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Ebony&Riley :. we're devils in disguise

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MessageSujet: Ebony&Riley :. we're devils in disguise Ebony&Riley :. we're devils in disguise EmptyDim 24 Mar - 18:29


EBONY&Riley



    Les cours et les incroyables flâneries que je me privilégiais entre deux heures de battement. Mon dieu que je n'en pouvais plus. Il fallait le dire qu'il allait devoir que je travaille deux fois plus si je voulais pouvoir retourner travailler en France dans l'agence de presse qui m'avait recruté cette été pour un stage mais qu'est-ce que je pouvais m'ennuyer ! Pourquoi fallait-il qu'on passe des années dans des salles de cours à détester ce qu'on étudiait, à ne rien aimer que ce soit de s'assoir sur une maudite chaise pendant des heures ou scruter le visage des professeurs qui dégoulinaient de sueur, et tout ça pour quoi ? Pour faire un job qui suffisait j'en étais presque persuadée, d'observer pour le mettre à exécution. Oui, c'était ce genre de journée et je restais encore plus maussade que d'ordinaire. Ou je n'avais envie que d'une chose, m'envoyer un joint juste pour que mes idées me paraissent plus marrantes. Mais je m'étais promis pas dans une journée de cours et celle-ci semblait interminable. Mon voisin d'ailleurs vint souligner cette pensée lorsque je le vis mettre un doigt disgracieux dans une de ces narines. C'en était trop, il fallait que je sorte de là et que je prenne l'air sinon j'allais sûrement faire un meurtre ! Etre trop sérieuse pour moi en plusieurs jours d'affilé c'était comme pendant la même période mettre un couteau en face d'un sérial killeur et attendre de voir s'il craquerait enfin. Je craquais. J'avais besoin de prendre l'air et de faire ce que je faisais de mieux c'est à dire rien ! Alors c'est pourquoi d'un pas qui se voulait dynamique, je sortis en trombe de l'amphithéâtre dans lequel je me trouvais devant une foule de spectateurs qui n'étaient visiblement même pas étonnés de mon comportement. Une présidente qui montrait ses mauvaises manies. C'était fâcheux mais pas inhabituel chez moi, les gens le savaient très bien pour ne plus s'offusquer de rien vis à vis de moi ! Traversant rapidement les couloirs qui me séparait de l'extérieur, je ne pus que prendre une grande goulée d'air frais lorsque je sentis enfin celui-ci caresser mon visage. Mon dieu et le pire c'est qu'il faisait beau ! Non, ce n'était vraiment pas le genre de journée où il fallait rester enfermer en cours ! J'étais sûre que dieu était d'accord avec moi sur ce point-là ! Je sortis alors de ma poche un joint que j'allumai illico presto pour en tirer deux trois lattes d'une manière plutôt vive ce qui finit de me faire voltiger. Je dus me retenir de ne pas tousser la fumée qui s'échappait d'entre mes lèvres et j'avançai enfin vers le café de l'université. Rien de tel qu'un café avec peut-être un peu de whisky dedans pour pouvoir se rebooster et continuer la journée comme j'aurais voulu qu'elle se déroule c'est pourquoi jetant mon joint dans la cour de l'université, j'arriva de nouveau dans les couloirs pour aller direction l'albatros. Je ne fis attention à personne mais je savais que la plupart avait les yeux tournés vers moi. A mon avis c'était sûrement parce que j'avais joué avec la plupart des gens qui s'y trouvaient et sans aucun ménagement. Le pire c'est que si je les regardais, j'étais sûre de ne même pas savoir ce que j'avais fait avec chacun et j'en avais oublié probablement beaucoup d'ailleurs. C'était comme ça, le monde était mon terrain de jeu et les gens mes pantins et puis quand je me lassais de mon jouet je passais à un autre inlassablement. C'était comme ça et c'était sûrement aussi pourquoi j'avais une telle réputation. La belle et dangereuse Bonny. Imprévisible, incontrôlable et qu'on ne pouvait approcher sans savoir où on allait finir à la fin. J'eus un sourire en m'approchant des tables en me disant qu'il allait vraiment falloir qu'un jour j'aille accueillir mon correspondant. Super, les omicrons étaient déjà arrivés et bien sûr, la correspondante qui manquait à l'appel à l'aéroport était moi. Oui, bon, pas top pour une présidente de confrérie mais il était vrai aussi que j'avais une grosse gueule de bois cette journée là. Ne pouvait-il pas faire ça à des heures décentes ? Je ne savais même pas quelle tête il pouvait bien avoir et nos lettres avaient été que rares et souvent je lui montrais bien à quel point je faisais ça plus par obligation qu'autre chose. Et puis il était arrivé. Sauf que je ne l'avais pas encore vu. Peut-être que j'aurais dû faire un saut par sa chambre mais cela m'ennuyais déjà terriblement. C'est alors que je me servait du café, je sentis une main sur mon épaule. Déjà je me demandais qui était l'abruti qui pouvait bien m'approcher ainsi. J'imaginais déjà que c'était Andrew ou Jayan mais lorsque je me retournais je m'arrêta net dans mon élan de pensées lasses. Oh merde. Là c'est sûr, ma journée risquait d'être pimenté. Il était beau et son regard me montrait qu'il n'était pas l'heure de la plaisanterie. Effectivement je me retrouvais devant la personne avec qui j'avais passé énormément de temps en Angleterre pour ensuite coucher avec et disparaître avec son argent. Mais qu'est-ce qu'il faisait là bordel ?!
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MessageSujet: Re: Ebony&Riley :. we're devils in disguise Ebony&Riley :. we're devils in disguise EmptyDim 24 Mar - 19:43

