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On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer.

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MessageSujet: On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer.  EmptyMar 9 Sep - 20:06


Remplir, toujours remplir. Le vide immense à l’intérieur de sa poitrine ne parvenait à se combler. Toutes les tentatives de se sentir entière et complète s’achevaient de la même façon. L’échec ne pouvait l’arrêter. Aengus avait fait le choix de remonter la pente, d’envoyer valser le passé et être ce qu’elle avait choisi d’être. Fini les conneries, au moins celles qui faisaient d’elle une moins que rien.

« Moonwaaaaaaaaalk, moonwaaaaaaaaaaalk ! » Chantonnait elle sur l’air de « I’m bad » de Michael Jackson.

Le sol de l’hopital avait si bien lustré qu’elle pouvait se croire la reine des mimes et imitation du roi de la pop. Evidemment la présence de la gamma s’avérait tout sauf anodine. Durant des mois, des semaines et peut être plus encore, les antidouleurs avaient aidé le cœur de la blonde à ne plus souffrir. Malheureusement, la poudre ne réparait jamais un accident sentimental. Il s’infiltrait dans l’âme et noircissait le monde. Plus rien n’avait de sens sans ses pilules magiques, Aengus le savait. Qu’est-ce qui avait du sens, de toute façon ? Décider à mettre fin à sa vie d’errance pour trouver la paix avec elle-même, la gamma trouva un garçon en particulier : Erwan.
Maintenant qu’elle tombait dos à lui, elle réalisait l’ampleur de la tâche. Sa blouse blanche, se chevelure, sa carrure. Il n’avait pas l’apparence de l’homme qu’elle pensait qu’il était.

« Hey beau gosse ! » Tonna Aengus pour qu’il se retourne.

Elle n’allait pas courir. Le pas gagna un poil de vitesse avant qu’elle ne sorte une main de sa poche pour attraper le bras du garçon en question pour qu’il ralentisse sa course ! Finalement, elle pivota en le relâchant pour lui demander d’une voix sulfureuse.

« Tu sais soigner un nez cassé ? »

Les yeux doux et langoureux, elle papillonna du regard avant de venir flanquer sa main sur le point culminant du visage d’Erwan.

« CA C’EST POUR LES FOIS OU T’ES PASSE A COTE DE MOI EN FAISANT COMME SI ON SE CONNAISSAIT PAS ! BATARD !! SERIEUX ? T AS CRU QUE JE REMARQUERAI RIEN ! GENRE ON EST POTE PUIS D’UN COUP POUF PLUS RIEN. TOUT CA POURQUOI ? PARCE QUE JE ME RAPPELLE DE RIEN ! REDEVIENS MON POTE TOUT DE SUITE !
»

Heureusement pour Erwan, Aengus n’avait pas mis beaucoup de force dans le geste. Elle aurait pu mettre un bon coup de poing si elle avait réellement voulu le blesser. Il ne saignerait pas, ne sentirait qu’une violente douleur durant un petit temps. Bien sûr le nez était particulièrement douloureux.

« Maintenant, je veux bien que tu me payes un coca pour qu’on discute et tout. »

La blonde croisait les bras sur sa poitrine. Au moins, elle savait ce qu’elle voulait. Au vu de sa réaction, le futur médecin avait de la chance qu’elle ne se rappelle de rien et particulièrement de son odieux chantage. Il aurait probablement prit plus cher qu’un coup de poing. La réputation d’Aengus ne se basait pas sur sa clémence, sa gentillesse et sa mansuétude. Non. Bien au contraire.
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MessageSujet: Re: On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer.  EmptySam 13 Sep - 14:57

