the great escape
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When the lion cry {Maxwell}

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MessageSujet: When the lion cry {Maxwell} When the lion cry {Maxwell} EmptySam 29 Nov - 19:24

When the lion cry {Maxwell} Ggyayleighton
© Somehearts_x3
« Les aléas du coeur sont parfois imprévisibles...»


    Caroll avait passé une mauvaise journée. Comme d'habitude, à passer pour une fille qu'elle n'était pas. A négliger ses études car plus rien n'avait d'importance. A éviter Maxwell parce que... Parce que quoi déjà? Parce qu'il savait lire en elle comme dans un livre ouvert. Parce que, malgrè ses efforts, il avait su percer le jeu de la jeune femme. Parce qu'il faisait naître en elle un doux sentiment qui pourrait, avec le temps se transformait en quelque chose de grand. Seulement voilà, Caroll avait appris que la vie lui otaît toutes les personnes à qui elle s'attachait réellement. Elle ne voulait plus prendre le risque de commettre les même erreurs que apr le passé. Et puis, elle ne se berçait pas d'illusion sur Mawxell non plus. Il était si beau, si dragueur aussi. Pas de doutes qu'il ne voyait en elle seulement qu' une future conquête parmis tant d'autres. Et même si ce n'était pas le cas, elle préférait ne pas prendre le risque et ne pas s'attacher à lui plus qu'elle ne devrait. Alors elle le futyait, se montrer désagréable... Mais rien n'y faisait, le jeune homme semblant toujours s'obstiner à vouloir lui rendre le sourire. Pourquoi tout devait-être si compliqué ? Enfin...

    La seule chose dont Caroll était fière ses temps-ci , était son job de présidente de confrérie. Elle y consacrait une bonne partie de son temps et semblait enfin se passionait pour quelque chose. Sans doute parce qu'aussi, ca lui faisait oublier les soucis qu'elle avait mais que personne ne connaissait, ayant la fâcheuse habitude de tout garder à l'intérieur, en grande femme qu'elle était. Vraiment? Il ne s'agissait là que d'un autre mécanisme de défense comme elle en avait tant, voilà tout. car au fond d'elle, sa petite voix raisonnable lui disait qu'elle ne pourrait pas se sortir de la torpeur dans laquelle elle était depuis la mort de ses parents toute seule. Elle lui disait qu'il fallait qu'elle se confie, qu'elle se bouge. Seulement, petit problème. Caroll ne voulait pas être raisonnable. Elle l'avait été tout au long de sa jeune vie et por arriver àquoi? A des parents morts et avec une soeur qui consistait en la majeure partie de sa vie sociale. Elle voulait être différente, voir le monde. Et voilà qu'elle avait touchait au but. Même si pour cela il avait fallu qu'elle renie sa plus profonde nature, celle d'une fille pas comme les autres, pas comme celle de l'Université en tout cas. Celle d'une fille qui, au lieu de passer son temps à faire la fête et à boire, aimait travailler et avoir de long moments de solitude. Mais s'était fini à présent. Elle s'était fondu dans la masse et était à présent une des plus fêtardes et provocatrices de sa génération.

    Aussi était elle consciente que peu de personnes l'appréciaient pour ce qu'elle était vraiment. Très habile, casiment aucun de ses nouvaux amis n'avait su voir en elle la fille qu'elle cachait sous des apparences et des tenues sexy dans lesquels elle ne se sentait même pas à l'aise. Mais arprès tout n'était-ce pas ce qu'elle avait voulu? Elle en était consciente et n'en regrettait pas un seul de ses choix. C'était la meilleure des défenses pour se cacher du monde et éviter de s'attacher trop aux gens. Seulement voilà ce soir, le masque n'était pas plus de mise. Rentrant d'une fête très tard, la jeune femme se laissa aller à voguer dans l'université. Comme un de ses nombreux autres soirs, Caroll n'en pouvait plus de la vie dissolue qu'elle vivait, préférant les fêtes aux cours, passant à côté de nombreuses choses certainement. Ses pas la menèrent dans un de ses longs couloirs ou elle ne mettait casiment plus les pieds. Elle passa même à coté de sa salle d'économie, matière ou elle excellait jadis et ou a présent, elle se rendait à peine, sauf pour les examens... Elle avait conscience qu'elle s'en foutait de tout à présent. Plus rien n'avait vraiment d'importance depuis la mort de ses parents. Rien. Elle se laissa tomber non loin de la porte de la fameuse salle. Elle ne se reconnaisait plus en je-m'en -foutiste écervelée. Et elle fit quelque chose qu'elle n'avait pas fait depuis bien longtemps, trop longtemps, elle se laissa aller...

