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Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony]

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MessageSujet: Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] EmptyVen 3 Oct - 23:31

Le chat et la souris~
Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix.

Il y a des jours comme ça où l'on change d'air. Où, finalement, les endroits rock n'roll ne nous attire pas plus que ça. Mais souvent, derrière tout ça, se cache tout de même l'envie de s'amuser et de faire des choses qui ne sont pas plus respectables. Aujourd'hui, j'avais prévu de sortir avec Ebony. Cette fille, je la connaissais d'une certaine façon bien plus intimement que quiconque pourrait le penser. Nous ne nous connaissions pourtant pas sur le bout des doigts, bien au contraire. Chacun avait ses secrets et ce que nous connaissions l'un de l'autre n'étaient que le goût de nos lèvres et le toucher de nos corps. Jamais, pourtant, nous n'avions passé le stade du vêtement. Aussi surprenant que ça puisse paraître, je n'avais jamais eu le droit de la dévêtir pour la posséder pour une nuit. Elle ne m'en avait pas donné l'autorisation une seule fois encore. Pourtant, elle m'allumait et je savais que plus elle me poussait, plus j'approchais de l'instant ultime ou je craquerais et déchirerais ses vêtements pour la posséder avec ou sans son consentement. La violer ? J'étais sûr que, derrière tout ça, elle n'en serait que plus consentante. Il suffisait juste que je la manie à la perfection. Que je trouve ses points faibles pour la repousser dans ses retranchements et la faire craquer à son tour. Avait-elle un copain ? C'est ce que je pensais. Zayn était sensé être son petit ami à mes yeux et je surveillais qu'il ne soit jamais là quand nous nous retrouvions collé-serré. Jusqu'à présent, nous ne nous étions jamais fait prendre jusqu'au jour où... Mais je m'en fichais. Je n'étais pas particulièrement regardant là-dessus. Ce n'est pas comme si je sortais avec elle.

Nous avions prévu de nous retrouver ici-même, parce que c'était un coin qui n'était pas souvent fréquenter par des gens comme nous. La gallerie d'art, qui aimerait y poser les pieds ? Même moi ça me gavait de devoir y entrer et de payer pour aller visiter des tableaux que je ne regarderais même pas. Peut-être était-ce son délire ? Ou bien avait-elle encore une idée derrière la tête... Il y a peu, j'avais été élu pour servir de bras droit dans la trinité de la confrérie. Je me demande bien comment et pourquoi, moi qui n'était pas le plus sérieux, bien au contraire. Mais étant donné que Charlotte était ma chef, je me devais de filer droit dans mon boulot confié afin de ne pas lui attirer d'ennuis. Et puis ça pouvait toujours me servir d'avoir ce statut et, j'avoue, que je comptais bien en profiter auprès de nos nouvelles recrues féminines. A cette pensée, un sourire des plus pervers étira mes lèvres ce qui causa quelques interrogations et l'éloignement d'un petit groupe de mamies qui me dévisageait avec surprise et dégoût. Vu comme j'étais sappé, je n'avais pas l'air d'un bon garçon mais plutôt d'un voyou et déjà, je remarquais le regard du vigile. Je lui fis d'ailleurs un signe de la tête pour le saluer et il me répondit par un regard accusateur. Ce n'est pas comme si j'avais l'habitude de faire des conneries, si ? Ah bon, ça se lisait sur mon visage ?

La belle brune m'apparut et je lui faisais signe automatiquement, la laissant se diriger vers moi avant de la saluer comme il se doit.

« T'en a mis du temps. Tu te faisais belle pour sortir avec moi ? J'espère au moins que tu as mis des dessous sexy. »

Je détournais le regard, balayant la pièce de mes yeux tout en lui tendant son ticket d'entrée que j'avais pris soin de lui payer. J'étais tout de même galant et serviable à mes heures perdues.

« Bon, et tu comptes faire quoi ici, tu peux m'expliquer ? Parce que si ta passion c'est la peinture, perso, moi je déteste ce genre d'endroit ennuyant à mourir. Mais ce qui est bien, c'est qu'il y a un cocktail de prévu apparemment. Donc t'as de la chance, j'ai la dale. »

Mes yeux s'était posé sur l'affiche qui annonçait les festivités bien que le mot était grand. Un illustre peintre semblait avoir fait son exposition et invitait ses convives à participer à l'expo avant de déguster un buffet. C'est sûrement le seul point positif à cette sortie. Je regardais à nouveau Ebony et lui fit signe de me suivre alors que je me dirigeais à l'entrée de la salle adjacente, lieu du rendez-vous pour tout le monde.
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MessageSujet: Re: Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] EmptyMer 8 Oct - 21:20


 
Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix.

