Un bain de minuit [PV Maxence]

Invité

« Une carrière réussie est une chose merveilleuse.
mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit quand on a froid »

Marilyn Monroe

La fête sur la plage, Cindy n'y avait fait qu'un petit tour. Elle était arrivée une heure après l'ouverture officiele habillait d'une robe bleue claire décoré par des fils d'or brodée. Cette robe elle ne l'avait pas acheté, s'était un cadeau de la part d'une amie. Une amie qui essaye de percer dans le monde du stylisme et à plusieurs reprises elle avait demandé à Cindy de porter ses vêtements. La jeune femme n'avait pas réussi à refuser et en plus elle ne payait pas les fringues et elle était habillée... Cindy avait d'abord pris un verre d'alcool qu'elle avait bu petites gorgées par petites gorgées. Et elle se mêla à la foule, son regard tomba sur Maxence, elle le regarda pendant quelques secondes et plus le temps passait plus son coeur se serrait. La jeune femme fut tirer de cette sensation par une amie qui lui posa sa main sur son épaule pour discuter avec elle. Elles discutèrent un petit quart d'heure puis alla vers un groupe d'amis avec lequel elle resta pendant une vingtaine de minutes. Puis elle quitta la fête en jetant un dernier coup d'oeil à Maxence...

Depuis ce jour Cindy n'était presque pas sortie, elle restait à se morfondre dans sa chambre, à regarder ou plutôt re-re-re-regarder les séries qu'elle avait engistré il y a quelques années ou bien des DVD. Ses jours étaient regarder la télé, manger, regarder la télé, prendre des médoc' pour dormir, regarder la télé et manger. Ses pensées étaient totalements occupés par Monsieur Maxence Barryone. Elle essayait par tous les moyens de le chasser de son esprit mais rien à faire. Sa culpabilité, sa solitude, sa souffrance la rongeait de jour en jour et elle ressemblait plus à un zombie qu'à un être humain.

Après une dizaine de jours coupées du monde et à se sentir tellement mal, elle fut sorti de force de sa chambre par un ami qui avait besoin d'elle pour une sortie. Un cocktail pour les étudiants qui tentaient d'avoir la bourse Whorswood, une nouvelle bourse qui est offerte aux étudiants qui étudient l'astronomie. Cindy s'était forcée à l'accompagner et bien évidemment elle devait porter une robe. Cela n'était pas un problème sont amie, en passe de devenir une styliste, lui en avait fait une sur mesure. Une robe couleur jaune d'or, avec des perles de la même couleur créant un déssin avec des fils d'or. Un décolleté trop plongeant aux yeux de la jeune femme, autour du coup elle portait une longue chaine en or au bout de laquelle se trouvait une étoile. Et elle avait un second collier, un collier qu'elle n'avait jamais enlevé, celui que Maxence lui avait offert il y a déjà quelques années... La jeune femme s'était maquillé comme jamais, voulant cacher les indésirable poches sous les yeux qui s'étaient formé par son grand manque de sommeil. Elle était devenue insomniaque... Et elle avait prit le soin d'emmené quelques petites bouteilles d'alcool qu'elle avait soigneusement rangé dans le petit sac à main qui allait avec sa tenue...

La soirée s'était déroulée sans problème, son ami avait fait un discourt, Cindy avait fait bonne impression et elle avait bu seulement deux petites bouteilles d'alcool. Elle pensait qu'elle en aurait besoin de plus ,car elle ne supportait pas ce genre de soirée. De richissime personne qui se montrent pour soit disant passé pour des gens qui s'intéressent à l'avenir de leurs enfants. Enfants qui n'ont pas peur de leur avenir universitaire ,car papa et maman pourrons toujours donner un « petit » chèque... La seule personne qu'elle n'avait pas mis dans cette catégorie était son ami, un jeune qui avait mal tournée il y a quelques années et qui avait réussi à monter la pente. Cindy et son ami quittèrent la soirée à vingt-trois heures vingt. Ils partirent chacun de leurs côtés et une bise sur la joue comme au revoir...

Cindy marchait dans les rues, toujours vêtu de cette tenue de soirée. Au bout d'une demi-heure de marche elle se retrouva sur une partie de la plage, un endroit désert. Personne n'était sur ce bout de plage pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Alors, elle s'avança, enlevant délicatement ses chaussures à talons, de la même couleur que sa robe, pour sentir le sable contre ses pieds. Elle marcha pendant deux petites minutes pour se retrouvait à un mètre de l'eau. La mer descendait, la jeune femme s'assit puis la regarda... Puis au bout de cinq minutes elle leva les yeux vers le ciel et commença à regarder le ciel noir remplit d'étoiles. Et quelques minutes après avoir regardé ce ciel magnifique, Cindy laissa tomber son petit sac à main sur le sol, elle se leva ouvrit la fermeture sur le côté de sa robe, puis délicatement elle la fit glissait sur son corps. Laissant apparaître des sous-vêtements blanc en dentelle, sous-vêtements qu'elle enleva et posa délicatement sur la robe. Elle passa sa main sur ses cheveux puis enleva les quelques épaingles qui faisait une coiffure sofistiquée. Ses cheveux tombèrent alors en cascade sur son dos nue. Puis elle s'avança vers l'eau jusqu'à la sentir sur sa peau. Elle n'était pas très chaude mais qu'importe. Elle s'avança jusqu'à être recouverte jusqu'à sa poitrine puis elle entra totalement dans l'eau pour remonter deux secondes plus tard, ses cheveux étaient désormais mouillés... Puis à ce moment-là elle entendit un bruit d'eau, comme si quelqu'un entrait aussi dans l'eau alors elle se retourna...

