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Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances.

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MessageSujet: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyDim 13 Avr - 21:33


     
Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances.

     
     
Roman&Jules ⊹ Elle est parfaite. Il suffit de voir ce sourire d'une innocente splendeur pour comprendre qu'elle l'est vraiment. C'est un diable se cachant derrière ce magnifique visage de poupée. Une beauté d'une splendeur sans égale et qui me bouleverse à chaque fois que mon regard se pose sur elle. Jules elle paraît fragile et pourtant elle est l'une des personnes les plus confiantes en elle que je connaisse. Elle est loin d'avoir froid aux yeux. Elle mène son monde d'une main de fer et malgré sa petite taille, elle pèse plus lourd que tous les grands noms de cette université. C'est comme ça qu'on la remarque vite. Ce n'était pas seulement ses talents de sportives qui m'avaient intéressé chez elle, ou ses sourires faussement touchants qui décelaient des pensées malsaines à souhaits. Non. C'était cette manière d'attirer les gens, d'arriver à les séduire sans aucune difficulté. Elle savait comment faire pour que les gens lui mangent dans la main. Une silhouette enfantine mais d'une beauté troublante. Non, Jules, on aurait pu croire qu'elle était d'une naïveté touchante mais en faîtes, c'est une diablesse. Une de plus et pourtant une des plus uniques. Elle m'avait captivé. Mais le temps avait passé. Effacé toutes mes idées préconçues sur elle. Avait libéré quelques unes de mes idées obscènes envers elle et j'avais profité particulièrement des moments passés ensemble. Mais fallait-il rappeler que le passé nous condamnait à le répéter sans cesse malgré nos envies d'évasion et d'avancer ? Prendre des chemins différents, changer de vie, d'envies, de désirs. Non. Moi j'avais fait le choix de revenir aux sources. De retomber sous le charme de la dulcinée que j'avais tant appréciée voir et revoir encore et encore dans des lieux plus insolites les uns que les autres. Comme si ça avait été le destin après tout. Comme si nous étions liés inexorablement. Aujourd'hui j'entrevoyais sûrement pourquoi nous n'avions cessé de nous croiser au cours de notre vie. Je nouais ma cravate autour du col de ma chemise, les doigts crispés sur le tissu, l'air encore plus agacé que d'habitude. A l'extérieur, ma mine est froide et austère mais c'est une habitude que j'ai pris. Cette manie de sembler si nonchalant. Mais à l'intérieur c'est pire. Je ne respire pas le calme non. Je gronde. Parce que Jules ne joue pas son rôle comme je l'aurais espéré. Parce qu'en plus de devoir réprimer mes envies de rendre une visite à Camélia, je dois aussi la faire filer droit. Cette situation m'exaspère. Elle me paralyse et me piège. Parce que je n'ai plus mon indépendance. Mais le business est le business et je pouvais tomber plus mal. Sur l'une de ces potiches que j'avais déjà mis dans mon lit ou une actrice qui aurait joué à merveille avec les objectifs braqués sur elle. Mais non. Je m'en serait trop vite lassée. J'aurais mal joué le rôle du petit ami complètement sous le charme. Avec Jules au moins, on avait de la matière malgré nos incessantes remarques essayant de se déstabiliser l'un l'autre. Ce soir était encore l'un de ces soirs où je me disais que ça allait péter entre nous. Mais à savoir qui de l'un ou l'autre n'allait hausser le ton le premier. Un jeu incessant du chat et de la souris pendant que l'on souriait comme jamais devant les caméras tournées vers nous. Elle était très douée pour faire semblant. Même bien plus que moi. Elle m'impressionnait c'était vrai et elle jouait à merveille. Pour ma part je n'avais pas besoin de faire grand chose. C'était une situation que j'avais déjà vécu avec Jules. Sauf qu'aujourd'hui tout était faux. Une banale machination comme on le faisait que trop souvent dans notre monde. Mais on accepte sans broncher parce que ça rapporte gros. Je regarde la vue qu'offre le Palace Hôtel d'un oeil désintéressé tout en me demandant combien de temps encore, va mettre Jules pour se préparer. Je trépigne d'impatience à cause de ce fameux moment au restaurant où son regard n'a cessant d'éblouir le serveur qui se sentait sûrement plus qu'en veine ce soir là. Mes sourcils se froncent et finir par abandonner le nouage de ma cravate suite à mon énervement passager. Je la jette sur l'immense sofa qui trône au milieu de la chambre d'hôtel que j'ai réservé, immense et puant le luxe à souhait et avance vers la grande baie vitrée. Les lumières de SF dans la nuit ont quelque chose de rassurant, de très plaisant à mon regard et j'avoue pouvoir m'y perdre. Dans mes songes, je n'aperçois pas Jules sortir de la salle de bain. C'est son reflet sur la vitre qui me fait face qui me fait comprendre qu'elle est derrière moi. Je me retourne enfin avec une extrême lenteur cachant bien le ton impertinent que j'aimerais employer. Mais je reste d'un calme olympien, le regard plus hautain qu'à l'ordinaire lorsque je m'adresse à elle et tout en la dévisageant, je ne peux m'empêcher d'apprécier la vue. Elle est sublime ce soir. Elle a mis le paquet. Essayerait-elle de rattraper son comportement du début de soirée ? J'en doute fort. Tout en refermant mes boutons de manchette je daigne enfin lui parler. T'es sûr que t'as envie de venir ? J'ai l'impression que t'avais une touche avec le serveur. Ce serait bête de manquer ça. Je m'avance enfin vers le minibar sans m'occuper outre mesure de sa réponse et lui tourne le dos pour attraper une bouteille d'eau que j'ouvre. Je prend une longue gorgée et me retourne enfin vers elle, le regard sombre plongé dans le sien comme pour la provoquer de son audace ...