    Une larme coula en effet sur sa joue. Et de nombreuses autres s'en suivirent. Elle détestait par dessus tout ses moments de faiblesse qui prenait place parfois en elle. Mais, elle savait que l'université était vide à cette heure-ci, aussi pouvait-elle laisser libre cours à ses émotions. Elle savait que ce qu'elle était entrain de devenir ne lui convenait. Elle savait que ce qu'elle était déjà ne lui convenait pas. Mais c'était comme une auto-destruction, une course vers les ténèbres d'une existence sans réelle but. Elle savait qu'elle déconnait. mais pourtant elle s'enfoncait petit à peitt dans cette existence qui était certes attrayantes par certains côté mais par d'autres, tellement ennuyante. Elle se croyait seule. Mais elle avait tord. Elle entendit des pas et comprit en effet qu'un autre nostalgique nocturne n'était pas très loin d'elle. Il ne fallait au grand jamais que cette personne, qui qu'elle soit, la voit pleuré. Aussi essuya -t-elle avec empressement ses larmes et se calma autant qu'elle put. La mystérieuse personne qui l'avait dérangé fit alors son apparition au coin du couloir. Qui était-ce? La réponse apparut soudainement à ses yeux. Terrifiante et Attirante. Maxwell Atwood.
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MessageSujet: Re: When the lion cry {Maxwell} When the lion cry {Maxwell} EmptyMar 2 Déc - 1:12


    When the lion cry {Maxwell} Ggbts02_27
    (c) Birdie


    Une fête venait de se terminer, quelque part dans le monde. M'enfin, pas une énorme fête. Même pas une réelle fête, en fait. Simplement une soirée. Une soirée regroupant sept garçons et quelques filles, 5. À la base, la soirée avait été planifié pour jouer au poker. Seulement, certains gars avaient invités des filles. Résultat ; une soirée avec du poker, bien sur. Mais un autre genre de poker, du streap-poker, plutôt. Ce petit changement de dernière minute concernant la soirée n'avait guère dérangé notre beau québécois pour qui les soirées où il y a débauche, orgie ou autres de ce genre sont assez fréquentes. L'alcool y avait coulée à pleins flots. Le jeune Atwoodth avait bu pas mal. D'ailleur, normalement, il n'aurait pas pu conduire parce que le taux d'alcool dans son sang dépassait la limite autorisée. Et il ne conduit pas. Il ne voulait pas avoir d'ennuies. Déjà qu'à cause de sa petite escapade de deux semaines ( il est revenue il y a une semaine) , au Québec, il en a eu quelques-uns. Ouais, depuis qu'il a eu quelques troubles de mémoire, son coach, qui n'est plus son coach vu qu'il a été obligé de quitter l'équipe, veut toujours absolument tout savoir sur le jeune homme pour s'assurer qu'il va bien. Ça en vient... soulant.

    Il avait choisis de marcher pour retourner chez lui. Il ne marchait pas très très droit, mais peu importe. Il passa devant le bâtiment principal de l'Université et décida d'y entrer, voir ce qui s'y passait. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas été présent dans l'université alors que celle ci était censé être vide, le soir, très tard. En fait, depuis l'an dernier, il n'y avait pas mit les pieds pendant la nuit.

    Se retrouver de nouveau dans cet endroit si calme, si paisible faisait remonter en lui une tonne de souvenir. Certains qu'il pensait avoir oublié. Il trouvait ça étonnant de voir cet endroit, habituellement si bruyant, remplis d'étudiants, du corp enseignant, et de tous les autres qui travaillent dans ce bâtiment, pouvait devenir d'un calme parfait. Tout ce qu'on entendait était les échos de chaques petits bruits. C'était si vaste que le moindre bruit résonnait dans les larges et longs couloirs. Maxwell crut entendre un bruit. Il n'était pas seul. Peut-être aurait-il dû partir, à ce moment. Étant donné qu'on ne sait jamais, peut-être était-ce un enseignant ou autre. Mais il s'en fichait, il décida d'aller voir d'où provenait le bruit.