Invité

Aout n’avait pas fini de pointer le bout de son nez qu’une intense vague de chaleur avait envahi les rues de San Francisco, la majorité des habitants de la ville avaient pris leurs valises et s’étaient éloignés de la chaleur pendant que les touristes, nombreux, affrontaient avec courage les rayons brulants du soleil. Maxence Barryone, notre cher DELTA avait quand à lui, eut son propre programme estival. En effet, dès Juillet monsieur avait eu la brillante idée de s’éloigner de l’université, son campus mais surtout des étudiants et des langues qui se délient… C’est ainsi qu’il sortit du désespoir profond qui le rongeait dès le lendemain de la fête sur la plage, rangeant ses affaires et prenant un billet aller simple vers New York. C’est là, qu’il retrouva sa ville, sa famille et toutes ces connaissances avec qui il avait tellement fait et refait la fête. Et alors, à New York tout parut plus simple, il sortait, faisait la fête, se souciant de très peu de choses.

Les choses allaient très bien jusqu’à ce qu’un appel de Luc vienne changer la donne, Soukaïna venait d’accoucher et lui n’avait d’autre choix que retrouver SF, très vite rattrapée par la réalité des choses, de la tension des relations, le jeune homme décida de ne pas rester longtemps et après quelques semaines s’en alla, retrouver NY ne changea rien et c’est en Afrique qu’il trouva tranquillité. C’est donc entre Marrakech, le Caire et Tunis qu’il passa le reste du mois de Juillet. Quand vint Aout, il dut de nouveau rentrer en Californie, régler des détails administratifs à Berkeley, c’est ainsi donc qu’il devait supportait depuis deux semaines déjà la chaleur étouffante de la ville. Il y avait eu quelques complications et contrairement à ce qu’il souhaitait, il ne pouvait pas quitter la ville. C’est donc à l’hôtel, pour éviter le campus, qu’il séjournait. Il passait donc ses journées entre les différentes administrations et les fêtes, pas génial mais il espérait bien que tous ses petits soucis allaient vite être réglés, car il envisageait de passer quelques jours à Bejing pour assister aux jeux Olympiques et si on le retenait plus longtemps, il risquait de rater le meilleur.

Il était donc 18 heures quand au secrétariat de Berkeley on lui annonça que tout était rentré dans l’ordre et dans un soupir de soulagement, il quitta l’université. Il avait toute la soirée devant lui et aucun plan précis de prévu à l’avance, il rejoignit donc son hôtel, et se mit à la recherche sur le web d’un billet d’avion pour le lendemain pour Pékin, ce qu’il ne trouva pas son grand désespoir vous l’imaginez bien. Il se contenta alors d’en réserver un pour la semaine suivante, après tout le principal c’est d’y être ! Quelques heures plus tard, il reçut un texto de Lucas qui lui demandait de le rejoindre à une fête ce que Maxence ne tarda pas d’accepter. Il enfila à la vitesse de l’éclair une tenue qu’il s’était acheté à New York. Un coup de peigne, une touche de parfum et un aperçu dans la glace plus tard, il était prêt à faire sa sortie.

C’est donc de la même manière que se déroulent toutes les soirées que celle de Maxence se passa. Alcool, musique, drague…Souvent cela se finissait avec une fille dans son lit mais ce soir-là Max s’était laissé allé avec le bar, se retrouvant très vite saoul et pas vraiment en état de ramener une quelconque fille avec lui. A la fin de la soirée, il avait fait signe à un Lucas complètement défoncé entouré de trois filles qu’il rentrerait à pieds et celui-ci n’avait pas posé plus de questions pour retourner à quelques activités suspectes.

Ainsi, Maxence sortit de la boite branchée où il s’était introduit quelques heures plus tôt dans un état très peu flatteur. Il héla un taxi qui ne mit que quelques minutes à s’arrêter, seulement, un gars qui attendait tranquillement sur le trottoir, jugea normal de s’y introduire. Ce que vous le devinez bien, Maxence eut du mal à digérer. Débuta ainsi une confrontation qui se finit avec comme triste résultat, une gueule très moche à voir pour nos deux compères en plus de la fuite du cher taxi, objet du litige.

