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« tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya

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MessageSujet: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyLun 29 Sep - 14:00

    Un coup d’œil sur le réveil, j’étais encore plus en retard que d’habitude. Malgré le fait d’oublier comment fonctionne un réveil, je me débrouillais toujours pour arriver pile poil à l’heure en cours. Pas forcément comblée de défaut, mais je n’étais pas la plus ponctuelle non plus. Généralement, quand l’heure c’est l’heure, je n’arrivais jamais dix minutes avant. Enfin bon, j’étais fin prête à suivre une journée de médecine sur la théorie de la multiplication cellulaire. Une chose déjà vu en première année, mais qu’on devait revoir pour la suite du programme. Pour une fois, je m’ennuyais profondément en cours. Tout ce que le médecin chercheur, qui faisait office de professeur, pouvait dire, je le connaissais déjà par cœur. S’était la première fois que je ressentais un tel ennui pendant un cours depuis que j’étais ici. Il fallait dire que la vie à Berkeley ressemblait à un conte de fée. Le seul hic résidait dans le fait que je ne connais que très peu de monde, et donc, à moins de sortir seule, je ne voyais pas encore grand-chose de San Francisco.
    En attendant de connaitre un peu plus de cette ville, je cherchais au moins à connaitre ma confrérie. J’avais eu l’occasion de parler avec certain que je saluais d’un grand sourire. Je m’arrêtais pour parler avec Adrian, un des premier Alpha à qui j’avais pu parler, et qui m’inspirais la confiance.
    Si j’étais arrivée chez les Alpha, il y avait également une raison. Meleya. Un seul prénom qui en disait long sur le pourquoi de ma venue première à Berkeley. Ma cousine Aurea n’était autre que sa sœur jumelle. J’adorais ma cousine, on avait passé un temps de fou ensemble, même si elle avait été adopté, ça ne m’avait jamais posé de problème. Le problème était qu’Enzo, son frère adoptif, parti avec elle en Bulgarie pour les responsabilités d’Aurea, avait reçu une lettre, une demande de rançon pour récupérer Aurea. Enzo m’en avait fait car pour lui j’étais la seule qui pouvait faire quelque chose. J’avais une copie de la lettre sur mon ordinateur portable que je comptais montrer à Meleya. Enzo avait eu pour ordre de ne prévenir personne de la présidence de Bulgarie, faisant croire à une énième tentative de fuite d’Aurea, et de ne pas prévenir les autorités publiques. Autant dire qu’il était coincé. Quand il m’évoquait le kidnapping d’Aurea, je me sentais obligée de prévenir Meleya pour avoir de l’aide quelque part. Enzo ne pouvait pas gérer ça seul, c’était évident.
    Je traversais les couloirs de la résidence Alpha espérant croiser Meleya, mais sans succès. Je recroisais Adrian, demandant s’il était au courant de où pouvait vivre l’Alpha. Elle vivait apparemment au nord de San Francisco, pas loin du Golden Bridge. Bon et bien, à mes baskets, et c’était parti. J’avais presque envie de prévenir quelqu’un au cas où je me perdrais pour dire qu’on me recherche quand même. Je passais une main dans mes cheveux devant un miroir, et je partais, adresse en main, pour savoir où se trouvait mademoiselle Ivanova.
    Après plus d’une heure de recherche, je tombais enfin devant la somptueuse villa. J’espérais qu’avec autant de marche, Meleya serait là. Je me sentais bizarre d’aller la déranger chez elle pour lui annoncer que sa sœur avait des problèmes. Je sonnais à la porte, je jouais nerveusement avec mes doigts, quand j’entendais un bruit d’enfant, et une porte qui s’ouvrait dans la foulée. C’était elle. Je soufflais un bon coup. Je ne lui laissais pas le temps de dire quelque chose que c’était moi qui parlait. « Désolée de te déranger, je sais qu’on ne se connait pas et j’ai eu ton adresse par un camarade Alpha. Je suis Tessa, une cousine à Aurea, ta sœur. » Qu’est-ce que je pouvais parler quand j’étais stressée, horrible. J’en profitais pour me taire le temps de lui laisser comprendre quand même les choses. La pauvre, je débarquais chez elle, comme ça, il fallait bien lui laisser un temps de réflexion.