    En tournant le coin du couloir, il arriva dans une autre allée, une allée immense. Il avait l'impression qu'elle était sans fin. À peine qu'il fut tourné, il distingua une silouhette, au fond du couloir, qui, lui sembla-t-il, pleurait ou du moins, avais l'air attristé. Au premier coup d'oeil, reconnaitre la personne au fond du couloir lui sembla impossible, mais, avec un brin de concentration, il parvenu à la reconnaître. Caroll Venn. Cette demoiselle que Maxwell trouve d'un côté si attirente et de l'autre, si... intriguante. Chaque fois qu'il la voit, Max essaye de la faire sourire. En racontant des blagues. En disant des expresions étranges. En l'invitant à faire des activités. Mais, pour la majorité du temps, en vain. Ignorant pourquoi elle semble ne pas vouloir, il ne lâche jamais prise. Il continue à essayer de lui faire afficher un sourire, un vrai. Pourquoi continue-t-il ? Si la grande majorité du temps, elle se montre désagréable ou il a l'impression qu'elle tente de l'éviter. Il s'en fiche. Il voit en elle ce que les autres -et même elle- ne voit peut-être pas. Une femme magnifique. Vraiment. Dans tous les sens du terme. Il sait très bien qu'elle n'est pas complètement comme elle le laisse parraître. Il sait que c'est une femme fragile et qui souffre des épreuves qu'elle a du traverser dans le passé. Et puis, ne se le cachons pas, il voit en elle une jolie future conquête (a)... Mais, cette dernière raison, était-elle obligée de le savoir ? Non. Bref, une question traversa l'essprit d'Atwoodth. Que fesait-elle là. Seule, dans ce couloir, à cette heure ?

    Il souria. Elle ne pouvait peut-être pas voir qu'il souriait, vu la distance qui les séparait l'un de l'autre. Alors qu'il s'approchait lentement d'elle, il songeait au fait qu'il n'y avait personne d'autre qu'eux de présent dans ce couloir. Elle ne pouvait pas partir. Elle ne pouvait pas se mélanger à une foule et se rendre plus loins. Elle était là. Il était là, à quelques mètres d'elle à peine. À trois mètres, plus précisément.

    " Tu n'as jamais entendue parler de la légende concernant ceux et celles qui s'avanturent dans les couloirs de Berkeley la nuit, hein ? "

    Demanda t-il avec une voix sérieuse. Peut-être qui existait réellement une légende concernant les couloirs de Berkeley. Peut-être qu'il l'avait d'ailleur déjà entendue. Mais avec son accident, il avait oublié certaines choses, dont peut-être une légende. Bref, après, il rigola un peu. Puis, il s'approcha davantage de Caroll et lui fit un de ses magnifiques sourires, propres à lui.

    " Sérieusement, que fais-tu ici, ce soir ? Et... qu'est-ce qui ne va pas ? "

    Il s'assit par terre, devant elle, en indien. En attente d'une réponse de la part de la belle demoiselle qui se trouvait devant lui. Elle n'avait pas l'air d'aller. Il doutait un peu qu'elle lui dise la vérité sur le pourquoi de son air triste. Mais qui ne demande rien, n'a rien !
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MessageSujet: Re: When the lion cry {Maxwell} When the lion cry {Maxwell} EmptyDim 7 Déc - 19:36

When the lion cry {Maxwell} Ggyayleighton
© Somehearts_x3
« Les aléas du coeur sont parfois imprévisibles...»



    Que faisait-il donc là? Au moment ou elle avait le moins envie de le voir, voilà que la tentation même apparaissait devant ses yeux. Maxwell. Hors de question qu'il la voye en plein craquage, aussi se calma-t-elle pour de bon en devinant ses traits dans l'obscurité de la nuit. Il y avait peu de chances pour qu'il voit les quelques larmes qu'il restait encore sur sa joue, mais il était trop près pour qu'elle puisse les essuyait d'un revers de la main. Elle savait qu'elle devrait encore jouer la comédie, pretextant un mensonge qu'il aurait du mal à croire, mais qu'il finirait par concéder devant l'apparente honnêteté de la jeune femme. Oui Caroll était une bonne menteuse, une menteuse née peut-être, bien qu'elle n'est pas eu recours à ses dons avant sa brutale transformation. Sa vie n'était plus qu'un masque perpétuel qui, même s'il l'épuisait, l'attirait par certains côtés.

