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Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté !

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MessageSujet: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! EmptyMer 13 Aoû - 13:12

«Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! »
Charlotte & Pacey



Fatiguée. Il est neuf heures du matin quand je me décide de sortir de mon appartement. Je dois chercher un petit boulot pour l'été et puis commencer mes heures sup' pour l'assistanat de Chilali. Épuisée des cours, j'ai vraiment hâte d'être en vacances , qui d'ailleurs s'annoncent assez chargées. Je passe d'abord pas un festival, puis deux semaines en Europe avec Arielle et bien sûr le meilleur pour la fin deux semaines Astor et moi partons à Orlando pour faire le marathon des parcs ! Quoi inconscient ? Non pas du tout c'était juste que je ne voulais pas qu'elle s'enferme chez elle, bien qu'elle allait voyager avec Pacey au Brésil je voulais lui donner un peu d'action. Vu ce que me disais Astor de Pacey, je doutais de son côté actif, je le prenais un peu pour un mollasson.. Mais jamais j'interférerais dans sa vie de couple, cela ne me regardait pas. Après tout elle était heureuse avec lui, à chaque fois qu'elle me parlait de lui, elles avaient ses petits yeux noisettes qui s'agrandissaient et qui brillaient, et c'est pour ça que pour rien au monde je me mêlerai.. Enfin bref vêtue d'un simple jean et basket je me dirigeais au starbucks coffee. Pour pouvoir bosser en paix sur les cours d'anthropologie de Chilali. Ayant tout mon dossier entre les bras j'étais un peu perdue jetant que de bref coup d'oeil aux gens autour de moi. Puis à cette heure-ci il n'y avait pas non plus masse de personne. Alors que je lisais une petite note de Chilali je bousculais quelqu'un. Mes feuilles par terre, je me baissais en même temps que la personne en face de moi. C'était un homme et le pauvre je lui avait mis du café partout. Honteuse je fouillais dans mon sac pour prendre un paquet de mouchoir je lui tendais :

Je suis vraiment désolée, j'étais absorbée je ne vous ai pas vu !

Je regardais gentiment l'homme en question tout en ramassant mes feuilles. Mais ce n'était pas comme dans les films où soit disant les gens se frôlaient leurs mains et coup de foudre. N'importe quoi. Non c'était la vie normale deux personnes se bousculaient comme ça . Une fois que l'homme finit de s'essuyer je lui proposais alors :


Je peux vous offrir un café, pour celui qui s'est malheureusement desservi sur votre chemise ?


Demandais-je dans un sourire simple. Je devais me prendre un café alors papoter quelques minutes ne me ferrait pas de mal non plus après tout. Sans savoir que l'homme que je venais de percuter était le Pacey de mon Astor...

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MessageSujet: Re: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! EmptyMar 19 Aoû - 14:51



Courir. Toujours courir. Tel était le traintrain quotidien. Et j’en avais marre. Alors ce matin, j’avais décidé de me réveiller un peu plus tôt afin de préparer un bon petit déjeuner pour ma petite amie. Le temps que la cafetière faisait son café préféré, j’étais descendu cinq minutes à la boulangerie se situant juste en face de chez nous. J’avais pris comme à mon habitude pleines de bonnes choses sucrées à déguster. Des donuts de parfums différents : fraise, vanille de bourbon, chocolat noisette, banane. Mais aussi des croissants en forme de lune à la française et des petits pains viennois. Astor aimait tout cela. Ne sachant jamais de quoi elle aurait envie en ce réveillant, je lui prenais toujours un panel de choix. De toute façon, étant moi-même une bouche à sucre aussi, ce n’était jamais perdu. En rentrant, j’avais déposé le tout sur un plateau en bois que je posais sur la table de chevet. Quand le café eut terminé de passer, je versais le breuvage dans un thermos afin qu’il ne refroidisse pas. J’avais aussi ajouté quelques sucres en forme de cœur dans un petit ravier et un petit de lait dans un verre si besoin. Dans un verre, je lui avais gentiment pressé des oranges. Evidemment, je n’avais pas oublié de lui préparer son pilulier aussi. Astor était gravement malade et devait suivre sa prescription à la lettre. Ne pouvant pas attendre qu’elle se réveille parce que je devais aller bosser sur un projet de réalisation de film, je lui avais simplement écrit je t’aime, à ce soir sur un petit post-it que j’avais collé sur l’une des deux feuilles de la rose rouge que j’avais été aussi cherché au fleuriste en même temps que j’avais acheté le reste du petit déjeuner. Je n’étais sans doute pas le meilleure des amants au lit, mais au moins je savais être romantique avec ma dulcinée.

