the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same Empty
MessageSujet: EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EmptyMer 12 Mar - 18:54


EBOYAN


    Je sors rapidement de la douche et entoure ma serviette autour de ma taille avant d'aller à la porte de ma chambre. J'ouvre la porte déjà avec l'air bougon de quelqu'un qui n'a aucune envie d'être dérangé. Mais c'est Lux qui me propose bien évidement de manier mes fesses pour la retrouver à la cave. Bien que je ne raffole pas particulièrement de l'air humide qui s'y est installé en même temps que quelques nuisibles, je trouve que c'est un endroit qui nous sied à merveille. Après tout, il n'y a que là que nous pouvons être tranquille sans aucune interruption intempestive de notre cher doyen pour vérifier si nos consommations ne sortent pas de sous notre lit. Et puis c'est que Lux, depuis qu'elle est revenu, elle en a fait un endroit presque convivial. Alors je ne me fais pas prier malgré que je tire une tronche de dix mêtres de long. Et bien oui. Il est quinze heures de l'après-midi et je viens à peine de me lever. Alors après avoir fumer longuement en compagnie de ma meilleure amie tout en éclatant de rire à chaque connerie qu'on avait à rattraper, je me met sur pied en essayant tant bien que mal de ne pas m'affaler de nouveau sur le gros divan qui traîne dans l'espace sombre. Mon téléphone en main, je quitte ma très chère Lux qui comate déjà. Ses grands yeux rouges tirés et vitreux se posent sur moi tel un cocker qui aimerait me faire rester. Mais non. J'ai envie de sortir ce soir malgré l'état dans lequel je me trouve actuellement et surtout, j'ai envie de voir Jayan. Parce que ça fait quelques jours que je ne l'ai pas vu et que nos petites discussions dans les couloirs ne sont pas assez satisfaisants à mon goût. Alors je lui envoie un message mais il faut bien une heure plus tard, en compagnie d'un inconnu au bar du coin pour que je comprenne qu'il n'est visiblement pas pressé de regarder son téléphone. Je lève les yeux au ciel de détresse et de désespoir. Non sérieusement, s'il est avec sa blondasse ça va péter. D'un côté on ne pouvait pas dire qu'il appréciait énormément l'homme avec lequel je traînais le plus clair de mon temps. Un point partout pour les fréquentations de chacun. Je commence alors à me lever après un bon verre qui me brûle la gorge à m'en faire cracher des flammes mais au moment où je compte quitter ce trou à rat, je sens une main agripper mon bras. Quoi ? Faut payer ? Ha non je ne crois pas et puis je n'ai clairement pas d'argent en poche donc on va avoir un problème. Faire la plonge ? Encore moins. Un sourire au lèvre, je lui fais mon numéro de charme mais il a l'air peu enclin à me laisser filer avec une ardoise que je ne rembourserais évidement jamais. Ok, il est clairement gay. Les cris fusent, je me fous clairement de sa gueule. Mes sarcasmes cinglants se plaquent sur son visage et sa colère s'accroît de minutes en minutes jusqu'au moment où, finalement, une bagarre éclate un peu plus loin. Ha ben c'est pas trop tôt. Je file à l'anglaise devant son inattention de quelques minutes et me dirige d'un pas un peu plus pressé que d'ordinaire sur le parking. Il n'y a aucun taxi en vu et je sens que l'autre abrutit ne vas clairement pas me lâcher alors je tourne mon regard vers une vieille mustang. Que fait-elle là ? Peut-être la voiture du fameux patron. Très bien. Je m'y dirige comme résigner par une connerie qui allait me lasser une fois faîtes et pourtant je continue. Je sors un canif de mon sac et hop, me voila à essayer d'ouvrir la portière de la voiture comme je l'ai tant vu faire à l'époque où je ne vivais au jour le jour sans jamais savoir quoi faire le lendemain. La porte émet un petit clic positif et la portière s'ouvre devant mes yeux amusés. Oh oui, le destin est de mon côté ce soir. Il ne me faut qu'une seconde supplémentaire pour m'assoir sur le beau cuir de la voiture et grimacer en voyant le bordel qui s'entasse sur la banquette arrière. Et ben dis donc, du gachis dans une si jolie voiture. Quelques minutes supplémentaires et j'allume enfin le moteur grâce aux fils placés sous le tableau de bord. Et me voila à rouler, les cheveux au vent dans une voiture volée que de toute manière j'allais abandonner au bout de quelques heures mais après tout, ce n'était pas de ma faute si l'endroit était aussi mal desservi par les taxis ! J'entends alors mon téléphone vibrer sur le siège passager. Un regard vers lui pour voir que Jayan me répond d'un point d'interrogation. Oh oui, il veut voir sa Bony. Ça veut tout dire voyons. 'Va sur le parking de la fac, je passe te chercher.' Il sait pertinemment que j'ai pas de voiture mais est-ce vraiment important ? Dix minutes plus tard, je m'arrête devant la silhouette de mon cher ami. Je vous dépose quelque part beau gosse ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same Empty
MessageSujet: Re: EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EmptyMer 9 Avr - 20:55