Il allait donc devoir faire comme le commun des mortels et utiliser ses petites jambes pour le trainer jusqu’à une station de métro, de bus ou tout autre moyen de transport.

Longeant la magnifique corniche, ou plutôt titubant sous l’effet de l’alcool, Maxence fut pris par un genre de démence, quelque chose d’inexplicable, plutôt étrange, Monsieur voulut se baigner ! Quand je vous parlais de phénomènes paranormaux ! C’est ainsi donc qu’il se dirigea vers la plage, le sable lui entrait entre les orteils, et chose qui n’aurait pas plus retenu son attention en temps normal, l’obligeait ce soir là à se pencher vers son pied au bout de chaque pas en vue de retirer les grains intrus. Arrivé après quelques longues minutes devant la mer, il retira son tee-shirt, son short et plongea dans l’eau glacé. Un contraste évident avec la chaleur extérieur, cela fit vite de le réveiller quelque peu. Il pénétra alors un peu plus, jusqu’à se retrouver complètement mouillé, puis se laissa aller dans l’eau, ignorant la silhouette qui venait de se dessiner dans la pénombre.

Invité

Un bain de minuit [PV Maxence] Khserie3100100av1sur2vn9

Invité

La mer, éclairée par la lueur de la lune et des étoiles, semblait n’avoir aucune limite, aucune fin. Se laissant porter par le son des vagues, fermant les yeux, Maxence se sentait serein. La douleur à sa lèvre inferieur, apaisée par l’effet de l’alcool se retrouvait ravivé par l’eau glacé de la mer. Une fois dedans, à l’intérieur de cette immensité, avoir se sentiment de n’être qu’un point sans importance dans l’univers, de ne finalement signifier que très peu, que vos soucis ne comptent absolument pas, ce sentiment si libérateur submergeait Maxence, lui offrant le temps d’une nage toute la sérénité et la tranquillité qu’on puisse espérer. Sûrement l’alcool aussi était il responsable de cet état second, il avait bien du ingurgiter des dizaines de sortes d’alcool différentes. D’habitude, il est difficile à saouler Maxence mais il faut croire que ce soir, le bar avait eu raison de sa résistance. En fermant les yeux, toujours dans l’eau, il se sentait libre, léger, il se voyait voler dans le ciel, un ciel bleu qui lui montrait un avenir heureux, une route tracée qui le menait droit vers la félicité. Sans pouvoir s’en empêcher, il sourit, plongeant la tête dans l’eau glaciale. Toute sa peau se mit à le piquer quelques zones comme autour de son œil ou le bas de sa lèvre plus que le reste vue les bleues qui avaient dû s’y loger mais la douleur paraissait si minuscule, qu’il la sentait à travers un voile, comme s’il ne faisait plus que l’imaginer, il se sentait bien. Vous lui auriez demandé depuis quand est ce qu’il se trouvait sous l’eau, il aurait sans doute répondu : toujours. L’espace, le temps, plus rien ne comptait. Seulement, se laissant porter, il se retrouva très vite bien loin du rivage. Pourtant, même en s’en rendant compte, il ne fit rien pour retrouver l’endroit où il se trouvait. Pas assez conscient non plus pour mesurer l’ampleur du danger, il savait nager, d’après lui il ne risquait rien. Bientôt une mélodie vint se loger dans son esprit, régulière, un refrain qui n’arrêtait pas de lui revenir ces derniers temps. De qui ? Quand l’avait il entendu pour la dernière fois pour que ça lui reste ainsi gravé dans l’esprit ? Il aurait été incapable de vous rendre, même les paroles n’étaient pas claires, juste une mélodie… Une mélodie qu’il avait en vérité écouté pour la première fois à une époque, aujourd’hui lointaine, bien que les reliques de ces actes, de ces sentiments n’aient tendances ces derniers temps à fâcheusement remonter à la surface, l’époque bien connu de la première cuite, de la première fugue, de la première…ou plutôt du premier amour. L’époque si cher et si marquante du lycée, qui aurait cru que toute sa vie, jusque ses vingt deux ans, les souvenirs n’en seraient que douloureux. Qui aurait cru que c’était si dangereux d’acquérir une éducation, si dangereux de chaque matin se lever avec tout cette insouciance, toute cette innocence que peut avoir un adolescent avant de se diriger vers le chemin de l’école, le conduirait à autant de tourments, de regrets et de questionnements ? Surement pas lui, surement pas Maxence Barryone, le plus superficiel des mecs de l’université.