 
 
Ebony&Athanaël ⊹ Elle allume sa cigarette et recrache la fumée qui s'échappe en cascade grisâtre sous le néon de la lumière tamisée qui habille son corps d'un halo diablement attrayant. Regard de braise au barman, il la ressert sans même qu'elle n'ai besoin de lui redemander. Et elle sait aussi qu'à la fin de sa petite soirée improvisée elle ne paiera pas ses verres car l'homme qui la dévisage depuis le début de la soirée, de l'autre côté du comptoir le fera avec grande allégresse. Mais Ebony ne le regarde pas une seule seconde et ne lui accorde aucune attention même partielle. Elle se fout éperdument qu'il la dévore d'un regard de braise qui attiserait les envies les plus perverses. Parce qu'Ebony elle se sait désirable à un point qui surpasserait même l'envie irrémédiable que l'on aurait face à une femme élancée et d'une blondeur accablante. Ces visages à la Kate Moss n'avait rien à voir avec le charme incurable qu'elle reflétait et qui attisait les convoitises sur son passage. Parce que Bonybitch avait une beauté maléfique. Elle incarnait le mal et les pêchés les plus mortels tous réunit en un seul corps et sa vilénie se lisait sur son visage extatique et son corps désireux d'entreprendre chaque jour une aventure supplémentaire. Son visage mutin et son regard sombre inquiétait comme il envoûtait et la demoiselle cajolait chaque idée malsaines envers elle avec un plaisir unanime. Mais c'était un honneur d'être transporté par ses sens tout simplement parce qu'elle avait toujours vu les gens qui l'entouraient comme des pions qui seraient peut-être un soir, utilisé pour son profit et amusement personnel. Seulement ce soir, elle avait d'autres chats à fouetter et d'autres vies à retourner et ce ne serait pas en compagnie de ce mâle en rute qu'elle se laisserait bercer au son des plus beaux blasphèmes. Finissant le whisky qu'elle avait entamé elle tirait de nouveau sur sa cigarette avec peu d'entrain en laissant glisser son souffle chaud entre ses lèvres entre ouvertes. Un spectacle dont se délectaient avec soin le barman et l'invité de fortune dont elle sentait la présence se rapprocher. En l'espace de quelques instants il était à ses côtés, lui demandant ce qu'elle pouvait bien fuir en se réfugiant dans ce bar. Un sourire énigmatique étreignait alors les lèvres de la belle pendant qu'elle levait les yeux vers le barman qui la connaissait depuis de longues années. Lui-même semblait amusé de voir la proie qui s'était jeté lui-même dans les filets de la déesse des ombres. Il en était même plus qu'amusé. Parce que souvent, il la voyait partir avec un homme et souvent il revoyait ces mêmes hommes revenir, complètement dépités par ce qu'ils avaient pu vivre au côté de cette garce incontrôlable. Parce que Bony elle s'adonnait à tous les plaisirs et appréciait particulièrement l'idée de ne jamais vivre un jour de la même façon. Parce qu'elle était une accro à l'adrénaline rendant sa vie des plus dangereuses et entraînant par la même occasion les pions qu'elles choisissaient avec soin autour d'elle. C'était un animal sauvage au milieu d'un grand pré remplit d'idiotes bêtes à bouffer. Mais le jeu n'en valait pas la chandelle ce soir. Chance pour l'homme qui allait se faire rabrouer avec un désintéressement total, il n'imaginait pas que sa déception serait moins pire que de finir une nuit avec la Asher-Grey. Certains avaient de la chance et finissaient par tomber entre ses bras, le temps d'une nuit qui leur serait à jamais, inoubliable. Bien évidement, le lendemain, elle disparaissait sans laisser de trace, échangeant les rôles et brûlant des fiertés à n'en pas douter. Mais certaines fois, les choses ne se passaient pas ainsi. Et tous regrettaient alors de s'être frôler au diable en personne. Ebony tounait alors son regard vers l'homme qui payait déjà sa consommation abusive pour une femme aussi menue, espérant hâter l'heure où il l'amènerait avec lui dans un taxi. Mais Ebony avait déjà tourné son regard malicieux vers lui. Elle lui caressait la joue avec condescendance, se levait et disparaissait après avoir jeter un dernier regard vers le barman pour lui souhaiter une bonne soirée. Faisant claquer ses talons hauts sur le bitume fumant après une pluie drue qui s'était abattue sur la ville, Ebony se dirigeait vers la galerie d'art où l'y attendait Athanaël. Elle aimait les lieux de ce genre. Tout bonnement parce que la population d'une richesse provocante était un amusement rare. Des plus soumis et si hautain que c'en était encore plus bon d'y faire des ravages. Et puis, en sachant pertinemment qu'Ebony Asher-Grey serait au sommet du monde en sortant de ses études, ce genre de soirées mondaines devaient honorer sa présence et elle comptait bien encore une fois, transformer l'ambiance à sa convenance. Son regard se déposa langoureusement sur le visage de son nouveau bras droit, attendant à l'entrée avec une impatience non feinte. Elle s'approchait alors à quelques centimètres de lui, frôlais sa joue de son visage impénétrable et venait susurrer quelques mots à son oreille. Tu vas être déçue alors car je n'ai rien mis ce soir. Lui faisant face de nouveau, elle n'esquissait même pas un sourire de ses paroles provocatrices. En réalité, elle ne trouvait pas sa remarque choquante parce que Bony elle avait toujours été comme ça. Décadente et d'une insolence rare. Chaque chose en son temps beau brun... Cette fois-ci, son visage se muait en une expression joyeuse pour se fondre dans cette foule d'invités rayonnants. Elle passait alors au milieu de la masse pour entrer dans la galerie où s'exposaient des toiles à perte de vue. Se tournant de nouveau vers mon invité, elle l'observait de la tête au pied. Comme quoi tu peux avoir bons goûts parfois. Son impertinence était à son comble ce soir apparemment. Elle sortait alors de sa pochette deux petites pilules et attrapa à la suite, deux coupes de champagne qui voltigeaient à travers les regards, sur un plateau tenu par un serveur d'une habilité impressionnante. Elle lui tendais alors une coupe avec un sourire mortellement cruelle et lui plaçait dans sa main, la pilule rose que qu'elle avait apporté avec elle. Vu que tu es nouveau dans la trinité, je me devais de t'inicier un minimum à une soirée de la doyenne en personne. Je t'en prie, c'est tout maturel... Parce que tout ceux qui l'avaient vécu s'en rappellerait toute leur vie qu'elle pensait en lui faisant un clin d'oeil et trinquant contre son verre en cristal... True story ...


