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CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation"

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MessageSujet: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyMar 20 Mai - 4:41




CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_mnwc3oVolY1qbr5j0o1_500 CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_lpd4mrhACR1qicibqo1_500

Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs

hommes.


Cela demande seulement un peu

d’imagination


et beaucoup d’organisation.

Avec P-Xavier L. Cavendish




Est-ce que je vous ai déjà dis que j’étais fatiguée dans ma vie ? Non ? Pas étonnant je ne le suis jamais, jamais rassasié des excès, de la vie , des hommes ,des femmes. Si je devais être une définition je serrais celle du boute-en-train. Ces derniers temps mon emploi du temps était chargé je jonglais entre les cours, les hommes, les femmes, les soirées, et mes meilleures amies. Je vivais ma vie dans l’excès le plus total. Je n’avais plus aucune limite, je ne contrôlait plus ce corps je vivais au jour le jour. Mais pourquoi ce retournement de situation ? Je m’étais rendue compte que tout d’abord on ne me voulait que pour passer de bon temps et que finalement j’étais comme ma mère une traitre. Alors à quoi bon faire des efforts ? A quoi bon faire semblant d’être studieuse ? A quoi bon de faire la sainte ni-touche ? J’avais fais ma réputation et j’en était pas spécialement fière mais ce que j’étais une marie couche toi là. De toutes les façons je n’arrivais plus à m’amuser normalement, sans alcool, sans drogue j’étais devenue effigie des excès en tout genre. Je n’ai jamais autant utilisé ce corps qu’était le mien est étrangement j’aimais ça. Malgré cette conclusion de ma vie d’aujourd’hui je pouvais dire que j’avais des amis en or, je savais sur qui je pouvais compter malgré mon côté un peu méfiant. Aujourd’hui j’avais passé ma journée à faire du shopping, à regarder les futures pièces de théâtre ou les futures soirées folles de San Francisco. J’avais bu un café avec Lyo suite à nos soirée où on se la jouait à la Hangover. C’était bientôt l’été et j’avais envie de me souvenir de celui-ci. Il y a quelques temps j’avais Aiden avec qui je m’amusais et on se poussait à bout mais le jeune homme avait jeter son dévolu à une jeune femme. Ce qui m’avait vraiment agacé au début puis finalement je m’y étais faîte comme par magie. L’effet Aiden avait disparu. Car j’avais trouvé d’autres distraction, du moins une plus que les autres : Xavier.  Xavier venait d’arriver à San Francisco comme par magie, c’était le magnifique connard de service. Qui ne supporte pas que les femmes ait des coups d’un soir comme les hommes un peu macho sur les bords. Totalement excessif et séducteur au plus haut point. Je ne sais pas si le hasard fais bien les choses mais j’ai croisé sa route. Nous avons passés plusieurs soirées ensemble et pour vous dire je me rappelle pas grand-chose tant nous avions abusé sur la boissons et les consommations illicites. Je me rappelle d’une chose, c’était physique lui et moi on était ce que l’autre était dans le sexe opposé, on s’attirait, on se déchirait, on buvait , on fumait. C’était l’extase. Bref, il m’avait envoyé un texto sans artifices limite comme un ordre pour qu’on se retrouve au port. Je vous avoue que je n’ai pas trop compris l’intérêt de cet endroit mais j’avais accepté. Je devais y être à 20h, quand le jour était encore levé. J’avais opté pour l’occasion une jupe évasée avec un haut bien trop moulant, mes talons compensés maquillée j’étais parée. Cela faisait quelques semaines que j’avais remis mon piercing à la langue, il m’avait quelque peu manquer. Il était 19h45 quand j’arrivais au port quelque peu nerveuse de la soirée qui m’attendait, du coup pour me détendre un peu je me préparais un joint un brin trop chargé. Une fois le tout roulé, je passais celui-ci à mes lèvres en l’allumant avec délicatesse. Je fis une grande inspiration pour me remplir de cette fumée dure, amère mais si agréable. Mes yeux se fermèrent à cette satisfaction. J’attendais nerveusement l’homme qui allait me pousser à mes retranchements quand je l’aperçu à travers la foule je lui souriais sans trop le vouloir. Il était alors à quelques centimètres de moi, je lui souriais d’avantage avant de lui dire :

Salut, le port ? On t'a contraint à choisir ?

Lui avais-je dis en guise de bonjour, tout en lui souriant, c’est simple avec son visage c’était presque impossible de lui faire la gueule. Puis je reprenais une bouffée de mon joint tout en le regardant sans cillé, je ne savais pas ce qu’on allait faire ce soir mais une chose était sûre ça n’allait pas être un scrabble.





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MessageSujet: Re: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyJeu 22 Mai - 21:18