Les mains le long du corps, les yeux fermés, Maxence flottait à la surface… Une brise légère, douce vint caresser sa peau, le faisant frissonner, manquant de lui faire perdre l’équilibre, le sortant de son état d’inconscience second. Le ramenant sur terre en gros, le tirant de ses rêveries. Il n’avait plus pied, ça c’était clair, nager jusqu’au rivage s’averait plus difficile qu’il ne l’aurait imaginé et le poids de son corps qui paraissait si léger, si minuscule, le surprenait pas sa lourdeur. Se tirer jusqu’au rivage aurait été plus approprié que nager pour décrire l’action laborieuse qu’entreprenait le jeune homme. A quelques mètres du sable, les bras pendants, il leva les yeux une dernière fois vers le ciel, y observant les étoiles, comme s’il y cherchait quelque chose qu’il avait perdu quelques minutes auparavant. Une vision apaisante qui le rassurerait, un rien, juste un signe. C’est ça qu’il demandait au ciel, un signe, que faire ? Puis baissant la tête vers le sable, manquant de trébucher sur un rocher, tentant tant bien que mal de garder l’équilibre malgré tout l’alcool présent dans son sang, Maxence se laissa tomber. Lourd produisant un bruit sourd, des larmes s’écoulèrent silencieuses de ses yeux. Il s’était fait mal ? Non, il ne s’était pas fait mal. Il en avait juste marre, assez, ras-le-bol ! Sa vie l’épuisait, être lui était dur, pourquoi son signe n’arrivait-il pas bon sang, pourquoi est ce qu’on s’acharnait sur lui ? Pourquoi ne trouvait-il pas la tranquillité d‘esprit plus de quelques minutes…Pourquoi ? Son âme lui faisait mal et tous ses membres, tout ses organes, tout son lui semblaient noué. Mal. Mal. Mal.

Mais non enfin, tu ne peux pas te laisser aller ainsi. Mais non enfin, tu ne dois pas laisser tomber. Mais non enfin, il ne faut pas. C’est impossible. Il faut continuer à espérer. Les voix dans sa tête n’arrêtaient pas de se bousculer, s’entrechoquant entre elles, créant une cacophonie qu’il était bien le seul à entendre. Il se sentait seul ainsi. Perdu, abandonné. Les larmes chaudes et abondantes ne cessaient de couler le long de ses joues, tout son visage se ridait en une grimace peu flatteuse de son apparence. La douleur s’étendait jusqu’au plus profond de lui. Qu’est ce qui s’est passé ? Qu’est ce qui peut bien être si grave pour qu’allongé sur le sable en position fœtale, Maxence craque sans pour autant s’ordonner d’arrêter. De toute manière, cela importait peu, avec tout l’alcool qu’il avait consommé, le lendemain plus aucun souvenir ne lui reviendra. Tout cela ne compterait pas, on aurait découpé ce morceau de la pellicule de sa vie, ou au moins on l’aurait bousillé, pour que personne ne puisse jamais la regarder. Pour que lui, puisse se laisser aller le temps de cette soirée brûlante d’Aout. Seulement, d’un coup, en une fois, sans réfléchir, Max se leva. D’un bon et puis titubant jusque l’endroit où il avait laissé ses vêtements, ses larmes avaient cessé de couler, il leva la tête et alors aperçut Cindy. Allongé sur le sable, à quelques mètres à peine de lui, le fixant de son regard si mélancolique. En sous-vêtements. Ce que Maxence fit ? Rien, il la prenait pour un mirage ou un rêve, peut être un cauchemar, une hallucination…Un signe. Quoi ? Que cette apparition voulait dire ? Il ne le savait point, c’est ainsi alors que sans s’habiller, puant l’alcool et complètement Out de ses fonctions, il alla s’asseoir aux cotés de Cindy. Sans un mot…Juste regardant les étoiles.

Invité

Un bain de minuit [PV Maxence] Khserie3100100av2sur21eu5

-Allez, il faut sourire à la minabilitée de la vie !!

Invité

Ah l’alcool. Quel meilleur moyen de s’évader complètement que celui-ci pour ne finalement plus rien ressentir, plus rien avoir à l’esprit et cesser de réfléchir. Maxence et l’alcool ça avait été long comme histoire. Dès son plus jeune âge et ce au départ de sa mère de New York. Une mère qui avait préféré aller retrouver sa ville natale plutôt que de sombrer à Manhattan où l’hypocrisie faisait rage, il avait vu son père lui, sombrer dans la boisson. Chaque soir Monsieur le vieux rentrait complètement bourré, déchiré et venait dire bonne nuit à ses enfants. Ceux-ci n’avaient alors que quelques années, pas plus de 6 pour Max, 9 ou 10 pour sa sœur, jusqu’à ce qu’il cesse complètement de le faire et qu’il les délaisse au gouvernante. Depuis, bien qu’il n’ait pas été assez grand pour comprendre, il s’était promis de ne jamais toucher aux drogues, cigarettes et pétards en tout genre. Seulement, l’alcool, il y avait seulement établi un code que celui de ne pas tellement abuser pour histoire de ne pas risquer d’y tomber, d’y sombrer et de ne plus pouvoir faire marche arrière.

