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All I want for christmas it's you [Pacey ]

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MessageSujet: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyMer 21 Déc - 0:34





Vingt quatre décembre. Une date que j’attendais avec impatience. Et cette année, ce n’était pas que la gamine en moi qui ne se pouvait plus d’être le soir pour déballer les cadeaux sous le sapin après un réveillon. Non car ce Noël allait sortir de toute les traditions. En plus de ne pas être avec ma famille, je troquais ma tuque et mes mitaines pour un bikini et des shorts moulants. Enfin c’était le moment où durant près de deux semaines je pouvais aimer à grand déploiement mon amoureux. Mais pour avoir accès à ce pur instant de magie, j’avais du payer chèrement le prix ces derniers temps. Après l’étrange situation que la visite de Pacey avait provoqué chez moi, rendant troublé mon jumeau et moi-même, je n’avais vu que le professeur de mon cœur qu’une fois; lors de l’examen final. Il m’avait avertit par texto que toute la semaine il serait impossible de nous voir le soir et bien que j’ai tenté de lui demander pourquoi dans nos nombreuses conversations téléphonique, je ne sus jamais pourquoi, si ce n’était qu’il préparait un petit quelque chose pour Noël. Tentant d’effacer ma jalousie à l’idée qu’il puisse être avec ses collègues de travail à fêter, je me dis que je devais lui faire confiance. Je passai donc la semaine à étudier pour mes examens durant le jour, à passer ces-dits tests et à tourner en rond dans l’appartement vide. Eirik était parti à Narvik tandis que Callum et Felina avaient leur projet des fêtes. Les films à la télé étaient bidon et je n’avais plus de livre en norvégiens pour m’occuper; lire en anglais ne me détendait aucunement. Bref, je perdis mon temps le soir sur internet, envoyant des messages a mon amoureux qui ne me répondait que tard dans la soirée. Toute la semaine il m’avait horriblement manqué. De ne pouvoir dormir dans ses bras me rendait mal et j’avais de la difficulté à trouvé les bras de Morphée. Une fois mes examens passés, je devint énervée comme une puce. Dans mon calendrier, la fin des tests signifiait que deux jours avant notre vol pour la Floride. J’avais donc pris un temps épouvantable à faire mes valises. Essayant de trouver des habits qui feraient bavé mon amoureux. J’avais envie d’être sexy et attirante pour lui. Jusque dans mes dessous. Une fois tout à l’intérieur, je passai le temps comme je le pouvais. Allant voir un film au cinéma et regarder les gens patiner dans la glace extérieure.

Le vingt-quatre arriva enfin. Pacey arriva chez moi à l’heure convenue; comme les résidences étudiantes était plus proche de l’aéroport, nous avions convenue qu’il passerait me chercher en taxi. C’était beaucoup moins dangereux puisqu’il n’y avait pas grand étudiants dans le bahut et que de toute façon il ne sortirait pas de la voiture, histoire de ne pas se faire remarquer. Une fois dans le taxi, je me jetai littéralement sur lui pour l’embrasser avec passion et amour, lui montrant alors combien il m’avait manqué. Nos baisers langoureux se terminèrent devant l’aéroport ou je payai le chauffeur. Une fois les modalités de douanes et de paperasse remplis, nous voilà donc dans un avion en direction de l’endroit où notre bateau de croisière nous attendrait. La gêne ne me fit pas l’embrasser tout le long du vol, mais je ne me gênai pas de lui tenir la main tout ce temps en discutant de tout et de rien. Finalement au terminal de Floride, une voiture nous attendait, réservé par la compagnie de croisière, et nous emmena directement au bateau. Alors qu’il se dessinait à l’horizon, mes yeux s’agrandirent d’étonnement. Ce paquebot était magnifiquement majestueux. Je ne me lassais pas de tenir la main de mon copain devant des centaines de gens qui, comme nous donnait passeport et ticket d’entré pour pénétré l’objet de nos désirs. Nous étions un couple, un vrai, et cette fois sans interdis. À l’intérieur de moi vibrait un cœur qui débordait d’amour.

J’avais loué une grande suite avec balcon pour notre séjour. Tant qu’à vivre un moment magique, vallait mieux le vivre jusqu’au bout. C’est après avoir découvert en partit le bateau –équipé de trois buffets, d’un casino, de six piscine et de tas d’autre pièces que nous n’avions pas vus encre – que nous finîmes par trouver la chambre en question. Je l’ouvrit et j’y découvrit une suite énorme, digne d’une suite nuptiale avec de grands hublots et une porte vitré, un balcon, un lit queen et une salle de bain en marbre boisé. Nos valises nous attendaient déjà. C’était le rêve. C’était parfais. Et en plus j’étais amoureuse. Le bonheur total. Je me retournai donc vers mon petit copain qui semblait tout aussi heureux que moi et j’allai l’embrasser sans gêne et avec un désir le plus complet. «Pourquoi ne pas baptiser notre lit mon cœur?» Dans un rire je le poussai sur le lit avant de l’embrasser en le caressant. Une semaine sans lui ca avait été long. Moralement, mais sexuellement aussi. Et je lui fis bien savoir. Une fois notre pied pris, je me roulai sur le coté, totalement essoufflée et j’allai lui embrasser le cou. «Ce voyage va être d’enfer»
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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptySam 24 Déc - 1:04


Samedi vingt-quatre décembre deux mille onze. Ca y est ! Nous y étions enfin ! Pacey-Danyaël attendait ce jour avec grande impatience. Non pas à cause des fêtes de fin d’années et encore moins pour les cadeaux. Non le Workers avait très hâte d’être au jour du réveillon de noël car il allait revoir sa petite amie. Ce jour là marquerait aussi le premier jour de leur liberté. Liberté certes que temporaire. Mais liberté tout de même. En partant en voyage avec Viktoria, loin du campus de Berkeley et de toutes ses interdictions, là-bas sur le bateau, les rangs d’enseignant et d’étudiante n’existeraient plus. Pour la première fois de sa vie, Pacey pourrait enfin vivre une vie de couple normale. Celle de deux personnes qui s’aiment et sans contradiction. Le jeune homme voulait goûter à cette nouvelle expérience. Lui qui jusqu’à présent n’avait eu que des relations extrêmement discrètes, s’afficher avec Viktoria était un nouveau cap à passer. Non pas qu’il avait honte de sortir avec une femme beaucoup plus jeune que lui. Très loin de là car Pacey était tellement fière de Viktoria… Non en fait ce garçon était horriblement timide. Secrètement il espérait que ce voyage serait un rêve pour eux deux. Qu’ils n’y rencontreraient aucun problème ou autre désagrément. Le jeune enseignant se faisait encore pister par les journalistes. Les magazines people voulaient savoir à tous prix pourquoi il avait quitté le milieu du cinéma. Savoir ce qu’il faisait maintenant… Pacey avait déjà entendu des rumeurs à son sujet. Qu’il était gravement malade, qu’il devait se faire opérer… Non mais qu’est ce qu’il ne fallait pas entendre franchement ! Maintenant il fallait espérer que des conneries pareilles n’allaient pas porter la poisse sur le Workers. Craintif de nature, ce dernier était aussi quelque peu superstitieux.


