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le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a.

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Stana N. S. Dickens
there's no place like berkeley
Stana N. S. Dickens
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MessageSujet: le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. EmptyVen 27 Fév - 1:32


     

     
❝Andrew x Elzbieta

     
   ♡ Résidences étudiantes ▶ Je préfère mourir debout que vivre à genoux.

     Mon dernier souvenir : être à cette fête organisée par les omégas, avoir pris ce verre servi par un homme que je ne connaissais ni d’Adam ni d’Eve, et surtout de cette chanson de Michael Jackson qui passait à ce moment-là. D’ailleurs, elle est encore en train de passer dans ma tête là. Pourtant, je ne suis plus à la soirée. Je suis bien loin d’y être. Je suis quelque part dans l’université, ça c’est certain. Mais qu’est-ce que j’ai bien pu faire ? J’étais sur le sol. Un sol étrangement très froid. Et j’en compris la raison, lorsque je me vis en sous-vêtements. Je fis les gros yeux. Je ne savais pas ce qui m’était arrivée, et ça commençait à me faire peur. Je me voyais déjà avoir été droguée, et qu’un homme ait profité de moi. Oui, je regarde surement trop la télé, mais ça peut très bien arrivé dans la réalité. Les hommes sont trop fous, et les scénarios de films peuvent leur donner des idées. C’est bien pour cela que j’évite d’écrire des choses trop bizarres. J’ai trop peur que cela donne des idées à des personnes atteintes. Une fois relevée, je tentais de mettre un pied devant l’autre, mais c’était compliqué. Ma tête me faisait horriblement mal, et mes yeux ne m’autorisaient pas à voir clair. Tout ce que j’arrivais à voir c’était des couloirs flous. Je me frottais les yeux, pensant que ça aiderait mais en vain. Je marchais donc sans savoir où j’allais, jusqu’à ce que je bute sur quelque chose… ou quelqu’un ? Oui parce que la chose venait tout juste de bouger lorsque je l’avais percuté. Je vis alors un monstre se lever. Je regardais… ah non : ce n’est qu’un homme ! Ouf ! Ah non j’ai parlé trop tôt ! Il peut s’agir de mon drogueur ! Je le regardais, mais je ne voyais qu’une silhouette nue aussi ! C’est bon, il a vraiment profité de moi. Mon fort intérieur parla en premier : je lui donnais une jolie claque, avant même de sortir un mot de ma bouche. Mais alors que je me retrouvais plus près de lui, je reconnus son visage. Andrew. Oups. Je lui posais alors un gros bisou sur la joue que j’avais claqué. Pour enfin lui dire « Tu sais si tu voulais mon corps, t’avais pas besoin de me droguer, je te l’aurais donné volontiers. » Je ne me souvenais de rien, et c’était fort dommage. Surtout si nous avions vraiment fait quelque chose ensemble. Quelle dommage de ne pas pouvoir se souvenir d’un tel moment avec un homme si sexy. Je passais ma main sur son torse, tout en le regardant et en mordillant ma lèvre. « Bon et sérieusement, il s’est passé quoi là ? Parce que… Bah je ne me souviens de rien moi ! » Lui demandais-je tout en baissant ma tête. Parce que j’avais un peu honte de cet état d’amnésie. « Et puis, pourquoi on est à moitié à poil d’abord ? » Trop de questions pour lui, mais aussi pour moi. Mes propres questions me donnaient le vertige. Je soufflais un bon coup pour ne pas retomber au sol. Je dois rester fort devant cet homme. Je suis aussi forte que lui ! D’ailleurs pour le lui montrer je lui donnais un coup sur l’épaule, mais je n’avais pas maitrisé ma force et je me retrouvais à avoir mal à la main. Ah mais quelle honte je me fous moi. Il faut que j’arrête.

     
❝ Il faudrait comprendre que les choses sont sans espoir et être pourtant décidé à les changer. ❞
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MessageSujet: Re: le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. EmptyVen 27 Fév - 15:58





le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. Tumblr_lxkvxz2z6Q1qe4ivdo1_500 le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. Tumblr_mxij7oyZUp1qffcrao1_500

