Je me réveillais rapidement à vrai dire j’étais loin de rester dans mon lit étant donné qu'en plus de cela j’avais les courts, les courts ... Me suis-je rappelé, comment es que cette journée va commencer, je me posais sans cesse des questions sans réponses c’était pour moi une évidence de m’en posé, tout de même mon corps allongé sous les draps m’exposant une douce chaleur que je n’aurais sans doute pas en retirant lentement c’est derniers, je ressentis immédiatement le froid percuter en plein fouet mon fragile corps lâchant sans retenir pour ma personne « Luna, réveille-toi bordel. » Je secouais alors rapidement mon visage de droite à gauche l’idée de revoir des personnes me frustrait au plus haut, et surtout le groupe que j’avais rejoint malgré moi, je n’avais pas peur non, mais juste de voir c’est imbéciles prendre plaisir à brusquer ou pousser les gens me réjouissaient vraiment pas, mais en vain, je devais me lever c’était ma dernière année et je ne me permettais pas d’échouer à mon rêve, ce fichu rêve, d’ailleurs je me demande toujours pourquoi je m’efforce d être dans les meilleurs. Je m’habillais toujours de la même façon il m’était obligatoire de paraître comme une vraie fille parmi des milliers, je ne voulais pas qu’on me dise « Tu n’es pas comme les autres » C’était une insulte ne pas être dans la formalité des femmes m’angoissais vraiment, alors sans attendre j’enfilais des collants d'une couleur chair, une jupe de taille haute resserrait de la taille aux cuisses d’une couleur noire, et ainsi accompagner d’une chemise accorder à la jupe, ainsi que des bottines pour le froid qui devrait avoir dehors, je ne mangeais presque rien mon appétit le matin était assez plat, j’enfilais à toute vitesse une veste en cuire pour ainsi me couvrir au minium. Et enfin je sortis de chez moi en direction de l’endroit ou se trouvaient mes courts, l’université. Le lieu où je me réjouissais de partir rapidement.

« Driing, driing » la sonnerie sonnait enfin la fin de tout ce calvaire, la fin des élèves qui parlait sans cesse et toujours de la même chose et surtout, la fin du calvaire d’être obligé d’être avec des personnes que je détestais vraiment, alors rapidement sans un mot je portais mon sac à main là où toutes mes affaires demeuraient depuis des jours, cars oui, je laissais mes affaires en classe, étant donner que j’avais un seul court mais qui me prenais toute la journée, sans attendre je parcourait les long couloir de mon visage habituellement neutre abaissais quelque peut en direction de mes pas de façon à que les gens ne me voie pas. Mais c’était perdu d’avance malheureusement, dès que je passais l’entrée j’entendais des hommes s’emparer du doux silence qui était en moi « alors ma belle, tu ne veux pas venir dans notre voiture ? Je te garantis que tu t’amuserais » l’une des voix du plus âgé, je relevais brusquement mes prunelles d’un bleu océanique en çà direction, aucune émotion n'était sur mon visage, alors dans une voix calme « Je ne crois pas non … Laissez-moi tranquille » Je ne put ajouter quoique ce soit, mon bras était emprisonné par ce dernier, d’ailleurs je fronçais immédiatement les sourcils à quoi ils jouaient ? Ils n’allaient rien à avoir de mon par et ils le savaient très bien, je ne comprenais pas grand-chose de la scène et d’ailleurs je ne voulais pas comprendre, mais juste que des imbéciles prenaient un mal plaisir à me brusquer, mais dès lors un autre homme s’interpolait, Kieran. Je pouvais reconnaître ça voix parmi des milliers de voix d’hommes, et rapidement je l’observais faire avec une attention qui personne n’aurait de ma par. je me m’étais mise assez rapidement à l’écart ce genre de position me m’était mal à l’aise mais sans le montré bien sûr. Je sentis brusquement la main humide de Kieran baissant rapidement mon regard ver nos mains liées, je détournais mon regard dans les horizons je n’écoutais plus la conversation et cela m’était bien égal, mais je suivais Kieran, je n’allais certainement pas rester dans les mains des autres imbéciles en manque, et sans poser de question j’entrais dans sa voiture, et sans un mot pour l’instant je sentis ça veste quelque peut humide sur ma personne, m’asseyant correctement, c’était absolument bizarre ce que je ressentant quand j’étais avec lui, de longs frissons prenais possession de ma personne ne tendis que je tournais vaguement mon visage en çà direction pour répondre à ça question, mon regard azuré se perdait dans les siens.