Dans le taxi, à peine Viktoria rejoignit son petit ami qu’elle lui sauta dessus pour l’embrasser à pleine bouche. Heureusement qu’il n’y avait personne dans les environs. D’abord tout timide, l’enseignant se laissa mieux faire une fois le campus de Berkeley quitté. C’était fou à quel point la jeune femme l’avait manqué. Ce fut que lorsque le couple arriva à l’aéroport qu’ils se détachèrent, le temps de payer le chauffeur, de s’occuper des modalités et de monter dans l’avion direction le paradis. Dans l’engin de vol, ils se mirent à parler de tout et de rien. Viktoria voulait reprendre leurs incessants baisers langoureux mais l’enseignant n’était pas vraiment à l’aise. Les quelques regards vers eux le gênait. Intimidé, le jeune homme l’expliqua à l’oreille de sa compagne. Il lui fallait du temps pour s’habituer à tout ça. D’abord se tenir la main en public était une bonne chose. Pacey s’y ferait, c’était sûr. Mais il ne fallait trop vite le pousser sinon il risquait de paniquer et perdre pied. L’atterrissage se passa en douceur. Le paquebot était majestueux. Jamais Pacey n’avait vu de lieu aussi splendide et luxueux de toute sa vie. Le nombre de buffets gigantesques, les piscines, saunas… Rien n’avait pas fait au hasard. Toute l’architecture avait été scrupuleusement pensée. Et la chambre… C’était un véritable palace. Digne d’une suite nuptiale. Si leur appartement pour ce séjour de rêve n’en était pas une, l’acteur était curieux de savoir à quoi cela devait bien ressembler.

    Pacey : " – Hum… Oui pourquoi pas. Je suis partant. Et puis qui sait, on sera surement les premiers à faire l’amour dans ce lit… “


Viktoria entraina son compagnon sur le lit. Pacey avait encore un peu peur. Il n’avait vécu qu’une nuit d’amour. Avant même de se retrouver en tenue d’Adam et Eve, l’enseignant tira sur la couverture pour la mettre sur eux. Il ne pouvait pas s’empêcher de rester extrêmement pudique. Il n’était pas prêt à ce que la Sampi entièrement nu sans rien sur lui pour le cacher. Le jeune homme n’avait pas encore parlé de cette douloureuse humiliation dont il avait été la victime au lycée. Après avoir fait l’amour, Viktoria donna ses impressions sur leur voyage.

    Pacey lui répondit simplement : " – Je t’aime… “

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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyDim 25 Déc - 4:19

J’ignorais pourquoi, mais Durant une semaine Pacey m’avait annoncé que nous ne pouvions nous voir. Il était venu me le dire en personne mais mon absence et la présence de mon frère avait changé la donne. Finalement il était parti sans rien dire, je m’étais disputé avec mon frère et on ne s’était même pas reparlé avant son départ pour Narvik. Bref, de la grosse confusion. Le soir je l’avais appelé pour lui demander pardon de tout ce qu’il s’était passé et il m’avait fait cette annonce. Cela m’avait provoqué une crise de larme que je tentai de lui cacher mais qu’il avait finir par découvrir. Moi qui avait cru à une punition pour l’échec de mon absence lors de sa visite surprise il avait pris des heures à me convaincre que ce n’était pas pour ca et que réellement c’était pour préparer noël. Je marchai sur mon orgueil incertain pour le croire. Mais, même si je n’avais toujours pas compris je crois que l’attente en valait la peine. De le revoir en pareil condition était pour moi tout simplement féérique. Affamée de sa présence, j’allais me gavée encore plus de chaque petit moments passé ensemble. Simplement les premiers instants de nos préliminaires m’avaient fait emplir d’un amour que ma performance au lit lui rendit au centuple. Pacey était encore timide au niveau sexuel, et j’étais patiente. Mais parfois j’avais hâte de ne pas tout lui montrer et qu’il me surprenne. Enfin bref, nous avions toute la vie pour cela. Et son je t’aime essoufflée après nos ébats me firent vibrée. Je ne pu m’empêcher d’aller l’embrasser longuement et amoureusement avant de sortir du lit totalement nue. Retrouvant ma culotte qui s’était envolé dans la pièce je la remis avant d’aller vers le lit et de marcher félinement vers lui pour chercher un second baiser. Je n’étais pas dupe. Cet attitude avait toujours eu sont lot d’approbation envers les garçons. Et je comptais bien faire passer le message à Pacey que durant ces deux semaines, il serait mien. Que miens. A moi seul.

Je lui mordillait la lèvre avant de lui embrasser le nez. «Tu viens, on va profiter du soleil un peu.» Il serait bête de ne pas profiter des plaisirs de cet immense bateau après tout. Quoi que j’aurais bien passé le restant de ma journée au lit à roucoulée amoureusement dans les bras de mon amoureux. Je fini par trouver mes vêtements que je remis avant de lui lancer les siens. Alors qu’il s’habillait, j’en profitais pour aller dans notre salle de bain personnelle pour me recoiffée. Une fois ma tignasse replacée, je lui pris la main et nous sortîmes de la cabine. Tout au long de notre marche a travers les couloirs du bateau, nous croisions des gens. Et si les premiers regards sur nous m’avait intimidé et fait légèrement paniquer, je pris contrôle sur moi. Ce voyage était justement pour pouvoir vivre au grand jour notre amour, il ne fallait pas se prendre la tête pour ça, sans quoi tout cela serait totalement gâcher. Sentant Pacey tendu, je lui caressai tendrement la main de mon pouce en lui souriant amoureusement. C’est finalement sur le quai que nous étions atterris devant une immense piscine et des dizaines de siège pour s’y étendre. sous un soleil qui claquait les quarante degrée, vêtue d’un mini short qui dévolait mes jambes d’enfer et d’une camisole moulante, je soufflait. «On va se chercher un truc à manger, moi tout ça m’a demandé beaucoup d’énergie.» Rigolant je l’embrassai sur la joue pour aller avec lui plus loin où j’avais vu un buffet à l’entrée. Des gens aussi affamée que moi y faisaient déjà leur choix. Prenant alors une assiette, je la remplis de fruits frais et de légumes. Une fois que Pacey eu fiat ses choix, nous nous dirigeâmes vers une table sous un parasol rayer bleu et blanc en parlant de tout et de rien. Assise, je mordis dans un des ananas les plus gouteux et savoureux de toute ma vie. M’extasiant je dévorai ce fruit avec délice. Bon sang, l’agence de voyage avait parlé des repas très bien coté, mais même les fruits étaient magnifiquement parfais. Je regardai tendrement mon amoureux en nouant mes doigts aux siens. «Joyeux Noël mon amour.» Soufflais-je.


