he's your partner in crime, your midnight companion ❀ wren

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No trait is more justified than revenge in the right time and place.

Les cours avaient repris depuis quoi ? Une semaine. Oui et pourtant Helsye n’avait pas vu le temps passer. Elle allait en cours, rentrer chez elle emmerder son colocataire ou bien elle passait du temps avec June ou Babi au choix des dispositions de chacune. Etant donné que son cursus, qui au final n’avait pas été choisit par ses soins est plutôt compliqué et elle essaye de faire de son mieux pour être vraiment dedans dés le début pour éviter d’être perdu par la suite. Elle avait donc déjà commencé à étudier tranquillement et n’avait pas pris la peine de revoir d’autres personnes de Berkeley. Personnes qu’elle côtoyait avant mais qui pour elle maintenant n’avait plus tellement d’importance tant il n’avait pas essayé de prendre de ses nouvelles pendant son absence de trois mois. Actuellement en cours de Littérature, elle se laisse aller dans ses rêves on peut le dire pour elle cette matière c’est de la détente elle est secondaire puisqu’elle ne compte pas tellement dans ses notes finale. En tournant la tête, elle le voit. Plus bas dans l’amphithéâtre, Wren. Oh Wren, Helsye leva les yeux au ciel, elle avait totalement oublié que lui par contre son cursus c’est la littérature et qu’il sera donc tout le temps là pendant ses cours. Lui avait essayé de lui envoyer quelques texto et même de l’appeler cet été pendant qu’elle était aux Hampton. Evidemment texto et appel sans réponse de la part de la brune. Elle ne lui avait pas parlé depuis bien avant son départ, au final presque cinq mois qu’elle essayait de l’éviter en tout point. Allant même parfois à changer de couloir pour ne pas lui faire face. Pourquoi en est-elle arrivée jusque là ? La raison est plutôt simple. Elle l’avait rencontré lors d’un de ses rendez vous chez le kinésithérapeute et elle doit bien l’avouer ils avaient vraiment bien sympathisé allant même à programmer leurs séance en même temps pour y aller tout les deux. Il est bien l’un de seules avec qui elle arrivait à parler aussi facilement. Tout paraissait si simple quand elle s’adressait à lui, que ce soit ses problèmes de cours ou bien même des problèmes avec ses parents. Ce qu’elle aimait avant tout chez lui, c’est qu’il ne l’a jugeait pas même si elle agissait mal parfois il ne l’a jugeait pas et ça c’était magique avec lui. Elle en parle au passé, mais encore maintenant il ne devait pas avoir changé. Jusque là, l’histoire paraît belle et magique. Une belle amitié fille et garçon comme il en existe peu. Mais comme à son habitude Helsye gâche tout forcément c’est qu’elle fait tout le temps s’en même s’en rendre compte. A cause de sa cheville elle est parfois obligée de prendre des médicaments qui ont des effets assez néfastes sur elle. C’est bien entendu ce jour là qu’elle décida d’allumer Wren, elle était entré dans un jeu de séduction, chose qu’elle ne fait jamais en tant normal surtout pas avec un jeune garçon qu’elle apprécie vraiment. Helsye habituellement n’est pas prude, mais elle ne se donne pas à n’importe qui. Quoi qu’il en soit il a réussi à résister assez longtemps mais bien entendu un homme reste un homme et il ne tarda pas à l’emmener dans une autre pièce pour succomber à ses besoins affectifs tout comme elle. Helsye ne va pas le cacher, malgré qu’elle fût sous médicament plutôt fort, elle se souvient de tout, de chaque minute et de chaque seconde qu’elle avait partagée avec lui dans cette salle. Une relation charnelle des plus agréables. Mais voilà le problème, quand elle reprit enfin ses esprits elle se rendit compte qu’elle n’arrivait même plus à le regarder en face, elle ne le voyait plus pareil et elle avait honte d’avoir agit comme une allumeuse. Sa ne lui ressemble pas et maintenant il risque d’avoir une image d’elle qui n’est pas vrai. Depuis ce jour, elle a essayé par tous les moyens de l’éviter et jusqu’à présent elle