa bague au doigt, elle eut un rire léger et lui répondue

    « Et moi je croyais que je n'aurais jamais ce genre de demande... »

    Pas le temps de parler, il l'embrassait déjà. Il commençait à l'embrasser doucement jusqu'à ce que ça devienne langoureux. Nann c'était pas prudent de l'embrasser comme ça... heureusement pour lui qu'elle n'était pas en grande forme et qu'elle avait mal dormi ou sinon elle aurait eut des idées vicieuses (a) Son sourire était resté même après sa remarque et bien évidemment elle ne manqua pas de lui répondre ;

    « Oh que si j'en prendrais et tout ça pour te caser le dos... enfin non, avec toi j'aurais pas le temps de grossir assez vue tout le sport que tu me fais faire... »

    Elle tira une petite grimace, elle se laissa à nouveau porter. Pendant qu'il s'avançait, elle regarda sa bague en fixant plus précisément son rubis. C'était sa pierre préférée, il l'avait bien choisi. Roxanne finie entraînée dans un bar qui semblait paisible. Elle prit sans attendre la serviette qu'on lui tendait puis elle prit place à une table avec son fiancé. Ses coudes furent posés sur la table, elle se tenait la tête en même temps qu'elle le regardait.

    « Non c'est pas très loin d'ici mais avant que je te fasse visiter la ville il faut que nous reprenons de la force... »


    Remarquant qu'il s'étirait, elle retira ses coudes de la table et continua de l'écouter. Sa ' bouillotte ' ? Tient donc, il pensait déjà à quand il dormira avec elle. Pour elle, lui était un véritable oreiller, elle n'hésitait jamais à caler sa tête contre lui et ça n'avait pas l'air de le déranger plus que ça. Alors qu'un serveur s'approchait avec leurs plats, elle regarda de l'autre côté de la salle avant de dire ;

    « Et moi mon coussin préféré. »

    Une fois qu'elle lui avait répondue, elle eut le visage crispé en reconnaissant une silhouette. Elle détourna son regard. Roxanne commença à manger mais sans arriver à gâcher qu'elle était comme nerveuse, inquiète. La jeune femme dit tout bas ;

    « Il vaudrait mieux qu'on traîne pas trop ici... »

    Elle continua de manger en faisant comme si de rien était, comme si elle n'avait rien dit. De nouveau, elle regarda au fond de la salle. La personne qu'elle avait reconnue la fixait. Elle se racla la gorge avant de finir de manger. Peu de temps après elle se leva, elle prit le bras d'Arsène qui lui avait mangé puis elle murmura ;

    « Je vais te faire visiter mon logement maintenant... »

    La jeune Dickens l'entraîna en dehors du bar. Elle marchait avec difficulté mais s'appuyait sur son fiancé. Bien évidemment elle ne lui avait pas touché un seul mot sur son changement d'expression facile subite. Environ dix minutes plus tard, ils arrivèrent chez la donzelle qui ne manqua pas de fermer la porte derrière elle. Roxanne s'avança dans son salon assez spacieux dont les murs étaient majoritairement recouverts de beiges. Il y avait quelques tableaux de paysages dispersés un peu partout. Elle lança son blouson sur le canapé puis elle se rapprocha d'Arsène et elle lui prit les mains.

    « Tu peux encore tenir debout ou tu préfère qu'on aille directement se coucher ? »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptySam 7 Mar - 21:23