Seulement voilà depuis de nombreux jours déjà, et pendant toutes ces vacances pour commencer, le jeune homme enchainait les cuites, de plus en plus nombreuses, de plus en plus dévastatrices et qui plus est, engendraient d’affreuses conséquences. Des conséquences qui se manifestaient en forme de bagarres, de disputes ou d’affreuses mines, mal de crânes horribles et flemme incroyables. Il ne se rendait pas vraiment compte de ce qu’il faisait, un de ces soir à New York, il avait bien risqué de se laisser tenter et fumer quelques joints avec des potes qui passaient par là, pendant une fête. Heureusement, sa conscience l’avait rattrapé à temps mais il avait quand même gardé un mauvais souvenir de cela. Comment avait il pu y songer une seule seconde, lui qui était si fort, ou plutôt qui se croyait si fort.
En faisant le bilan de tout ce qu’il avait vécu pendant ces vacances quelques jours plus tôt, Maxence n’avait rien retenu ou tout au plus pas grand-chose, certes il avait voyagé dans des régions des plus magnifiques et magiques en Afrique, Marrakech et sa merveilleuse ambiance digne des contes des mille et une nuit, le Caire et ses pyramides, Tunis et tout ce qu’elle offrait à visiter à ses touristes. Il ne s’était pas ennuyé et avait appris bien des choses, mais humainement parlant, il était resté au même point. Point de non retour ? L’aurait-il fâcheusement atteint ? Il s’effrayait à y penser pendant la journée alors qu’il était sobre mais pour l’instant, il était tout simplement dans un autre monde que celui de l’insouciance inconsciente.

En effet, au lieu d’ignorer Cindy comme il se l’était promis de le faire et de passer son chemin. Ce qui aurait mieux valu pour les deux, les empêchant de se refaire souffrir l’un l’autre, de raviver une mille et unième fois les douleurs du passé et aidant Maxence à sortir complètement la jeune femme de sa vie. Max se retrouvait à ses cotés, regardant les étoiles. Juste ça. Il s’était allongé à ses côtés, lui vêtu d’un simple caleçon et elle de sous-vêtements. Eclairés par la lueur de la lune et celle des réverbères postés un peu plus loin sur la corniche, ils étaient là. Comme quatre années auparavant, ils s’étaient retrouvés un jour à la plage et que Max avait aidé Cindy à dépasser une de ses peurs les plus bleues. Il n’y pensait pas vraiment à ce jour-là, seulement des images lui revenaient, des souvenirs enfuis auxquels il n’avait pas vraiment pensé depuis.

Le sortant de ses rêveries, il sentit Cindy s’approcher puis se mettre à cheval sur lui. Complètement ? Cindy ? L’intello alpha imperceptible à l’université, aussi discrète qu’une petite souris ? Oui oui tout à fait. Seulement Maxence ne s’en rendait pas vraiment compte de qui est ce qu’il avait au dessus de lui, seulement une fille, un corps, des doigts qui vinrent lui élargir les zygomatiques en une espèce de sourire pas très sexy et une voix lui souffler une phrase dont il n’essayait même pas de comprendre le sens. Alors le jeune homme, comme l’aurait fait tout homme, déposa sa main sur la cuisse de cette fille qui avait des allures de déjà-vu, il se mit en position assise, puis tout en ramenant une de ses mains dans le dos de la jeune femme, se mit à l’embrasser fougueusement, ne s’arrêtant que pour reprendre son souffle et replonger sa bouche dans la sienne ou quelque part dans son cou, ses mains évoluaient au même moment dans le dos de la jeune fille, tentant de défaire son soutien gorge.

Si on ne l’arrêtait pas, non il ne le ferait pas de son propre gré. Il ne voyait pour l’instant Cindy qu’une fille qu’il allait vulgairement se taper sur la plage en un soir où il était beaucoup trop bourré et pas comme la fille qui l’aimait et qu’il risquait de faire souffrir pour la suite. Affaire à suivre…

Invité

L'alcool, Cindy n'avait pas été habituée à en boire et dans un sens s'était une bonne chose. Ses parents ne buvaient que très rarement, lors de soirée avec des amis, de la famille et certains anniversaires. Du pastice, du cidre, du vin ou encore du champagne. Madame Buffet buvait encore moins d'alcool que son mari, le seul alcool qu'elle supportait été le champagne et encore elle se forçait quand il y en avait. La cousine de Cindy, lors d'un anniversaire, avait « forcé » sa cousine à au moins goûter une gorgée de champagne. Ce qu'elle fit après dix minutes de demande et elle n'avait pas apprécié le goût au contraire. L'odeur de l'alcool lui déplaisait en particulier le pastice et le vin. Plus tard elle goûtera la bière ce qui lui plaira encore moins. A la mort de son mari, Madame Buffet sombre dans l'alcool. Elle passait ses journées à se morfondre à boire et à faire souffrir sa fille. Cindy la regardait se détruire puis elle l'aida même si au fond d'elle elle haïssait la femme qui l'avait mis au monde. Mais apparement le sentiment maternelle l'avait rattrapé...
Depuis le début des vacances Cindy avait commencé à consommer de l'alcool. Parfois l'odeur et le goût ne lui plaisait pas, mais elle en buvait quand même car elle savait qu'après elle « se sentirait mieux ». Mais en fin de compte ce sentiment de bien être ne durait que quelques heures, au mieux. Et le lendemain elle se réveillait avec un mal de crâne à la hauteur de la quantité d'alcool emmagasiner. Il lui était rare de vomir, mais elle devait supporter des mal de tête atroces et parfois elle n'avait rien.