Des souvenirs, voilà des choses qu'il n'avait plus du tout. Il avait passé une soirée chez les Omegas sa confrérie, il se rappelle encore l'avoir organisé, se rappelle même ce qu'il y avait de prévu pour que la soirée reste mémorable. Mais à en croire son état ce matin, elle n'avait pas été mémorable du tout, ou peut être avait il tellement bu qu'il ne s'en souvenait pas, il se connaissait bien et savait que s'il n'avait pas la nausée il était resté très soft. Ce matin à part un froid glacial dans le bas de son dos et un mal de tête il n'avait rien d'autre. Se retrouver quasiment nu dans un endroit inconnu ne le choquait pas, cela lui arrivait au moins une fois par mois pour ne pas dire une fois par semaine. Mais cette fois-ci c'était bien plus étrange, il s'était réveillé dans un couloir de l'université, heureusement pour lui nous étions dimanche matin et à part une femme de ménage il ne devait y avoir personne. Il avait dormit d'une façon très bizarre, les pieds en l'air la tête par terre ce qui expliquait surement le mal de dos qu'il pouvait avoir une fois debout. Se dirigeant vers la glace la plus proche il observa difficilement son corps et sa tête, un bleu sur le visage comme il lui arrivait souvent d'en avoir un, marque d'un coup? Il était tellement déchiré quand il buvait qu'il en doutait vraiment beaucoup, il avait dû se cogner dans les couloirs de l'université et ensuite tomber par terre. L'explication de sa présence ici était toute trouvée, quand au fait qu'il était à moitié à poil avec seulement un boxer sur lui, oui là c'était plus difficile à expliquer, mais il ne fallait pas pour autant limiter son côté exhibitionniste qui prenait souvent le dessus quand il se retrouvait en soirée. Donc non contrairement à la jeune femme présente dans les couloirs dont il ignorait encore la présence, lui n'était pas surpris de se voir ici, un peu embêté c'est certains, mais loin d'être surpris.

Trainant des pieds dans les couloirs qu'il connaissait que trop bien, il marchait à tâtons, souvent les yeux fermés par flemme de les ouvrir, mais quand ils étaient ouverts c'était encore pire, le peu de lumière lui brulait la rétine. Rentrait à son appartement allait être l'enfer surtout que lui ne vivait pas sur le campus. Enfin pour le moment il s'en sortait bien puisqu'il n'y avait personne ici, enfin c'est ce qu'il pensait avant de se faire percuter par quelqu'un et surtout de prendre dans la foulée une belle gifle comme on prenait rarement dans sa vie. Ses yeux s'ouvrir d'un coup et il vit planter devant lui la belle blonde de Elzbieta. Elle aussi était très peu vêtu ce qui lui fit ouvrir encore un peu plus les yeux, il aimait les belles femmes et elle était classée très largement dans cette catégorie. Ne comprenant pas forcement pourquoi il venait de prendre une claque, il lui sourit néanmoins en écoutant ce qu'elle avait à dire. Il comprit très vite pourquoi elle en avait après lui, elle était dans le même état que lui sans un seul souvenir et il se mit à rire en entendant ce qu'elle lui reprochait.


    Et toi tu crois qu'avec ton physique tu as besoin de droguer un jeune homme comme moi? Je comprends que mon nom puisse intimider, mais on se serait bien plus amusé en ayant des souvenirs que en n'en n'ayant pas!

Nombreuses sont les femmes qui ont peur de lui simplement parce que c'est un Walton, à croire que ce nom évoque peur et meurtres. Et pourtant non c'est un nom d'une famille qui a fait de l'argent en commençant par vendre des produits discount, destinés à augmenter le pouvoir d'achat des familles de tranches moyennes d'Amérique. Bien sûr maintenant le projet avait disparu et avait laissé place à des supermarché plus luxueux les uns que les autres.
Il fut soulagé de voir qu'elle aussi ne se souvenait de rien, une drogue qui avait touché la masse? Les Omegas n'avaient pas de limites et Drew non plus, mais droguer toutes les personnes venues à leur fête n'était pas une chose dont ils avaient envie de faire. Alors que c'était il passé pour que deux personnes se retrouvent au même endroit sans se souvenir de rien? Et bien le problème avec les trous de mémoire c'est qu'il est rare de les combler, ils allaient devoir faire avec.


    Alors là je ne peux répondre à aucunes de tes questions. Après perdre la mémoire me retrouver à moitié à poil dans un endroit dont je ne me souviens plus, ça peut m'arriver. Mais le fait qu'on soit tous les deux dans le même états me choc un peu plus.

Il avait une foutue chanson dans la tête, une chanson de Mickael Jackson, déjà qu'il n'aimait pas cet artiste, mais l'avoir en boucle dans la tête était un véritable calvaire. Scrutant la jeune femme en face de lui il se demandait encore pourquoi il ne se rappelait de rien et se demandaient aussi s'ils avaient couché ensemble. Oublier une partie de jambe en l'air avec ce genre de belle plante était une chose à ne pas faire, un blasphème même. Puis fendant l'absence de bruit.


    Puis putain j'ai cette chanson de Mickael Jackson dans la tête, un enfer!