Quel âge avaient-ils lors de leur première rencontre ? 14 ans ? Peut être moins… Enfin, la belle avait toujours été la cadette d’Arsène d’une année. Déjà à cette époque, elle était à tomber par terre. Mais comprenez… Notre dandy était d’abord une tête avant d’être un mec. Ils s’étaient vus pour la toute première fois à Paris, capitale des amoureux mais aussi de la mode et des lumières. Leur relation avait tout de suite bien fonctionnée, les deux jeunes gens s’entendaient merveilleusement bien. Arsène n’avait pourtant jamais remarqué que la donzelle le regardait sans cesse, en fait, il était trop timide pour la regarder trop longtemps. Et surtout, trop introverti. Ainsi donc, chaque fois que leur regards se croisaient ou qu’il a surprenait à le dévorer de ses yeux bleus, il pensait qu’il avait quelque chose sur le visage et tournait vite la tête vers une vitrine, discrètement, afin de vérifier que ce n’était rien. La mère du garçon n’approuvait pas cette amitié, elle regardait Roxanne comme une rivale, comme si elle craignait qu’elle lui enlève son fils unique, son trésor chéri. C’était compréhensible n’est-ce pas ? D’un autre côté, le Don Juan n’avait jamais été très obéissant. Intelligent, cultivé, mais pas docile. C’est ainsi que nos deux futurs tourtereaux visitèrent chaque monument avec comme guide l’infernal Arsène et ses multiples connaissances sur l’histoire des Tuileries jusqu’à la biographie de Mr Eiffel. A aucun moment il n’avait compris que ce n’était pas ça qui l’intéressait et la suite ne l’aida pas en ce sens puisque quelques temps plus tard, elle disparue sans même lui donner la moindre indication et sans lui dire au revoir. Il n’avait pas été tellement blessé puisqu’il n’était pas très attaché à elle. Disons qu’il l’appréciait et que c’était toujours dommage de rompre contacte ainsi. Alors quelle fut sa surprise lorsqu’il la retrouva assise à coté de lui à cette heure de colle ! Elle avait changée et s’était embellie. Et elle était grande aussi ! Il ne devait la dépasser que de quelques centimètres, lui et son 1m80 tout mouillé ! Enfin, tant qu’il était plus grand, tout allait pour le mieux. Mais ce n’était pas tout. Elle lui avait tapé dans l’œil aussi… Mais ça il ne le sut que lorsqu’il se retrouva entraîné dans sa chambre le soir même. C’est vrai que d’un regard extérieur, on pouvait trouver ça malhonnête concernant Cameron etc… Mais ç’avait été plus fort que lui, et non ce n’était pas que son corps qui l’avait excité à ce point, c’était tout d’elle : son sourire, ses mimiques, ses larmes de crocodile… Et voilà comment on forme le plus joli couple de l’Univers ! Glamour non ? L’intello sensuel et la mannequine libertine. Incroyable, à 20 ans, il allait l’épouser d’ici les prochaines semaines. Cela paraissait encore… Carrément incroyable. Comment allaient réagir leur entourage à cette nouvelle ? Sans doute seraient-ils heureux… En tout cas, Arsène savait que s’il pouvait compter sur quelqu’un, c’était Junji ! Lui le féliciterait et plutôt deux fois qu’une !

Tous les deux attablés, ils passaient du bon temps à parler de tout et de rien. Son appartement était tout prêt ? Ça tombait bien, il mourrait de fatigue. Elle avait faim ? Lui aussi… Il était son coussin préféré ? Bon à savoir… Néanmoins quand on à l’habitude de dormir accompagné, cela devient difficile de supporter une rupture et le célibat qui s’en suit… Il y avait à peine quelques mois encore, notre Alpha passait toutes ses nuits seul et ça ne l’embêtait pas plus que ça. Aujourd’hui il avait besoin d’elle et de sa chaleur. C’était un bon moyen de se sentir enfin entier et de décompresser de sa journée. La nuit passée, il s’était couché chez les fameux anglais qui l’hébergeaient et, maussade, avait fini par s’endormir… Mais au milieu de la nuit, il s’était réveillé en sursaut en tâtant tout autours de lui dans l’espoir de trouver sa chère et tendre… Absent. Il venait de faire son interminable cauchemar, sauf qu’il n’y avait pas eu un baiser pour l’apaiser, ni même une caresse de la part de sa maîtresse. Juste du silence ou le ronronnement de la chaudière. Non, il ne voulait plus vivre ça. Et ce mariage allait sceller leur union. Enfin. Roxanne ne pourrait plus douter de son amour pour elle, et elle devrait limiter ses crises de jalousie. Dorénavant, il ne serait là que pour elle et lui appartenait corps et âme…

« Il vaudrait mieux qu'on traîne pas trop ici... »

Hein ? Et pourquoi ça ? Elle venait de croiser quelqu’un peut être ? Arsène avait subitement relever son visage et tourné son regard derrière lui. Il observa un moment tous ces gens autours d’eux mais fini par se replacer correctement et continuer de manger. A peine eut-il terminé qu’elle lui attrapait déjà le bras pour l’emmener chez elle. Ravalant un hoquet, le Franco-russe se laissa entraîner tout en la supportant à l’aide d’un bras. Le chemin ne fut pas long, en à peine 10 minutes ils étaient arrivés. Un appartement de taille moyenne… plutôt riche quand même. Des cadres aux murs, des couleurs mi chaudes et mi froides… ça manquait un peu de peps tout ça ! Enfin, cet appart’ était le sien, il n’y toucherait pas. Déposant à son tours son manteau à côté de celui de la belle, il sourit lorsqu’elle lui prit les mains et la plaque contre lui pour l’enlacer subitement, la serrant bien fort…

« Hmmmm… Chuis fatigué… Montre-moi ton lit. » Murmura-t-il avec fainéantise avant de la suivre à nouveau jusqu’à une pièce plus réduite et plus sombre.