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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyMer 28 Déc - 0:30


Oui c’était vrai. Pacey-Danyaël se faisait encore extrêmement timide et pudique sur le plan sexuel. Le jeune homme n’avait plus qu’un seul et unique secret que Viktoria ne connaissait pas encore sur lui. Et le jeune enseignant voulait profiter de leurs quelques jours en amoureux pour finir de se confesser à celle qu’il voulait être sienne pour le restant de sa vie. Parler de choses graves n’était jamais facile. Surtout lorsque cela était un épisode extrêmement dur et douloureux de sa vie. Un fait qui vous détruit et que vous souhaiter absolument oublier mais que malheureusement vous n’y arrivez pas car cet évènement vous suit comme votre ombre et que vous ne pouvez effacer de votre mémoire. Souvent lorsqu’on a vécu un fait aussi tragique, on espère avoir la maladie d’Alzheimer pour liquider ça de ses pensées. Mais ce que les gens ne savent pas c’est que cette pathologie n’extirpe pas tout de la mémoire. Il suffit de côtoyer des gens âgées ayant connues et vécues au moins une guerre mondiale pour s’en apercevoir. Ces personnes là sont gravées à vie des horreurs de ce monde. Même si elles ne se souviennent plus de leur identité, de leur mari ni de leurs enfants, elles se rappellent parfaitement pendant était la guerre. Elles vous la racontent encore comme si la massacre s’était passé hier et non il y a à présent plusieurs décennies. Donc il ne faut jamais Ô grand jamais espérer être atteinte un jour de cette maladie là. Comment Pacey pouvait aller s’y prendre pour confesser à sa petite amie sa mésaventure la plus horrible lorsqu’il était au lycée ? Le jeune homme profita alors d’un instant qu’il eut en tête à tête avec la Sampi après leur premier repas en amoureux composé de fruits exotiques totalement succulents pour prendre un petit instant et parler de cette chose qui le rognait depuis des années et des années. Jusqu’à présent seuls sa dernière famille d’accueil et Alcide étaient au courant de ça. Maintenant il allait ya voir aussi Viktoria.

    Pacey : " – Viktoria, je… Il faut que je t’avoue un épisode noir de mon passé. Que… Quelque chose qui m’a énormément détruit. Qui est aussi un des faits qui fait que je… Que je suis assez timide et que je voulais absolument attendre la bonne personne, celle que je ne pourrai jamais cesser d’aimer te ça jusqu’à la fin de ma vie, pour… Enfin pour tu sais quoi… “


L’enseignant baissa les yeux. Il se mit à rougir car il savait que la belle comprendrait de quoi il voulait parler. Viktoria savait qu’elle a été la première de Pacey pour tout. Elle était réellement sa première petite amie, son premier véritable baiser, elle fut celle à qui il a offert sa virginité…

    Pacey : " – Lorsque j’étais au lycée, je… Je n’avais pas beaucoup d’amis. Pour ne pas dire aucun en fait. Je… On ne m’aimait pas parce que j’étais un élève discret et que je préférais être seul devant un écran d’ordinateur que d’avoir des tas de copines… Euh… Un… Un jour une fille m’avait fait croire qu’elle voulait sortir avec moi. A… A l’époque, je… J’étais encore très naïf et comme je n’avais jamais eu petite amie, j’avais accepté son rencard. C’était sur le terrain de football du lycée… Elle… En réalité elle n’était pas venue… Ce… C’était l’équipe de football qui était là. Ils… Ils m’ont attrapé et dénudé entièrement. Ils m’avaient attaché à un des poteaux de but sans me laisser aucune chance de cacher mon corps ainsi exposé dans le plus appareil à la vue de tous. C’était horrible… Humiliant tu ne peux pas savoir à quel point… Aujourd’hui encore il m’arrive de faire des cauchemars de ça… Le supplice avait duré une après midi et une soirée entière. Tout… Tout le monde m’avait vu mais personne n’avait levé le petit doigt pour m’aider… Ce… Ce jour là je m’étais promis que… Que la seule personne qui me verrait nu serait…. Serait celle avec qui je… Je veux passer le reste de ma vie… “


Sur cette horrible histoire, Pacey se mit à genoux face à sa petite amie. Il prit l’écrin dans sa poche et l’ouvrit à Viktoria. C’était une bague en or blanc.

    Pacey : " – Viktoria, je… Je t’aime sincèrement de tout mon Coeur tu sais… Je… Je n’ai jamais été aussi amoureux de toute ma vie. Ce… Ce que je veux dire par là, c’est que… Euh… Viktoria… Veux… Veux tu devenir ma femme ? Enfin m’épouser quoi… “


Pacey était réellement sérieux dans sa demande en mariage. Et la bague en était une preuve. Il ne s’était pas moqué d’elle. Le bijou valait énormément d’argent. C’était pour ce grand moment que le jeune homme avait cumulé durant l’espace de deux semaines deux emplois. Uniquement pour pouvoir acheter cette bague pour la femme qui comptait le plus dans sa vie. Le Workers stressait car il ne savait pas du tout comment aller réagir Viktoria. Si elle acceptait il serait le plus heureux des hommes. En revanche si elle refusait ? …
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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyMer 28 Déc - 5:30