Le souvenir c'est la présence dans l'absence, c'est la parole dans le silence, le retour sans fin d'un bonheur passé, auquel le coeur donne l'immortalité.
La tête lourde. Le coeur non régulier. Les quelques mouchoirs entassés. Jayan avait tous les symptômes d'un malade. Il semblerait que le jeune homme n'ait pas été assez vigilant, au point de laisser entrer dans sa vie, quelques microbes. On peut dire que pour le coup, il était servi. Cela faisait quelques années qu'il n'avait plus senti cette fièvre, qu'il n'avait plus côtoyé cet état d'esprit. Il se sentait sans force, ni courage. Tout ce que Jayan souhaitait, c'était la forme. Il voulait retrouver sa bonne humeur habituelle. Il voulait retrouver sa vivacité et son goût pour le danger. En tout cas, être dans ses draps, était la dernière chose qu'il aurait imaginé. Surtout qu'il voulait sortir, boire un verre, se changer les idées. Un peu d'air, en vérité, c'est tout ce qu'il souhaitait. Même s'il pouvait compter sur le soutien de sa petite amie, il avait besoin de son indépendance. Il avait envie, surtout, de se relever et d'avancer. Il ne savait pas par quel moyen, ni par quel miracle, il pourrait y parvenir. Il cherchait en vain. Allongé sur son lit et caché dans sa couette, il montait des projets. Qui serait d'humeur à le supporter dans cet état d'esprit ? Qui pourrait lui changer les idées, quand il est ronchon à ce point ? Une situation assez délicate. Surtout quand la majorité de son entourage est habitué à le voir sourire et rire. Là, pour l'occasion, Jayan était tout le contraire de lui-même. Il était ce qu'il y avait de pire en lui. Tous ses défauts refaisaient surface. Il était encore plus buté. Il ne voulait rien entendre, encore moins écouté. Chaque idée qui lui venait, restait. Il avait toujours le meilleur opinion dans ces situations. Un tension que peu de gens pourrait gérer en vérité. Et d'ailleurs, c'était une réponse à toutes ses interrogations. Quand son portable se mit à vibrer et que le prénom de son alliée, s'affichait sur l'écran de ce dernier. Jayan se demandait alors, ce qu'elle voulait. Avait-elle un problème ? Voulait-elle se plaindre du monde entier ? Il n'en avait pas la moindre idée. Et ce qui l'intéressait le plus dans ce message, était la porte qu'elle lui tenait ouverte. Ebony avait envie de s'amuser, de bouger. Elle avait envie de le retrouver. Elle avait de sa présence et il ne pouvait pas s'empêcher de l'apprécier. Après toutes ces années, toutes les épreuves, ils avaient toujours ce petit truc. Ce détail qui faisait à la fois leur force et leur faiblesse. Alors, c'est sans plus attendre qu'il décidait de se battre. Il lui fallait dix bonnes minutes pour se lever. C'est que le combat allait être long. Car, Jayan allait devoir s'habiller, se coiffer, un peu se rincer. Il allait devoir faire bonne impression. Il aimait toujours être au top, ce n'était pas de sa faute. Il n'y avait, d'ailleurs, rien d'intéressant dans sa tenue et son état actuel. Donc, tout ce qu'il lui fallait en premier temps, était un peu de patience. A la vitesse d'une tortue retraitée, il se mettait dans le bain. Il souhaitait respirer, déborder de motivation. Tout ce qu'il pouvait encore lui rester, était évidemment sa croyance. Sa foi. Quel homme dévoué ce Peerson-Barckley ! Il ne voulait surtout pas la faire attendre davantage. Ebony n'allait pas être de bonne humeur s'il n'arrivait pas. Il lui restait donc à espérer qu'elle trouve un plouc dans ce bar, qu'elle se fasse un peu draguer et le tour était joué. Sauf que le jeune homme n'avait plus aucune notion du temps. Chacun de ses pas prenait une éternité. Au point, où il décidait de lui répondre après une heure d'attente. Quel misérable. Il allait se faire démonter. La furie Ebony allait arriver, telle une tornade, un ouragan qu'il ne pourrait pas l'arrêter. Jayan comprenait également très vite qu'elle n'avait pas fait preuve de patience. Il ne faut pas trop lui en demander à la gamma. C'est donc sur le conducteur de ce taxi qu'il criait. Il fallait se dépêcher. Quelqu'un devait prendre, avant qu'il ne prenne à son tour.  « Merci mais, tu aurais pu accélérer. Je suis attendu. » déclarait-il en sortant du véhicule et en lui payant sa course, uniquement. Les microbes avaient raison de sa tenue et sa politesse. Il avait aussi laissé quelques mouchoirs sur la banquette arrière. Il était juste trop tard pour y remédier. Puis, il regardait aux alentours et il ne la voyait pas. Où se cachait Ebony ? Comment était-elle arrivée ici ? A pied. En taxi, peut-être. Il n'en savait rien. Et il n'allait pas tarder à en apprendre plus. Tournant sa tête à gauche, puis à droite. A nouveau à gauche, encore à droite. Quand un bruit retentissait, un moteur se mettait à rugir, à quelques mètres de lui. On pouvait voir au loin une chevelure brune. Une silhouette qui ressemblait à celle d'Ebony et également une manière d'accoster. A cet instant précis, où cette belle voiture s'arrêtait à ses pieds. Il la remarquait au volant. Fière et insouciante. La jeune femme avait bu. Il ne savait même pas si elle avait le permis. « Qui a osé te prêter cette bête de la route ? Est-ce que tu as au moins un permis ? Y a vraiment des insouciants sur cette planète ! » Tout sortait, comme il le sentait. Ouvrant la portière du côté passanger, parce qu'il ne tenait plus debout. Ebony allait directement remarquer que quelque chose ne tournait pas rond. Elle allait le sentir. Elle le connaissait si bien. Alors, sur un ton très déterminé et avec lequel, aucune revendication n'était acceptée.. Il lui annonçait : « Je suis malade. Tu as entendu. Donc, interdiction de me ramener, de ma cajoler, je vais survivre. » Voilà, on ne pouvait pas mieux placer la réalité à sa place. Ebony n'avait pas d'autre solution. Elle devrait faire un accident pour qu'il sorte de cette voiture. Impossible, en effet, pour lui de rentrer, de retrouver son lit et les mouchoirs qui commençaient à irriter le bout de son nez. On est jeune. On est fougueux. Quelques microbes ne vont pas nous tuer. On va survivre. Ce n'est pas la fin du monde. La planète continue de tourner. Il regardait donc à nouveau son acolyte de soirée. Celle avec qui, il avait les quatre cents coups. Une jeune femme dont il était amoureux, avec qui il avait été en couple. Elle était également son amie. Celle avec qui il pouvait s'engueuler et toute suite se réconcilier.. ou presque. Ebony était toujours importante pour lui et ils le savaient tous les deux. Ils n'avaient pas besoin de grandes déclarations pour rester souder, pour continuer de croire que leurs chemins sont placés côte à côte. Pour le meilleur et pour le pire. Jayan voulait savoir ce qu'elle avait réservé. Est-ce qu'il était là pour rire, oublier et s'amuser ? Ou est-ce qu'elle était venue pour lui parler, lui monter la tête avec leurs histoires de couple respectives ? Et surtout.. Depuis quand, la jeune femme avait un ami si gentil pour lui prêter une voiture de cette envergure.  « Tu m'as fait venir pour qu'on se regarde dans le blanc des yeux ? C'est ça. » déclarait-il à nouveau, au bord de la crise. Jayan allait mourir. Il le sentait les microbes allaient avoir raison de son être. Il allait s'éteindre et elle n'arrivait pas à s'en détacher, à le regarder avec cette mine. Est-ce qu'elle devait suivre ses idées ou juste rentrer ? Est-ce que ce soir, Ebony allait laisser parler sa raison ou est-ce que son côté plus déjanté allait se confirmer.  «  Sinon pour répondre à ta première question.. On peut l'écouter ce moteur. Tu sais de quelle manière, tu peux la faire avancer. » finit-il par avouer avec un peu d'humeur. Il fallait détendre l’atmosphère. Il fallait profiter de cette soirée, cette nuit qui était tombée.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same Empty
MessageSujet: Re: EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EmptySam 19 Avr - 14:05