     
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyDim 13 Avr - 22:40

YOU HAVE TO LEARN THE RULES OF THE GAME. AND THEN, YOU HAVE TO PLAY BETTER THAN ANYONE ELSE. Elle fredonne une musique qu'elle a entendu plus tôt dans la journée. Ses mains jongles avec ses cheveux puis elle les laisse retomber le long de ses frêles épaules. Elle se trouve belle ce soir, comme toujours, mais particulièrement dans cette robe qu'elle a spécialement acheté pour la soirée et qu'elle ne portera surement plus jamais. Elle la renverra à Los Angeles pour que la bonne la range avec le reste de ses robes si uniques à ses yeux. Parce que chaque vêtement est un moyen comme un autre d'exposer le pouvoir que l'on exerce sur les autres. Le charme, la démonstration, c'est des les premières secondes que l'on voit si une personne sera à la hauteur ou non, on le voit dans sa façon de s'habiller, puis dans sa gestuelle et enfin, dans son regard. Depuis le temps qu'elle s'en amuse, Jules sait manier à la perfection ses atouts qui sont son sourire et sa merveilleuse capacité à s'adapter. Soirée mondaine, caritative, diner en famille, pour chaque occasions, elle sait comment se comporter et ce soir, bien qu'elle n'ai pas spécialement envie de tourner en rond, perchée sur ses hauts talons, elle allait être la plus irréprochable des fausses petites amies que l'on ait pu créer. Pendant quelques heures, elle allait feindre un bonheur indicible au bras de Roman qui était, au fil des semaines, devenu bien plus que la deuxième partie du mensonge: son amant. A défaut de ne plus pouvoir s'amuser avec les autres, elle en profitait avec lui et lui faisait payer le faite qu'elle ne puisse plus partager le lit de certains hommes. Et c'est ce qu'elle avait fait cet après-midi, au restaurant, en se lançant dans un jeu de regard avec l'un des serveurs. Le pire c'est qu'il y croyait dur comme fer. S'il la connaissait vraiment, il saurait que Jules ne joue jamais avec les roturiers, elle préférait les hommes comme Roman, le pouvoir dans les mains, sûr d'eux avec une touche d'orgueil. C'était bien plus amusant. Elle repose le tube de son rouge à lèvre Chanel près du miroir, pince sa bouche et finit par sortir, faisant claquer ses talons sur le sol. Son sourire se dessine quand elle voit Roman se débattre avec sa cravate et la jeter un peu plus loin. Après tout ce temps, il était toujours incapable de la faire lui même. Elle lui sourit, le regard provocant. Il lui tourne le dos mais son sourire reste figé sur ses lèvres. « Je suis bien obligée de venir, t'es déjà incapable de mettre ta cravate tout seul, qu'est-ce que tu feras sans moi ce soir? Je te suis in-di-spen-sable. » Elle accentue chaque syllabes pour lui montrer à quel point elle s'amuse de la situation. Elle s'approche doucement de lui et posant doucement sa main contre son bras et le tourne légèrement vers elle. Sans plus attendre, elle passe le bout de tissu qu'elle détient dans ses mains autour de son cou et commence à faire un nœud. Elle avait l'habitude de le faire à son père avant chaque grande soirée, c'était un peu devenu leur truc à eux, c'était comme pour lui souhaiter bonne chance. « Je suis belle dans ma robe? Elle fait assez "je suis une sainte-nitouche qui se fait baiser par tout le quartier mais qui le cache au bras de l'homme le plus orgueilleux de la soirée"? » C'était un pic comme un autre, il était habitué à présent, il savait que Jules adorait provoquer, encore plus si cela pouvait le mettre en danger. Parce qu'elle avait prit l'habitude de le faire chanter, d'essayer de se mettre dans une position confortable, de le mener par le bout du nez. C'était à celui qui allait le plus faire chier l'autre et il faut dire, ils étaient très bons tous les deux. Mais Roman avait bien plus à perdre qu'elle dans cette histoire parce que même si elle y trouvait son compte, Roman jouait son entière réputation dans ce faux couple qu'ils formaient. Elle finit par serrer sa cravate autour de son cou un peu trop fort et se retourne, se laissant tomber dans le canapé. « Je sens que je vais m'emmerder ce soir. C'est pour quoi déjà? Te féliciter d'avoir créé le plus vendu des magasines de cul? A mon avis, les petits vieux vont aller se toucher dans les chiottes si jamais y a des photos qui circulent. »
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyMer 16 Avr - 22:05


   
Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances.

   
   
Roman&Jules ⊹ Je ne me lasse pas d'apprécier la vue qu'offre San Francisco en pleine nuit du haut du dernier étage du Palace Hotel. Une chambre que je réserve souvent. Très souvent. Des fois pour même y rester seul. Parce que c'est un plaisir de pouvoir être seul certaines fois, de profiter d'un moment privilégié, de s'évader de toute cette attention permanente bien que je ne m'en lassais jamais. Mon regard reste braqué sur les immenses lumières qui illuminent l'horizon de mille couleurs mais ce qui m'éblouis encore plus est la tenu de Jules lorsque je me retourne vers elle pour l'observer. Son entrée est chronométrée au plus haut point. Ses talons vertigineux claquent sur le sol d'une manière impérieuse et son regard n'en montre pas moins. Elle sait qu'elle a du pouvoir. Elle sait qu'elle est désirable. Encore plus quand on sait que dorénavant, elle est la seule femme qui doit compter à mes yeux. Cette petite mascarade me gênait énormément. Pour beaucoup. Pour tout en faîtes. J'étais un Don Juan. De ceux qui n'ont qu'à jeter son dévolu sur n'importe quelle fille pour qu'elle tombe dans mes bras. Pas besoin d'un mot ni d'un sourire. La plupart des femmes me prenaient comme fantasmes alors j'avouais être plutôt embêté de devoir me restreindre à présent au sein de mes liaisons plus que tumultueuses. Alors je faisais avec mais ne pouvait m'empêcher de passer autant de temps avec une femme sans tenter quelques bassesses de mon gabarit. Je n'arrivais jamais à résister à une belle femme et Jules étaient l'une des plus belles créatures que j'avais rencontré à Berkeley, depuis mon arrivée. Ce qui remontait tout de même à quatre longues années d'une succession de conquêtes. Il y en avait très peu dont je me rappelais. J'étais même presque persuadé qu'il suffisait que je marche dans les couloirs de l'université pour une snober plusieurs sans imaginer une seule seconde avoir coucher avec. Mais pourquoi me plaindre ? Après tout, Jules avait accepté la supercherie. C'était elle qui devait sûrement être le plus embêtée et pourtant, c'était souvent moi qui affichait cet air renfrogné qu'elle venait soulever d'une remarque acerbe pour me rappeler quelle était notre place à chacun. Toujours est-il que j'avais profité de me retrouver souvent en sa compagnie pour venir apprécier plus que la paume dans sa main dans la mienne ou la courbe de son dos que je frôlais à chaque fois subtilement devant les photographes. Autant profiter des avantages que je pouvais avoir avec Jules si je ne pouvais plus jouer au Da Russo. Mais je ne profitais pas seulement de ses courbes divines mais aussi de ses coups de gueule à répétition. Parce qu'il y en avait plus qu'une. Nous  étions obligés de nous sauter à la gorge dès que possible. C'était limite anormale si cela ne se produisait pas au moins une fois par semaine. C'était comme deux éléments totalement contraires qui s'entrechoquaient avec force et qui finissaient par exploser au bout d'un moment au contact de l'autre. Je ne disais pas que nos disputes ne finissaient pas au lit, encore plus fougueusement que nous aurions pu le faire sans une bonne dispute avant mais il était vrai que nous n'avions pas notre pareil pour se sauter au visage. Je me disais qu'avec l'humeur que je dégageais, j'étais presque sûr que nous n'allions pas faire que semblant d'être un couple ce soir. Elle s'avance vers moi et malgré son air de petite princesse vint me rabrouer avec une voix froide et sans égale. Je ne peux pourtant pas m'empêcher d'esquisser un sourire face à son ton bien que ses remarques ne me plaisent guère. Je savais nouée une cravate avant même de faire mes lacets. Et les personnes indispensables n'existent pas, tu devrais le savoir. Malgré mes provocations et mon regard glacial, mon ton est mielleux. D'un air de ne pas vouloir vraiment attiser la flamme qui s'allume entre nous même si ce serait avec un grand délice que je la verrais s'enflammer comme un brasier impossible à contrôler. Et puis, la connaissant assez pour savoir que nous partageons une grande partie de nos idéologies, elle sait pertinemment que nous détestons nous savoir attachés à qui que ce soit. La laisse autour du cou, c'est nous qui la mettons. La porter ? Oh grand jamais. Alors même si elle m'est très utile, j'avouais ne pas apprécier qu'elle émette à voix haute qu'elle me faisait une grande faveur en m'accordant sa compagnie pour une durée indéterminée. Mais elle ne peut s'empêcher de me faire rire par sa remarque et je la détaille de haut en bas en prenant bien soin d'admirer son décolleté puis ses joues rosés par le blush. Elle est très belle effectivement. Une beauté que j'aurais même envie d'enlever pour passer une nuit ailleurs que jucher sur nos grands airs, à observer d'une impertinence rare, les photographes qui ne cesseraient d'hurler sur notre passage. J'hausse un sourcil, serait-ce flatteur d’acquiescer à sa remarque ? Peut-être pas. Mais ce que j'aime le plus chez Jules c'est sa franchise légendaire dans n'importe quel moment. Elle est déstabilisante. C'est ça que j'aime chez elle et notre duo, lorsqu'il n'est pas en proie aux cris et aux prises de tête, nous sied à merveille dans les soirées mondaines, lorsqu'il est question de jouer au couple le plus détestable et enviable de la soirée. Nos paroles sont tranchantes, blessantes et humiliantes. Avec nous, ça passe ou ça casse. Disons juste que les hommes de cette soirée auront bien du mal à garder leur braguette fermée. Une manière comme une autre, sans aucune subtilité, de lui dire qu'elle est plus que désirable malgré ses airs de sainte nitouche comme elle employait si bien le terme. Elle finit par s'écrouler sur l'immense sofa en cuir blanc du salon et je ne peux m'empêcher de passer un doigt dans le noeud de ma cravate qu'elle a serrée avec tant de vigueur que je manque à un moment de lui rappeler que je n'ai pas l'envie de passer au bleu durant une soirée qui m'est réservée. Je m'approche d'elle pendant qu'elle rumine. Elle semble lasse de tout. En même temps lorsqu'on vit dans notre monde, plus aucune grande soirée n'a d'importance à nos yeux. Elles défilent et se ressemblent toutes. Je m'approche d'elle et me penche sur son corps pour venir presque m'y coller avec un certain régale. Peut-être que c'est ce que les gens font à tes goûters d'anniversaire mais à mes soirées, les gens semblent un peu plus respectables, tu m'excuseras. Que je suis d'une humeur de chien ce soir. Et pourtant c'est tout avec un beau sourire que je ne peux m'empêcher de passer une main le long de sa taille comme si je pouvais tout me permettre à ses côtés. Ce soir on fêtait les quatre ans de l'ouverture du magasine et autant dire qu'à 24 ans c'était comme qui dirait un exploit que Forbes ne manquait pas de signaler dès que possible. Je commence à m'approcher de la bouche de Jules. J'essaie d'attiser l'envie chez elle et je suis expert en la matière. Mais alors que je vais, semble t'il, y déposer un baiser, je m'écarte alors comme si une idée venait de me passer par la tête. Je suis pas sûr que tu mérites vraiment mon attention ce soir. Moi qui retournait la situation alors que c'était encore moi qui avait besoin d'elle ? Improbable et pourtant ... Et pourtant j'étais loin d'être tout blanc dans cette histoire et la provoquait tout de même. Pourtant, elle semblait en tout point parfaite lorsqu'elle jouait ce rôle.