    Elle n'état pas dupe sur l'attitude peine de sollicitude de la part de Maxwell. Elle savait qu'il avait pour but, tôt ou tard, de l'amener dans son lit comme tant d'autres. Il ne devait après tout voir en elle qu'une conquête, simplement plus difficile à avoir que les autres, cequi ne fesait qu'augmentait son plaisir. Caroll était aussi consciente qu'elle craquerait, tot ou tard. Mais elle savait que céder lui ferait plus de mal à elle que de biens. Car derrière tant de gentillesse de la part de Maxwell, la jeune femme avait rêvée être un peu plus qu'une conquête passagère comme elle se doutait. aussi s'évertuait-elle a résister, quoi qu'il en coûte. La meilleure des manières pour cela était d'abord de se montrer désagréable Généralement, Maxwell n'y faisait pas attention, jusqu'a un certains moment ou il finissait par céder et s'avouer vaincu.

    Caroll se demandait ce soir si elle avait la force de se montrer désagréable envers lui. Elle semblait prête à céder en son fort intérieur. Pire. Elle voulait céder. Mais elle se ressaisit vite en le voyant approcher. Son but n'était autre que de protéger un coeur déjà trop meurtri. Alors pour cela, il était impossible qu'elle flanche, si elle gardait en elle cette raiision brute et néanmoins vraie de son comportement avec Maxwell. Il fallait qu'il se détourne, et à force, elle savait qu'elle y parviendrait. Aussi entreprit-elle de se mettre en position de défense. Rapprochant ses genoux vers sa poitrine, elle était prête à se battre contre ce que pouvait lui dicter son coeur, au profit de sa raison. Elle ne lui décrocha même pas un vague sourire à l'entente de cette pseudo-légende, de façon à clarifier de facon nette et précise qu'elle n'était pas d'humeur. Le jeune homme ne sembla par pour autant ébranlé puisqu'il enchaina directement en lui demandant ce qu'il n'allait pas, et en s'asseyant face à lui. La jeune femme faisait son possible pour ne pas croiser son regard afin de ne pas se perdre dans le bleu de ses yeux. Ses larmes avait sêchées, et elle fut heureuse qu'il ne remarqua rien. Elle entreprit de répondre, d'une voix rauque :

    Je ne vois pas du tout de quoi tu parles. Et toi que fais-tu ici Max?

    Elle avait parlé d'une voix sèche, presque sur un ton de défi. Elle savait que Maxwell ne se démontrait pas. Il faudrait bien, pourtant.
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MessageSujet: Re: When the lion cry {Maxwell} When the lion cry {Maxwell} EmptyMar 9 Déc - 0:23


    When the lion cry {Maxwell} Ggbts02_27 (c) Birdie
    « Life doesn't give you the people you want,
    it gives you the people you need. »


    Oui, il voyait en elle une future conquête. Parviendrait-il à, un jour, voir au-delà ? Peut-être. Sans doute. Mais à quoi bon ? Après avoir couché avec elle, après avoir obtenu ce qu'il désirait, il la blesserait. Il la tromperait. Il lui briserait le coeur. Il la ferait souffrir. Alors, pourquoi voir davantage qu'une conquête en elle ? Avec lui, c'est toujours la même histoire. Que voulez-vous ? Il a toujours été comme ça et ne changera jamais. Peu importe la personne avec laquelle il décide de se mettre en couple, pour lui, ce n'est jamais du sérieux.
    Le jeune homme comprit rapidement qu'elle n'était pas d'humeur à rire. Dommage ; elle ne pourrait pas entendre la belle légende sur l'Université qu'il lui aurait inventé au fur et à mesure. Ça aurait sans doute donner quelque chose comme depuis que quelqu'un c'est suicidé dans l'université, son esprit hante les couloirs pendants les nuits sombres d'automne.
    « Je marchais, je suis atteris devant la bâtisse puis j'ai décidé de rentrer ici... »
    Il ne précisa pas ce qu'il avait fait, tout juste avant de marcher, c'est-à-dire la petite partie de strap-poker qui avait été, ma foi, assez chaude. Elle n'avait pas à le savoir, non ? Elle, disait-elle tout les détails de ces soirées à Maxwell ? Certainement pas. Parce qu'il avait l'impression qu'elle lui mentait toujours. Mais il s'en fichait. Lui non plus n'était pas dupe à l'attitude de la jeune femme. C'est pourquoi, lorsqu'elle lui répondit qu'elle ne voyait pas du tout de quoi il parlait, il la regarda d'une manière indifférente.
    « ''Je ne vois pas du tout de quoi tu parles ''. Je ne te crois pas ; tu vois très bien de quoi je parles. Ton petit jeu n'a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais sur moi. »
    C'était dit d'une manière directe. Quand allait-elle comprendre qu'il lit en elle comme un livre ouvert ? Malgrés le fait qu'elle aille rapproché ses jambes vers sa potrine, il baissa légèrement les yeux de manière subtile, pour que Carroll ne le remarque pas, vers le décolté de cette dernière. Il observa sa poitrine un bref instant en s'imaginant certaines choses, mais sortit rapidement de ses pensées lorsqu'il comprit que la jeune femme l'avait sans doute remarqué. Il tenta de la regarder dans les yeux, mais elle détournait le regard. Finalement, après quelques minutes de silence, il dit :
    « Alors, c'est simple ; regardes-moi dans les yeux et jures moi que tu n'as rien ou dis moi ce qui ne va pas. À toi de voir. »
    Dit-il d'une voix douce mais qui se voulait d'insister. Il voulait se montrer gentil, comme à chaque fois, mais réussir à la convaincre de lui parler et de lui dire la vérité, pour une fois. Ces mots, ces phrases, ces paroles, Maxwell les avait déjà dit à Carrol à maintes et maintes reprises. Chaque fois, c'était les mêmes réponses. Si elle décidait la première possibilité que Maxwell lui offrait, elle le regardait dans les yeux en jurant qu'elle allait bien. Sinon, elle prenait la seconde et lui disait, lui invantait quelque chose qui n'allait pas. Bref, dans chacuns des cas, ça revenait au même parce qu'à chaque fois, elle lui mentait et il le savait.
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MessageSujet: Re: When the lion cry {Maxwell} When the lion cry {Maxwell} EmptyMer 17 Déc - 19:00