Ouah ! Quel grand lit O.O Il était encore plus grand que celui de sa confrérie qui était déjà large comme il faut. Et bien… ils auraient la place de dormir à 5 là-dedans. Et les couvertures sentaient bon le parfum de la jeune femme… Parfait… C’était parfait. Alors, qu’est-ce que ça faisait de pénétrer le logement de sa fiancée ? Se sentait-il plus… Engagé maintenant ? Sûrement oui, mais c’était une chose qui ne lui déplaisait pas. Arsène s’assit sur le matelas et s’étira avant de se laisser tomber en arrière, les bras tendu derrière la tête. Il demeura un instant immobile à profiter de l’instant présent puis commença par retirer son pull trempé. De nouveau sur ses deux pieds il déposa son vêtement sur un fauteuil puis glissa sa main sur la taille de Roxanne en baissant les yeux…

« Tu veux que je t’aide ? »

Après tout, elle avait une cheville foulée Rolling Eyes Le petit russe ne lui laissa pas le temps d’ouvrir la bouche que déjà il lui avait retiré son haut et commencé à déboutonner son pantalon. Sans lâcher son regard il fit glisser ce dernier le long de ses interminables jambes puis la souleva dans ses bras et la porta jusqu’au lit. Un sourire malicieux dessiner sur les lèvres, il se mit lui aussi en simple sous-vêtement et… Et ? Ah, que croyiez vous petits cochons ?? Il s’allongea oui, et sur elle en plus… Il l’embrassa comme un vile démon mais voilà, il se redressa ensuite, quitta cette position appelant au sexe, fit le tour du matelas pour enfin venir s’allonger sous les couvertures…

« Bonne nuit ma princesse…« Where are you ? I need you » Arsène { London } 277800 » Se contenta-t-il de bailler, content d’avoir éveiller en elle une flamme de désire sans s’être fatigué à la combler.

C’était pour être partie précipitamment, voilà ! XD Ouh le vilain, il méritait une punition non ? (a)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } EmptyDim 8 Mar - 17:09

    La demoiselle ne comptait plus le nombre d'années depuis lequel elle le connaissait, peut importe du moment qu'elle reste avec lui. Il lui avait donnait beaucoup de fil à retordre au début pour le séduire mais maintenant c'était totalement différent, il ne pouvait plus se passer d'elle et elle non plus. Roxanne imaginait pourtant qu'elle ne s'attacherait plus jamais comme ça à un homme mais elle c'était largement trompée surtout qu'elle n'avait pas refuser la demande en mariage qu'il lui avait fait sur le Tower Bridge. Quand on connaît bien la jeune Zêta, c'est comique de la voir avec le chef des ' intéllos ' vue qu'elle, se fiche des études,pense plus à faire la fête et qu'elle possède un impressionnant tableau de chasse qui semble s'être arrêté pour de bon sur Arsène. Elle qui méprisait l'amour et tout ce qui allait avec, elle allait choquer tout le monde avec sa bague de fiançailles mais tant mieux car c'est connu, elle aime faire scandale. La dernière chose de trash qu'elle avait fait était de couché avec son Franco-russe dans le bureau du Doyen le jour de la St Valentin mais elle ne le regrettait pas le moins du monde vue que c'était une vengeance par rapport au jeux de frustration qu'il lui avait fait. Que ce qu'elle avait pu le décoincé tout de même... elle doit être la seule à savoir à quel point il était une bête de sexe et c'était tant mieux car elle ne partagera pas (a) La meilleure chose qui lui était arrivé c'était de le retrouvé à Berkeley, lui aussi avait beaucoup changer enfin physiquement. Arsène était plus grand, plus beau et certainement encore plus intelligent qu'autre fois, il ne c'était que amélioré pour faire simple... Son faible pour lui n'était pas parti, même pas avec le temps, elle avait toujours eut une certaine attraction pour lui qui était réciproque mais lui ne s'en était rendu compte que récemment. Il allait lui en falloir du courage pour la supporter toute sa vie, ce n'est pas rien de se marier avec une femme au tempérament aussi brûlant bien qu'il y avait tout de même certains avantages d'être avec elle qu'il connaissait déjà. Notre Dickens savait que pas mal de personnes essayeraient de briser leur couple mais désormais il était beaucoup trop solide pour l'être et ils pouvaient tous les deux compter sur l'aide précieuse de Junji ; un ami qu'ils avaient en commun.

