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(les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.

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MessageSujet: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyDim 15 Sep - 15:06

Come Home by One Republic  ft. Sara Bareilles on Grooveshark

. " Dans une famille, on est attachés les uns aux autres par des fils invisibles qui nous ligotent, même quand on les coupe. " .
La soirée était arrivée. Il était temps de décompresser. Il était temps pour Jake de se rendre à son bar préféré. Boire et évacuer. Peut-être qu’il ferait une rencontre ou deux. Peut-être qu’il ne dormirait pas dans son petit appartement. En tout cas, une chose était certaine, il comptait tout oublier. Depuis, la rentrée universitaire, Jake broyait du noir. Il n’aimait pas retrouver ses habitudes. Même si ça ne faisait qu’une année qu’il était dans les locaux, le jeune homme avait du mal à gérer. Il était trop instable pour rester au même endroit, trop longtemps. C’était un papillon de nuit. Il avait besoin de voir d’autres horizons. Il avait besoin de changement. Seulement, il fallait avoir les moyens pour se permettre autant de luxe. Un détail que le jeune homme n’était pas prêt d’atteindre. En réalité, le rêve était tout ce qu’il pouvait gérer. Son imagination était sans aucun doute sa porte de secours. Alors, quand Jake se retrouvait devant cette dernière et qu’il n’arrivait pas à faire un pas vers elle, il décidait de prendre sa veste et le peu de liquidité qui lui restait. Il décidait d’aller au DNA Lounge. Bien entendu, il n’était pas question de prendre le taxi. Cela voudrait dire qu’il consommerait moins. Il n’y avait donc aucune dépense inutile. C’est pour cette raison qu’il faisait une partie du chemin à pied. La lune éclairait son parcours et sa musique encombrait ses oreilles. Quand soudain des phares illuminaient sa route, le jeune homme se retournait. Il ne voyait pas qui était le conducteur de cette voiture. Pas avant que cette dernière sorte du véhicule. Katherine. Cette femme mature avec qui Jake entretenait une relation particulière et pas forcément saine. Elle ne devait pas être en Europe, pensait-il directement. En effet, depuis deux ans et demi, ils se voyaient régulièrement pour passer du bon temps. Surtout qu’il lui devait beaucoup. Si aujourd’hui, le beau brun était à Berkeley, c’était grâce à elle. Katherine était même allé jusqu’à lui payer la caution de son appartement. Elle savait très bien allonger quand de son côté, il s’occupait de la câliner.  Naturellement, il se dirigeait vers elle pour la saluer, en espérant qu’elle soit juste de passage. Car, Jake ne voulait pas revoir ses plans. Il ne voulait pas d’une soirée en tête-à-tête avec la dame. Bien que sa compagnie soit plaisante, il ne souhaitait pas de ça. Tout ce que désirait le jeune homme, c’était avoir un verre à la main, un bar sur lequel s’appuyer et une musique plaisante pour le bercer. Très rapidement, il s’apprêtait à lui dire. Néanmoins, Katherine annonçait plus rapidement la couleur. Elle n’avait pas le temps. Elle devait prendre un avion pour se rendre à New-York. Elle avait reconnu sa silhouette et lui proposait de le déposer s’ils utilisaient la même direction. Voilà de quelle manière, Jake était arrivé à son bar. Il lui donnait un baiser avant de s’en aller et de la remercier. Il lui souhaitait bon voyage et elle lui souhaitait de passer une excellente soirée, sans pour autant mettre sa vie en danger. Katherine le connaissait très bien et pourtant, il ne s’était jamais confié. Il ne parlait que très peu quand il était avec elle. En général, Jake ne parlait pas beaucoup. Il n’aimait pas revenir sur son passé. Il n’aimait pas dévoiler ses souvenirs. Il ne souhaitait pas partager sa mémoire et il savait que chaque parole pouvait remettre tout en jeu. Un mot, une expression de trop et on pouvait se retrouver cerner. On pouvait dévoiler une de nos faiblesses, sans même s’en rendre compte et il n’était pas prêt à prendre ce risque. Bien sûr, il n’était pas muet comme une tombe. Il avait juste ses préférences. Eden et Nael. Entrant dans le bar, Jake saluait directement le patron qui occupait sa place habituelle dans le coin. De cette place, il pouvait tout gérer et tout voir. De son côté, le jeune homme continuait d’avancer, il se rendait à sa place préférée, celle qui était au bout du bar. De cet endroit, il pouvait espérer la paix et en même temps écouter quelques discussions, indiscrètement. Il appréciait beaucoup cet endroit, parce qu’on y connaissait ses préférences. Il ne fallait que quelques minutes au serveur pour réaliser son plus grand souhait, lui servir un whisky dont ils sont les seuls à connaitre le secret. Savoir de quoi il est composé, de quelle manière, il est traité pour caresser nos tissus, une fois qu’il nous traverse. « A ta santé. » déclarait-il en sa direction, avant de le porter à ses lèvres. Cela faisait bientôt quatre heures, qu’il était assis sur ce tabouret. Quatre heures qu’on le resservait et qu’on l’oubliait. Jake appréciait cette paix et ce calme qui l’envahissait. Il n’y avait personne pour troubler son bonheur. C’est à cet instant qu’il songeait aux Fitzgerald. A sa sœur. A son frère. Où était-il ? Pour Garrett, la réponse était vite trouvée. Il n’en avait rien à faire. Il n’avait pas besoin de savoir où il était et avec qui il était. Alors que pour Mackenzie, c’était complétement l’inverse. Il espérait qu’elle soit en sécurité, qu’elle soit tranquille et que surtout personne ne puisse la blesser. C’est également à ce moment précis qu’il reconnut ce titre qui passait sur les ondes. Garrett l’avait chanté lors de l’émission anglaise. A croire qu’il cherchait toujours à lui pourrir son plaisir. Vidant d’une traite le contenu de son verre, il le repoussait vers le serveur pour être à nouveau resservi. Jake fouillait également dans sa poche pour trouver du fric. Il avait besoin d’argent et il espérait également en avoir assez pour terminer sa soirée. Il ne souhaitait pas quitter le bar avant le lever du jour. Il n’aimait pas quitter les lieux avant la fermeture. Il ne sait pas de quelle manière l’expliquer mais, il appréciait être le dernier à quitter ces lieux. Payant sa consommation, Jake devait se résilier. Il n’avait plus la possibilité d’en réclamer. Les crédits ne sont pas adeptes de la maison et il fallait le comprendre. Alors, il se mit à la regarder, à l’admirer. Le liquide dans son verre avait une toute autre allure, une toute autre senteur. C’est ce qui arrivait après en avoir bu sept. Il savait donc désormais que celui-ci serait son dernier. Il n’avait pas d’autre choix. Il aurait pu recommencer les erreurs du passé et se mettre dans de sale drap, en partant sans payer. Sauf, que s’il agissait de la sorte, il savait qu’il ne pourrait plus revenir dans son endroit préféré. Pour une fois raisonnable, Jake trempait ses lèvres dans le whisky. Avant de tourner la tête vers l’entrée du bar et de remarquer la présence d’une connaissance. Qu’est-ce qu’il faisait ici, pensait-il en premier lieu. Murmurant quelques mots entre ses dents : « il ne manquait plus que ça pour couronner ma soirée. » Le jeune homme tournait le visage pour ne pas croiser son regard. Il ne voulait pas être vu. Il ne voulait pas le voir, pas maintenant et pas ici. Il n’était pas d’humeur. Il était surtout énervé de savoir ce qui c’était passé, il y a quelques jours avec sa protégée. Bien sûr, il n’avait eu droit qu’à la version de la jeune femme.. Mais, peut-être que la seconde ne l’intéressait pas. Peut-être qu’il n’avait aucune raison valable pour toucher sa petite sœur. Enfin, Jake n’était pas là pour savoir ce qui c’était passé. Il n’était pas non plus prêt à l’entendre le raisonner. Garrett se croyait tellement plus parfait. Tellement plus intéressant que son ainé. Une rivalité qui avait toujours existée.. Qui avait bercé les querelles des Fitzgerald.