« Toujours là quand il le faut, ne t’en fais pas pour moi Kieran, je vais bien » Mon regard se posait sur son visage que je détaillais sans aucune gêne, quoi que ... À l’instant où ce dernier s’approchait de ma personne, je retrouvais mon profil contre lui, j’avais froid, mais pourtant se contacte n’étais pas extraordinaire mais pour mon par, c’était très rare voire impossible de me retrouver ainsi collé à un homme, je nouais lentement mes fines mains sur mes cuisses, d’où chaque tissu de mes vêtements me collait à la peau je ne bougeais pas pour autant mais j’étais bel et bien collé à Kieran, le silence, pourtant celui-ci ne me dérangeais pas, en la présence de ce dernier, plus rien ne me dérangeait, pourtant je brisais le silence et ajoutais. « Tu vas finir par avoir plein de mondes derrière ton dos, juste à cause de moi, je ne veux pas te déranger. »Je baissais quelque peut mon visage ver mes fines mains et doucement je posais l’une de celles-ci sur la poignée de la porte, je n’étais pas habituellement la bienvenue, et pourtant avec lui, tout était différent, j’hésitais longuement à ouvrir cette porte et me replonger dans mes pensées me faire encore bousculer par les hommes qui étaient encore dehors.

"Got some Dark Desire? Love to play with fire?" ••• « Dark Desire. Play with fire. Tu es exactement comme une flamme. S'éloigner de toi viens à me donner froid, mais m'approcher trop de toi viens à me brûler. Je ne sais plus comment agir avec toi. Si différente, mais qui me ressemble tellement. Te faire découvrir la vie sera mon plus beau plaisir. Séduisante, mais tellement inculte, si je puis dire. Tu n'as jamais touché à une cigarette, à de la drogue, à de l'alcool... aux lèvres d'un homme. Laisse moi te faire découvrir la vie. »

Berkeley était définitivement un endroit accueillant. Kieran n’avait pu le nier à son arrivée. Enfin, l’accueil n’était pas toujours parfait, mais c’était bien normal. Puisque exactement comme dans tous les endroits sur cette terre, il y avait des gens désagréables, immatures. Des gens qui ne comprenaient rien au savoir vivre et au respect. Particulièrement chez les gammas. Les rebelles. Kieran n’avait point été dérangé par le comportement de certains gammas, puisqu’il était quelqu’un d’indifférent, enfin, il avait été comme cela longtemps à son arrivée, aujourd’hui il avait changé. Il était lui-même quelqu’un de désagréable, froid et ancré dans ses principes. « Vivre et laisser vivre », telle était sa devise. Ne pas se soucier des autres tant que ceux-ci ne se souciaient pas de vous. Mais ceux qui osaient s’approcher des rares personnes précieuses à ses yeux récoltaient sa colère et son agressivité. Ces gens récoltaient ses insultes et sa rage, sa haine. Dans ce genre de moments, Kieran démontrait parfaitement son côté agressif et protecteur. Son côté possessif, aussi. Et c’était exactement ce qui se produisait dans cette situation qui se déroulait sous ses yeux. Le jeune Autrichien n’acceptait pas que quiconque s’approche de Lunabee pour l’embêter. Encore moins d’autres hommes. Cela faisait partit de son caractère. Certains n’appréciaient pas, d’autres y découvraient un autre Kieran. Un Kieran qui se souciait des autres, un Kieran bon, moins froid et moins dur. Un Kieran vivant, presque adorable. Et alors qu’il avait aperçu ces trois gammas entourés Lunabee, son sang n’avait fait qu’un tour. Il l’avait défendue et l’avait ensuite amenée dans sa voiture, abaissant les sièges arrière pour leur laisser plus d’espace. Ni une ni deux, il l’avait poussée à l’intérieur et l’avait amené contre lui. Il connaissait sa peur des hommes et son inexpérience de la vie. Il était certainement un des premiers hommes qui lui donnerait ce genre de contact. Inquiet, il s’était tout d’abord assuré qu’elle allait bien, puis il l’avait prise dans ses bras. Elle s’était tout d’abord tendue, surprise. Et puis, heureusement, Kieran l’avait sentie se détendre, s’approcher de son corps chaud un peu plus. Malgré le froid et la pluie, Kieran gardait étonnamment toujours la même température de corps qu’à son habitude, une température élevée. Alors qu’il était toujours farouchement plongé dans ses pensées, la voix de la jeune femme le fit émerger, remarquant brusquement ce qu’elle s’apprêtait à faire.