When the lion cry {Maxwell} Ggyayleighton
©️ Somehearts_x3
« Les aléas du coeur sont parfois imprévisibles...»


    Caroll sait pertinnament quel genre d'homme est Maxwell. Le genre a aller de fille en fille en ayant peur de s'engager. Le genre a être rongé par la peur d'aimer et d'être dépandant vis a vis de quelqu'un d'autre, de décevoir l'autre ou de devoir rendre des comptes. SON genre. Parce qu'après tout, depuis la mort de ses parents, la jeune Venn n'est plus vraiment du genre à s'engager. Seulement, depuis qu'elle connaissait Maxwell, elle avait toujours eu cette envie d'être un peu plus qu'une fille qu'il mettrait dans son lit. Est-ce que cela incluait pour autant une relation exclusive et amoureuse? Sans doute pas. Bien que la jeune femme savait pertinnemment que plus elle se rapprochait de lui, plus elle risquait d'en tomber définitivement amoureuse avec le temps, elle savait aussi qu'elle pourrait aisement supporter et accepter une relation non-exclusive. Mais une relation quand même. Pas je couche,je plaque ca non. Car le jeune Maxwell faisait partie du paysage de la vie de la jeune femme à présent. Elle savait qu'elle aurait du mal a le laisser s'en aller.
    C'était absurde de sa part de prétendre avoir un quelconque interêt dans la vie du jeune Atwootdh. Elle savait que, bien qu'il représente quelque chose pour elle, quelque chose d'encore non défini et flou, il n'en était pas de même pour lui. Aussi se montrait désagréable envers lui, l'aidait à ne pas se faire d'illusion sur ce que leur relation représentait. C'était un début d'amitié sans vraiment en être une, un interet plus ou moins réciproque mais qui n'évoluait pas, stoppé par les remarques incessantes et l'humeur massacrante de la jeune femme. Elle était consciente qu'elle finirait par lasser le jeune homme un jour ou l'autre et peut-être était-ce qu'elle désirait après tout, bien qu'elle est besoin du jeune homme dans cette période difficile de sa vie. Elle était donc partagée entre deux sentiments contraires, complexes et ne savait pas vraiment ou elle en était.
    Quoi qu'il en soit, elle n'avait pas vraiment envie de voir Maxwell ce soir. Comme àchaque fois qu'elle était en position de faiblesse, la jeune femme n'aimaity pas se montrer aux yeux de quiconque dans un de ses élans dévastateurs. Surtout pas lui. Elle ne voulait pas se montrer face à lui comme une pauvre petite créature fragile. Elle était forte. Elle n'avait besoin de personne, du moins elle s'en convainquait autant que ce fusse possible.
    UC
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