avait plutôt bien réussi. Dans cette salle de cours elle continuait de le fixer, il avait du le sentir puisqu’il tourna légèrement la tête et elle se retrouva face à lui. Ils étaient si éloignés mais à la foi si proche. Elle releva la tête immédiatement pour casser se regard entendu. Quand la cloche sonna enfin pour annoncer la fin du cours elle ramassa en quatrième vitesse toutes ses affaires et avec une marche rapide elle se dirigea vers les toilettes pour se rafraichir un peu. Elle était face à la glace et elle souffla un bon coup. Allons Helsye ce n’est pourtant pas ton genre d’être affectée par ce genre de chose, toi qui maintenant se fou sois disant de tout, il semblerait que certains train de caractère ne peuvent pas changer. Elle s’avança tête baisser en replaçant sa veste quand la porte se ferma d’un claquement et qu’elle se cogna contre quelques chose ou plutôt quelqu’un. Elle n’avait même pas encore vu qui, qu’elle regarda rouler à terre la poignet de la porte. Elle releva la tête prête à décharger sa fureur sur le protagoniste qui non seulement l’avait poussé –même s’il ne l’a pas fait exprès- mais qui a aussi bloqué la porte. Bizarrement elle se figea quand elle reconnu ce visage. Evidemment, elle ne pouvait pas l’éviter jusqu'à la fin des temps non c’est trop demandé. Elle recula légèrement avant de prendre la parole. « Alors ça, c’est vraiment bien joué. » Qu’elle dit d’un ton des plus irritable. Non pas parce qu’elle est enfermée dans un lieu pourri mais parce qu’elle est enfermée avec lui ce qui rend la chose encore plus désagréable en soit. Encore bien trop gêné pour apprécier sa présence à ses coté. Elle passa derrière lui pour essayer de voir si elle pouvait remettre la poignet en place, mais sans succès. Bien sur ce serait trop facile. Et comme c’est la fin des cours ils vont surement rester là un moment. Génial, il manquerait plus que ça, qu’ils passent la nuit ici tout les deux sans aucune échappatoire.

Un rapide baiser sur le front de sa douce - et non petite amie - et il s'en va. Comme régulièrement ces derniers temps, Wren se faufile hors du pavillon béta où il a passé la nuit en compagnie de Maisy. Cherchant à éviter par tous les moyens la doyenne béta, c'est à pas de loups qu'il file dans le couloir, sans faire un bruit, sans chercher à réveiller qui que ce soit, bien que le pavillon commence déjà à être en ébullition. Peut importe l'heure qu'il est ici, les bétas ont besoin de temps pour se préparer, pour être à la hauteur de leur réputation, ce qui explique donc pour beaucoup d'entre elles, un réveil si matinal. Espérant que Valentina ne soit pas de celles-ci, Wren arrive triomphalement à la porte d'entrée avant d'entendre quelqu'un l'apostropher. Valentina, fidèle à elle-même, gardienne de ses bétas, cherchant à les protéger plus que tout, et surtout, à éviter qu'elles tombent dans les filets de l'amour. « Je n'ai pas le temps aujourd'hui Val', on fera ça demain, ciao !! » Et il se barre en lui claquant la porte au nez, sans chercher à savoir ce que la demoiselle lui répondra ou non. Qu'importe, il sait que demain, ce petit manège recommencera encore et encore, comme un cercle sans fin. Un jour peut-être, Valentina comprendra que peu importe le nombre de choses que la jeune femme lui dira, peu importe l'interdiction qu'elle pose à son entrée dans la chambre d'une béta, il n'en tiendra pas compte. Maisy, c'est son pilier, son roc, son soutien, et sa douceur, celle qui apaise ses peines et adoucit ses journées, inutile de dire qu'il n'est pas prêt de laisser partir la jeune femme ou de laisser Valentina foutre un bordel entre eux. Elle devra s'habituer à sa présence et c'est tout. Direction l'amphithéâtre pour le jeune homme, où se tient un cours des plus passionnants sur la littérature. Dieu sait à quel point ce cours peut intéresser Wren, qui ne peut se lasser de lire, qu'importe le livre, qu'importe l'auteur. Autant dire que ce cours est celui qu'il ne sécherait pour rien au monde … ou peut-être pour une