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La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux

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MessageSujet: La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux EmptyMer 1 Oct - 21:10

« La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux. »
Pablo & Valentina




Crazy by Gnarls Barkley on Grooveshark




  Cela faisait plusieurs semaines que Kenzo & Valentina me coacher sans arrêts pour que je sois à leur hauteur et que par la même occasion que je me construise un peu. J'avais passé ces deux dernières années à broyer du noir, à me dire que j'étais qu'un pauvre imbécile faible face à la gente féminine. Alors avoir deux mentors comme eux pour me remettre d'aplomb je ne pouvais pas rêver mieux, j'avais l'impression de faire une renaissance. Puis que dire, passer du temps avec Valentina ce n'était pas comme si elle n'était pas agréable à regarder cette fille là. Cette blonde élancée, un corps de rêve une personnalité fantastique. Je m'étais habitué à elle comme les tartines le dimanche matin, elle était un délice qu'on savourait à chaque coup d’œil.  Ce soir c'était l'heure de mon bilan, ou du moins du premier bilan depuis notre rencontre. Elle m'enseignait le charme et la délicatesse, et ce soir je devais la séduire, du moins essayer. Il fallait sortir le grand jeu comme si les soirées de ce genre s’enchaînaient comme pour Silver, j'étais stressé comme pas deux. Ne voulant pas la décevoir et ne pas faire un pas de travers. J'avais tout prévu une réservation au Quince, des roses fraîchement achetée le matin quoi elle voulait le grand jeu non ? Je n'avais pas pris de chocolat sachant pertinemment que c'était un signe à double tranchant. Je lui avais même pris un petit cadeau, rien que ça. Et oui j'étais d'humeur généreuse ces derniers jours surtout avec les deux femmes qui comptaient le plus pour moi. J'avais acheté un smoking même pour l'occasion, il était vingt et une heure quand j'attendais la belle devant l'université, elle devait resté encore pour ces tâches de doyenne, la pression au bout des doigts, je contenais ma nervosité tout en respirant doucement. Cette femme c'était comme un boulet de canon, elle arrivait et explosé tout sur son passage. Je garais ma voiture non loin du grillage pour me lever et l'attendre contre un muret non loin. Le bouquet à la main je me sentais con mais bon, je lui avais promis de faire un effort alors autant le faire jusqu'au bout. Une cigarette au bord des lèvres j'appréciais la nicotine qui avait eu comme l'effet d'un tranquillisant. Quelques minutes la belle arrivée sur son trente un, ses lèvres peintes d'un rouge framboise – ouais maintenant je connaissais bien les couleurs aussi- je lui souriais essayant de me montrer confiant alors qu'au fond de moi je bouillonnait. Une fois qu'elle fut à ma hauteur je lui tendais délicatement le bouquets de rose avant de lui dire en la taquinant un peu «  Tu dois en avoir des centaines, mais les miennes c'est les meilleures tu sais.. ». Oui fallait pas non plus que je perde tous mes moyens face à elle. Je lui montrais la voiture du bout de mon nez tout en lui faisant un signe de me suivre. Elle marchait légèrement devant moi, ce qui me permettait de respirer une seconde. Je pouvais sentir la chaleur montait en moi comme le rose sur mes joues tant elle ne me laissait pas indifférent. Reprenant mon calme je lui ouvrais sa portière pour qu'elle puisse s'installer confortablement avant de faire le tour de la voiture. Je m'asseyais donc avant de la regarder un instant en replaçant une mèche dorée qui fouettait son visage. « Faudrait pas abîmer ce beau visage non ? ». Disais-je tout en démarrant la voiture. Ce soir c'était le grand soir et pour la première fois de ma vie j'avais l'impression que même ma façon de respirer allait être jugé. Nous roulions jusqu'au restaurant en parlant de tout et de rien, des cours tout ça, de la confrérie. Le voiturier prenait ma voiture et en sortant de la voiture, je prenais la main de Valentina pour l'aider à sortir. Une fois sortie, je plaquais une main sur son dos pour qu'on avance à la même alors avant de lui glisser à l'oreille «  Tu es magnifique ce soir ». Quoi elle m'avait appris à ne pas être avare de compliments, puis ce n'était pas comme si je me forçais avec elle ça coulait de source. Nous rentrions au Quince, je déclinais mon nom à l’accueil et toujours ma main sur son dos je la la lâchais pour qu'elle puisse aller devant moi. Valentina, prête pour le grand jeu ? Tu n'as pas peur de te brûler les ailes ? Non, une déesse garde les pieds sur terre...
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MessageSujet: Re: La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux EmptySam 11 Oct - 23:43