Nothing more, nothing less

can we be drunk and shut up, please ; charlotte & xavier Il n'y a rien qui puisse réparer une perte si profonde, une douleur si sourde et un désespoir si intense. Il n'y a rien qui puisse occulter le fait que notre avenir était aussi incertains que la marée ou que le cours du vent ou encore que les sentiments. Xavier avait compris il y a de cela bien des années que son avenir serait fait de mises à l'épreuve, de remises en questions et de souffrance. Sa naissance, ses premiers pas, ses premiers mots, tout cela était un flou mystique et impossible à dévoiler pour le moment. Son adoption, son enfance, ses problèmes, ça c'était bien réel, bien ancrée dans sa mémoire et dans son coeur. Il avait tous les jours remercié le dieu, si il en y avait un, qui l'avait mit dans les bras de ce couple si aimant qui avait fait en sorte que sa vie soit parfaite, pleine de joie et d'amour. Il avait profité de leur amour, de leur tendresse, il avait testé leurs limites, leurs avait fait voir les pires facettes de son être, avait voulu voir à quel point ils tenaient à lui. Sans raisons particulière, sans aucune joies recueillis à l'arrivée, juste pour voir si leur amour était aussi inconditionnel qu'ils le prétendaient. Xavier avait eut besoin de cette phase, de ces moments où il lâchait tout et devenait autre chose. Il n'était pas toujours gentil, il n'était pas toujours joyeux, il n'était pas toujours souriant et plein d'entrain. Il était incontrôlable, inoubliable, violent et impulsif. Il vivait comme si chaque jour était le dernier, il vivait comme si sa vie n'était d'un fil qui risquait de se casser à chaque seconde. Il avait tellement vécu avec le fait de croire que son père biologique était dans la nature, autre part que dans cette angleterre qui l'avait accueillis à bras ouverts qu'il n'avait jamais pu pensé que ce père était celui juste en face de lui. L'annonce avait été dure, rude à encaisser et difficile à avaler. La vérité. C'était ce qu'il demandait depuis des jours, des semaines, des années. Il ne mentait pas, il était franc dans tout ce qu'il faisait, se donnant à cent pour cent, sans compromis, sans restrictions. Il était entier et c'était la seule chose de bien que l'on pouvait dire sur lui sans dire "mais" quelques instants après. Il était tellement entier que cette sois disant soirée qui devait réunir toute l'université il y a quelques jours lui avait fait l'effet d'une bombe. Il était dévasté par cette dispute avec Lysa, par cette distance qu'il y avait maintenant entre eux. Il avait besoin de sentir bien à nouveau, de voir la vie comme un kaléidoscope de couleur, d'être en paix et assez haut dans son esprit pour ne plus penser à ces choses horribles qu'il avait faite, à ces choses affreuses qu'il avait pensé, à ces choses impensable qu'il avait failli faire. Prenant son téléphone sur sa table de chevet, il envoya un message à la seule personne capable de le faire se sentir bien à cet instant. Charlotte. Elle était comme lui. Dévaster. Ils se faisaient du mal mais ensemble ils étaient si bien. Ils étaient en train de foutre leur santé en l'air, d'être plus dépravé qu'autre chose mais c'est ainsi qu'ils se sentaient bien, qu'ils étaient libérés de leur enfer sur terre. Ensemble, ils étaient au dessus de tout, juste ensemble, le sourire aux lèvres et les yeux injectés de ce rouge précieux. Rejoins moi au port. Pas d'explications, pas de mots en plus, pas de à tout à l'heure. Rien. Simple, précis et sans détour. Enfilant son pantalon et un t-shirt moulant qui montrait bien plus que sa musculature avantageuse, il fourra son téléphone dans son jean, prit sa veste et partit sur sa nouvelle moto. Pas de casque. Après tout, il avait déjà tellement perdu. Et la chaleur infernale de San Francisco le dissuadait de le prendre. La route était vide, mais l'air dans ses cheveux et l'odeur de cette mer qu'il longeait lui donnait envie d'aller encore plus vite, toujours plus vite. La port était à quelques minutes de chez lui, et très vite, il vit la silhouette fine et menue de son ami. Elle était belle, c'était sure et certains et par bien des moyens, Xavier avait une attirance pour elle, mais elle n'était pas son type, trop fine, trop brune, pas assez blonde, pas assez particulière. Elle était Charlotte, et ça changeait tellement le jeune homme des blondes qui lui faisait tourner la tête. . Salut, le port ? On t'a contraint à choisir ? . Xavier n'avait pas besoin de répondre à la seconde et prit le joint entre les doigts délicats de la jeune fille. Il tira une latte profonde et intense. Elle lui embrouilla certaines pensées, mais pas assez à son goût. . Salut. On ne m'a pas contraint, j'aime juste cet endroit. Dans dix minutes, il est vide de monde et les dealeurs sont de sortis. . Il avait vécu pendant cinq ans à San Francisco avant de connaître Charlotte, il savait où se trouvait les bons coins pour acheter de la drogue et sans avoir de risque de se faire choper par un policier trop encombrant ou une jeune fille trop insistante. La foule qu'il voyait derrière ses Ray Ban était un tissu de gens trop peu bien habillé ou trop peu habillé. Il prit le bras de la jeune fille et l'entraîna sur sa moto. Quelques mètres plus loin, ils virent un bout de plage abandonné, trop petite pour qu'on puisse y installer quoique ce soit, mais assez isolé pour faire les conneries que l'on peut attendre avec ces deux là. . C'est mieux ici. J'ai quelqu'un qui va venir dans pas longtemps. . Sortant un sachet de son coffre de moto, il prit une serviette à étandre sur le sable fin, afin de ne pas agresser le jean préciaux qu'il portait sur ses magnifiques hanches. C'était loin de faire appel à du romantisme, loin de là. Une bouteille de vodka, un peu d'herbe dans un sachet hermétique, un autre plein de poudre blanche et de petits cristaux. Ils allaient se mettre la tête à l'envers et ce n'était pas encore fini. Ce n'était que les fins de soirées précédentes. . Ce soir, on se met la tête à l'envers ma jolie brune. . Sourire énigmatique et baiser langoureux, ils allaient mettre leur corps à rude épreuve, mais leur esprit aussi.
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MessageSujet: Re: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyVen 23 Mai - 21:31




CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_mnwc3oVolY1qbr5j0o1_500 CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_lpd4mrhACR1qicibqo1_500

Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs

hommes.


Cela demande seulement un peu

d’imagination


et beaucoup d’organisation.

Avec P-Xavier L. Cavendish





Ma rencontre avec Xavier me consolait en quelque sorte, pourtant il n’était pas doux avec moi , pas de mots gentils, pas de compliments , pas de gestes affectifs. Juste nous et pourtant ça me faisait du bien, je me sentais vivante avec lui, je savais qu’il ne pouvait pas me juger car il était aussi mal que moi. Je ne savais pas ce qu’il le dévasté nous n’en n’avions jamais parlé d’ailleurs mais à quoi bon ? Nous passions nos soirées ensemble c’était bien pour oublier n’est-ce pas ? D’habitude mes coups d’un soir bizarrement je garde contact avec eux, ils deviennent mes amis ou je les cases ou il y a de la séduction. Mais avec Xavier c’était différent, quand nous couchions ensemble c’était pour se sentir vivant, c’était fort, puissant , et sans limite. Mon côté séductrice était encore plus ressortie avec lui, j’allais au bout de mes retranchements et lui aussi d’ailleurs. Je me disais que si un jour on arrêtait de se voir car l’un ou l’autre allait mieux nous ne reverrions plus. Je dois l’avouer que je le remerciais d’être là avec moi au fond de moi, car certains hommes pourrait abusé et me faire des choses tordues mais lui avait ce respect malgré tout. C’était pour ça qu’aujourd’hui j’avais accepté de le rejoindre je ne lui avait même pas répondu mais il savait que j’allais venir. Nous pourrions presque croire à une amitié pas besoin de mots, de superflus on se comprend en un regard , un geste. Xavier était plutôt pas mal de son genre mais il avait dans son visage ce petit côté enfantin qui pouvait ne pas plaire, mais ne croyez pas qu’il est saint pas du tout un vrai démon. Mon démon. Nous nous entrainions dans nos malheurs mutuels sans jamais en parler. Et après une soirée avec Xavier, j’en voulais encore je n’étais jamais rassasié de lui, de nos moments où l’on planait, de ces fois où l’ont riait comme des drogué. Ah oui pardon nous sommes des drogués. Je ne peux pas vraiment vous dire la première rencontre comment ça s’était passé, je crois que nous étions en boite j’étais déchirée lui aussi et ça c’est fait naturellement. J’étais devenu en quelques mois le pansement de plusieurs hommes dans cette ville, j’étais celui de Lucas, de Jax, d’Aiden, de Julian, et maintenant celui de Xavier. Pourquoi je me comparais à un pansement ? Quand un des hommes souffrait ou était en manque on m’appelait pour que j’apaise cette douleur et aussitôt qu’on avait plus besoin de moi on m’arrachait. Sauf que moi à la différence des autres pansement je ne faisais pas mal, je ne rappelais jamais. Et c’est sûrement pour ça que Xavier semblait m’appréciè il savait que s’il me laissait un jour ou l’autre à mon propre sort je ne lui en voudrais pas. Je n’avais plus de cœur ou du moins si il était mâchouillé par la haine. J’avais que de la haine envers moi. Je me détestais. Je ne vous ai pas encore dit pourquoi ? Vous vous souvenez peut-être de Lucas, l’homme que j’avais rencontré à la salle de sport, et bien figurez vous que c’était l’amour de la vie à Léonie. Sympa la cousine ? Je ne pardonnais pas à ma propre mère comment Léonie pouvait me le pardonner sans compter que j’ai aussi couché avec Deeklan son ex. Malgré que je n’étais pas au courant cela ne justifiais pas la peine que j’avais causée. Et ce soir je savais que je pouvais faire ce que je voulais avec Xavier personne n’allait me le reprocher. Je ne parlais pas de ces histoires à Livia et Astor car je ne voulais pas les décevoir c’était la prunelle de mes yeux. J’en avais vaguement parler à Aengus et Arielle. Mais ce n’était pas mon sujet favori. Quand Xavier arriva je me sentais soulagé, j’arrivais à passer par-dessus ma connerie. Sans prononcer un mot il me prit mon joint. Puis il m’expliquait qu’il aimait bien cet endroit je lui souriais sans poser de question. Je savais qu’il connaissait mieux les lieux que moi car quand je l’avais rencontré il m’avait dit qu’il avait déjà vécu ici. Nous prenions sa moto sans casque après tout j’étais une Gamma je n’avais peur de rien, ni même de la mort. Nous avions trouvé un bout de plage abandonné et nous nous y installions. Je savais que Xavier aller ramener quelque chose, du coup j’avais ramener moi aussi quelque petites chose. Il sortait une serviette, je savais que ce n’était pas pour que je m’y installe. Du coup j’avais ramener une sorte de drap avec bob marley dessus merci le cliché. Je souriais comme une conne. Il sortait toute son artillerie. Je lui souriais sans parler j’attendais qu’il soit installé pour moi aussi parler et lui montrer ce que j’avais ramener.