grasse matinée avec Maisy seulement. C'est donc avec une des plus grandes attentions qu'il suit le cours, écoutant et buvant les paroles de son professeur, sans forcément prendre une quelconque note. Tous les propos qu'il peut tenir, Wren les connait déjà par cœur, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il réussit toujours brillement ses examens en cette matière. Finalement, la fin de l'heure de bonheur s'interrompt en même temps que surgit un gong phénoménal, signal de fin de cours. Rangeant ses affaires dans son sac et pris d'une envie soudaine, ses pieds le trainent directement vers les toilettes proches de l'amphithéâtre. Dès lors qu'il passe le pas de la porte, il comprend que quelque chose n'ira pas. Son corps ne frôle pas celui de quelqu'un, non. Son corps heurte avec force le corps d'une autre personne, ce qui a pour effet de faire voler la poignet de porte, les coinçant dans ces toilettes lugubres, loin d'être le meilleur endroit pour parler. Relevant les yeux vers la personne ne question, son sang ne fait qu'un tour et ses yeux se lèvent au ciel. Seigneur dieu, la journée ne pouvait pas se passer si mal. Voilà qu'il tombe sur Helsye, demoiselle epsilon avec qui il a eu un moment d'égarement, certes des plus agréables, mais qui depuis le fuit comme la peste. Oubliant clairement qu'outre ce petit passage intime ils étaient avant tout amis, Helsye a arrêté du jour au lendemain de parler au jeune homme, de répondre à ses messages, ou simplement par de très brèves réponses, afin de le rassurer sur son état de santé. Autant dire qu'être coincé dans une pièce étroite avec une personne qui n'a aucune envie de vous adresser la parole, est une drôle de façon de commencer votre journée. « Si tu levais les yeux de ton téléphone pour regarder où tu vas, nous n'en serions pas là. Ah mais j'oubliais, tu ne regardes jamais ton téléphone, sinon tu répondrais à mes messages. » Agacé le jeune homme ? Rien qu'un peu. Certes ce moment intime était un moment d'égarement entre deux personnes affaiblies psychologiquement et physiquement, mais il n'en restait pas moins un souvenir que le jeune homme appréciait grandement. Et il ne comprenait pas pourquoi la jeune femme ne pouvait en faire autant. Après tout, ce n'est pas comme si Wren avait été le plus grand connard que la Terre ait jamais porté en lui tournant le dos et ne cherchant plus à lui adresser la parole. Au contraire, sa première réaction avait été de s'expliquer avec elle, de vouloir avancer et rester sur un mode amical, comme ils avaient été capable de le faire jusqu'à présent. Il faut croire que la jeune femme n'était pas de cet avis, et voulait porter le rôle non pas du connard mais de la connasse qui tourne le dos à la personne. Mais comme le Rosenbach n'a jamais une pensée de travers en ce qui concerne la gente féminine, il aime à penser qu'une autre explication se cache sous ce silence, une explication bien plus sensée que toutes celles auxquelles il a pu penser. « C'est con de se retrouver coincée avec quelqu'un que vous n'aimez pas hein ? » Sans chercher à être gentil, il rentre dans le tas, pose la base directement. Pourtant, Dieu sait qu'il apprécie la douceur et la sincérité auquel il a généralement droit avec la jeune fille. Du moins auquel il avait droit avec la jeune fille, nuance. Envoyant un sms à Jonas pour que celui-ci vienne lui ouvrir de l'extérieur, il attends patiemment que le temps passe. Décidé à garder les lèvres scellées le temps que leur calvaire se termine, elles finissent finalement par se délier et poser la question à laquelle il attend un réponse depuis plusieurs mois, une réponse qui leur permettra peut-être de mettre tout ça derrière eux. « Pourquoi tu m'as tournée le dos comme ça ? J'ai fait quelque chose de mal ou j'ai peut-être dit quelque chose d'incorrect ? » Il n'en sait rien, il ne comprend pas et ça le tue à petit feu.

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No trait is more justified than revenge in the right time and place.