Je n’avais jamais été très populaire à l’école, mais je ne pouvais pas dire que j’avais été malaimé. Je faisais partie de cette majorité dont on ne parlait pas qui à vécu son lycée avec ses amis, à connus ses petits et grands drames et qui n’a été ni malmené ni encensé. Nous étions…les normaux. Je vivais dans une bulle ou tout le drame typique du secondaire était loin de nous. Si on se fiait aux films et aux bouquins, il n’y avait que trois groupe au lycée; les rejetés, les populaires, et les moutons. Mais c’était faux. Car moi, ni mal traité, je ne faisais pas parti de Je n’avais jamais été très populaire à l’école, mais je ne pouvais pas dire que j’avais été malaimé. Je faisais partie de cette majorité dont on ne parlait pas qui à vécu son lycée avec ses amis, à connus ses petits et grands drames et qui n’a été ni malmené ni encensé. Nous étions…les normaux. Je vivais dans une bulle ou tout le drame typique du secondaire était loin de nous. Si on se fiait aux films et aux bouquins, il n’y avait que trois groupe au lycée; les rejetés, les populaires, et les moutons. Mais c’était faux. Car moi, ni mal traité, je ne faisais pas parti de ces gens qui souhaitais absolument devenir la tête que tout le monde connaissais. Je vivais dans l’anonymat de la plupart des gens et je le vivais bien. J’étais heureuse avec mes amis, mon jumeau et ma troupe de théâtre. J’avais été spectateur de coups vaches fait aux boucs émissaires et m’étais sentit gêner d’y assisté. J’avais ris des drames titanesque que les gens en quête de pouvoir se créaient dans leur univers de pseudo perfection. Je ne pouvais pas dire que je n’avais pas vécu de haut ni de bas, c’était faux. Mais je préférais nettement me fondre aux décors. Ma vie n’avait été que ça et j’avais continué ce motif au fils de mes études. Vivant dans l’ombre d’un frère surdoué qui était idolâtré par tout le corps enseignant, la déception se lisait bien sur leur visage en voyant que les jumeaux portant le même nom que le génialissime Sulivan Pedersen étaient des boulets scolaires. Si Eirik était plus tête en l’air et préférait s’occuper de ses amis et ses pièces de théâtre moi j’avais buché pour arriver à la hauteur de passer tout mon année scolaire. Oui, disons le, à cet époque là je n’avais pas la rigueur académique que j’avais maintenant et l’influence d’un frère et d’ami m’emmenait souvent à délaisser mes cahiers pour m’amusé. J’en payais cher le prix, jusqu’à devoir falsifié une note scolaire avec Eirik pour ne pas s’attiré la foudre des parents. Mais au final, je ne regrettais rien. J’avais eu un lycée qui, avec du recul, était assez sympa. J’avais encore des amies de cette époque, j’y avais développé mon amour du théâtre et je m’étais forgé en tant que femme de caractère. J’y avais même appris à devenir plus féminine –n’ayant que des frères et une mère absente, le principe de robes, talons haut et maquillage m’avait été très étranger. Merci à des amies et beaucoup de patience, j’étais devenue cette magnifique femme qui prenait grand soin de son apparence pour plaire non seulement aux autres, mais pour se plaire elle-même. Ce n’était pas toujours gagné. Mais lorsque je prenais le temps de me préparer et que dans le miroir je me trouvais belle, j’y voyais une victoire personnelle. Être aimer et s’aimer soi-même. Deux combats que je mènerais toute ma vie et qui, en ce moment, me demandais beaucoup d’effort. Enfin, surtout pour le dernier.

Enfin bref, tout ça pour dire que mon lycée avait été d’une normalité qui décevrait n’importe quel biographe. Alors, au fur et à mesure que Pacey me racontais l’histoire épouvantable qui l’avait traumatisé et qui l’avais mené à être vierge jusqu’à ma rencontre, je me sentis horriblement mal pour mon amoureux. Je ne voulais que l’embrasser, le serrer dans mes bras et lui dire que tout irait bien et que c’était normal d’avoir si peur de l’intimité que nous avions. Maintenant tout était si clair. Refoulé, cette peur et ce malaise avait pris tant d’ampleur qu’une fois extériorisé c’était la panique totale. Toutes ces insécurités et ces crises que j’avais essuyées depuis près de deux mois semblaient alors logiques dans un certain sens. Pauvre Pacey. Comment pouvait-on infligé tout cela à quelqu’un? Comment pouvait-on manipulé un être de la sorte pour le simple plaisir de l’humilier devant tout le monde. J’en frissonnai de rage.

Lorsqu’il se leva pour mettre un genou au sol, mon cœur manqua un bond. Le regardant directement dans les yeux, je déposai mon ananas. Il sortit une bague absolument magnifique qui brillait sous le soleil chaud. Oh non… Pas ça. Puis les mots tant redouté virent en bouche. Veux-tu m’épouser. J’étais autant pris de court que terrifié. Posant une main sur ma bouche, je souhaitais pour que personne ne nous regarde. J’avais vingt ans, et on me demandait en mariage. «Non» furent les mots qui vinrent en premier dans ma bouche. Horrifié, j’hochai la tête négativement. J’étais littéralement en panique. Je venais de dire non à sa demande en mariage. Il allait me quitter, croyant que je ne l’aimais pas alors que c’était le contraire. Je crevais d’amour pour lui. «C’est trop rapide Pacey… ça fait pas deux mois et…. » J’étais sur le point d’hyper ventilée, tant un tas d’émotion se passait en moi. A la fois paniqué, excité, amoureuse, terrifié, heureuse et triste. Je voulais imploser. Crier et l’embrasser. Lui demander pourquoi il voulait gâcher ce début de voyage mais lui faire l’amour. J’avais les yeux embuée de larmes confuses. «On…. On va trop vite. Déjà du baiser au premier je t’aime il ne s’est pas passé trois jours. En moins d’une semaine on devient indispensable à l’autre. Ce genre de truc ca prend des mois pour tout vivre, pas des jours… Et la je… Oh putain…Je t’aime Pacey. Putain je suis totalement dingue de toi. Mais non, pas le mariage. C’est trop rapide. C’est trop….trop…rapide voilà. » J’allai l’embrasser avec amour. Étrange réaction pour une fille qui venait de dire non a une demande de mariage, mais j’avais si peur de le perdre en ce moment. Je refermai alors l’écrin portant la magnifique bague. «Pacey tu es l’homme avec qui je veux tout vivre. Je veux finir mes jours avec toi. Me marier, avoir une famille. Mais…j’ai vingt ans. Je comprend que toi tu le veux tout de suite, tu es réellement plus prêt à toute cette vie là que moi. Mais…je veux vivre ma jeunesse encore un peu avant de devenir Mme Stenfler et de te donner de magnifique enfant. Pacey…» Je caressai son visage, espérant qu’il ne me quitte pas. Je l’aimais...tellement. «Je te promet de dire oui un jour, mais pas aujourd’hui.» Conversation si étrange….
ces gens qui souhaitais absolument devenir la tête que tout le monde connaissais. Je vivais dans l’anonymat de la plupart des gens et je le vivais bien. J’étais heureuse avec mes amis, mon jumeau et ma troupe de théâtre. J’avais été spectateur de coups vaches fait aux boucs émissaires et m’étais sentit gêner d’y assisté. J’avais ris des drames titanesque que les gens en quête de pouvoir se créaient dans leur univers de pseudo perfection. Je ne pouvais pas dire que je n’avais pas vécu de haut ni de bas, c’était faux. Mais je préférais nettement me fondre aux décors. Ma vie n’avait été que ça et j’avais continué ce motif au fils de mes études. Vivant dans l’ombre d’un frère surdoué qui était idolâtré par tout le corps enseignant, la déception se lisait bien sur leur visage en voyant que les jumeaux portant le même nom que le génialissime Sulivan Pedersen étaient des boulets scolaires. Si Eirik était plus tête en l’air et préférait s’occuper de ses amis et ses pièces de théâtre moi j’avais buché pour arriver à la hauteur de passer tout mon année scolaire. Oui, disons le, à cet époque là je n’avais pas la rigueur académique que j’avais maintenant et l’influence d’un frère et d’ami m’emmenait souvent à délaisser mes cahiers pour m’amusé. J’en payais cher le prix, jusqu’à devoir falsifié une note scolaire avec Eirik pour ne pas s’attiré la foudre des parents. Mais au final, je ne regrettais rien. J’avais eu un lycée qui, avec du recul, était assez sympa. J’avais encore des amies de cette époque, j’y avais développé mon amour du théâtre et je m’étais forgé en tant que femme de caractère. J’y avais même appris à devenir plus féminine –n’ayant que des frères et une mère absente, le principe de robes, talons haut et maquillage m’avait été très étranger. Merci à des amies et beaucoup de patience, j’étais devenue cette magnifique femme qui prenait grand soin de son apparence pour plaire non seulement aux autres, mais pour se plaire elle-même. Ce n’était pas toujours gagné. Mais lorsque je prenais le temps de me préparer et que dans le miroir je me trouvais belle, j’y voyais une victoire personnelle. Être aimer et s’aimer soi-même. Deux combats que je mènerais toute ma vie et qui, en ce moment, me demandais beaucoup d’effort. Enfin, surtout pour le dernier.

