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Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot)

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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyVen 25 Juil - 2:16




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





Quand on joue avec le feu on se brûles les doigts bien des fois il serrait utile d’écouter les conseils des plus sages. Toucher de la braise et vous y laisserai votre peau. Mais est-ce que vous laissez que votre peau ou un peu plus ? Vous n’y laissez pas aussi la douleur que ça peut contenir ? Vous ne laissez pas aussi le souvenir de la douleur dès qu’on vous évoque cet accident ? Difficile d’y répondre, est-ce que Alec était un accident de parcours, une passe, un été ? Est-ce que la vie vous rend-elle à ce point stupide pour ne pas réaliser que vous passez à côté de la personne taillée sur mesure pour vous ? Mieux qu’un costume trois pièces de surcroît ! Je n’en sais rien. Si Alec pensait se sentir jeune et insouciant c’était peut-être parce que je l’était. Je faisais souvent des choses que je pouvais regretter après car j’agis par instinct dans presque tous mes choix de vie. Peut-être vivions-nous un de ces moment qu’on n’explique pas ceux qui restent dans les mémoires quoiqu’il puisse se passer. Je ne savais pas pourquoi j’étais vexée de l’attitude d’Alec, car il allait me manquer ? Je voulais passer toutes les nanosecondes de la soirée près de lui à le chauffer certes mais pas que m’ouvrir un peu plus profiter de chaque instant comme si chaque moment je les photographiais pour ne pas perdre une seconde de ce que nous partagions. J’avais essayé de lu faire comprendre que j’étais vexée. Oui je suis sensible, sensible à ma folie. J’avais l’impression de tournoyer dans une tornade de sentiments avec lui que tout ce qu’il faisait m’entraîner avec lui me lier à lui indéniablement. J’avais ce besoin de le reconquérir à chaque fois comme s’il allait m’abandonner et me laisser seule face à mes désirs les plus fantasques. Voulant reprendre la partie je m’étais mise à demie-nue (presque trois/quart mais on ne va pas jouer sur les mots), j’arrachais ces vêtements. J’aurais aimé lui faire une douce vengeance le faire craquer d’avantage jusqu’à ce qu’il me supplie d’être sienne, et de ne faire qu’un, de ne faire que nous. Mais je ne pouvais pas je voulais trop profiter de lui pour jouer à qui dominera l’autre. Je voulais lui faire du plaisir autant qu’il m’en faisait, je voulais lui prouver mes mots en actes. Que tout ce que j’avais pu dire précédemment dans la soirée n’était pas un pipeau pour mieux l’avoir une nouvelle fois dans un lit. Je voulais à travers mes gestes, mes lèvres et tout le reste lui prouver mes sentiments. Sentiments, que je ne savais pas moi-même contrôler, alors est-ce que lui y arriverai ? Chaque pas que j’avais fais me rapprocher du feu ardent qu’il représentait, ses mains sur mon corps m’électrisait une nouvelle fois comme pour me rappeler à l’ordre, me dire de faire attention à moi, et de ne pas succomber. Malheureusement pour moi j’étais une faible face à lui, j’étais sa chose, il pouvait me modeler comme il le souhaitait. J’avais envie de lui ; là maintenant également, alors sans le chercher pour autant mon corps ondulé à ses caresses légères sur mon corps. Me retenant presque de gémir pour ne pas lui donner toute satisfaction car après tout il m’avait délaissé de nombreuses heures. Le jeune homme après s’être laissé faire buvait lui aussi une gorgée de champagne, mes lèvres se mordaient face à l’action je n’arrivais tout simplement pas à le quitter des yeux, à quitter son corps à m’évader de lui. Ses lèvres sur les miennes étaient un supplice, comme un régal. J’emprisonnais ses lèvres au gout luxueux du champagne tout en laissant mes mains encadrer peu à peu son visage. Il me murmurait quelque chose que je n’avais pas attendu tant j’avais fais attention à sa voix qui avait changé, elle se faisait plus douce comme une déclaration, un aveu ou même une promesse. Cette voix m’enchantée presque, elle était beaucoup plus puissante que tous ces baisers réunis, elle était peut-être le miroir de ce que ressentais Alec pour moi du moins c’est ce que je ressentais quand Alec était doux avec moi. Je sentais la sincérité qu’il essayait de me transmettre sans le vouloir ou non. Je suis folle de lui. Dans tous les points, ses qualités, ses défauts. Je ne pouvais pas expliquer pourquoi lui, ça me perturbait encore plus quand il y rajoutais sa tendresse, meilleur que toutes ses caresses. Puis entre lèvres je sortais hors-contexte un aussi tendre :

Moi aussi.

J’avais l’impression qu’il me disait autre chose ou avoir entendu autre chose, le champagne altérait peut-être mes perceptions, dans tous les cas il me redonnait en main cette bouteille. Son regard me fait signe de boire, prenant une bonne gorgée, je sentais ses lèvres puis sa langue prendre part de mon cou. Terminant ma gorgée je repousse la bouteille, en laissant échapper dans un soupir d’excitation quelques gouttes de la boisson. Un sourire aux lèvres je le laissais libérer ma poitrine tout en laissant mes mains parcourir son torse. Puis d’un geste rapide il rattrapa les quelques gouttes qui coulaient entre mes seins laissant sa langue parcourir ma poitrine. Gémissant je sentais son sexe durcir par-dessus son pantalon qui laissa mes tétons encore plus durs que dans la ruelle quelques heures auparavant. Dans son élan le jeune homme me porta pour me caler contre le main. Totalement nue face à lui contre le mur froid. Mon corps collé contre le sien, le jeune homme déboutonna un peu son pantalon pour libérer un peu la pression que j’avais pu lui faire subir. Des frissons tout entier parcouraient mon corps face à cette proximité indécente, je suffoquais, j’étais brûlante. Mieux que de la fièvre. Ses mains parcouraient avec douceur l’intégralité de mes bras ce qui me surprenait au début tout en me laissant un sentiment de bien-être. Au contact de ses mains sur les miennes, la bouteille céda, et s’éclata contre le sol, je n’entendis même pas le bruit sourd des éclats de verres contre le sol. J’étais occupée à ce baiser qui ne ressemblait pas aux autres, non il était remplit de sincérité et peut-être même d’amour. Mes mains se resserraient contre les siennes pendant ce baiser qui pour moi avait duré une éternité que je ne voulais pas rompre. Ses taquineries me faisait sourire, puis je lui répondait cette fois-ci sans le provoquer :

Je préfère largement ça, que ses heures dans la voiture loin de toi.