A peine sorti de l’appartement qu’Astor me manquait déjà. Encore une journée à passer loin d’elle. Avant de me rendre à l’entretien avec le production, je décidais de passer vite fait au Starbuck Coffee pour me prendre un café à la cannelle. Je n’eus pas le temps d’arriver jusqu’à la demoiselle qui prenait les commandes qu’une fille me bouscula en me brûlant avec son café. «  Ce n’est rien, ce n’est pas grave. » Au lieu de me sécher directement ma chemise – heureusement de couleur noire – je préférais aider l’, apparemment à en juger les écris sur les pages, étudiante à ramasser ses feuilles de cours. «  Ne soyez pas désolée, je ne vous avais pas vu non plus. » Elle me donna un mouchoir afin de m’essuyer. « Merci. » Elle proposa de m’offrir un café en compensation. «  Oui volontiers merci. Un café à la cannelle s’il vous plait. Pendant que vous le commandez, je vais tenter de nettoyer un peu ça aux toilettes, je reviens de suite. » Heureusement que j’avais travaillé un petit moment ici l’année passée. Je connaissais les lieu comme ma poche. Lorsque je reviens, je rejoignis l’inconnue à sa tablée. «  Je m’appelle Pacey-Danyaël. Et vous ? » Je bus une petite gorgée de mon café. «  Encore merci. »
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MessageSujet: Re: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! EmptyLun 25 Aoû - 1:39

«Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! »
Charlotte & Pacey



J'aimais me lêver tot pas que je n'aimais pas les grasses matinées non plus je vous rassure. Mais ce lever tôt impliqué parfois aussi de ne pas être complètement en forme, d'avoir la tête ailleurs. C'était comme ça j'avais bousculé l'homme en question complètement submergée par mes cours mais aussi parce que j'étais dans le coaltar. Au lieu de se sécher celui-ci m'aidait simplement à ramasser mes affaires qui heureusement n'avaient pas pris la couleur du café. C'était donc naturellement que je lui proposais un café sans arrières pensées. Non ne dîtes pas pour une fois sincèrement je pouvais être gentille naturellement sans manipuler des gens. Je commandais donc le café à celui que je venais de lui renverser le sien. Cannelle très étrange goût pour un homme mais soit. Quelques minutes après avoir pris nos cafés je m'asseyais à une table triant à la va vite mes cours pour me repérer plus tard. Un sourire s'affichait sur mes lèvres quand il me rejoignait.  Douche froide en entendant son prénom. Le Pacey de mon Astor à moi ? Le Pacey qu'elle me parlait tous les jours. Elle voulait tellement qu'on se rencontre mais comme par hasard à chaque fois l'un de nous avait un empêchement qu'elle avait même finit par renoncée. C'est donc dans un demi-sourire que je continuais la discussion sans lui dire qui j'étais. Alors je mentais sur mon prénom, en tant que manipulatrice je voulais peut-être même le tester pas en le séduisant. Mais essayer de mieux le connaître car si je décliné qui j'étais aussi vite. Nous allions juste faire des reproches sur notre façon de nous comporter avec Astor.


Je m'appelle Alice. Vous êtes de San Francisco ?


Bravo Charlotte, continue tu vas te mettre ta meilleure amie à dos à force de la surprotéger. Pacey était gentil je ne pouvais pas dire le contraire, mais je le trouvais trop attentionné et trop doux pour ma blonde ravageuse. Elle le méritait car il l'aimait d'un amour sincère ça j'en étais sûre. Je ne sais pas trop ce que je faisais à cet instant là, peut-être s'il me pensait gentille et innocente j'apprendrais des trucs sur lui...

Oh je vous en prie ..

Lui avais-je dis d'un sourire enjôleur. En buvant une gorgée de mon café, qui me brûlait la gorge, ou c'était le mensonge qui me brûlait la gorge. Je continuais de le regarder avec gentillesse comme une gentille fille timide, j'aurai du être comédienne je vous jure !

Comment ça se fait que vous êtes déjà dehors à cette heure-ci ? J'ai l'impression que de nos jours les gens se réveillent de plus en plus tôt..

Vas-y que je lançais la conversation comme si je ne le connaissais pas..
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MessageSujet: Re: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! EmptyJeu 4 Sep - 12:48