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Jazz Redington
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyJeu 26 Sep - 23:52


GARRETT SAM FITZGERALD & JAKE ADHAM FITZGERALD
Le plus grand bien que vous puissiez faire à quelqu'un ce n'est pas de lui offrir des richesses, c'est de lui montrer les siennes.Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais de la bruine et elle, un ouragan.Looking for Alaska - John Green



    PARTY ON BITCHIIIIES. Ou pas. Obligé de se trainer à l'hôpital avec Kenzie, Garrett a un mal de tête incroyable. La nuit précédente il a fait la fête pour la centième fois de la semaine peut-être et il a peut-être pris la cuite du siècle aussi. Scott l'un des oméga les plus représentatifs de la confrérie l'a appelé et l'a embarqué dans un de ses délires fous, comme personne d'autre n'est capable d'avoir. Impossible pour Garrett de dire non, d'autant qu'il savait qu'une foule de filles allait se jeter à ses pieds. Bingo. Les toilettes du club dans lequel ils sont sortis la nuit passée ont abrité ses ébats et prouesses sexuelles avec une jeune inconnue, répondant au doux nom de … il ne s'en souvient plus en fait, et ne cherche même pas à s'en souvenir. Il est comme ça Garrett, profitant de l'instant présent, de ce que la vie a lui offrir, sans jamais penser aux conséquences et aux problèmes que cela pourrait lui causer. La seule règle qu'il s'impose est de se protéger. Devenir père au pic de sa carrière? Très certainement pas non. Hors de question qu'il n'ait à débourser une quelconque pension alimentaire pour une de ces filles paysannes de bas étages. Alors son crédo est de se protéger ou sinon retenir ses pulsions primates et de ne pas succomber aux plaisirs charnels. Sa tête n'en peut juste plus aujourd'hui, il a l'impression qu'elle va exploser, limite tomber de son tronc tant la fête d'hier était à tomber par terre. Aujourd'hui, Garrett voudrait juste se reposer, profiter de son lit au lieu d'avoir à se trainer à l'hôpital avec une Kenzie presqu'en larmes. Aussi, si elle n'avait pas eu cette putain d'idée de grimper sur son piano et de danser dessus, elle ne serait pas tomber et ne se serait pas briser le bras. Mais non, Mackenzie a été obligé de faire n'importe quoi, d'enchainer les conneries et maladroite comme elle est, boum badaboum elle s'est ramassée en bonne et due forme. Il a été obligé de l'embarquer à l'hôpital de San Francisco passer des radios pou au final obtenir un bras cassé et un beau plâtre pour réparer tout cela. évidemment, elle s'est plainte à Jake, sous toutes les formes, se plaignant de sa douleur, du fait qu'elle n'avait plus de mobilités et blablabla. Ca a tellement gonflé Garrett, qu'il l'a déposé chez lui et a décidé de partir faire un tour au bar se changer les idées. Enfin seul dans sa superbe voiture, Garrett se sent finalement bien, heureux pendant qu'il roule, la clope au bec, un air de dédain et de provocation accroché au visage. En somme, c'est sa manière à lui, sa manière habituelle d'agir, de se mouvoir. La satisfaction qui l'éprouve à rouler dans cette voiture est sans nom. Conduire une Ferrari est pour lui d'un luxe inouï, d'un plaisir sans fin, et surtout, ça représente pour lui la reconnaissance ultime, celle d'être parvenue au top du top, d'avoir atteint le sommet, ce qu'il a toujours désiré. Même du haut de ses cinq ans, lorsqu'il jouait de la guitare dans le restaurant de ses parents, il savait qu'il allait être amené un jour à tout rafler. Son destin était de réussir dans la vie, d'atteindre ses rêves, ses objectifs, de devenir la rock star qu'il avait toujours voulu être. Il ne se rappelle même plus le nombre de fois où il a répété à Olivia qu'il allait parvenir au top du top, qu'il finirait par obtenir un grammy awards. C'était son objectif ultime, la reconnaissance éternelle parmi les plus grands. Olivia avait toujours été la seule à le croire, à l'encourager, Jake  s'amusant à l'enfoncer depuis toujours, et Kenzie à le faire chier dès que l'occasion se présentait. Olivia depuis toujours l'a monté vers le haut, toujours plus haut, pour aller plus loin. La seule qui depuis toujours l'a accompagné. L'an dernier, lorsqu'il a obtenu son premier - et unique - grammy de sa carrière, il aurait pu le dédicacer à ses parents, sa famille en générale, à Jules, sa nouvelle rencontre - sa plus belle aussi - mais non, Olivia fut la seule qu'il remercia parce qu'au fond, c'est la seule qui le méritait jusqu'au bout. C'est sur cette pensée qu'il arrive au DNA Lounge, une envie folle de profiter de son ami Jack Daniels, mais surtout le savourer. On ne fait pas cul sec avec du jack, on prends le temps de le déguster. Il pousse donc la porte du bar, un sourire éclatant à la colgate sur le visage et entends une voix familière. Il lève son regard plus haut, et tombe sur les yeux de son frère, injecté de sang, l'alcool ayant déjà fait un bout de chemin dans son organisme. Ces deux là ne sont pas omégas pour rien, ni frères sans raison mais pourtant, ils n'ont rien de la relation fraternelle habituelle. Ils se mettent des battons dans les roues dès que possible, s'engueulent dès que l'occasion se présente, ne s'apprécient pas plus que ça, mais surtout, s'entraident dès qu'ils en ont la possibilité. Jake a toujours défendu Garrett lors des bagarres, et ce dernier n'a pas hésité à lui faire un gros chèque lorsqu'il était fauché jusqu'aux genoux. C'est leur relation, peut-être la plus complexe qu'ils peuvent avoir mais ils y tiennent. « Tiens, tiens, tiens. Jake en chair et en os, toujours debout. L'alcool ne t'a pas mis encore dans le caniveau à ce que je vois ! » Point de gentillesse, seulement du sarcasme dans le son de sa voix. Il ne sait pas être gentil avec son frère, ou presque pas.  Rapidement, il voit le regard inquisiteur du barman, qui ne fait que lorgner dans la direction de son frère, et comprends que l'ardoise de ce dernier commence à rapidement grandir et que la pile de billets trônant dans sa poche elle diminue. Garrett apostrophe le barman d'un claquement de doigts. « La prochaine tournée est pour moi et je paye sa dette, pas de soucis les gars !» C'est sa manière à lui de montrer à son frère qu'il a de l'importance, sans avoir à le dire et surtout, tout en montrant sa supériorité. Il sait que son frère va râler, refuser cette offre comme à son habitude, mais Garrett est tenace, persuasif. « Si tu dis non, tu sais très bien que tu ne pourras plus rentrer dans ce bar, c'est ton fief et tu aimes y être. Alors tu la boucles, et tu acceptes, qu'on soit clair.»