Puis nous, nous embrassions une nouvelle fois comme pour sceller ses paroles, y mêlant nos langues la seule façon à ce moment de m’unir à lui. Je suis bien là contre lui, même si la provocation était un jeu pour nous il y avait ces pauses. Mais cette pause n’était pas comme les autres, elle durait depuis déjà de nombreuses heures, et plus on avançait plus la provocation, la taquinerie s’envolait pour dénouer ses sentiments enfouis. J’étais entrain de tomber amoureuse sans me rendre compte. Nous retombions dans le lit toujours sur lui, laissant ses mains parcourir une nouvelle fois mon corps des petits étouffés transperçaient mes lèvres. D’autant plus quand il toucha mon intimité comme par imprudence, mes yeux dans les siens je ne le quittais plus. Je ne voulais plus le quitter. L’idée de partir demain me briser un peu, si j’étais restée qu’est ce qu’on aurait fait, un couple ? Un couple libre ? Je n’étais pas fidèle, pas du tout mais la présence d’Alec me suffisait me combler comme aucun autre homme à ce moment même. A son soupir, je me mordais les lèvres par réflexe avant de lui dire avec amour ou tendresse je ne savais pas. Je prenais ma main et passer un doigt sur ses paupières puis je commençais à lui dire : « J’aime tes yeux qui te trahissent quand tu as envie de moi » Continuant de le caresser j’allais jusqu’à ses fossettes dans un sourire narquois je continuais « Tes fossettes quand tu penses avoir réussit ton coup » puis je l’embrassais avec tendresse en mélangeant de la fougue tout en collant ma poitrine contre son torse pour sentir se contact chaud, ce contact unique. Doucement mes lèvres rejoignaient son cou avant de lui dire à demi-mots

Ne m’abandonne jamais…

Ne me demandez pas pourquoi j’avais sorti cette phrase qui aurait pu être classé dans le top 10 des citations des films romantiques. Je sentais mon cœur s’emballait encore plus que toute à l’heure me retirant de son étreinte légèrement je l’observais avant de lui avouer presque honteuse :

Je vais faire comment ces jours sans toi ? Tu ne t’ai pas demandé en m’amenant ici tout ce que ça allait engendrer ? Comment j’allais pouvoir passer une seconde de répit sans penser à toi, à nous. Enfin il y a un nous ? Tu me perds, tu me rend folle. Un coup je t’en veux et la minute d’après je te réclame. Qu’est ce que tu me fais..

Reprenant mon souffle, je me délecte de ce contact trop proche. Je brûlais, je ne savais pas ce qu’on faisait j’avais besoin de savoir. De savoir quoi ? Aucune idée, savoir que lui aussi ressentait des sentiments pour moi, que je le perdais aussi bien qu’il me perdais. Que je le rendais aussi fou que moi j’étais folle de nuit à tel point que je ne pouvais même pas plus me séparer de lui, de ses lèvres, de ses taquineries à deux francs cinquante, de son regard sombre à en faire frémir plus d’une. Retombant à côté de lui, levant les yeux aux ciels n’ayant pas de réponse pour le moment à ma bombe, je tournais mon regard pour trouver du réconfort ou quelque chose du genre dans ses yeux mais je n’y voyais que du flou. Je pris une grande inspiration avant de lâcher :

Oublie ce que je t’ai dis, c’est toi quand tu me touches et tu me parles en même temps ça me perturbe.


Bravo Charlotte ! Médaille de diamant carrément pour la justification la plus merdique au possible. Vous voyez à quel point il me troublait ? A quel point je perdais mes moyens devant lui. Limite tremblante je détournais mes yeux de lui, attendant une réponse, un geste quoique soit. Même juste du sexe pour ne plus m’ouvrir comme ça. Ma méfiance était parti et j’allais m’en mordre les doigts, mais ça je ne le savais pas encore ..











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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyVen 1 Aoû - 13:57

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
Où que j'aille, sans toi, je n'y suis pas. Blablabla. Des mots, ce ne sont que des mots. La puissance des mots, la preuve des actes, le mélange des deux rendent troublant tout choix à prendre. La logique humaine est de nouveau faible face à la complexité émotionnel. L'un écrase l'autre, l'autre soumet l'un. Le combat est éternel, sans fin. Il est cependant universel et tout aussi complexe chez les femmes que chez les hommes, un point où ils sont à égalités en ce bas-monde. Charlotte est faible face à moi, et je suis intimement persuadé que je dois l'être aussi envers elle. Le fait est que je sois faible sentimentalement envers d'autres femmes que celle en qui je suis croire le plus, Gabriela & Lysa me troubler vraiment plus tôt, mais maintenant, j'ai su gérer l'émotion acquise et la convertir en choix logiques et essentiellement préférentiel. Dois-je continuer à agir ainsi ? Subir mes émotions et en retirer l'expérience le plus rapidement possible afin de faire des choix logiques en adéquation avec mes projets et un peu mes sentiments personnels ? C'est comme ça que tout adulte devrait agir, n'est-ce pas. Même si j'ai 25 ans, je ne l'ai fait pas réellement, physiquement parlant, mais ça joue quand même dans la balance, pourtant, je me sens plus jeune. Je ne fais pas de complexe par rapport à mon âge, mais je suis encore étudiant et généralement les étudiants sont source d'insouciance et de rêve inachevé. Inachevé, c'est un mot qui me convient un peu. Mes rêves le sont, mes désirs aussi, et ma vie, je ne sais pas même si elle est commencé où si je devrais l'achevé. Ma vie est un champ de bataille, un brouillard de mystère l'entoure, et par bonheur Charlotte ne s'en préoccupe pas, elle apprend juste à être près de moi de la plus douce et chaleureuse des manières. Une façon que j'apprécie, et qui me convient, je n'ai en rien à me justifier, juste à profiter du moment que nous nous offrons, en espérant au fond, avec une foi ferme et nouvelle que ce ne soit pas la dernière. Cependant, je me permet quand même, sur le fond, d'être sceptique et d'en douter, le futur m'en dira la vérité. L'alcool fait souvent dire des choses étranges, mais peut-être que l'on se sert aussi de l'alcool pour dire des choses que l'on pense et voir si ça passe, et si ça passe pas, jouer sur l'effet de l'alcool. Une méthode de faible évidemment, ce que je ne suis pas vraiment. J'aime dire les choses comme je les penses, il faut savoir aussi les dires, et c'est dans ce domaine que j'excelle. Du moins, quand je ne suis pas saoul.

Quelques déclarations, quelques morceaux d'espoir et de désespoir entremêlés dans ces besoins et ces désirs. Suis-je devenu l'objet que son cœur désire à présent ? Il est une chose que je vois très mal en ce monde, lorsqu'une femme aime un homme, les choses les plus évidentes peuvent à vos yeux devenir les mystères les plus complexes. Je ne dis rien sur le coup et je la laisse délivrer doucement la tendresse que je viens de lui donner dans quelques mots, quelques regards, quelques gestes. Petits, mais présent. Je ne suis pas avare quand il s'agit d'ouvrir son cœur, mais lorsqu'il s'agit de donner de petits indices assez encourageants, j'y arrive bien. « Tu m'analyses beaucoup à ce que je vois.. saurais-je garder un secret si tu me devines si bien ? - Je pouvais déjà répondre à cette question, mais c'est le temps la véritable réponse – Moi t'abandonner ? Comme tu le dis si bien.. c'est toi qui va m'abandonner pour partir en vacances.. m'oublier et passer de nouveau à autre chose. Et quand arrivera la rentrée, je serais là et toi aussi, on s'évitera et on ne sera plus les mêmes. - Une fin tragique en somme d'une amitié qui n'en est pas une, de la disparition de nous-mêmes en devenant un 'nous'. Un sacrifice pour une nouveauté. - Tu es amoureuse ? » BOUM. Une bombe à une autre, mon regard est dans le sien, et je ris légèrement en entendant son excuse. Bidon, mais originale. Elle me ressemble dans sa folie et sans prévenir mes lèvres glisse sur son cou et l'embrasse tendrement. Je ne sais pas si c'est de l'amour, en tout cas, j'aime être collé à elle, son corps et le mien sont bien ensemble et rester ainsi me conviendrait. Mais l'heure tourne et je ne sais pas si on fera l'amour, ce que je sais en tout cas c'est que je vais la garder dans mes bras aussi longtemps que je le puisse. « Tu peux prendre ton avion de Las Vegas où tu penses qu'on doit rentrer à Berkeley ? » Des paroles pour meubler. Je n'ai pas envie de penser à ça, mais je veux la voir se retrancher derrière une réalité qui va bientôt arriver et sur laquelle elle n'aura pas de prise, ni contrôle, juste des regrets et de l'amertume. Je me profile doucement au creux de son oreille et dit d'une voix anormalement sensuel et sincère « Tu me prends pour un pervers si je te fais l'amour à quel point que personne d'autre ne pourra te satisfaire aussi bien que moi.. - Je souris dans son cou - .. c'est pas que ça m'embêterais de savoir que d'autres te touchent, pas du tout.. juste que voilà. C'est tout. » J'allais finir par, j'ai envie de toi. Limite penser juste égoïstement à soi et ses envies, ses désirs pour ne pas montrer que je suis aussi jaloux et que j'ai peur de ne plus la retrouver. J'ai doucement glisser le sujet sur les choses qui nous attendent, celle que l'on n'aime pas, en omettant de parler des choses que l'on pourrait aimer et qui me font peur au fond. Je garde mon silence et attend sa réponse, ma langue au creux de son cou, remontant très lentement et sensuellement sur sa nuque et finir par se loger au coin de son oreille et d'en mordre la lobe. Dans un chuchotement calculé, pervers et insouciant je murmure « Alors ? » Avant de tourner sur son corps et d'être au-dessus d'elle, ma tête toujours plonger dans son cou, impatient.