 
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MessageSujet: Re: Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] EmptyVen 10 Oct - 12:43

Le chat et la souris~
Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix.

Est-ce parce qu'elle savait qu'il l'attendait qu'elle le faisait attendre autant ? Avant même qu'il ne fasse partie de la trinité il avait entendu beaucoup de choses concernant la doyenne Ebony. Bonybitch est le surnom qu'on lui donne, c'est à se demander pourquoi. La première fois qu'il l'avait vu, il était bien décidé à la glisser entre ses draps mais c'est sans compter sur les avertissements de nombreuses personnes qui lui ont conseillés de laisser tomber cette idée. Pourquoi ? Même si elle était prise, ce n'était pas lui qui serait jaloux. La simple raison c'est qu'elle était totalement inaccessible. Elle était, est et sera toujours la fille inaccessible. Elle vous regarde de ses yeux de braise, vous force à penser à tout un tas d'hypothèse, de mise en scène toutes plus torrides les unes que les autres et disparaît quand vous venez tout juste d'en avoir l'eau à la bouche. Cruelle personne. Indigne déesse. Pourriture. Mais quelle délicieuse pourriture. Il peinait à tenir quand elle le frôlait, quand sa délicatesse jouait avec l'homme qu'il était. Indéniablement, un jour, il pourrait la gouverner, la piloter comme une formule un. Peu importe les moyens qu'il emploierait pour ça. Elle était la doyenne et la personne qu'il devait respecter plus que tout, même si l'envie était irrépressible... de visiter les courbes de son corps, de jouer l'indécis entre ses reins, de prôner la brusquerie, la sauvagerie. Il l'imaginait diablement possédée.