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptySam 5 Oct - 2:24

Boire, boire et boire. C’est ce qu’il faut faire pour s’hydrater. C’est surtout ce que faisait habituellement, Jake. Il avait cette addiction pour la boisson et ce besoin s’amplifiait quand il connaissait des périodes creuses. Quand, il n’avait plus un franc. Quand, il se retrouvait face à un problème et que la solution se faisait désirer. Il n’y avait pas de miracle pour retrouver le moral. Il n’avait jamais trouvé d’autre solution pour relever la tête. Depuis, toujours le jeune homme s’était promené un verre, une bouteille à la main. Au début, il avait commencé pour faire comme son père. Devenir un homme. Devenir quelqu’un de respectable. Eh bien, il s’avérait loin du compte. Au final, Jake n’avait jamais réussi à trouver un juste milieu. Il ne connaissait aucune limite. Une fois que l’alcool enivrait l’intérieur de sa bouche, il buvait sans pouvoir s’en arrêter. Il pourrait même boire, jusqu’à s’en étouffer. Olivia le disait souvent. Elle le répétait sans cesse. Jake allait finir comme ces vieilles voitures dans ces casses. Il allait devenir une épave. Il était destiné à être un pauvre homme. Quelqu’un qui vit tout seul et qui boit pour oublier cette solitude qui le torture. Avait-elle raison ou avait-elle tort ? Il n’en avait pas la moindre idée. Tout ce que savait le jeune homme, c’était qu’il n’avait droit qu’à une seule chance, une seule vie. Il n’aurait pas d’autre possibilité, aucune porte de secours et impossible de revenir en arrière. Pour ces raisons, Jake faisait son maximum pour en profiter. Il ne voulait pas ressentir le regret l’envahir. Il ne voulait pas être dérangé par ce genre démon. Non, le jeune homme voulait mener la danse. Il voulait être le capitaine de navire, le chef de sa vie. Et bien sûr, il allait faire des erreurs. Il allait vivre des moments atroces, comme tout le monde, il n’était pas épargné. Il ne pouvait pas éternellement avoir la paix. La preuve était sous ses yeux et à cet instant. Quand un son se fit entendre, une voix qu’il connaissait très bien. Une personne qu’il aurait préféré éviter, Garrett. En effet, il aurait tout donné pour ne pas croiser son chemin. Surtout après avoir appris l’accident qui avait touché sa Mackenzie. Jake le tenait comme principal responsable. Il les connaissait très bien. Certes, il se doutait que sa petite sœur avait dû être arrogante et énervante. Elle devait avoir sa part d’erreur dans cette dispute. Sauf, que Garrett restait le grand frère. Il restait l’ainé quand ils se trouvaient tous les deux. Il aurait pu très bien trouver les mots pour la raisonner. Il aurait pu calmer le jeu. Cependant, Jake les imaginait très bien. Chacun se renvoyant la balle et attendant de voir qui allait en payer le prix fort. Malheureusement pour la jeune femme, elle avait été la victime cette fois-ci. Une fois de trop, au sens de notre grand brun qui vidait son verre sous les yeux de son petit frère. « Le seul endroit, où l’alcool pourrait m’amener, c’est dans mon cercueil. Alors, rassure-toi, je vis encore. Je respire. Tout va bien. » répliquait-il paisiblement et sans lui donner raison. Toujours fidèle à lui-même, Jake ne prenait pas de nouvelle de son frère, de son moral, sa santé. Il s’en fichait. Enfin, c’était ce qu’il voulait faire croire pour être toujours crédible à ses yeux. En réalité, il savait plus ou moins comment ça se passait dans la vie de celui-ci. Il l’avait toujours su et davantage après qu’il ait remporté cette émission. Beaucoup de personnes apprécient le Fitzgerald junior. Beaucoup de monde aime ses chansons, sa voix et tout le tralala. La preuve était sa tenue, ses fringues qui avaient dû lui coûter une fortune et cette voiture pour laquelle, il avait craqué. Garrett ne se refusait rien. Tandis que Jake se débrouillait pour vivre et pour s’acheter de quoi se faire plaisir. Heureusement, qu’il voyait toujours Katherine. Heureusement, qu’il pouvait avoir ce petit plus. D’ailleurs, il ne l’avait jamais caché à sa famille. Il n’avait aucune gêne pour cette relation qu’il entretenait avec une femme d’expérience. Pour le jeune homme, tout était bon à prendre. Un jour, il sera vieux. Il lui manquera des dents et peut-être même qu’il devra se déplacer avec une béquille. Alors, tant que le ciel, que dieu ou je ne sais qui, lui donnait la possibilité de profiter, il profitait. Il ne laissait rien. Il prenait tout. Sauf, la générosité de son petit frère. Il en avait déjà eu recours et cela lui avait suffi amplement. Une seule et unique fois, il lui avait dit. Tacitement, ils avaient noué ce pacte. Un détail que parfois, Garrett mettait de côté pour l’impressionner pour le rabaisser. « Demain, je te ramène ton fric. Ne t’en fait pas. Ce qui s’est passé à Londres ne devait arriver qu’une fois. Je te l’ai déjà dit.. Je n’ai pas besoin de ton aide. » ajoutait-il tout en plongeant son regard dans celui de Garrett. Jake n’avait pas beaucoup de possibilités pour payer sa dette, ce soir. Peut-être qu’il avait raison.. Pour une fois ! Néanmoins, cela ne voulait pas dire qu’il était d’accord. Et étrangement, d’un seul coup, il n’avait plus envie de boire. Il n’avait plus envie de profiter de sa soirée. Rien que l’idée que son frère payait ses pots cassés, le rendait fou. Il l’avait déjà fait par le passé. Il l’avait déjà aidé à sortir de son trou et il s’était