   
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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyMer 6 Aoû - 14:43




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio



1500 pour toi :plop:

Il y a des choses comme ça qu'on explique pas, le rapprochement de deux personnes que tout opposent aux premiers abords. Le rapprochement entre un homme et une femme. Un homme et une femme se rencontrent au détour d'une ruelle, d'un café ou d'un restaurant. Un homme ou une femme se séduisent de façon naturelle sans artifices, en échangeant des regards complices, des petites caresses sur les mains ou les avant-bras. Des petits sourires en coin, ou des joues qui rougissent en un rien de temps. Mais Alec et moi nous nous étions pas séduits de cette manière aussi idiote. C'était comme ça animal et physique tout ce qu'on pouvait s'imaginer de romantique ne l'était pas avec nous. Toute cette relation qui en était pas une était faite de défis, d'enjeux, de rapprochement. Et si ce soir je disais ce que je pensais à Alec ce n'était pas à cause de l'alcool. C'était parce que c'était le bon moment, celui où on était lié par quelque chose d'invisible, quelque chose de fort et d"indescriptible. Est-ce de l'amour ce qui était entrain de se passer. Je n'en sais rien , est-ce que tout ça c'était pour me prouver que là sous mes iris bruns se trouvait celui qui à être le fauteur de trouble de ma vie. Qu'il allait être celui pour lequel je pourrais commettre l'irréparable ? Celui pour lequel je deviendrais folle et que personne ne pourrait comprendre pourquoi et comment m'en défaire ? Certes. Mais tout ça je ne le savais pas encore et même si mes mots n'étaient pas innocents, ce soir ils prenaient tous leur sens. Avec lui je n'étais pas la Charlotte qui errait dans les rues sans âme, avec lui je vivais, je ressentais tout en beaucoup plus fort. Je ne saurais sans doute jamais ce qu'Alec pouvait représenter ou ressentir pour moi. Mais tout ça m'était égale je voulais profiter de lui de nos moments avant de partir. Son corps sous le miens je caressais doucement son visage en lui disant toutes ses expressions je connaissais par cœur maintenant. Quand il me demandait que s'il me mentait un jour je le saurais je hochais simplement de la tête. Certaines choses n'ont pas besoin d'être dîtes, certaines choses doivent se préserver et demeurer dans les jardins secrets. Mes mains continuaient de caresser son visage doucement, sa peau si douce, la repousse légère de sa barbe qui piquait sous mes doigts. A sa remarque suivante mon cœur se serrait, ma peau était transpercée par des frissons puissant. Je reprenais peu à peu ma voix avant de lui déclarer sans vraiment contrôler mes mots :

Tu parles, toi il suffit d'une blonde à forte poitrine qui se trimballe devant toi et tu vas succomber au plaisir de la chair et oublier celle qui te faut réellement.

Comment pouvais-je lui dire quelque chose comme ça ? Comment pouvais-je lui dire de ne rester qu'à moi et de ne pas aller voir ailleurs ? Cela me faisait comprendre que je m'engager bien plus que physiquement dans cette histoire. Je me reculais alors de cet homme pour me mettre à côté et ne pas m'engager plus que je l'étais. Puis comme s'il devinait mes pensées il me demandait si j'étais amoureuse. Mon regard se perdait dans le sien. Etais-je amoureuse ? Mes sourcils se fronçaient légèrement, avant de lui dire simplement :

Je ne suis pas amoureuse, tu me plais c'est indéniable mais je ne peux pas être amoureuse de quelqu'un qui ne fait pas de moi sa seule façon d'exister ?

Encore, était - ce une pique, une reproche ou bien un sos. Une façon de lui demander de m'appartenir et que je lui appartienne de façon unique. Le jeune homme se colla à moi sans prévenir en laissant sa bouche parcourir mon cou de la plus sensuelle de façon. Un soupir, encore un s'échappe de mes lèvres blessées par la luxure. Ma main glisse sur son dos sensuellement. J'étais comme en lévitation je fermais mes yeux légèrement avant de les ré ouvrir à son interrogation. Je me pinçais les lèvres en réfléchissant légèrement avant d'encadrer son visage de mes doigts fins.

Je veux profiter de toi chaque secondes avant de partir, je prendrais l'avion...


Puis le jeune homme qui avait l'air satisfait de ma réponse. Le jeune homme remonte sur mon oreille avant de me demander la proposition la plus indécente. Mes cuisses se pressèrent à ses paroles, me mordant la lèvre avant de me cambrer pour atterrir au plus près de ses lèvres pour lui murmurer d'une voix chaude et grave à la fin de sa prestation:

Tu serrais un pervers si tu ne profite pas de moi comme tu le devrais. Et si moi je voulais te rendre fou comme aucune femme ne pourra jamais le faire ?


Le jeune homme me retourna pour que je sois sous lui. Ma respiration haletante je le regardais, j'étais prête pour me donner entièrement à lui, de la plus belle de façon de me lier à lui. Je laissais mes mains sur son torse avant d'arriver à son bas ventre en plantant mon regard dans le sien je lui disais dans un souffle :

Alors là maintenant j'ai envie de toi comme jamais.

Mes lèvres se pinçaient encore plus, à ma remarque d'un mouvement puissant je collais mon bassin contre sa virilité, tout en laissant ma main derrière sa nuque pour l'approcher au plus près de mes lèvres, je laissais ma langue les caresser doucement avant de lui murmurer comme une déclaration...

Embrasse moi.