Il était très loin de se douter que cette information allait surprendre la belle blonde qui elle aussi avait cette musique en tête.
.


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Stana N. S. Dickens
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MessageSujet: Re: le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. le bonheur n'est pas d'avoir ce que l'on désire, mais d'apprécier ce que l'on a. EmptyMar 10 Mar - 13:38


     

     
❝Andrew x Elzbieta

     
   ♡ Résidences étudiantes ▶ Je préfère mourir debout que vivre à genoux.

     musique C’était la première fois que cette chose-là m’arrivait : ne plus me souvenir de ma soirée. Et je devais l’avouer que ça m’angoissait un peu. A mon réveil, j’eus la frousse comme pas possible, mais lorsque je vis Andrew dans le même état que moi, ça me rassura un peu. Au moins il ne s’agissait pas d’un inconnu. Et si j’avais fait quelque chose avec lui, je ne pourrais pas le regretter. Il est plutôt beau gosse. Je serais juste déçue de ne pas m’en souvenir. Mais pas de m’être donnée à lui. Bon, aux premiers abords je lui en voulus, car je crus qu’il m’avait droguée juste pour faire ce qu’il veut de moi. Or, c’est loin d’être le cas. Car il semblait penser que je l’avais drogué lui. Mais c’est quoi cette histoire. Qui donc pourrait droguer deux personnes ? C’est con. A moins qu’on ne l’ait fait juste pour pouvoir nous manipuler. Si ça se trouve on a fait des choses bien plus illégales que de la drogue. Oh putain. Je regardais le jeune homme pour ne pas trop penser à mes idées. Je pense que je regarde trop de séries. Si ça se trouve on nous a fait ça juste pour rire. Sans arrières mauvaises pensées. Je souris au jeune homme. « Ton nom ? C’est quoi ton nom ? Monsieur Prétentieux comme pas deux ? » Eh bah quoi ? Est-ce une faute de ne pas connaitre son nom ? Je connais son prénom : Andrew, et ça me convient. C’est obligatoire de connaitre son nom ? Apparemment… vu ce qu’il venait de dire. Seulement, je suis bien mieux en ne sachant pas les noms des gens. Au moins je suis sur de ne pas les juger juste à cause de leur famille. Je ne voulais même pas savoir la famille d’Andrew. La seule chose que je voudrais savoir pour l’instant, c’est : comment est-ce qu’on en est arrivé là, et surtout, qu’est-ce qu’on a bien pu faire ensembles. Lorsque le jeune homme me dit qu’il était habitué à ne pas se souvenir de ses soirées, à se retrouver à moitié à poil, je ne sut pas trop comment le prendre. Est-ce que je devais en rire ? Ou avoir plutôt peur de ce mec. C’est quand même un peu glauque d’être habitué à ce genre de choses, non ? Bon apparemment ça ne choque que moi. « C’est quoi la toute toute dernière chose dont tu te souviennes ? » Voir si on a été drogué en même temps, ou à une heure différente et qu’il ne s’agit que d’une coïncidence. De mon côté, j’essayais de me remémorer aussi ma soirée, et de voir quel était mon dernier souvenir. Ah oui, je buvais cette boisson qu’on m’avait donnée, pendant que… ah voilà. C’est la raison de pourquoi j’ai la chanson du roi de la pop dans la tête. C’est mon dernier souvenir. Alors quand Andrew annonça qu’il l’avait aussi dans la tête, je le regardais soudainement, surprise. « Ah ouais toi aussi ? » Je me mis à faire les quatre cents pas devant lui, pour réfléchir. Mais à quoi bon ? Puis plus le temps passait, plus je commençais à avoir un peu froid. Il ne faut pas oublier que nous étions tous les deux en sous-vêtements. Je regardais autour de nous, et aucun de nos vêtements ne semblaient être à proximité. Heureusement nous étions dans une résidence. Alors, je m’avançais vers une porte, l’ouvris. « Y a quelqu’un ? » N’ayant pas de réponses, j’entrais, et je pris un vêtement qui était là. Juste pour me réchauffer un peu. Heureusement il s’agissait d’une chambre de fille. Puis je ressorti de la chambre pour retrouver Andrew. « Bon on fait quoi maintenant ? » Mes yeux se baladèrent encore sur le corps parfait d’Andrew. Ah quelle honte de ne pas se souvenir de ma soirée. J’aurais tellement aimé savoir ce que j’avais fait avec son corps. Et surtout : si j’avais fait quelque chose. Mais je me connaissais, je n’aurais pas pu rester indifférente à ce genre de personnages là. Obligé que j’ai tenté quelque chose. Bien que je ne sache pas comment je suis droguée. Si ça se trouve je suis coincée comme un cul.

     
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