juré que cette situation n’arriverait plus. Jake était le grand frère, c’était à lui de gérer les situations délicates. Il n’avait pas besoin d’un chaperon. Il ne demandait aucune aide et ferait toujours le nécessaire pour s’en sortir. Peut-être qu’il y aurait des dommages collatéraux, comme avec ces anglais qui l’avaient passé à tabac. Mais, au moins, il s’en sortirait sans impliquer quiconque, que ce soit Garrett ou Mackenzie. Il était hors de question de les mêler à ce côté compliqué de sa vie. Cette difficulté que le jeune homme a toujours eu pour gérer ses liquidités. « Je ne vais pas tarder à rentrer. Je bois mon dernier verre, en silence s’il te plait et puis, j’y vais. Ça te va comme ça ? Je te laisse mon bar, ton fric et ta notoriété. » déclarait-il d’un ton plutôt calme. Un ton qui n’apparaissait que lorsqu’il était à moitié plein. C’est-à-dire, assez saoul pour oublier que Garrett avait payé sa tournée et pas assez pour oublier quel chemin, il devait emprunter pour rentrer. Fixant les bouteilles qui étaient accrochés au bar, Jake n’accordait plus aucune attention à son cadet. Il avait toujours été comme ça, il avait toujours voulu imposé de la distance. Car, il savait qu’un jour ou l’autre, il partirait, comme Olivia, comme Mackenzie. Chacun ferait sa vie dans son petit monde, avec sa petite famille et lui serait toujours celui que personne ne sait supporter, que personne ne souhaite à ses côtés pour passer le restant d’une vie. Le jeune homme serait toujours celui qui éprouve plus de mal à se caser, à se poser. Il était ainsi, envahi par de nombreux défauts et tellement peu de qualités.
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyMar 22 Oct - 23:25


GARRETT SAM FITZGERALD & JAKE ADHAM FITZGERALD
Le plus grand bien que vous puissiez faire à quelqu'un ce n'est pas de lui offrir des richesses, c'est de lui montrer les siennes.Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais de la bruine et elle, un ouragan.Looking for Alaska - John Green

500 :plop:


    La famille, ça  a toujours été plus ou moins tabou pour Garrett. Depuis petit, il n’a montré de l’affection que pour Olivia, et pour personne d’autre. Mackenzie et Jake n’avaient le droit qu’à une guerre sans merci, quand aux parents, c’est à peine s’ils recevaient un bisou matinal au lever. Chacun s’était accommodé du comportement de Garrett, et vivait avec. Quand la célébrité est arrivée, le cheminement a été le même. Lors de X-factor, Garrett était le seul à ne pas pleurer en recevant un message de sa famille, ou ce genre de chose. Il ne demeurait pas stoïque, et un sourire se dessinait sur son visage bien sur, mais il contenait ses émotions, incapable de les montrer. Il n’y a qu’un message d’Olivia qui réussit à l’émouvoir suffisamment pour qu’on lui fasse la remarque. Il n’y a qu’elle de capable d’une telle réussite, peut-être parce que dès l’enfance, elle l’a pris sous son aile, qu’elle lui lisait les histoires pour dormir plutôt qu’à Kenzie ou à Jake. Il n’en sait rien, toujours est il qu’Olivia, c’est la seule, la seule et l’unique. Ca a toujours été clair aux yeux de tous, famille ou amis, presse ou groupie, ce n’était un secret pour personne. Pourtant, derrière cette façade de gros dur qui ne supporte que son aîné, Garrett aime profondément les membres de sa famille, mais est juste incapable de leur montrer. Alors quand ils sont dans une situation délicate, il n’hésite pas à les en sortir. Les voir malheureux est intolérable pour lui, et la situation de Jake par exemple, est insoutenable. Il aimerait pouvoir faire plaisir, mais leur différends font que c’est une chose impossible. La seule main tendue que Jake a acceptée fut à Londres, lorsqu’il était dans une impasse, et dont seul Garrett pouvait le sortir. Ils n’en ont jamais reparlé, et l’un comme l’autre ne souhaitent pas le faire pour diverses raisons, ce qui au final, leur convient parfaitement. On aurait pu pensé que de cette main tendue, les choses se seraient tassées, un lien indéfectible se serait crée, mais il n’en est rien. Les tensions sont toujours existantes, si ce n’est encore plus fortes qu’auparavant, maintenant qu’ils se retrouvent tous les deux à nouveau sur le même continent, dans la même ville et de surcroit, dans la même université. Mackenzie au final, se retrouve entre ses deux grands frères, le cul entre deux chaises. Dans un sens, Garrett a fini par se rapprocher de sa petite sœur, ne voulant pas qu’elle dégringole et finisse dans un caniveau, ou tout simplement pour éviter de la retrouver comme Jake fut un jour. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’il l’a prise sous son aile, mais il reconnait l’aider financièrement, lui payant l’intégralité de ses études, et lui offrant un toit, dès lors qu’elle en a besoin. En somme, avec Jake ils possèdent la garde alternée de leur sœur ce qui en un sens, les fait bien rire tous les deux. Ou du moins, c’était le cas jusqu’à cet après midi, où le frère et la sœur ont fini à l’hôpital. Kenzie dans toute sa splendeur, Kenzie dans ses grands jours, pense Garrett, un brin insolent. Ce n’est pas de sa faute si sa sœur a dérapé du piano et s’est ramassée. Elle n’avait qu’à pas monter dessus après tout, ce n’est pas comme si on le lui avait interdit depuis le début, que Garrett avait été clair à ce sujet. Mais non, la demoiselle n’en fait qu’à sa tête, à danser sur un piano, le