Sans trop savoir pourquoi Stacey se réveilla assez tôt sans avoir besoin de cadran ou de réveille-matin ni même de coq. Elle regarda les chiffres rouges lumineux de son cadran et vit qu’il restait deux minutes avant qu’il ne sonne. Elle remit ses couvertures par-dessus sa tête, se retrouva les orteils sans couvertures ayant certainement du trop bouger cette nuit, soupirant. Elle se leva tout de même. Elle allait juste avoir deux minutes, maintenant, une minute de plus pour pouvoir se préparer. Elle éteignit tout de même le cadran, ne voulant pas entendre le bip sonore si elle n’en n’avait pas besoin. De toute manière, celui de sa colocataire allait se mettre à sonner aussi à un moment ou à un autre. Elle ne connaissait pas vraiment son horaire, mais savait qu’il sonnerait ; le petit point l’indiquait bien.

Puisqu’elle avait un peu plus de temps devant elle, Stacey fit correctement son lit au lieu de simplement ramener les couvertures par-dessus son oreiller. Après l’avoir fait correctement, elle recula d’un pas regarda son lit et se dit qu’il était correct. Enfin, toujours mieux que d’habitude. Même bien mieux, Il n’y avait pas de bosses faites par les couvertures en-dessous qu’elle n’avait pas placée. Elle sourit et se retint de ne pas applaudir ne voulant pas réveiller sa colocataire dont le cadran n’avait toujours pas sonné. Elle chercha ses vêtements en essayant de ne pas trop faire de bruit même quand elle réussie à se fermer le tiroir sur ses doigts. Elle se changea ensuite. Jean et blouse bleu pâle ; rien de très compliqué et rien de très coûteux.

Elle sortie ensuite de sa chambre elle se dirigea vers le café/bar, l’Albatros où qu’il y avait bien peu de monde à cette heure si matinale. Plus qu’une demi-heure avant son cours. Elle espérait qu’il ne soit pas ennuyant, car elle se rendormirait certainement. Effectivement, le cours ne fut pas ennuyant, loin de là. Il fut tellement intéressant qu’il fut annulé, enfin selon le mémo collé sur la porte et les élèves qui repartaient en bougonnant. La photographe pensa retourner se coucher, mais son autre cours dans deux heures ainsi que le café qu’elle avait pris lui disait que c’était une mauvaise idée. Elle devait donc passer le temps. Comment ? Elle n’en savait rien, mais elle verrait cela le moment voulu.

Mais elle se dit que de sort des murs de Berkeley ne lui ferait certainement pas de mal. Alors, c’est ce qu’elle fit après avoir été cherché une veste dans sa chambre après avoir vu par l’une des plus par habitude que pas nécessité, il faisait beau soleil en ce moment. Sa colocataire n’était toujours pas réveillée et elle fit donc de nouveau attention à ne pas faire trop de bruit. Elle n’en fit pas et ne fit pas plus de maladresse. Pour le grand bonheur de ses doigts qui même s’ils ne lui faisaient plus mal, ne voulaient pas avoir une nouvelle fois mal en si peu de temps. En fin de soirée si possible, mais pas à peine après une heure. Elle sortit une nouvelle fois de sa chambre après avoir prit son sac à main et se dirigea vers l’extérieur.

Où ? Quelque part. Quand ? Tout de suite. Combien de temps ? Jusqu’à son prochain cours. Avec qui ? Elle-même. Pourquoi ? Elle le voulait. Rien de très compliqué ni de très recherché. Comme raison, mais il ne lui en fallait pas plus. Même moins aurait suffit. Elle voulait aller dehors et bien elle irait. Tout simplement. Et ses pieds la menèrent dans l’un des nombreux parcs qui entouraient l’université. Rien de bien original comme destination, tout comme son moyen de locomotion, mais c’était toujours mieux que de peut-être rater son prochain cours car elle dormait. Elle commença donc à faire quelque chose de très normal, soit simplement marcher en regardant autour d’elle au lieu de regarder où qu’elle allait. Chose stupide étant donné sa maladresse.