Martinis la ramena contre lui, l’éloignant de la porte et de sa poignée. Il approcha ses lèvres de son oreille, y glissant quelques mots : « Tu ne me déranges jamais. Restes avec moi. Si tu savais comme je m’en fou de l’avis des autres. » Ces paroles n’étaient pas si étonnantes. Pourtant, Kieran resta tout d’abord surpris par ses propres paroles. Il était rare qu’il quémande à quelqu’un de rester auprès de lui. Lui qui clamait toujours n’avoir besoin de personne. Et puis, personne ne pouvait ne pas remarquer à quel point Kieran ne se souciait pas de sa réputation et de l’avis des autres. Froid, mystérieux, il n’attirait pas toujours les sympathies. Mais c’était bel et bien le moindre de ses soucis. Indifférent de tout, il l’était aussi au regard des autres. Et à ce moment, à l’arrière de sa Mercedes noire, Lunabee entre ses bras, contre son torse, il préférait s’occuper à la réchauffer et la garder en sa compagnie, que de la laisser retourner dans l’antre de ces immatures, qui étaient toujours à l’extérieur. Même s’ils ne pouvaient pas les voir, Kieran ne put s’empêcher de leur jeter un regard mauvais, à travers la vitre teintée. Il détestait ce genre de personne. Ceux qui se croyaient supérieurs, ceux qui se croyaient être les plus beaux et qui pouvaient se permettre de dire n’importe quoi et d’insister auprès de tout le monde pour obtenir ce qu’ils voulaient. Jusqu’à aller à l’harcèlement. Oh, Kieran adorait sa confrérie. Les gammas étaient des gens parfaits pour lui, mais certains dépassaient l’ententement dans leur comportement misérable. Ce n’était plus drôle, ni jouissif d’amusement à regarder. C’était pathétique. Ce genre de gens ne méritait pas d’être dans les gammas. Enfin, ce n’était certainement pas à lui de juger. Penchant doucement la tête sur le côté, pour vriller son regard à celui de la jeune femme, il attendit une réaction quelconque de sa part. « Il y a bien des gens qui ne m’apprécient pas. Et puis, je n’aurais pas vraiment envie que de tels gamins idiots m’apprécient, vois-tu. » Un clin d’œil. Tout pour la rassurer, pour la garder avec lui. Pour deux raisons. La première qu’il avouait avec dignité. Il n’était pas question qu’elle retourne affronter ces idiots qui la harcèlerait et iraient peut-être jusqu’à la martyrisé pour qu’elle monte dans leur maudite bagnole. Et la deuxième raison, plus dure à avouer. Parce qu’il était indépendant, indifférent et parce qu’il ne comprenait pas pourquoi… mais il avait besoin d’elle. Il ne voulait pas qu’elle parte parce qu’il avait besoin d’elle…

Je sentis si brusquement Kieran prendre possession de mon corps, à ce moment la mon coeur s'arrêtait de battre c'était si bizarre ce que je ressentais quand j'étais avec lui c'est à croire qu'il pouvait me faire tous ce qu'il voulait cela ne me dérangerai en aucun cas, d'ailleurs dès que j'étais près de son corps mon regard d'un bleu océanique ce fixait sur les visages des hommes qui eux étaient encore dehors à faire quoi au juste ? À attendre que je sorte et que il me prenne sauvagement contre eux, j'ai était dans ce groupe pour que je puisse faire comprendre aux autres que j'était différente que je ne me laisserais au aucun cas faire, mais c'est temps si tout était différent j'avais l'impression d'être une enfant dans les bras de Kieran, il était là, et je savais au fond de moi qu'il ne me laisserais en aucun cas sortir ver s'est abrutis, dès que ces fines lèvres se promenaient vers le creux de mon oreille afin d’y chuchoter quelque chose, mes paupières se fermaient lentement par le doux son de sa voix, si rassurante, si douce qu'à croire que quand il était avec moi il était différent de tout, est c’était ça qui me plaisait chez lui le fait qu'il me mette à pars dans un coin et qu’il soit comme il ait au fond de lui, malgré moi, mes fines et douces mains venaient empoigner son poignet par les mots qui suivit, je baissais légèrement la tête, et dans un tendre murmure. Je chuchotais.