L'alcool n'était pas la seule chose qui s'était offert à Cindy pour s'évader pendant quelques heures de ses problèmes. La drogue lui avait aussi tendue la main, pas de cigarettes, non elle ne supportait pas l'odeur. Mais plutôt l'extasie, elle avait entendu parler à mainte reprise de l'effet de cette substance. La sensation de planer, de voir tout en rose, de ne plus penser à rien. Un soir où elle était sortie, quelqu'un lui en avait proposé. Elle se trouvait en face d'un jeune homme qui lui proposait de l'extasie, Cindy était tentée même extrêmement tentée. Mais quelque chose l'avait retenue, peut-être une petite voix dans sa tête, peut-être une personne, elle ne savait pas trop. Mais une chose était sûre, elle n'avait pas pris cette drogue qui s'offrait à elle. Cependant, elle s'était réconfortée avec une bonne bouteille d'alcool.
La jeune femme avait bu de nombreuse fois, mais elle n'avait jamais eu de grave problème. Comme se retrouvait à l'hôpital où chez quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Car, même si elle était sous l'emprise de l'alcool, une partie d'elle arrivait à rester à la limite de la lucidité.

Sous l'emprise de l'alcool Cindy se laissait allé, oubliant les règles qu'elle se fixait dans la vie d'étudiante. Révélant une facette de sa personnalité, une Cindy qui sourit pour un rien, qui rigole pour un rien, qui n'a pas peur des autres, qui serait prête à aller chanter dans un bar... Elle n'était plus la jeune femme qui se fait aussi discrète que possible, qui passe ses journées à bosser, qui reste seul dans son coin : la gentille petite Cindy...

Oui ce soir-là, l'étiquette « gentille Cindy » n'allait plus vraiment avec le comportement de la jeune femme. Elle se trouvait à cheval sur lui à regarder les étoiles après lui avoir lancé une phrase ambiguë. Alors qu'elle regardait le ciel, oubliant qu'elle se trouvait sur Max', elle sentit une main sur sa cuisse. Elle tourna alors la tête et vit que s'était la main du jeune homme, un contact qui lui avait tellement manqué depuis des années. Quand elle vit sa main, ce ne fut que la confirmation, pour se prouver que ce n'était pas une illusion. Puis une main dans son dos ce fit aussi sentir, encore une fois une sensation qu'elle adorait et qui lui manquait cruellement. Et puis il l'embrassa, ce fut l'apothéose, la jeune femme se sentit comme sur un petit nuage. Bon okay, l'alcool y était peut-être pour un peu, mais tous ses gestes lui procuraient tellement de bien. Du bien, de la sérénité, de la joie, de l'envie... un sentiment de bonheur... Un sentiment qu'elle n'avait pas resenti, de façon aussi forte, depuis longtemps. Cindy essayait de profiter au maximum de ce moment, car elle savait que ça ne durai pas... Elle commença à passer ses mains dans le cou du jeune homme pour ensuite descendre dans son dos. Ses pieds se mirent droit pour ensuite former un cercle et se collaient au bas du dos de Maxence. Quand il l'embrassait dans le coup, elle ne pouvait s'empêcher de lever la tête et de regarder le ciel. Puis elle la rebaissait pour l'embrasser, à son tour, le coup du jeune homme. Tout paraissait si simple, si facile, si naturelle...Puis elle sentit que Maxence essayait de dégrafé son soutien-gorge. A ce moment-là, elle arrêta de l'embrasser et le regarda dans les yeux. Et là, là elle se rendit compte qu'il ne la voyait que comme une fille de plus qu'il allait pouvoir se taper.

Une relation sexuelle dont il ne se souviendrait surement pas demain. Cindy en avait envie, oh sa oui bien plus qu'il n'est possible de l'imaginer, mais même si son envie lui disait d'y allait et son corps aussi. Ses sentiments lui disaient de s'arrêter, de ne pas le faire sinon la souffrance ne serait que plus importante. Elle resta à le regarder dans les yeux pendant quelques secondes, se demandant qu'elle était le bon choix... La jeune femme passa l'une de ses main sur la joue de Maxence, sentant cette barbe de quelques jours. Cela la fit sourire, elle le trouvait mignon ainsi, mais elle vit aussi quelques blessures. Quelques blessures qui semblaient être dut à l'alcool.