N’ayant pas vraiment de but précis pour savoir où est-ce qu’elle allait, la photographe ne faisait que de marcher en allant un peu dans n’importe quelle direction. Elle pensait de moins en moins à son lit, mais de plus en plus à un café. On retrouvait cela rarement dans un parc. Des hot-dogs, de la crème glacée, des frites, mais pas de café. Enfin, peut-être que cela existait, mais cela ne semblait pas exister ici ni dans ceux qu’elle avait visité à New York. Mais bon, elle en avait déjà bu un. Il ne fallait pas trop en prendre, car sinon elle ne pourrait pas dormir avant demain. Elle avait déjà trop d’énergie, alors le café ne faisait que lui augmenter encore plus cela. Il fallait qu’elle arrête de penser au café, surtout si elle venait d’en prendre un, puisqu’il n’y en avait pas près d’elle.

Stacey continuait de marcher, regardant devant elle au lieu de regarder ses pieds et voir s’il n’y aurait pas quelque chose qui la ferait peut-être tomber ou trébucher. Chose qui arriva quelquefois, se prenant les pieds dans les racines des arbres lorsqu’elle passait près d’elle. Heureusement, malgré sa grande maladresse, elle tombait rarement possédant tout de même un bon équilibre. Légère consolation face à sa grande maladresse. Ce qui faisait qu’elle ne passait pas son temps à tomber, mais juste à trébucher. Elle trébuchait tellement souvent qu’elle ne s’en rendait même pas compte, enfin sauf lorsqu’elle avait mal. Elle n’était pas insensible à la douleur aussi maladroite soit-elle. Mais bon, elle n’allait pas se plaindre d’être maladroite et d’avoir mal ensuite. Ce qui était souvent bine logique lorsque l’on se cognait le petit orteil contre le cadre de porte. Mais bon, dans l’un des parcs il n’y avait pas de cadre de porte, mais seulement des racines et des bancs. Elle ne se cogna pas dans l’un de ceux-ci, trop loin pour cela. Ses pieds devaient certainement avoir un sens de conservation quelconque puisqu’ils évitaient de la faire marcher près des bancs. Elle vit un attroupement de personnes, et décida d’y aller. Bancs plus près ou non, elle avait tout de même un peu de contrôle sur ses pieds.

Il y avait des personnes qui dansaient, des étudiants. Elle les regardait, de loin, de pas très loin en même temps. Mais ne regardait toujours pas ce qu’il y avait près d’elle. Et ce qui devait arriver arriva, comme quelque chose de très naturel chez et elle et de prévisible. Elle fonça dans quelqu’un. Et le quelqu’un n’était pas un simple passant ou un simple spectateur des danseurs. C’était un danseur. Elle en avait de la chance. Elle ouvrit la bouche pour dire qu’elle était désolée pour ensuite reculer et ne plus bouger pour pouvoir continuer de les regarder sans leur foncer dedans involontairement. Chose que ne semblait pas prévoir le danseur. Puisqu’il ne lui laissa même pas le temps de s’excuser. Commençant à s’énerver, à hurler, à l’insulter, bref à ne pas la laisser s’excuser ni recommencer à danser. Cela faisait quand même vingt-et-un ans qu’elle était maladroite. Elle en avait donc entendue de toutes les sortes. Et ce que lui disait le danseur ne faisait pas vraiment exception. Elle apprit quelques nouveau gros mots, provenant peut-être d’où est-ce qu’il venait ou de sa propre tête, qu’elle nota dans un coin de la sienne puisque cela pouvait toujours servir.