Enfin bref, tout ça pour dire que mon lycée avait été d’une normalité qui décevrait n’importe quel biographe. Alors, au fur et à mesure que Pacey me racontais l’histoire épouvantable qui l’avait traumatisé et qui l’avais mené à être vierge jusqu’à ma rencontre, je me sentis horriblement mal pour mon amoureux. Je ne voulais que l’embrasser, le serrer dans mes bras et lui dire que tout irait bien et que c’était normal d’avoir si peur de l’intimité que nous avions. Maintenant tout était si clair. Refoulé, cette peur et ce malaise avait pris tant d’ampleur qu’une fois extériorisé c’était la panique totale. Toutes ces insécurités et ces crises que j’avais essuyées depuis près de deux mois semblaient alors logiques dans un certain sens. Pauvre Pacey. Comment pouvait-on infligé tout cela à quelqu’un? Comment pouvait-on manipulé un être de la sorte pour le simple plaisir de l’humilier devant tout le monde. J’en frissonnai de rage.

Lorsqu’il se leva pour mettre un genou au sol, mon cœur manqua un bond. Le regardant directement dans les yeux, je déposai mon ananas. Il sortit une bague absolument magnifique qui brillait sous le soleil chaud. Oh non… Pas ça. Puis les mots tant redouté virent en bouche. Veux-tu m’épouser. J’étais autant pris de court que terrifié. Posant une main sur ma bouche, je souhaitais pour que personne ne nous regarde. J’avais vingt ans, et on me demandait en mariage. «Non» furent les mots qui vinrent en premier dans ma bouche. Horrifié, j’hochai la tête négativement. J’étais littéralement en panique. Je venais de dire non à sa demande en mariage. Il allait me quitter, croyant que je ne l’aimais pas alors que c’était le contraire. Je crevais d’amour pour lui. «C’est trop rapide Pacey… ça fait pas deux mois et…. » J’étais sur le point d’hyper ventilée, tant un tas d’émotion se passait en moi. A la fois paniqué, excité, amoureuse, terrifié, heureuse et triste. Je voulais imploser. Crier et l’embrasser. Lui demander pourquoi il voulait gâcher ce début de voyage mais lui faire l’amour. J’avais les yeux embuée de larmes confuses. «On…. On va trop vite. Déjà du baiser au premier je t’aime il ne s’est pas passé trois jours. En moins d’une semaine on devient indispensable à l’autre. Ce genre de truc ca prend des mois pour tout vivre, pas des jours… Et la je… Oh putain…Je t’aime Pacey. Putain je suis totalement dingue de toi. Mais non, pas le mariage. C’est trop rapide. C’est trop….trop…rapide voilà. » J’allai l’embrasser avec amour. Étrange réaction pour une fille qui venait de dire non a une demande de mariage, mais j’avais si peur de le perdre en ce moment. Je refermai alors l’écrin portant la magnifique bague. «Pacey tu es l’homme avec qui je veux tout vivre. Je veux finir mes jours avec toi. Me marier, avoir une famille. Mais…j’ai vingt ans. Je comprend que toi tu le veux tout de suite, tu es réellement plus prêt à toute cette vie là que moi. Mais…je veux vivre ma jeunesse encore un peu avant de devenir Mme Stenfler et de te donner de magnifique enfant. Pacey…» Je caressai son visage, espérant qu’il ne me quitte pas. Je l’aimais...tellement. «Je te promet de dire oui un jour, mais pas aujourd’hui.» Conversation si étrange….
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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyJeu 29 Déc - 0:07


Pacey aurait pu attendre d’être uniquement en tête à tête avec Viktoria pour lui demander sa main. Mais non, le jeune homme était tellement stressé qu’il fit du grand n’importe quoi. Evidemment il fallait se douter que la réponse de la Sampi n’irait pas dans ses espérances. Elle avait tout simplement refusé. Tout allait trop vite entre eux. La norvégienne lui expliquait comment les choses devaient se produire normalement. Il leur fallait du temps. L’acteur se senti horriblement bête. Il s’était humilié tout seul. Devant tous les voyageurs et personnels de l’équipage mais surtout devant celle qu’il aimait. Lorsque Viktoria referma l’écrin pour cacher la bague, le Workers remit lamentablement sa place sur sa chaise. Il avait très mal au cœur au point d’en avoir les larmes aux yeux. Pourtant il se retenait de pleurer. Il s’était montré assez ridicule comme ça. Alors pas besoin d’en remettre une couche. Dans sa démarche extrêmement maladroite, l’enseignant démontrait une fois de plus son inexpérience avec les femmes.

    Pacey : " – Ex… Excuse-moi Viktoria… Je… Je fais absolument tout de travers. “


Il hésita un instant, ne sachant pas comment sa petite amie allait réagir. Puis finalement tenta de rattraper le tir manqué après leur langoureux baiser.