   
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyJeu 24 Avr - 12:15

YOU HAVE TO LEARN THE RULES OF THE GAME. AND THEN, YOU HAVE TO PLAY BETTER THAN ANYONE ELSE. Cette relation est malsaine. Il n'y a rien de bon et de beau entre eux. Ils pourraient totalement se détruire, s'anéantir, mais il y avait un avantage à partager un tel secret avec quelqu'un qui est comme nous, on sait déjà à quoi vont ressembler les prochains coups, les prochains mots et on peut aisément les éviter et les dévier. Roman était comme son alter-ego. Bien qu'ils soit différents sur certains points, leur ressemblance était flagrante, même pour ceux qui ne les connaissait pas réellement. Ils y trouvaient des intérêts personnels. Malgré ce self-control sans pareil, on sentait la tension monter. Il semblait légèrement en colère et ça lui donnait plus envie de rire qu'autre chose. Elle s'amusait de la situation. Elle aimait que tout soit sous contrôle et elle avait l'impression de mener la danse même si elle se doutait qu'il se préparait à riposter. « Ah parce que tu n'avais pas de bonne pour les faire? Le mythe s'écroule. » Elle hausse les yeux aux ciel, un sourire aux lèvres. C'était à celui qui allait le mieux exploiter l'autre. Elle avait de quoi faire avec lui. Peu adepte des magazines peoples, sauf quand ils parlaient d'elle, elle avait quand même entendu parlé de lui et puis ils étaient sortit ensemble, elle le connaissait. Peut-être même mieux que certaines personnes. Dans le passé, ils avaient ressentit un certains attachements pour l'autre. Ce n'était pas très fort, mais au moins, ça avait le mérite d'être vrai contrairement à aujourd'hui où il jouait merveilleusement bien le jeu du faux couple. On les enviait, on les détestait, mais on parlait d'eux. Beaucoup voulait leur ressembler, vivre une telle histoire, être aussi connus. Malheureusement, ce genre de rêveries étaient réservé à la classe moyenne et les autres. Ils n'avaient rien à envier à personne parce qu'ils avaient tout ce qu'ils souhaitaient, à quelques détails près. « Je sais que tu me trouves belle. Je le lis dans tes yeux. » Elle s'est finalement laissée tomber dans le canapé. Même si elle avait accepté de venir ce soir, elle n'était pas ravis de devoir se montrer. Elle adorait jouer, c'était son passe-temps préféré, mais elle n'était plus d'humeur à faire son discours de petite amie comblée. Elle n'avait pas envie de faire d'efforts et cela se lisait sur son visage. Si certains voit en ces soirées un grand bal, un moyen de faire partie de la société, d'être avec les plus beaux et les plus grands, Jules y voyait un grand ennuie. Elle en a fait des tonnes comme ça, et si tous les regards n'était pas posés sur elle, ou si les longues tirades n'étaient pas en son honneur, elle n'était pas intéressée. Pourtant elle avait promis à Roman et bien qu'elle soit parfois peu respectable, elle respectait toujours les paroles qu'elle faisait. Très peu digne de confiance, elle tenait à toujours honorer ses promesses. Les bras en l'air au dessus de sa tête, presque allongée, elle le voit s'approcher d'elle et littéralement se coller à elle. Un sourire se dessine sur ses lèvres et elle hausse les sourcils en se demandant ce qu'il allait faire. Elle écoute ses paroles et ne peut s'empêcher de rire. Sa provocation n'avait aucune limite. Il aimait jouer. « Aussi respectable que toi. » C'était ironique. Bien sûr, il se la jouait droit, homme de parole, rangé et respectable mais c'était un beau tissus de mensonges. Ses plsu proches collaborateurs l'avait poussé à sortir avec Jules dans le seul but de redorer son image d'homme à femme. Si le monde apprenait que Roman se tapait toutes les femmes victimes d'un grand mal être ou encore les éternelles rêveuses qui pensent qu'elle pourront le changer, sa carrière prendrait vite fin. Car malgré son assurance sans limite, il semblait bien perdu le Da Russo. Sa bouche frôlait la sienne, leurs souffles  s'accordaient et se mélangeaient jusqu'à ce qu'il se relève brusquement. Elle sourit et laisse tomber sa tête en arrière. Il feint un désintérêt total, mais elle était persuadée qu'il lui suffisait de poser ses lèvres sur les siennes pour qu'il succombe. Il avait tendance à oublier qu'il avait plus besoin d'elle que l'inverse mais elle aimait le voir aussi confiant, c'était encore plus jouissif de le voir redescendre sur terre.  « Si c'est le cas, je peux donc rester ici alors. » Bien décidé à lui faire dire ce qu'il ne veut pas, elle se lève et fait passer ses cheveux sur le côté. Elle enlève ses chaussures et se tord le pied. Elle feint un soulagement puis s'approche de lui, un sourire aux lèvres et le regard innocent.  « Dis que tu as besoin de moi. » C'est un défi qu'elle lui lance. Ose ne rien répondre et je reste ici, mais si tu avoues que je te suis indispensable, je te le rappellerais toute ta vie. Elle était insolente. Elle n'avait aucune limites. C'était plus drôle de souffler le chaud et le froid avec Roman. Il allait perdre la tête avec elle.  « De toute façon je n'avais pas envie de venir, je vais peut être aller faire un tour dans un bar et trouver quelqu'un qui me traitera comme une reine. » Jules? Dans un bar? C'était la plus grosse blague du monde. Elle ne boit pas. Il lui arrive de se promener avec une coupe de champagne dans les mains et d'en verser la moitié dans les plantes ou dans le jardin pour faire semblant de participer aux festivités. Elle le poussait simplement à bout. C'était son but. Le faire craquer, et elle était prête à tout. « Alors? »
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyLun 5 Mai - 21:36