Ce qu’elle ressentait en ce moment ? À part le fait d’être un peu impressionnée par les nouveaux jurons qu’elle avait appris ? Pas grand-chose en fait. Ce n’était pas comme si elle n’avait jamais vécue cette situation avant. Et le danseur réagissait comme ce qu’elle avait déjà vécue avant aussi. Ce n’était pas la première, ni la deuxième ou la troisième fois. Puisqu’elle fonçait régulièrement dans des personnes, cela lui arrivait donc bien souvent de se faire hurler comme cela. Mais il avait déjà un point d’originalité avec ses nouveaux jurons. Elle essaya de partir, mais il semblait bien prêt à continuer de s’énerver après elle. Elle resta donc, espérant qu’il puisse continuer à dire des jurons si originaux. Ce qu’il ne fit pas. Par contre, il semblait surpris du manque de réaction de Stacey. Il arrêta de parler, enfin de jurer. C’était gentil. Même si elle parlait beaucoup, même trop bien souvent, elle laissait toujours le loisir à l’autre de laisser placer quelques mots par-ci et par-là. Truc que ne semblait pas se souvenir le danseur. Mais bon, il ne parlait plus maintenant c’était déjà cela.

- Je pense qu’il faut que tu continues à danser… à moins que tu ne veuilles m’apprendre d’autres jurons, ils sont très intéressants, ils viennent d’où ? dit Stacey, calmement.

Enfin, aussi calmement que quelqu’un qui a une terriblement envie de rire en ce moment. Oui, elle trouvait cela drôle quelqu’un qui lui hurlait dessus pour quelque chose qu’elle faisait régulièrement. Ce n’était pas comme s’il avait fait quelque chose de très original. L’engueuler, lui hurler dessus et s’énerver… du déjà vu. Malgré les quelques jurons sortis d’elle ne savait trop où, et bien pour elle la situation était drôle. Drôle parce que ce n’était pas la première fois ni certainement la dernière fois. Drôle parce qu’il retardait ainsi les autres danseurs qui semblaient l’attendre afin de recommencer danser. Drôle, car elle avait peut-être simplement un étrange sens de l’humour ou trop. Mais dans tous les cas, elle ne s’était pas du tout laissée abattre par les commentaires désobligeants du danseur.

Oups… elle venait de faire une autre gaffe. Mais cette fois-ci, avec ses paroles. Pas avec une partie de son corps comme précédemment, par exemple. Et pas juste une petite. Une grosse en fait. Très grosse même. Avec ce qu’elle avait dit au danseur, elle pensait s’en tirer puisqu’elle pensait qu’il allait simplement recommencer à danser et l’oublier. Après tout pourquoi faire un drame juste avec quelqu’un qui avait foncé dans quelqu’un d’autre ? Mais elle n’était pas le danseur et elle le savait. Il ne pensait pas comme elle et cela aussi elle le savait, cela l’étonnerait de toute manière que quelqu’un puisse penser comme elle. Elle avait juste vu le positif de la situation comme elle le fait si bien dans chaque situation. Ce qui l’avait bien trompée cette fois-ci. Chose qui en quelque part de très loin en elle, s’attendait tout de même. Elle savait tout de même que tout n’allait pas toujours bien, mais penser ainsi ne la dérangeait pas. Après tout penser tout le temps que tout irait mal, cela devait être… ennuyant et triste aussi. Cela serait horrible, du moins pour elle, mais elle n’avait tout de même rien contre les personnes qui pensaient ainsi.

En voyant la main du danseur se lever légèrement, Stacey pensa à trois trucs totalement différents et les trois n’ayant aucun rapport avec ce qui était en train de se passer en ce moment tout en ayant pleinement conscience de ce qui allait peut-être lui arriver, le poing du danseur sur sa figure dans quelque instant.
La première chose à laquelle elle pensa fut qu’elle avait oublié d’éteindre la lumière des toilettes ce matin. Elle espérait que quelqu’un l’ait fermé ensuite et se rappela ensuite que c’était normal qu’elle ne l’ait pas fermée puisque c’était des toilettes où que tout le monde pouvait aller. Pensée oublié tout de suite après pour laisser place à la deuxième.
La deuxième étant qu’elle venait maintenant de se souvenir du numéro de téléphone de l’un de ses amis lorsqu’elle avait dix ans. Ami ayant déménagé, donc le numéro de téléphone ne fonctionnera certainement pas. Cette pensée fut comme la première, oubliée pour aller vers la troisième.
La troisième étant qu’elle avait faim, même si elle avait mangé il n’y avait pas si longtemps que cela. Comme quoi son estomac ne prenait jamais de pause peu importe la situation dans laquelle elle se trouvait. Pensée aussi oubliée, mais la sensation demeurait tout de même.
Tout cela en ou deux secondes, comme quoi rien ne pouvait l’empêcher de penser.