Mais elle était là et dans un lieu bondé. Impossible pour lui de mettre ses plans en action. Des plans ? Il n'oserait pas. Un sourire ourla ses lèvres et son regard se releva sur le sien après les avoir plongés dans la volute de son décolleté pas assez découvert selon lui. « Tâche de ne pas finir à quatre pattes. De la façon dont tu es habillée, n'importe qui pourrait s'approcher des portes de ton paradis. » N'importe qui mais surtout lui. Ils pénétrèrent dans la galerie, et Athanaël se demandait bien comment il ferait pour survivre à une soirée comme celle-ci. Il n'imaginait pas que la belle Bony se prendrait de passion pour l'art de la peinture. Ses longues visites dans les musées quand il était plus jeune ne lui avait pas laissé de très bon souvenirs. « Parfois ? Tu serais étonnée du nombre de goût que je peux avoir. » Sous-entendu ou pas, bien sûr. Il balaya la salle du regard, ne pouvant à peine apercevoir le fond au vue des personnes déjà présentes qui lui bouchaient toutes visions. Une coupe de champagne tendue sous son nez et il reporta son attention que la doyenne qui avait alors une expression tout autre. Il prit le verre de cristal et baissa les yeux pour voir, au creux de sa main, le petit bonbon magique. « Sache que si tu veux m'initier avec cette chose, c'est raté. Je suis particulièrement incontrôlable avec ça. » De nouveau, ses lèvres s'élargirent en un sourire particulièrement amusé. Il posa, sur sa langue, la pilule rose, ceci en figeant son regard dans celui de sa doyenne. Puis il fit claquer le cristal contre le sien, le son résonnant mélodiquement à ses oreilles et finalement porter la coupe à ses lèvres pour s'abreuver du champagne hors de prix et forcément délicieux. Il échappa un soupire de satisfaction en fermant brièvement les yeux. « Qu'est-ce que ça fait du bien de goûter à ce genre de chose. » Il leva bien évidemment son verre, parlant effectivement de la boisson coûteuse. Alcool et drogue, est-ce vraiment le bon mélange à faire dans un lieu où l'on doit bien savoir se tenir ? Un coup d'oeil à gauche, puis à droite. Pas de petits fours en vue. Il se pencha en direction de Bony, plaquant son torse contre sa poitrine pour simplement venir murmurer au creux de son oreille. « Tu es vraiment cruelle de venir ici. Tous les vieux te regardent comme un morceau de viande et j'imagine qu'à leur âge, il n'est franchement pas raisonnable de les appâter de cette façon. » Il se décolla d'elle et échappa un rire amusé, lui pointant du doigt un septuagénaire dont le regard était braqué sur elle.
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MessageSujet: Re: Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] EmptyLun 13 Oct - 22:15


Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix.



