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un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥

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MessageSujet: un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥ un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥ EmptyLun 2 Sep - 17:52

Un besoin d'air
maintenant, tout de suite ! (crédit ; ma louisettte):plop: 
Voilà six heures que j'étais assise à la table de ce café, essayant de chercher l'inspiration. Une inspiration qui semblait avoir du mal à venir. Je ramais littéralement et pourtant mes bases étaient claire. Malgré ça, je n'arrivais pas à écrire. Mon ancre ne coulait pas et mon papier restait vierge. J'étais frustrée, énervée de ne pouvoir rien faire. Les gens de la cafétéria me regardait bizarrement tout comme mes voisins de table. Je semblais énervée, en faite je l'étais. Après avoir bu mon café d'une traite, je rangeais mon stylo, mes papiers pour partir de cet endroit. Il était urgent pour moi de m'évacuer l'esprit de ne penser à rien. Pas d'écrire, pas de jorden. Je devais pensé à moi et rien qu'à moi. Je pris mon téléphone et tapotais le numéro d'un de mes anciens camarade de classe que j'avais revu il n'y a pas si longtemps. J'avais envie de passer la soirée avec lui. Une bonne petite soirée dans un bar à jouer au billard, je ne demandais rien d'autre. " Luke ? C'est Marni. Dit moi une petite soirée ce soir sa te dirait ? rien que toi, moi, une bière et un beau billard ? " un sourire s'affichait sur mes lèvres lorsqu'il accepta ma proposition. J'étais contente, contente de pouvoir enfin profiter d'une liberté de temps qui m'avait été refuser depuis quelques semaines. Je pris la direction de ma chambre, une chambre bien vide depuis que j'avais fait le ménage. Une fois arrivée, je m'étalais sur mon lit. Je manquais cruellement de sommeil entre ce livre, mes études et puis mon nouveau rôle de PDG dans l'entreprise de mon père. J'étais devenue en quelque semaine une femme totalement dépassé. J'avais finis par même mettre ma relation avec Jorden entre parenthèse. Mes craintes se faisaient de plus en plus nombreuse depuis que son père m'avait soudoyé de l'argent. Mon couple était clairement en train de prendre feu. J'avais besoin d'air, besoin d'espace malgré le faite qu'il était impossible pour moi de ne pas y penser pendant mes journées. Jorden devait sortir de ma vie. Cela devait faire bien quatre jours que je ne l'avais pas vu, pas parler. J'avais finis par succomber à la fatigue. Une bonne heure après. Je me préparais pour cette fameuse petite soirée. Un jolie pantalon en cuire, un jolie haut bleu, un peu de maquillage et le tour était joué. J'avais décidé de prendre les transports en commun. Un peu de marche n'allait pas me faire de mal. Je marchais tranquillement pour m'arrêter sur un petit banc ou j'avais donner rendez-vous à Luke. Je scrutais l'horizon sans y prester grande attention. Mon téléphone se mit à sonner. Je répondis : " Luke ? d'accord dans dix minutes, aucun problème à tout de.... " je n'eu pas le temps de finir qu'un jeune homme se trouvait juste devant moi. Il ne ressemblait en rien à Luke, noooon. Jorden se trouvait devant moi, mes yeux se froncèrent et je fis : " Qu'es que tu fais là ? "
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MessageSujet: Re: un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥ un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥ EmptyMar 3 Sep - 8:23