Je te fais confiance là-dessus.


Lui avais- je dis dans un clin d’œil, je sortais ma bouteille de téquila, des citrons. Puis je le regardais avec malice. J’avais des champignons hallucinogènes. Je ne savais pas si c’était sa came mais moi aussi j’avais de quoi me fournir, j’avais aussi des restes de nos soirées de la poudre de l’herbe. Je le regardais avant de lui tendre ces dits champignons :

Bon nouveauté ce soir j’ai ramener ça , ça te tente ?


Puis je lui souriais en reprenant la fin de mon joint qu’il m’avait volé. Comme à mon habitude je ne portais rien sous ma jupe. Car c’était chiant les sous-vêtements puis c’est pas comme si un bout de tissu allait faire peur à un homme alors autant s’en débarrassé. J’avais ramener aussi une enceinte mobile vous savez la Pills de Beats celle qui a été reprise dans le clip de Blurred Lines . Bah voilà je l’avais car même si nous étions bien à deux une petite musique d’ambiance nous ferrez pas de mal. Je lui souriais avant de me mettre sur ses genoux, directement plaqué contre sa virilité que je pouvais sentir à travers son jean et lui chuchotait entre ses lèvres :


Il arrive dans combien temps ton copain ? J’ai envie de jouer un peu.


Lui avais-je dis d’une voix suave et bien trop sexy pour qu’il puisse me dire non. S’il prétendait me connaitre ne serait-ce qu’un peu il savait que ce n’était pas de sexe que je voulais parler mais de la façon d’ingérer tout notre alcool et notre drogue. Pourquoi j’avais ramener des citrons à votre avis. Vous connaissez les teq paf’ ? Un verre de téquila, du sel et du citron. Version Xavier , un shot de téquila posait en équilibre sur son bas ventre , de la coke du milieu du torse au bas du cou, et pour finir le quartier de citron qui tenait entre ses lèvres. Un brin sexuel, mais tellement plus agréable que de prendre nos bouteilles en bouche. Je m’humidifia les lèvres à cette idée, et sans contrôler mes dents je me mordais la lèvre intérieure. Espérant une réponse positive de sa part. Puis surtout il savait qu’il pouvait jouer avec mon corps tant qu’il voulait. Je voulais juste commencer la soirée autrement que par des gorgées et de la fumette.





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MessageSujet: Re: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyMar 3 Juin - 0:14

La journée était sur la fin, le soleil n'allait pas tarder à donner ses dernières forces, à éclairer une dernière fois pour ensuite faire place à cette pseudo planète, ce satellite qui éclairait la nuit de ses rayons froids. La lune pointait le bout de son nez, émergeant dans le ciel alors que le soleil n'avait pas encore cédé sa précieuse place si longuement occupé durant la journée. Xavier regardait le ciel sans aucunes pensées, il regardait pour regardait. Le cannabis faisait son effet, il se sentait calme et détendu, prêt à faire n'importe quoi mais pas avec n'importe qui. Charlotte. Sa douce et démoniaque Charlotte. Les yeux dans le vague, sa bouche sur la sienne, c'était un combat dans leur relation qui s'exerçait tous les jours. Leur langue bataillait, voulant prendre le dessus sur l'autre. Aucuns gagnants, il n'y avait jamais de gagnant. C'était la guerre qui était importante, pas son issus des plus tragiques. C'est ce qui était dommage dans une guerre, qu'elle finisse. Qu'importe le type, c'est la guerre, la lutte, la chasse qui était excitante, qui donnait cette adrénaline à toute épreuve, cette envie de tout détruire, de reconstruire, et recommencer encore et encore. Le russe était ainsi, autodestructeur. Il ne découvrait cette facette de lui qu'avec Charlotte. Ce petit démon dans ce corps filforme le rendait fou, complètement fou. Il n'était plus le même. Il était odieux, affreux, mélancolique, nymphomane. Il ne se retenait pas, laissant parler ses instincts les plus primaires et faisant face au monde avec sa face cachée, son côté sombre. Xavier était russe ne l'oublions pas, il avait l'alcool facile, la colère sous la peau, la rage dans les yeux. Il était l'incarnation de la sensibilité et de la destruction à l'état pur. Sa vie entière était un vaste mensonge destiné à une finalité complètement absurde. Il voulait changer ça, changer une vie beaucoup singulière. Il voulait redevenir cet adolescent prit dans un engrenage de plaisir et de batailles constante. Il ne voulait pas être cette personne emprisonnée dans une cage dorée et parsemée de diamants. Il n'était pas ça. Il était différent. . Vu comment je suis haut là, ça me dit bien de continuer à le tester. . La tête dans les nuages, c'est exactement son état d'esprit du moment. Les champignons avaient agis vite, très vite. Étais-ce à cause du joint emprunter peu de temps avant ou la rapidité des substances renfermés dans ce végétale âcre au goût ? Dans tous les cas, la proposition de Charlotte ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd et très vite les mains du jeune homme étaient occupés à autre chose qu'à tripoter des champignons douteux. Baisers fougueux, mains baladeuses. Xavier se rendit bien vite compte que sa compagne ne portait aucuns sous vêtements sous sa jupe légère. Un sourire tordit le visage angélique du jeune homme. . Perverse ! Tu penses qu'on va jouer à ce jeu là ce soir sans doute ?! . Il plaqua la jeune fille sans aucunes délicatesses sur le sol granuleux fait de sable et de pierres. Elle poussa un petit cris de surprise mais pas de douleur. Elle était coriace la gamma. Sous ce visage anguleux, ce corps mince, à la limite du maigre, elle cachait une force étonnante vu la brutalité dont faisais preuve Xavier à son égard certains soirs. Leurs baisers étaient trop intenses, il ne fallait pas brusquer les choses avant l'arrivé du fournisseur. D'ailleurs, ce dernier arriva à point, juste à temps pour les empêcher de passer à l'acte dès maintenant et de tomber dans cet état de coït total qui n'en finissait pas avec eux. Une fois la machine enclenché, il était difficile de la stopper. . Cavendish, j'ai ta came mais pas vraiment envie de voir un porno en direct. . Xavier grogna un peu et se releva en essayant de remettre Charlie dans une position plus élégante, même si rien ne l'était dans cette nuit qui allait commencer. Il fit face au jeune gringalet qui pensait pouvoir l'appeler par son nom de famille de manière si négligé. Les traits durs, les yeux sombres, voilant le gris si éclatant qui y résidait habituellement, Xavier donna l'argent à ce dealeur réputé et prit sa came. Extasie, petite poudre blanche bien connu, cristaux à chauffer pour un maximum de plaisir, Xavier n'allait pas ressortir indemne de cette nuit avec Charlotte. Il renvoya le jeune homme qui pensait pouvoir participer avec un coup de pied au derrière bien résonnant et s'assit avec la brune sur la serviette, le torchon, la natte ou ce qu'elle voulait. Étalant les provisions de la nuit dessus, il tria les feuilles de cannabis et roula des joints, éparpilla un peu de cristal prêt à la consommation avec la cuillère et le briquet, prit une planche derrière son dos pour y déposer la poudre et sa carte de crédit pour y faire les rails de coce. C'était un plateau de mort devant eux. Mais il n'allait que voir les portes, pas les franchir. Prenant la bouche de Charlotte avec brutalité, il lui fit une merveilleuse soufflette avec le joint préalablement préparé. Les yeux injectés de sang, il avait une tête de mort sous la lune montante. . Prêt à aller en enfer ma petite diablesse ? . Se penchant sur le sol, il sniffa sa première rail. La première d'une longue ligné qui allait suivre. Le nez enfariné de poudre, il se leva en tanguant afin de prendre la bouteille qui était à à peine quelques mètres. Un état lamentable. Voilà comment il voulait être à la fin. Dévissant le bouchon, il avala une bonne lampée de vodka. Il était russe après tout, il devait supporter cet alcool fort sans le moindre diluant. Il revint à sa place, proposa la bouteille à Charlotte. Le joint toujours à la main, il fuma, aspira, respira la marijuana, la seule putain d'herbe que Dieu avait eu raison de mettre sur cette maudite planète. . Alors, on la joue à la Effy et Cook, comme dans Skins. . Il était anglais aussi, il avait des bases.
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MessageSujet: Re: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyMer 4 Juin - 23:06




CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_mnwc3oVolY1qbr5j0o1_500 CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_lpd4mrhACR1qicibqo1_500

Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs

hommes.


Cela demande seulement un peu

d’imagination


et beaucoup d’organisation.

Avec P-Xavier L. Cavendish





L’autodestruction. Qu’est-ce que l’autodestruction ? C’était se détruire, brûler chaque partie de son âme au plus profond, avoir des frissons quand vous frôlez la mort, n’avoir envie de voir personne. Se déchirer, se battre, se débattre, lâcher prise. Se reconstruire au fur et à mesure. Moi j’avais mieux que ma peine, et la drogue. J’avais ma drogue. Xavier. Chaque fois que j’étais en sa présence je désirais chaque millimètre carré de son corps, chaque nanoseconde qui passaient en sa présence étant un supplice tant je voulais être encore plus proche de lui. Mon démon. Il était devenu en quelques soirs ma drogue, ma dose quotidienne. Il était d’une magnifique cruauté. Avec lui mon côté nymphomane, droguée, surexcitée, impulsive et directe. Alors que je goûtais ce champignon que je lui avais proposé c’était bizarre en goût mais très vite l’effet se faisait. Je flottais littéralement, je me sentais sur un petit nuage. Que j’étais bien, je commençais à percevoir quelques teintes de couleur que je ne voyais pas d’habitude. C’était magnifique. Et visiblement mon démon apprécier ça aussi puisqu'il en reprenait une bouchée de ce végétal. Alors que j’étais sur lui pour sentir la chaleur de son corps encore plus près du mien. Il relevait sa tête pour m’embrasser avec fougue. Un frisson parcourait tout mon corps, je souriais tout en l’embrassant. Ses mains se baladaient sur mes cuisses ma peau se réchauffée de plus en plus sous ses doigts. Il ne fallait pas qu’il continue longtemps, sinon je ne me retiendrais plus.

Je n’en doute pas, un démon n’a peur de rien non ?

Son sourire était si démoniaque et si absorbant. Que je ne me rendis même pas compte qu’il me plaquait sur le sol de façon abrupte. Je poussais un cri de surprise tout en souriant nous étions en symbiose. Je me sentais vivante avec lui, oh que oui. Le fait qu’il était violent avec moi me faisait sentir vivante. Le fait d’avoir mal sous la pression de son corps, de me sentir me briser à chaque mouvement. Le fait qu’il me prouve sa puissance masculine quand il me caressait. Tout était une lutte avec lui. Nous étions vivants comme ça. J’avais besoin de sa brutalité, pour être encore plus perverse. C’était un cercle vicieux. Nos baisers était trop intenses j’avais entouré mes jambes autour de sa taille pour qu’il soit encore plus près de moi. Ma langue défiait celle de mon diable. J’étais toute tremblante, je n’allais plus tenir. Mes doigts passés sous son tee-shirt. A chaque fois que nous succombions à la tentation des plaisirs charnels nous y passons bien plus de temps qu’à la normale. Une voix gâchait ce moment de fusion entre nous, un soupir d’agacement sortit de mes lèvres. Je regardais son dealer de façon assez noir. Xavier me rasseyais tout en baissant ma jupe afin qu’il n’y est que lui qui puisse profiter de la vue. Xavier paya le dealer, c’était un soir moi, un soir lui. Je ne voulais pas être sous son crochet. Il était en train de préparer notre terrain de jeu, je souriais de toutes mes dents. J’aimais le regarder faire c’était apaisant puis il avait l’air d’aimer ça. Je ne savais pas si nous allions tenir avec tout ce que nous allions ingérés ce soir mais j’étais avec lui c’était le plus important. Je ne savais pas comment qualifier notre relation tant c’était étrange. Quand j’allais mal je lui envoyé un sms pour qu’on se rejoigne quelque part et à deux dans nos malheurs on trouvait notre bonheur et vice-versa. C’était peut-être ça l’amitié, être là dans les bons comme les mauvais moments. Le diable m’extirpa en prenant avec brutalité mes lèvres en m’administrant sans prévenir une magnifique soufflette. Je soupirais de désir, quand je sentais la fumée passée dans ma gorge, ses lèvres diaboliques sur les miennes, mes yeux rougissaient également.

Absolument, mon diable.

Alors qu’il s’enfilait son premier rail de coke, je lui prenais son joint qu’il avait encore entre ces doigts. Il ne tenait déjà plus debout je riais sans me moquer la défonce commençait à monter pour moi également. Quand il revenait à sa place je lui redonnais son joint, m’en allumant un autre. Je pris la bouteille qu’il me tendait. Je bus trois longues gorgées, l’alcool brûlait dans mon œsophage c’était ça que j’aimais. Ce soir je voulais plus, toujours plus. Et il était là pour ça. Quand il me proposa de la jouer à la Skins je ne pu m’empêcher de lui sourire. Avant de me venger en lui faisant une soufflette à son tour avant de me lever un peu trop brusquement. Je titubais mais je me mettais face à lui avant d’enlever mon haut tout en riant.

Si tu me suis tu n’auras plus qu’à…

Je défaisais un peu le zip de ma jupe tout en le regardant avec désir, envie. Il était le diable et j’étais sa compagne. La bouteille toujours en main je bu une gorgée tout en laissant quelques gouttes entre mes seins. Tout en lui souriant de manière coquine. Je me reculais de lui pour aller à l’eau. J’avais chaud et si je n’allais pas me refroidir il allait voir le spectacle du diable en personne. Je posais délicatement la bouteille sur le sable. Tout en tirant une latte puissante sur mon joint, en fermant mes yeux. Je me sentais bien, libre, désirée, vivante.

Tu viens ?

Lui avais-je dis de façon un peu trop sexy. Je voulais qu'on passe un bon moment lui aussi d'ailleurs sinon il ne m'aurait pas choisit non ?