Les cours avaient repris depuis quoi ? Une semaine. Oui et pourtant Helsye n’avait pas vu le temps passer. Elle allOh fatalité de se retrouver ici en sa compagnie. Elle le comprend le karma n’est pas tendre avec elle puisqu’elle n’est pas une sainte parmi les hommes. Mais pourquoi devait-il lui infliger ça ? Elle aurait encore préféré être enfermé avec un sigma même pire encore un gamma. Voilà à quel point elle était mal, elle sentait déjà ses mains humide tant le stress la rongeait déjà. Pourquoi est-ce qu’elle ne s’est pas écoutée ce matin quand son lit lui faisait de l’œil pour ne pas qu’elle aille en cours ? Hein pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle doit absolument réussir son année, et c’est pour ça, fini les conneries. Les soirées qui n’en finissent plus avec Zachariah où elle se réveillait parfois même sans savoir où ils avaient atterries, avant de repartir dans les Hampton Helsye avait complétement divagué. Apprendre qu’elle ne pourrait plus jamais danser comme elle en avait l’habitude l’avait complétement dévasté. Depuis l’âge de cinq ans la belle epsilon chaussait ses plus belles ballerines faisant des pas chassé à n’en plus finir et voilà que du jour au lendemain une chute et tout s’arrête. Même faire du simple chearleading était impossible pour elle. La confrérie des iotas aurait pu être parfaite pour elle si elle n’avait pas fait cette chute. Quoi qu’il en soit passé plus de deux heures part semaine dans un centre médical avait eu un avantage pour elle. Elle avait pu rencontrer un jeune homme totalement sympathique qui est très vite devenu son ami. Elle qui d’ordinaire n’arrive pas à s’entendre avec grand monde, elle avait vu en lui beaucoup de choses qui lui plaisait sans parler de leur bon nombre de points communs. Toujours aussi stressé et avec en prime les mains moite son téléphone ne fit pas un pli et glissa d’entre ses mains. Elle se baissa très rapidement, une chance son iPhone six est intacte. Elle n’arrivait même pas à lever les yeux vers lui pour lui faire face. Bien trop mignon pour qu’elle puisse être horrible avec lui comme elle l’est avec tous les autres elle préféra ne pas glisser ses yeux dans les siens. « S’ils étaient un peu plus intéressant peut-être que j’y répondrais. » Bravo, voilà la seule chose qu’elle avait réussi à lui sortir. Elle avait en de lui dire un tas de chose mais à quoi bon, ce ridiculiser ? Très peu pour elle. A la place elle faisait la dur au cœur de pierre histoire que ça passe mieux. Mais au final ça ne la rendait pas plus heureuse comme ça bien au contraire. Non seulement elle se blessait mais avec ce genre de remarque elle le blessait aussi par la même occasion. Chose qu’elle n’avait absolument pas envie de faire. Pourquoi ce retrouvait-elle aussi maladroite en sa compagnie ? A sortir des phrases qui n’ont aucun sens, qui ne sont pas vrai bref du n’importe quoi. Elle glissa ses doigts dans ses cheveux lisse et soyeux pour se détendre. A sa seconde remarque elle ne put s’empêcher d’enfin lui faire face et de plonger son regarde bleu océan des caraïbe dans le siens. Elle le sentait arriver le frissons et pourtant il passa inaperçu une chance. « Tu es content, je le sens. Me pourrir l’existence en cet instant même te fait plaisir. Bravo Wren tu deviens un homme finalement. » Apocalypse, pourquoi il n’y a pas une apocalypse là maintenant tout de suite pour venir l’achever sur l’instant ? Helsye faisait bien naturellement référence à son coté très gentil, trop gentil. Qu’elle aimerait qu’il ne perde pour rien au monde. Ce coté tellement doux qu’ils adoptaient ensemble avant cette fameuse journée. Pourquoi est-ce que tout avait basculé si vite ? Helsye avait bien trop peur de s’attacher à lui et elle préfère encore qu’il finisse par la détester pour ne pas qu’elle tombe complétement dans ses filets. Elle ne se reconnaît plus, elle ne sait pas ce que lui pouvait ressentir à son égard mais par peur d’être rejeté elle préférait le rejeter elle même. « Ne cherche pas à comprendre je t’en pris, c’est déjà assez compliqué comme ça je t’assure. » Son ton était à présent plus doux, elle le regrettait déjà. Helse commençait déjà à flancher alors qu’elle ne le devrait pas. Elle essaya de bouger mais à quoi bon de toute façon ils étaient bel et bien bloqué dans ce petit espace, si petit qu’elle pouvait sentir son parfum. Parfum