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Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot)

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MessageSujet: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyLun 30 Juin - 15:10




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





Dans trois jours j’allais à ce festival et j’étais parfaitement remise de mon overdose. Il fallait dire qu’après cette semaine à l’hôpital j’étais revenue en force. La vengeance d’Aiden avec Aengus, une partie de jambes en l’air avec Augusteen, une soirée inoubliable avec Emy et bien d’autres. Ce soir j’allais dans un bar sans but précis. Je ne cherchais pas à draguer ou allumer je voulais juste boire un verre et me retrouver un peu seule. La journée avait été longue et ennuyeuse. Je n’avais strictement rien foutu à part me dorer la pilule. J’avais fouillé dans mon téléphone portable voir qui je pouvais contacter mais personne ne me sauter aux yeux. J’étais toute façon dans un état où je n’avais pas spécialement envie de faire des folies, mais après tout, tout dépendait de qui j’allais rencontrer ce soir. Il était vingt-deux heures quand je quittais mon appartement pour aller au DNA Lounge, un peu select mais pas trop. Je voulais boire tranquillement avec une ambiance musicale qui me plaisait largement. J’avais enfilé une robe noir bien trop courte pour paraître innocente, ouverte dans le dos car je ne voulais pas transpirer comme une truie après cinq verres. Mes talons hauts, maquillée j’étais parée. Je déambulais dans les rues toute excitée et toute enjouée. C’était la première fois que je prenais du temps pour moi cette semaine et ça me faisait du bien. Une cigarette aux lèvres j’arpentais donc les rues, mes talons claquant le sol à chaque pas je faisais un bruit d’enfer. Un jeune homme marchait en face de moi. N’y faisant pour l’instant guerre attention, je continuais de marcher jusqu’à ce que l’homme s’arrête là comme ça d’un coup. Je m’arrêtais du coup moi aussi, le cœur palpitant entre la peur et l’excitation. Et c’est un visage familier qui se retourna vers moi comme par enchantement. Alec. Un sourire angélique s’emparer de part et d’autre de mon visage. Je n’aurai pas rêvé mieux pour passer ma soirée. Puis même si le jeune homme comptait faire quelque chose ce soir il allait être à moi comme bien de nombreux soirs. Je ne lui avais pas donné de nouvelles depuis mon hospitalisation car je n’étais pas du genre à vouloir susciter la pitié des gens et encore moins des hommes. Je m’avançais donc le plus sensuellement possible jusqu’au jeune homme. Laissant ma cigarette à terre j’avais trouvé ma nouvelle tentation. C’est donc en quelques pas de loups que je me retrouvais face à lui. Face au beau brun qui m’ensorcelait depuis des jours, qui était à la fois romantique et sauvage. Doux comme un agneau et féroce comme un lion. Il fallait être aveugle pour ne pas voir la tension qui subsistait entre nos corps. Ses yeux m’empoisonnaient, je devenais rien qu’à lui à partir du moment où ses iris croisaient les miens.  Il me troublait si bien, que même dans la journée je pensais à lui et à nos soirées ensembles. Il avait à la fois ce côté sombre qui me faisait froid dans le dos et ce côté pure qui me donnait envie de passer le reste de mon temps dans ses bras. Il n’était pas que dragueur avec moi, il avait tout le long de nos rencontres utiliser le romantisme pour mieux m’appâter. Une main qui caresse son avant-bras, mes yeux plongeaient dans les siens. Je ne répondais plus de moi-même. Fallait que quelqu’un me sorte de là, sinon j’allais encore une fois céder à cet homme. Mes jambes nues, je me rapprochais d’avantage contre lui pour sentir son jean sur mes jambes. Ma main remontait légèrement sur son bras, j’avais eu l’audace de prendre mes talons hauts. Du coup je n’avais pas besoin de me mettre sur la pointe des pieds pour lui administrer un baisser sur sa mâchoire. Mes lèvres contre sa peau chaude avaient du mal à se décoller, beaucoup trop de mal. Ce seul contact me rendait folle, il m’obsédait. Reculant un peu mon visage pour arriver face à ses lèvres je lui souriais avant de lui dire, dans un regard qui en disant long sur ce que je voulais faire ce soir avec le jeune homme :


C’est gentil de m’inviter ce soir, j’ai hâte de voir ce que tu nous as préparé !


Bravo Charlotte, je le contraignais à m’inviter quelques part. N’ayant aucunes limites je le suivrais n’importe où jusqu’au bout de la nuit. Je laissais mes lèvres finalement descendre à son cou doucement, très doucement. Avant de remonter et lui chuchoter :


Enfin si tu  veux de moi bien entendu.


Le désir avait fait place au défi, Alec F. M. De Marzio es-tu près pour un énième round avec Charlotte de la Croix ?






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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyLun 30 Juin - 17:06