« Enchanté Alice. » Lui dis je en serrant la main de mon interlocutrice. « Je vis ici depuis quelques années seulement. Et vous ? » Je ne m’étalais pas davantage sur mes origines géographiques. Donc inutile de raconter à cette inconnue que j’avais quitté ma ville natale qu’était Las Vegas pour retrouver mon père. Il y a quelques années, Alcide travaillait lui aussi sur le campus de Berkeley. Nous nous étions bien entendu au début de notre rencontre. Mais lorsqu’il avait découvert notre lien de parenté, d’un coup il était devenu froid et distant avec moi. Peut être que l’homme pensait que je l’avais cherché afin de lui demander des comptes. Hors ce n’était nullement dans mes attentions. Moi, je voulais simplement connaître mon géniteur. Quel était l’homme qui avait fait craqué ma mère. Maman me disait souvent lorsque j’étais enfant que je ressemblais énormément à mon père. Que nous partagions des passions communes. Tel le cinéma par exemple. Papa était le monde du septième art. Moi je vivais dedans. J’avais fait mes études dans ce domaine. Aujourd’hui c’était moi qui l’enseignait à mes élèves. A côté de mon boulot à la faculté, j’étais aussi acteur et réalisateur. Il n’était pas rare que je sois submergé de projets. Adorant ce que je faisais, je ne comptais jamais mes heures. Parfois, il fallait bien l’avouer, aux dépends de ma petite amie qui ne me voyait guère souvent. La conversation avec la demoiselle au café suivait son cours. Elle était bien curieuse d’ailleurs. « Il faut bien se lever pour aller travailler. Vous n’êtes pas d’accord ? » Je ne répondis que par un simple haussement d’épaules à sa remarque générale sur les lèves tôt. Personnellement j’étais incapable de me réveiller à midi. Sinon voilà comment gâcher une demie journée ! La vie est si courte qu’il faut en profiter à l’aube. Enfin selon moi… J’avais perdu ma mère à l’adolescence. Elle était gravement malade. Et le sort avait fait que la femme qui partageait ma vie aujoud’hui était aussi mourante de cette satanée maladie. « Vous êtes étudiante en quoi ? » Demandais je à Alice. Puisque tel était son prénom. Aux papiers que nous avions ramassé ensemble, j’avais bien reconnu que c’était des notes de cours. En revanche je ne m’étais pas amusé à lire ce qui était écrit dessus.Aurais je dû ? Non ! Ce n’était pas dans mon caractère de fouiller dans la vie des gens sans demander leur accord. Je bus quelques gorgées de mon breuvage. C’était mon ex petite amie qui m’avait fait découvrir le café à la cannelle. C’était d’un délice...

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MessageSujet: Re: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! EmptyVen 12 Sep - 18:25

«Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! »
Charlotte & Pacey



Je ne savais pas pourquoi j'avais décidé de me faire passer pour une fille que je n'étais pas. Mais de toute façon, au moment où il s'y attendra le moins je lui révélerais ma vraie identité, et lui dire en pleine face que j'emmène sa dulcinée à Orlando. Que ça lui plaise ou non, j'avais déjà pris les billets, même si Astor allait me rembourser après. Je voulais lui montrer que sa meilleure amie, avait une place dans sa vie, et qu'il devait s'y faire même ça l'inquiétait ou non. Je serrais donc la main de mon interlocuteur dans un sourire angélique . Je lui répondais également à sa question sur le fait de vivre ici :


Hum, depuis six mois je crois a peu près.


Lui disais-je tout en continuant de boire mon café crème. J'adorais le café quand il n'était pas du café. C'est à dire avec beaucoup de lait, beaucoup de sucre et beaucoup de cannelle du coup ça me faisait légèrement sourire de savoir que nous avions ce goût en commun tous les deux. Bien le seul point en commun j'imaginais. Du coup je me mettais à repenser à ses prouesses sexuelles avec mon amour d 'Astor. À tout les coups cela nous opposés en tout point, moi j'étais une fille ouverte, libérée et n'ayant aucun problème avec le sexe. Alors que lui voulant tellement bien faire, se prenait vraiment trop la tête pour une chose si futile dans un couple amoureux. Je le regardais alors tout en buvant une nouvelle gorgée de mon café. Je l'avais taquiné sur le fait qu'il était un lève tôt je haussais les épaules fasse à sa réponse en lui disant la vérité pure et simple :

Je suis insomniaque, j'ai essayé les plantes mais impossible de dormir alors je suis toujours réveillée.

Lui disais-je dans un sourire avant d'écouter une nouvelle fois son interrogation. Je buvais une autre gorgée de ce café avant de commencer mon explication sur mes études :


Je suis en Master en Géopolitique, puis je suis assistante d'un professeur en Anthropologie.


Lui disais-je à nouveau mais il était sûr qu'il allait deviner à force qui j'étais. Finalement je décidais d'abréger ses souffrances en lui disant dans un petit rire. Tout en le fixant, pour percevoir sa réaction.

En faite, je te connais Pacey. Je suis Charlotte, la meilleure amie d'Astor, tu sais celle que tu ne peux pas voir en peinture. Au moins on aura pu avoir cinq minutes de tranquillité.

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MessageSujet: Re: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! EmptyMer 29 Oct - 22:01

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MessageSujet: Re: Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Hé Pacey, va donc casser les noisettes de l’écureuil d’à côté ! Empty

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