Elle mit ses mains dans son propre dos et attrapa celle de Maxence qui se trouvait sur son soutien-gorge. Elles les prient dans les siennes et les posèrent sur le sable. La jeune femme s'approcha du visage du jeune homme pour lui volait un dernier baiser. Et tout doucement elle se laissa tombait sur le sable pour ensuite se roulait dedans et se retrouvait allongée à côté de lui. Elle regarda alors le ciel pendant quelques secondes, avant de tourner la tête vers Maxence et de plongeait ses yeux dans les siens. Et d'une voix lente et audible elle dit :

-L'amour n'est pas l'amour s'il fane lorsqu'il se trouve que son objet s'éloigne, quand la vie devient dure, quand les choses changent, le vrai amour reste inchangé. William Shakespeare. Tu m'as dit que je ne pouvais pas t'aimer, car tu avais changé. Pourtant, c'est la vérité, je t'aime toujours même si tu as changé. La mellieure période de ma vie s'était avec toi, si aujourd'hui on va si mal, et ne nît pas que tu vas mal... enfin, je me dis que... quand j'étais avec toi, les épreuves difficiles je les ai passé, ont les passait ensemble... Je t'aime...est-ce que...est-ce que je compte autant que tu comptes pour moi ?
Une larme coula sur sa joue pour venir s'écraser sur le sable, elle tremblait de tous ses membres.
-Veux tu m'épouser ? Après tout nous étions heureux, très heureux ensemble même plus, je sais que tout ça s'est le passé. Mais quand je suis loin de toi tout va mal !

Invité

Se retrouver ainsi, sur la plage à une heure aussi tardive, ça lui était arrivé plus d’une fois. Seulement les circonstances n’avaient jamais été semblables à ce soir-ci où tout, absolument tout, paraissait à Maxence changé. Comment ? Pourquoi ? On pourrait facilement établir l’hypothèse de l’effet de tout l’alcool ingurgité présent dans son sang, certainement la plus plausible. Pourtant, ce n’était pas cette sensation de flotter habituel que Monsieur ressentait mais quelque chose d’un peu plus profond, peut être les coups avaient-ils causé un traumatisme crânien grave et qu’à l’intérieur de sa tête, une hémorragie sans précédent est en train de faire d’énormes dégâts dans son cerveau. Hypothèse à retenir malgré la légèreté des blessures causés par le gros c** qui avait osé bousiller la face de notre Max. En tout cas le mystère de cette sensation étrange resterait sans doute à jamais irrésolu, le jeune homme ne s’en souciait d’ailleurs pas le moins du monde, ses pensées étaient en effet occupées par de toutes autres affaires, bien plus importantes que n’importe quelle autre sensation.

Vous l’aurez bien vite deviné, la demoiselle au dessus de lui, Max s’en foutait de toute sensation étrange et les idées qu’il avait derrière la tête en témoignaient d’ailleurs bien mieux que lui. Faire l’amour sur le sable éclairés par la faible lueur de la lune, quoi de plus romantique ? Ca aurait surement pu l’être pour deux amoureux en voyage de vacances, des âmes sœurs en lune de miel, pas dans le cas présent où un gars complètement bourré essayait de se faire une « nana » qui depuis des semaines le poursuivait à coup de « Je t’aime » passionnés, non non rien de bien romantique surtout dans l’esprit de notre Maxou qui désirait juste pendant quelques minutes se sentir d’un autre monde et puis satisfaire un brusque désir sexuel.

Il en avait vu défiler des filles, des allumeuses en tout genre, il avait une réputation bien construite, tout bien dure de Playboy bourreau des cœurs, salop jusqu’au bout des orteils, bien des fois ça le saoulait d’entendre les bruits de couloirs à propos de ces dernières coucheries, mais au bout de trois longues années d’études, il avait bien fait de s’y habituer, ignorant les remarques des uns, évitant les questions indiscrètes des autres. Il arrivait que des filles dissimulant de la lingerie fine sous leurs imperméables ou peignoirs viennent frapper à la porte de sa chambre universitaire, avec des airs coquins. Quand la bonne humeur était au rendez vous et qu’aucun projet n’était prévu pour la soirée, il arrivait que le jeune homme accepte les alléchantes propositions des demoiselles toutes plus belles les unes que les autres. Mais ce qu’il avait préféré pendant longtemps c’était bien de se foutre de la gueule de gentilles filles bien sages qui arrivaient à croire à des promesses de poussière et se retrouvaient vite dans son lit. Le lendemain, elles laissaient un numéro et un nom sur la table de nuit que Max s’empressait à mettre à la poubelle avant l’arrivée d’une autre conquête. Enfin ça n’avait pas duré tout ce manège, à l’intérieur de l’université, on s’était rendu compte du salop qu’il pouvait être et les cœurs sensibles s’éloignait…

C’est alors qu’il opta pour une deuxième solution, la drague dans les bars et discothèques en tout genre, là-bas, il arrivait à se faire passer pour ce qu’il voulait : héritier de milliards, astronaute s’apprêtant à aller sauver SF d’une météorite, sans oublier les coups du héros qu’il organisait avec des potes : « Oui, il m’a sauvé d’un feu… ». C’en était toujours vache et très salop mais que voulez-vous, les One Night Stand avec des canons blonds en valaient plus que la peine.