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MessageSujet: Re: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyMar 17 Juin - 20:44

I can't be your hero if I can't save myself

we're evil together ; xavier & charlotte Il était au bord du gouffre ... Non, il est au bord du gouffre, près à sauter les deux pieds joints du haut d'une falaise et à subir la sentence ultime de sa vie. Il était beau, magnifiquement beau, près à en finir mais pas tout de suite. Il lui fallait vivre, il lui fallait être assez fort pour ne pas tomber de suite. Être en équilibre, toucher du bout des doigts le vide absolu et ne pas regarder en arrière en ayant des regrets. Il avait fait tout ce qu'il pouvait. Il avait supplié, c'était mis à genoux, s'était forcé à se répéter encore et encore qu'il était près pour la présentation à sa famille. Il avait faillis l'y emmener, dans sa chère Angleterre, ce pays si beau et agréable. Mais elle avait dit non, elle avait refusé encore et encore, brisant le coeur du jeune homme avec ses talons qui étaient si étrange pour elle. Xavier l'avait perdu, encore une fois et maintenant il se perdait lui même. Il s'était perdu avec Eileen dans les rues de San Francisco, ils avaient perdu leur chemin, leur vie n'étant plus qu'un amas d'horribles et terribles choses incompréhensible, intolérable à regarder, inhumaine. Ils étaient perdus dans leur vie et ne savaient pas comment se remettre en selle sans tout briser sur leur passage. Tout comme avec Charlotte. Ils étaient des enfants perdus, des adolescents qui avaient raté leur voie, des adultes qui se détruisaient tous sur leurs passages et ne laissaient rien derrière eux. Ils étaient sans doute convaincus que si ils mourraient, il n'y aurait personne qui pleurerait leur mort, leur disparition. Se détruisant mutuellement, ils se donnaient un plaisir authentique et réel. Il n'y avait pas d'attaches, pas de sentiments, pas d'amour ou même une once d'amitié. Seuls sur ce petit bout de plage abandonnée au beau milieu d'un port presque abandonné, ils étaient là, profitant des plaisirs que l'autre pouvait leur donner. Pas la moindre envie de partir, de voir le monde d'un oeil différent. Ils étaient bien comme ça, ensemble, totalement à l'abandon sans aucunes attaches ni restrictions. Xavier profitait des moments comme ça, ceux avec Charlotte qui était sans doute la seule personne au monde à ne voir que le mauvais côté du jeune homme et à l'apprécier à cause de ça. Ensemble, il n'y avait pas de lois, pas de règles. La seule chose à laquelle ils étaient bon ensemble, c'était se détruire et ne rien dire de plus que ce qu'ils avaient envie de faire. . Je n'ai peur de rien, tu l'as bien compris. . Ils se battaient pour la domination, pour atteindre l'autre dans ses recoins les plus sombres, pour le mettre à terre et affirmer son autorité. Mais aucuns des deux ne gagnaient. Trop semblables, trop différents. Ils n'étaient bons ni pour l'un ni pour l'autre, mais ils aimaient tellement se faire du mal. Leurs caresses avaient des allures de combats, leurs baisers étaient violents, leur envie de l'autre était incendiaire. L'interruption du dealer calma quelque peu le jeu, la bataille, ils n'en savaient rien. Indéfinissable, tel était l'adjectif qui définissait leur relation. Le paradoxe de leur entente était qu'ils n'avaient presque rien en commun. Charlotte était issue d'une famille avec des frères et des soeurs, de parents divorcés, était française et avait un passé sentimental lourd de ce qu'ils se racontaient lors de leur dérive. Alors que Xavier était un adopté, une pièce rapporté, des parents aimants mais qui n'était pas assez présents, un coeur gros comme le monde mais aussi fermé qu'un coffre fort. Il se fermait au monde, peut-être un peu trop. Mais son sourire d'ange rattrapait le coup, et il faisait voir le monde d'une autre manière, de la manière dont il voulait. La fumée de la Mary Jane les embaumait d'un doux parfum âcre et d'un halo de plaisir illusoire. Ils étaient bien au paradis, complètement sur une autre planète, près à se laisser emporter par une vague de désir et un océan de plaisir fictif. La bonne lampée de vodka avalé, la gorge en feu et les yeux injectés de sang, Xavier ne ressemblait plus à rien. Cela faisait près d'une semaine qu'il était dans un état lamentable, complètement hors de contrôle, à la dérive et sans la petite Lysa pour le ramener sur le droit chemin. Il regarda la jeune fille se déshabiller face à lui. Ses beaux yeux étaient pleins d'envie, de désir. Elle alla vers l'eau, l'aguichant ouvertement, faisant tout pour qu'il vienne éteindre le feu qui brûlait en elle. Il ne fallait pas le dire deux fois. Les pieds incertains, la tête lourde, Xavier retira son t-shirt de la manière la plus sexy qui soit même dans un état aussi horrible que le sien. Ses pectoraux étaient luisant de la sueur fine de la nuit, complètement à la merci de la jeune fille à la jupe tombante. Il ôta son jean, le laissant dans un boxer qui moulait juste assez pour attirer les yeux de la jeune femme. Mais il avait prévu le coup le omega. Un boxer à poche, et dans cette petite poche sur sa fesse droite et musclée, il y avait une ribambelle de capote prête à être utilisé. Xavier était un séducteur avant tout, un chaud lapin, un homme à besoin et qui sautait sur tout ce qui bouge sans aucuns scrupules. . Attention à toi Charlotte, tu risques la combustion spontanée. . Il finit le joint qui était dans sa main, reprit une rail de coke et se lança à l'assaut de la jeune fille en feu. Les deux jeunes gens étaient heureux, les yeux rouges de plaisirs et le rire facile. Xavier avait perdu ce visage complètement démoralisé qu'il avait arboré durant de longs jours qui semblaient interminable. Avec Charlie, il était libre d'être qui il voulait. Et même si sa vie ressemblait à un conte de fée qui tournait mal, il ne voulait pas que ça s'arrête. Il voulait vivre. Il prit la jeune fille par les hanches et elle accrocha ses jambes autours de sa taille. Leur baiser brûlant avait ravivé la flamme que l'eau tentait désespérément d'éteindre. L'envie était là, et les mains étaient partout. Mais quelque chose clochait à un moment donné. Charlotte. . Charlotte, qu'est-ce qu'y se passe ? .

Spoiler:
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CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_mnwc3oVolY1qbr5j0o1_500 CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_lpd4mrhACR1qicibqo1_500

Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs

hommes.


Cela demande seulement un peu

d’imagination


et beaucoup d’organisation.

