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Show must go on

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MessageSujet: Re: Show must go on Show must go on - Page 2 EmptyMar 26 Mai - 19:40


    Andrew & Edea

    « Show must go on »


    Il y avait certains films que j’avais pu voir, avec des patrons jeunes, et des jeunes employées, des histoires où tous les opposes et finissent dans les bras l’un de l’autre. Seulement, les patrons étaient beaux et riches, ce qui semblait être le cas d’Andrew, mais les jeunes femmes, souvent des prudes, catholiques croyantes et pratiquantes, n’ayant jamais approché un homme de leur vie. Ce qui ‘n’était absolument pas mon cas. Bien au contraire, des hommes j’en avais connu, il n’y en avait eu qu’un seul avec qui j’avais eu une attache, et c’était un amour de jeunesse, voire d’adolescente. J’avais à peine seize ans à cette époque. Quand je regardais ce genre de film, je soupirais. Non pas que j’espérais que ça m’arriverait à moi, juste que je trouvais ce genre de femmes beaucoup trop naïve, sans caractère. Et pourtant aujourd’hui, je me voyais bien débarrasser le bureau d’une main pour laisser mon imaginaire passer à l’acte. Mais pas au premier rendez-vous, encore moins avec ce jour qui était la signature de mon contrat. Même si mon imagination allait bien plus vite que mes actes, je n’étais pas de ces jeunes femmes faciles où en claquant des doigts on obtenait ce qu’on voulait d’elle. Si je décidais que cela se passe comme cela, c’était parce que je décidais de l’allure à laquelle les choses se déroulaient, et ce n’était surement pas l’homme, ou l’amant de l’instant qui déciderait. Mais la question n’était pas là ici, certes j’avais envie de le charmer, et tout était à mon avantage. Aussi bien pour l’image que je donnais, une femme d’assurance qui savait ce qu’elle voulait au lieu d’une femme timide et perdue ; une femme qui assume son image aussi, une jeune femme mal dans sa peau ne pouvait pas se permettre de mettre en avant une image d’une marque. Ou alors si, mais elle ne serait pas mise en valeur comme elle le devrait. Je n’aimais pas qu’on me considère juste comme une image, un physique, mais je savais tout de même en profiter de ce physique que la nature m’avait offerte. J’en prenais soin aussi, aussi bien par la cosmétique, mais par les footings matinaux, ou par quelques séances de sport en salle. Tout comme je ne m’empiffrais non plus de gâteaux, de fast-food, ou de trucs trop gras. Les kilos allaient parfois plus vite que la vitesse du son encore. D’ailleurs, j’avais parlé avec Andrew de venir au essayage de robes qu’il ne semblait pas décliner, cela me ravie. Et je ne préférais rien ajouter. Loin de moi l’envie de passer pour une jeune femme lourde ou superficielle. Je me contentais de sourire, réalisant que je venais de gagner un point à son égard. Enfin si l’on pouvait appeler cela comme ça.
    On continuait à parler des affaires, et du lien possible avec la famille. Surement que cela pouvait aller de pair, mais pas quand on avait des parents comme les miens. Mon père, hors mis profiter de la jeune gamine que j’étais, ne m’accordait pas l’attention que je méritais. Et ma mère n’y connaissait surement rien au monde des affaires. Mon père avait toujours profité de cette situation pour prétexter des voyages, mais je me doutais bien qu’il n’y avait pas que pour les affaires qu’il partait. Mais ma mère était bien la première à fermer les yeux pour préserver sa belle fausse image de la famille parfaite. Qu’ils brûlent en enfer ces deux-là. J’espérais être bien conseillée. Je ne voulais pas être viré de l’entreprise à cause de chose que je ne connaissais pas. « Et comme je pense que les produits risquent d’être un succès, je préfère être optimiste, la marque sera un succès avant même d’être en magasin. Je ne cherche pas à mettre la charrue avant les bœufs, mais je sais que mes vidéos arrivent à avoir de l’impact. C’est aussi le but de mes vidéos de toute façon. » Il n’y avait qu’à voir à chaque fois les commentaires sous mes vidéos. Les trois quart des jeunes femmes regardant et commentant, jurées d’aller tester le produit en allant les acheter. Et en prime, si je devais être un peu manipulatrice pour aider l’entreprise, à faire de la marque un vrai succès, grâce à ma participation, je le ferais sans aucun problème. Mes petits démons n’étaient jamais très loin de moi, et je savais les sortir en cas de besoin.