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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyMar 19 Aoû - 18:46

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
La puissance d'une alchimie sexuelle et sans doute l'effet que l'amour biaisé peut avoir sur nous. Une relation qui n'en est pas réellement une peut devenir la plus importante alors qu'à la base elle n'avait qu'une importance minime. Là se repose tout le mystère de cette drôle d'histoire, car nous sommes drôles, elle et moi sommes deux comiques dont la scène est la vie elle-même, tous les jours, nous jouons nos rôles. Mais ce soir, aucun costume, aucun masque. Rien, rien que nous, nous et notre perversité sans limite. Quitte à aller dans le sadomasochisme je sais qu'elle viendra jouer avec moi, je sens au plus profond de mon être que ces limites n'ont de limites que les miennes. Ma présence seul suffit à la déstabiliser et sa présence seule suffit à me rendre près d'elle, comme un aimant. Je ne puis dire ce que je ressens pour elle à tel point c'est quelque chose de fort, d’innommable, les mots ne sont pas assez nombreux, les adjectifs pas assez fort pour décrire ce que je ressens. Je me sens tout simplement vivant près d'elle, vivant comme jamais je ne l'avais été et comme jamais plus je ne pense l'être. La chute sera inexorablement la plus douloureuse, ou peut-être pas. Mais je n'ai pas peur, là, maintenant, je n'ai pas peur. Peut-être que dans quelques heures cela sera différent, mais pour l'instant je n'ai pas peur du tout. Peut-être que nous aurons peur l'un pour l'autre par la suite, ou bien peur de cette 'suite' tout simplement. Je n'y pense pas, et elle y pense sûrement, inconsciemment, c'est une fille et je la connais. Charlotte est ainsi, et je vois la détresse que je fais naître dans ces yeux. Je ne peux m'empêcher de sourire, pas un sourire aux allures sadiques, mais un sourire euphorique. Elle me rend heureux, elle me donne des sensations que j'ai oublié depuis un moment, depuis même trop longtemps et qui me rende momentanément le sourire. Je ne dois pas garder cet état trop longtemps, je dois le propager, en commençant par la rassurer peut-être.. « D'une, je n'aime pas trop les blondes et en plus si c'est à forte poitrine je n'aime pas. Tu m'es largement préférable. De deux, n'oublie pas qu'il n'y aura pas grand monde ici et que je vais être abandonner et je ne suis pas le genre à coucher avec des couguars. Je crois que je vais me satisfaire d'une photo de toi, comme çaaaa. » Dis-je en prenant une photo d'elle avec mon téléphone et puis en posant le téléphone sur mon lit, SEXY ma Charlotte, mais ça, c'était pour rire. Je préfère ne pas me satisfaire plutôt que le faire moi-même. En tout cas, je pense que ce soir, c'est elle qui va me satisfaire, même si elle n'est pas amoureuse de moi, selon ses dires, elle ne le pourrait pas car je ne fais pas d'elle mon Unique ? Les femmes, c'est bien ça, elles veulent tout pour elles et ne rien partager. « Pour une fille que je viens de retrouver ça va être matériellement difficile de faire de toi mon Unique, mais si tu veux, on peut aller se marier à l'église en bas. Mais faut réfléchir.. on fait l'amour avant ou après.. ? - Un sourire pervers ne perd pas son temps pour se glisser sur mon visage – Ou les deux.. . - finis-je par dire en réponse à  la proposition que je lui avait faite sur lui faire l'amour de suite de façon perverse et unique - » Ce sourire ne s'effacera pas, et bien entendu, il s'agrandit. Mes lèvres dans son cou lèche et se délecte de l'odeur de sa peau, le reste de son parfum et nos odeurs mélangés. Mordillant, embrassant et ne s'arrêtant pas sur cette lignée lorsque je la sens, assise sur ma virilité toute éveillé rien que pour elle et elle seulement. Décidément, je ne sais pas ce que je vais devenir sans elle, mais cette réponse ne viendra que dans une dizaine d'heure, quand son absence déchirera mon thorax et me fera crier aux aboies comme un chien qui vient de perdre son maître qu'il aimé tant. Mon visage sort lentement de son cou pour venir à la rencontre du sien et coller à sa demande de l'embrasser « C'est ce que j'allais faire, pas besoin de le dire haut et fort, hein, je sais lire dans ton regard quand tu veux de moi tu sais.. . » Dis-je en parlant lentement et en faisant tout bonnement exprès de me faire désirer. Une fois la phrase terminé, je ne rigole cependant plus et m’exécute. Mes lèvres percutent les siennes comme une vague d'eau chaude sur un rocher glacé, une sensation de fraîcheur, de liberté et de bonheur m'envahisse lorsque le contact de ces douces lèvres se fait aux miennes. Je glisse mes mains sur sa taille pour la garder au-dessus de moi, une place qui lui revient bien et l'embrasse simplement, je réponds quand même au mouvement de son bassin sur mon sexe tendu et ardent sous elle. Je ne veux faire qu'un qu'avec elle, mais je vais devoir attendre, elle mène la barque et pour cette dernière fois, je vais la laisser me rendre fou comme jamais, avant de la dévorer et la faire monter au plus au sommet du plaisir qu'elle aurait pu connaître à ce jour. Peut-être qu'il y a un défi à relever dans ce que j'ai pu dire, mais j'espère que la Charlotte d'avant et la Charlotte sur moi sont différentes, car cette Charlotte est pleine de vie alors que l'autre se cherche sans se trouver. Je l'ai trouvé, j'aimerais bien la garder, mais elle, me gardera t-elle une fois qu'elle saura la vérité ? « J'ai cru que tu avais dis que tu avais envie de moi comme jamais ? J'attends moi. » Une dernière provocation et je vous jure que le lit sur lequel nous sommes allongés pourrait prendre feu, je ne sais pas où est l'extincteur mais je le cherche des yeux, même si ce n'est qu'un mensonge : je n'ai de yeux que pour elle, mais ma main, elle, caresse un de ces seins, chacun son côté, mais le but ultime est claire et net : la faire craquer, lui donner le plaisir qu'elle mérite, et à jamais être nouer.


   
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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyDim 24 Aoû - 23:52




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Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





Spoiler:


Il était rare de trouver une personne avec qui vous pouvez avoir une telle symbiose. Souvent la vie ne vous donnez pas cette chance, celle de trouver celui avec lequel tout ira bien que peu importe ce que l'on faisait il nous suivait. C'était tellement beau, qu'on se demandait quand on aller payer le prix fort de vivre ses moments simples mais uniques à la fois.  Ce soir était le soir de tous les dangers, j'avais peur entre ses bras , peur de n'être rien d'autre que Charlotte.  Ce moment était trop spécial pour que je me sente complétement bien et à  l'aise. J'avais peur de le perdre c'était ça au fond qui me freinait qui me faisait sentir toute bizarre. Je trouvais du réconfort dans un sourire que je n'avais jamais eu droit auparavant. Je lui rendais son sourire aussi niaisement que le sien. J'étais heureuse à cet instant, je me sentais importante voir indispensable. Je caressais avec douceur quelques mèches de ses cheveux avant de rire à ses remarques. Il était libre de faire ce qu'il voulait mais il était à moi sans il pouvait pas s'en rendre compte pour le moment, mais je l'avais désormais dans mes filets et il sera dur pour lui de m'échapper. Je ne le lâcherais plus, plus jamais. Alors que je riais d'un rire sincère il prenait une photo de moi alors que j'étais sur lui, je lui faisais une moue limite aguicheuse. Laissant mes mains caresser son torse avec tendresse dans un sourire.  Je lui avait lancé une pique sur le fait qu'il voulait pas faire de moi sienne, je  ne m'attendait pas une réponse de sa part. Cependant le jeune homme entrait dans le jeu en me proposant de me marier avec lui dans l'église, je me pinçais les lèvres dans un sourire avant de le taper à l'épaule :

Arrêtes de dire des conneries un peu !