Ebony&Athanaël ⊹ Peu irritable ce soir, c'était une aubaine pour l'entourage d'Ebony. Soirée guindée, petits fours aux goûts d'une douceur raffinée, la jeune femme appréciait le clinquant des invités et les paroles racées qu'elle entendait autour d'elle. Elle avait beau être une gamme de première notoriété, ce qu'on pouvait dire lorsqu'on l'a connaissait réellement c'est que ce milieu elle le connaissait très bien pour avoir empiéter un nombre incalculable de fois dans ces supercheries divines suintant le fric et l'opulence démesurée. Parce que Bony était dévorante d'envies concernant son avenir. Ce qu'elle savait c'est qu'elle voulait atteindre le sommet. Et de soit, elle avait attiré pas mal d'epsilons sans le vouloir. D'ailleurs son ami d'enfance qui venait de quitter Berkeley n'était autre que le réputé Jayan, son ex aussi et celui de la détestable Rosenbach juchée sans cesse sur des talons stratosphériques. Défiant les lois des confréries, les deux ne s'étaient jamais perdus dans les couloirs, passant leur infime temps libre à se voir et à se montrer à quel point il s'appréciait. Et bien évidement, la populace de Berkeley s'était toujours demandé ce qui faisait que la jeune femme pouvait se permettre le droit d'atteindre les coeurs de nombreux epsilons. Le jeune homme était partit pour commencer sa carrière politique mais elle savait très bien que leur chemin allait se recroiser. A la maison blanche, au sommet du monde, là où son pouvoir serait illimitée et ses méfaits accomplis avec la plus grande bénédiction. Couvant ce souhait révélé à Pavel, son meilleur ami qui écumait la même confrérie qu'elle, la diablesse caressant la coupe en cristal où j'agissais les bulles frétillantes, à la surface du liquide d'or. Portant une nouvelle fois le millésime à ses lèvres, elle irradiait d'une aura confiante et assurée montrant qu'elle était parfaitement dans son milieu. Ebony était un caméléon. Contrairement à ses confrères elle avait toujours trouver sa place n'importe où et sa manière d'agir précisément à cet instant, ne faisait que prouver cette remarque. Se délectant du plaisir divin de connaître une plénitude mesurée rare chez elle, elle observait le sourire enjôleur de son convive sans jamais détacher une seule fois son regard du sien. Elle haussait un sourcil à ses remarques constatant que son audace était indéniable depuis son arrivée chez les gammas et depuis peu, dans la trinité. Et alors ? Le pêché est encore plus présent lorsqu'on en est si proche mais qu'on ne peut l'atteindre... Sourire en quoi, elle voyait le jeu qu'il jouait. Brodant des remarques malsaines à tout va, le jeune homme jouait avec elle tout en jouissait profondément de sa tenue vestimentaire aguichante à souhait. Mais Ebony était une proie difficile à atteindre. C'était quand elle voulait, où elle voulait. Jamais le contraire. Les règles du jeu elles les avaient toujours dictées et jusqu'alors, jamais aucun homme n'avait réussit à retourner la situation contre elle à son plus grand damne d'ailleurs. J'aimerais bien voir ça mais j'aurais peur d'être affreusement déçue. Le fantasme semble bien plus enchanteur... La provocation non feinte de la jeune femme, éveillait le vice dans le regard du jeune homme et elle s'en délectait avec toute la force dont elle en était capable. Ebauchant un sourire pénétrant elle continuait à concocter dans sa tête, des plans rocambolesques pour affirmer cette soirée, réussite. Ebony lui tendait alors des pilules qui pourraient le faire monter au septième ciel sans son aide au préalable mais il semblait amusé par son geste. Désespérée par son attitude, elle levait les yeux au ciel. Ha oui ? Tant mieux. Prends-en, ce sont les meilleurs de toute la ville. Bony d'une modestie imparable ? Evidement. Mais il était vrai qu'elle était redoutablement reconnue comme la dealeuse qui faisait le plus de chiffre. Sa bicoque renfermait une quantité astronomique de produits, qu'elle refourguait en un rien de temps. C'est pourquoi la jeune femme n'avait aucun mal pour vivre mais sans revenu et sans l'aide de ses parents qu'elle refusait, s'estimant indépendante jusqu'au bout des ongles. Dois-je en juger que tes parents ne sont pas fortunés ? Rare était les fois où Ebony s'intéressait à la vie des autres mais en vue de sa remarque, le Moet n'avait pas été une habitude dans ses soirées entre amis. Pour elle c'était différent. Elle en avait pris l'habitude en s'incrustant dans toutes les soirées de ce type dès qu'elle en avait l'occasion et bien évidement ça avait été très souvent d'un facilité déconcertante. Il se rapprochait alors d'elle et plaquait son corps contre sien pour s'approprier ce qu'elle ne comptait pas lui offrir aussi facilement. Le sexe n'a pas d'âge et j'espère me conforter dans cette idée jusqu'à la fin de mes jours si je ne trouve pas un antidote contre la mort évidement. L'immortalité me branche plutôt bien. L'éternel Bonybitch... Incroyablement délicieux à l'oreille. Un sourire carnassier s'échappait de ses lèvres et elle se retournait face aux hommes âgés qui la contemplaient effectivement, sur leur trente et un tout comme elle. Délestant la compagnie d'Athanaël, elle avançait d'un pas assuré vers l'homme qui lui faisait face et le séparait de sa compagne par sa présence entre leur deux corps. Se foutant éperdument de briser une conversation aussi peu passionnante que celle qu'elle pouvait entreprendre avec des gosses de cinq ans, elle passait alors un doigt séducteur le long du visage du sexagénaire. Dommage que tu sois venue avec elle. J'ai apprécié notre dernière soirée. Lorsque tu auras réussit à la larguer devant la petite maison dans la prairie, appelle moi... Et avec un sourire charmant, elle s'échappait de la riposte de l'homme pendant qu'elle récupérait Athanaël en lui attrapant la main. Se faufilant à travers la foule elle entendait déjà la dispute qui faisait rage. L'homme n'avait rien dû comprendre à cette gamine complètement barge et sa femme devait dorénavant se faire des idées. Méfaits accomplis. Pouffant, Ebony glissait sur son passage quelques pilules dans les verres des invités trop confiants envers la richesse du décor pour imaginer devoir être attentifs à ce qu'on pouvait fourrer dans leur verre. S'arrêtant plus loin dans la salle, elle refaisait face au gamma qui l'avait suivi dans sa dispersion brutale. Hum ... Tu disais ? Comme si de rien n'était, elle dégageait pourtant une réelle aura malsaine malgré son sourire des plus innocent...


