the great escape
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“Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”

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Wren Rosenbach
there's no place like berkeley
Wren Rosenbach
prénom, pseudo : Fanny (nanouche)
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MessageSujet: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 20:06

Carter Wilson
ft. william moseley
» Prénom(s) : Carter Sebastian Emerson Wilson » Nom de famille : Wilson » Nom d'usage : Carter Wilson » Surnom/pseudonyme : il déteste les surnoms » Nationalité : américain » Origines : finlandais » Date de naissance : 22 mars 1990 » Lieu de naissance : Kansas City » Lieu de résidence actuel : New York City » Occupation actuelle : jeune agent du fbi, sous couverture auprès d'un politicien accusé de trafic d'être humain » Statut civil : célibataire incapable de s'engager

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage


» Né à Kansas City, Carter est issu d’une famille modeste, dont le père n’était qu’un simple serveur dans un restaurant et la mère une secrétaire. Cette famille n’avait sur le papier, rien de bien exceptionnel, la famille lambda par excellence. Mais c’était avant tout une famille heureuse, s’aimant de tout son cœur, et c’était bien là l’essentiel. Elevé dans la capitale du Kansas, Carter a grandi dans la simplicité la plus totale et a fait son éducation dans l’école publique de son quartier. Son existence n’avait rien de fantastique, son adolescence n’était pas transcendante. Il n’était ni populaire, ni une tête brûlée. Il avait sa bande d’amis habituels, eu une ou deux petites amies sans être bien sérieux, et se complaisait dans des résultats scolaires très bon. Sa vie n’avait rien d’exceptionnelle mais il s’y plaisait aisément, jusqu’à un jour fatidique.

» La face du monde allait basculer un jour de septembre 2001, lorsque plusieurs avions furent déroutés et volontairement crachés dans des bâtiments américains. Les attentats du onze septembre ont marqué et bouleversé le monde entier. Mais Carter lui, a été directement touché et sa vie s’en est vue changée à jamais. Son grand frère de treize ans son aîné se trouvait à Washington, au Pentagone le onze septembre lorsqu’un avion vint percuter ce bâtiment fédéral américain. Cent vingt cinq personnes s’y trouvant perdirent la vie ce jour là. Et parmi elle, le grand frère de Carter. Perdre ce dernier fut le drame de sa jeune vie, et ne pas savoir ce qu’il faisait au Pentagone le rongea de l’intérieur pendant de longues années. C’est pourquoi Carter s’est  donné la mission de découvrir la vérité sur la mort de son frère.

» Son diplôme en poche, Carter intègre l’Université du District de Columbia et entame un diplôme dans l’informatique. C’est un domaine qui lui plait mais dont il sait par avance ne pas être la carrière vers  laquelle il se destine. Ce n’est qu’un tremplin, un moyen d’obtenir un diplôme universitaire point barre. Sa venue à Washington devient pour lui un changement notoire dans sa vie. Jamais auparavant il n’avait eu l’occasion de se recueillir au pentagone, sur le lieu de mort de son frère. C’est l’une des premières choses qu’il va faire à son arrivée là bas.
Au bout d’un an d’études, il rencontre une jeune femme Mila, avec qui il commence à sortir. Et c’est par son biais qu’il rencontre Dean, le beau frère de Mila. Ce dernier va bien vite devenir son partenaire de crime, le frère qu’il a perdu quelques années auparavant. C’est d’ailleurs dans cet esprit que ces deux là se mettent en tête de rabibocher Mila et Sybille, catastrophe terrible. Sa relation avec Mila finit par prendre l’eau, l’un comme l’autre se renvoyant la faute et n’assumant absolument pas la fin de cette relation.

» Une fois son diplôme obtenu, il se met en tête d’intégrer le fbi, objectif de son existence depuis son enfance, depuis la mort de son frère. Il le sait, s’il veut obtenir la vérité sur sa présence au pentagone, il lui faut obtenir des accès fédéraux, un moyen de pouvoir lire des dossiers classés secrets. Mais bien évidemment, découvrir la vérité sur son frère n’est pas la seule raison qui l’a poussé à rentrer à Quantico. Bien au contraire. La mort de ce dernier l’a poussé à vouloir protéger le monde, comme un super-héros qui n’a pourtant rien d’un super héros. A son échelle, il se dit qu’il peut réussir à protéger certaines personnes, peut arriver à déjouer des plans foireux. C’est sa façon à lui de devenir quelqu’un, de n’être pas qu’un simple informaticien. Et au bout de quelques mois, Carter devient officiellement un agent du fbi à l’âge de vingt cinq ans.