Je fermais légèrement mes yeux quand je sentais les lèvres d'Alec sur mon cou, ma respiration avait du mal à trouver une cadence adéquate. Je ne voulais plus partir, mes gémissement quand les dents mordaient sans ménagement ce cou qui lui appartenait. Je voudrais rester là durant des heures, profiter de chaque secondes avec lui mais cela n'allait pas arriver. Pas ce soir mais ce que je ne savais pas c'était que ça n'allait jamais être le cas désormais. J'allais penser à lui toutes mes vacances et c'était bien fait pour moi.  C'était donc dans un souffle que je lui demandais de m'embrasser comme seul lui savait le faire. Sa réponse me faisait sourire mais je bouger mes cuisses pour le faire agir plus vite.  Il me connaissait par cœur mais moi aussi, je savais lire dans son regard je savais lire entre ses lèvres, entre ses gémissements de toutes les manières en effet. Ses lèvres caressent les miennes, elles sont à la fois délicates et rugueuse, à la fois synonyme de plaisir et de torture. J'étais traversée par un océan de sentiments contradictoire. Ce soir nous allions au plus loin de nos limites, exposant tous nos sentiments à nu à croire que le pure extase c'était de s'être trouver. La façon dont ses mains prenaient possession de ma taille commençait à me faire perdre le contrôle, un mouvement de bassin en trop m'extirpait un soupir. Ce soir était sûrement le dernier soir où nous allions proche comme maintenant. Deux mois sans se voir, est ce qu'il allait m'oublier pour une minette avec qu'il ne ferra que la baiser les yeux fermés pour mieux imaginer mon visage. Je me chassais ces idées tordues en tête tout en caressant du bout des ongles le torse de mon Alec.  J'arquais une nouvelle fois un sourcil à sa provocation. Avant de retirer sa main qu'il avait sur mon sein droit.

Tu n'as plus le droit de me toucher maintenant.

Je plaquais avec fermeté ses poignées de part et d'autres de son crâne avant de lui lancer un ultime regard. Avant de comme une prédatrice faire descendre doucement ma langue contre son torse chaud. Lâchant enfin ses poignées mes mains remontaient de ses genoux jusqu'à ses cuisses dans une lenteur extrême. Tout en laissant ma langue descendre doucement je plantais mon regard dans le sien. Il pouvait même sentir mon sourire à travers ses abdominaux. Une fois que mes mains arrivaient trop près du point sensible ainsi que ma langue. Je remontais de la plus gracieuse des façon contre ses lèvres, avant de les embrasser avec ferveur, tout en laissant mon corps m'adapter légèrement à ses mouvement. Laissant toujours une main monter dangereusement contre sa virlité. Je redescendais cette fois ci en faisant des baiser et non en laissant ma langue se délecter de sa peau. Mon corps était de la braise à ce moment rien ne pouvait m'arrêter. D'un geste parfait le dernier bout de tissu qui le couvrait se retrouver à ses chevilles. Je déposais légèrement des baisers sur son aine avant de remonter une nouvelle fois contre lui, laissant mon intimité se frôler dangereusement contre sa virilité, il pouvait sentir l'effet qu'il avait sur moi. Je lui murmurais dans son cou dans un souffle chaud :

Si je te fais trop de bien, tu ne va pas résister et j'aurais rien après...


Il pouvait une nouvelle fois sentir mon sourire. Provocation quand tu nous tiens..











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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyDim 7 Sep - 0:24

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
Ultime provocation et sûrement, dernière. Mon regard ne quitte pas son sourire et le sien non plus. Nous sommes dans une osmose totale, nous nous complétons comme rarement je me suis compléter avec une femme. Une simple femme serait-elle à l'origine de l'apaisement de mon cœur ? Cela ne devrait-elle pas être Lysa ? Je ne sais pas, je ne sais plus, je ne veux plus savoir. Je suis avec Charlotte et je suis heureux, c'est un sentiment que je n'ai plus connu depuis des années et pourtant, je me sens quand même mal. Contradiction sur contradiction. J'ai l'impression de penser comme une femme, ô malheur. Rapidement, je réagis et je ne reste pas ainsi, si mal et si bien à la fois. Même sans le savoir, elle et moi ressentons les mêmes choses. On sait, qu'au final, que la prochaine fois ne sera pas aussi bien que cette fois de maintenant. C'est pour ça que l'on prend notre temps, que l'on retarde l'inévitable, que l'on savoure tout simplement. Charlotte me fait tellement de bien, à cet instant précis, j'aimerais rester avec elle sans que la menace de son départ soit présente, mais cela rajoute un peu de dramaturge à la scène de nos vies, en tant que spectateur, je me ravis parfois de cette effet dramatique que nous pouvons produire, même si je le regrette bien souvent, ma vie est bien assez dramatique, et je suis sûr que pendant les vacances et à la rentrée, j'en aurais encore plus. Autant finir l'acte de cette année sur une belle image de romantisme et d'amour même si charlotte et moi ne sommes pas les personnes types pour incarnés ces émotions si particulières. « Insinuerez-vous que je ne serais pas capable de demander votre main mademoiselle de la Croix ? » Un mouvement arqué de mon sourcil en signe de provocation suffit à accompagner cette question. Avant que cette réponse ne soit enterré sous une avalanche de baisers fougueux dû à l'impatience qui patientait justement en nous. Je la découvre, je la re-découvre, je touche son corps à chaque fois comme si c'était la première fois tout en le connaissant par cœur. Je ressens toujours ce léger frissonnement quand je pose ma main sur sa peau, un contact électrique presque. Alors quand c'est elle qui prend l'initiative, je ne peux que devenir encore plus fou. Ce frisson ne me quitte plus, j'en suis droguée, autant que je le deviens d'elle. Mes lèvres sur sa peau, ces lèvres sur mon corps qui glisse et s'amuse avec mes envies et moi. Peste. C'est bien une femme, si j'avais des doutes, ils sont balayés. Sa langue glisse le long de mon corps, j'ai envie d'elle, et le plaisir buccale qu'elle s'apprête à me faire me fait soupirer de plaisir plus tôt que prévu lorsqu'elle s'approche de la bête de chair. Bien entendu, je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse marche arrière d'une façon aussi cruelle. Une fois déshabiller complètement, nos regards sont identiques, mais différents. On sait tous les deux ce que l'on veut, il faut à présent le faire, ne plus reculer et ne plus avoir peur du futur. Je n'ai pas peur, comparer à elle. Autant le montrer. Un pincement de lèvre de frustration se fait voir sur mon visage, elle m'a donné envie puis s'est ravisé, les hommes sont un peu trop sensibles à cela, et les femmes le savent bien. Lorsque ces lèvres retrouvent les miennes, je n'attends pas pour l'embrasser comme il se doit, de lui mordre la lèvre inférieur même, avec force. Pour qu'elle comprenne sa méchanceté et la mienne. Un sourire provocateur, sadique mais amoureux se pose sur mon visage et je la tourne de sorte à ce que je sois au-dessus d'elle, en position de force. Je m'allonge avec elle, sur elle, mes lèvres avec les siennes, la posant tendrement sur le lit et descendant doucement mes lèvres dans son cou. J'y reste un moment avant d'en sortir ma tête et de la regarder le plus sérieusement possible. Je remonte lentement, me remontant droit, entre ces jambes je suis. Mon regard est dans le sien, ne bougeant pas, ne cillant pas. D'un geste doux et tendre je glisse ma main vers son intimité que je caresse doucement, je lui souris avant d'entrer réellement en elle, de façon unique et fusionnelle. Doucement, mon sexe entre en elle, même si je sais qu'elle n'est pas du genre à être douce, je veux être doux pour cette dernière fois avec elle. Je ne dis rien pour ne pas gâcher ce moment, il ne faut rien dire, juste savourer. Même sa dernière réplique pour excuser le fait qu'elle ne faisait pas ce petit plaisir n'était pas assez forte comme provocation pour que je gâche ce moment. Je suis toujours perpendiculaire à elle, faisant de légers et lents vas et vient en elle. La cadence est lente mais chaque mouvement au fur et a mesure prendre plus d'ampleur, de profondeur et de la vitesse par la suite. La cadence est lente encore, et je finis par venir au-dessus d'elle, mes lèvres retrouvent les siennes lorsqu'elle se cambre un peu vers moi pour savourer nos mouvements qui commencent à s'accorder comme s'ils n'avaient attendus que ça. Et même si ça a été le cas, nous faisons comme si ça ne l'avait pas été. Nous sommes enfin unis, et je ne veux pas que ça se finisse, alors je savoure et prend mon temps, mais elle comme moi savons déjà que tout ce qui commence doit finir, mais notre histoire ne finira jamais, je peux vous l'assurer, je le sens au plus profond de moi, mais ça, je ne le sais pas encore, et c'est sûrement quand je la perdrais que je m'en rendrais compte, si ma propre fierté ne m'aveugle pas. A voir, pour l'instant, dans un sourire et une morsure, j'augmente la cadence de mes vas et vient et la vitesse en elle, juste pour lui arracher un gémissement de plaisir qui viendra agrémenter ma satisfaction personnelle de mâle.