 
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MessageSujet: Re: Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] EmptyMar 4 Nov - 2:27

Le chat et la souris~
Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix.

Ebony était le genre de fille que toutes les filles rêveraient de copier. Les plus jalouses d'elles, oseront lancer tout un tas d'obscénités ou d'insanités sur elle. En vérité, la jalousie fait beaucoup parler et c'était certainement ce qu'Ebony savait faire de mieux. Tandis que les hommes, eux, rêvaient de la saisir pour pouvoir chanter au creux de son nombril tout un tas de mélodie érotique. Mais jamais elle ne se laissait saisir. Elle était comme de l'eau, comme de la fumée, incapable d'être attrapé. Elle était un délicieux bonbon fourré à l'arsenic. Elle est rose aux épines mortellement empoisonnée. Et plus il la regardait, plus tout ceci était infime face à ce qu'elle dégageait. Elle aurait pu être le diable en personne. Elle avait peut-être réussi à lui vendre son âme pour être aussi redoutable. « Les flammes de l'enfer te vont si bien Ebony. Elles s'accordent parfaitement à ta personne. Le pêché n'est plus un problème. Il est inutile de te préciser que jamais le paradis ne t'ouvrira ses portes. Ceux qui oseront succomber à ton charme deviendront les disciples du diable dans l'instant. » Il leva son verre comme pour lever un autre toast et porta le cristal à ses lèvres pour se délecter de son liquide piquant. Il ne put s'empêcher de sourire à sa remarque. Il haussa à peine un sourcil en attrapant un petit four sur le plateau qui passa non loin de lui d'un serveur. « Ou alors affreusement contenté... Tellement que tu ne voudras que ça et ton précieux Zayn finira sur le carreau. » Il dégusta le petit four lentement, comme si c'était la première fois – et ça l'était – qu'il mangeait ce genre de nourriture. Bonne à souhait. Si bonne qu'il attrapa le plateau en aluminium et repoussa la main du serveur qui s'apprêtait à le lui reprendre. Ce plateau portait un nom à présent. Le sien. Il sourit et inclina la tête au serveur qui, ne sachant pas quoi faire d'autre, partit en quête d'un second pour faire son service. Athanaël proposa aimablement un petit four à Ebony. « Il le sont. Mais ils pensent que je ne mérite pas leur fortune. Considérant que mon plus jeune frère sera celui qui bénéficiera de tout. Ce n'est qu'un rat... Et quand les rats peuplent mon territoire, je les élimine après les avoir appâté. » Un faible sourire s'afficha sur le visage du gamma sans que l'on ne puisse distingué s'il s'agissait d'un sourire amusé, moqueur ou complètement sérieux sur ses dires. Il s'empara d'un autre petit four qu'il glissa entre ses lèvres. Foie gras. Les meilleurs. « Sais-tu que ton corps ne pourra jamais devenir immortel même si ton esprit, lui, l'est ? Tu finirais par perdre des lambeaux de chaire. Je parie qu'à ce moment là, tu deviendras bien moins désirable. Non... je préfère que tu meurs quitte à pouvoir empailler ta jolie poitrine pour m'en faire un oreiller. » Son regard glissa le long de son décolleté, admirant ses deux globes bien galbés, à peine caché. Un soupire presque rêveur lui échappa et il reporta son attention sur le petit vieux qui peinait à ne pas la regarder. Elle s'échappa et il s'approcha à peine juste pour pouvoir l'entendre, abandonnant son plateau sur la table du buffet. Un sourire amusé étira ses lèvres et il n'eut d'autre choix que de la suivre quand elle l'entraina dans son sillage. Il la regarda et hocha la tête. « Je n'imaginais pas que ça pouvait t'exciter ce genre de chose. » Il jeta un coup d'oeil vers le couple de sexagénaire qui était partit pour une dispute endiablé. Il rit silencieusement et se tourna à nouveau vers la doyenne. Qu'il poussa soudainement vers l'arrière. Il avait jugé la distance et l'avait tenu de sorte à ce qu'elle ne tombe pas dans la violente manipulation et poussa la petite porte de bois derrière eux. Ils venaient de rentrer dans une sorte de placard qui était juste dans la même pièce que tout les invités mais personne n'avaient pu les voir s'y engouffrer. Il posa sa main sur la bouche de la jeune femme. « Tu mériterais juste d'être punie. » Il eut un rire amusé, poussant du pied une caisse en carton histoire d'être moins à l'étroit. Ses yeux dilatés, sa respiration légèrement chaotique. Pour sûr que, cette fois, il planait paisiblement à mille lieu de là. Il retira délicatement sa main de la bouche de la doyenne et la détailla sans gêne. « Tu pari quoi ? On se fera choper ou pas ? » Il releva son regard sur elle, jusqu'à se perdre dans ses yeux de braise. Son corps, lui, n'avait pas bougé et restait entre elle et la porte, l'empêchant de sortir.
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MessageSujet: Re: Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] Tes cris raisonneront en écho faisant chanter les peintures sur les toiles hors de prix. [Ebony] EmptyDim 9 Nov - 1:00