   
We are so different but for me it's like we are one and the same

   
   
Eboyan ⊹ Les cheveux dans la vent, le sourire aux lèvres je fonçais sur la route, écrasant de mes talons vertigineux la pédale d'accélération ce qui faisait vrombir le moteur et déraper l'engin lorsqu'un virage s'annonçait plus difficile qu'un autre. Il n'y avait pas grand monde cette nuit et je prenais à malin plaisir à monopoliser l'espace des deux fils en roulant évidement, bien au milieu. Je passe les vitesses rapidement, et fonce à travers la ville pour rejoindre mon ami. Je ne peux m'empêcher de jeter des coups d'oeil vers le rétroviseur au-dessus de moi. Je m'attends toujours à voir des sirènes dressés vers moi, se rapprochant toujours de plus en plus et d'entendre le son strident d'un policier à travers l'interphone hurler que je m'arrête. De là je les voyais me passer les menottes et m'expliquer que voler une voiture c'est mal. Ok les mecs on avait comprit. Je me regarde ensuite et fouille dans le sac que j'ai posé sur le côté, pour y trouver mon rouge à lèvre. J'applique une couche sur mes lèvres en essayant de ne pas rentrer dans un passants aux alentours d'un passage piéton mais j'ai bien du mal à regarder la route pendant que je m'inspecte sur toutes les facettes. Forcément, j'imagine bien la voiture faire de beaux zigzague sur la chaussée. Une folle au volant, une de plus. Je remonte l'allée qui me conduit au point de rendez-vous que j'ai fixé avec Jayan et m'immobilise devant le futur mister president. Mouais. Fin les rêves qu'on se faisait quand on était enfant c'était beau mais peu réaliste. Pourtant, j'aimais toujours à penser que Jayan et moi finirions par être exactement ce que nous nous disions quand nous étions plus jeune. Lui chef d'état et moi, attaché de presse et sûrement magouilleuse politique qui règlerais les affaires noirs et secrètes de la maison blanche. Ça nous allait bien tout ce semblant de pouvoir et ça nous permettait de rêver. Et puis par la même occasion, ça me permettait de me dire qu'à cet étage là, j'aurais bien plus de pouvoir que n'importe qui mais tout ça c'était dans nos têtes. Pourtant on partageait un même rêve et c'était assez plaisant. Je le regarde longuement avec un sourire. En voiture bitch. J'aurais pu lui lancer ce genre de remarque en pleine figure mais j'étais sûre qu'il aurait fait mine de faire demi-tour pour me moucher. Prêter, prêter, c'est un bien grand mot ! Disons que je l'ai emprunté pour une durée indéterminée ! Qu'il soit le futur président d'une entreprise ou de l'état, je me disais que Jayan aurait un très beau statut plus tard. Alors autant profiter des plus conneries quand il le pouvait aujourd'hui plutôt que de ne plus pouvoir lorsqu'il aurait de vraies responsabilités entre les mains. Il me dévisage. A t'il simplement compris ce que je lui disais ? Ma foi je n'avais aucune envie qu'il sache exactement ce dont je voulais parler et que j'avais, effectivement, bien voler une voiture mais à sa vue je me disais aussi qu'il n'était pas dupe mais passait outre mes plus belles conneries malgré que je l'y mêlais avec délice. Sourire mielleux sur mon visage je ne peux tout de même pas