   
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Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





La vie vous réserve des surprises ça on le savait, on sait que tous ce qui nous arrivent n'est pas que le fruit du hasard. Au fond si ce soir Alec et moi nous nous retrouvions à Vegas ce n'était pas sur un coup de tête. Non je pouvais l'affirmer aujourd'hui, que ce qui nous unissait n'était pas de la simple attirance d'adolescent. Je ressentais beaucoup de sentiments contradictoire en sa présence comme si à lui tout seul il était toute ma contradiction. Nous vivions au jour le jour, comme si la vie n'était pas précieuse, comme si tout ce que l'on touchait se transformer en or. Je n'avais plus connu ce sentiment depuis des années, je ne me sentais heureuse. Pas heureuse, parce que j'étais perchée par je ne sais quelle drogue, heureuse tout simplement. Est-ce que le bonheur pouvait-être aussi simple que ça ? Un homme et une femme. Je trouvais ça trop illogique, toutes ces années j'avais craché sur les sentiments et les relations car je trouvais ça stupide et puéril. Aujourd'hui je me comportais comme toutes les filles, je tremblais à chaque fois que sa main passait sur mon corps, à chaque fois que ces doigts malicieux s'aventuraient sur mes cuisses. Nous nous pouvions plus regarder autre chose que les iris opposés. Il me faisait du bien , mais je n'avais pas besoin de le dire à voix haute mon corps parlait pour moi. Nous lancions des provocations comme on pouvait s'embrasser sans cesse. A son interrogation un petit rire s'échappait de mes lèvres je ne prenais pas au sérieux cette demande. Au fond nous étions unis de façon bien plus intimes qu'un mariage sans aucune signification. J'arquais un sourcil à mon tour tout en déposant un baiser sur ses lèvres comme simple réponse. Un, puis deux, puis trois baisers s’enchaînaient les un à la suite des autres. Chaque fois qu'il me touchait j'avais l'impression que c'était la première fois tant mon cœur était en train de battre, tant son regard brûlant me remplissait d'avantage de désir à son égard. Je décidai de reprendre les choses en mains en parcourant son corps de mes lèvres. Chaque passerelle de son corps m'était familière, dès que celles-ci approchaient son corps, les siennes se collaient aussi à mon corps. Je laissais glisser ma langue avec une extrême douceur sur son corps m'approchant de l'objet de tous mes désirs. Finalement je me dérobe pour le rendre encore plus fou qu'à son habitude, un petit sourire cruel s'affichait sur mes lèvres. Je remontais mon corps entièrement de façon à ce que ma poitrine touche la sienne en me rapprochant bien trop dangereusement de ses lèvres. Je caresse doucement son visage quand je le vois frustré de cette façon je m'approche encore plus de lui avant de lui dire avec douceur tout en caressant du bout des doigts ses lèvres :

Tu sais que t'es plutôt mignon, quand t'es frustré.


Pas besoin de réponses les baisers répondaient à notre place. Un baiser encore plus fort en fougue, en amour, en désir. Je ne voulais déjà plus partir, profiter du Gamma, comme aucune femme n'aurait pu profiter de lui. Je le voulais que pour moi, je ne voulais pas le partager, je ne voulais pas qu'une femme s'aventure avec lui dans les méandres de son corps. Non. Il m'appartenait que ça lui fasse plaisir ou non. Il m'avait eu, il avait fait en sorte que je sois faible pour lui, que je sois sienne. Je n'allais pas le laisser me dérober.Non il comptait trop pour moi pour ça. Cet été allait être l'ultime épreuve, nous n'étions pas un couple, nous pouvions être libre. Mais la jalousie n'a aucune limites.Dans un sourire, son sourire que je connaissais trop bien nous changions de position. Nous nous allongions de façon à ce qu'il soit au dessus de moi. Nos lèvres ne se quittent plus, pour la simple et bonne raison que nous nous le voulions pas. Nous sommes trop en accord pour nous séparer même une seconde. Je caresse le corps de mon amant de la plus sensuelle des façons, laissant ses lèvres se perdent dans mon coup. Ma jambe se tendait de plaisir à cet acte si simple mais si doux à la fois. Ma main se crispait peu à peu sur sa nuque brûlante. Son regard me brûlait de l'intérieur, mon ventre se crispait d'une façon qui m'était peu connue. Le sentir entre mes jambes, ses cuisses se frottaient légèrement contre les miennes. Ma respiration haletante, sur le point de suffoquer je laissais sans broncher sa main se diriger vers mon intimité. Dans un second sourire je sentais sa présence en moi, un petit gémissement de surprise et d'excitation se faisait entendre de ma part. Mes mains parcouraient son torse avec douceur pour une fois, ne laissant pas mes ongles prendre des marques. Je voulais être douce moi aussi ne pas céder à la fougue. Je voulais m'occuper de lui, me sentir aimé comme désirable. Sa cadence est lente, mais pas pour autant impuissant. La pointe de mes pieds se cambrent à ses va et vient en moi. Ce moment était unique et je ne voulais pour rien au monde qu'il s'arrête que tout ce que nous vivions ce soir ne soit pas qu'un souvenir mais une promesse que nous nous faisions. C'était lui. Lui. Lui qui me fallait, celui pour lequel j'allais sombrer, celui pour lequel je ferais n'importe quoi. Celui pour qui je me bâterais. Nos mouvements s'accordaient peu à peu, je me cambrais face à ses caresses, face à sa position de force face à moi. Nous continuions nos ébats comme si c'était la première fois, comme si c'était tout autre chose. Mes yeux se fermaient à temps de désir enfouie depuis des heures. Sa cadence devenait de plus en plus rapide et puissante. Les gémissements ne tardaient pas à se faire entendre, je devenais folle, je voulais me coller à lui pouvoir sentir la chaleur de son corps contre le mien. Me relevant de façon à me retrouver presque assise sur lui je laissais mes mains entouraient son cou. Mes cuisses se resserraient à la pression de son corps contre le mien. De soupirs en soupirs, je me perdais en lui puis sans vraiment réfléchir un murmure que j'espérais qu'il n'entende pas...

