the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez

You give me the kind of feeling people write novels about.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

You give me the kind of feeling people write novels about. Empty
MessageSujet: You give me the kind of feeling people write novels about. You give me the kind of feeling people write novels about. EmptyDim 25 Jan - 19:38


You give me the kind of feeling people write novels about
Maxim & Kendra



JANVIER 2015 ➤ En ce moment, tout se mélangeait dans mes pensées. J'avais du mal à faire la part des choses et pour la première fois depuis... Longtemps ? ... Ou depuis toujours ? Je ne savais plus. Il fallait se rendre à l'évidence, ce mec me faisait tourner la tête. En même temps, il était du genre parfait. Gendre idéal. Classe, charmant, prévenant, avec une bonne éducation. Et puis ce n'était pas tout. Il était plutôt beau-gosse et particulièrement intelligent et cultivé. À vrais dire, nous nous étions rencontré car il faisait parti de la même confrérie que moi, les Alphas. ça s'était passé à la bibliothèque. Forcément, me direz-vous, pour deux individus aussi carriéristes et académiques tels que nous. Malgré tout, cette rencontre n'avait rien de banal. Nous étions là, le plus clair de notre temps libre à bosser dur pour les cours. Rentrée obligeait. Lui en médecine, moi en droit. Il y avait de quoi passer des heures enfermés dans cette bibliothèque. Je crois qu'au début nous n'avions même pas remarqué la présence l'un de l'autre. Trop affairés à lire, rédiger ou structurer nos cours. Et puis, au bout de quelques temps, quelques semaines sans doute, je me suis mise à le voir. Ce garçon châtain, à l'air désinvolte, regard doux et sourire de côté. Il donnait toujours l'impression que tout était facile, tant son expression n'était que trop peu crispée lorsqu'il étudiait. Il avait aussi dû me remarquée à ce moment là. Par-ce qu'il me lançait régulièrement un regard compatissant. Il m'a fallu traversé deux étapes avant qu'une vraie interaction survienne. La première, celle de l'air désintéressée. Après-tout ce n'était pas un rat de bibliothèque à la gueule d'ange qui m'aurait fait flanché. Certes, il était peut-être particulièrement gentil et studieux, mais en cet instant il n'en demeurait pas moins un inconnu pour moi. Je n'allais pas changer ma manière d'appréhender les gens, et encore moins les hommes. Je ne leur faisais pas confiance, jamais et sous aucun prétexte. Alors autant dire que je n'allais certainement pas lui accorder mon intérêt. Peut-être ses intentions étaient-elles mauvaises ? Qu'en savais-je ? Et puis, plus rapidement que prévu, la deuxième étape arriva. Celle de l'air intéressé. Si au début, j'avais donné l'impression de n'en avoir que rien à faire, j'arrivais maintenant au stade où je donnais l'impression d'en avoir quelque chose à faire. Pourquoi ? Par-ce qu'il m'intriguait, ce jeune homme, étudiant studieusement la médecine pratiquement tous les jours, aux mêmes heures que moi. Alors je lui rendait ses regards, ses sourires, et je voulais en savoir plus. Au fond de moi, ça démangeait, ça titillait, ça mordillait. Car pour la première fois de ma vie, un homme me souriait et cela avait l'air sincère, sans arrières pensées. C'est une fois ces deux phases passées, qu'il entreprit de venir me parler. Une simple salutation le lundi, pour en arriver à un "T'étudies quoi, au juste ?" le vendredi. La machine était lancée, notre amitié démarrait et on ne passait plus aucune de nos révisions l'un sans l'autre. Nos chaises s'étaient mise côte-à-côte et nous nous rendions service, nous nous donnions conseil. Avec lui, je voyais d'une autre perspective mon cours de droit civique. Et avec moi, il abordait sous un autre angle la physiologie. Nous nous complétions et on se découvrait chaque jour des traits en commun. J'avais un ami, qui paraissait sincère et avec qui je passais beaucoup de temps à rire. Moi je riais de ces blagues stupides et lui, il riait à ma naïveté et mon envie de bien faire qui, par faute de maladresse, me plaçait dans de drôles de situations parfois. Je n'aurais manqué l'une de nos révisions pour rien au monde et cette fois, nous avions rendez-vous à 17h pile. J'arpentais les couloirs de l'université, rapidement, toute pressée. Je m'arrêtais devant une vitre, reflétant ma propre image. « Pfff... Ma pauvre, tes cheveux ne ressemble à rien aujourd'hui ! » Qu'est-ce qui m'arrivait ? Pourquoi je pensais à ma coupe de cheveux tout-à-coup ? Je repris ma route, regard droit devant moi. « T'es ridicule, tu vas réviser, c'est tout. À quoi tu t'attends ? » Aucun doute, j'étais perturbée. Je ne savais pas trop ce qu'il se passait à l'intérieur de moi. Un volcan aurait été la métaphore la plus proche. « Maxim est un ami, il révise avec toi et de toute manière les hommes finissent toujours par nous décevoir. » Je me persuadais de ce que je pensais, au point où j'ai soudainement cru que je l'avais dit à voix haute. J'étais trop enthousiaste d'aller réviser pour que ce soit due aux études. J'adorais ce que je faisais et j'étais motivée à réussir, mais de là à se réjouir d'étudier, il ne fallait pas abuser non-plus. Il y avait autre-chose qui m'enthousiasmais. Une routine instaurée, qui finalement avait renforcé cette relation d'entraide, qui avait ensuite évoluée et puis, il était beau... gentil... « Tu planes encore Kendra ! Ressaisis-toi ! Au final, tu ne le connais pas. Si ça se trouve, il accepte de t'aider pour son propre intérêt. Souviens-toi comment tu étais utilisées à l'école avant. » C'était vrais, je devais faire attention. Alors je sortais toutes ces pensées sentimentales de mon esprit et je me concentrais. J'allais bientôt arriver à la bibliothèque.

SONNERIE DE TÉLÉPHONE ➤
« Allo ? Oui ? Maxine ? ... Tout de suite ? ... Comment ça un taré ? Il a essayé de faire QUOI ?! O..ok, ne t'inquiètes pas, j'arrive. »

Je venais d'apprendre que mon amie Maxine avait des ennuis, visiblement un mec bizarre avait tenté d'abuser d'elle dans le Parc. Dans quoi s'était-elle fourrée ?! Je devais lui venir en aide. J'appellerais Maxim une fois arrivée pour lui expliquer la situation. À vrais dire, je ne pensais pas vraiment à m'excuser d'être en retard quand je savais qu'une amie se faisait agressée à quelques pas d'ici. Il comprendrait mon retard, et au pire des cas, nous repousserions notre révision d'aujourd'hui.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You give me the kind of feeling people write novels about. Empty
MessageSujet: Re: You give me the kind of feeling people write novels about. You give me the kind of feeling people write novels about. EmptyVen 20 Mar - 23:16

:out:
Revenir en haut Aller en bas

You give me the kind of feeling people write novels about.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» " Get it on, give it up. Come on give it all you got. Your mind on a fantasy. Livin on the ecstasy "
» Help me if you can, I'm feeling down [Edward]
» Let live us and write our story {Pv : Lucas}
» you and me could write a bad romance | Shakespeare Valentyn
» some kind of trouble.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-