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June D. J. Martin
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June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyLun 29 Sep - 21:29

    Charlie dans ses bras, la jeune femme cherchait à calmer son petit garçon qui faisait ses dents depuis maintenant quelques semaines. Il venait de passer le cap fantastique des un an, et l'anniversaire avait été à la hauteur de l'évènement. Sa marraine Elmas était présente, tout comme son parrain Gaël, les deux cherchant à la gâter le plus possible. Bien sur Davy était arrivée avec Sam, cherchant elle à faire le plus de grimaces possible au petit garçon qui semblait rire aux éclats dès qu'il croisait le regard de Tatie Davy. Décidément, celle là était faite pour faire rire les gens. Elle devrait peut-être envisager d'en faire un métier. Cet anniversaire avait été parfait même s'il manquait aux yeux de Meleya la présence de quelqu'un , la présence de sa sœur jumelle Aurea. Nul doute qu'elle aurait aimé que la tante de son fils soit présente au premier anniversaire de son fils. Mais la bulgare n'avait pas eu de nouvelles de sa jumelle depuis quelques semaines maintenant, ce qui connaissant Aurea, n'avait pas grand d'étonnant. Meleya n'avait même pas cherché à contacter sa mère, savoir si celle-ci avait eu plus de nouvelles qu'elle, parce qu'elle connaissait pertinemment la réponse. Jamais Aurea n'aurait donné de nouvelles à sa mère sans en donner à sa jumelle, c'était un fait purement et simplement avéré. L'anniversaire s'était donc fait sans Aurea il y a de cela quelques jours, et depuis, la jeune maman avait tout oublié, sans se préoccuper de sa jumelle. Celle-ci était grande et réapparaitrait quand elle le voudrait, peut-être avec une nouvelle surprise comme Enzo, comme elle l'avait fait la fois passée. Qu'importe, trop de choses occupaient l'esprit de la jeune bulgare, son mariage pour commencer, son fils et son association lancée il y a de cela quelques mois. Elle en était très fière t espérait que cela lui permettrait d'aider réellement les enfants de l'est dans le besoin. Mais ce n'est une chose qu'elle ne peut deviner aujourd'hui, une chose qu'elle pourrait vérifier une fois sur le terrain, une fois le premier orphelinat construit, une fois les premiers soins prodigués à tous ces petits anges sans parents, perdus et apeurés. Fut un temps elle était comme ça, mais elle avait fini par apprendre à vivre sans famille. Quand on a jamais connu quelque chose, il est difficile de dire que cela nous manque pas vrai? C'est pourquoi aujourd'hui, après avoir connu les gens d'une famille, de gens aimants comptant sur vous, Meleya ne se verrait plus sans sa famille, et souhaite plus que tout la protéger. Mais comme la majorité des femmes et la majorité des mamans après tout non? Ses pensées l'occupant tellement, elle n'entend pas la porte sonner. C'est son fils gigotant vers la porte que Meleya réagit. Le petit dans ses bras, elle ouvre la porte et fait face à une grande blonde au teint halé, une blonde que Meleya ne connait ni d'Eve ni d'Adam. Et voilà que la jeune femme débite son discours, annonçant d'une part qu'elle a eu son adresse de la part d'un étudiant alpha et d'autre part qu'elle est la cousine adoptive d'Aurea. Deux choses à digérer. Politique de confidentialité et respect de la vie privée, voilà deux choses que la jeune maman va devoir à apprendre à ses alphas qui ne semble pas comprendre qu'elle a une famille qu'elle doit protéger et qu'en raison de son statut internationale, elle ne peut pas s'amuser à donner son adresse à n'importe qui. Bordel, tellement intelligents et pourtant si naïfs parfois ces alphas … Deuxième chose à digérer, la venue d'un autre membre de la famille adoptive d'Aurea. Meleya qui imaginait une nouvelle surprise familiale de la part d'Aurea, voilà qu'elle est servie … « Et bien bonjour Tessa. Je te dirais bien d'entrer mais je n'ai aucune preuve que tu sois bien que tu prétends être. Et tu comprends bien que vu notre statut à ma jumelle et moi, je ne peux pas me permettre de faire entrer n'importe qui. » Un de ses gardes du corps se trouve un peu plus loin dans une voiture, cherchant le moindre signe inattendue et étrange qui pourrait se produire devant chez Meleya. « Si tu es bien la cousine d'Aurea, tu sais à quel point elle n'aime pas son passé et donc parler de sa famille adoptive. Je ne connais qu'Enzo aussi je ne sais rien de ses cousins. Dis moi un truc sur Aurea que seul quelqu'un de proche pourrait savoir. Et là, je pourrais te faire entrer. » Avec le temps, la naïveté de la jeune femme avait fini par s'effacer peu à peu, pour laisser place à une méfiance constante, parfois un peu trop omniprésente et sans aucune raison, mais la jeune femme n'avait guère le choix, elle en avait conscience. Tessa est-elle vraiment celle qu'elle dit être ? Si oui, pourquoi est-elle devant la porte de chez Meleya ? Trop de questions sans réponses …