Après l’accident qu’il avait eu avec Luc, on aurait pu croire que Max s’était calmé, plongeant dans un désespoir et une déprime incommensurables, jusqu’à cette journée avec Nena qui avait aussi terminé en désastre mais qui lui avait ouvert les yeux sur quelque chose : c’était un salop et ça n’était pas vraiment la peine d’essayer de changer, de s’assagir ou quoique ce soit de ce genre là, chassez le naturel et il revient au galop, voilà exactement ce qui s’était passé, en essayant de ne plus être le Maxence si « salop faiseur de vacheries » il avait commis la plus terrible erreur qui puisse être en embrassant la copine de son meilleur ami. Et voilà, comment s’acheva l’histoire de tout une vie.

C’est ainsi que pendant que je vous causais, Cindy avait détecté tout le mal bien pervers dans les yeux du Maxence et avait décidé de ne pas le laisser assouvir sa faim de chair fraiche, lui ôtant les mains de son soutien-gorge, le rendant ainsi assez furax. Il n’aimait pas qu’une fille lui résiste, encore mois qu’elle le stoppe dans son geste de cette façon là. Jamais ça ne lui était arrivé, ou peut être à quelques rares et oubliées occasions bien lointaines que l’histoire ne prendra pas en compte. Ne laissant rien paraitre, il se tourna vers la jeune fille désormais allongé dans le sable, pas au dessus de lui, à son grand malheur ! Fixant la jeune femme qui se trouvait en pleurs à lui raconter une histoire, d’amour, de fleur et de je t’aime tout moelleux de niaiserie. Il n’avait pas vraiment la tête à se la prendre ni à réfléchir à quoique ce soit.

Pour lui Cindy avait été une phase, une phase destructive mais qui avait finalement été franchie grâce à un monde qu’il s’était construit à dur coup pleins de persévérance, maintenant que tout allait bien (ou presque) il avait fallu qu’elle montre le bout de son nez et essaie de tout bouleverser. Ce qui énervait le plus Max, c’était cette insistance maladive qu’elle montrait à son égard, elle n’arrêtait pas te cela ne faisait que le repousser encore et encore plus. Si il tenait à elle ? Comment savoir ? Elle l’avait laissé tomber pendant si longtemps et là ça ne faisait pas plus de d’un mois qu’elle avait ressurgi qu’elle lui demandait déjà si elle comptait pour lui. Max aurait aimé répondre juste : Non, dégage, fous le camp d’ici ! Mais ça n’allait pas la repousser, elle n’avait pas compris avec des mots et des discours censé comment arriverait elle à entendre raison par deux repoussantes expressions sous l’effet de l’alcool !

AAAAAAAAAAh ! Maintenant, elle voulait qu’ils se quoi ? Qu’ils se marient ? Bon, Max lui n’était pas si stupéfait que ça, juste un peu mais surement pas autant que sa conscience si elle avait été assez eveillée pour se rendre compte du réelle sens des paroles de la demoiselle, sans doute elle aussi en proie à une forte dose d’alcool. Enfin pour Max le mariage avait été pendant le lycée quelque chose d’inévitable, il allait trouver la femme de sa vie, se marier, avoir des enfants. Seulement depuis le temps, bien des choses avaient changé et il était loin d’être sur de vouloir se marier, non en fait, il en était hors de question, ou peut être plus tard, bien bien plus tard ! Se retrouver casé comme Luc, avec des enfants, ça ne l’attirait pas plus que ça, pourtant ce soir là et peut être l’alcool y était pour quelque chose, mais Max s’entendit dire un grand sourire et des yeux pleins d’étoiles :

Oui Cindy je veux t’épouser…Tu as été la personne qui a le plus compté pour moi, je t’aime…Plus que tu ne puisses jamais l’imaginer…Je t’aime… Une seconde plus tard, Maxence se trouvait déjà au dessus de la jeune femme la couvrant de baisers et essayant une nouvelle fois de descendre sa culotte : Bah oui après tout maintenant ça allait devenir sa femme !

Invité

» Bain de Minuit{pv}
» Bain de minuit ? [Liibre]
» Un bain de minuit bien mérité {PV LYOV}
» Un bain de minuit c'est bien,mais à deux c'est mieux
» Quand la nuit tombe & que l'envie d'un bain de minuit survient. [Libre - Fille.]

Un bain de minuit [PV Maxence]

Un bain de minuit [PV Maxence]

Sujets similaires

Sujets similaires