Aussi optimiste soit-elle et même si elle voyait le côté positif des choses en toutes situations, elle se voyait tout de même très bien en ce moment étalée sur le sol du parc par le poing du danseur. Elle pourrait reculer, mais elle et le reculons disons qu’ils n’étaient pas très amis, donc à oublier. Et elle ne s’était jamais battue donc il gagnerait certainement, et courir… étant danseur il était certainement plus en forme qu’elle et la rattraperait sûrement, en plus du fait qu’elle trébucherait probablement dans l’une des racines qu’il y avait. En marchant, cela allait, mais en courant… elle tomberait cela était sûr, à moins d’un miracle. Sauf que tous les petits scénarios qu’elle s’était imaginée, surtout celui sur le fait qu’elle se retrouvait avec quelques blessures non véritablement dû à l’une de ses maladresses, ne se réalisèrent pas. Une voix, venue tout droit du ciel en ce moment pour elle, elle qui n’était pas vraiment en étant de réfléchir pour vrai. Voix disant au danseur que cela ne valait pas la même. Elle était vraiment du même avis que la voix, elle n’en valait pas la peine. Pas du tout. Mais elle se contenta de garder ses pensées pour elle.

- Je pense que je vais essayer… dit-elle, trouvant que c’était un bon conseil, même si elle se disait qu’elle éviterait d’aller dans ce parc, car elle avait tout fait en vingt-et-un ans afin de plus être maladroite ou de faire plus attention, sans succès. Et… merci… dit-elle après la réplique du danseur, Guillaume si elle avait bien entendu.

Au moins le danseur et elle était d’accord sur un point, elle n’en valait pas la peine. Mais ce n’était pas vraiment pour les mêmes raisons. Raisons inconnues pour elle à propos du danseur, et raisons venant du fait qu’elle n’aimait pas se faire remarquer et encore moins provoquer des disputes ou une bagarre dans ce cas-ci. Bagarre qui se serait bien vite terminée d’après elle. Un coup sur elle et elle serait certainement tombée. M’enfin, elle était tout de même contente que la jeune femme, Eléa, si elle avait bien entendu une nouvelle fois, soit intervenue. Elle lui fit un petit sourire, la remerciant une nouvelle fois ainsi. Après tout, ce n’était pas à tous les jours que quelqu’un disait à une autre personne de ne pas la frapper. Quoique la frapper non plus cela n’arrivait pas souvent. Erreurs quelquefois, en jouant avec ses sœurs, mais volontairement ? Il lui semblait que non.

Stacey était en train de se dire que le pire était passé. Du moins, elle l’espérait fortement. Elle était assez loin du danseur, en fait c’était peut-être le seul point positif dans tout cela, car le danseur ne semblait pas très enthousiaste avec l’idée que la jeune femme soit en train de lui parler. Mais elle n’y pensait pas trop pour le moment, étant encore trop soulagée pour le moment pour vraiment se rendre compte de quelque chose. Ce qui n’allait pas tarder à se faire tout de même. Juste le temps que le genre d’effet de nouveauté ne se calme un peu. Elle avait agis normalement et son agissement normal ensuite était d’avoir peur. Elle n’était pas quelqu’un de nécessairement courageux tout le temps. Enfin, cela dépendait toujours. Elle était surtout plus courageuse pour les autres que pour elle même. Essayez de savoir pourquoi ; surtout qu’elle ne le savait pas elle-même. Elle se sentait déjà bien moins nerveuse alors qu’elle n’était qu’éloignée légèrement du danseur, quoiqu’elle commençait tout de même à se sentir regarder. Et ce n’était pas vraiment une sensation des plus agréables, surtout en ce moment.