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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyMer 1 Oct - 22:06

    Evidemment qu’elle demanderait une preuve de ma bonne foi, de si je connaissais bien Aurea. Mais comment savoir ce qui sortira vraiment du lot, ou trouver quelque chose que personne ne savait ici à Berkeley ? Et comment être sûr en même temps de ne pas révéler quelque chose de trop personne qu’Aurea ne voudrait pas que ça se sache ? Je passais mes mains dans mes cheveux devant la sœur jumelle de ma cousine qui me regardait et attendait ma réponse. Je pourrais dire qu’Aurea était une peste au grand cœur, qu’elle piquait des crises pour un rien, sauf que Berkeley avait dû en voir déjà de toutes les couleurs avec elle, encore plus Meleya. Je soupirais un bon coup, croisant les doigts dans ma tête pour ne pas dire de bêtises qui donnerait envie à Aurea de m’arracher la tête. « Rafael ? » Un simple prénom, mais je préférais juste dire ça. Si Meleya n’avait pas connaissance de Rafael, je ne préférais pas détailler plus sur le sujet. Je préférais continuer sur ma lancée de ce que je voulais lui dire. « Toi comme moi on sait qu’Aurea pourrait dire toute sa vie sur les réseaux sociaux ou je ne sais où. Je ne peux pas te faire preuve de ma bonne foi avec un simple prénom, surtout que c’est surement la seule chose qu’Aurea ne voudrait pas que ça se sache. » Son histoire avec Rafael en aurait surement détruit plus d’une. Aurea m’avait confié des choses quelques temps après qu’elle s’était enfuit de ses griffes. J’étais un peu plus jeune qu’elle, mais on était proche et elle se sentait obligée de me dire pourquoi elle était partie comme ça. Peu de monde pouvait adorer Aurea, mais surtout Aurea ne laissait pas grand monde entrer dans sa vie non plus. Je continuais donc. « J’ai besoin de ton aide, Aurea a des problèmes, Enzo m’a fait part d’un courriel que je pourrais te montrer pour preuve. » Je tapotais mon sac montrant un netbook que j’avais tendance à emmener partout. Et surtout là en fait. La lettre avait été crise de la main d’Enzo et scanné sur mon ordinateur. Si je lui parlais d’Enzo en même temps, s’était une façon de lui donner un deuxième prénom de son entourage. Mais comme depuis tout à l’heure, je n’étais pas sûre que Berkeley n’en était pas lui-même au courant.
    A part pour aider Meleya, je ne voyais pas pourquoi je pourrais être là de toute façon. Pour son argent ? Je n’ai jamais été des plus fortunées de ma vie, je ne m’en suis jamais mal portée bien au contraire. J’avais toujours estimé que l’argent était plus source de malheur que de bonheur. Je cherchais ce que je pouvais bien dire de plus pour convaincre la jeune futur présidente bulgare. Je la laissais réfléchir. Pendant ce temps, même si je n’avais pas bougé du pas de la porte, j’allumais le petit ordinateur, et cliquait sur un document nommé « lettre d’Enzo ». Pas très original comme nom pour un document scanné, mais ce n’était pas le plus important.


    Tessa,

    Je t’envoie ce courrier parce que j’ai besoin de ton aide. Depuis deux jours, Aurea a disparu. Je sais que c’est dans ses habitudes de partir, mais là c’est différent. Soit elle me prend avec elle, soit elle me prévient. Là, ni l’un, ni l’autre.
    Aujourd’hui j’ai reçu une demande de rançon. Il n’y a aucune trace de là où elle pourrait se trouver, mais il y a une demande de deux cent mille euros. Ça peut paraitre rien en sachant la fortune d’Aurea à l’heure actuelle. Mais je n’ai le droit de prévenir personne. Pas la présidence, pas la police, rien. Si je passe par toi, c’est que les ravisseurs ne penseront pas à toi pour avoir de l’aide.
    Retrouve Meleya, c’est la sœur d’Aurea, qui est l’autre membre également de la présidence au même titre qu’Aurea. Elle t’aidera très certainement.