    Pacey : " – Je… Je t’en prie Viktoria, accepte la bague… Fais… Fais comme si de rien n’était. Comme si je ne t’avais rien demandé… J’ai fait une erreur, je m’en rends compte. La… La vie de couple, je l’apprends seulement avec toi. Et si tu veux toujours de moi…. Enfin rester uniquement en couple sans fiançailles ni rien, il y a de fortes chances que des bêtises j’en ferais encore… Moi ce que je veux, c’est ton bonheur. Et uniquement ton bonheur… Tu… Tu veux qu’on prenne notre temps pour tout le reste, je suis d’accord. Je ne voulais pas te bousculer. On prendra tout le temps qu’il faudra et… Et lorsque tu seras prête à t’engager, tu me le diras. Je… Je pourrais t’attendre, deux, trios, dix, vingt ans et plus s’il le faudra… Je… Je refuse de te priver de ta jeunesse mon amour… “


En discutant avec elle de sa jeunesse, Pacey-Danyaël se rendit compte que les années qui les séparaient limitaient leur couple bien plus qu’il ne l’aurait cru à la base. L’enseignant qui n’était un geek pur et dur et qui ne sortait pour ainsi dire jamais avait de plus en plus l’impression qu’il gâchait la vie de sa petite amie. La Sampi ne méritait pas ça. Il ne la méritait pas. Tout ce que l’acteur pouvait offrir à sa dulcinée n’était qu’une histoire d’amour cachée car interdite. Viktoria valait bien mieux que ça. Elle qui était si jeune si jolie, elle méritait être avec un petit homme de son âge. D’être avec une personne avec qui elle n’aurait pas besoin de faire tout ce cinéma de discrétion. En réfléchissant à ça, l’enseignant se demandait si Viktoria était réellement heureuse avec lui. Il commençait à en douter et ça le faisait souffrir. Pacey avait si peur de perdre la jeune femme. Il était totalement raide dingue d’elle. S’il devait y avoir une fin à « Viktoria & Pacey », le garçon ne s’en remettrait pas. Mais bon lui ne comptait pas. Tout ce qu’il lui importait était bel et bien le bien être de la norvégienne et rien de plus.
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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyJeu 29 Déc - 16:38

Pacey était tout aussi dérouté que moi de cette demande. Et alors qu’il s’assoyait devant moi après ma réponse négative, je pu y lire une tristesse et une déception grandir en son visage. Je me sentis horriblement coupable de causer du chagrin à celui que j’avais rêvé de voir depuis une semaine. Je m’en voulais énormément. Mais je savais que c’était la chose à faire. Je ne me sentais pas prête d’un tel engagement dans la vie. Je n’étais pas de celle qui se fiançait sur un coup de tête. C’était peut-être mon aspect princesse, mais je croyais sincèrement au mariage d’amour, celui qui dure toute la vie et au-delà de la mort. Celui qui ne se brise pas à la première dispute. On banalisait beaucoup trop l’institut du mariage de nos jours, enfin, c’était mon avis. Je rêvais d’un mariage conte de fée. Avec la robe de princesses et tout. J’avais déjà trouver mon prince charmant; j’avais assez confiance en l’amour que Pacey me portait pour commencer à croire qu’il était le bon. Mais je savais aussi que j’avais tendance à m’emballer trop rapidement. Mon échec pitoyable avec Mikael en était la preuve. Si ce dernier m’aurait demander ma main, j’aurais dis oui avant de surement partir à Las Vegas faire une unions devant un Elvis Presley totalement ivre. Bien que je ne le veuille pas, ce type était capable de m’embobiner à ce point. Mais heureusement, il avait trop bien prévu de me laisser tombé pour me demander cette chose si importante. Mais Pacey l’avait fait, et franchement, ca me déroutait. Si rapidement notre amour avait commencé, j’avais si peur qu’il se consume tout aussi vite. Ne dit-on pas que les amours passionnel sont les plus merveilleux mais les plus court? Ce n’était pas pour rien que nous avions toujours aussi peur de perdre l’autre. Notre amour s’était allumé si rapidement que nous avions peur que le moindre faux pas l’éteigne aussitôt. Et bon… de plus, il fallait avouer que si j’étais revenu fiancé de mon voyage, Eirik aurait fait une attaque cardiaque avant de me rayer de sa vie. Et cette conséquence était trop lourde pour la fille qui était encore fragilisé de notre dernière dispute.

C’est ce donc pourquoi je refusai sa main. Même si je crevais d’amour, je ne pouvais pas. Je tentais de lui expliquer mais connaissant Pacey il allait se refermer sur lui-même en se maltraitant sans même écouter ce que je venais de lui dire. Je commençais à bien connaitre mon nerveux et angoissé de petit ami. Il s’excusa donc et je fis un sourire triste mais amoureux. Je ne lui en voulais pas. Bien au contraire. Alors que cette situation aurait pu faire éclater plus d’un couple, il sembla simplement nous faire paniquer. Nous avions si peur de perdre l’un et l’autre pour deux raison différente que nous nous tendions tous deux de rattraper la situation. Voyant que Pacey ne se calmerait pas, je du le faire. Car si je partais à paniquer de mon côté, la chance de rompre était beaucoup probable alors que tout les deux essayons d’éviter cela. Prenant de grande respiration, je l’écoutais le cœur brisé se confondre en excuse et me promettre de m’attendre. Lorsqu’il m’avoua de pas vouloir me privé de ma jeunesse je mis une main sur la sienne. «Je n’ai jamais dis que tu m’empêchais d’avoir vingt ans Pacey, au contraire. J’ai simplement dit que tu es plus prêt que moi à stabilisé certaines chose. Ce n’est pas grave, ce n’est pas un drame. » Je me penchai vers l’avant, l’embrassant amoureusement. «Et tu sais, je sais que tu feras plein de gaffe, je vais en faire aussi. Et ce sont ses gaffes et ses insécurités qui font ton charme mon cœur. » Je le regardai dans les yeux avant de lui faire un sourire réconfortant.