piano chéri du jeune oméga. Alors ce soir, il a envie de se détendre, d’aller boire un verre, mais sans sa troupe de groupie habituelle, ou de chiens-chiens en quête de popularité au côté du célèbre chanteur. Il a envie de calme, juste d’un bon verre. Alors direction le DNA lounge, où il le sait, il trouvera tout ce qu’il désire. Surtout un dimanche soir où rares sont les personnes à sortir. Raté pourtant. Lorsqu’il passe le pas de la porte du bar, son regard tombe immédiatement sur son grand frère, attablé au comptoir du bar. Il ne peut s’empêcher de faire une réplique bien placée, pour ramener son frère à la durée réalité de la vie, celle qui consiste à ce qu’il soit proche de l’alcoolisme. On pourrait penser qu’il en est de même pour l’oméga mais il sait qu’il peut arrêter l’alcool quand il veut. L’expérience a déjà été testé avant son opération où il a du arrêter l’alcool pendant un mois, afin de s’assurer une convalescence et un rétablissement parfait. Alors l’alcoolisme, c’est loin d’être une maladie qui le touche. « Amen alors ! » Qu’il ricane, en l’entendant parler de cercueil. Son frère possède un humour assez particulier, que Garrett a bien souvent du mal à comprendre. Ce dernier observe son grand frère du coin de l’œil, et voit bien qu’il n’est pas à l’aise, que quelque chose le tracasse et il comprend vite. Ses mains fouillent ses poches, vides et ne peuvent donc pas payer la dette qu’elles doivent au barmaid. Encore une fois, avec une arrogance déconcertante, Garrett propose d’effacer son ardoise et de payer la prochaine tournée. Il est hors de question pour lui de montrer que cela n’est que pure générosité. C’est un sentiment qu’il n’a guère envie de montrer à son frère, préférant la complaisance et l’exhibition. Jake semble mal à l’aise et Garrett comprend qu’il a visé juste. L’aîné des Fitzgerald ne peut s’empêcher de rassurer son frère sur l’argent qui lui reviendra dès le lendemain. D’un haussement d’épaule, Garrett fait comprendre qu’il n’en a que faire. « C’est bon laisse tomber. Un frangin peut offrir un verre à son frère je pense non ? Et Londres, je ne vois pas ce qu’il s’est passé là bas. » Désinvolture est son nouveau crédo face aux réflexions de son frère. D’un commun accord, Jake et Garrett ont décidé de ne plus reparler de ce qu’il s’est passé à Londres, voulant oublier ce qui l’un pour l’autre, fut un moment gênant. Pourtant, dès que Garrett semble prêt à aider son frère, celui-ci ne peut s’empêcher de remettre sur le tapis l’affaire de Londres, ce qui a le don d’agacer la rockstar. Il ne fait pas ça pour étaler son argent auprès de son frère. Certes il aime montrer à son frère qu’il a réussi contrairement à lui parce que personne ne l’en croyait capable, pas même son propre frère. Il a simplement envie d’aider, mais préfère cacher cela sous de l’arrogance et de l’agacement, plutôt que de montrer ses véritables intentions. « Je m’en fous de ton bar. Tout ce que je veux, c’est boire un verre pour oublier cette journée de merde. Merci Mackenzie et son éternelle connerie. » Qu’il balance énervé. Il est là pour oublier ce détail et voilà que tout le lui rappelle. Et il se rend compte qu’il a prononcé les mots qu’il ne fallait pas, ceux qui vont agacer Jake, le protecteur de Kenzie, son duo, sa moitié. Ce dernier est tourné vers lui, un regard de tueur accroché au visage, et une volonté d’en découdre, une fois de plus. « Décidément, l’alcool ne te réussit pas mon vieux, tu devrais voir ta gueule quand t’es énervé » L’oméga ricane, provoquant son frère outre mesure, sans raison apparente. Il a envie de le faire chier. D’ailleurs, il peut oublier sa soirée tranquille pour oublier, ce soir, ce sera engueulade et affrontement au programme.
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyJeu 26 Déc - 21:02

Il ne pouvait pas l’admettre. Entourant son verre de sa main, Jake avait dû mal à accepter ses erreurs et surtout, celles qui mettaient au premier plan son petit frère. Il s’en rappelait comme si c’était hier. Garrett avait pu lire sur son visage la détresse et la solitude. Ce soir-là, il avait vu un côté de sa personnalité qu’il gardait dans le plus grand des secrets. Il n’aimait pas se dévoiler. Jamais, Jake ne vous parlera de lui ou de ce qu’il a vécu. Si vous lui demandez d’où il vient, bien sûr qu’il vous répondra. Mais, ça ne sera jamais de grand discours, de grandes histoires. Bref et concis, ça lui suffit. Donc, réaliser que son petit frère connaissait quelques-unes de ses failles, le déstabilisait. Il devait être un modèle. C’est comme ça que c’est censé fonctionner. Dans une famille, les plus âgés doivent guider les plus jeunes. Ils doivent les aider, les conseiller. Seulement, le jeune homme n’y parvient pas. Il n’arrive pas à être un modèle, à être différent de ce qu’il est réellement. Il ne peut pas jouer de double jeu. Il ne peut pas montrer qu’il s’inquiète par moment, qu’il s’est tracassé pour eux. Quand Garrett a été malade ou quand il a gagné cette grande émission, il n’a jamais montré la moindre expression. Jake ne l’a pas félicité. Il ne l’a pas directement contacté. Non, il ne pouvait pas jouer cette carte. La seule qu’il accorde spécialement à Mackenzie, parce que c’est bien différent, parce qu’elle est bien différente. Mackenzie est un peu sa faiblesse. La seule personne sur terre pour qui, il pourrait changer. Alors, il n’y a aucune