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
Douce soirée qui commence. Il est 10h15 et je marche dans les rues de San Francisco, à la recherche d'une âme errante, comme moi. Quelqu'un de perdu, ou une connaissance. Aussi loin que je me rappelle, je déteste la solitude même si elle est le plus souvent ma plus grande alliée depuis la perte de ma fiancée. Et cela remonte à bien des années. Les soirées ici sont fraîches, moins fraîches qu'en Europe cependant, mais cela ne me dérange pas. Mon regard scrute chaque personne qui passe non loin de moi à la recherche d'un visage familier, à la recherche d'un léger réconfort. Je suis seul. Ma sœur est rentrée en Italie, et depuis notre brouille concernant Lysa nous ne nous parlons plus. C'est bien la première fois qu'une dispute nous déchire ainsi et je ne pense pas que cela changera si je n'y fais pas quelque chose. Mais faire quelque chose ne veut pas dire faire une bonne action, c'est ce qui est le plus redoutable avec moi. L'Amérique ne semble pas faite pour moi, ou bien c'est moi qui ne suis pas encore prêt à être loin de ma terre natale, ce qui est sûr dans tout ces doutes, c'est que Lysa hante encore et toujours mes pensées, bien plus depuis que j'ai été dit négatif à l'analyse psychiatrique dont j'ai fait preuve grâce à ma chère sœur. Je lui en veux même si son attitude a été compréhensible, j'aurais sans doute fait de même, pour la protéger d'elle-même et aussi des autres. Aujourd'hui, en tout cas pour le moment, la question n'est plus. Ma sœur est rentrée au pays pour l'été et moi j'ai décidé de revenir rapidement à San Francisco pour me prendre un appartement à louer et trouver Lysa, je dois arranger les choses avec ma sœur et je ne pense pas y arriver sans elle. J'ai besoin d'elle plus que je ne le pense, mais pour l'instant, je n'ai aucune nouvelle d'elle ni de ma sœur qui était ma première source d'information la concernant. Dès à présent je fais cavalier seul et je n'ai pas réellement le choix, personne n'est rester ici, tout le monde est parti d'après les festivités que l'université à organiser. A croire qu'ils font tout pour garder leur étudiants loin d'eux avant de les ramener de vacances idylliques. Je m'arrête alors un instant, je suis totalement perdu dans mes pensées et j'en regarde même le ciel, au fond, m'être disputer avec ma sœur m'affecte plus que je ne voudrais le montrer et j'aurais aimé compter sur elle pour retrouver Lysa, pour me racheter auprès de tous. Mais ceci n'est pas chose aisée, loin de là. Au final, je soupire et j’amorce un demi-tour. A quoi bon sortir quand le cœur n'y est pas, quand la solitude vous ronge et que personne n'est là pour vous faire oublier le temps d'une soirée, ou plus, les tourments qui vous submerge ? A peine eu-je relevé la tête que mes prières semblaient-elles avoir été entendus : une belle brune aux jambes délicieusement sensuels s'offre à ma vue, de plus, elle ne m'est pas inconnue. Mon regard remonte jusqu'à son visage après m'être rappeler chaque partie de son corps et raviver des souvenirs.. chaleureux. Un sourire franc naquit sur mon visage d'ange démoniaque lorsque mon regard croise le sien, doucement mon sourire se change en doux et tendre, mais sceptique, rictus qui pourrait donner des envies de me sauter dessus à n'importe quel fille à qui je ferais de l'effet comme de suite. Ses pas résonnent lorsqu'elle s'approche de moi, comme un tic tac, comme si le temps me sauter au cou afin de me dire que je devais me montrer patient pour mériter ne serait-ce qu'un peu d'amour en ce bas-monde. Sa manière d'être, son désir envers moi et le mien envers elle est transcendant. Je la désire autant qu'elle me désire, si ce n'est plus, mais je me contiens, comme d'habitude. Garder un air stoïque et limite froid afin de donner cette impression que je ne peux donner aucun sentiment chaleureux à une autre personne, que je sois réellement une méchante personne. Rares sont les personnes qui ont su discerner le vrai du faux. Rares sont celles qui ont réussis à me comprendre, y en a-t-il au moins une sur cette Terre ? « Je pensais que toutes les personnes que je connaissais étaient parti cet été, à croire que je me sois trompé. - Marquant une courte pause après qu'elle c’eut invitée toute seule à passer la soirée en ma compagnie – Qu'entends-tu par 'vouloir de toi' précisément ? » continuais-je tout en ne lui laissant pas le loisir de répondre. Je pris le bras qu'elle m'offrait et l’entraînait vers moi, ni trop vite, ni trop fort, une étreinte douce mais ferme pour montrer que c'est moi qui mène la danse ce soir même si cela n'est que temporaire avec elle. Ce jeu est si.. pervers. Une fois à l'abri des regards je me permets de ne plus me retenir : la plaquant fermement à un mur, dans cette allée sombre, mes mains remontant sur ces cuisses, jouant à remonter sa robe et glisser le bout de mes doigts sur ces cuisses et lui asséner des frissons précis, qui devrait remonter l'échine de sa colonne vertébrale jusqu'à son cerveau et transmettre le désir brûlant et naissant qui venait d'être éveiller par moi-même. Ma main gauche à sa nuque, la gardant fermement et profitant de la proximité que nous avons toujours eu afin de percevoir au fond de son regard cette envie que je partageais avec elle. « J'espère ne pas m'être tromper en t'ayant écouter, n'est-ce pas ? » laissant un sourire malicieux sur mon visage, frôlant dangereusement et avec jeu ces lèvres sans pour autant les embrasser même si l'envie était totale après les quelques baisers dans le cou qu'elle eu le temps de m'avoir donné. J'aurais ma revanche, bientôt.

   
   
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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyMar 1 Juil - 13:48




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio




J’étais sur un petit nuage après mon overdose, j’avais l’impression que cette passe avec Xavier m’avait rendu plus forte, invincible. J’avais ressortie mon côté le plus sombre, et j’avais compris par la même occasion que je ne pouvais tout simplement contrôler mon côté peste et mon côté angélique. Fallait s’y faire tout simplement et si la personne que je croisais n’était pas prête alors elle pouvait rebrousser chemin. J’ai assez d’amis pour m’en faire d’autres, j’ai les meilleurs des meilleurs, la crème de la crème. Quoiqu’il en soit ce soir je sortais pour me remettre un peu dans le bain pour me préparer au festival tout simplement. Quelles sont les chances pour que je croise Alec de Marzio ? Honnêtement je comptais le revoir avant de partir mais je ne m’attendais certainement pas à le croiser au détour d’une ruelle. Ça aurait pu être un clip de Maroon 5, un jeune homme, une jeune femme, une ruelle ? Alec n’était pas comme tous les hommes, il était tous les hommes à la fois. Si je devais le comparer aux autres hommes que j’ai pu rencontrer ici je dirais qu’il à une certaine timidité à la Lucas, une arrogance comme ce con de Jax, le fait qu’il soit hors-limites comme Xavier, son côté séducteur d’Aiden. Et j’en passe si je devais dire qu’il était tous les hommes à la fois. C’était une équation à cinquante milles inconnues à qui je devais faire face et j’aimais ça. C’était donc face à lui que je me retrouvais laissant mes doigts parcourir son corps. Sa remarque laissa un mince sourire prendre place sur mes lèvres. Je me rapprochais encore plus de lui comment il pouvait ne serait-ce qu’une seconde que j’allais partir sans lui dire au revoir ? Je lui disais simplement :

Tu as vraiment pensé que je n’allais pas te voir avant de partir, c’est mal me connaître.

Mes yeux dans les siens j’étais hypnotisée par ses yeux mais par sa voix aussi. Le jeune homme me pris par le bras ses mots résonnaient dans ma tête le temps de cette petite escapade. Sa pression contre moi était à la fois douce et chaleureuse mais ferme pour me rappeler sur c’était lui l’homme ce soir. Après quelques mètres dans cette ruelle qui n’était que très peu éclairée. Alec me plaquait contre un mur, mes jambes tremblaient entre la fraicheur du mur et la puissance que l’homme m’exerçait. Il savait qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Sentir ses mains caresser mes cuisses me bloquer ma respiration. Je ravalais mon désir tout en le regardant. Mes pupilles étaient complètement dilatées. Il m’avait capturé entre ses mains, des frissons se manifester de part et d’autre de mon corps. Le moindre contact avec Alec était électrisant comme s’il pouvait lire dans mes pensées, deviner mes envies, mes points faibles. La robe remontée, j’étais les jambes totalement nues face aux jeunes hommes. J’avais froid, j’avais chaud j’étais plus maître de mon corps. Je laissais mes doigts caresser les boutons de sa chemise avant de détacher le plus délicatement possible les premiers boutons. Je suffoquais, j’avais déjà envie de partager une nouvelle fois ce moment si précieux entre nous. Mais il ne fallait pas aller trop vite, c’était peut-être notre dernière soirée avant Coachella et je voulais me souvenir de chaque millimètres de sa peau quand il ne sera plus près de moi. Sa main contre ma nuque, laissant cambrer mon corps afin d’être au plus proche de lui. Son regard une nouvelle fois dans le mien. Je lui faisait simplement non de la tête et quand le jeune homme frôla mes lèvres, je me les mordais machinalement et je me rapprochais encore plus presque en touchant ses lèvres. Avant de volontairement libérer ma lèvre pour qu’elle touche celle d’Alec. Mes mains soudainement brusquement arracher sa chemise, je lui souriais de façon la plus sexy possible. Avant de jaugeait son torse en remontant doucement jusqu’à ses yeux :

Tu ne m’en voudras pas de te débarrasser de quelques vêtements inutiles ?