» Durant sa période à Quantico, Carter continue ses allers retours vers Washington et profite de ses sorties pour faire la rencontre d’une jeune femme, blonde au tempérament de feu, Ella. Durant de longues semaines, ils se voient sans vraiment étiqueter leur relation, sans vraiment parler de leur sentiment, se laissant simplement porter par la vie, sans se prendre la tête. Cette simplicité plaisait à Carter, il n’avait pas besoin de plus et avait peur de plus. Car il ne sait pas s’engager. Il n’a jamais pu. Aucune femme n’a été capable de percer sa carapace, de lui décrocher un je t’aime, ou une preuve de sentiment. Et Ella n’échappe pas à la règle. Alors lorsque son père décède, Carter panique et ne se rend pas aux funérailles, prétextant être en plein examen et être incapable de se libérer. C’est une belle connerie dont il a conscience. Le soir même il se prend une cuite monumentale pour essayer de faire passer la pilule. Être courageux dans son métier, pour les autres, aucun souci pour Carter. Mais être courageux dans sa propre vie et sa vie amoureuse précisément, être loin d’être chose aisée. Trois semaines plus tard, Carter décide de sonner à la porte d’Ella, la bouche en cœur, comme si rien ne s’était passé. Erreur fatale. Une claque dans la tronche et une porte dans le nez plus tard, Carter voit bien sa connerie. Mais le mal est fait, et Carter n’est pas prêt à s’excuser ni à s’ouvrir. Sa peur de s’engager est toujours bel et bien là. A vingt six ans, Carter n’a toujours pas prononcé un je t’aime de sa vie à une autre femme que sa mère.

» Devenu officiellement un agent du fbi, il est immédiatement mis au travail et ses supérieurs le placent dans une enquête compliquée et difficile, sous couverture auprès d’un politicien new yorkais. Ce dernier serait soupçonné d’être un trafiquant d’être humain, vraisemblablement des jeunes femmes asiatiques, utilisées autant pour la prostitution que pour l’esclavage. Tout cela le révolte mais il n’a guère le choix que de taire ses jugements à ce propos. Certainement l’un des meilleurs élèves de sa promotion à l’université, le fbi lui crée une fausse histoire, le faisant passer pour un hacker notoire, étant parvenu à hacker la NSA entre autre. C’est par ce biais qu’il se fait recruter par ce politicien, en quête d’un expert en informatique pour couvrir ses traces. Carter n’en est qu’au début de son enquête et malgré quelques preuves directes, il ne possède rien de suffisamment accablant pour faire tomber un homme aussi puissant que cet Anton Vanderbilt, gouverneur de l’état de New York. C’est dans cet esprit là que Carter enchaine les allers retours entre Washington et New York, faisant au mieux dans cette première grosse enquête qui, si elle finit par un succès, lui permettra d’accéder très rapidement à une reconnaissance de ses paires et d’obtenir le poste de son choix.


public knowledge
mise en situation rp


“Holding anger is a poison...
It eats you from inside...
We think that by hating someone we hurt them...
But hatred is a curved blade...
and the harm we do to others...
we also do to ourselves.”