 «On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. .»
Aengus & Erwan

Les chaussures d'hôpital d'Erwan laissent un bruit de sussions sur le sol lustré de l'hôpital. Le sol aseptisé, les murs blancs et les odeurs de médicaments ; une ambiance qui a longtemps manquè à Erwan, qui n'y avait plus mis les pieds depuis plusieurs mois. Son opération il y a un an de cela, l'avait un peu écarté de ce lieu... Se retouver de l'autre côté de la barrière n'est vraiment pas facile à gérer. Et avec sa dépendance aux anti-douleur, il avait vraiment besoin de prendre du recul sur les choses. C'est avec un plaisir non dissimulé qu'il déambule de nouveau dans les couloirs néanmoins. Un dossier entre les mains, il s'apprête à rentrer dans la chambre d'un patient lorsqu'il entend du bruit derrière lui. Un voix l'interpelle et il se retourne doucement sans se défaire de son habituelle sourire. Certes, il a quelques soucis dans sa vie personnelle, mais il fait toujours en sorte de ne pas laisser cela s'interposer dans sa vie professionnelle. Qu'il soit là à titre bénévole ou non, Erwan prend son rôle de futur médecin très à coeur et il est important pour lui de bien se comporter ici, surtout s'il veut avoir une place de choix dans l'établissement une fois ses études achevées. Une main se porte sur son bras et l'Alpha à tout juste le temps de porter son regard sur le visage de la demoiselle avant de voir un petit point musclé s'approcher dangereusement de son nez. Surpris, Erwan lâche son dossier et porte ses deux mains à son nez par réflexes non sans avoir lâché un juron au passage. mais merde c'est quoi ce...il s'arrête net de parler lorsqu'il entend la voix de la blonde qu'il reconnait soudain ; Aengus. Tout deux ont étaient amis fut un temps, Erwan lui avait même fournis quelques médicaments, jusqu'à ce que la demoiselle perde une partie de ses souvenirs et finisse par l'agresser. Décidément, ça devient une habitude. C'est ta façon à toi de dire bonjour ? lance-t-il une fois l'effet de surprise passé. Son nez ne saigne pas et il ne sera pas cassé, ce qui ne l'empêche pas de lui faire extrêmement mal. Il se penche alors pour récupérer son dossier et se relève très vite en entendant Aengus crier. Il lui attrape le bras et l'emméne à plusieurs mètres de là, à l'abri des regards. Non mais ça va pas ! qu'est-ce qui te prend à toi ? Qu'est-ce que tu viens me faire chié au boulot sérieusement ! Oui, il est énervé et non il n'a pas l'intention de redevenir son "ami" Gus ne lui a rien apporté dans sa vie, hormis de nombreux ennuis et il n'apprécie pas qu'elle vienne le retrouver sur son lieu de travail pour hurler de la sorte. La réalité vient alors frapper Erwan de plein fouet, il avait évité Aengus pendant très longtemps parce qu'il avait quelques chose à se reprocher...Il y a quelques années de cela, avant que Gus ne viennent à l'agresser, il lui avait fait de nombreux chantages pour des médicaments...Dans le fond cela l'arrange bien qu'elle ne se souvient de rien de tout cela. Erwan préfère donc s'adoucir, si elle vient vers lui ce n'est peut-être pas pour rien. Il consulte sa montre, fixait sur son poignet gauche. Heureusement pour elle, sa garde est terminée depuis deux petites minutes déjà. Attend moi au réfectoire, je vais me changer et j'arrive. lance-t-il en soupirant. Il tourne les talons sans attendre de réponse de la part d'Aengus et dépose son dossier à une assistante lui demandant d'aller assister aux transmissions à sa place. Il se déplace alors doucement vers les vestiaire où il se défait de sa blouse et prend soin de glisser sa boite de médicaments dans une de ses poches. Tans pis pour son sac, il reviendra le chercher un peu plus tard. Erwan prend tout de même le temps de se regarder dans le miroir, son nez est légèrement enfler, mais il est trop tard pour y mettre de la glace...Lasse, il se décide alors à remonter vers le réfectoire et retrouve rapidement la gamma qui s'est assise à une table. Il la rejoinds, s'enfonce dans sa chaise et finit par planter son regard dans le sien.Alors, que me vaux cette visite ? dit-il en croisant les bras sur sa poitrine. Il faut qu'il reste calme, même si intérieurement il craint que la demoiselle ne se souvienne de leur passé...
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MessageSujet: Re: On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer.  EmptyDim 14 Sep - 22:27


Le faire chier au boulot ? LE FAIRE CHIER AU BOULOT ? Ce type n’avait aucun sens de l’humour ! Sincèrement ! Aengus roulait les yeux au ciel en l’entendant pester.