Je laissais mes ongles griffer ce torse que je ne connaissais que trop bien, tout en enroulant mes jambes contre son bassin. Laissant mes talons s’échappaient de mes pieds. Un soupir s’échappait de mes lèvres presque par inadvertance. Mes mains se crispants sur son torse. Je laissais ma main glissait sur sa nuque avant de rapprochait son visage même s’il essayait de résister contre le mien :

N’essaye pas de me résister, on sait très bien qui gagne à ce jeu-là.

Sans le laisser répondre je capturais sa lèvre inférieure avec douceur, en laissant mes doigts caressaient sa nuque. Il ne savait certainement pas l’effet qu’il me faisait, il ne savait pas qu’il me rendait folle. Que son regard me redonner confiance en moi, qu’avec lui je pouvais me révéler. Je lâchais sa lèvre après cette capture interdite. En plaquant mon dos d’avantage. Je laissais mes yeux remonter jusqu’aux siens. Avec un désir que ni moi, ni lui ne pouvait contrôler. I am on fire baby.






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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyMer 2 Juil - 1:07

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
Une véritable retrouvailles si je pouvais me permettre. Cette fille, est une sacrée femme. Elle me plaît comme aucune autre femme ne pourrait me plaire, pas même Lysa. Cette fille, cette Charlotte c'est moi, moi au féminin. Bien sûr, une version de moi bien plus femme et avec son histoire, une histoire qui diffère de la mienne.. mais quand je suis prêt d'elle comme maintenant, je ne peux m'empêcher de sentir cette impression au fond de moi, comme si je la connaissais depuis toujours et qu'à chaque fois que l'on se retrouvait, c'était comme après une longue séparation : une bouffée d'oxygène lorsque l'on peine à respirer. Elle n'est pas à ce point mon oxygène car je me refuserais de l'admettre quel qu’en soit les sentiments que j'en éprouve, mais c'est une des femmes qui s'en rapproche le plus lorsque je suis moi-même et pas un autre, pas ce méchant personnage qui y a quelques mois rendue Lysa folle le temps d'une soirée avant de disparaître sans dire au revoir à quiconque, y compris Charlotte. Bien évidemment, elle n'en savait rien, car cette nouvelle en ferait mon malheur, après ma sœur, elle, j'en étais sûr. La proximité que nous avons est quelque chose que je ne veux pas perdre. Il est rare, pour moi, que je me sente aussi proche physiquement et mentalement avec une autre femme, que mon esprit même se laisse faire. Peut-être que c'est ce dont j'ai réellement besoin.. d'amour, d'être 'réconforter' entre parenthèses, de sans doute.. tourner la page et faire ce que les gens appellent, le deuil ? C'est sans doute dans ces bras que j'oublierais de le faire, encore une fois. Je ne suis pas prêt et ne le serait sans doute jamais, je ne sais même pas comment l'on fait et cette question me terrorise au plus profond de moi, je ne veux rien oublier, à croire que j'apprécie à vivre avec une douleur constante au plus profond du cœur. Charlotte est mignonne et en plus elle a du cœur en plus d'avoir un penchant sexuel aussi attisé que le mien même si je ne le revendique pas. Je la connaissais peut-être mal, mais elle aussi ne me connaissait pas réellement, pour l'instant à croire. « Tu es adorable Charlotte. C'est vrai, tu vas partir en vacances comme tout le monde alors ? Je crois que je suis revenu un peu trop tard pour voir un peu de monde, ou peut-être trop tôt pour reprendre les cours, quand qu'il en soit.. je ne pense pas que je vais te manquer, si ? » Et pour amuser la situation de ma dernière question, les actes furent une réponse qui était parfaitement démonstrative et idéale. Plus forts que les mots, nos actes étaient plus frappants, plus mordants, plus ardents. Le feu qui brûle en nous à cet instant est un feu que nous ne pouvons réellement maîtriser, mais qui nous habite. Chaque caresse sur sa peau, chaque frottement entre nos corps et nos parties plus ou moins sensibles réveille un désir encore plus profond, encore plus brûlant. Par exemple, à chaque fois qu'elle se cambre, mon désir s'éveille et prend forme sous la plus virile des façons pour un homme en présence d'une femme de ce calibre entre les mains. Charlotte n'aime pas réellement que je prenne un malin plaisir à retarder ces envies, ces désirs, j'aime prendre mon temps pour la rendre impatiente mais bien entendu elle ne me laisse pas le temps de contrer ces attaques afin de reprendre le contrôle totale de la situation, elle est ingénieuse et rivalise avec moi en créativité pour se sortir de situations auquel elle n'a pas main mise. Lorsqu'elle me pose la question sur mes habits, je lui fais un regard qui veut tout simplement tout dire, elle n'a pas besoin de me poser cette question, en plein été les habits ne sont qu'une façon de ne pas être à poil qui seraient mal vu par la police je suppose. Mes lèvres finissent par rapidement toucher les siennes dans un baiser doux et rapide au début, avant de le prolonger de moi-même. Un prolongement plus profond, allant doucement capturer la douceur et l'arôme de ces lèvres. « Tu sais, c'est mal d'être si impatiente, tu devrais ralentir parfois, mais bon.. à croire que je n'arriverais jamais à te rendre patiente. » conclus-je avec malice. C'est ce qu'on allait voir, comme d'habitude. Si nous avions pu avoir chaud en cette soirée avec la chaleur de l'été sur San Francisco c'est idiot, nous risquons d'avoir encore plus chaud dans les minutes qui suivraient.  Mes mains glissèrent sur ces fesses en remontant sa robe lorsque ces jambes furent à ma taille, je rends le baiser plus langoureux, mêlant ma langue à nos lèvres afin de ressentir l’arôme de Charlotte, de sentir que nous sommes en 'union' même si ce n'était pas réellement le cas pour l'instant. Ça ne tarderait à venir, mais peut-être pas dans ce coin, une fille comme elle, avec un panache aussi impressionnant et une beauté dérangeante qui peut me faire fondre mais surtout un arsenal psychologique qui à de quoi me rendre calme et docile, pour l'espace d'un instant, mais c'est déjà fort, un instant, c'est plus qu'une seconde, c'est deux, non ? Elle mérite une autre place que celle d'une ruelle sans nom. Une de mes mains finit par glisser sur son fessier ferme et que j'apprécie pour sa forme tandis que l'autre main s'est aventuré un peu plus haut, remontant encore un peu plus sa robe afin de sentir sa peau contre mon torse dévoilé à présent. Le frisson que je ressens lorsque nos peaux se touche enfin, le désir se fait sentir encore plus profond : j'en veux encore. Mes lèvres quittent ces lèvres pour glisser jusqu'à son cou et l'asséner de coup de langue et de morsure à la fois tandis que ma main quitte son fessier pour remonter sa robe aussi et de pouvoir bénéficier de caresses sur sa poitrine que je n'ai pas encore déshabiller, à vrai dire, elle le fait mieux que moi et j'ai envie de rapidement passer aux choses sérieuses afin de bénéficier d'une soirée avec elle, et pourquoi pas un lendemain. Tout ça est à voir, à voir ou tout cela nous mène.