Les cris d’énervement qu’il pousse s’entendent aisément à travers les couloirs du dortoir de Quantico. A ne pas douter, dans quelques instants un de ses collègues va bien chercher à venir voir ce qu’il se passe dans cette chambre et à comprendre pourquoi il réagit aussi violemment tout seul. Et la réalité n’est pas très belle à voir. Il est énervé, s’apprête à tout envoyer valser dans sa chambre d’étudiant de Quantico. Et c’est d’ailleurs ce qu’il commence à faire dans la seconde qui suit. Ses dossiers volent dans tous les sens, sa tasse de café part s’écraser contre le miroir de la salle de bain, le faisant voler en éclat. Quelques personnes s’arrêtent à hauteur de sa chambre, passent la tête à travers la porte et s’éloignent rapidement sachant qu’il vaut mieux éviter Carter dans une situation de colère pareille. Il est assez rare de le voir en colère, de le voir s’énerver violemment. Mais ses collègues le connaissent suffisamment pour savoir que ses excès de colère sont incontrôlables et qu’il ne sert à rien de chercher à le calmer. Alors Carter continue son pétage de plomb jusqu’à ce qu’il se calme une demi heure plus tard. Sa chambre est dans un état minable mais tant pis, il avait besoin de se défouler. Les funérailles du père d’Ella avaient lieu ce matin et comme un con, il n’a pas daigné s’y présenter pour soutenir Ella. Il n’était même pas obligé de passer son temps collé à la jeune femme, ni même de se passer pour son petit ami. Carter aurait pu simplement être un ami présent pour elle, sans avoir à se montrer, sans avoir à définir leur relation auprès des membres de sa famille. Il aurait pu. Mais Carter a flippé, comme à chaque fois qu’il s’approche un peu trop d’une femme, comme lorsqu’une fille pourrait avoir besoin de plus. C’est con, il est con, il le sait. Mais Carter ne peut pas s’empêcher de prendre ses jambes à son cou dès lors qu’une relation commence à prendre la direction du sérieux. Et puis de toute façon, les pleurs l’horripilent. Il déteste les gens qui pleurent, peu importe la raison. Les larmes l’agacent et ne lui donnent absolument aucune raison d’être empathique. Et le pire dans tout ça, c’est qu’il ne peut même pas en parler à Dean pour avoir son avis. Parce que cela reviendrait à lui confier sa présence à Quantico, lui expliquer le métier qu’il est entrain d’apprendre. Et c’est une chose interdite  pour le moment. Ca l’emmerde, et pourtant, il n’a qu’une envie, c’est avoir l’avis de son pote, comprendre pourquoi il est incapable d’aimer, d’aller au devant d’éventuels sentiments. Cela restera vraisemblablement le mystère de sa vie. Assis sur son lit, il finit par craquer et décroche son téléphone pour appeler Dean. « Dean, j’ai besoin de toi. On peut se voir ce soir ? J’ai besoin d’évacuer et de prendre une bonne cuite bien sévère là. Et pas besoin de râler, je ferai de mon mieux pour me tenir à carreaux et ne pas péter un plomb d’accord ? » Pas vraiment le genre de choses à laquelle on peut s’attendre lorsque l’on cherche à en découvrir plus sur le mystère de sa vie. Mais Carter ne fait jamais rien comme on pourrait s’y attendre. Il surprend toujours et reste l’homme que l’on ne saisit pas, que l’on ne cerne pas. Plein de mystères, il aime se faire reconnaître comme quelqu’un d’ouvert et qui n’a pas de secrets, mais en réalité, il est à l’opposé de ce personnage là. Personne n’a conscience du nombre de secrets qu’il garde enfoui au fond de lui, personne ne s’est réellement rendu compte de l’homme si fermé et si peu accessible qu’il est véritablement. Carter est un tissu de secrets, compliqué et difficile à percer. Heureusement pour lui, son ami comprend l’urgence de la situation et accepte de le rencontrer plus tard. Il raccroche et se décide à se préparer pour retrouver son ami durant la soirée. Son colocataire débarque dans leur chambre et voit l’étendue des dégâts causés par Carter. « Ca va, fais pas cette tronche, je vais ranger alors m’emmerdes pas et va faire quelques pompes, t’as bien besoin de te muscler un coup. » qu’il balance à son nerd de colocataire. Partager sa chambre n’était déjà pas quelque chose qui lui plaisait, mais partager sa chambre avec un accro des statistiques est de bien loin la chose la plus désagréable pour Carter. Manque de chance, il en a pour au moins trois mois à tenir en sa compagnie pour son plus grand déplaisir. Carter s’active à ranger la pièce, et se prépare pour retrouver Dean. Ne lui reste plus qu’à espérer ne pas croiser Ella dans le bar de Washington où il se rend. Mais compte tenu des récents évènements, il imagine difficilement la jeune femme se rendre dans un bar. Quoi que, se prendre une cuite juste après un enterrement est loin d’être une idée si stupide que ça avec le recul. Qu’importe. Si Carter doit croiser Ella, ainsi soit-il, que pourrait-elle bien lui faire pour ne pas s’être présenté aux funérailles ? Rien, ils n’étaient pas en couple, il n’était pas son petit ami, il ne lui avait jamais rien promis alors il n’avait pas à s’en vouloir. C’est du moins ainsi qu’il cherche à se persuader. Qu’importe, advienne que pourra.