« Roh détends toi, Docteur House ! » Maugréa Aengus sans savoir comment elle parvenait à garder le sourire !
Maintenant le coup passé, elle admirait la façon avec laquelle Erwan fulminait.

« T’as qu’à multiplier cette douleur par 100 et te dire que c’est celle que t’as fait à mon petit cœur. » Pesta à nouveau la jeune femme en croisant les bras sur la poitrine.

Loin d’être attendri, Erwan attrapa le bras de son bourreau pour l’entrainer plus loin.

« Quoi ? Quoi ? Non mais c’est une façon de parler. Tu sais une méthamphétamine. » Une métaphore ? Une comparaison peut être. Mais certainement pas une drogue ! Aengus avait parfois du mal à trouver les bons mots. « Mon cœur va bien… je crois. Lâche-moi. Je ne veux pas passer des examens là ! »

Bien sûr, Erwan n’avait pas la moindre intention de l’ausculter, pas plus qu’il ne souhaitait s’inquiéter de l’était du cœur d’Aengus. Un endroit où bouffer ? Beurk ! La grimace qui tortura le visage de la jeune femme laissa deviner son envie de le rejoindre là bas.

« Ouais…’k »

Finalement, le jeune médecin se présenta plus tard à la table de la blonde. Un temps, son esprit tordu et sa peur de l’abandon l’avait poussé à croire qu’il l’avait planté. A son retour, un immense sourire lui fut adressé.

« Je suis en manque alors je me suis dis… » Et voilà que le pied de la blonde glissait contre le mollet du beau brun pour remonter jusqu’aux genoux. La réaction d’Erwan arracha un gloussement chez Aengus. Provocante, comme à son habitude, elle cherchait à pousser l’étudiant dans ses retranchements. Elle jouait, évidemment. « Pourquoi pas venir taquiner Docteur House et durcir sa canne. » Les orteils cherchaient à s’aventurer entre les cuisses d’Erwan. Nul besoin de préciser de quelle canne la blonde parlait.

Elle n’avait pas la moindre intention de se prêter à un jeu sexuel. Enfin, rien de concret. Actuellement, elle préférait ne coucher avec personne. La dose avant et après sexe avait toujours été la meilleure. Si elle se risquait à craquer, elle ne résisterait pas à une petite fumette. Et puis, faire tourner en bourrique Erwan l’amuserait bien plus que de se plier à des jeux sexuels qu’elle ne ressentait presque plus. Finalement, après l’avoir fait marronner un moment, la blonde reposait son pied au sol.

« Sérieusement. Je suis là parce que je me fiche du passé. Je veux un présent maintenant et si tu veux bien laisser le passé au passé, j’aimerai soit ami. »

Pourquoi Erwan ? Parce que depuis sa sortie de l’hopital en février 2013, ils ne s’étaient presque jamais revus. Aengus tenait à profiter de l’ignorance d’Erwan concernant l’horreur qu’elle était devenue pour se forger une nouvelle vie. Être seule ne lui convenait pas. Être la fille que tous avaient attendue d’elle, même sans ses souvenirs ne lui avait pas réussi. Tous avaient agit bêtement, pensant qu’Aengus serait toujours elle, même sans ses souvenirs. Elle avait essayé de jouer le jeu et avait perdu. A présent, elle se forger son propre rôle, sa propre vie et suivait ses propres désirs et aspirations d’avenir.