Avec P-Xavier L. Cavendish





Cela faisait une semaine que j’étais dans un état lamentable. Lamentable n’était même pas un mot assez juste pour dire ce mon état tant il était désespérant. Je voyais tous les gens autour de moi s’aimer, s’enivrer, être à deux tout simplement. J’avais passé la semaine seule à mon appartement ne voyant pas le jour à me descendre des bouteilles de téquila, juste pour dormir et ne jamais me réveiller. Je sniffais pour m’activer pour aller me chercher à boire et me droguer. Puis je remontais pour fumer, prendre mes pilules magiques, et celles d’Aengus, puis je prenais encore de la téquila pour faire avaler tout ça. Je ne voulais plus être celle dans cette voie, et j’avais trouvé mon homme perdu. Xavier. Il était aussi paumé que moi, nous errions dans nos vies comme nous pouvions errer dans une pièce de mauvais goût, un mauvais drame. Je me lançais dans une vie que je voulais à tout prix arrêter. Je ne voulais plus être seule, j’avais besoin de compter, d’aimer, d’adorer et détester. Mais je n’étais qu’un corps vide, ou seuls les hommes passaient. Je n’arrivais plus à ressentir quoique soit. Le voir au bal, le voir aux bras d’une autre m’avait fait comprendre encore une fois que je n’étais rien d’autre qu’une fille de passage, la fille qu’on s’envoie en l’air et qu’on abandonne. Je ne comptais plus. Je ne comptais jamais, je passais en dernier. Je n’avais qu’une infime importance à certaines personnes. Si un jour je mourais je suis sûre que personne ne serait là pour pleurer ma mort, on se dirait elle est enfin partie cette salope, cette fille sans cœur. Comment ai-je pu détruire tout ce que j’étais en si peu de temps ? En quelques mois. Vous ne vous êtes jamais demandé que si un jour vous tombiez dans le coma, qu’est-ce que les gens diriez de vous ? Et ce que vous les manquerait ? Depuis des années j’essayais de tromper la mort, et me retrouver dans cet état pour enfin savoir qui j’étais et sur qui je pouvais compter. Mais je n’avais jamais réussis mes années en désintoxication n’avait mené à rien. J’étais heureuse d’avoir trouvé un homme qui m’appréciait que par mes défauts et qui en redemander encore et encore. J’aimais tout ce qu’il détester chez lui, son arrogance, son sarcasme, sa violence, son impulsivité, son côté maléfique. A deux nous étions plus forts dans notre malheur. Nous étions là dans cette plage abandonnée à s’adonner aux plaisirs les plus défendus, les plus inavouables. J’aimais quand le jeune homme me dominer, mais j’aimais pardessus tout le dominer à nouveau. Si je devais dire à quoi nous jouions c’était à l’autodestruction. Nous voulions absolument tromper la mort, aller jusqu’au bout avec lui je me sentais forte intouchable. Tout dans cette relation était une bataille, nos baisers qui avaient des allures de combats armés, les caresses qui ressemblaient à des fils barbelés qui brûlaient ma peau à chaque fois que ses doigts passaient sur mon corps. Nos souffles qui se mélangeaient dans le désir démoniaque que nous éprouvions l’un pour l’autre. Le dealer avait coupé nos envies le temps de quelques minutes. Ce qui me permettait de souffler un peu et de savourer ce moment de répit. Mais à son départ nous reprenions là où nous étions. Je le bouffais des yeux, je le voulais constamment en moi, avec moi dans ces instant où j’étais incertaine de ma raison de vivre ici. Il était mon opposé, un orphelin avec des parents aimants, sans histoire d’amour apparente. Dans nos moments terribles nous apprenions à nous connaître ce n’était pas de l’amitié. Juste des moments de répits. Alors que nous commencions à nous mettre réellement la tête à l’envers. Je m’étais levé difficilement tout en défaisant ma jupe, pour l’attirer à moi. Je voulais revivre dans ses bras, qu’il me pousse avec violence dans les plaisirs charnels. Le jeune homme enleva son tee-shirt comme dans les films les plus sexy à souhait. Mes yeux ne se détachaient pas de ce torse parfait, de ses gouttes de sueurs qui perlaient sur cet apollon. Il ôtait son jean pour me laisser voir ce qu’il m’attendait dans quelques instant, je me mordais les lèvres comme pour me ramener à la réalité. Je ne répondais même pas à ses attaques. Je terminais la bouteille d’une traite, je me l’étais faîte presque à moi toute seules. Je ne tenais plus trop sur mes jambes, mais je riais comme un enfant. J’étais dans un état euphorique, à la fois excitée et apeurée. A la fois tendues et à la fois molle. Le jeune homme avait perdu son visage grave qu’il avait au début de la soirée, et laissait sa place à son sourire angélique. Le jeune homme me prit par la taille et j’enroulais mes jambes contre sa taille. Alors que ses lèvres qui scellaient les miennes je caressais son visages tout en griffant son torse. Un mélange entre la douceur et la violence. J’avais besoin de lui indéniablement. Nous nous touchions comme des ados qui voulaient tout toucher pour savourer chaque millimètre carré du corps de l’autre. Nous avions quitté la rive de quelques mètres à cette hauteur je n’avais plus pied. Mes fesses fricotaient avec l’eau, alors que mes jambes étaient suspendues aux hanches de mon apollon. Mais très vite, je n’arrivais plus à tenir mes jambes, je ne voyais plus rien ou du moins je voyais tout se déformer peu à peu et prendre des couleurs inhabituelles. Je tremblais de tout mon corps, je devais être pâle à cet instant puisque mon Xavier essayer de savoir ce que j’avais. Je ne voulais pas revenir sur la terre ferme, pour que rien n’arrête son voyage je balbutiais :

Rien je…

Puis mes jambes lâchaient, mes muscles se raidissaient je n’étais plus dans l’étreinte du jeune homme. J’avais la tête lourde, les yeux dans les étoiles. Je n’avais pas pied et je coulais comme une pierre dans l’eau. Je fermais mes yeux, je ne pouvais –voulais- pas remonter à la surface. Je sentais l’eau glacée s’emparer de mon corps à demi nu. C’était ça la mort ? Ce sentiment où vous ne pouvez rien contrôler ? Malheureusement pour moi, mon acolyte ne voulait pas rejoindre le centre de la terre. Je sentais ses bras me récupérer pour me remonter à la surface. Je le maudissais. Pourquoi ne m’avait-il pas laissé mourir en paix, après tout je n’étais pas une grande pour lui ? Flasque il me ramenait sur terre m’allongeant contre le sol. Je transpirais, je commençais à perler de sueur. Mes yeux pleuraient de joie ou de tristesse. Je ne contrôlais plus ce corps, je ne pouvais pas faire un mouvement. Tout ce que me disais Xavier était déformé je ne comprenais plus rien. J’étais partie. Mais je réussissais un instant à ouvrir mes yeux, et je le voyais je lui souriais avec une joie qui était paradoxale avant de lui murmurer comme je le pouvais :

Merci d’exister.

Puis ma main se crispa, mes yeux tournaient. Je crois que mon cœur n’avait jamais battu aussi fort. Je commençais à trembler de tout mon corps. Je perdais ma couleur naturellement hâlée. Je fermais une dernière fois mes yeux, peut-être pour la toute dernière fois. Je m’endormais ou je mourais dans un sourire trompeur.