justification à donner, parce qu’on ne choisit pas ses alliés. Néanmoins, Jake ne pouvait pas les nier. Il ne pouvait pas raconter qu’il était juste l’aîné et qu’elle était juste la cadette. Non, ils étaient quatre. Ils l’avaient toujours été et peut-être qu’un jour, ils arriveraient tous à se retrouver, à s’apprécier et évidemment à se l’avouer. Cependant, ce souhait était loin de se réaliser. Leurs parents pouvaient souffler toutes les bougies, de tous les anniversaires, en faisant ce vœux, qu’ils ne seraient pas sûr de le voir prendre forme. C’était plus compliqué qu’une simple envie. C’était certainement la plus complexe de toutes les relations. Peut-être parce qu’ils savaient tous les erreurs que l’autre avait commis par le passé. Peut-être parce qu’ils étaient réellement les seuls à pouvoir se juger sans se tromper.. Et Jake n’appréciait pas ce sentiment. Il ne voulait en aucun cas que son petit frère puisse apporter de telles paroles. Il ne souhaitait pas être critiqué par quelqu’un qui n’avait jamais pris la peine de le connaitre. Donc, il devenait fou quand ça arrivait. Quand Olivia se permettait également de l’enterrer, de l’accabler de toutes les erreurs des Fitzgerald. Il était le vilain canard. Il était cette erreur, née d’un amour inconditionnel. Il était celui que peu de personne arrivait à comprendre.. Peu de personnes à qui, ils donnaient la chance de se dévoiler, de s’avouer sous toutes ses vérités. Parce qu’il était simplement loin de frôler la perfection. En toute honnêteté, Jake aimait faire croire au monde entier qu’il avait déjà vécu, qu’il connaissait pas mal de réponse sur plusieurs sujets. Alors, qu’il ne savait rien. Il n’avait jamais été amoureux au point d’en souffrir. Il n’avait jamais été déçu car, il n’accordait que très rarement son attention. Il était en vérité très distant avec tout ce qui pouvait l’atteindre. Quand il s’attachait, il s’éloignait. Quand il se retrouvait dans une sale situation, il en rigolait. Il avait une drôle perception de la vie. Une perception où il préférait garder le meilleur et ranger le pire. Encore faudrait-il que Garrett ne s’approche pas de lui, de cette manière, fière et sans crainte. « Si tu le dis. » répliquait-il sans lui accorder la moindre importance. Ressentant également que l’alcool qui coulait dans sa gorge avait un goût amer. Il n’arrivait plus à en profiter. Il n’arrivait pas à le supporter ici et à côté de lui. Jake n’avait rien fait pour mériter un tel sort. Il était juste-là, à picoler. Il buvait sans savoir s’il aurait assez pour régler sa dette. Il buvait sans se tracasser. Du moins, avant que son petit frère ne débarque. Est-ce qu’il le surveillait ? Est-ce qu’il s’amusait toujours de ce genre de situation ? Garrett pouvait apprécier le fait de se sentir supérieur. Il était dans le camp adverse, celui où Olivia guidait ses troupes. Donc, il pouvait avoir les mêmes manières. Vouloir régner, vouloir se surpasser.. Il est sûr que si les deux frères devaient être comparés à leurs fortunes, Jake serait très loin de la première place sur le podium. Par conséquent, il n’essayait même pas d’aborder ce sujet. Il ne voulait pas s’engager sur ce chemin sinueux. Et pourtant.. « N’évoque pas son prénom sur ce ton ! Mackenzie vaut mieux que ça. Surtout, que tu dois avoir ta part de responsabilité. J’en mettrais ma main à couper ! » déclarait-il sèchement et vidant d’une traite le liquide qui se trouvait dans son verre. Certes, Garrett voulait profiter de sa soirée pour décompresser. Il semblerait simplement qu’il ait choisi le mauvais endroit et le mauvais sujet de discussion. Il touchait à sa protégée. Il s’en prenait à la mauvaise personne et cela avait le don d’agacer l’ainé. Quelques secondes à peine et il le remarquait sur les traits de son visage. Ses sourcils se resserraient et l’énervement le contaminait. Pourquoi il en venait toujours sur ce sujet ? Pourquoi il s’en prenait toujours à la cadette ? « Je ne sais pas ce qui me retient. Tu le fais exprès ?! Venir me piquer mon oxygène, venir m’ôter ma bonne humeur. Avoue, c’est l’extase. Tu devais vraiment te faire chier.. » Plongeant son regard dans celui de son frère, un court instant. Suffisamment longtemps pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas envie de rire. Pas avec lui et pas dans cette ambiance. Et pourtant, tout pouvait être plus que plaisant, plus simple s’ils s’écoutaient. S’ils prenaient au moins du temps.. Cependant, leur relation était bien trop compliquée pour pouvoir rembobiner la bande, pour revenir en arrière. Ils ne pourraient pas oublier les guerres du passés, leurs différents mais surtout là, où ils avaient échoué, où ils s’étaient surpassés. C’était toujours une question d’équipe. Olivia et lui contre Jake et Mackenzie. Que les meilleurs l’emportent.. Un quotidien qui n’avait jamais laissé de répit aux parents Fitzgerald. Des tensions pour lesquelles, ils n’avaient jamais trouvé de solution. Encore faudrait-il qu’elle existe, qu’il y ait un point final pour réunir les clans, pour réunir ceux qui partagent le même sang. « Remet une tournée, je t'en prie. C'est pour le pingouin à mes côtés. » ajoutait-il en interpellant le serveur. Après tout, il était là. Il avait le portefeuille plein. Il pouvait donc en faire autant ! C’était la seule manière, le seul point positif qu’avait finalement trouvé Jake pour lui donner une utilité.