Il y a l'amour insatisfait qui rend odieux
et l'amour satisfait qui rend idiot

SOMEWHERE + Berkeley, California

Une journée de cours plus tard, c'est un Jorden a bout de nerf que nous retrouvons. La journée fut longue pour moi, je n'en voyais pas le bout, j'avais l'impression que le temps s'était arrêté juste pour me rappeler à quel point Marni n'était pas présente. J'ai passé toute la journée à fixer la pendule qui se trouvait en haut de l’amphithéâtre, les aiguilles avaient tournées au ralenti. Parfois même, j'eu l'impression qu'elles reculaient. Les cours étaient d'un ennuie mortel et aussi étrange que cela puisse paraître, je n'avais rien suivi. C'était bien la première fois où je n'écoutais rien en cours, mettant mon ambition de côté pour une relation qui n'avait absolument aucun sens. De toute façon, depuis le début c'est comme ça, j'aurais dû m'y faire. Mais non, je voulais que les choses deviennent simple entre Marni et moi mais au lieu de ça, je m'embarquais un peu plus tous les jours dans la complexité de notre relation. A des moments, elle ne me quittait plus puis à d'autres moments comme là, silence radio. Plus aucune nouvelle en quatre jours. Je ne savais plus sur quel pied danser avec elle. C'était à la fois frustrant et énervant. Qu'elle me dise les choses clairement plutôt que de me faire mariner pour rien. Elle voulait s'offrir des vacances, libre à elle mais au moins qu'elle me prévienne au lieu de me laisser me faire un film dans ma tête. Parce que clairement j'étais amoureux d'elle et cela m'énervait qu'elle puisse me snober ainsi sans même m'expliquer la raison. Cela m'énervait parce que je ne comprenais pas. J'arrêtais pas de penser à Marni, je voyais son visage partout, espérait un quelconque message qui n'arrivait pas, je devenais parano ma parole. Elle obnubilait toutes mes pensées, elle m’obsédait. Ce n'était pas bon pour moi mais aussi pour mon avenir professionnel. Une nouvelle année commençait à présent et moi, je n’écoutais pas en cours. Mais quel crétin je peux faire. Alors que je prenais doucement la direction de mon appart, je vis passé la blonde. Oui parce qu'il y a eu du changement avec la rentrée. Déjà, je n'habite plus dans la demeure Rosenbach. Sur un coup de tête je suis parti de là, rien à foutre de ce que la famille pourra penser. Je ne suis pas fait pour vivre en colocation et faire des concessions. J'en fais assez dans mon couple. Bref, je m'étais trouvé un appartement en plein San Francisco, non loin de l'université, pratique pour me rendre en cours. J'avais besoin d'air et ce n'est pas en louant une chambre chez les Epsilons que je pourrais réussir mes projets professionnels. J'avais emménagé depuis peu et pourtant, l'appart était déjà remplis de papiers en tout genre, mes différents projets professionnels éparpillés dans le salon. C'était le bordel, cela reflétait parfaitement mon état d'esprit et ma vie sentimentale. Je vis donc Marni passer juste à côté de moi. Et là, ce fut l’hécatombe, elle passa à côté de moi sans même m'adresser un regard, sans même me voir je suppose. Alors c'était comme ça maintenant, on s'ignorait ? Je sentis l'énervement monter en moi. Je me retournais sur son passage, elle était belle et ne se laissait pas aller. Elle semblait en pleine forte et pas le moins du monde rongée par ce qui cette situation farfelue. Je déglutis en la voyant. Tout ceci n'avait aucun sens, j'étais complètement aveuglé par elle, mais au final, la connaissais-je vraiment ? Peut-être que dans le fond elle jouait simplement avec moi et profitait d'un homme qui était prêt à tout pour elle. C'est vrai quoi, depuis qu'on est ensemble, je la couvre de cadeaux et ne sait pas quoi faire pour la rendre heureuse. L'amour pour elle m'avait aveuglé. J'étais perdu, vraiment paumé. Je cherchais des réponses là où il n'y en avait pas. Et puis là, je ne sais pas vraiment ce qui me prit mais je fis demi-tour et prit la décision de la suivre un peu. Juste pour voir où elle allait, de toute façon elle ne m'avait pas vue. Je ne me reconnaissais pas, c'était absurde. L'amour me poussait à faire des choses impensables. Mais aussi paradoxale que cela puisse paraître, j'avais toujours les papiers du divorce sur moi. Je les gardais avec mes cours, au cas où, simple précaution. Savoir ses papiers sur moi me rassura. C'était stupide mais au moins, c'était la preuve qu'un peu de lucidité en moi avait survécu. Marni marchait lentement, elle ne semblait pas pressée par le temps. J'étais ridicule, complètement ridicule. Pour finir, elle prit place sur un banc et sorti son portable. Je ne pouvais plus supporter cette situation, il me fallait une explication, des actes, quitte à mettre fin à cette situation insoutenable. J'arrivais donc à sa hauteur et rien qu'à voir la tête qu'elle fit en me voyant, j'avais juste envie de repartir. La belle blonde fronçait les sourcils, elle ne semblait pas surprise mais je la dérangeais, cela se voyait. Elle me lança un vulgaire « Qu'est ce que tu fais là ? » avant de terminer son message. Je me sentais minable, rabaissé plus bas que terre, cela ne me ressemblait tellement pas. Comment une fille avait pu me faire changer en si peu de temps, cela me dépassait, j'assistais impuissant à ma dégringolade. Pour ne pas me défiler devant elle, je pris exactement le même ton pour parler, un ton sarcastique. « Franchement, j'en sais rien. » Au final, j'avais dit cette phrase sur un ton blasé. Je ne savais pas quoi lui dire. J'étais dépourvu et je n'aimais pas ça. Apparemment je la dérangeait. Génial, ça fait toujours plaisir.  « Alors on fait comme ça maintenant ? On s'ignore ? » demandais-je calmement. J'étais franc dans mes paroles, plus question de passer par quatre chemins avec elle. J'en avais marre de cette situation complexe, un jour elle est trop présente, un jour elle est trop absente. Ça va hein. Si ça l'amuse de jouer avec moi, tant mieux pour elle, j'espère qu'elle s'est bien amusée parce que c'est finie maintenant. Soit elle me disait clairement les choses, ce qui n'allait pas chez moi ou dans notre relation, soit c'était la fin et elle n'entendait plus jamais parler de moi. Être pris pour un con, ça va bien cinq minutes.  « Ecoute Marni, je vais être clair. Je ne sais pas pourquoi tu m'évites à ce point mais ça ne peut pas durer. Je ne te comprends pas, je n'y arrive pas. Un jour tu es là et le lendemain tu pars sans donner de nouvelles. Si vraiment tu ne peux plus avec moi, dis-le franchement hein, j'ai les papiers du divorce déjà remplis, tu as juste qu'à signer. » Voilà, j'étais plutôt satisfait de ma réplique, j'avais dis ce que je pensais, sans passer par quatre chemins. J'étais cash, j'étais direct mais je ne tenais plus. Inconsciemment, je passais ma main dans mes cheveux, signe de grand stress. J'appréhendais sa réaction, ses paroles, ses actes ...