En vrac : Il est issu d’une famille très modeste ~ Son grand frère est mort dans les attentats du Pentagone en 2001, sans qu’il n’ait jamais su ce qu’il faisait là bas. ~ Cet attentat a orienté tout le reste de sa vie, même du haut de ses onze ans. ~ Il a étudié l’informatique dans une Université de Washington, simplement pour obtenir un diplôme. Il ne pensait pas que l’informatique lui irait si bien et qu’il deviendrait si doué dans ce domaine. ~ Sa véritable vocation est sa volonté d’aider les autres, et c’est la raison pour laquelle il a intégré le FBI. Personne de son entourage n’a su qu’il était parti à Quantico avant qu’il obtienne son diplôme et accréditation. ~ Il est particulièrement calme en toute circonstance, c’est d’ailleurs une des choses qui le caractérise. Mais lorsque l’on pousse le bouchon trop loin, Carter pète un plomb et explose tout ce qui l’entoure. Au fond, son calme n’est qu’une façade, rien de plus. ~ Il est très loyal en amitié, persuadé que c’est l’amitié qui vous permet d’affronter la vie sans difficulté et de surmonter tous les soucis de votre vie. ~ En ce qui concerne l’amour, il est aisément considéré comme un handicapé des sentiments. Carter a une peur bleue de l’engagement pour une raison qu’il n’explique lui-même pas. ~Il n’a jamais dit je t’aime à une autre femme que sa mère et n’est toujours pas prêt à le faire. ~ Dès qu’une relation se rapproche dangereusement de l’histoire amoureuse, il prend ses jambes à son cou et se barre. ~ Être courageux pour son travail il sait faire, mais dans sa vie personnelle, Carter est un vrai trouillard. ~ Il ne mentionne jamais son frère et rare sont les gens à en connaître l’existence. ~ Il se moque généralement de l’opinion des gens et préfère suivre son instinct, même si ce dernier se plante en beauté. ~ Il déteste les gens qui pleurent, ça le rend fou. Il n’a d’ailleurs plus verser une larme depuis la mort de son frère.

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» Prénom : Fanny
» Pseudo : Starbuckscrazy
» Âge : 24 ans
» Scénario ou personnage inventé : inventé avec une base de scénario d'ella “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  277800
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» Impression sur le forum : :plop:
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» Le mot de la fin : adieu ma grosse dinde “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  664275831
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Keith O. Phillips
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Keith O. Phillips
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 20:07

rebienvenue parmi nous “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  277800
et have fun avec ce nouveau perso :plop:
meleya va nous manquer :plop: :mimi:
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 20:09

rebienvenue fanny, amuse-toi bien avec ton carter “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  2784427283 :plop:
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 20:15

rebienvenue avec ton gros vilain pas beau fuck
:plop: :plop:
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 20:15

Garde moi un lien :look:

Bonne chance pour ta fiche OSO
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 21:20

Have fun et très bon choix d'avatar :mimi:
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 21:38

bon courage fannyyyyyy pour ton perso, et amuse-toi bien avec :mimi: je pense qu'on va pouvoir papoter liens nahahaha ! :plop:
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Augusto P. Da Volpedo
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 21:50

Tu vas encore vendre du rêve avec ce perso, je le sens. nahahaha !
bonne fiche & amuse-toi bien. :plop: :plop:
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  EmptyDim 27 Mar - 23:15

je sens qu'il va être cool celui-là. OSO
bon courage pour ta fiche. :plop:
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MessageSujet: Re: “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.” “Two things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.”  Empty

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