« Tu ne seras pas éternellement à mes côtés, et tu le sais au fond de toi, ce n'est pas comme si je puisse t'appeler sans cesse que tu cours pour me protéger comme tu le fasses, malgré que ... J'aimerais bien. »Longuement mes mots étaient dans un merveilleux murmure d’ailleurs je ne savais même pas si tu en avais pris conscience, mon visage quelque peut abaisser comme à mon habitude neutre, on me disait souvent que j’avais ce visage de poupée de cire et que je gâchais chaque trait que dieu m’avait offert et qui me permettait de sourire et d’être heureuse, c’est souvenir où les gens m’obligeaient à sourire était affreux et à c’est pensés de longs frissons prenait possession de mon corps mes fines mains qui étaient accroché au poignet de Kieran se laissait longuement tomber sur mes cuisses jouant-t-elle comme une enfant avec mes doigts, observant les bijoux que j’avais aux doigts ainsi qu’au poignet, mais dès que les mots de ce dernier ce son suivit et que je sentis qu'il penchait légèrement le visage. « Je dois avouer que c’est mieux ainsi, et d’ailleurs je ne pense pas que je supporterais le fais, que tu sois avec eux et qu’ainsi tu puisses me laisser seule.»Et bam, cette phrase complètement sortit sans bien m’en rendre compte, d’ailleurs après ces mots je tournais rapidement mon visage ver la vitre comme si cette dernière me donne des réponses ou tout simplement m’aiderais à disparaître, je laissais un faible et pourtant audible soupire de s'échapper de mes lèvres pâles, à croire que le froid était encore en moi, alors lentement d’une pulsion que je ne pus bien décrire je me poussais pour ainsi être bien collé à Kieran, je venais croiser mes bras sous ma poitrine, mon visage toujours tourner, mon regard toujours figer. « Je ne t’ai même pas remerciée, qu’elle idiote … » Je tournais alors rapidement mais vaguement mon visage en direction de Kieran, mon visage si proche de lui que je pouvais distinguer chaque trait précieux que la vie lui à donner, chaque détail de ces prunelles, mon regard comme éblouie par les siens, je murmurais dans un ton tendre, qui d’ailleurs était loin d’être mon habitude. « Merci.. » Qu’es que je fessais là . Bon sang il me faut rendre à l’évidence j’avais besoin de lui, j’aimais être près de lui-même si cela me couterait n’importe quoi, même si je ne voulais pas y croire même si dans mes pensés les plus fous j’entendais encore ma mère qui me disait que je n’allais avoir personne qui tiendrait à moi, c’est quoi ce bordel ? Pourquoi je suis ainsi avec lui, je me sens si bien, si apaiser, à l'instant où mes pensées brusquées je baissais légèrement mon visage, mon front percutait sans bien le vouloir le bout de son nez ainsi que quelque peut ça joue d’où je me souvenais de lui avoir envahie de tendres baisés.J’avais son parfum sur moi, mon souffle chaud s’abattait alors sur sa mâchoire, je pouvais rester ainsi, mes fines mains glissaient le long de mon corps pour s’échouer sur mes cuisses à nouveau, tirant doucement sur mes coulants qui me coller affreusement à la peau c’était vraiment une sensation désagréable, c’était peut-être ma façon à moi de dire que j’aimais être avec lui, que j’aimais simplement son contacte qui me rassurait. Oui voilà, je pouvais plus me passer de lui.