   
   
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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyJeu 3 Juil - 11:45




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer

d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





Alec était parfait dans sa folie. Il me faisait du bien et ça je ne pouvais pas le nier. Non je ne pouvais pas nier quand sa présence je me sentais femme. Je sentais que j’étais important pour lui. Que sans lui ma vie ne serait pas pareille. Que tout ce que je faisais en ce moment était ridicule. Je me convainquais d’être seule au monde et que personne ne m’aimait pour la simple et bonne raison que j’avais peur de ce que ça pouvait signifier. J’avais peur de décevoir une nouvelle fois je ne voulais pas lui faire de mal. Du moins pas maintenant. Le jeune homme m’avait demandé si je partais en vacances. Bizarrement j’ai eu un haut de cœur. Passer deux mois sans le voir me ferait bizarre, j’étais accrochée à lui comme une puce à son chat. Je me pinçais les lèvres rien qu’à cette idée. Non je ne voulais plus partir maintenant. Moi adorable ? Il était sérieux de me dire ça ? Moi adorable. Gentille peut-être mais adorable c’était un peu trop. J’étais mauvaise je jouais avec tout le monde et contre tout. Comment quelqu’un pouvait ne serait-ce qu’un peu intelligent voulait de moi. Avec moi c’était perdu d’avance on s’entraîne dans un tourbillon de malheurs et d’incompréhension. Je lui souriais avec tendresse avant de lui répondre avec une pointe d’envie.

Comme tout le monde mais si tu veux de moi, je pourrais te faire une place non ? Humm manquer je ne sais pas …si c’est le mot que j’utiliserai.


En quelques secondes nous étions contre un mur. Sa main qui caressait mes cuisses, son jean qui se frottait contre mes cuisses et qui me brûlait la peau. Chaque doigts qui me touchait me brûler. Je sentais mon corps se décomposer en mille morceaux à son toucher. J’étais une impatiente il était vrai mais ce que je réservais à la gente masculine en valant ma précipitation. Mais qui sait ce soir j’allais m’assagir pour profiter de cet homme une nouvelle fois. J’enlevais sa chemise comme un vieux tee-shirt qui ne servait plus à rien désormais. C’est de mon corps que j’allais le couvrir. Nos lèvres se touchaient timidement comme si c’était nos premiers moments nos premiers baisers. Ses lèvres étaient douces et dures à la fois. Elles étaient enivrantes et imparfaites et j’aimais ça.

Pourquoi tu veux me faire attendre ? Tu sais très bien où on va, et j’en ai envie tout autant que toi.

A ma remarque je sentais ses mains se promenaient sur mes fesses tel un prédateur. Ma robe totalement remontée pour lui faire découvrir mon sous-vêtement. Un regard plein de désir se faisait dans mes iris. Mes jambes autour de sa taille, l’excitation était beaucoup plus que naissante. Laissant sa langue jouer avec la mienne pour un ballet endiablé que nous aimions tant. Mes bras autour de son cou. Pour me tenir à lui comme je le pouvais. Perdant toute force tant mon cœur palpitait en sa présence. Nos peaux se touchaient enfin et je n’allais bientôt plus pouvoir me retenir face à lui. Il quitta mes lèvres subitement pour s’aventurer dans mon cou. Un soupir de désir se faisait plantant mes ongles contre son dos me cambrant légèrement. Je ne respirais plus. Ses doigts jouaient subtilement avec ma poitrine. Je pris ma main pour remonter son visage contre mes lèvres avant de dérouler mes jambes de son bassin. J’étais d’un coup petite face à lui sans mes talons. Le temps d’arriver au sol mes lèvres avait frôlé tout son visage. Je reprenais doucement ma respiration avant de me mordre les lèvres furieusement pour réprimander mes envies les moins orthodoxes :


Je veux profiter de chaque centimètre de ton corps avant de partir, et l’endroit n’est pas le plus approprié. Étonnes moi.


Ce n’était pas un ordre non, c’était une supplication. Je remettais mes talons rapidement tout en lui souriant avec malice. Avant de capturer ses lèvres sans pudeur cette fois-ci. Laissant ma main glisser sur son dos avant de lui chuchoter :

Sauf si tu préfères que je rentre...sans toi


Je mordais son lobe doucement avant de m’attaquer de nouveau à son cou. Laissant ma trace comme un aveu, comme pour lui demander de ne pas m’oublier.





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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyVen 4 Juil - 1:53

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
Dis moi ce que tu ressens, je te dirais quel genre de personne tu es. C'est sans doute ce que je ressens envers les autres que j'arrive à les apprécier, à les définir et à voir si je peux tisser des liens avec eux. C'est une bien étrange façon de sentir les autres, de se faire des ami(e)s ou bien tout simplement une bonne soirée. Charlotte ce n'est pas seulement une bonne soirée. C'est un sourire, un rire cristallin en continue dans un fond sonore. Une beauté continue et enflammée. Mais aussi de la solitude ou des efforts perpétuels pour ne plus souffrir, pour trouver un moyen d'échapper à la fatalité d'une douleur passée, de ne plus se faire avoir ou encore de ne plus faire de mal. Ces choses-là que l'on a déjà ressenti, on peut aisément les ressentir chez les autres, mais il faut quand même une certaine expérience, un regard de psychologue ou bien un œil aguerri d'un journaliste, même si ce n'est qu'un petit journaliste sportif qui fait ses études dans une école américaine et qui est sûr de briller dans le futur, mais aimerais juste être simplement heureux. Je passe un moment de pur bonheur et l'on ressent tout de la même chose, nous sommes en union spirituel si je puis dire. Cette union, il est rare de se sentir proche de l'âme d'une personne comme l'on est proche elle et moi. J'ose espérer qu'un jour, elle et moi soyons encore plus proche que nos corps nous le permettent, mais ceci est une autre histoire dans les complications viendront bien rapidement et dont je n'ai pas le courage de lui en parler de peur de ne plus la revoir. J'aimerais partir avec elle, mais je venais à peine d'arriver et j'ai encore à faire ici avant de pouvoir me permettre de partir en vacances. Il fallait que je réintègre tout pour être prêt pour la rentrée prochaine et pour tout ce qu'elle apportera avec elle. Moi, je ne sais pas si je serais prêt pour tout ce que je dois faire pour avoir Lysa, pour avoir la paix en moi, pour avoir de l'amour, je ne sais pas comment faire, pour savoir tout simplement. Pour l'instant j'oublie mon désespoir caché au fond de moi et je m'abandonne dans une osmose parfaite avec Charlotte. Son corps est contre le mien, quoi de mieux ? J'ai envie d'elle et elle aussi, ces ongles finirent par griffer ma peau comme elle fait à chaque fois, une sorte d'extase j'ai l'impression, elle se doit de laisser sa marque, de montrer que je ne suis qu'à elle, du moins c'est l'impression que je ressens et qui me fait me sentir proche d'elle. « Pourquoi te faire attendre ? C'est simple, pour te donner encore plus envie de moi et puis parce que aussi ça m'éclate de te voir ne pas avoir ce que tu veux. » Connard. C'est ce qu'elle doit se dire, mais c'est malsain d'être avec moi, je suis un poison pour les gens, je suis pourtant si simple comme homme. Je ne cherche cependant pas à être un poison pour eux, c'est juste que ma vie m'amène à être ainsi, pour éteindre ma douleur l'espace d'un instant, il faut en allumer deux autres, chez quelqu'un. Nos corps s'enflamment de plus en plus et comme d'habitude, nous pensons au même chose, et l'idée de changer d'endroit nous est approprier à elle et moi. Un regard rapide à gauche et à droite, avant de sourire malicieusement. Mes mains toujours prés de ses cuisses, je lâchais sa poitrine pour me concentrer sur son bassin essentiellement, caressant tantôt ces fesses, puis plus chaudement, l'intérieur de ces cuisses. « Tu rentrerais vraiment sans moi ? - questionnais-je au fur et à mesure que l'on redevenait 'raisonnable'Même si je fais ça.. ? »