    Elle n'avait pas attendue une seule seconde avant de le tirer du bar car elle avait reconnue un homme qu'elle ferrait mieux d'éviter vue tout ce qu'il avait pu lui faire auparavant. Bien évidemment elle comptait lui en parler mais pas tout de suite, elle ne voulait pas gâcher leurs retrouvailles à cause de ses vieux problèmes qui sont nombreux et tous aussi différents les uns que les autres. Roxanne avait remarqué une drôle d'expression faciale une fois qu'Arsène fut rentré dans son logement... N'aimait-il pas la décoration ? Peut être mais elle ne c'était jamais vraiment fouler pour donc ça ne la dérangerait pas qu'on y touche. Il n'avait pas hésiter en ce qui concernait d'aller se coucher enfin elle était certaine qu'il avait des idées derrière la tête, comme toujours... Elle se retrouva avec lui dans son immense chambre aux couleurs chaudes et principalement rouges où la déco était beaucoup plus soigner que celle du salon. Notre Zêta avait payé assez cher pour avoir une telle chambre mais elle avait toujours autant d'argent. Sa chambrette ressemblait à une pièce digne d'une impératrice et elle en était un peu fière. Elle eut un sourire amusé lorsqu'elle remarqua que son fiancé était impressionnée par grandeur de son lit, elle s'en doutait qu'il allait réagir comme ça mais il vaut mieux avoir trop de place que pas assez non ?! Il lui demanda si elle voulait qu'il l'aide en ce qui concerne ses vêtements mais avant qu'elle ne puisse lui répondre, il c'était déjà mit à la tâche. Aucune perte de temps, il l'avait presque entièrement déshabillé en l'espace de même pas une minute, à croire qu'il était toujours aussi gourmand. Ce n'était pas tout, il c'était allongé sur elle pour ensuite l'embrasser d'une manière des plus langoureuses afin de chercher à éveiller son désir... C'était assez réussi mais malheureusement pour lui, elle était trop fatiguée pour faire les mêmes prouesses que les fois précédentes. Il finira par subitement se retirer comme pour lui faire payer son départ. Roxanne arqua un sourcil et elle se dit qu'elle ne pouvait pas le laisser s'en tirer ainsi. La jeune femme qui était encore en sous vêtements, s'approcha de lui pour ensuite se mettre à califourchon sur lui. Pourquoi serait-il le seul à s'amuser ? Elle eut un sourire espiègle en passant ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien gorge. Le sous vêtement vola à l'autre bout de la pièce mais il lui restait toujours sa petite culotte.

    La Zêta se pencha sur son fiancé pour qu'il admire sa poitrine qui était encore plus généreuse qu'autrefois à cause de tout le chocolat qu'elle avait pu prendre son absence. S'approchant dangereusement des lèvres de son apollon, elle s'arrêta. Sa longue chevelure blond pendouillait au dessus du torse musclé de l'alpha qui avait l'air à moitié éveillé. Tant mieux qu'il ne se soit pas déjà endormi, elle n'en avait pas fini avec lui. Elle colla sa poitrine sur sa cage thoracique en sachant qu'il ne pouvait résister à cette partie précise de son anatomie bien féminine. Une fois qu'elle était collée à lui au maximum, elle l'embrassa langoureusement. Quelques minutes plus tard, elle détacha ses lèvres des siennes et elle lui murmura ;

    « Bonne nuit mon amour... »

    Roxanne déposa sa tête sur le corps de son fiancé et elle fit mine de s'endormir. Il n'allait certainement pas lui résister vue dans quelle tenue elle était et puis ça faisait tout de même une semaine qu'ils n'avaient pas fait l'amour...Même si elle n'était pas en forme, ça ne la dérangeait pas qu'il soit le seul à travailler mais en avait-il la volonté ? Peut être pas...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

« Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty
MessageSujet: Re: « Where are you ? I need you » Arsène { London } « Where are you ? I need you » Arsène { London } Empty

Revenir en haut Aller en bas

« Where are you ? I need you » Arsène { London }

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

Sujets similaires

-
» No escape } Arsène
» Accident {Pv Arsène}
» MOUAHAHAHAAH {pv : Arsène
» - Petite surprise - {Pv Arsène}
» Positif ou négatif ? {Pv Arsène}

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-