Ebony&Athanaël ⊹ Son regard brûlant se dévoilait dans ses pupilles d'un vert foncé. La fièvre la condamnait à délivrer les flammes de son exaltation à qui se soumettrait à sa présence mordante. Elle s'empressait de répudier les fanatiques de ses usurpations pour faire le tri entre ceux qui vaudraient la peine d'appréhender son attention, et ceux qui ne lui donneraient que l'envie de passer son chemin. Si Athanaël était entré dans la confrérie, c'était pour la première raison et aujourd'hui, son arrivée au sein de la trinité confirmait ce qu'elle avait pu observer dans ses moments de torpeur, chez le jeune homme. Ensemble, ils dégageaient un charisme indéniable. Il était évident qu'elle n'allait pas laisser passer une telle occasion pour mettre en place une soirée riche en rebondissements et d'une noirceur irrévérencieuse. Déployant les chaînes de l'enfer, se foutant des congénères présents à travers les salles immenses accueillant mondanités en tout genre, Ebony ne passait jamais inaperçu et c'était avec ferveur qu'elle s'employait à se faire voir. Se différenciant déjà en vue de la provocation involontaire qui armait son corps de selphyde, la jeune femme n'avait souvent pas besoin de grand chose pour que ses pas témoignent d'une attention toute particulière à son égard. Mais loin d'avoir pourtant l'envie de faire débat au sein même de cette orchestration plus que théâtrale, elle préférait se demander ce que lui réservait cette soirée au côté du jeune homme. Car si elle l'avait invité, ce n'était en rien pour faire connaissance ou briser quelques esprits puritains mais bien de savoir si elle avait fait le bon choix en le nommant bras droit de la confrérie qui l'avait vu à sa tête pendant de nombreuses années. Pour l'instant, loin d'exploiter sur son visage, une timidité qui aurait été mal accueillie, il prônait une confiance imperturbable dans son allure comme sa manière de se comporter avec la jeune femme. Loin de refouler avec nonchalance, cette manière d'agir, Ebony appréciait la motivation d'Athanaël à paraître son égale en toutes circonstances. Bien qu'elle n'imaginait pas une seule seconde qu'il puisse réussir à l'égaler, elle pouvait au moins dire que ses efforts n'étaient pas vains. Poussant à l'extrême l'étendue de son insolence, elle prisait l'ambiguïté provoquée en une seconde, par ses propos. Elle n'arrivait pas encore à cerner ce que le gamma valait mais ce qu'elle était sûre, c'est qu'ils étaient rares, ceux qui pouvaient se permettre de dire qu'ils avaient attirer l'attention particulière, de la reine gamma. Et ils me remercieront de les avoir empêcher de faire la plus belle erreur de leur vie en s'enfuyant dans l'apocalypse de l'ennui. Qu'elle soufflait entre ses lèvres désirables en appréciant ses paroles révélatrices de bien des maux la concernant. Ce n'était pas nouveau celui qui tentait de lui mettre en face une réputation prônée, inventée et réinventée au fur et à mesure des années. Lui, il le disait haut et fort et semblait se délecter de ce qu'on pouvait lui prêter comme statut. La jeune femme souriait malicieusement. Pour personne elle n'aurait souhaité les doux nuages doucereux à la lueur dévastatrice des flammes empiriques des bas fonds. Sachant pertinemment qu'elle emmènerait quelques âmes avec elle, Ebony avait bien du mal à croire qu'on prête au mal, le simple fait que de n'avoir jamais eu de limites dans sa vie. Désespérance humaine... Elle haussait un sourcil à sa suffisance remarquable en ventant ses mérites face à elle qui n'avait jamais réussit à voir être supérieur, lorsqu'elle englobait de ses prunelles blasphématrices, son quotidien. Mais son audace