qu’elle reconnaît bien et qu’elle apprécie par dessus le marcher. « Ecoute ça va te sembler tellement clicher ce que je vais te dire mais ce n’est pas toi, tu n’as rien fais de mal, tu n’as pas dis quelques chose de travers. Ce n’est pas ta faute. » L’epsilon essayait de se mettre à sa place, et elle sait que dans le cas contraire elle aurait été hors d’elle. Si jamais c’était lui qui lui avait fait ce coup là, elle aurait été tout bonnement détestable avec lui. Preuve en est encore une fois que Wren lui ne fait pas partie de cette catégorie de personne. Catégorie de personnes dont Helsye fait partie. Ceux qui s’en foutent de tout et de tout le monde sans penser aux conséquences de leur acte. Elle aussi est comme ça et pourtant avec Wren elle est totalement différente, lui même la faisait sentir différente. Comment pouvait-il avoir ce pouvoir ? « Alors s’il te plait reste avec ça en tête et lâche moi d’accord ? J’ai d’autre problème en tête pour le moment. » Problème dont IL fait partie bien naturellement. Elle n’avait aucunement envie d’entrer dans les détails. Elle sortie de nouveau son téléphone pour harceler de message Babi pour qu’elle vienne la libérer de ce supplice. Helsye préféra prendre quelques distances et elle fit un mini saut pour s’asseoir sur ce large lavabo. Evidemment que Wren n’allait surement pas se contenter de ces explications. Helsye à plutôt intérêt à vite trouver une autre excuse pour se sortir de cet embarra. « J’ai parlé au docteur, il m’a dit que tu allais beaucoup mieux, tant mieux. » dit-elle en changeant de sujet désespérément. La concernant elle allait toujours elle aussi au centre mais en sachant très bien qu’elle ne pourrait pas danser de si tôt. Parfois il lui arrivait de rester assise prés de la fenêtre à regarder les entrainements des iotas féminine. Elle se sentait terriblement triste quand elle voyait ça, elle aurait très bien pu avoir sa place. Helsye pensait même que certaine iota ne méritait pas de danser tant elle sont aussi gracieuse qu’une baleine échouée.

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Fantastique. Helsye et Wren se retrouvent coincés ensemble dans les toilettes de l'Université, alors qu'ils ne se sont pas adressés un mot de manière civilisée depuis des lustres. Cette petite réunion s'annonce des plus sympathiques entre eux deux, c'est une certitude. Par avance, le iota sait que la jeune femme va lui en faire voir de toutes les couleurs, et lui reprocher mille et une choses une nouvelle fois. Sans trop savoir comment les choses en sont arrivées ainsi, Wren se contente d'être spectateur de ce désastre qu'est leur rencontre. Pourquoi la vie cherche-t-elle à lui foutre de si grandes embuches sur son passage ? A croire que tout ce qu'il a vécu dans sa vie jusqu'à aujourd'hui n'était pas suffisamment difficile pour lui. A croire qu'il ne peut pas avoir une amitié ou une relation simple avec une amie, a croire que c'est bien trop difficile. Mais non, les choses sont parfois trop compliquées pour pouvoir être si simple, et leur conversation risque de tourner au vinaigre, dès lors que l'un ou l'autre ouvrira la bouche. Et il faut dire que le niveau est plutôt élevé, surtout que Wren parvient à être des plus désagréable, comme si sa cousine Eileen s'était emparée de lui. Rosenbitch, sors de ce corps ! Depuis que les deux cousins se font la gueule, les choses se sont corsées et Wren est devenue bien plus agressif et colérique qu'il ne pouvait l'être auparavant, à croire que son côté Rosenbach ressort bien plus qu'auparavant. Merci à la découverte d'une sœur cachée, merci aux secrets de famille, merci à la trahison d'Eileen Rosenbitch. Voilà donc pourquoi Wren n'acceptait pas qu'Helsye l'ait lâchement abandonné comme elle l'avait fait, il prenait ça pour une énième trahison de la part de quelqu'un qu'il appréciait pourtant sincèrement. C'est donc de cette manière qu'il balance au visage d'Helsye que toute cette situation n'est que de sa faute et rien de plus. « Bah tiens, c'est facile la lâcheté, ne pas reconnaître sa faiblesse. » Et histoire d'en rajouter une couche, Wren lui montre à quel point elle doit bien être emmerdée d'être coincée dans cet endroit si exigüe avec une personne qu'elle n'aime pas. Helsye y voit là un signe de faiblesse chez Wren, un moyen pour lui d'affirmer sa supériorité sur la jeune femme