   
Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances.

   
   
Roman&Jules ⊹ Elle seule à présent pourrait détenir un pouvoir qui pourrait me mettre en déroute. Celui de pouvoir contrôler ma vie en un claquement de doigt. De dévoiler à la presse que nous ne sommes ensemble que pour un arrangement sordide qui règlerait pas mal de mes problèmes dans le monde du business. Mais d’un côté, elle ne pense pas à tout ce que cela pourrait lui apporter à elle aussi. Lorsqu’on vient d’un certain milieu, plus l’on se montre aux côtés d’un beau parti, plus les gens, sponsors et autres grandes personnalités auront matière à se dérober devant nous et crier nos louanges dans les magazines. Et qui dit étalement de nos qualités et de nos personnalités dit forcément publicité gratuite et un max de billets verts à la sortie. Plus que ça, on faisait tant parler de nous dorénavant que c’en était très plaisant de voir tous les partenariats et nouvelles possibilités qui s’ouvraient à nous. Notre célébrité n’était pas à refaire. Je venais d’une des plus grandes familles de ce famille, l’une des plus riches et étaient l’un des plus jeunes nouveaux américains à atteindre le classement Forbes grâce à une société que j’avais monté par moi-même lorsque mon ambition se situait elle aussi, au top classement. A seulement vingt ans. Mais aujourd’hui ce succès et cet incroyable éclair de génie ne faisait plus parler de la même manière. C’était du déjà vu maintenant. Les gens voulaient du nouveau, du neuf. Ils avaient les yeux brillants d’excitation lorsqu’on leur parlait de ce genre de projets et lorsqu’ils étaient enfin mis en place, ils tournaient le regard pour apercevoir peut-être quelque chose de neuf et d’encore plus fou. Alors je lui offrais un peu plus en vendant un couple de rêve grâce à la charmante Jules que j’avais déjà fréquenté par le passé et qui avait été des plus biens vus lorsqu’elle avait été aperçue à mon bras la toute première fois des années en arrière. Renouveler l’expérience faisait penser à un conte de fée. Les gens rêvaient devant cette idyle parfaite, ça faisait forcément vendre notre image et c’était bon pour notre business à tous les deux. Mais bien sûr, elle n’admettrait sûrement jamais que toutes ces manigances l’arrangeaient bien qu’elle n’avait pas besoin de ça, tout comme moi, pour réussir dans la vie. Mais j’avais de grands rêves et plus je poussais plus j’avais besoin de plus et elle était la perle rare pour m’obtenir le sommet des cieux. Contrairement à ta petite vie d’assisté, j’aimais l’idée de pouvoir faire les tâches les plus primaires par moi-même. Bam dans tes dents. Et pourtant un vrai menteur et de plus, démasqué d’avance si je voulais lui faire croire une seconde que je n’avais pas abusé encore et encore des plaisirs que m’offrait l’assistance régulier de ces femmes et hommes qui n’avaient dans la vie, que l’envie de céder à nos moindres caprices. Et j’en avais abusé encore et encore sans aucune retenue parce que je le pouvais. Pourtant, malgré ce que pouvait penser Jules, je mettais souvent fait réprimander par mon père étant plus jeunes lorsque j’abusais tel un enfant pourri gâté, ne voulant même pas mettre ses chaussures tout seul. Mais lui rappeler que je pouvais la rabaisser à tout moment et jouer au même jeu qu’elle était un délice dont je ne pouvais évidement pas me passer et il était clair qu’elle non-plus. Et puis Jules elle montre une confiance en elle telle que j’en connais pas beaucoup. C’est cette assurance qui défiait les foules qui m’avaient plu et qui m’avait clairement montré qu’elle serait parfaite à jouer la fausse petite-amie éprit de moi. Et puis ce n’était pas comme si on cachait l’ambiguïté qu’il y avait entre nous ou qu’il n’y en avait aucune. Ca aurait été se mentir que dire qu’on ne voulait pas profiter un peu de cette situation pour se retrouver que d’avantage. Elle était plaisante à regarder, elle avait totalement raison et le mascara appliqué sur ses cils n’agrandissaient qu’encore plus un regard assombrit par les touches noirs qu’elle avait posé méticuleusement sur ses paupières. Oui elle était belle mais après tout, elle ne semblait pas attendre le moindre acquiescement de ma part puisque sans un regard vers moi, elle s’écroulait sur le canapé et je ne pouvais que la rejoindre parce que oui, elle me donnait envie. Elle était désirable ainsi et cette relation était tellement étrange que ça en devenait encore plus jouissif de profiter d’elle dans ce genre de situation. Je tente l’improvisation, joue avec elle comme le plus parfait des salauds et me redresse enfin quand la tension est trop palpable pour que je la fasse continuer. Son regard semble se montrer impatience et une nouvelle lueur mauvaise s’y allume. Si bien que je ne peux m’empêcher de me dire qu’elle a de nouveau quelque chose en tête et que je risque de le regretter. Ou peut-être pas. Comme si je pensais qu’elle allait docilement se laisser faire devant mes provocations insatiables ? Ca aurait été la sous-estimer et ce n’était en rien mon attention. Elle se redresse et tente d’enlever ses hauts talons. De suite elle semble plus petite, plus frêle et pourtant mes idées envers elle, n’ont aucunement changées. Arrête de prendre la mouche, on dirait une enfant. Roman il serait à battre dans ces moments-là. Je jouis d’une assurance sans faille et en joue tellement que je la provoque pour la pousser à bout parce que traiter une femme de gosse, en plus avec un tel caractère c’est sûrement suicidaire. Mais je le suis. Je fonce tête la première parce que j’affiche une suffisance qui ne s’est pas faîtes par le saint esprit. Et puis là, ses paroles sont de trop. Que j’ai besoin d’elle ? De cette manière ? Là, alors qu’elle me le demande avec un regard malicieux et ce sourire carnassier ? Aucune chance. Ce serait lui apporter trop de crédit bien qu’elle tient une importance cruciale dans ma vie aujourd’hui. Oh que oui elle le sait. Dans tes rêves Jules. J’ai parlé d’une voix calme mais qui semble sans appel. Je ne veux clairement pas lui faire ce plaisir là et pourtant elle semble savoir éperdument que je ne lâcherais rien puisqu’elle continue sur sa lancée, pour que je me mette à genoux devant elle, la supplie, ravale ma fierté, détruit tout ce que je suis et devienne un homme que je ne respecterais aucunement. Alors je vais jouer tout comme elle, dans son sens parce que c’est ce qu’on sait faire de mieux tous les deux. Ce n’est clairement pas dans un bar que t’y arriveras. Et puis trouver mieux que moi ? Elle n’avait aucunement chance. J’aurais pu lui rire au nez si son air si revêche ne m’avait pas hurlé de continuer et de ne prendre aucune pincette avec elle. Alors avec un sourire je l’avance vers elle de nouveau, d’un pas feutré, sans aucune expression sur le visage qui pourrait recueillir mes sentiments les plus profonds. Son visage est à quelque centimètre du mien et mes mains grimpent le long de ses bras pour se jucher dans son dos ou j’attrape entre deux doigts la fermeture de sa robe. Je commence à la faire longuement glisser le long de sa colone vertébral et laisse la création magnifique, glisser le long de son corps. Un sourire s’accorde enfin sur mes lèvres lorsque je la découvre en sous-vêtements affriolants. T’aurais pas besoin de ça si tu ne viens pas alors. Elle me regarde longuement et je fais de même, sans la toucher qu’autrement par un regard affamé. Roman qu’est-ce que tu fous, il est bientôt l’heure de filer. Mais non. Au lieu d’aller dans son sens je préfère écraser mes propres besoins. Ok, le mec qui n’a strictement rien compris à la vie. J’attrape enfin sa nuque et ma bouche se rapproche alors de la sienne, collant mon corps contre le sien pour appréciant la contradiction entre ma tenue bien trop habillée dorénavant et l’évidence d’une tenue trop légère pour ce même cadre. Tu sais que c’est clairement pas en me demandant de te supplier que t’auras quelque chose de moi ? Dis-je tout en faisant glisser ma bouche de sa joue jusqu’à son oreille.


