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« pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me » harper

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MessageSujet: « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me » harper « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me »  harper EmptySam 25 Mai - 1:48


∞ Harper& Aurea
« Pretty pretty please (...)
you're fuckin' perfect, to me »

    Qui disait reprise de mes activités à Berkeley, cela demandait aussi que je dois des explications à Eva, notre mère biologique à moi et Meleya. Le fait d’être parti en Italie comme ça, ma mère avait fait passer comme un besoin de changer d’air et des affaires importantes pour la Bulgarie. Mais elle était loin du compte car il fallait se rendre à l’évidence : j’avais tellement d’admiration pour ma mère, qu’il n’était pas question qu’elle soit au courant des réelles raisons de mon départ. Déjà que ma grossesse extra-utérine avait fait le tour des journaux en Bulgarie, pour en prime me payer un sermon. J’allais éviter que cette deuxième grossesse non abouti à cause de Rafael lui donne encore une occasion de m’en mettre plein la tête. Cependant, je devais me rendre à un gala en Bulgarie pour annoncer que j’étais de nouveau dans le coup pour la Bulgarie, étant donné qu’il n’avait pas eu de nouvelle de moi pendant près de cinq mois.
    Je devais faire bonne figure, donc le sourire et l’élégance à l’état pure. Pour ça, je ne connaissais qu’une seule personne qui fait des robes d’exception : Harper. Je jouais les mannequins pour elle depuis quelque temps. Cela me plaisait grandement de faire ce rôle. Même si ce n’était pas pour de grand défilée, cela restait une façon de rester au centre des attentions. Et les robes, ses robes étaient absolument sublimes. Je n’étais pas dans les bonnes œuvres et pourtant, si je pouvais lui donner un coup de main pour faire valoir ses robes, je le ferais sans aucun problème. Ma première étape pour elle, aller en Bulgarie avec une de ses robes et dire qu’elle venait de Harper, une étudiante prometteuse de Berkeley. Je venais de terminer la conversation avec ma maternelle que j’envoyais un message à Harper. « Je t’en supplie dit moi que tu as une robe pour moi, même pas fini, tu la finiras sur moi au pire. Je t’expliquerais, rejoint moi à la maison bêta pour quinze heures. » Bon d’accord, je ne laissais pas beaucoup de temps à la bêta pour se préparer, étant donnée que l’on approchait les onze heures. Je m’habillais assez rapidement. Enzo était à l’école pour le reste de l’après midi, j’avais donc un peu de temps à me consacrer. D’autant plus que je n’avais pas ce stupide cours de tutorat. Bon dieu, à ce rythme là, il me faudrait une secrétaire pour gérer toute ma vie privée. Je prenais la voiture et je roulais assez rapidement, surement un peu trop vite, tant que je ne croisais pas de police dans le coin, tout irait bien. Cette histoire de devoir aller en Bulgarie, surtout seule, ça me rendait plus nerveuse qu’autre chose. Quelle version allais-je devoir dire à la presse bulgare quand au fait que j’avais tout plaqué pendant cinq mois ? Qu’est-ce que j’avais fait en Italie ? Une chose était sur, je n’allais pas m’attarder là-bas. Je devais y aller samedi prochain, alors à moins que ça finisse en une grande robe de couturier, et pour le reste, je ne doutais pas de recevoir un appel très prochainement pour ce que je devais dire. Ou alors, Meleya m’aiderait à savoir ce que notre mère biologique voudrait. Je priais le ciel pour qu’à la dernière minute, ou même maintenant, cette espèce de gala qui cachait la vérité, serait annulé. Mais il ne fallait pas trop que je rêve. Je me garais devant la maison bêta. Dans mon souvenir, elle était assez grande pour pouvoir se mettre dans le salon, je m’en moquais royalement d’être à moitié nue là bas s’il le fallait. Après tout, on y trouvait les delta aussi et ça ne serait pas une première où je serais à moitié dénudée devant eux. Harper était déjà là, je m’avançais vers elle pour lui faire une bise des plus amicales. « Désolée de t’avoir alerté comme ça, il y a urgence sans trop en avoir non plus. Mais il va me falloir une de tes robes pour dans huit jours. Tu crois que c’est possible ? » Pour être une grande spécialiste de la mode, je savais qu’il fallait des heures, des jours, pour certains mêmes des semaines pour faire une robe. « Je ne veux pas une autre robe qu’une de tes créations, sinon j’y vais en plouc ! » Je souriais, mais un sourire pas très franc. Je préférais encore me jeter sous un train que de devoir aller à un gala habillé en paysanne. Mais c’était une façon de dire qu’il me fallait une robe signée Harper Richards. « Je t’explique, je crois que je t’ai déjà parlé de ma chère et tendre mère, enfin là c’est ironique, mais au pire, il y a juste à savoir que je la connais que depuis un an et demi. Comme j’ai quitté l’université et disparu en quelque sorte au sein de la Bulgarie, je dois faire officiellement mon retour lors d’un gala là bas. Le tout bien sur un faisant un baratin pas fini, plein de mensonges qui arrangeront juste la cour présidentiel. » L’avantage de ses moments entre nous, c’était que je laissais souvent exprimer des choses que je ne pensais pas moi-même possible de dire. « Et sinon j’espère que je ne te dérange pas, ou que je ne perturbe pas ton après-midi avec tout ça. » Car oui après tout, la bêta pouvait avoir des choses plus importantes de prévu, mais pour le moment elle était avec moi, et je ne comptais la lâcher de ci-tôt tant que je n’étais pas sûr d’avoir une robe pour ce gala.
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MessageSujet: Re: « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me » harper « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me »  harper EmptyMar 4 Juin - 13:44