alors qu'il n'en est rien. Ce n'est en aucun cas un besoin d'être meilleur qu'Helsye, de la rabaisser. Il veut tout simplement connaître les motivations de la jeune femme, celle qui l'ont poussé à le mettre de côté. Mais comme bien souvent, le iota ne sait pas s'y prendre correctement et fait tout capoter, au point que la jeune femme en soit presque vexée. Well done Wren, well done. « Ca va Helsye. Pas la peine d'exagérer. Si on est dans cette foutue situation, c'est parce que tu as décidé de couper les ponts purement et simplement. Tu as cru que ça allait si facilement passer pour moi ?» Et puis finalement, quitte à être coincé dans ces conditions, Wren tente le coup pour chercher à comprendre ce qui a pu se passer dans la tête de son amie. Certes ils ont couché ensemble, certes ils ont dépassé quelques limites dans un box du cabinet de kinésithérapeute. Mais cela veut-il dire pour autant que les choses sont incapables de reprendre le chemin qu'elles avaient pris auparavant ? Pour Wren non, tout aurait pu redevenir à la normale, redevenir ce qu'elles étaient et ce qu'elles avaient l'habitude d'être. Il faut croire qu'en ce qui concerne Helsye, les one shot restent les one shot, et rien de plus. « Mais je ne vois pas ce qu'il y a de si compliqué à comprendre dans cette histoire…» Il est perturbé encore une fois des paroles de la jeune femme, ne comprenant pas pourquoi elle réagit de la sorte, pourquoi elle se refuse à tout autre commentaire. Et pour couronner le tout, la jeune femme lui sort la phrase la plus cliché du monde, la fameuse c'est pas toi mais c'est moi. La fameuse phrase qui ne veut rien dire et tout dire à la fois, celle qui cherche simplement à vous faire déculpabiliser, à vous donner une explication sans vraiment vous en offrir une digne de ce nom. « T'as raison, ça me semble terriblement cliché et ça ne me donne aucune raison valable de te croire. » C'est fou comme une simple phrase peut vous rendre fou tant elle semble fausse et sans consonance. « D'autres problèmes ? C'est-à-dire ? Je ne pensais pas être un problème pour toi … Mais après tout c'est toi qui pense comme tu le désires. » Posant son cul de Rosenbach par terre, Wren dégaine son téléphone puisqu'il n'a finalement plus que ça à faire. La jeune femme ne voulant pas de lui auprès d'elle, il ne voit aucune raison de la faire chier un peu plus avec des questions à la con, et des réponses encore plus évasives. Bien sur qu'il se damnerait pour avoir une réponse claire à ses questions, bien sur qu'il voudrait comprendre pourquoi la jeune femme réagit de la sorte, mais parfois à chercher une réponse, on finit par en avoir une dizaine en plus. Et la jeune femme n'arrange absolument pas les choses en déclarant qu'elle a demandé de ses nouvelles au kiné, et qui lui a assuré que Wren irait mieux. Heureusement pour lui d'ailleurs, qui ne se verrait pas arrêter le sport pour une blessure aussi stupide qu'une entorse du genou. Mais voilà, ce qu'il retient de l'information émise par Helsye, ce n'est pas ce que le médecin a dit puisqu'il le sait depuis bien longtemps. Non, ce qu'il retient c'est que la jeune femme qui cherche tant à le fuir, prend de ses nouvelles auprès des autres. Décidément, il ne comprend absolument rien à la gente féminine. « Putain Helsye sérieux ? J'étais prêt à me taire, à te laisser tranquille durant les prochaines heures où nous serions coincés ici, mais tu viens avec ta petite remarque, comme quoi tu prends de mes nouvelles. Mais pourquoi Helsye ? Si tu ne veux plus de moi dans ta vie, pourquoi tu cherches à savoir comment je vais? » Se renfrognant à nouveau, Wren se relève et commence à faire les cent pas, agacé, l'esprit torturé par les paroles de la jeune femme. « On ne peut pas juste mettre les choses derrière nous ? Redevenir amis ? » C'est tout ce qu'il demande et espère le Wren, il désire simplement récupérer une amie, quelqu'un avec qui il peut être lui-même et parler sans avoir la moindre appréhension. Il faut croire que c'est un peu trop compliqué.

» ❀ So you can’t die, okay ? Because we’re supposed to end up together. We’re meant to be ❀
» if we met at midnight (edison)
» Nothing good happens after midnight. • PV
» You say good morning when it's midnight. ▬ Raïser.
» Being intelligent is not a crime - ft. Maisy R. Cagle-Hopkins

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