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Jazz Redington
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyVen 21 Fév - 22:20

    Passer pour un enfoiré, un connard de première, est bien souvent une façade chez beaucoup d’hommes. Il est plus facile de ne pas montrer ses sentiments, de ne pas montrer l’attachement que l’on peut avoir envers certain, plutôt que d’être honnête, d’ouvrir son cœur et son âme, et surtout de prendre le risque de souffrir. C’est bien pour cela que les hommes ont une si mauvaise réputation, et que les gentils garçons prennent pour les mauvais. Finalement, c’est l’option qu’a choisi Garrett, pour plus de facilités. Il n’a pas toujours été un enfoiré, Leyna pourrait en témoigner. Fut un temps, il était doux, gentil avec ses proches – Olivia et Leyna en tête de liste -, bien qu’un con avec Mackenzie et Jake, rivalité oblige. Mais il n’était pas le connard à renvoyer chier tout le monde avant même qu’ils n’ouvrent la bouche. Non, il écoutait avant de décréter si oui ou non il pouvait clasher les gens, si c’était pertinent. Maintenant, monsieur joue la diva, la rock star dans tous ses états, afin d’appuyer un peu plus la réputation qu’il a acquis durant l’émission de x-factor. Peut importe ce que les gens peuvent penser à son sujet, il s’en fout, il agit avant de penser, il réagit à chaud, sous le feu de l’action sans penser aux conséquences. Et même s’il pense aux conséquences, il se fiche de ce qu’elles peuvent être, des répercussions qu’elles peuvent avoir. Un je m’en foutiste pur et dure, voilà ce que Garrett est devenu. Jake son frère, n’est pas si différent de lui. Fêtard, inconscient, allumeur, Jake ressemble beaucoup à son petit frère, ou à ce qu’il est devenu. C’est peut-être à cause de cela que Jake ne supporte pas son frère, ou encore moins qu’auparavant. Ils ne se sont jamais entendus, ce n’est un secret pour personne. Mais depuis que Garrett a remporté x-Factor, c’est devenu pire que tout. Le chanteur a bien sur pris le melon, revendiquant haut et fort être le meilleur des deux frères, celui à qui tout sourit pendant que son grand frère galère, rame, à s’en laisser crever. La seule et unique fois où Garrett a réussi à mettre sa fierté de côté fut lorsqu’il tomba sur son frère à Londres, dans la rue, dans un sale état. Même le plus grand connard de la Terre n’aurait pu laisser son frère dans un tel état. Et il faut bien l’admettre, le gros chèque que le jeune Fitzgerald a signé au plus vieux n’a rien arrangé entre les deux, et a même empiré les choses. Jake devient hargneux plus que jamais lorsque Garrett est dans les parages, et Garrett ne comprends pas pourquoi son frère est si ingrat à son égard, bien qu’il ne prononce jamais cette pensée à haute voix, respectant parfaitement la seule promesse qu’il n’ait jamais fait avec autant d’honnêteté. Aucune allusion à ce chèque, à cette aide, rien. Mais lorsqu’il s’agit du reste, des autres conneries de son frère, Garrett se fait un plaisir de l’emmerder, et de lui rappeler à quel point sa réussite est grande comparée à la sienne. Et lorsqu’il mentionne Catherine, lorsqu’il parle de sa dépendance à cette femme pour vivre et intégrer une grande école alors que Garrett peut gérer sa vie seule, il assène le coup de grâce à son frère, ou ce qu’il pense l’être. Puisqu’après tout, avec Jake, personne ne sait jamais ce qui lui passe par la tête. Pas même Mackenzie la folle. Le sujet à ne pas mentionner. Autant dire que parler de leur petit passage à l’hôpital dans l’après midi ne plaît pas du tout au grand frère, lui qui tient tant à sa petite Kenzie chérie. Et évidemment, cela ne lui viendrait pas à l’esprit que tout soit de la faute de Mackenzie et non pas de Garrett. Avec Jake, cela relève de l’impossible. « Ma part dans l’histoire ? Mon seul tord ici est d’avoir accepté de l’héberger chez moi sans rien lui demander en retour. Tout ce dont j’ai le droit avec elle, c’est un bordel monstre et une folle furieuse qui joue avec la nourriture. C’est de sa faute si elle a glissé sur mon piano qu’elle a tamisé de farine. Pas la mienne. » Il commence à monter le ton tant cette histoire l’emmerde profondément. Bien sur que ce n’est pas sa faute. Tout ce qu’il voulait, c’était un minimum de propreté dans son appartement, maniaque oblige, chose que Kenzie ne comprends pas du tout. « Ma générosité me tuera tiens. » Qu’il achève de dire dans un long soupir. Clairement, toute cette histoire a le don de l’emmerder comme il faut, et le comportement excessif de Jake dès qu’il s’agit de sa sœur chérie n’arrange rien à la situation. « Mais si tu veux, je peux te trouver une scie dans la minute qui suit. » Voyant une petite interrogation sur le visage de son frère, Garrett décide d’éclairer sa lanterne. « Pour ta main… A couper ! » Un rire jaillit de ses lèvres, le jeune homme fier de sa connerie et de sa répartie. Qu’importe que son frère soit agacé, qu’il pète un plomb ou quoi que ce soit, Garrett en a ras le cul de s’en prendre plein la gueule alors que sa sœur est la seule fautive dans l’histoire. Ca a toujours été comme ça, Mackenzie la petite chouchoute, Mackenzie que l’on protège et à qui l’on donne le bon dieu sans confessions. Au bout d’un moment, la situation l’emmerde vraiment, et clairement, la réaction de Jake n’arrange rien aux choses. Alors pour supporter tout cela, il vaut mieux rire que de s’énerver, rire que pleurer. Il a toujours agi ainsi, et c’est peut-être cela qui l’a sauvé, contrairement à Jake qui s’est enfoncé dans les sombres abîmes des ténèbres. Ce dernier, pour assoir les pensées du jeune chanteur, réclame une autre tournée, au frais de son petit frère. Bah tiens, il a bon dos le frère, heureusement qu’il est là. « Un pingouin ? T’aurais pu trouver un autre animal quand même. Un pingouin, c’est tout mignon tout doux, tellement pas moi ! » Au moins avec ça, Garrett dresse un parfait tableau de lui, tout comme le public aime le voir. Il aurait préféré un ours, un lion, c’est tellement plus viril, tellement plus … animal !! Qu’importe, il acquiesce de la tête pour la nouvelle tournée, et attrape son verre de bourbons, qu’il boit lentement, comme cela se boit. Sec, sans glaçons, à savourer. Virage à cent quatre vingt degrés dans les pensées du jeune chanteur, qui se souvient d’un message sur le téléphone de sa meilleure amie Jules, un message provenant de Jake. Cette dernière avait refusé de lui dire d’où il se parlait, et pour ne pas la contrarier, il avait accepté, sans broncher. Mais ce serait mal le connaître que de penser qu’il n’allait pas creuser cette affaire. Alors autant chercher de l’autre côté de la source, auprès de Jake. « Au fait, d’où tu connais Jules ? » Le ton se fait un peu plus cassant que quelques minutes auparavant. Rien d’étonnant lorsque l’on sait que Jules est la prunelle de ses yeux, sa plus belle.