Une idée me vint alors, illumination que ferait sans doute notre affaire à chacun. Je me reculai sur mon siège avant de regarder l’écrin et de lui remettre. «Allez viens, on recommence tout à zéro et on oublie tout ça!» Je me mis à rigoler un peu avant de le forcer à se lever. Main dans la main, je nous dirigeai de nouveau vers notre suite. Les gens nous regardaient et je ne pu m’empêcher de sourire. Il était la notre cadeau de noël, pouvoir être ensemble malgré le regard des autres. Une fois dans la suite je le tirai vers le lit où je le poussai directement. Je posai l’écrin avec la fameuse bague sur la table de chevet et je me retournai vers Pacey pour aller l’embrasser. Reprenant du début notre arrivés, il me refis l’amour suite à des tas de caresses et de je t’aime. C’est finalement nue et essoufflée que j’allai lui embrassée le cou. «jeg elsker deg» chuchotais-je doucement. Le sachant pudique, je mis une couverture sur nous avant de me tourner pour prendre la bague. Blottie contre lui, je l’enfilai à mon doigt. «C’est un magnifique cadeau de noël.Merci» dis-je en regardant le plus beau bijou que l’on ne m’avait jamais offert. Puis je me callai contre son torse en caressant son corps nu. J’étais bien, et je voulais oublier cette demande malaisante. Ce second moment d’amour avait réussi en grande partie. J’étais comblée et amoureuse. On pouvait très facilement le lire sur mon visage. Levant des yeux inquiet, je me demandais si lui aussi était heureux, sans quoi ma tentative de remise à zéro serait un échec monumentale.
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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyVen 30 Déc - 1:18


Pacey était visiblement déboussolé par le refus de Viktoria. Il espérait tellement qu’elle accepte sa demande que sur le coup il n’avait pas su cacher son désarroi. Le jeune homme n’avait pas vraiment d’expérience en matière de relation amoureuse. Mis à part l’histoire merveilleuse qu’il vivait en ce moment avec la Sampi, l’acteur n’y connaissait strictement rien en gente féminine. Pacey mit quelques bonnes secondes après les explications de Viktoria pour se reprendre et faire comme si de rien n’était. Le jeune homme était un brillant acteur devant les caméras. Mais sur le bateau il se faisait que piètre comédien. L’enseignant avait beau dire et essayer de rattraper son erreur comme si de rien n’était, son amertume sur la situation était trop flagrante. Voilà pourquoi le jeune homme préférait le cinéma aux pièces de théâtre. Au moins devant une caméra, il pouvait produire et reproduire les scènes manquées jusqu’à ce que le réalisateur obtienne ce qu’il souhaite. Sur les planches, c’est tout autre chose. Une erreur est trop vite aperçue et selon sa gravité ça peut nuire d’une scène à la représentation toute entière.

Le mariage était un sacré engagement à prendre. Pacey-Danyaël croyait au véritable amour comme dans les contes de fées. Il rêvait d’une union qui ne puisse pas se briser même au-delà de la mort. Sa relation avec Viktoria avait débuté très rapidement sur les chapeaux de roues. Avant de lui offrir sa virginité, l’acteur s’était longuement questionné. Posant bien les pours et les contres. La Miss Pedersen était la femme qu’il avait toujours attendue. L’acteur en était persuadé. En lui faisant l’amour pour la première fois, le Workers n’avait pas fait que se déflorer. Il s’était réellement engagé avec elle pour la vie. Le fils refusait de ressembler à son père au niveau sexuel. Il ne voulait devenir un coureur de jupons. Ayant grandi jusqu’à l’âge de quatorze sous l’éducation de sa maman, Pacey ne souhaitait connaître qu’une seule et unique femme dans son lit. Il avait si peur de la rupture… L’acteur ne pourra jamais se remettre de ça si un jour cela devait arriver. Quoiqu’il arrive, si Pacey devait se retrouver un jour à nouveau célibataire, il ne saura pas remplacer la Sampi dans son cœur et encore moins dans son lit.

Pacey s’en voulait d’avoir fait cette demande. Viktoria n’était pas prête. Le fait qu’elle lui parle de son âge lança comme une barrière invisible entre eux. Rappelant catégoriquement au jeune homme qu’elle n’était pas de la même génération que lui. Ce fut comme une claque qu’il se prit en pleine figure lui rappelant qu’il ne pouvait pas sortir avec elle. Dans le sens à Pacey, qu’il ne méritait tout simplement pas d’être avec une femme aussi merveilleuse qu’elle. L’acteur ne répondit plus aux dernières explications de la demoiselle. Il ne voulait pas sombrer davantage dans le mélodrame. Viktoria se voulait réconfortante envers lui. Pacey lui rendit ses sourires pour la rassurer. Mais au fond il restait blessé. Il était tombé follement amoureux d’une femme pour qui il ne serait peut être que de passage dans la vie de l’étudiante. Alors qu’elle… La Sampi était devenue toute sa vie, son oxygène, sa raison de vivre. Evidemment après ce lamentable refus, Pacey ne pouvait plus ouvrir son cœur de cette façon là. Il ne manquait plus que Viktoria prenne peur et qu’elle le quitte en s’enfuyant en courant.

La Sampi reprit les choses en main. Elle força Pacey à faire machine arrière et coucha avec lui avant d’enfiler la bague à son doigt et de le remercier pour son cadeau de noël. Le bijou n’ayant plus aucune signification autre que les fêtes de fin d’année, le cœur de l’enseignant resta lourd. Cependant il ne fit rien montrer. Pacey offrit encore deux poneys en peluches, une poupée Barbie, des chocolats, des bonbons et un cadre photo à sa petite amie.

    Pacey : " – Le cadre c’est pour mettre la photo qu’on a faite ensemble sur le marché de noël ma princesse. En revanche pour la console, les jeux et les livres, il faudra que tu me fasses une liste plus détaillée et dès que je pourrais, je te les offrirai sans problème. En revanche concernant ton frère, je ne peux rien faire malheureusement… “


Pacey était certain que Viktoria l’avait reconnu l’autre jour au marché de noël lorsqu’elle se promenait avec Callum.
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MessageSujet: Re: All I want for christmas it's you [Pacey ] All I want for christmas it's you [Pacey ] EmptyVen 30 Déc - 5:40