    Ne me répond pas en retour, je suis très certainement surveillé.

    Je t’embrasse très fort. Enzo.


    Je tendais l’ordinateur des mains pour le donner à Meleya pour qu’elle le lise à son tour. A mon souvenir de ce qu’il y avait d’écrit sur ce scan, j’avais la gorge en boule. J’espérais vraiment que Meleya me croirait enfin avec ça.
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June D. J. Martin
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June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyVen 3 Oct - 14:47

    A la simple évocation de ce nom, Meleya comprend que la jeune femme face à elle est loin de se moquer d’elle. A moins qu’elle ne soit envoyée par le-dit Rafaël, mais soyons honnête, jamais ce dernier n’aurait osé se montrer à Berkeley, ou encore moins devant la jumelle d’Aurea. La découverte de leur patrimoine et de leur héritage, bien qu’intéressant et fascinant, l’aurait refroidi immédiatement. Peu importe l’attirance de Rafaël pour l’argent, jamais il n’oserait s’aventurer si près de la royauté bulgare, juste histoire de se protéger. Rafaël, ce simple nom suffit à convaincre Meleya. La jeune femme prénommée Tessa continua en expliquant qu’Aurea avait peut-être une passion pour se dévoiler aux yeux de tous sur les réseaux sociaux, mais jamais elle n’aurait été parler de Rafaël à qui que ce soit, sauf à quelqu’un de suffisamment proche. « Non, en effet c’est bien la seule chose qu’Aurea ne révèlerait pas à tout vient. Je ne sais pas si tu es sa cousine, mais tu es suffisamment proche d’elle pour connaître ce détail et ça me suffit amplement. Entres, je t’en prie. » Se décalant pour laisser passer la jeune femme blonde, Meleya regarde son fils et s’eclipse quelques secondes, juste le temps de le mettre dans son lit pour l’heure de la sieste. Retournant auprès de Tessa, Meleya s’assied sur son canapé aux côtés de la jeune femme, qui s’empresse de lui expliquer qu’Aurea a de gros problèmes, et qu’Enzo l’en a informé il y a quelques jours. Très étrange histoire que celle ci, suffismment pour attiser la curiosité de Meleya qui s’empresse de lire le dit mail. Ses yeux parcourent le tout, a la recherche d’un détail, d’un petit quelque chose qui pourrait la mettre sur la piste. Tout cela ne la rassure pas du tout, loin de là, bien que quelque chose la chiffonne. « Ok, ce message est très bizarre, je suis d’accord. Mais qui irait prévenir un garçon pas encore âgé de quinze ans ? Je veux dire ils ont la possibilité d’obtenir une plus grosse somme en passant par moi ou par Eva, et il passe par un jeune homme de quinze ans qui n’a pas un sous en poche, sinon celui de l’argent de poche donné par Aurea. » Non tout cela ne colle pas, tout cela est bien trop étrange mais inquiète Meleya. Elle pourrait bien sur sortir de la maison, aller chercher le membre des Services Secrets posté devant chez elle, mais pourquoi ? Prendre un risque ? Qu’importe les doutes que la jeune bulgare peut avoir, il s’agit de sa jumelle et elle ne prendra aucun risque la concernant. « Ok, je viens de penser au truc le plus étrange qui soit, mais et s’il s’agissait des mêmes ravisseurs qui m’ont enlevés étant petite ? Je veux dire ca ne m’étonnerait même pas qu’ils repartent à l’attaque. Et plutôt que de passer par ma mère qui risquerait de faire rapidement le rapprochement, ils ont préféré passer par quelqu’un de plus faible. » Tout se tient et pourtant, la jeune femme ne sait ni comment prouver sa théorie, ni remédier à la situation. Son premier réflexe serait de faire sécuriser Enzo, mais ce serait mettre Aurea en danger. Elle pourrait l’inviter à venir en vacances ici quelques jours, changer d’air et quitter la Bulgarie pour quelques jours, mais là encore, ce serait prendre le risque de dévoiler qu’elle sait tout. Non, hormis trouver une solution dans l’ombre, sans prendre contact avec Enzo, aucune solution ne pourrait convenir. C’est donc la seule que la jeune femme peut mettre en place, et pour ça, elle a besoin du soutien et de l’aide de Tessa. « Ok, on ne peut pas protéger Enzo en le faisant surveiller, ça finirait par se faire remarquer. On ne peut pas prendre le risque. Je ne peux pas le faire venir, ce serait un trop gros risque pour Aurea. Non on doit agir toutes les deux, dans l’ombre ... Mais ça risque d’être dangereux tu en as conscience ? » Après tout ce qu’elle a vécu, le danger n’effraie plus vraiment la bulgare, ni même un pistolet sur sa tempe. Autant dire qu’elle n’a pas peur de se mouiller dans cette affaire pour sauver sa jumelle. Mais Tessa l’est-elle ?
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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyDim 12 Oct - 2:44