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« Elegance is the only beauty that never fades »
(audrey hepburn)
Le printemps touchait bientôt à sa fin et les températures ne cessaient de remonter depuis quelques jours, pour le plus grand bonheur de la jeune béta. Ayant toujours vécu à Santa Monica, en Californie, puis à Berkeley, Harper a toujours passé ses vacances chez sa famille, c’est-à-dire au Mexique ou à Cuba, ce qui fait qu’elle a tout simplement horreur du mauvais temps. Il lui était déjà arrivée de voir la pluie, mais rien que l’idée de se retrouver toute mouillée et de ressembler à un vieux rat puant tout frisé la rendait malade. D’ailleurs, elle n’avait jamais vu la neige non plus, puisqu’elle n’avait pas pu se rendre au Spring Break. Elle aurait tout à fait pu se rendre au Canada avec ses amis, mais elle était parvenue à décrocher un stage chez Vogue d’un mois ; sa demande avait donc été acceptée et elle n’avait pas été contrainte de participer au voyage. N’ayant jamais mis les pieds sur une piste de ski, cela avait peut être jouer en sa faveur ou du moins, contribué à sauver sa réputation et sa popularité. Harper Richards n’est pas la fille la plus précieuse qui soit, au contraire, malgré sa fortune à plusieurs milliards de dollars, la demoiselle a su rester simple. Non, elle ne vit pas dans une villa attenante à l’université avec 14 chambres, 17 salles de bains et 8 cuisines. Non, elle partage simplement une chambre étudiante avec sa cousine, Maisy Cagle-Hopkins, avec qui elle est très fusionnelle. Ainsi, cela faisait maintenant 2 ans qu’Harper était arrivée à Berkeley, et une fois l’été terminé, elle allait passer en troisième année de journalisme ainsi qu’en deuxième année de stylisme. La mode, la beauté, les ragots et l’écriture, tant de centres d’intérêts auxquels la jolie cubaine n’a su renoncer. Ainsi, avec son double cursus journalisme-stylisme, elle a trouvé un moyen de combiner tout ce qu’elle apprécie pour en faire son métier. Et étant plutôt douée, son CV est déjà muni de sacrées références, puisqu’elle a eu la chance d’effectuer des stages chez de nombreux créateurs comme Valentino ou Gucci et magazines telles que Vogue ou Elle. Le bal d’année aussi avançait à grand pas, et la robe qu’elle avait souhaité porter était quasiment prête. Alors qu’elle était en train de l’admirer et de faire les finitions, elle avait reçu un coup de téléphone du représentant de Valentino, qui lui donnait pour mission de porter une de leur robe pour le bal. En échange, ils lui dédieraient une demi-page dans leur prochain numéro. A la fois déçue et ravie, Harper ne réfléchit pas deux secondes. Après tout, sans ses stages, ses excellentes références et de bons contacts, jamais elle ne pourrait percer dans le milieu. Avec son blog, elle commençait tout de même à faire de sacrés bénéfices et était souvent invitée à de superbes événements. L’année prochaine, elle espérait secrètement être invitée au festival de Cannes. Ah, l’Europe, elle en rêvait aussi mais n’y avait encore jamais mis les pieds. C’est alors qu’elle reçu un sms d’urgence de la part d’une de ses amies, Aurea Ivanova-Peyli, une sublime bulgare qui lui servait occasionnellement de mannequin. Les deux filles s’étaient très vite rapprochées et s’étaient mises d’accord pour un système de ‘services rendus’. Ainsi, Aurea portait souvent des robes signées Harper Richards, pour le plus grand plaisir de cette dernière. Souvent, des adeptes de ses créations commentaient son blog en lui disant qu’ils avaient aperçue une ‘jolie brune’ qui n’était pas elle mais qui portait une de ses robes. Que les gens le remarque, voilà qui lui faisait énormément plaisir. « Je crois bien que j’ai ce qu’il te faut, viens quand tu veux ! » lui avait répondu Harper, après une once d’hésitation. Non, elle n’avait pas de nouvelles robes, du moins, Aurea les avaient déjà toutes portées une fois, et elle avait comme l’impression qu’elle recherchait une robe particulière. Et puisque Valentino l’avait sollicitée pour porter une de leur robe pour le bal, elle se retrouvait avec la robe de ses rêves, sans pouvoir la porter. « Tant pis, si ça se trouve, elle ira encore mieux à Aurea de toute façon… » marmonna Harper à voix haute alors qu’elle se trouvait seule dans sa chambre face à la robe. Perdue dans ses pensées, elle n’entendit pas la jeune femme toquer à la porte. Cette dernière pénétra donc dans la chambre de son propre chef, paniquée comme jamais. « T’inquiètes pas ma belle, j’ai bien quelque chose à te proposer, en espérant que cela te plaise » lui répondit-il dans l’espoir de la calmer, de la détendre. Stressée comme elle était, Aurea allait même rendre Harper à bout de nerfs si elle continuait. « Evidemment que tu ne me déranges pas, je sais pas ce que je ferais sans toi pour aller parader à travers le monde dans mes robes ! » ajouta Harper en rigolant, bien qu’en était totalement sincère. « Viens, je vais te la montrer. J’espère qu’elle te plaira, c’est la robe que je comptais porter pour le bal, mais finalement, je vais devoir porter une robe Valentino » lâcha-t-elle en soupirant, ce qui n’était pas voulu. « Bref, si elle te plaît, on peut faire les ajustements immédiatement ! » lui proposa-t-elle gentiment. Après avoir écouter les explications de la jeune bulgare, Harper ne regretta pas une seconde de lui avoir proposer de porter sa robe, puisque apparemment il s’agissait d’un sacré événement ; ou du moins, d’un événement médiatisé qui lui ferait certainement une publicité d’enfer. Tandis qu’elles étaient allées vers la salle de bien-être pour se détendre un peu, Harper fit remonter la jeune avec elle dans la chambre et lui montra la fameuse robe. « N’hésites pas à être honnête, si elle ne te plaît pas, je suis sûre qu’on trouvera une solution, d’en fait pas » dit-elle à Aurea, anxieuse du verdict. Il s’agissait d’une longue robe rouge, dont le bustier était en dentelle et légèrement transparent, tandis que la ‘jupe’ était en voile et était fendue sur le côté. Bien que sexy, la robe n’était pas du tout vulgaire. Harper espérait juste qu’elle allait adaptée à ce genre d’événement.


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MessageSujet: Re: « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me » harper « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me »  harper EmptyMar 27 Aoû - 18:58

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MessageSujet: Re: « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me » harper « pretty pretty please (...) you're fuckin' perfect, to me »  harper Empty

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