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyDim 23 Mar - 13:39

Pourquoi changer ? A quoi bon ? Jake n'y voyait aucune utilité. Il n'imaginait aucun changement. Car le fossé qu'ils avaient creusé entre eux, était bien plus grand. Il ne savait plus de quelle manière, c'était arrivé et honnêtement, il ne s'en intéressait plus. Ils étaient rivaux. Ils étaient des étrangers. Jake s'y était fait. La notoriété de son frère l'avait changé. Ce succès avait eu un impact sur leur famille et il était trop tard pour y remédier. Le cadet avait pris la grosse tête. Olivia le suivait certainement dans sa connerie. Pendant que Jake vivait avec les moyens du bord. Il faisait son possible pour survenir à ses besoins. Sans être tenu de demander de l'aide, comme il l'avait fait à Londres. Comme cette terrible erreur qu'il avait commis. Il n'aurait pas dû. Jamais. Le jeune homme n'aurait pas dû croiser son chemin. Même si au fond de lui, une partie était fière. Il était fière de le voir toucher ses rêves. Après tout, il y en avait un qui réussissait et Jake était persuadé qu'il l'avait aidé. Quand il était dur avec lui, quand il le rabaissait, c'était pour le rendre plus fort. L'endurcir et surtout l'apprêter à toutes les éventualités. La vie ne laissait jamais de cadeau et il ne lui avait jamais promis ceci. Jake avait toujours été froid et direct dans ses échanges. Il ne l'avait pas ménagé, comme il l'avait fait avec Mackenzie. Il n'avait pas non plus été un exemple. Uniquement, parce qu'il ne le souhaitait pas. Il ne voulait pas porter ce titre. Il ne souhaitait en aucun cas qu'il ne marche dans ses pas. Jake avait grandi. Il s'était fait tout seul et il ne devait rien à personne. Ou presque. En effet, le jeune homme n'arrivait pas à enlever cette image de ses souvenirs. Celle où son petit frère lui tend ce gros chèque. Tellement d'argent et peu de discussion. C'était un service qui lui avait donné mais, peut-être un service qu'il ne pourrait jamais lui rendre. Jake ne sait pas par quel moyen, il pourrait à nouveau réunir cet argent. Quand, il doute encore de ce qu'il lui reste dans ses poches, à cet instant précis. A ce moment, où il boit pour oublier, où il retrouve de mauvaises habitudes. Celles qui l'avaient menées sur ce chemin sinueux, vers ces sables mouvants qui avaient presque eu raison de son humanité.. ou du peu qui pouvait lui rester. Jake savait qu'il ne pouvait pas remuer le passé. Il en avait conscience, ce n'était pas conseillé pour sa santé et surtout pour les tensions qui arrivaient naturellement dans leur discussion. Garrett ne faisait pas que de s'en prendre à lui. Non, il allait plus loin que ça. Il ajoutait Mackenzie à tout ça. C'était plus facile pour lui d'atteindre Jake de cette manière.. « C'est vrai, c'est dur de donner sans rien demander en retour, surtout à sa petite soeur. J'imagine que si elle s'appelait Olivia, ça ne t'aurait causé aucun problème. Tu aurais pris ça à la rigolade. » déclarait-il sans le regarder et prenant conscience de ces éléments. Jake était plutôt mal placé pour le juger, surtout sur ce détail. Car Garrett ne lui avait jamais rien demandé en retour. Il ne lui demandait pas, quand cet argent, il lui rendra. Il ne lui demandait pas, peut-être parce qu'il savait que ça n'arriverait pas ou dans une autre vie. Si Jake a la chance de naitre milliardaire. Il s'empressait donc d'embrayer sur autre chose, de voir le problème sous un autre angle. « Tu n'as vraiment aucun humour. » Sur ces quelques notes, le jeune homme le regardait. Il l'écoutait en rajouter. Prêt à lui trouver une scie, c'est qu'il devient intéressant le Fitzgerald. C'est qu'il en a de l'imagination. Il est surtout très doué pour prendre tout au moindre mot. Je pense que c'est héréditaire dans la famille. Ils n'arrivent jamais à faire la part des choses. Seulement, ce qui différenciait les deux jeunes hommes, c'est que Jake le savait. Il en prenait conscience. Il n'était pas parfait et il n'essayait jamais de se vendre de cette manière. Alors que Garrett en faisait des tonnes avec les filles. Il remerciait ses fans. Il se prenait pour un vrai artiste. Pour une de ses rares personnes où la poudre ne se goutte pas au bord du nez. Enfin, ça c'est encore un détail à discuter, parce que dans l'ombre, on ne sait pas ce qu'il fait. Quand la porte de sa loge est fermée, Garrett n'est peut être pas cet homme qu'elle acclame, qu'elle réclame. Ainsi soit-il. Jake n'allait rien rajouter. Il préférait le qualifier de pingouin. Même si ça l'irritait, même s'il aurait préféré de ne pas devoir partagé son bar. «  Si tu veux, tu peux être un sanglier, je m'en fous.  » finit-il par lui accorder avec un large sourire. Finalement, il pouvait être tout et n'importe quoi, il ne serait pas le roi. Pas le roi de la savane. C'était déjà pris. Il l'avait en face de lui. Terminant son verre tranquillement, Jake s'apprêtait à filer en douce. Il s'apprêtait à se lever, quand un prénom venait l'effleurer. Garrett voulait discuter de Jules. Il était étonné. En vérité, il ne comprenait pas. Pourquoi ne questionnait-il par l'intéressée ? « C'est ta meilleure amie, pas la mienne. Alors, demande lui ! » Sur un ton qui ne laissait rien prétendre de bon, Jake décidait de rester. Quelques secondes de plus, il restait assis à sa place pour savoir ce qui l'intéressait. A quoi bon, ça le regardait ?! Jules était assez grande pour savoir qui elle devait fréquenter. Assez mature, pour ne pas demander l'avis à son meilleur ami. Un avis surtout qui serait loin d'être objectif. « Quoi, ça va devenir interdit de me fréquenter ? Puis, ça ne te regarde pas, ce que je fais et avec qui je le fais. » déclarait-il, tout en faisant exprès. Exprès de laisser planer le doute et la crainte. Garrett pouvait bien avoir peur. Jules était une fille parmi tant d'autre. Du moins, c'est ce qu'il essayait de penser. C'est ce qu'il essayait de se convaincre. Malgré ses distances et ses détails qui ont directement attirés son attention. Jake ne comptait pas lui dévoiler la nature de leur relation et encore moins ce qu'il comptait exploité avec elle. Même si ça pouvait être une bonne pression, une bonne manière de lui rendre la monnaie de sa pièce. Pour défendre Mackenzie et tous ces reproches qui lui accordaient. « Et si Jules veut goûter au fruit défendu, que vas-tu faire ?! Tu n'es pas son père. » ajoutait-il en guise de seconde couche. Jake souriait comme jamais. Il avait cet air sadique sur le visage, celui qui ne laissait rien paraître de bon pour son cadet. Simplement parce que ça ne le regardait pas. Sauf s'il ressentait des sentiments plus qu'amicaux pour la jeune femme. Du coup, ça devenait encore plus intéressant. Jake se demandait ce que ces questions cachaient. Est-ce qu'il s'inquiétait juste de l'attitude que pouvait avec son frère avec sa meilleure amie ? Peut-être qu'il n'avait jamais songé à cette entente et que ça le déstabilisait. Peut-être qu'il n'y avait rien. Tout était possible et c'est ce qui retenait Jake sur son tabouret. Attendre une réaction, une réponse complémentaire, à cet interrogatoire qu'il croyait mener.
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MessageSujet: Re: (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés. (les fitzgerald) parce que la famille sera toujours la base des sociétés.  EmptyMar 29 Avr - 8:50

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