m'empêcher de froncer des sourcils lorsque je l'observe un peu plus. Ha parce que t'as vraiment cru que c'était mon genre de t'apporter de la soupe pendant que je te borde et te fais un bisou ? Sorry mais c'est mal me connaître depuis toutes ces années mon cher. Je le dévisage longuement comme si j'évaluais le potentiel crédible de ma remarque. Non ce n'était pas mon genre, loin de là. Et pourtant avec Jayan, on savait jamais vraiment ce que j'avais en tête et ce que je pouvais faire. Avec lui j'avais fait certaines choses dont je ne me serais jamais imaginée capable alors forcément, mes paroles peuvent le faire sourire. Mais ce soir, je suis loin d'être dans l'optique de le chouchouter comme je peux le faire d'habitude. Oh que non. Il ne crèvera pas de sa fièvre avec moi mais c'était sûr qu'il n'allait pas non-plus se ménager ! Non. Je me dis juste que si tu me contamines t'as vraiment intérêt à avoir une seconde planque pour pas que je te retrouve et te fasse la peau. Mais en vrai j'inspecte son état en me disant que je pourrais évidemment tomber malade mais aussi en évaluant ses chances de survivre à cette soirée. Rooh à quoi bon tergiverser je suis loin d'être le genre à hésiter longtemps sur les mauvaises actions que j'ai à mener. Alors en route patron ! Je le dévisage et ris pendant que je fais de nouveau rugir le moteur qui s'élance dans la ville. Je ne lésine pas sur la vitesse et les pneus crissent sur le béton à chacun de mes virages. Mon permis ne m'a servit que très peu de fois. Pas besoin de chercher longtemps pour comprendre que c'est un faux et que de toute manière je n'ai aucun besoin d'avoir une voiture. J'allume la musique à la radio et fouille dans mon sac sur la banquette arrière, essayant de ne pas lâcher la route des yeux pour en sortir une bouteille de tequila. Je la pose dans les mains de Jayan et plaque ensuite une main sur son front fiévreux. Je le regarde alors comme si mon diagnostic allait tomber. L'air grave je reprend d'une même voix. Non c'est bon. Tu survivras. Le docteur m'a dit que la tequila ça guérissait tous les maux ! Il me regarde d'une mine de dire clairement 'tu te fous de moi ?!' mais je reste très sérieuse dans mon petit jeu qui sert à le détendre et le mettre dans l'ambiance. Quoi ? C'est pas moi qui l'est dit hein c'est google ! Ouais, google ou doctissimo quoi qu'il arrive soit il me demande de suite de descendre soit il me sort une de ses grimaces qui veut quelque chose comme 'Bony tu fais chier'. Au choix.


   
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same Empty
MessageSujet: Re: EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EmptyDim 11 Mai - 20:20

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same Empty
MessageSujet: Re: EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same Empty

Revenir en haut Aller en bas

EBOYAN :. We are so different but for me it's like we are one and the same

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» See i just want you to know, that you deserve the best ♦ 'eboyan'
» EBOYAN :. Ne me demande pas de me taire, je t'aime tellement que j'en serais incapable.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-