   
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyDim 11 Mai - 18:35

YOU HAVE TO LEARN THE RULES OF THE GAME. AND THEN, YOU HAVE TO PLAY BETTER THAN ANYONE ELSE. C'est comme jouer aux échecs. Chaque pions est important. Ils ont tous une places qui leur est destiné avec des mouvements qui leurs sont propre. Le plus dur, c'est d'adopter une stratégie qui vous permettra de gagner. Le tout, c'est de ne jamais se penser gagnant car à tout moment la situation peut s'inverser. Jules avait pour habitude de mener la danse, faire face à des personnes qui étaient prêtes à tout pour lui faire plaisir et qui disait amen à chacune de ses paroles. Roman était différent. Ils étaient du même acabit. Avide de pouvoir. Ils s'accordaient si bien qu'il était presque inconcevable qu'ils puissent s'entendre. C'était à celui qui allait avoir le dessus sur l'autre. Elle avait un certain avantage sur lui. c'était une femme et ses besoins étaient biens moins importants que les siens. Elle pouvait en jouer et comptait le faire. La provocation étant son passe-temps favori, elle n'avait aucune honte. Elle le connaissait par coeur. Ils n'avaient jamais été amant, à l'époque, elle était encore vierge et sans expérience. Elle l'a connut bien avant Levy avec qui elle a passé le cap, et elle était persuadée qu'il serait malade de l'apprendre, savoir qu'il aurait pu être le premier homme à la découvrir mais qu'elle ne lui en a jamais laissé l'occasion. Aujourd'hui, il la connaissait sous toutes les coutures et elle n'avait plus rien à lui faire découvrir de son corps et pourtant, il avait tant à apprendre d'elle. Elle n'avait pas très envie d'y aller à son truc ce soir. Elle aurait bien passé sa soirée dans un bon bain ou devant la télé. Elle qui avait pitié pour ces gens qui restent chez eux alors qu'ils ont tout une ville à découvrir, elle se surprenait à vouloir la même chose pour une soirée. Elle était complètement épuisée. Les examens lui prenait tout son temps et quand elle n'était pas avec son frère, elle était supposée se montrer aux côtés de l'epsilon. Elle était devenue pro quand il s'agissait de jouer la comédie, mais sourire ce n'était pas son fort. Faire coucou, dire bonjour et montrer ses dents à des personnes qui ne l'intéressent pas, c'était devenu ennuyeux. Si par le passé en en rêvait, maintenant, elle se trouvait au coeur de ce qu'elle avait toujours souhaité et elle ne trouvait pas ça réellement féérique. Mais c'était un devoir, elle s'était engagée. « Excuse moi, je n'ai pas de domestique qui viennent me lécher les pieds. Mes parents m'ont mieux élevé que ça. » Elle ne venait pas d'une famille royale et encore moins d'une famille immensément riche. Elle venaient d'un milieu aisé poù elle pouvait avoir ce qu'elle voulait en un claquement de doigts, mais tout ça, c'était grâce au travail de ses parents. Ils s'étaient jeté corps et âmes dans leurs carrières tout en élevant leurs enfants. Aujourd'hui, elle avait surement assez d'argent pour vivre le reste de sa vie, ou une grande partie mais avait travaillé dur pour le faire. A ses yeux, ce n'était qu'un enfant pourrit gâté qui était resté assit sur une chaise à créer un magazine pour adulte. Jules avait sué, s'était battu et avait fait face à toutes les personnes qui ne la pensait pas à la hauteur et qui avait essayé de la descendre, mais aujourd'hui, le nom des Hastings-Fields étaient connu dans le monde dans le domaine du sport. Son père avait été l'un des plus grands doyen de la confrérie de Iota, craint et admiré de tous à l'époque. Elle avait ça dans le sang. Elle ne rêvait que d'une chose: devenir doyenne à son tour et sa route commençait à se dessiner. Elle n'était que Bras droit d'Aislynn mais c'était un début. Elle était encore étonnée qu'elle l'ait choisit après ce qu'elle lui avait fait mais elle n'en avait rien à faire. Elle était prête à se battre pour reprendre le flambeau. On connaissait Jules dans l'université, au même titre que d'autres grosses têtes. Il ne voulait pas l'admettre mais il était en admiration devant elle, comme elle pouvait l'être devant ce gosse de riche à qui tout réussit. Chacun représentait un défi. Ses talons en main, elle les avait reposé pour se pavaner pieds nus devant lui. « Dans mes rêves? Excuse moi mais j'ai d'autres idées.. Dans lesquels tu n'es pas impliqué. Bien sûr. » Elle est tout proche de lui, son souffle caresse sa peau et leurs regards se chamaillent en silence. Elle sourit. Elle comprend son petit jeu mais elle n'est pas prête d'abandonner. Il allait être le premier à regretter de la voir sans vêtements. Après tout, c'est lui que l'on allait blâmer si il arrivait en retard. Si Jules était l'image parfaite de la famille respectable aux yeux des journalistes, on la connaissait pour son retard. C'était une princesse et elle se comportait comme une diva. Elle faisait attendre, créait la tension pour éblouir les regards lors de ses apparitions. Elle sent ses bras glisser le long de son dos et sa robe se desserre. Elle se laisse faire, lui laissant croire qu'il a le dessus sur elle, un quelconque pouvoir qu'il n'aura jamais. A présent en sous-vêtement, elle pose ses mains sur ses hanches et repositionne une de ses mèches derrière son épaule. « Je crois que non. Tu me retrouveras surement comme ça dans le lit quand tu seras rentrée de ta soirée terriblement ennuyeuse pendant que je me serais blottit dans les draps. » Elle hausse les sourcils, puis les épaules. Et dans coup sec, elle se retrouve projetée contre lui. Ses mains s'accrochent à sa veste et ne le lâche plus. Elle a le regard noir et un sourire provocateur. Son corps se dandine légèrement contre celui de son partenaire et ses lèvres ne sont qu'à quelques millimètres l'une de l'autre. Ils se frôlent, murmurent, se tente mais aucun des deux n'est prêt à s'avouer vaincu. Ses dernières paroles provoque un rire nerveux chez elle qu'elle est incapable d'arrêter. Elle attrape son menton entre ses doigts et un rictus se dessine. « Oui, mais je sais comment parvenir à mes fins. » Sur la pointe des pieds, elle tire sur sa chemise pour l’amener vers elle, regagne le sol et s'empare de ses lèvres sans plus attendre. Si s'avouer vaincu pouvoir l'aider à gagner, elle était prête à le faire. Elle avait céder la première mais simplement pour mieux surgir de nouveau. Passant ses mains autour de son cou, elle l'embrasse comme si c'était la dernière fois qu'il allait goûter à ses lèvres, comme si demain il ne serait plus capable de la tenir aussi fort, aussi près. Ses mouvements son lent, contrôlé mais sauvage et désordonnés, si bien qu'elle finit par le pousser sur le canapé. Ils étaient beaux ensembles. Elle était bras droit des iotas, lui des epsilons, ils étaient dans les confréries les plus prisées du campus, avait derrière eux, un parcoure hors du commun et en plus de ça, ils s'accordait parfaitement physiquement. L'alchimie n'était qu'un détail parmi tous les critères d'un couple parfait. Mais s'ils ne se battaient pas tout le temps, ils pourraient probablement se convenir à la perfection. Elle se trouvait face à lui, prête à s'offrir. Pourtant, elle avait une toute autre idée en tête. « On aurait pu continuer ce début de soirée en beauté mais quel dommage.. tu dois partir. Il est l'heure il me semble. » Elle fait mine de regarder une montre qu'elle n'a pas et lui tourne le dos pour aller dans la salle de beau afin de remettre du rouge à lèvre. « N'oublie pas de te regarder dans un miroir. Je crois que t'as un peu de rouge à lèvres sur le visage. » qu'elle cri à travers les pièces. Elle se sort de la salle de bain, fière d'elle, comme si elle avait une emprise sur lui. Bien sûre, elle était tout à fait capable de le mener par le bout de la braguette, après tout c'était un homme mais elle était impatiente de voir ce qu'il allait faire. Postée devant lui, elle épiait chacune de ses expressions, le moindre mouvement. « Profite bien de ta soirée.. CHÉRI. »
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptySam 17 Mai - 21:31


Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances.



Roman&Jules ⊹ C'était une erreur de ma part de la laisser me filer entre les doigts. J'aurais dû être bien plus perspicace et la forcer d'une manière ou d'une autre à me suivre. Car elle jouait et si bien qu'elle venait à m'en faire perdre la tête et la raison. Jules était le genre de femme si intelligente qu'elle faisait tout le contraire de ce que pouvait lui dicter sa vie. Alors dans ces moments-là où le mieux était de me suivre, grand sourire aux lèvres et l'air plus épanoui que jamais, elle prenait le chemin contraire. M'ordonnais de faire ce qui me semblait impossible en plus d'une vie et en plus de ça, elle semblait attendre comme s'il existait la moindre chance qu'elle parvienne à ses fins. Alors devant toute cette suprématie je ne pouvais que retourner le jeu contre elle. Lui montrer à quel point je pouvais me foutre de ses manières et de son autorité et que tout ce qu'elle pouvait faire pour montrer que j'avais plus besoin d'elle me quoi, je n'en avais que faire. Je n'avais jamais été le genre d'homme à m'appuyer sur les autres et encore moins à tout faire pour les séduire. Avec mille et une courbettes on pouvait en obtenir des choses mais avec un tempérament comme le mieux et le non implacable qui sortait si souvent de ma bouche pour contrer toutes personnes s'opposant aux règles que je dictais, il était indéniable que je finissais par en obtenir dix fois plus. Alors je filais dans son sens sans réfléchir une seconde que je m'enfonçais encore plus dans le bourbier dans lequel je me foutais sans arrêt. Car après tout, je la cherchais encore et encore. Jules n'avait donc pas tord de me mener par le bout du nez. J'étais un hypocrite et en plus de ça j'étais si perfide que j'en venais à délibérément la pousser à me rejeter et me placer dans ce genre de situation indomptable. Là c'était soit je suppliais soit je me retrouvais comme un con tout seul ce soir et évidemment, aucune n'était une option respectable pour moi. Alors en me remémorant le diction du "foutu pour foutu", je la poussais dans sa lancée, la faisait accélérer dans sa démarche de me mettre plus bas que tard et cela me précipitait vers le fond en même temps qu'elle appuyait sur un détonateur qui n'en finirait pas de voir ma réputation se transformer en d'innombrables dégâts. Mais elle, elle s'en foutait après tout. C'était moi qui l'avait cherché. Moi encore qui devait faire quelque chose pour réparer ça. A sa première remarque, alors je l'ai violemment piqué par des paroles acerbes, je ne peux nier l'évidence. Oh que non elle n'est pas de ce genre de femmes dont on pourrait dire le contraire et c'est pourquoi je me tais à la suite de ses paroles. Malgré mon envie irrépressible de toujours déranger les gens par des pics sans cesse plus accrues, je suis du genre à apprécier la vérité quand elle sort et à ne pas la contrecarrer pour assouvir une vengeance où je pourrais avoir le dernier mot. Et puis elle continue telle une nappe sombre qui s'infiltre dans tous les coins de la pièce. Elle me contrôle totalement et le sait parfaitement. Alors elle continue, avec son beau sourire et assume pleinement le côté malsain qu'elle donne à cette situation. Mon regard joue avec le sien, ne striant pas une seule seconde. Je me délecte de l'abominable manipulatrice qu'elle représente alors que ces paroles fusent dans un silence des plus implacables. Ma mâchoire se serrer, fermée dans une puissante démarche pour ne pas craquer et aller au bout de mes pensées la concernant en vue de son corps presque entièrement dénudé face à moi. J'aurais déjà craqué si seulement elle ne s'évertuait pas à me faire brûler de l'intérieur. Car c'était une animosité qui ne se tarissait pas et qui continuait à grandir en moi malgré l'admiration que j'avais face à son impertinence sans faille. Et puis elle s'empare enfin de mes lèvres pour venir me pousser contre le canapé. Non, je suis mal barrée si je veux vraiment aller à cette soirée à ses côtés. Ses lèvres ont un léger goût fruité mais je n'arrive pas totalement à la convaincre de ma fougue de tous les jours car elle me contrôle bien plus que je n'aime exercer mon pouvoir sur les gens. C'est frustrant. Une sensation si détestable que j'en manque de la renverser sur le sol pour la laisser là, comme une mal lotie repousser par son amant. Un coup d'oeil à la Rolex que je porte au poignet pour m'apercevoir qu'elle dit vrai. Ok, très bien. Maintenant habille toi. Mon ton est sans appel et je file vers le miroir pour réajuster mon col alors qu'elle me laisse enfin libre de mes mouvements. Mais je sais aussi bien qu'elle ne se contentera pas d'obéir à mes paroles et qu'elle prendra grand soin de me laisser pantois. A ses paroles j'esquisse un sourire en effaçant justement la marque de ses lèvres sur les miennes. L'histoire de ma vie. Et puis elle se dirige vers la salle de bain et mine de rien je ne peux que la suivre d'un oeil désapprobateur. Ce qu'elle est difficile celle-là je vous jure ! Sa tête réapparaît au bout de quelques secondes à travers le battant de la porte et ses paroles me font monter en flèche. Tu l'auras cherché Jules. Je me retourne, attrape sa robe et ses chaussures au sol, lui balance dessus et au moment où Jules rattrape le petit tas, je me dirige vers elle à grand pas et fais de même en la soulevant du sol sans aucun effort, la déposant sur mon épaule comme un sac à patate et sans aucune pitié. Je bafoue la fierté de la belle mais qu'importe si les photographes la verront ainsi, à ce moment précis, je ne cherche même plus à lutter, je veux juste la faire sortir de cette chambre d'hôtel avant qu'elle ne me laisse partir seul. J'espère que c'est confortable parce que je te jure que tu vas passer la soirée ainsi jusqu'à ce que tu te décides à avouer que t'es folle de moi. Oh qu'il en rajoute une couche le Roman. J'ouvre la porte de la suite et la referme en la claquant violemment, la jeune femme sur l'épaule. Fais rien tomber, ce serait con que tu te retrouve avec rien sur le dos. J'appuie sur le bouton de l’ascenseur avec difficulté. Je crois sentir d'ailleurs un talon s'enfoncer dans mon dos. je retiens une grimace et la repose sans aucune délicatesse dans l'ascenseur au moment où les portes se referment sur nous. Son visage est déformé dans une grimace de rage. Quoi ? Me dit pas que tu rêvais pas de te retrouver dans cette tenue avec moi dans un espace si restreint !