« Excuse-moi, je suis très en retard. » Voilà le texto que je venais d'envoyer au Delta, alors que je sortais tout juste de ma chambre. J'avais quinze minutes de retard – ce qui, en soit, n'était pas si mal quand on connaissait mes habitudes – et j'en aurais vingt le temps d'arriver à notre lieu de rendez-vous. Que Pablo en profite ; je m'excusais rarement. Seulement, le nouveau Delta bénéficiait d'un traitement de faveur. Mon petit protégé avec Kenzo. L'homme discret, presque invisible aux yeux de tous, qui avaient pourtant un potentiel énorme. Je me souvenais encore du long regard que nous avions échangé après l'avoir croisé pour la première fois à la cafétéria. Un long regard qui signifiait, purement et simplement, « il nous le faut ». Nous avions tout de suite eu la conviction que la destinée de Pablo pouvait être complètement différente, si nous décidions de le prendre sous notre aile. Ce que nous fîmes. Ni une ni deux, nous nous étions avancés vers lui. Kenzo avait pris place à sa gauche, et je m'étais installée face à lui. Et aujourd'hui, voilà où il en était : debout face à moi, sur le parking de l'université, un bouquet de roses à la main. Prêt pour l'une des épreuves les plus difficiles que je lui avais concocté – l'étape de la séduction. Ce soir, c'était décidé, j'allais lui en faire voir de toutes les couleurs. Tantôt douce, tantôt femme fatale. Le Delta devait être prêt à tout. Paré, en mesure de se défendre. Ce soir, je n'aurais aucune pitié. Et j'avais commencé mon petit jeu avec ma tenue. J'avais enfilé une robe blanche qui m'arrivait bien au dessus des genoux, et dont les manches étaient faites de dentelle. Escarpins vernis et touche de rouge à lèvres frambroise pour parfaire ma tenue, et le tour était joué. « Merci beaucoup. » Dis-je en lui souriant, posant mes lèvres sur sa joue. Le Delta me désigna sa voiture d'un signe de main, et je me mis en marche. J'en profitais pour commencer à le tester. Je me suis arrangée pour être en avance de quelques pas sur lui. Roulant des hanches, rejetant mes cheveux en arrière, je me suis légèrement retournée pour m'assurer que j'avais capté son attention. Pablo était directement mis en condition. « Je ne savais pas que la galanterie faisait partie de tes qualités. » Dis-je alors que l'italien m'ouvrit la porte, et attendit que je sois installée pour la refermer derrière moi. Parfait, il marquait des points. Quelques instants plus tard, il se retrouvait assis à mes côtés, et se montrait d'une douceur exemplaire en remettant en place une de mes mèches rebelles. Le trajet se fit sans encombres, et nous échangeâmes quelques mots. Le temps passa vite ; l'italien avait de la conversation, n'hésitait pas à blaguer, et semblait s'intéresser sincèrement aux propos de son interlocuteur. Pour le moment, il avait tout bon. Je lui souris en guise d'encouragement, alors qu'il m'aidait à sortir de la voiture, et posait une main possessive dans le creux de mes reins. « Merci. Toi aussi, tu es vraiment beau. » Assurais-je, le pensant sincèrement. Pablo avait non seulement la chance d'avoir un physique avantageux, mais il possédait aussi un charme indéniable. Un type comme ça, s'il savait s'y prendre, pouvait tout réussir. Pablo donna son nom à la réception, et un serveur nous mena à notre table. Une fois celui-ci parti, j'en profitais pour dresser un premier bilan de ce qu'il s'était passé jusqu'à maintenant. « Je ne sais pas à quel point Kenzo t'a briefé pour ce rendez-vous, mais jusqu'à maintenant, tu ne te débrouilles pas mal. » Fis-je en souriant, fière de mon poulain. « Juste une petite chose : ta main dans le bas du dos. Excellente idée si tu présumes ou penses que la soirée va tourner à ton avantage. Si t'as déjà eu quelques rendez-vous au préalable, ou si la fille est vraiment réceptive. En revanche, très mauvaise idée si la partie n'est pas gagnée d'avance. Certaines filles ont tendance à tout prendre de travers, même la plus petite approche. » Opinion que je ne partageais pas – il fallait être courageux pour oser se lancer, parfois. On pouvait facilement faire comprendre, et gentiment qui plus est, que nous n'étions pas intéressées. Pas besoin de se la jouer reine des glaces. Le serveur revint rapidement, et nous tendit les menus. Il nous proposa un apéritif, que pour ma part je déclinais. « Pas d'alcool. Je veux rester sobre pour avoir toutes mes facultés ce soir. » Déclarais-je en souriant, après que le serveur se soit éclipsé. « Juste pour toi. » Soufflais-je à voix basse, posant un regard de velours sur le Delta. Mode séduction en marche, et je comptais bien faire du dégât.
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MessageSujet: Re: La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes,en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux EmptyDim 25 Jan - 15:23

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