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MessageSujet: Re: CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" EmptyVen 20 Juin - 17:28

Don't do anything stupid or I swer, I'm gonna be mad

we're evil together ; xavier & charlotte Son corps était flasque dans ses bras, inanimé. Il avait l'air sans vie, complètement vide. Xavier sentait le froid prendre par dans les membres de la jeune fille, complètement gelé par la température du soir et non réchauffé par la brûlure de l'alcool. Panique. Il était en panique. Il ne savait pas quoi faire, quoi penser. Il était perdu, complètement à la dérive d'un événement qui pourrait changer sa vie. Depuis près d'une semaine entière, il malmenait la jeune femme, la poussant dans ses retranchements, la rendant presque inanimé avant de la faire revenir à la vie à l'aide de quelques caresses et substances bien trop dangereuses à fortes doses. Ils étaient ensembles, en vie, complètement animé, et bel et bien chaud, des corps chauds. Mais à présent, sur ce bout de plage qui était à l'abris des regards, avec cette table de rails de cocaïne et des joints préparés, les cristaux dispersés comme des diamants, reflétant les derniers rayons de soleil et captant la lumière de la lune, elle s'enfonçait dans les méandres d'une inconscience perdue. Charlotte était forte, elle ne pouvait pas mourir dans les bras du jeune homme. Mourir. Non. Pris d'un élan de conscience et d'un vent de panique intense, Xavier ramena la jeune fille sur la terre ferme, l'enroulant dans la serviette sur laquelle les jeux qui les avaient attendus précipitaient la fin de la vie de la jeune gamma. Il essaya de la réchauffer, de lui transmettre la chaleur de son corps à travers un contact proche, beaucoup trop proche. Le coeur du jeune homme battait à cent à l'heure, il tremblait de peur. Il ne voulait pas qu'elle meure, elle était la seule personne à pouvoir comprendre pourquoi se détruire de la sorte le sauvait. . Charlotte, il est hors de question que tu me laisses sur cette foutue plage tout seul. . Même quand il était en état de choc, le jeune homme ne voulait pas être seul. Il voulait que Charlotte se réveille, qu'elle lui fasse son sourire tordu et qu'ils se disputent, se désirent, se roulent par terre et aient une partie de jambe en l'air complètement endiablé. Il ne fallait pas qu'elle passe de l'autre côté, qu'elle soit celle qu'il entraînerait vers le bas. Il prit son téléphone. Essaya avec des doigts tremblants de composé le numéro des urgences et réalisa que les lieux sur lesquels ils étaient n'était pas propices à une intervention. Il ne voulait pas que la jeune fille meure mais il ne voulait pas finir en prison non plus. Il prit la jeune fille dans ses bras et la mit près de sa moto. Elle bougeait un peu, mais n'ouvrait pas les yeux. Prenant toutes les substances interdites dans ce pays et dans des dizaines d'autres, il les jeta à la mer et regarda s'éloigner au loin les causes de son mal être. C'était finit l'auto destruction accompagné. Si il voulait mourir, il le ferait tout seul. Plus jamais il n’entraînerait quelqu'un avec lui. Plus jamais Charlotte ne serait sa compagne. Plus jamais il ne serait ce démon contaminant les autres. Essayant de s'éclaircir les idées, il mit sa tête à l'eau, évacuant son surplus d'alcool dans un haut-le-coeur, sentant son estomac se serrer mais être encore plus libre que précédemment. . Allez princesse, accroche toi ! . Il la prit dans ses bras musclés et pleins d'eau, monta sur sa moto, essayant au maximum de la tenir fermement. Il lui avait rapidement remis ses vêtements dessus avant de l'enrouler dans la serviette de Bob Marley. Mettant en marche son précieux bébé, il prit la direction de l'hôpital.

Une heure plus tard Les médecins étaient confiants, il avait fait du mieux qu'il pouvait. La vie de la jeune fille était hors de danger et le jeune russe sentait une boule se réduire progressivement dans son estomac. L'air entrait enfin dans ses poumons, il pouvait respirer tranquillement et ne pas finir comme un fou. Xavier avait mis sa vie en danger, il avait été mauvais pour elle, il aurait du arrêter tout avant, bien avant. Charlotte avait faillis y passer. Une overdose. Elle avait eu une overdose. Il avait mené cette jeune fille qui ne lui avait rien demandé à faire une overdose. Pendant une semaine entière, ils s'étaient vu tous les soirs, ils avaient abusé de leur corps de toutes les manières possibles. Il était bien entendu impossible qu'ils en ressortent indemne. Mais Xavier aurait préféré que sa tombe sur lui plutôt que sur elle. Elle ne lui avait rien demandé, elle était juste tombé sur lui à l'aéroport alors qu'il voulait repartir après sa nuit avec Eileen. Elle lui avait donné de quoi se défoncer et il était resté. Il ne savait même pas pourquoi, il était juste resté. Il fallait qu'il l'a voit, qu'il voit dans quel état il l'avait laissé. . Excusez moi, la chambre de mademoiselle Charlotte De La Croix s'il vous plait. . . La 206 au bout du couloir au deuxième étage. . L'infirmière de l’accueil avait bien vu à quel point il était bouleversé, elle ne lui avait même pas interdit l'accès à sa chambre alors qu'il n'était pas de la famille. Elle l'avait vu apporté la jeune fille dans ses bras tremblants de froid à cause du vent et de l'eau et de la pluie orageuse qui les avait surpris sur la route. Xavier avait risqué sa vie, roulant à des allures folles à travers San Francisco. Mais il ne pouvait pas laisser la jeune fille mourir. A l'intérieur de l’ascenseur, avec son jean ultra cher sur les hanches et son t-shirt détrempé et plein de sable, ses cheveux en bataille mais toujours avec son air arrogant l'air de dire que même avec des fringues en mauvais états, il était toujours le plus beau dans cet hôpital. Et ouais, même au plus bas, Xavier Cavendish est le plus beau. Une vieille dame le regarde d'en bas, ce qui agace le jeune homme. . Quoi ? Je viens voir mon amie qui a fait une overdose et ma mère en phase terminale. Y'a un problème ? . Il avait menti à moitié. Dire que l'on allait voir quelqu'un qui avait fait une overdose et insérer la mère dans la même phrase attirant de la sympathie et non pas un rejet car on se demandait directement si ce n'était pas vous qui avait causé l'overdose. Arrivé à l'étage, il se dirigea presque en courant vers la chambre de Charlie. La pauvre petite Charlotte. Ses yeux étaient fermés, il entra dans la chambre sur le bout des pieds, essayant de ne pas faire de bruit malgré ses chaussures qui couinaient quelque peu. Mais ses constantes vitales étaient bonnes et il se réjouissait du petit bruit du monitoring qui annonçait que son coeur battait de manière régulière. Il s'assit à côté d'elle, prenant sa main. Il déposa un doux baiser. Il ne pouvait plus être violent avec elle, il avait faillis causer sa mort. Il sentit un larme couler sur sa joue, une seule depuis cet instant où il avait sentis son corps s'effondrer dans ses bras. Il ferma les yeux, essayant de garder son calme car on sait très bien comment Xavier devient quand il est en stress. L'autre apparaît. . Je suis désolé, Charlie. Tellement désolé si tu savais. . Il sentit alors une main sur sa joue, douce et agréable. Légère.
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CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_mnwc3oVolY1qbr5j0o1_500 CHAVIER : "Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs hommes. Cela demande seulement un peu d’imagination et beaucoup d’organisation" Tumblr_lpd4mrhACR1qicibqo1_500

Il n’est pas très sorcier d’avoir plusieurs

hommes.


Cela demande seulement un peu

d’imagination


et beaucoup d’organisation.