Je t'aime.

J'ouvrais mes yeux, en le fixant, sentant la gêne montait en moi. Cela faisait déjà un bon moment que nous étions unis. Mais ma déclaration me perturbait. Je me pinçais les lèvres de façon stupide et puéril avant de lui dire pour me justifier un brin honteuse :

Je ne voulais pas dire ça..enfin je ne sais pas ce que je voulais dire..








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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) - Page 3 EmptyMer 10 Sep - 23:01

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
Son corps brûlant se glissant contre le mien, comme deux couches terrestres qui se frottent afin de créer un tremblement de terre, un tsunami. L'éruption totale de nos sentiments 'na aucune limite, je le sais, elle le sait. C'est une explosion qui fera deux blessés, ou peut-être plus, mais l'instant présent ne me permet pas d'imaginer le reste des dégâts que notre relation naissante pourrait causer. Ma peau glisse sur la sienne, une légère et mince couche de sueur perle nos corps, nous commençons tous deux a avoir chaud, pour des raisons bonnes et pour laquelle nous acceptions volontés d'avoir chaud ainsi. Même si pendant quelques minutes la frustration avait gagné mon esprit et s'était exprimé sur mon visage un peu trop clairement, ça n'est plus le cas à présent. Nos corps s'unissent dans une mélodie dont nos corps sont les instruments, dont nos bouches sont les accords, dont les notes sont nos mouvements. Mes lèvres ne quittent pas les siennes, répondant à chacun de ces baisers enflammés par un autre de la même ardeur, y mettant plus d'envie, de fougue à chaque fois, et même un petit peu d'amour. Ce petit cumul d'amour à chaque baiser apporté à nos cœurs le souffle dont il avait besoin pour poursuivre cette musique que je voulais sans fin, une mélodie dont je ne veux pas de fin. Les mots que nous prononcions parfois nous apporter une occasion de reprendre notre souffle, de prendre un nouvel air, de changer de partitions pour une encore plus profonde, plus ancrée en nous, la musique de l'amour est une musique qui ne peut se jouer qu'à deux. Je profite de sa petite pique pour lancer une réponse et reprendre un bol d'air, pour amorcer une partition plus.. en profondeur « Il a fallu que je sois frustré pour que tu remarque que je sois mignon ? Tu mérites une fessée pour ce que tu viens de dire, femme. » Dis-je dans un sourire tout en me collant encore plus à elle, plongé ma tête dans son cou, y laissant la marque de mes lèvres afin de faire dans des mouvements circulaires de langue sur la peau de son cou. Mes dents ne tardent pas à venir se planter à chaque rond que j'ai pu faire, y laissant la marque de ma fougue et de l'envie présente et grandissante qui est en moi, ou plutôt, en elle à l'instant précis ! Je remontais doucement mon visage à ces lèvres, la regardant dans les yeux, à cet instant précis je ne pense plus, je ne vois qu'elle et elle me suffit, comme une révélation. Je ne le comprends pas encore, mais je le comprendrais sûrement lorsque mes mains ne seront pas occupés par elle, et que ma tête sera un peu moins distraite. La cadence se fait plus rapide, plus ancrée en elle, je veux être unis le plus possible à elle afin de ressentir le bonheur d'être uni avec une fille que j'apprécie énormément et dont les mots vont sûrement dépasser l'entendement mais pas la force des sentiments. L'éruption est proche, rien n'est contrôlé lorsque la nature fait entendre sa voix, lorsque le cœur parle alors que la raison n'a pas donner son aval, rien n'est plus dangereux que la vérité vraie. Venant d'une femme tout cela est encore plus troublant, car les femmes, en ce monde, ne sont pas réputés pour être des êtres doués d'un certain équilibre dans leur choix. Nos corps liés, moi en elle, nous ne bougeons que l'un contre l'autre, dans un frottement doué d'une musique qui lui est propre, la musique de nos cœurs, et doucement Charlotte se relève peu à peu pour être à demi-assise sur moi, pour rétablir l'équilibre je change de place avec elle, me mettant un peu vers le bord du lit et usant de ma force pour la faire bouger sur moi sans que ça ne soit trop fatiguant pour elle. La cadence s'accélérant donc brusquement avec ce changement de position. Mon sexe va plus loin en elle, plus vite, j'ai de plus en plus chaud et je suis sûr que ça doit être le cas pour Charlotte aussi, nous sommes en phase l'un pour l'autre. Peut-être trop même. Deux mots sortent de sa bouche, un murmure à peine mais que je n'ai pas feint de ne pas entendre, je l'ai clairement entendu. La cadence de mes mouvements s’accélère suite à cela, je ne sais pas pourquoi mais je souris, un sourire idiot, un sourire d’idiot heureux. Le suis-je réellement ? Je n'arrive pas réellement à le croire mais je crois que c'est le cas. Elle finit par s'expliquer, mais je la gêne en l'embrassant d'un amour sincère et fort. L'explosion est là, au fond de moi, je sens mon cœur battre une nouvelle partition que Charlotte vient de changer. Mes lèvres retrouve le chemin des siennes et je ne les quitte plus. Je lui signifie un regard clair et net, un regard qui veut dire 'Tais-toi.', un regard qui est clair et qui nous permet de profiter de l'instant présent. Son corps assis sur le mien, mes mains autour de sa taille qui arrête les mouvements que je lui fais faire pour les faire moi-même, la laissant subir mes assauts en elle. De plus en plus vite. De plus en plus fort. Mes dents finissent par mordre sa lèvre. Un soupir, deux soupirs. Après une longue minute à donner le maximum pour unir nos corps dans l'instant le plus éternel que deux amants peuvent se signifier je finis par exploser en elle de façon douce, tout en ralentissant la cadence. Mon corps glisse encore sur le sien, comme deux lames en fer forgé encore brûlante et prête à être modeler par le forgeron afin d'avoir l'image parfaite qu'il désire. A présent, notre respiration se fait de plus en plus normale, tout redevient si doux, si calme. Mon regard ne quitte pas le sien, elle est sur moi, étendue, la meilleure des couvertures n'est qu'une femme aimante, et je crois que Charlotte et moi avons passé un cap important. « Marions-nous. » Lâchais-je donc. Mon regard dans le sien, je suis le plus sérieux des hommes sous l'influence de la plus dévastatrice et forte des émotions, l'amour. Je ne dis rien, et ma réponse est sans doute réciproque à la sienne, à un niveau bien plus haut. Car pour moi, même un mariage à Las Vegas, c'est un mariage, et cela compte à mes yeux. Qu'elle sera sa réponse ? Je n'en sais rien, et je ne serais pas vexé si elle dit non, en attendant, je caresse ces cheveux, la tirant un peu plus contre moi, sans pour autant nous désunir, je suis bien en elle, sans doute pervers mais je m'en fiche, je suis bien ainsi.