était bien reçue comme toutes les autres remarques qu'il avait pu lui faire depuis le début de la soirée. A partir du moment où il était entré dans la trinité, elle ne pouvait plus vraiment lui montrer qu'il n'était rien et que sa fougue n'était pas justifiée. Ebony se serait discréditer à défaut de pouvoir prouver pourquoi elle l'avait choisi lui et pas un autre. Manquant cruellement de tact avec autrui, elle se détachait légèrement de ses sarcasmes cassants lorsqu'on s'approchait de la petite communauté, qui ornait son intimité. Bizarrement, je suis en train de me rappeler cette veille citation... C'est comment déjà ... Qu'elle dit, faisant mine de réfléchir, les lèvres pincées en un dilemme intérieur. Ha oui, ça me revient. C'est ceux qui en disent le plus qui en font le moins. Son regard illuminé comme par l'idée retrouvée, elle souriait mine de ne pas s'être foutu de lui l'espace d'un instant. Elle dénigrait la présentation du plateau sur lequel était entreposé des petits fours, alors qu'il venait de voler ce précieux bien sans faire fît des conséquences. Elle jouissait intérieurement de cette absence totale de conscience chez les membres de sa confrérie qu'elle observait régulièrement. Elle acquiesçait à chacun de ses propos sans jamais montrer une seule seconde si elle était d'accord ou non ou tout simplement, éventrer son opinion. Non. Ebony était un mystère abandonné aux délices de la corruption. Ce qu'elle pensait face aux dires de l'homme sur son passé ou ses envies les plus perverses, elle le préservait avec délice. Mais c'est en s'éloignant vers un couple de veilles personnes qu'elle se dévoilait de nouveau sous le regard attentif d'Athanaël. Plus loin, alors que la scène apportait de vives réactions, elle reportait son attention sur le gamma. Si tu t'imagines pouvoir savoir ce qui me fais frissonner, alors tu es le roi des fous. Tente si tu veux, beaucoup y ont laissé leurs âmes. Le challenge était tentant, elle l'avait proclamé alléchant à ce point pour qu'il saute sur l'occasion de lui prouver le contraire. Et c'est ce qu'il allait faire en empoignant tout son corps et en la poussant dans une pièce étroite, servant à entreposer accessoires, manteaux et autres conneries de ce genre. Dans la pénombre, elle dévisageait son visage amusé par le changement de position. La force s'égrenait des mains de la doyenne pour s'exporter dans celle de son invité. Mais elle le laissait faire. Douce était la manipulation lorsqu'elle semblait invisible et élégamment dissimulée. Je ne vois pas pourquoi. On a rien fait de mal à part vouloir visiter les entrailles d'une bourgeoisie terne. Qu'elle sortait avec concupiscence. Bony savait dès lors, en vue de la muraille qu'il créait avec son corps, qu'il ne la laisserait pas sortir. Ce qu'il cherchait, elle le savait bien. Le regain d'envie qui s'élevait de son corps, lui faisait comprendre qu'il jouait assez bien pour témoigner de ses outrages. Lentement, elle s'approchait de lui, passait ses mains manucurées sur son visage, frôlant ses traits parfaits pour venir se déposer lentement sur sa veste qu'elle lui ôtait sans jamais quitter son regard, la laissant tomber au sol. Dénouant sa cravate avec une lenteur calculée, elle déboutonnait un à un les boutons de sa chemise immaculée, d'une sensualité obscène. Si tu n'y vois pas d'inconvénient, je trouve la situation bien plus intéressante ainsi. Ebony et sa soif de contrôle évidente. Partit comme ça, on aura peut-être la chance de se faire réprimander pour de vraies raisons ... Lesquelles étaient ... ? Avec elle, l'on pouvait s'attendre à tout.




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