    Avec Andrew, on allait quitter le bureau pour manger un petit truc ensemble, une façon aussi de mieux se connaitre. Les regards des femmes de l’entreprise étaient assez comiques à voir, ce qui valut quelques questions à Andrew. Les femmes entre elles, c’était une vraie catastrophe, et surtout des langues de vipères également. Ça commençait bien pour un premier jour. « Si tous les patrons agissaient comme toi, il y aurait plus de gens heureux au travail je pense. » Il n’était pas rare d’entendre des suicides à cause des conditions de travails. « ça serait dommage que je fasse déjà partie de ses ragots alors que je n’ai même pas encore commencer, mais je ne vais regretter non plus. C’est bien mieux de connaitre les gens avec qui l’on travaille. » En parlant tout en marchant, je n’avais pas spécialement qu’on était déjà arrivée, que l’on s’installait dans le restaurant. Je lui demandais ce que ça faisait d’être un si jeune patron, et les réponses me surpris, sans trop m’étonnée non plus. Je l’imaginais très bien en étudiant un peu dévergondé. Cela me faisait rire. « Je me doute que les responsabilités que tu as au quotidien ne doit pas être drôle tous les jours. Mais avoue quand même que ça a ses avantages non ? Je suis sûr que quand tu rencontres des gens en dehors du travail, tu annonces que tu es le boss de Wall-Mart, ça impose quand même.. » Je voulais même préciser que pour emballer des filles ça devait également être plus facile avec un statut de ce genre. Mais j’avais peur que cela soit trop déplacé, surtout sans le connaitre un minimum. « Pour ce qui est des fêtes, je connais assez bien New York pour savoir où allait pour faire la fête, je pourrais te montrer les endroits à l’occasion. » J’adorais sortir et m’amuser, et ayant été barmaid à New York, je connaissais les bonnes adresses et les bons bars justement pour ça. Ça pouvait paraitre déplacé de proposer cela à son patron, mais à l’heure actuelle, j’étais Edea et il était Andrew, et pas le patron et son employée. Et puis dans le pire des cas, mon contrat était signé. Le serveur approchait pour servir nos verres de vin, que je levais en le regardant dans les yeux. Je ne lâchais pas un seul instant. « A notre collaboration, et un grand merci à toi pour m’avoir donné une chance. » Nos verres claquaient l’un contre l’autre, détendue, et prête pour une nouvelle aventure pour peut-être une nouvelle vie.

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MessageSujet: Re: Show must go on Show must go on - Page 2 EmptyMar 2 Juin - 14:58