    Evidemment que je me sentais proche de ma cousine, j'avais su assez jeune qu'elle n'était pas ma cousine de sang, mais je l'avais toujours considéré comme telle. Justement, j'étais surement plus proche d'elle que des vrais membres de ma famille. Aurea m'avait fait partager ce gout très prononcé pour être toujours la plus jolie possible, pour avoir du style du goût, mais aussi pour la folie. Aurea m'entrainait le plus souvent possible dans des soirées où je n'étais même pas en âge d'être et pourtant j'y étais. Ce que j'aimais chez elle, elle avait beau m'emmenait dans des soirées de fou, elle cherchait également à veiller sur ma sécurité. Cela définissait bien la bulgare italienne : une jeune femme au dur caractère et pourtant avec un cœur des plus tendres pour ceux qui cherchait à la connaitre. Je ne cherchais pas à gagner la confiance de Meleya mais je voulais lui faire comprendre que j’étais effectivement proche d’elle au point de moi aussi vouloir la sécurité de ma cousine. Quand elle me disait que la simple évocation de Rafael lui suffisait, j’en soufflais de contentement. Je lui donnais une preuve supplémentaire de ma bonne volonté. Ma carte d’identité. Etonnant ? « Je peux t’assurer également que je suis bien une Peyli, je sais qu’Aurea n’aurait jamais caché notre nom même après avoir découvert qu’elle était une Ivanova. » Je la remerciais d’un sourire quand elle me fit entrer chez elle. Je patientais dans le salon pendant que la jeune femme allait coucher son enfant. Jumelle et pourtant si différente. La vie de famille était loin d’être une priorité pour Aurea, pendant que Meleya avait déjà une belle maison et un enfant à sa charge. Elles n’avaient pas le même sens des priorités, et je devais avouer que j’avais tendance à penser comme ma cousine. J’étais une jeune femme qui savait prendre ses responsabilités, mais surement pas au point de faire une vie de famille maintenant. Enfin, je ne jugeais pas Meleya pour autant, je ne connaissais pas son passé, et ce qui l’avait amené à être mère.