« Je suis le truc machin pour arrêter… tu sais. Alors il paraît qu’il faut aller voir les gens à qui ont doit des explications pour s’expliquer. T’es le seul avec qui je peux le faire. Les autres… les autres je les hais. Dans le programme, ils disent que c’est à moi qu’on donne une deuxième chance. Moi, je sais que c’est surtout à moi de choisir si je décide d’accorder une deuxième chance à ceux qui m’étaient proches. »

Enfin, elle reprit son souffle. Long discours, non ? De quoi refroidir ! Si Erwan ne connaissait rien du programme que suivait Aengus, il ne comprendrait rien. Pourtant, le programme passait par une phase de pardon, envers les erreurs que l’on avait pu commettre en étant sous substance. C’était un moyen de ne pas replonger. Ensuite, il convenait d’approcher les amis et la famille pour réparer ses erreurs, chercher leur pardon et un nouveau soutien. Il semblerait qu’Aengus cherche, à sa façon, à réaliser sa part du programme.
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MessageSujet: Re: On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer.  EmptySam 27 Sep - 14:04

«On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. .»
Aengus & Erwan
En tans que futur médecin, il a était donné à Erwan de voir toute sorte de personnes se bousculer en salle de consultation. Parfois pour des choses graves, parfois pour des choses futiles, parfois pour des choses qui l'ont laissé sans voix. La venue de Aengus dans son service lui rappelle la troisième solution. Perplexe, il la rejoint tout de même dans le réfectoire, sachant qu'il va devoir s'armer de beaucoup de patience pour lui faire face. Gus est une jeune femme déterminée, prête à tout pour arriver à ses fins et Erwan le sait pertinemment. Lui faisant face, il commande un café sans même demander à la jolie blonde ce qu'elle veut ; il ne compte pas rester là pendant trois heures. Son sang se fige dans ses veines lorsqu'il sent le pied de la demoiselle se glisser sur son mollet, puis entre ses cuises. Il ne bouge pas dans un premier temps, puis recule sa chaise et se racle la gorge, gêné. « Viens en au fait ! .» Son café arrive alors sur la table et Erwan se rapproche de nouveau, tout en gardant tout de même une distance de "sécurité" afin que le pied de la demoiselle ne se perdre plus sur son membre. « Je te conseille d'arrêter. C'est un hôpital ici pas un bordel !» il commence à perdre le contrôle de ses nerfs. Soufflant un bon coup, il se ressaisit et avale une gorgée de son café noir, se demandant encore ce que Aengus lui veut...Son nez le fait encore souffrir à chaque respiration. C'est tous de même dingue qu'un petit bout de femme pareille peut avoir autant de force ! Mais après tout, l'habit ne fait pas le moine et Erwan est bien placé pour savoir que les femmes ont parfois beaucoup plus de force qu'un homme. Il en a déjà eu la preuve avec Harper, qui lui avait donné une bonne claque en public l'an dernier... Ne jamais sous-estimé la force d'une femme bafoué. Reportant son attention sur la fausse blonde face à lui, Erwan l'écoute attentivement parler. Visiblement, il l'a jugé bien trop vite et elle serait là pour réparer ses erreurs et le mal qu'elle a pu faire quand elle n'était plus vraiment elle-même. Notre bras droit penche la tête sur le côté avant de reposer sa tasse de café Puis il se rapproche de la table et y pose ses coudes. « Donc, si j'ai bien compris, tu es là pour t'excuser ?»un rire grave s'échappe de sa bouche, lorsqu'il repense à la façon dons elle l'a abordé. Il sait à quel point c'est difficile de venir se confesser auprès de toutes les personnes à qui l'on a fait de mal parce qu'on était en manque, mais il sait également qu'il y a d'autre façon pour le faire. D'un geste, il dessine un arque de cercle autour de son nez avant de poursuivre : « Et tu penses que ton tuteur serait content de voir la façon dons tu t'excuses ? » Il la fixe du regard, cherchant à la pousser à bout et se contente de lui lancer un sourire narquois tout en buvant son reste de café. « Bon, maintenant que c'est fait, je peux y aller ?» il se passe une main dans les cheveux et appuis ses deux mains sur le rebords de la table, comme pour se lever. Puis, il reste à moitié debout attendant l'approbation de la blonde, au cas où, elle aurait d'autre chose à lui dire. Erwan n'a pas forcément était tendre avec elle et il sait qu'elle ne se laissera pas si facilement faire.
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MessageSujet: Re: On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer. On ne sait jamais, sur un quiproquo, ca peut passer.  EmptySam 25 Oct - 14:46

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