    On sait tous qu'entre la réalité et les films la frontière peut être aussi grande que légère, mais avec les temps qui courent et surtout la légalité américaine, Andrew va devoir se méfier de Edea. Car sous cette carapace presque angélique, les filles comme elle sont des démons. Elles ont se pouvoir qui fait qu'aucun homme ne peut leur résister, puis ensuite elles se servent de ça pour les faire chanter. Non pas que j'annonce qu'Edea fait partie de ce genre de nana, ni que Drew le pense, mais il y pense et se méfie toujours. Quand il était jeune il devait faire attention à ce que les amis et fréquentations qu'il a ne soient pas là uniquement pour son argent. Lui s'en moquait pas mal, il se disait qu'au pire des cas ils seraient là pour son argent et après? Il en avait tellement et ils n'allaient pas tout lui prendre. Donc Andrew avait toujours fait la même chose, avancer sans faire attention à ce qu'on lui dit et c'est comme ça qu'il a fait les plus belles rencontres. Thea qui est maintenant l'une de ses meilleures amies était aux yeux de ses amis d'enfance un parasite. Uniquement là pour qu'il lui fournisse de la bonne drogue et du bon alcool, quand elle en aurait assez elle partirait. Et depuis la mort de son père elle n'avait cessée d'être là pour lui, l'épaulant le jour où il avait atterri à New-York, prenant une cuite avec lui quand ses anciens amis eux n'osaient pas le déranger. Les belles rencontres sont souvent celle que l'on fait au cours de la vie, le plus souvent des gens que l'on aurait jamais du rencontrer. Pas le même style de vie, pas la même vie tout court et pourtant Andrew sentait qu'Edea était un bon pari, un très bon pari même. Le fait qu'elle puisse apporter quelque chose à son entreprise couplé au fait que sexuellement elle puisse lui apporter quelque chose rajoutait au pari. Il allait la voir souvent, elle allait certainement l'accompagner à certains galas histoire de présenter la marque et les produits. Alors une bonne soirée, un peu arrosée, avec deux personnes du même âge, légèrement attiré et totalement attiré sexuellement ça peut faire des chocapics.
    Mais revenons en à nos moutons la collaboration débute à peine et si Andrew venait à se planter totalement elle prendrait fin aussi vite qu'elle avait commencé. " Je ne sais pas, je touche du bois. La dernière chose que j'ai sorti dans l'entreprise et qui n'était pas encore fait par mon père ou mon grand-père, n'est pas un franc succès. Un petit succès, mais c'est un bon début, il faut juste changer les mœurs des gens, qu'ils se disent qu'ils vont chez Wal-Mart et qui peuvent tout trouver. Pas seulement du bas de gamme et de la nourriture." on voyait qu'il était passionné, il adorait son nouveau métier, puis diriger était quelque chose qu'il avait dans le sang alors son charisme naturel était le bienvenue. Edea lui faisait du charme, il en avait l'habitude et le voyait bien. Pour le moment il ne faisait rien, ne laissant rien paraitre et surtout pas l'impression qu'elle lui plaise. Bon c'était forcement très difficile à cacher vu qu'aucun homme sur cette terre pouvait la trouver quelconque et pas attirante. Elle avait tout pour elle, blonde, grande, faite comme une déesse, il se demandait même pourquoi elle n'était pas mannequin. Le genre de femmes comme ça il n'y en a pas des masses, classe, belle, mais pas trop maigre. Alors si en plus elle était prête à mentir ou simplement déformer la vérité pour mettre en avant les produits de la marque alors là il avait touché le pompon. Il ne lui en demandait pas temps, il la voulait simplement objective, si elle faisait de trop bonnes critiques sur le produit et que derrière l'on apprenne qu'elle en est à la base, elle perdrait toute crédibilité. Le résultat serait catastrophique pour elle, plus de boulot chez Wal-Mart et surtout une perte de crédibilité qui se verrait immédiatement dans le nombre de vues. Pas de mensonge, si le produit est mauvais ils feraient tout pour le rendre bon. Les moyens sont presque illimités, mais ça elle doit l'ignorer et le maximum de temps. Le meilleur moyen d'être riche, c'est de toujours faire des économies, un bon moyen de gagner toujours plus de thune. " Alors là c'est un point de vue, certaines personnes ici n'aime pas que je sois trop proche d'eux, ils sont mal à l'aise. Donc après je ne vais pas changer, je suis comme ça, pour moi c'est le plus simple et le plus naturel. Ils s'y habitueront, où demanderont à partir." il avait proposé à tout le monde un départ anticipé. Une prime de départ et un cadeau de départ, ceux qui ne voulaient pas bosser pour lui n'allaient pas être forcer. Au final seul deux personnes proches de la retraite avaient choisi de partir, c'est qu'ils croyaient en lui, ou tout simplement qu'ils avaient besoin de l'argent qu'il allait leur offrir en salaire. " Les ragots, j'en entends jamais parler, ils ont l'importance que l'on y porte. Je sais de quoi je parle vu tout ce que l'on lit sur moi dans les magasines. Les trois quarts sont faux et l'autre quart est pas forcement vrai" dit-il en affichant un léger sourire. Le trajet vers le restaurant était cours et le fait de discuter n'avait fait qu'accentuer cette sensation, ils étaient installés et allaient pouvoir enfin lever une coupe à leur nouvelle collaboration. " Bah tu vois le plaisir de dire dans quoi tu bosses, de laisser un peu de mystère. Je n'y ai pas le droit, on me connait, je ne vais pas dire tout le monde. Mais ceux qui lisent un minimum la presse ou ceux qui on récemment regardé la télé, ils savent qui je suis." il pensait ce qu'il disait, être riche et célèbre n'était pas forcement la chose la plus agréable, il aurait préféré être simplement riche, laissant la célébrité à ceux qui la veulent. " Pourquoi pas! J'ai vécu pas mal de temps sur New-York, toute ma jeunesse, mais il doit y avoir pas mal de nouveaux coins, je te suivrai avec plaisir." c'était un moyen de la voir dans d'autres circonstances et un Andrew sous alcool avec une nana comme ça allait faire de gros dégâts. Après il n'allait pas aborder le sujet de la future boite de nuit branché de la ville, celle qu'il souhaite construire avec Aiden, surtout qu'ils allaient devoir rester anonyme. " Aux millions de femmes que tu vas rendre heureuses avec tes produits" joignant le levé de verre à la parole.

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MessageSujet: Re: Show must go on Show must go on - Page 2 EmptyJeu 22 Oct - 22:32

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