Sans attendre sa réponse et sans poser un regard dans ces yeux, mais en regardant furtivement si personne ne passait près d'ici, je la plaquais de nouveau à moi et contre ce mur salvateur. Puis je glisse mes lèvres dans son cou, bloque ces deux mains avec les miennes et glisse mon autre main entre nos peaux, remonte de nouveau sa robe et de mon pouce caressait maladroitement, mais exprès, son entrejambe à peine excitée. A croire que je ne lui faisais pas encore assez d'effet. Rapidement, mon pouce s'adoucit et ma main caressait de façon douce et précise son entrejambe. Elle veut que je l'étonne et c'est bien ce que je fais. Doucement, je lâche son cou et lève doucement une de ces cuisses pour finir par me baisser et passer ces deux jambes sur mes épaules. Je fini par lui lancer un regard pervers et audacieux. Je finis par venir caresser par-dessus sa culotte, son entrejambe, d'un geste expert je finis par éveiller sa fleur de plaisir et pour approfondir les sensations qu'elle doit ressentir j'embrasse l'entrée de ces cuisses, à droite, puis à gauche, en continue, de plus en plus lentement au fur et à mesure que je m'approche de son antre ardente, qui d'ailleurs commence à montrer l'effet que j'ai sur elle. Un sourire malicieux se pose sur mes lèvres et j'accentue mes caresses à cette endroit pour la rendre ne serait-ce qu'un peu plus trempée. Une fois la culotte de charlotte à moitié trempée, je la regarde et finit par rapidement et même un peu brusquement me relever tout en enlevant ces jambes. « Oui tu as raison, ce n'est pas vraiment le bon endroit. Hmm.. je sais pas si tu devrais rentrer chez toi, un avion t'attends demain ? Je ne voudrais pas que tu sois en retard ou quoique ce soit.. . -dis-je en continuant mon petit jeu- A moins que tu ne trouve un chauffeur super sexy pour t’éviter d'être en retard... . » Pervers, idiot, malsain, c'est moi. Mais je n'irais pas jusqu'à lui faire l'amour dehors. Comme dit précédemment, elle m'est trop précieuse ne serait-ce que pour la partager avec un rat qui se serait promener dans la ruelle, alors un autre homme, plutôt le tuer. J'espère qu'elle ne voudra pas me tuer pour ce que je viens de faire, généralement c'est elle qui prend les choses en main et ne m'écoute pas, mais pour cette fois je l'ai devancé. Mon regard se pose sur elle et je finis par remettre ma chemise tout en soutenant son regard, ai-je allumé un feu ? J'ai sûrement provoqué un incendie et je devrais jouer le pompier certainement ? Elle devra se montrer patiente alors, je dois d'abord l'étonner et cela n'en faisais pas partie, du tout. Je finis par prendre sa main, comme un amoureux transit après qu'elle se soit, comme moi, rhabillée et de l'entraîner de nouveau dans cette ville si bruyante et pas seulement à nous, devrais-je la partager avec tout ces hommes ? Malheureusement, il n'aura que la vue de MA Charlotte, et à mes yeux, c'est déjà bien trop pour eux. « Alors, je dois t'étonner c'est ça ? » Évidemment, plus facile à dire qu'à faire, mais je trouverais, bien entendu. Mais pas tout de suite, ah ah. En premier temps, gagner du temps. Ou préparer une surprise. Qui sait, elle ne le saura pas. Je mène le jeu ce soir, et elle ne pourra rien faire, tant qu'elle ne sera pas au-dessus de moi. La connaissant, ça peut vite arriver, mais je ne la laisserais pas faire, pas ce soir, il se pourrait que ce soit le dernier ou nous serons si.. nous-mêmes, l'un envers l'autre.

   
   
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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyLun 7 Juil - 8:31




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





Le poison est une substance qui vous tue à petit feu, et qui peut vous rendre dingue complétement dingue. Alec était mon poison. Il me lisait comme un livre ouvert et pénétrer en moi en coulant dans mes veines jours après jour, nuit après nuit. Il avait cette facilité à m’avoir tout en me gardant près de lui, comme pour ne pas me livrer aux autres, tout faire pour que je ne l’abandonne pas et ne laisse pas là penaud contre le trottoir. C’était peut-être pour ça que je lui avais proposé des vacances sans trop lui demander avec moi. Je voulais partager plus que son corps, je le voulais tout entier. Lui et ses défauts, lui et ses qualités. Son romantisme et son côté sauvage, sa facilité comme sa complication. Mes ongles marquaient encore ma trace sur son corps, oh oui Alec tu es as je t’ai dans la peau il y a alors aucune raison pour que toi tu ne m’as pas dans la peau. Chaque regard soutenu que nous entreprenions nous permettait d’unir nos corps comme nos pensées. A croire que lui et moi nous étions la seule et même personne divisé dans deux corps. Il me faisait attendre pour mieux me consumait après, et même si je voulais que les choses aillent vite, pour retrouver sa peau contre la mienne, ses mains contre mon corps brûlant, ses lèvres contre les miennes, ce n’était juste pour ne former qu’un. Juste nous. Je le regardais remplit de désir, j’allais me perdre encore dans les méandres des plaisirs charnels. Je remontais doucement mes yeux pour planter une nouvelle fois mon regard contre le sien, sans dire un mot. Fais-moi attendre, Alec vas-y, je serais belle et sage, mais quand ça sera mon tour, tu me supplieras d’arrêter. Nos corps se chauffent, se retrouvent et s’écartent. Ses mains caressaient sans cesses toutes les parties de mon corps. Je déroulais mes jambes du jeune homme pour me redresser doucement contre lui. Tout en caressant son corps, j’aimais être avec lui, il me faisait chavirer. Il me donnait l’espoir que mon cœur n’était plus qu’un trou vide sans sentiments. A chaque fois que je le voyais j’avais des étoiles dans les yeux, des frissons dans tout le corps, un rire facile. Je retrouvais ma vrai moi, la vraie Charlotte. Pleine de vie, toute euphorique, tout en libérant mes envies. Je rentrerai sans lui ? Jamais. Non, Alec de Marzio, tu es rentré dans ma vie, tu as fait ton numéro de charme et ça y’a marché avec moi. Oui ça a plus que marché puisque quand je te vois, je ne peux plus respirer, je ne peux plus me retenir. Je soufflais entre mes lèvres :

J’ai pleins de raisons de rentrer sans toi.