    De retour avec moi, je montrais tout ce qu’il fallait à Meleya pour qu’elle comprenne ce qui se passait pour sa jumelle. Je comprenais à ses expressions de visage que ça la touchait autant que moi. « Je ne comprends pas non plus pourquoi ils s’en prennent directement à Enzo. Peut-être la peur d’être retrouvé plus facilement par la police, ou la garde rapprochée présidentielle. Mais Enzo est impuissant face à tout ça. Je pense que votre mère biologique ou toi aurait déjà utilisé les grands moyens, Enzo ne peut pas. » Cela pouvait se tenir, comme je pouvais entièrement me tromper. Il ne me manquait que des preuves pour infirmer ou confirmer mes dires. J’écoutais également l’hypothèse de Meleya qui se tenait également. Je comprenais qu’il pouvait mille et une raisons pour qu’on s’en soit prise à Aurea. D’autant plus que les présidents ou leurs héritiers étaient bien souvent les premiers visés en cas d’attaque. Tout devenait de plus en plus inquiétant. Et si par vengeance on faisait du mal à Aurea, pire, ils la tuaient ? Je ne préférais pas y penser. Avec Meleya, deux cerveaux, on serait capable d’être les wonder woman qui la sauverait. Je n’étais pas venue jusque Berkeley pour rien. « Je suis désolée de savoir que tu as vécu la même chose Meleya. S’ils n’ont pas réussi à obtenir ce qu’ils voulaient avec toi, ils pourraient revenir à l’attaque oui. Mais si c’est cela, ils ont eu des années derrière eux pour planifier leur vengeance, ce qui ne donne rien de bon encore. Connais-tu le nom de ceux qui t’ont fait cela ? En quelques recherches tu peux surement savoir ce qu’ils sont devenus non ? » Si on connaissait déjà les malfaiteurs, cela pourrait être une bonne chose, et encore. Même avec un nom, comment savoir ce que je pourrais faire ou ce qu’on pourrait faire Meleya et moi. J’étais totalement perdue, et qui est, aussi impuissante que devait se sentir Enzo. Mais je me sentais prête à faire le nécessaire pour ma famille, plus déterminée que jamais. Bien sûr que j’avais conscience que tout cela serait des plus dangereux, aussi bien pour Enzo, que pour Meleya, sa famille, moi-même, et bien d’autres que je n’imaginais pas forcément concernée. « Aurea a été là pour moi dans beaucoup de situation quand elle était en Italie, et bien même après avec la mort de ma mère. Alors je suis prête à tout pour la sortir de là, tout comme pour Enzo. Cela me tuerait de savoir qu’il arriverait malheur à l’un ou à l’autre. Oui je sais que ça va être dangereux, mais je suis prête à faire tout ce qui sera possible. » En un mot, j’étais déterminée. La question maintenant s’était qu’est-ce que l’on va faire ? Je n’avais ni l’argent, ni les ressources nécessaire autour de moi pour obtenir des informations, je n’étais que la petite Tessa Peyli, une jeune florentine de base. Je m’interrogeais à voix haute, et en même temps, je cherchais des informations auprès de la doyenne Alpha pour savoir ce qu’elle pensait faire. « On commence comment ? On donne l’argent à Enzo ? On cherche qui sont les ravisseurs ? On va chercher Aurea nous-même ? Ou moi-même d’ailleurs, tu as une famille également, tu ne peux pas foncer tête baisser non plus. » Je ne connaissais pas Meleya, mais je n’avais pas envie d’avoir sur la conscience l’idée que ses enfants deviennent des orphelins à cause de tout cela. Elle était mère de famille, alors si je devais agir seule, je le ferais sans problème.

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June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyMer 15 Oct - 1:09