- Je sais que je devrais faire attention… mais je n’y arrive pas. dit-elle, secouant sa tête, découragée par elle-même. Je le pense aussi… c’est la première fois que je le voyais, donc je savais pas du tout comment il allait réagir.

Elle s’était, bien entendu, attendu au meilleur. Ce qui n’avait pas du tout été le cas. Le pire ayant été évité par la jeune femme avec qui elle était pour le moment. Elle était terriblement soulagée de ne pas s’être retrouvée par terre, ayant mal en quelque part au visage. Quoiqu’habituellement c’était le nez, mais Stacey s’était tout de même imaginée un gros mal au visage général, pas juste à une place, mais tout le visage. Elle ne s’était pas par contre imaginé autant de truc qu’Éléa, de quoi la faire vraiment avoir peur encore plus. Elle s’était simplement arrête à elle reçoit un coup de poing, elle tombe par terre et à mal un nombre de temps indéterminé, passant par plusieurs couleurs différentes. Elle qui aimait les couleurs, elle aurait été bien contente… enfin peut-être pas sur elle, pour cela il n’y avait qu’à regardé ses coudes et ses genoux. Même si ceux-là faisaient beaucoup moins mal que la douleur qu’elle aurait ressentie avec un poing sur la figure.

Trop soulagée, elle ne tint pas compte du ton froid qu’avec employé la jeune femme ni du nom renvoie du sourire. En ce moment, elle continuait de trouver que la jeune femme semblait parler comme un ange, comme quoi le soulagement pouvait apporter bien des choses pour Stacey, peut-être même une surdose d’imagination en fait et d’hallucination auditive, m’enfin, cela se passait certainement plus dans sa tête, le temps qu’elle oublie plus au moins ce qui venait de se passer. De le mettre dans la boite mauvais souvenir et ne plus y penser à moins de se retrouver dans une situation similaire ou qu’elle en éprouve le besoin d’en parler. Chose qui n’arriverait probablement pas, elle ne voyait pas du tout pourquoi elle aurait envie de parler de cela puisque ça c’était bien terminé. Pas très logique, mais bon. Et pour le non retour de son sourire, Stacey avait conscience que tout le monde ne pouvait pas nécessairement tout le temps sourire comme elle, et en plus, la situation ne prêtait pas vraiment à sourire.

- Merci encore… et je pense que je vais y aller, je ne pense pas qu’on ne soit d’accord avec le fait que tu me parles… elle avait essayé de viser personne, mais ne pensait pas vraiment que cela ne fonctionne très bien. et je ne veux surtout pas causer d’autres problèmes.

En tant normal, se préoccuper de comment les amis d’une personne pensait en ce moment pendant qu’elle parlait à cette personne, Stacey ne s’en préoccupait absolument pas. Sauf que là, ce n’était pas vraiment une situation normale. Elle avait essayé, mais cela n’avait pas fonctionné. Elle allait maintenant au plus prudent, puisque cela ne lui tentait pas vraiment de peut-être recevoir un coup de poing ou encore de causer des problèmes à la jeune femme. Elle l’avait aidé et même si Stacey l’avait remerciée, elle ne voulait pas qu’elle ait des problèmes à cause d’elle. En espérant qu’elle n’en n’ait pas déjà. Elle ne le pensait pas, n’importe qui pouvait aider n’importe qui d’autre même si on ne connaissait pas trop cette personne. En plus, en agissant ainsi la jeune femme avait certainement bien agis, faisait ainsi éviter d’autres gros problèmes. Mais elle ne voulait tout de même pas en causer des plus petits à cette jeune femme.