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MessageSujet: Re: un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥ un besoin d'air, tout de suite, maintenant pv LOUISETTE ♥ EmptyMar 3 Sep - 10:23

Un besoin d'air
maintenant, tout de suite ! (crédit ; ma louisettte):plop: 
Quatre jours sans donner de nouvelle, j'avais finis par opter pour la solution la plus radicale mais la plus frustrante. Jorden me manquait vous dire le contraire serait un mensonge de plus à ajouter dans mon palmarès. En quelques semaines, j'étais devenue une menteuse, une professionnelle et une frustrée de la vie. L’ignorance n'était pas quelques choses que j'avais l'habitude de faire, j'en étais réduit à mon travail qui me prenait énormément de temps. Cette proposition de livre était finalement arrivée au bon moment. J'avais su faire la part des choses et me concentrer uniquement sur ce qui me semblait le plus juste. Même si aujourd'hui, la concentration n'avait pas été de mise. J'avais finit par opter pour une petite soirée en compagnie de Luke. Rien de bien exceptionnel, une soirée ou j'allais pouvoir faire face à mes vieux souvenir d'école et de débauche. Enfin jusqu'à ce que Jorden débarque. Il était difficile pour moi de ne pas y penser mais le voir devant moi était encore plus difficile. Plus rien n'était pareil depuis notre fameux repas chez le père Rosenbach. Depuis qu'il m'avait soudoyé de l'argent pour quitter son fils et le laisser vivre ses rêves. " Franchement, j'en sais rien. " Je le regardais et je pouvais remarquer qu'il n'était pas bien. Je savais pertinemment qu'il ne suffisait d'un geste, d'une parole pour que tout se remette en place. Il me suffisait de lui expliquer mes craintes et lui expliquer la petite discutions que j'avais eu avec son père. Pour que les choses redeviennent aussi simple qu'avant. Je n'avais pourtant pas envie de le faire. Son père avait finit par me convaincre que je n'étais qu'un frein à sa réussite. Et pour rien au monde, je ne voulais pas qu'il abandonne ses rêves. Je dis rien et attendis qu'il poursuive son explication. J'étais toujours assise et lui debout. " Alors on fait comme ça maintenant ? On s'ignore ? " mettre des mots sur cette situation ne me plaisait absolument pas. "Ecoute Marni, je vais être clair. Je ne sais pas pourquoi tu m'évites à ce point mais ça ne peut pas durer. Je ne te comprends pas, je n'y arrive pas. Un jour tu es là et le lendemain tu pars sans donner de nouvelles. Si vraiment tu ne peux plus avec moi, dis-le franchement hein, j'ai les papiers du divorce déjà remplis, tu as juste à signer " Cette situation m'énervait tellement, j'avais finis par baisser le regard. Cette journée n'était définitivement pas la mienne. Pour rien au monde, je ne souhaitais reprendre mon nom d'avant. Rosenbach avait bien plus de signification pour moi que Stevensen. Il était clair que je l'aimais. Je me lève et finis par le regarder sans pour autant montrer ma tristesse ou mon malaise. " Jorden j'ai l'impression d'étouffer ! Je suffoque, tu comprends ? Et me suivre n'arrange rien du tout. Depuis cet appel de New York, j'ai le temps de rien faire. Je suis continuellement en train d'écrire, pour le peu que j'écris. Je suis stressée h24. A chaque fois que tu es là, il est impossible pour moi d'être totalement concentré. J'ai besoin d'air ! " faire passer ma pseudo carrière avant lui n'était en réalité qu'un autre mensonge. Il était évident qu'il me déconcentrait mais en réalité son amour n'était pas le frein à cette déconcentration. " Tu devrais, faire de même te concentrer sur tes rêves plutôt que moi Jorden. " Je le regardais même si c'était un véritable supplice. Je le devais. " Et si le divorce peut-aider à poursuivre ce que tu suis depuis toujours. Je signe ! " dis-je d'une voix basse. Le mot divorce était une déchire. Mon subconscient n'arrêtait pas de crier et de me dire que je devais lui avouer pour son père. Mais pour être honnête, je ne souhaitais pas être la source de discorde avec son père. Je soufflais et finalement je levais les yeux au ciel pour finir par marcher un peu, tourner en rond histoire d'oublier la phrase que je venais de dire. J'étais mal, mal, mal....
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