    Pourquoi Aurea se met-elle toujours dans un tel pétrin? Pourquoi, elle en vient toujours à foutre un bordel monstre dans la vie de Meleya quand il n'y a aucune raison valable de le faire? Oui bien sur, Aurea n'a pas cherché volontairement à se faire enlever, ou même pire. Elle n'aime pas le danger à ce point. Mais en même temps, n'a-t-elle pas fait volontairement quelque chose qui en aurait eu ces conséquences? N'a-t-elle pas commis un acte suffisamment terrible? Meleya ne sait pas et finalement, elle ne veut pas savoir. Tout ce qu'elle désire, c'est que sa sœur soit libérée, saine et sauve, que l'on laisse tranquille Enzo, et surtout qu'on foute la paix à sa famille. Car s'en prendre à une famille de la sorte est quelque chose de terrible, et encore plus lorsque l'on s'en prends à la famille de la jeune femme. C'est fou comme quelqu'un n'ayant pas grandi auprès d'une famille, n'ayant pas connu cette joie, peut devenir si hargneuse quand il s'agit de sauver ses proches et ceux qu'elle aime. Une battante, elle a toujours été, c'est un fait certain. Mais une protectrice comme elle l'est, de la sorte? C'est quelque chose qu'elle est devenue après avoir rencontré sa jumelle, après être devenue une épouse, une veuve, et finalement une mère. Aussi, voir Tessa s'enquérir d'avoir son soutien ne l'étonne pas et ne l'effraie pas. Au contraire, cela lui donne de la force, celle nécessaire à sauver sa sœur et protéger Enzo. « Ne t'inquiètes donc pas. Tu m'as convaincu simplement avec ce prénom.» Et c'était vrai, jamais sa sœur n'aurait mentionné ce prénom ni même tout ce qu'il avait bien pu lui causer comme problème à n'importe qui. C'était bien trop personnel, bien trop noir comme problème, comme relation, et cela avait bouffé l'existence d'Aurea. Sa cousine finit par lui montrer le fameux mail reçu par Enzo, lui expliquant à quel point la situation était compliquée et perturbante pour tous. Meleya comprend tout à fait la difficulté de la situation et les probl-mes que tout ceci peut engendrer. Et finalement, une seule idée lui vient à l'esprit. Celle que ses anciens ravisseurs s'en prennent à sa sœur. En soit, ne serait guère une chose surprenante, même après toutes ces années. La seule chose étrange est qu'ils en avertissent Enzo et non pas Meleya ou Eva, qui auraient alors, bien plus à offrir niveau financier. « Peut-être la peur de se faire facilement attraper oui. Mais ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi Enzo. Il n'a aucun financement. Ils doivent bien se douter qu'il viendra forcément en parler aux Ivanova ou aux Peyli. Je veux dire, c'est absurde, totalement absurde. » Elle est perplexe la Ivanova, totalement, et ne sait pas vraiment quoi penser de toute cette situation. Elle aimerait pouvoir contacter sa mère, lui demander comment les choses évolueront, comment les choses peuvent être corrigées. Mais malheureusement, elle ne peut pas pour éviter de causer du tord à Enzo. « Tu sais, je ne suis pas bien sur qu'ils aient suffisamment de moyen pour surveiller vos échanges. S'ils demandent si peu, je pense que c'est parce qu'ils n'ont pas plus de moyens que cela. » En un instant tout change pour elle. Finalement, Enzo peut être mis de côté, peut être protégé. Eva peut être contactée puisqu'après tout, ils ne doivent pas avoir tant de moyen, et surtout, ils doivent vouloir simplement la somme désirée. Meleya ne peut pas s'en occuper personnellement, elle n'a jamais géré ce genre de choses et ne sait pas par où commencer. C'est affligeant de voir que l'on peut se laisser dépasser par les évènements avec une telle facilité. Mais même en étudiant tout ce qu'elle pourrait trouver dans les livres, Meleya ne pourrait jamais découvrir comment gérer une crise pareille. « J'imagine que je pourrais trouver leur nom, mais je vais devoir contacter quelques personnes hautes placées et qui risqueraient d'en parler à Eva. J'espère que tu comprends ce que ça implique. » C'est-à-dire, des hommes de la sécurité intérieure rodant autour d'elle, la questionnant sur Aurea, la surveillant, faisant la même chose avec Enzo. Rien de tout cela ne va être une partie de plaisir, loin de là. Et il faut que Tessa en soit pleinement consciente pour que Meleya puisse enclencher le processus. « Non je comprends ce que tu veux dire. Aurea est ma jumelle et peu importe à quel point nous sommes différentes, je ferais tout pour la sauver. Quant à Enzo qu'il soit important pour ma sœur ou non, je ferai tout pour le sauver qu'importe ce qu'il m'en coûte. » Et Tessa semblait l'avoir compris elle aussi, ce qui était plutôt une bonne chose. L'une et l'autre semblaient sur la même longueur d'onde, prêtes à tout pour sauver Aurea, quoi qu'il en coûte. « Non, aucune d'entre nous ne va aller chercher Aurea, ou aller donner l'argent par nous même. Nous allons contacter d'abord des membres de la sécurité intérieure de Bulgarie. Suivant ce qu'ils nous disent, nous contacterons les ravisseurs. » C'est fou comme Meleya ne sait pas comment les choses peuvent se dérouler. Elle se sent impuissante face à cette situation, perdue, ne sachant pas comment faire.
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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyJeu 4 Déc - 1:02

