| | | « I was thinking of places that I could hide » JENNY. |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: « I was thinking of places that I could hide » JENNY. Mer 15 Oct - 4:33 | |
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Playa Y Cocoteros, voilà un endroit dont Charles s'ennuyait. Il avait beau ne pas trop vouloir afficher son air de millionnaire, cette plage privée avait toujours été son petit paradis terrestre. Durant son escapade, sa fugue en d'autres mots, le jeune homme avait pu voir les plages de Cuba, de Croatie, du El Salvador ou de l'Espagne. Le tour du monde, il l'avait probablement fait sans vraiment s'en rendre compte. Tout ces beaux morceaux de terre et d'eau étaient splendides, il n'y avait même pas de mots justes pour décrire les plus beaux endroits de la Terre. Mais il n'y a jamais rien de plus beau que chez soi, quand on revient après des années d'absence. Charles était le mieux placé pour parler, en ce moment. Après être parti de chez lui pendant neuf ans sans avertir qui que ce soit, pour des raisons personnelles, il revenait finalement au bercail. C'était plus difficile qu'il ne l'aurait pensé de revoir tous ses amis, profondément déçus de son geste, ses parents, qui lui en voulaient à mort. Toute son enfance refaisait surface tout d'un coup, alors qu'il ne s'y était pas vraiment préparé. Heureusement que Playa Y Cocoteros l'acceuillerait toujours à bras ouverts, elle. Enfin, si les plages avaient des bras, évidemment.
Le jeune millionnaire était torse nu, portant son maillot de bain rapporté de Saint-Martin - la baie aux prunes est splendide, si le voyage vous intéresse - et sa serviette de l'hôtel sur l'épaule gauche. Il avait un verre de Tequila Sunrise à la main, et il regarda le magnifique paysage qui s'étendait sous ses yeux. Une belle journée ensoleillée venait de se lever sur San Francisco, et Charles comptait bien profiter de celle-ci pour se ressourcer. Tout allait pour le mieux et il se sentait des plus zen jusqu'à ce qu'il apperçoit cette ravissante jeune demoiselle dans son beau bikini très féminin. Elle avait beau être aussi belle que la mer, elle restait Jenny Dunharft. Son ancienne voisine, qu'il avait volontairement traumatisée dans sa jeunesse. Il devait avoir environ onze ou douze ans lorsqu'il était pénétré chez elle par sa chambre, un soir de nuit. Le petit gamin savait que ses parents étaient partis à une soirée, tout comme les siens. Il avait donc profité de l'opportunité pour foutre la frousse à sa petite voisine qui ne voulait jamais jouer aux superhéros avec lui. En se faisant passer pour un voleur fou furieux, je peux vous assurer que Jenny n'oublia jamais cette soirée. Depuis, ils se détestent, mais Charles ne regrettera jamais son geste. L'expression qu'elle avait arboré tout le long de la blague valait de l'or.
Tout de même, il tenta de l'éviter. Pas qu'il avait peur d'elle, seulement, dialoguer avec sa petite princesse ne faisait pas vraiment parti de ses plans de relaxation. C'est pourquoi il se mit dos à sa chevelure brune qui étincellait au soleil, et il alla se trouver une chaise longue où il pourrait se faire griller, et peut-être dormir pendant quelques dizaines de minutes. Ou bien il commencerait son livre dédicacé par l'auteur lui-même, en personne. Ça, c'était si mademoiselle ne se rendait pas compte de sa présence et ne venait donc pas l'interrompre pour venir chialer à propos de son retour.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: « I was thinking of places that I could hide » JENNY. Ven 17 Oct - 0:08 | |
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Les cours. Jenny n'y fesait pas exeptions, elle devait s'y rendre à chaque jour.C'était bien pour cela qu'elle vivait à Berkeley près de l'université.Bien qu'elle aurait voulu le croire, elle n'est pas ici pour faire la fête tous les soirs, et non, l'avenir l'appelle.Au moins, elle avait la chance d'aller à l'université, de profiter un peu de la liberté de responsabilités, et la chance de ne pas finir sa vie à travaillée au dépanneur au coin de la rue.Mais comme dans toutes bonnes choses, il y en a des mauvaises.Les vacances, c'était finit pour la jeune femme, il fallait bosser et surtout réussir, mais qui a dit que la fin de semaine alors que l'on oublie nos professeurs pour un maigre quarante-huit heures, on pouvait se croire encore au mois d'août, où le seul mots qui rime est sortie.Ici, en Californie, on ne connaît pas les rûdiments de l'hiver, même si certains sentent un léger baissement de température, personne ne s'empêchera de tremper ses pieds à l'eau.Et ayant grandis dans cet états, la jolie blonde ne voulait rien savoir de la neige et du temps froid.Alors vive le sable et l'eau chaude californienne ! C'est en ce beau samedi avant-midi, alors que le soleil brillait dans le ciel bleu, sans tâches blanches, que Jenny, habillée d'un bikini turquoise épousant les formes de son corps, d'un short et d'un top à fines bretelles blanches, pris la direction de Playa Y Cocoteros.Certes, ce n'était pas l'habitude de notre jeune Jenny de se rendre sur la plage la plus huppée de San Francsico, mais voulant ne pas gâcher sa journée avec des "indésirables", comme elle s'amusait à les appelée, elle choisis l'intimité d'une plage payante.Elle s'aventura donc sur le sable chaud, souriante face à sa brillante idée.Mais le malheur ne tombe jamais longtemps après les réjouissante.C'était toujours la même chose selon la jolie universitaire.On n'a pas le temps de sauter de joie que l'on est déjà en train de s'arracher les cheveux, mais heureusement, chaque règle a des exceptions.Revenons donc à Jenny et à celui qui a littéralement gâcher sa journée, et j'ai nommé Charles J. Mercury.Il n'y avait pas seulement qu'il ait été son voisins plus jeune, il faillait qu'il soit à la même plage qu'elle.Sa relation avec se fameux voisin n'a jamais été bonne, elle les détestait, et elle le déteste encore.Losqu'ils étaient encore des gosses, Charles lui avait fait vivre la plus grande peur de sa vie.Selon lui c'était seulement une blague, mais Jenny ne l'avait pas pris de la sorte.C'était une soirée où les parents de la jeune blonde étaient sortit.Alors qu'elle était tranquille dans sa chambre, elle entendit du bruit, et elle vit Charles, qu'elle prit automatiquement pour un voleur fou.Après ça, elle n'eut jamais voulu rejouer avec lui.- Je me suis donc réjouie de ton déménagement trop vite !Jenny profita de l'occasion pour aller l'embêter un peu.Elle a beau ne pas l'apprécier, elle était trop tenter d'aller lui faire un petit bonjour d'ancien voisin juste en passant, pour se remémorer le passé peut-être.L'étudiante le regarda de haut, si on le prend au premier degré, car lui assis sur sa chaise longue, ne dépassait guère la jolie blonde.Elle avait un petit sourire aux coins de lèvres, que quiconque définirait de moqueur et ses lunettes de soleil cachait ses yeux, qui si elle n'était pas la, laissera voir un regard rancunier.Qui pensait qu'elle allait rencontré ses vieux démons sur une plage privée ? |
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