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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyVen 30 Mai - 15:31

YOU HAVE TO LEARN THE RULES OF THE GAME. AND THEN, YOU HAVE TO PLAY BETTER THAN ANYONE ELSE. Ele s'amusait de la situation. Jules était le genre de fille à aimer jouer, mais à la seule condition d'être sûre de gagner. Mais dans cette situation, ce qui l'excitait encore plus c'était de faire face à un joueur à sa hauteur et la victoire était bien plus dur à obtenir avec Roman. Roman n'avait pas peur d'elle et même si c'était le cas, il le cachait parfaitement bien. Il était comme elle, les traits du visages détendus afin de cacher une quelconque expression qui pourrait le trahir. Regardez les ces merveilleux comédiens, près à tout pour continuer leur mascarade. Show must go on, c'est ce qui se dit dans le showbiz. Les paparazzis, les journalistes, ils les adoraient pour cette confiance en eux qui n'avait d'égale que leur arrogance. Ils se complétait à la perfection on même si le diction raconte que qui se ressemble s'assemble, c'était ces points communs qui provoquaient une véritable explosion entre eux. C'est peut être pour cette raison que ça n'avait jamais marché entre eux et c'était encore plus étonnant de les voir se pavaner main dans la main comme deux amoureux qui ont retrouvé une passion qu'ils pensaient évanouit. Tout ceux qui y croyait étaient terriblement naïfs. Comment pouvait-on imaginé à un seul moment que ces deux là pouvait vivre quelque chose d'aussi fort que l'amour? Parce que malgré tout, au delà des apparences et du reste, Jules connaissait bien plus Roman qu'il ne pouvait l'imaginer. Elle avait vu de merveilleux côtés chez lui à l'époque où ils se fréquentaient, elle avait eu la chance d'être bien plus qu'une simple conquête, elle le savait, elle en était persuadée et à ses yeux, il représentait l'un des seuls hommes qui avaient réussit à la poser pendant quelques temps, elle qui fuyait tout engagement, elle qui avait tout fait pour ne jamais accorder de l'importance aux autres, faisant passer ses besoins avant tout le reste, pendant quelques semaines, quelques mois, elle avait lâché prise et avait débuté un semblant d'histoire avec Roman dans le passé et très peu pouvait se vanter d'avoir dompter la jeune femme. Si ça s'était vite terminé, elle ne pouvait nier l'évidence: ils avaient tous les deux un coeur ravagé par l'amour, de deux manières différentes mais assez proche malgré tout. Mais à cet instant, c'est le jeu qui prenait le dessus, qui faisait éclipser les faiblesses qui les habitaient et la peur aussi. Ses lèvres sur les siennes, elle finit par se redresser et retrouver la salle de bain. Elle avait prit sa décision, ce soir elle oubliait la promesse qu'elle avait fait, elle ne ferait pas d'efforts, surtout par pour lui après ce qu'il essayait de prouver. Il était hors de question qu'elle se plie à ses ordres. Il lui demande de s'habiller mais elle ne fait que ricaner. Son rire est court mais bruyant, assez pour qu'il comprenne qu'elle ne voyait pas les choses de la même manière et que s'il voulait qu'elle s'habille, il allait devoir s'adresser à elle d'une autre manière. « Roman, chéri, lâche moi. » Elle est ironique et insolente. Son "chéri" ne reflète que le méprit qui l'habite à cet instant. Elle se tourne pour lui faire face avec son sourire le plus provocateur mais elle n'a que le temps de rattraper ses affaires que Roman lui balance. Elle s'apprête à lui hurler dessus mais la voila sur ses épaules comme un vulgaire sac. on ne traite pas Jules de cette manière, la princesse Hastings-Fields vaut mieux que cette image de femme soumise. « LÂCHE MOI. ROMAN. LÂCHE MOOOOOI. » Elle lui hurle dans l'oreille et tape sur son dos pour qu'il la lâche. il n'a aucun mal à la contenir. Bien que Jules soit sportive, elle n'était pas très lourde. Merci papa et maman de m'avoir fait aussi petite. Elle hausse les sourcils et manque de s'étouffer. « Excuse moi? C'est toi qui me prend sur tes épaules pour que je t'accompagne à cette stupide soirée et c'est moi qui suis folle de toi? C'est n'importe quoi. Repose moi. » Il finit par lui lâcher une dernière remarque avant de la reposer sur le sol. Son visage est crispé et on peut y lire qu'une colère sans pareil. Elle le pousse de toute ses forces et enfile ses chaussures. « Très bien. Tu veux jouer à ça? Crois moi tu ne vas pas être déçue. » Elle enfile sa robe sans rien ajouter. Qu'il la pense vaincue, mais ce serait mal la connaître, Jules n'abandonne jamais facilement, elle se tait pour mieux hurler. Elle allait l'attaquer au moment où il s'y attendrait le moins. Pourquoi pas pendant son discours? Elle allait bien lâcher quelque mot pour faire l'éloge de son parfait petit ami, alors pourquoi ne pas divulguer son passé sulfureux que tout le monde connait, mais avec des détails encore plus sordide. Si Jules ne s'intéresse à personne d'autre qu'à elle même, elle se tenait quand même u courant de toutes les rumeurs de l'université et quelques unes allaient très bien lui servir ce soir. « Si ton fantasme c'est de baiser dans un ascenseur, je passe, je suis une dame, je mérite mieux que 4 murs en métal. Maintenant ferme ma robe avant que je défile à moitié nue devant tes invités. Et crois moi, ça ne sera pas moi la plus gênée. » Menteuse, mais si elle tombait, il tombait avec elle, après tout, maintenant, son image était reliée à la sienne, tout ce que faisait Jules retombait sur Roman, si on la retrouvait à moitié nue à une de ces soirées, qu'allait-on penser de lui? S'il n'est pas capable de gérer une femme, comment peut-il s'occuper de son entreprise? Il n'avait aucune excuse. Elle finit par se recoiffer légèrement, secouant ses cheveux histoire de leur donner un minimum de volume et attrape le bras de Roman avant que les portes ne s'ouvrent. « Tu vas regretter de ne pas m'avoir laissé dans le chambre. » Un sourire plaquée sur les lèvres, elle sortie en première de l'ascenseur avant de se jeter dans la foule, aussi resplendissante que d'habitude. « Excusez-nous de notre retard. Vous savez les hommes comme Roman.. Il est dur de les satisfaire. Vous comprenez ce que je veux dire. » Comprenez, comprenez pas, je m'en fous qu'elle pense. Le seul truc à savoir, c'est qu'elle ne va pas passer sa soirée à jouer les gentille petite femme.
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MessageSujet: Re: Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. Roman&Jules :. Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances. EmptyDim 8 Juin - 1:56