    Je n’avais pas pour habitude de passer pour une menteuse. Loin de là, déjà petite, mes parents prenaient mes paroles comme paroles de dieu. Je me retrouvais donc à devoir justifier que je connaissais Aurea. Heureusement pour moi que ce coup-là je l’avais senti venir. Ma chère et tendre cousine était une spécialiste pour se mettre dans des situations les plus improbables les unes que les autres. Mais c’était ce qui la caractérisait le mieux : les problèmes. Elle devait avoir des gènes prédisposaient pour ça. Ou alors elle avait accumulait les erreurs dans tellement de vie antérieure, qu’une seule vie ne suffisait pas pour tous les payer. Toutes les théories pouvaient être possibles quand on connaissait un minimum la vie de l’ex Epsilon. Le problème avec ma cousine, s’était qu’elle s’y prenait seule pour régler ses problèmes également, ce qui faisait que peu de personne n’était au courant. Des coups en douce ? Je devais avouer que ce n’était pas une italienne pour rien. Je hochais la tête de satisfaction quand elle me disait me croire pour « Rafaël ». Je devais donc supposer que Meleya et Aurea étaient bien plus proches que ce que je pouvais le penser. Cette histoire de Rafaël était la bête d’Aurea, une phase noire de sa vie qu’elle n’aurait surement mentionnée pour rien au monde. La curiosité me gagnait quant à leur proximité du temps où Aurea était à Berkeley, mais je pense que ce type de chose n’était pas pour maintenant. Ou du moins, ce n’était pas la situation appropriée pour cela. J’écoutais la théorie de Meleya sur le pourquoi du contact envers Enzo. J’admettais qu’elle n’avait pas tord. Enzo ne possédait rien, il n’était même pas un Ivanova, aucun lien avec la présidence Bulgare, rien. Son seul lien était d’être le frère de l’ancienne Epsilon. Alors pourquoi ? Je réfléchissais à une théorie la plus plausible possible. « Et si … Et si c’était dans les plans des malfaiteurs ? Je veux dire, si justement il avait prévu qu’Enzo nous parlerait pour faire monter le prix de la rançon après cela ? » Je savais bien que c’était des cours de droits que j’aurai du prendre en double cursus à Berkeley. Dans le fond, les cours auraient pu être utile j’en étais certaine. Comment savoir quoi penser, quoi faire, quand j’avais la sensation d’appartenir à un autre monde avec ce genre de conversation. Pour l’instant, je conversais par Skype avec ma sœur qui était à Paris, pour savoir comment ma nièce allait, la famille, ou parler de la pluie et du beau temps. Certainement pas de kidnapping. « Donc tu penses qu’on peut contacter votre mère sans problème ? Il faut être sûr pour Enzo, je ne veux pas prendre le risque pour lui ou pour Aurea qu’il y en ait un de deux qui soit… enfin tu vois…» Le son de ma voix baissait à la fin de la phrase. Tuer, c’était le mot que je souhaitais employer mais je n’y arrivais pas. Fallait-il que je me prépare à ce genre de chose ? A enterrer ma propre cousine avec mon cousin ? Et consoler la famille en sachant que j’étais au courant du risque qu’ils encourraient ? Une boule d’angoisse me montait à la gorge rien qu’avec ses pensées là. Il n’était pas concevable que je perde ma famille comme cela. Je jouais avec mes doigts et priais pour ne pas fondre en larmes. Emotive était un terme qu’on me définissait sans problème. S’était en regardant le sol que je répondais à Meleya. « Si je viens vers toi, c’est que je ne savais pas vers qui me tournait. Alors je te fais confiance, et je te suivrais dans ce qu’il faudra faire. Quand tu me demandes si je sais ce que ça implique, et que la réponse est que ça pourrait me couter la vie, je te dirais que j’en suis consciente oui. » J’avais toujours eu une tendance à penser aux autres avant moi-même, Aurea ne dérogeait pas à la règle. Et pour Meleya ça semblait être pareil, elle était prêt à se donner corps et âme – ou presque – pour eux deux. Je lui sourirais timidement, je ne voulais pas paraitre enjouer, mais lui faire comprendre que j’appréciais grandement son aide. Je ne serais pas dire ce qui allait devenir de nos relations avec Meleya, mais sur l’instant même je pouvais dire que je l’appréciais. « Tu penses pouvoir les contacter quand ? » Voilà, tout était lancé, il n’y avait plus qu’à être un bon soldat et voir ce qui allait advenir de nous. J’étais inquiète je devais l’admettre. « Meleya, que penses-tu ce qu’il va se passer ? C’est pas mon monde tout ça, les kidnapping, la haute société, les gardes rapprochées et j’en passe. Je suis qu’une simple Florentine qui est venue faire des études à Berkeley. Aurea était peut être à l’aise avec tout ça, mais pas moi. » Je me confessais auprès de la brune sur mes craintes, mes peurs. Cela pouvait paraitre égoîste, et pourtant ce n’était pas le cas. J’avais peur pour tout le monde, ma cousine, son frère, moi, mais également pour Meleya, sa petite famille, et surement des personnes que j’oubliais et qui pourraient être impliquées.
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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya « tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer » w/ meleya EmptyDim 4 Jan - 17:01

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