Je pourrais lui sortir n’importe quoi, je voulais que nous jouions encore comme des enfants, comme si tout ça n’était qu’un jeu. Que chacun pouvaient déplacer ses pions tout en connaissant les coups de l’autre. J’attendais ce qu’il comptait me faire. Je n’attendais pas longtemps. Il me plaquait encore contre son corps, son corps qui était celui qui me rongeait de plus en plus. Je sentais la dureté du mur froid contre mon corps. Encore. Je savais que nous étions plus des adolescents, que nos jeux bravaient l’interdit et de la décadence. Mais je n’en ai rien à foutre. Je l’aurais. Ses lèvres contre mon cou, ne me laissent pas de marbre alors que je m’apprêtais à le toucher une nouvelle fois, il me bloquait mes mains contre son mur tout en appuyant pour me dissuader, pour me faire languir, pour me faire mourir à feu doux. Mes soupirs sont de plus en plus puissants. Chaque effleurement, chaque caresse me rendait folle. Ma robe remontée une nouvelle fois, je sentais ses doigts jouait avec mes cuisse avant de se cogner contre mon intimité. Il ne me regardait pas. S’il croyait que je n’étais pas excitée à ce moment-là il devait être aveugle. Les pointes de mes tétons se durcissaient au fur et à mesure qu’il passait son pouce contre mon intimité, mes cuisses étaient dur tant je me contractais pour ne pas lui sauter tout simplement dessus comme une sauvage. Tous mes muscles se crispaient à ses caresses. Le jeune homme n’avait pas l’air de vouloir en finir avec moi ce soir. Il lâchait mon cou tout en levant habilement une de mes cuisses. Passant mes cuisses autour de son cou. Je me mordais les lèvres pour éteindre le feu qui brûlait en moi. Nous étions en osmose, tout simplement, ce regard pervers que je connaissais si bien. Au fur et à mesure de ses baisers je perdais le contrôle libérant mes mains des siennes. Je laissais mes mains caresser son dos tout en remontant dans sa chevelure. Puis j’avais osé la fameuse phrase totalement non crédible dans la bouche d’une femme toute excitée :

Arrête.


Oui bien sûr lui s’en arrêter là ? C’est comme si je demandais à un cuisiner de ne chauffer son plat qu’à moitié. Mes paroles furent exaucée juste à temps, juste à temps où j’allais être sauvage. Je rabaissais ma robe, la lissant un peu, tout en passant ma main dans les cheveux pour me recoiffer légèrement. Je haussais un sourcil à sa remarque avant de mettre mon index contre ses lèvres. Qu’il se taise un peu, il le sait on n’est pas bon dans la parlotte, nous c’est l’action. Et ce soir je voulais lui donner les devants. Mais sans pour autant ne pas être celle que je n’étais pas je lui souriais. Avant d’enlever subtilement ma culotte, et là laisser là par terre à l’abandon. Son regard inquisiteur tel un conquistador me faisait rire :

Je n’aime pas les choses à moitié, et une culotte à moitié trempée c’est inconfortable, tu comprends ?

Vas-y Charlotte, tu veux le chauffer pour qu’il te prenne là à même le sol peut-être. Je capturais sa main à mon tour. On pourrait croire à un jeune couple qui se balade dans la rue. Je serais peut-être un peu trop sa main, comme le garder près de moi. Comme s’il pouvait s’envoler et me laisser la seule. Il devait m’étonner ce soir, et j’étais prête à ça. Alors que nous marchions comme des amants je me mettais face à lui alors que la rue était légèrement en pente, comme les petits villages italiens. Je le prenais par la chemise, dans un élan de romantisme pour le ramener délicatement à moi, avant de mettre mes bras autour de son cou et le regarder dans ses yeux bruns une nouvelle fois.

Je ne peux plus passer un moment sans toi, Alec de Marzio.

Puis sans attendre je l’embrassais, avec sincérité. Peut-être que ce soir j’allais m’ouvrir à lui comme jamais. Peut-être allais-je lui dire que je ne pouvais plus passer un instant sans le voir, sans le toucher, sans rire avec lui, sans que nous commencions des débats sans fin. Je serais d’avantage mes bras contre son cou en pensant ça. Comme pour lui faire passer un message. Cannot take my eyes off you





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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyMer 9 Juil - 18:59

« Car je suis fou de toi Una, quand tu n'm'appartiens pas. »
Alec & Charlotte

   