Le bateau voguait déjà en mer depuis peu que j’essayais de rattraper une des premières situations difficiles que notre couple avait. J’avais tenté de rendre plus à l’aise Pacey en reprenant à zéro le cadeau de la blague. Il m’avait demandé de prendre la bague comme cadeau de noël et non demande en fiançailles et pour rattraper le coup, j’avais décidé de reprendre nos premiers moments dans ce bateau. En faisant l’amour avec lui je tentai alors de lui montrer que je l’aimais encore et que je le voulais toujours comme petit ami. Et il me fallu beaucoup de dextérité pour finir par l’emmener dans cette action d’abandon charnel ou tout deux oublions l’espace d’un instant ce moment étrange qui s’était passé plus tôt. J’avais certes pris mon pied à en crier. Mais j’avais eu l’impression que de son côté, le plaisir avait été moindre. Je tentai de faire taire cette peur en me rappelant que j’étais du genre parano et que bien souvent je transférais mes émotions sur les autres. J’avais tellement peur qu’il me laisse de par mon refus que j’avais eu l’impression que pour lui chaque coup de rein avait été une corvée. Mais le baiser essoufflé qu’il me donna au final me calma. Essayant de faire taire le malaise qui grandissait en moi, je mis la bague à mon doigt. Elle semblait plus lourde qu’elle ne l’était. Je me sentais horriblement mal de la porter après avoir refusé de l’épousé. Cette bague avait un plus grand destin qu’être un simple cadeau. Il aurait tu être la preuve d’un amour suprême, le lien le plus unique entre nous. Mais je continuais à croire ce que je disais. Au-delà de l’âge, une demande en fiançailles après deux mois de fréquentation, c’était beaucoup trop rapide. J’étais donc assise dans le lit, la chemise de Pacey sur le dos en regardant avec émerveillement ce bijou. Il était magnifique. Le sourire que me rendit Pacey me fit sourire de nouveau et j’allai l’embrasser tendrement. Je me couchai sur lui, alors caché comme a son habitude sous la couverture. Mes lèvres allèrent effleurer son oreille alors que je lui murmurai «Mon amour, ne croit pas que je ne t’aime pas d’accord. Je te connais, je suis sur que tu angoisses un peu à cause de ça. Ma réponse n’a rien à voir avec tout ce que je ressens pour toi. Tu me rends dingue. Je t’aime Pacey. Et on va prendre notre temps avant de mettre notre couple a un autre niveau. Okay? » Je lui fis un sourire convainquant qu’il me rendit. Je ne pu qu’aller l’embrasser en lui murmurant jusqu’à plus finir des «je t’aime». Mes lèvres parcourant sa peau couvertes de sueur. Mes doigts fins parcoururent son corps, comment pour lui faire comprendre qu’il m’appartenait encore et toujours.

Il fini par se lever, et me tendre un sac emballé. Intriguée, je l’ouvris avant d’y découvrir toute les multitudes de surprise. Blottie dans ses bras, je regardai les peluches, Barbies et autres petits présents, les yeux brillants, écoutant ses explications. «AH! JE SAVAIS!» M’exclamais-je en le regardant avec un regard de gamine de cinq ans. «JE SORS AVEC LES PÈRES NOEL C’EST TROOOOOOOOOOOOOOOOOP COOL» Rigolant j’allais l’embrasser langoureusement, lui mordillant la lèvre avec envie. Si je ne me retenais pas, je sentais que j’allais passer le voyage entier à le clouer au lit et lui faire l’amour. Et, disons le, il devenait de plus en plus bon. «Tu t’es vraiment rappeler de tout ce que j’ai dis en blague. Oh mon dieu mon amour tu es vraiment génial.» Je regardai avec douceur les peluches de poney. La tête posée contre son torse, je les fis galoper dans les airs doucement. «C’est…c’est vraiment la chose la plus romantique qu’on ait pu me faire Pacey. Vraiment.» Dis-je tendrement. Il était tellement insécure face à son nouveau rôle de petit ami que je me faisais un devoir de lui dire ses bons coup. Plus il prendrait confiance en lui, plus il apprécierait ce rôle qui l’avait toujours si effrayé. «C’est…woa… déjà la bague… elle a du te couter les yeux de la tête. Tu n’avais pas à faire toutes ces petites attentions. » Je jouai avec la bague docilement le regardant dans les yeux. «Je suis vraiment la fille la plus heureuse et amoureuse au monde.» Et avec un amour non feint, j’allai déposer un baiser sur ses lèvres.

Et c’est ainsi que le malaise s’effaça et nous étions redevenus un couple amoureux et naïf. Le temps sur le bateau était splendide. Alternant entre la piscine et les chaises longues, je commençais avoir un bronzage d’enfer. J’adorais regarder Pacey nager dans l’eau et parler à d’autres personne en me présentant comme sa petite amie. Ca me rendait encore plus amoureuse de lui et confirmait que cette croisière était l’idée du siècle. Les différentes escales sur des iles paradisiaques nous emmenèrent à des moments plus que romantique ou dans l’océan j’avais pu embrasser mon petit copain. Nous avions même pu nager avec des dauphins et bu du lait de coco à même la noix. C’était la première fois que je passais autant de temps avec lui –nos horraires nous obligeait à nous voir que quelques heures pars fois voir une fin de semaine dans le maximum- et franchement j’appréciais réellement sa compagnie. Je n’avais ni l’impression d’être trop jeune pour lui, ni d’être traiter comme une étudiante. Avec Pacey j’étais Viktoria. Simplement Viktoria. Simplement moi. Et ce masque, même Mikael ne l’avait pas vu tomber. Un seul autre homme m’avais vu dans ma vraie nature, et il se nommait Eirik Pedersen. Pour la première fois de ma vie je faisais assez confiance à quelqu’un pour ne pas me mettre de barrière. Alors je me permettais avec lui d’avoir de grande conversation philosophique sous les étoiles après avoir passer la journée à chercher la fabrique de confiserie de l’ile pour y acheté un maximum de bonbon. Je pouvais être à la fois cette écervelée impulsive que cette penseuse libre. Et franchement, j’adorais ça. La bague que j’avais au doigt n’était peut être pas une bague de fiançailles officielle, mais elle commençait à dessiner en moi un avenir où j’allais dire plus rapidement que je ne le croyais oui à devenir Mme Stenfler.

Arriva les derniers jours en mer. Avant que le bateau ne revient au port, nous passâmes une dernière journée sur la mer. Le soir tombé, il y eu un immense banquet avec un groupe de musique sur lequel Pacey me fit tournoyer une bonne partie de la soirée. Je m’éclatais sincèrement. Puis arriva le moment d’une balade. Blottie dans les bras de Pacey, nous dansions collé. Ma tête sur son cœur, je fermai les yeux. «Fait arrêter le temps Pacey, c’est trop parfais comme moment. » Et alors que je levai la tête pour le regarder, frissonnante d’amour, les yeux remplies d’étoiles, les gens autours de nous entamèrent le fameux décompte annonçant la fin de l’année. Dans dix secondes, nous serions en deux milles douze. J’allai donc embrasser avec amour mon amoureux, nouant sa langue ;a la mienne. Les feux d’artifices éclatèrent dans le ciel alors que je nouais mes bras autours de son coup pour prolongé le baiser. Une véritable scène de film. «Bonne année mon amour.» Soufflais-je en collant mon front au sien. J’étais amoureuse. Et franchement, un magnifique sentiment dans un moment si parfait commençait bien l’année qui arrivait.
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