Avec P-Xavier L. Cavendish




Une semaine ça faisait une semaine que j’avais rencontré le jeune homme et toute ma vie a changée. Il avait fait ressorti la Bad Charlie. Celle qui s’enfiler de la coke en buvant de la Téquila tout en alternant avec une pipe à crack. Et oui, avant de connaître le beau Xavier, et même avant mon arrivée ici, j’avais complètement sombré. Pas de la petite manière qui soit, non ça serait trop beau sinon. J’étais devenue une pute à mi-temps qui pour s’acheter sa dose, ou juste se faire du fric autoriser les hommes de son université à coucher avec elle. Sans parler des soirées d’école de commerce, quand vous faîtes partie d’un BDE d’une des meilleures écoles françaises, vous n’êtes plus la même. Charlie que j’étais à cette époque avait appris à aimer aussi bien les hommes que les femmes. J’étais allée quelques mois en cure de désintoxication pour la simple et bonne raison que si je n’y serais pas allée on m’aurait accusé de recel et mon père ne voulant pas que j’entache ma vie professionnel m’y avait emmener. Cette période de ma vie est un peu mon petit jardin intime, que personne ne connait. Alors oui je savais me mettre la tête à l’envers et j’avais bien fait pire que ce soir. Je ne savais pas pourquoi ce soir plus qu’un autre j’étais dans ce mal-être inexplicable. Je m’explique. Xavier, je l’ai rencontré d’un aéroport par hasard, je fumais un joint comme à mon habitude, il avait l’air d’apprécier l’odeur et je lui proposais d’autre chose. Et il était resté avec moi à cet aéroport, puis nous avions continué chez lui ou chez moi je ne me souviens plus trop nos substances illicites. Puis nous avions très vite conclut que lui et moi ce n’était pas qu’une affaire de drogue puisqu’on y a mêlé le sexe et pas qu’un peu. Le matin nous repartions à nos vies mais dès que le soleil commençait à tomber et laisser à une couleur rosâtre nous rejoignions pour mieux nous consumés. Combien de fois nous jouions à ce que je sois au bord de la mort pour qu’il me réveille en me faisant l’amour. C’était ça qui était excitant entre nous, pas de frontières, pas même la mort, non nous étions plus fort que ça. Rien ne pouvait nous arrêter sauf ce soir. Le jeune homme prit de panique essayais de me ramener la vie comme les autres fois, je sentais son corps chaud, j’avais qu’une envie le rassurer et lui dire qu’il ne s’en fasse pas que j’étais là. Mais impossible de bouger ni même de prononcer un mot. J’avais honte. J’aimais le regarder faire sa tête de chien battue quand je lui refusais quelque chose, et qu’il faisait son petit sourire angélique pour l’obtenir, et je craquais volontairement car j’adorais ça. Il était ma dose quotidienne de bonheur. Je ne me voyais pas un seul soir sans lui, durant cette semaine. Xavier s’écarta de moi et c’était à ce moment-là que je l’avais remercié d’exister. C’était peut-être étrange, mais je ne m’étais jamais sentie aussi vivante qu’à ce moment-là. Je sentais la panique de Xavier j’entendais ces mots, mais le froid avait prit part dans mon corps sans que je puisse y faire quoique soit. Le jeune homme m’habilla, et je me sentais honteuse, qu’il m’habille. Je me sentais comme une incapable, mes yeux avaient assez de force pour pleurer. Puis il me place à côté de sa moto, j’entrouvrais les yeux mais ce n’était pas possible ils brulaient trop pour que je puisse le voir. Quelques secondes après, il me mit sur la moto et m’emmena je ne sais où. J’essayais de m’accrocher à lui, mais mon corps était lourd et mes paupières aussi. J’avais tout simplement quitté mon corps.

Une heure plus tard : J’ouvrais légèrement mes yeux, une douleur incroyable me venait aux jambes et aux bras. Je ne pouvais tout simplement plus les bouger comme s’ils s’étaient ankylosés un à un. J’avais des tubes de partout qui passait par mes bras, et qui aller dans mon nez jusqu’à l’intérieur de ma gorge pour m’aider à avoir une respiration normale. Je refermais mes yeux, ils étaient encore trop lourd pour que je les ouvre. Je respirais peu à peu, j’essayais de me souvenir un peu de comment j’étais arrivée là, je me souvenais finalement de tout. Une larme coulée sur mon visage, comment j’avais pu faire ça à Xavier. Je le connaissais un minimum et je savais qu’il s’en voudrait. J’enlevais ma larme avec un peu de difficulté. Puis je regardais à ma fenêtre, comme si mes larmes avaient enlevé cette douleur. J’essayer de trouver les mots dans ma tête pour m’excuser, pour lui dire que je ne voulais pas le laisser seul, que je l’entendais, mais que je ne pouvais rien faire. Mon cœur palpitait de plus en plus à l’idée de le décevoir. J’avais tellement honte. L’infirmière arriva et je lui demandais si elle pouvait m’enlever tous mes tubes et me refaire une beauté au cas si Xavier revenait. Elle me souriait, et accepta en me disant qu’il était dans la salle d’attente. Je n’arrivais pas à parler avec le tube dans ma gorge. Elle m’expliquait que c’était pour dormir ce soir je n’aurai pas le choix de le prendre. J’acquiesçais. La jeune femme m’appliqua un peu de poudre, un peu de mascara, et un peu de baume à lèvres pour enlever ces gerçures que j’avais eu avec le froid de cette nuit. Je la remercier. Mais le temps me semblait nous puisque je m’endormais à nouveau. Quelques minutes ou quelques heures après, j’entendais quelqu’un entrer dans la chambre, mais je n’arrivais pas trop à bouger alors j’étais restée là les yeux fermés. Et puis là, comme un électrochoc la voix de Xavier retentissait dans toute la pièce. Mes yeux s’ouvrèrent peu à peu, et je voyais cette larme qui perlait sur sa joue, je la ramassais d’un revers doux et léger. Tout en lui souriant. Il était encore trempé, les cheveux plein de sable et de sel. J’étais émue. Enfaite, je savais que dans chaque homme il y avait un cœur mais je ne pensais être que sa mauvaise partie de lui, celle qui pouvait se débarrasser aussi vite que j’étais venue. Sa larme m’alla droit au cœur, et mes yeux perlaient eux aussi mais je ne sais pas si c’est les médicaments qui me maintenaient en vie ou les restes d’hier , un petit rire s’échappa de mes lèvres avant de prendre la main de Xavier qu’il avait pardessus la mienne :

T’as pas intérêt à pleurer, on pourrait croire qu’on joue une scène romantique, et toute façon si tu verses encore une larme, je vais pleurer à torrent et on va inonder toute la chambre !

Lui avais-je dis dans un sourire. Avant de me relever un peu, oui malgré que je dois dans un état lamentable j’avais gardé un certain sens de l’humour, je ne voulais pas qu’il ait de la peine pour moi je ne méritais pas ça. Je lui caressais sa main du bout des doigts avant de lui dire d’un ton rassurant :

Xavier, je n’ai jamais été aussi vivante que cette semaine. Profites en je crois qu’ils m’ont mis un sérum de vérité. J’ai passé la meilleure semaine de ma vie, ça faisait des années que je n’avais pas vécues comme ça. Je suis tellement contente d’être tombée sur toi à l’aéroport, je pouvais faire ça qu’avec toi. Ne t’en veux pas, c’est moi… J’ai...

Je me raclais la gorge avant de rougir comme une enfant de honte. Il fallait que je lui dise la vérité, que ce n’était pas la première fois, et que j’étais habituée certains soir mon corps ne pouvait plus encaisser. J’avais maigris ces dernières années je ne pouvais pas m’enfiler tout ce que je pouvais m’enfiler comme avant et ça je n’arrivais pas à me l’admettre.

Hum, laisse tomber, merci d’être là tu n’étais pas obligé.


Avais-je finalement dit, je ne voulais pas le culpabiliser ou autre, c’était déjà assez dur de l’avoir fait vivre tout ça le temps d’une soirée. Je m’en voulais comme pas possible. Avec une force incroyable oui vraiment incroyable j’arrivais à me rapprocher de lui pour lui administrer un des baisers les plus tendres que je n’ai jamais donné d’ailleurs sur ses lèves qui étaient encore salés de la mer. Puis je caressais son visage avant de lui dire:

Je suis là maintenant..



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