   
L'action. L'adrénaline. Le désir. Elle et Moi. Tout simplement des choses qui nous permettent de se sentir unis, de nous sentir un. Elle est moi et je suis elle. Nous sommes un et une seule entité qui vivons les mêmes sentiments, les mêmes émotions, les mêmes désirs profonds et pervers. Notre seul but étant de vivre l'un avec l'autre, mais ce que nous ignorons tout deux c'est que nous allons bien vivre éloigné l'un de l'autre, et pendant combien de temps ? Je n'en sais rien. Cette nuit a des allures de rêves, d'éternité, et pourtant, elle sera la dernière que nous partagerions ainsi. Autant rendre cette soirée inoubliable pour qu'au plus profond de sa haine elle puisse encore m'aimer ne serait-ce qu'un peu. La rendre parfaite, non pas seulement d'un point de vue physique et hormonal mais d'un point de vue psychologique et morale. Mais je me doutais que cela soit déjà fait, entre elle et moi, il nous suffit de peu. Nous pourrions vivre heureux et simplement à deux, nous deux contre le monde entier, cela nous semblerait amusant et un défi aisément relevable. Mais pour moi, au fond, cette soirée a limite un goût amer d'adieu, un goût que je vais garder pour moi, simplement l'oublier et penser à son bonheur, à une façon qu'elle et moi n'existons plus pour les autres mais que nous existions juste l'un pour l'autre. Mon corps contre le sien, mes mains la caressant, la tentation et le désir totalement éveillée. Nous existons, ce soir, déjà plus que l'un pour l'autre. Charlotte n'est pas le genre de femme à refréner ses envies et moi je ne suis pas le genre d'homme à calmer les ardeurs d'une femme, au contraire, je sais qu'elle en a envie et une fois que le 'mal' est fait, j'ai totalement arrêté pour éviter d'être soumis à cette reine du vice. Elle pourrait me reprendre la main si aisément mais je ne la laisserais jamais faire, pas ce soir, pas si facilement. J'ai vite compris qu'elle serait facilement sous mon joug et que je pouvais faire de cette soirée la mienne, avec elle, bien entendu, elle voulait que je la chouchoute un peu, toutes les femmes le veulent, mais sont trop fières pour l'admettre. Foutue femme, mais on ne peut pas leur en vouloir, on leur fout tellement les nerfs et tellement de pression en les faisant chier et en n'étant pas comme elles veulent que la vie rend paradoxal toutes les relations que l'on s'efforce à garder en équilibre. Je ne sais pas si entre nous il y a un quelconque équilibre à respecter, ce que je sais en revanche c'est que nous sommes tellement bien ensemble et que j'aimerais n'avoir rien fait pour garder cette tranquillité entre nous, bien évidemment, ce n'est qu'une question de temps et de bouche à oreille. En parlant de bouche, elle n'hésite pas à s'en servir, pour me faire fermer la mienne. Je regarde la dépouille de la culotte de Charlotte déposé à même le sol dû à mes caresses un peu trop malsaines pour l'équilibre mental qu'elle souhaiterait garder. « Tu voulais que j'arrête et maintenant tu me fais taire ? Pauvre culotte, tu devrais pas la laisser toute seule, qui sait, quelqu'un pourrait l'utiliser pour te retrouver et tout et tout, j'ai pas envie que quelqu'un te tue ou t'arrache à mes yeux. » Quel beau parleur, du blabla pour du blabla, mais un certain et fort attachement en réalité, un air ironique et quelque peu dramatique pour cacher la véracité de ses sentiments. Cette ruelle sombre semble être une partie de notre soirée, mais une partie qui fait partie du passé à présent lorsque nous nous retrouvâmes de nouveau parmi les gens. Seules au milieu de tous, les ennemis sont tous les mecs et les filles, je connais les penchants de Charlotte pour le sexe et ces partenaires, mais ce soir elle ne sera qu'à moi et dans un esprit machiste et conservateur je ne la veux qu'à moi. Cette nuit n'est pas fini, elle ne fait que commencer et pourtant elle n'a pas si mal commencer, alors, qu'est-ce que l'on pourrait faire d'autres ? De quoi rendre une vie monotone et dangereuse, de quoi montrer ma supériorité à ces yeux et aussi, mon goût du danger prononcé, un côté que peu de personne ont vu mais dont elle s'est déjà la présence. Je réponds tendrement au baiser qu'elle me donne et sourit quelque peu à sa 'déclaration' que je partage mais à laquelle je ne réponds pas, problème de timidité ou bien un silence pour la faire réfléchir sur mes propres sentiments et envie ? Sûrement un des deux, à elle de deviner. Je lui réponds d'un regard cependant et reprend sa main et l'attire dans la rue d'en face, empruntant le passage piéton sans attendre que les voitures soient arrêtés au feu rouge, dans un air rebelle et sagace je continue à marcher tout droit jusqu'à des terrains. Football, Basketball et pas mal de noirs et de blancs, des américains en somme. Ils jouent au soccer, et c'est marrant de les voir jouer à un jeu duquel ils ne sont pas les maîtres. Je finis par sourire à Charlotte et une fois arrivé près de l'entrée du terrain, j'ouvre enfin la bouche « Surtout, n'ai pas peur. Fais-moi confiance et.. pourquoi pas jouer le jeu. Mais si tu me rends jaloux, tu le paieras. » Dis-je en finissant d'un regard sévère.

J'attends le moment propice, celui où le ballon sortirait du terrain, ou bien arriverait simplement dans ma direction. Il finit par arriver et à moi d'interrompre la partie en rejoignant le terrain dans deux trois jongles et quelques acrobaties freestyle. Et de prendre le ballon en main. « Hey les gars.. Vous voyez la belle brune là-bas ? C'est ma copine, elle s'appelle Charlotte. Celui qui arrive à me mettre 5 petits ou grands ponts et à me marquer 3 buts, il repart avec elle. Ça vous dit ou vous avez peur d'un petit européen ? » Finissais-je avec défi et arrogance. Les américains sont souvent sensibles à ce genre de défi. Je lance un regard à Charlotte puis au peuple qui sert de public. Interrompre un match, promettre une fille à celui qui réussi à me battre. Pour rajouter un peu de plaisir je rajoute « Elle ne porte pas de culotte au fait. » Je garde un sourire arrogant et vicieux sur mon visage. Cette phrase semble avoir l'effet escompté. Quelques-uns semble avoir été émoustiller et j'espère ne pas avoir fait un peu trop le malin. Je finis par poser le ballon à terre et mettre un pied dessus.  Un jeune homme finit par arriver, un américain, blanc, plus grand que moi d'une taille. Je souris face à cet homme plus imposant que moi. D'un regard nous faisons signe que nous sommes prêts et j'avance ma main pour le lui la serrer. Une fois ma main dans la sienne je souris, monte sur le ballon des deux jambes avant de m'avancer vers lui et pendant qu'il me regarde retomber et lui faire un petit pont et de tirer dans les cages derrière lui. En pleine lucarne. Jolie. Trois buts ou 5 petits ponts. A eux de voir, et à eux de tenir. Le temps que le gars aille chercher le ballon je regarde et dit à Charlotte « Fais gaffe, ce soir tu es à moi et à aucun d'eux. » A part si elle augmente la mise, et la je saurais comment rendre les choses encore plus facile, sauf si elles les rend plus difficile, ce qu'elle ne pourrait pas hésiter à faire. Sacré Charlotte. Je ne me méfie d'aucun de ces gars et pendant que je la regarde un afro-américain a pris le ballon et m'a tirer au-dessus de la tête, directement dans les cages. Jolie, belle frappe. « Jolie coup, c'est toi le prochain ? Il a déjà abandonner ou c'est ton petit copain que tu viens secourir ? » Du foutage de gueule en bonne et due forme, mais assez ri, il est grand, rapide et m'a l'air coriace. Je vais rapidement chercher le ballon et de nouveau au centre, je fais mine de dribbler avant de faire une feinte de frappe, me décaler et tirer tel un coup franc au-dessus de tous les mecs et retirer dans la même lucarne. Hilarant, marrant. A lui de jouer et je sens qu'il va autant s'amuser que moi.

   
   
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MessageSujet: Re: Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) EmptyJeu 10 Juil - 15:42




Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_lu8r4fqQgp1qicibqo1_500 Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot) Tumblr_mt95jhs5uO1r7ksqyo1_500