   


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Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





L'amour est quelque chose d'inexplicable et surtout d'inévitable. Cela vous arrivez quand vous vous y attendez le moins, dans des moments où vous avez d'autre chose en tête, ou par exemple vous vous rendez compte d'un regard que la seule personne qui se trouve au dessus de vous peut vous aimer. Car vous êtes imparfaite, et que vous savez que nul homme pourrait supporter autant d'imperfections, pourtant l'homme que vous pensez aimer lui aussi il est imparfait, il a des défauts un tas de défauts, mais l'amour vous aveugle vous n'y voyait que du feu. Alec était mon feu, ma flamme de désir et la brûlure dans mon cœur. Tout aurait pu être tout autre chose entre lui et moi. Nous étions des pourritures de la pire espèce, des lâches et des sans-cœur. Pire que la reine de cœur dans Alice au Pays des Merveilles. Non nous n'étions que remplit de désir et d'insouciance pourtant ce soir il se passait quelque chose entre nous. L'alchimie me diriez vous ? Lova at the firt sight ? Non plus. La conscience, se rendre compte que pendant les mois durant où vous n'aviez été que des Sex Friends, bah c'était bien. Même très bien. Que ce que vous ressentez avec cette personne vous ne l'avez jamais ressentit ailleurs. Mes pensées devenaient beaucoup trop profonde pour un moment charnel avec cet homme. Je me laissais alors porté par la chaleur de son corps contre le mien , par ses lèvres qui ne pouvaient plus quitter les miennes. De sa façon de me dévorer des yeux comme pour me faire comprendre que je lui appartenait, à lui rien qu'à lui. Plus de provocation en nous, nous parlions le langage du corps et du désir. A présent pour moi plus rien était signifiant à part notre acte lui même. Je lui lançais pourtant une provocation pour ne m'a pas m' avouée vaincue de ces charmes imparables. Dans un sourire il me lançait une autre provocation plus douce mais à la fois machiste. Un Alec, vous allez me dire. Son corps encore plus ancré au mien je le laissais se délecter de mon cou sans retenir mes soupirs. Je le laissais y poser sa trace, lui dire que je lui appartenait à lui plus qu'un autre, ou une autre. Mes yeux transpiraient l'amour et le désir que je pouvais avoir en lui, je laissais mes mains se satisfaire de son corps. Doucement le jeune homme libéra son emprise qu'il avait fait dans ma nuque pour me regarder une seconde, ou plusieurs secondes je ne savais pas. Je ne pouvais plus le quitter, je voudrais vivre uniquement pour ce regard là. Ce regard me bouleversait et me faisait comprendre que cet homme là, qui était en moi, en train de me désirer de bien des manières, je n'allais tout simplement plus me passer de lui. Je le savais, mon cœur le ressentait aussi au fur et à mesure que ses lèvres se perdaient une nouvelle fois dans les miennes. La cadence devient plus rapide ente nous, comme si nous unir était un besoin vital, notre oxygène notre seule façon de respirer. Je ne savais pas comment je pourrais me passer de lui, me passer de son sarcasme de sa façon de me regarder, sa façon à lui de me faire sentir unique. Peu à peu je décide de me relever pour être encore plus proche de lui, l'avoir dans la peau de façon plus directe.  Ce qui avait été l'élément déclencher de mouvements plus rapides et plus profonds de mon tortionnaire. La chaleur entre nous m'empêcher de réfléchir, et de respirer, mes cuisses se contracter de plus en plus face à ses mouvements incessants, je perdais la tête. Quand  mes lèvres prononçaient l'impensable. Immédiatement je me sentais conne. Je ne voulais pas gâcher ce moment, je voulais profiter de lui comme jamais. Mais finalement il me gênait en m'embrasser, mes bras autour de son cou pour me coller encore plus à lui. Mes mains tirant légèrement sur ses cheveux, pour le punir de sa non réponse. Ses yeux, ce regard puissant qui me rendait soumise à lui, totalement sienne. Je laissais un soupir d'excitation s'échappait entre mes lèvres. Ses mains se laissaient glisser sur mon corps pour arriver à mes hanches. Il stoppait mes mouvements, pour mieux entrer à moi, pénétrer mon corps comme il pénétrer mon cœur.  A croire que la poésie était de mise ce soir. Dans un mouvement des plus profond ses dents blessées mes lèvres comme pour me punir de ces deux mots, à la fois si insignifiants et pleins de sens. Je plantais mes griffes sur son dos comme pour laisser à mon tour sa trace. Après une longue minute de sexe endiablé, de mouvements de plus en plus en profondeur, l'orgasme avait finit par s'étendre et s'épandre en nous comme une raison de vivre.  Son corps étendu sur le lit, ma respiration qui reprend doucement mais sûrement, mes mains qui parcourent avec douceur son torse, je ne le lâche pas des yeux. Il m'hypnotiser comme s'il était le seul aimant au quel je pouvais répondre et me coller. Perdu dans la découverte de son corps je remontais à un instant mes yeux vers lui quand il me demander une nouvelle fois en mariage. Mais cette fois-ci de façon beaucoup plus sérieuse que toute à l'heure. Mon cœur se crispait d'avantage, le bas de mon ventre commençait à se tordre. Le rouge aux joues commençaient à monter alors que je ne rougissais jamais, d'un coup mon corps devenait brûlant. Il me rendait malade et complètement folle. Une longue minute de silence avant que je puisse enfin dire presque tremblante, il me perturbait à me toucher de partout, à me caresser les cheveux alors qu'on parlait de notre destin, de nous deux, de ce que ça signifiait.


Pourquoi tu m'aimes ?


Lui demandais-je dans un sourire avant de l'embrasser avec amour, pas de brutalité, pas trop de douceur juste la bonne dose. Je me relevais, toujours ayant une partie de son corps moi, dans un sourire imbécile, les joues rouges, comme pas possible je levais les yeux aux ciels avant de me lever subitement sans parler. Je me dirigeais vers la salle de bain où il y avait sa chemise blanche je la mettais sur moi tout en la boutonnant jusqu'en haut laissant les manches ballantes, de façon à y faire un nœud au milieu. A défaut d'avoir une robe mariée, j'avais au moins une mini robe blanche avec la chemise de l'homme de tous mes tourments. Toute excitée, après même pas cinq minutes je me retournais vers lui le sourire heureux, avant de lui sauter dessus et de lui dire :

Je suis prête !

Lui disais-je dans un petit rire avant de l'embrasser alors qu'il était encore nu sous moi, je lui disais gentiment à l'oreille comme une supplication, une demande un besoin :

Aime moi, Alec.

En repensant à ce que je venais de dire je me mordais la lèvre inférieure et sans entendre sa réponse je prenais mes escarpins pour me chausser, et sa chemise couvrait assez mes fesses malgré que ça soit assez court. Je me penchais un peu pour chercher mon sac, et chercher mon maquillage. Et oui toutes les filles sont toujours prêtes en toutes circonstances. La trousse de maquillage en main je m'approchais fémininement de l'homme, la bête, le taureau qui était entrain de se rhabiller. Laissant ma main parcourir son torse je lui disais mes yeux coquins :

Je veux ma bague et ma nuit de noce, même une bague à un dollars je m'en fou mais je la veux..





La tenue car tu dois pas te faire l'image :


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Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot)

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