 
Contrairement à nous, sexe, scandales et mensonges ne prennent jamais de vacances.

 
 
Roman&Jules ⊹ Cette fille j'aurais pu me damner pour elle mais je n'en ferais jamais rien parce que je ne supportais pas sa manière de se montrer aussi vil à mes cotés. J'en faisais de même soit mais je n'étais pas du genre à attendre à ce qu'on me rende l'appareil aussi facilement et bien que j'avais accosté bon nombre de petites joueuses dans ma vie, Jules n'en était pas des moindres. Elle avait une facilité déconcertante à tenter de me faire des pieds de nez sans précédent ce qui n'amenaient généralement rien de bon au sein de notre relation. Parce que si elle sait si prendre pour me faire sortir de mes gongs, j'arrive à faire la même chose la concernant. C'est pourquoi j'avais décidé de la contraindre à afficher son plus beau sourire devant les photographes et à ne divulguer aucun de mes petits secrets. C'était un pouvoir unique que je lui offrais et chaque jour je médisais l'ignominie. D'ailleurs, il allait de soit que je prenais un malin plaisir à pourfendre la personne qui avait eu cette malheureuse idée par tous les moyens possibles et inimaginables. Je n'aimais pas qu'on me prenne pour un con et elle le faisait très bien. Alors je ne jouais pas au tendre. Ou du moins de rares fois car Jules faisait tout pour me rendre cinglée et l'idée qu'elle puisse être aussi verte de rage que moi était très largement choyée dans mon esprit. Alors je la laisse souvent ruminer dans son coin. Des fois je perd mon sang froid. Plus d'une fois. Mais jamais elle n'avait eu l'intention de me laisser seul pour faire une apparition devant les médias et ce soir c'était bien ce qu'elle comptait faire en vue de son petit sourire démoniaque qui ne la quittait pas depuis le restaurant dans lequel nous nous étions rendus une heure plus tôt. L'idée avait germé dans son esprit et rien ne semblait pouvoir la lui retirer et j'étais bien sot de croire qu'avais de simples paroles et des baisers plus qu'alléchants j'allais réussir à la faire changer d'avis. Alors elle me toise de son air supérieur en pensant que ça marchera pour moi et je m'affaire à la regarder avec ce regard de mépris qui me sied si bien et qui montre qu'à présent, je ne la prend que pour une gamine faisait un gros caprice. Et c'est ce qu'elle est en train de me faire la duchesse et ça, je ne le supporterais pas, surtout dans un moment aussi crucial ou j'ai besoin d'elle. Rien qu'à cette pensée je ne peux que grimacer encore plus et ma mine s'assombrit d'un coup. Qu'elle m'appelle chéri comme elle veut pour me défier un peu plus, j'irais jusqu'à braver tous ses interdits pour avoir ce que je veux et tout le monde sait bien que lorsque je veux quelque chose, je l'obtiens. On est un peu pareil sur l'idée. Faut-il encore savoir qui gagnera la partie et en vue de comment c'est partit, j'étais sûr qu'elle finirait blesser. Ou pire, qu'on le soit tous les deux. Dans notre orgueil et notre fierté. C'était inconcevable mais il fallait s'attendre à tout de notre part. Alors ni une ni deux, je la soulève du sol après lui avoir balancé ses vêtements à la figure sans aucun gêne. Elle hurle, elle se débat et tente de m'assener de violents coups pour que je la repose. Mais si je le fais madame la princesse va se casser un ongle et là, j'étais sûr de déclencher la troisième guerre mondiale. Alors je ne la lâche qu'une fois les portes de l'ascenseur refermé sur nous et là je l'entends hurler. Les mots passent d'une oreille à une autre et en ressortent aussitôt comme si je me foutais éperdument de ses propos. Je lève les yeux au ciel tout en me tournant enfin vers elle. Rajustant ma tenue pour être au sommet de ma modestie, je la dévisage longuement et reprends, avec une voix des plus calmes. Une dame ? Rien que ça. Je ne cherche même pas à relever en émettant le moindre commentaire contrariant. je suis plutôt à me demander ce que mes actes pourraient engendrer comme comportement sur la dites dame. Mais ça je ne le serais pas tout de suite parce que la vengeance est un plat qui se mange froid et je venais d'engendrer chez elle une envie ferme de guerre. Je redresse la fermeture de sa robe tout en appréciant sa peau nue sous la tenue. Sa menace sort au même moment où les portes s'ouvrent sur une foule en délire, tapis rouge au pied, appareils photos en main tournés vers nous. Un léger sourire arrogant s'étire sur mes lèvres et je ne peux souffler que ma riposte à demi-mot. Arrêtes avec tes paroles en l'air. Moi qui continue à la pousser dans ses derniers retranchements ? Oui. Parce que je déteste qu'on me menace et qu'elle vient d'émettre la possibilité qu'elle ruinerait ma réputation. Pour ça, elle n'a pas le droit à mon estime. Elle essaie de m'aplatir ? J'en ressortirais encore plus fort et avec la vive intention de lui rendre la vie impossible comme elle le fait avec moi. Et elle parle aux photographes. Le monde aurait pu la croire prude que ce n'est plus le cas aujourd'hui. Mon regard coule en biais sur son décolleté et je souris longuement pour passer une main derrière son dos et me pencher à son oreille comme tout amant épris de la belle. Tu ne m'embrasses pas ? Ils n'attendent que ça. C'est le jour et la nuit. On se déteste, on s'engueule comme jamais mais j'ai plaisir à pouvoir goutter à ses lèvres sans son plus grand consentement. C'est à n'y rien comprendre à toute cette histoire. Et sans attendre son avis, je pose mes lèvres sur les siennes. Les cris redoublent, appelant nos noms et je me détache enfin d'elle, regard furibond tourné vers moi qui contraste avec son visage doux et mutin. Souris chérie. C'est notre heure de gloire. Voila voila comment remettre les pendules à l'heure et lui montrer que moi aussi je peux jouer sur les mots. Alors je prend sa main dans la mienne et la fait avancer à mes côtés tels deux rois en plein jeux d'échec.


 
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