Le seul moyen de se délivrer

d’une tentation


C’est d’y céder



Avec Alec F. M. de Marzio





Du romantisme ? Etais-je devenue avec lui une femme romantique, qui quand elle voyait son objet de tous ses désirs s'éloignait se rendait compte qu'il comptait pour elle ? Alors j'étais romantique. Je ne voulais pas le laisser à quelqu'un d'autre, ni le partager. C'était comme si je laissais un bout de moi m'échapper. Je ne voulais pas que ces moments avec lui s'arrêtent je voulais être à lui comme je voulais qu'il soit avec moi. J'étais faible face à lui, faible de ressentir autre chose que du désir pour lui. Ressentir des choses qui dépassaient la simple amitié ou l'attirance. J'étais trop fière pour lui dire que je ressentais quelque chose pour lui de plus fort. Je ne savais qu'il était celui qui avait harcelé Lysa, celui qui lui avait fait peur sur ce toit. Non tout ça je ne le savais pas et je ne savais pas encore comment j'allais agir en l'apprenant. Je ne pourrais tout simplement pas le lui pardonner. Lui pardonner de s'être foutu de moi et même servi de moi pour l'approcher. Lysa n'était pas ma meilleure amie mais elle était la sœur de Livia. Je ne voulais pas que Livia souffre d'avantage, je ne voulais pas qu'on prenne la tête à Lysa déjà qu'elle avait Xavier dans ses pattes. J'étais celle qui attirait tous les mauvais hommes tous ceux qui faisaient souffrir les femmes. J'étais peut-être qu'un aimant à hommes problèmes. Je ne voulais pas le perdre et même si j'apprendrais que le jeune homme ai fait toutes ces choses là je ne pouvais pas vivre sans la moitié de moi-même. Revenons au présent et non dans le futur j'avais laissé ma culotte là à terre à la merci de tous. La remarque d'Alec me faisais rire. Quel imbécile celui-là un vrai rital et beau parleur. Je lui taper dans l'épaule avec ma force de moineau. Nous marchions dans les rues tels des amants. J'étais peut-être une femme volatile, infidèle et libertine. Mais quand j'avais l'objet de tous mes désirs à mes côtés tout ça n'était que du flan et du vent. C'était peut-être pour ça que je l'avais ramené à moi encore une fois pour l'embrasser et lui faire cette déclaration qui n'en était pas une. Je m'attendais à une réponse, un acte de sa part. Mais rien juste un regard et son sourire de ses fines lèvres. Je me pinçais les lèvres légèrement déçue, peut-être ne partageait il pas ce que je ressentais. Puis nous traversons la ville de part et d'autres je ne savais pas où il m'emmenait mais j'allais le suivre jusqu'au bout de la nuit. Arrivant devant un terrain de sport dans un silence je remarquais son sourire avant de me lâcher la bombe. Je tenais sa main encore plus fermement en remontant l'arrête de mon nez de mécontentement. Je me mordais la joue agacée entre sa non déclaration et le fait de ne pas savoir ce qu'il m'attendait. Je me tournais cependant face à lui en le regardant du coin de l’œil.

Je le payerais alors .

J'avais dis ça dans un sourire et rire taquin. Je regardais le match de soccer devant moi ne comprenant rien aux règles du jeu ni à son fonctionnement. La main d'Alec me quitta pour le voir s'aventurer dans le terrain. Oui je voulais qu'il m’impressionne, mais pas qui m'abandonne. Nerveuse je levais les yeux aux ciels en mettant une cigarette aux lèvres que j'allumais nerveusement. Les jambes tremblaient de froid et d'impatience, puis Alec se décida à ouvrir sa gueule. Quoi ? Il m'offrait comme ça tel un morceau de jambon de pays à des espagnols ? Je pris une trop grosse latte qui entama presque toute ma cigarette. Je n'avais aucune envie de partager ma nuit et mon corps avec un autre homme que lui. Mais bon il m'avait dit de jouer le jeu, alors je le ferrais. Juste pour m'amuser un peu. L'incompréhension était partie face au jeu. Quand il disait que je ne portais pas de culotte je remontais ma robe largement laissant la naissance de mes cuisses à nues tout en me mordant la lèvre. Quoi moi une chaudasse ? Pas du tout. Le jeu avait commencer Alec et le jeune américain commençaient à jouer, plus les américains commencer à prendre la main plus je relevais ma robe, ou descendait une bretelle. But d'Alec. Je n'étais pas cheerleader alors je ne l'applaudissait pas je le ne quittais pas des yeux simplement. Sa remarque me rassurait ne disais oui de la tête pour lui faire comprendre surtout qu'il n'avait pas intérêt à me perdre. Sinon plus jamais il ne me reverrait. Au bout d'un moment rester comme une cruche m'agaçait. et je voyais les jeunes hommes devenir de plus en plus fort. Oh non je n'allais pas laisser Alec m'échapper un peu plus chaque minutes. Après le coup de franc le ballon retomba à mes pieds. Je regardais Alec avec un air de défi, et de désir à la fois avant d'applaudir assez fort dans mes mains afin que tous les hommes se retournent vers moi. Je disais alors d'une voix assez grave et conquérante :

Bon, vu qu'on m'offre, moi aussi je veux jouer.

Malgré mes talons hauts, je marchais fière et féline vers tous ses hommes. Pas que je n'aime pas les gang bang mais je n'étais pas là pour ça. Je lançais un regard noir à Alec pour se stress qui me faisait endurer avant de prendre en chasse un jeune homme bien trop grand pour moi. Face à l'américain je lui souriais tout en m'approchant de lui laissant un doigt glisser sur son torse avant de lui chuchoter à l'oreille en faisant en sorte que personne n'entende sauf le jeune homme :


Tu me laisses gagner et toi et tes copains je vous présenterai mes copines, puis tu sais mon petit-ami est très violent il a déjà tuer des gens, je ne voudrais qu'un aussi bel garçon meurt.


Les yeux du jeune homme s’écarquillaient et il hochait de la tête. Facile comme marché. Alec tu as perdu, face à ma provocation. Je laissais le ballon atterrir à mes pieds, tout en déposant un baiser au coin des lèvres de l'américain pour rendre fou mon Alec, le mien. J’enlevais mes talons délicatement pour les jeter loin de moi. Puis je me tournais face à Alec en me mordant la lèvre avant de lui dire de façon sévère :

Bon, je vois qu'aucun homme ne me veut ici, c'est simple si je gagne je repars avec mon petit ami, si je perds je promets à chacun d'entre vous un moment avec moi.

J'aurai pu dire n'importe quoi j'allais gagné et l'américain contre lequel je jouais me faisait un clin d’œil presque comme pour me rassurer car bon face à une vingtaine d'homme j'aurai été morte. En quelques secondes j'entamais la moitié du terrain courant à toute vitesse, l'homme faisait semblant de me contrer pour faire croire qu'il essayait de me battre puis d'un coup un peu délicat mais ferme le ballon entrait dans les cages. Un rire de satisfaction se faisait entendre dans ma gorge, avant de marcher à toutes allure vers Alec qui me regardait de son regard noir, loin du terrain il devait sûrement me maudire à ce moment. Je me vengeais pour le stress qu'il avait pu me causer. Quelques mètres avant d'arriver à lui mon allure était encore plus rapide comme pour prendre de l'élan. Mais non, je me mettais à quelques centimètres de lui reprenant ma respiration, tout en levant mes yeux doucement contre ceux du jeune homme

Je ne voulais pas prendre le risque de ne pas être avec toi ce soir.

Encore une autre déclaration qui allait aller dans le vent comme la précédente mais sans le laisser me répondre je l'embrassais avec une telle envie que personne ne pouvait me stopper, ma main contre son visage qui le caressait? Je capturais sa lèvre inférieur entre mes dents pour le punir de m'avoir laissé.

Encore un truc comme ça et tu ne me revois plus.

Puis je me reculais et je marchais loin de lui, pour récupérer mes talons sans le regarder. A lui de voir. Soit il me faisait sienne ce soir, soit il allait jouer avec d'autres, mais s'il me veut, il va devoir me mériter. Même si j'étais faible à cause de mon désir pour lui je pouvais me retenir aussi longtemps qu'il le faut.




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Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder(hot)

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