Riley tâchait de se familiariser rapidement avec le campus. Déjà, il savait plus ou moins se diriger sur celui-ci. Il avait toujours eu un assez bon sens de l'orientation. Heureusement qu'il pouvait compter là-dessus, d'ailleurs. Riley s'était prit un méchant vent à son arrivée avec les autres à l'aéroport. Tout le monde avait rencontré son correspondant à une exception : Riley n'avait pas eu cette chance alors qu'il était peu dire d'affirmer qu'il était impatient de se retrouver face à sa correspondante. En effet, si Riley avait été le seul à se retrouver comme un idiot à l'aéroport, il avait pour avantage de ne pas se retrouver entre les mains d'une inconnue. Il n'avait put s'empêcher de sourire en lisant le nom de sa correspondante alors qu'il se trouvait encore à Oxford. Il n'avait pas oublié cette fille et ce qu'elle avait osé lui faire. C'était une chose de le laisser seul au petit matin dans une chambre d'hôtel après une nuit pour le moins réussi, mais c'en était une autre de profiter de son sommeil de plomb des lendemains de cuite pour piller une bonne partie de son compte en banque. Riley avait développé pas mal de rancune depuis le matin ou il avait réalisé qu'il s'était fait avoir. Cette histoire constituait une humiliation pour le jeune homme et s'il avait bien une chose que Riley avait en horreur, c'était de devoir vivre avec une humiliation cuisante qu'il n'avait même pas put garder pour lui. Il n'avait guère fallu beaucoup de temps à ses parents pour apprendre qu'une grosse partie de l'argent déposé sur le compte en banque de leur fils unique s'était envolé en une seule et unique nuit. Riley était parvenu à gérer ses parents à ce sujet, là n'était pas le problème même s'il avait dut reconnaître s'être fait roulé par une fille. Il ne pensait pas la revoir et n'avait pu que se réjouir d'apprendre que ce ne serait pas le cas. Il avait la chance de prendre sa revanche et était bien décidé à la saisir. Si Ebony n'était même pas capable de se pointer pour l'accueillir, il était tout à fait disposé à aller à sa rencontre par lui-même. Bien évidemment, cela n'était pas aussi simple qu'il l'aurait voulu. Il connaissait son nom mais encore fallait-il parvenir à la coincer et sa connaissance du campus étant limitée, la tâche ne s'annonçait vraiment pas simple, qui plus est Riley n'aspirait pas non plus franchement à passer son temps à lui courir après. Il sortait d'un cours et décida d'aller boire un café au café/bar de l'université, un coin qu'il avait bien vite repéré. Les cours n'étaient pas encore redevenus aussi ennuyeux que ceux qu'il suivait à Oxford mais nul doute que cela ne tarderait pas à devenir une routine exaspérante similaire en tout point à celle à laquelle il était habitué chez lui. Toujours est-il qu'un café ne serait pas de trop pour le tenir éveiller. Il avait mal dormi la nuit dernière et peinait légèrement à garder les yeux ouverts. Quelques bouquins sous le bras, il poussa les portes de l'Albatross et se figea en reconnaissant une silhouette. Il peinait à y croire et il ne put s'empêcher de sourire de satisfaction. Enfin. Il y avait bien des brunes sur ce campus cependant, rien n'était sûr, il ne devait pas s'emballer trop vite au risque d'encaisser une déception... C'était elle, il en était sûr et quand bien même cela ne serait pas le cas, il pourrait toujours expliquer s'être tromper tout en adressant à l'inconnue son habituel sourire en coin qui avait fait ses preuves par le passé. Riley fit quelques pas de son habituelle démarche débordante d'assurance et posa sa main sur l'épaule de la jeune femme. Cette dernière tourna rapidement la tête pour lui faire face et Riley put constater qu'il ne s'était pas trompé. Il la glorifia de son plus beau sourire avant d'ouvrir la bouche. Ebony, c'est bien ça ? Demanda-t'il, jouant l'imbécile bien que sa voix détonnait totalement avec sa question. Il avait employé une politesse feinte mais le sarcasme était parfaitement perceptible dans le ton de sa voix. Il retira sa main de son épaule pour venir l'agiter prêt de la sienne, l'invitant à lui serrer la main. Enfin, sauf si tu préfères m'embrasser pour me saluer. Après tout, elle l'avait déjà fait et pas qu'une seule fois. Je suis Riley Marvey-Brown, mais ça tu le sais déjà, enfin je pense que tu te souviens de notre rencontre. Je suis ton correspondant.
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MessageSujet: Re: Ebony&Riley :. we're devils in disguise Ebony&Riley :. we're devils in disguise EmptyJeu 28 Mar - 20:55


EBONY&Riley


    Sourcil arqué, sourire malicieux sur les lèvres, je me demandais encore si ce n'était pas une blague ou si j'allais apercevoir une caméra cachée quelque part mais apparemment c'était peine perdue de chercher. Son visage face au mien, je me disais qu'il n'avait pas changé et en faîtes il était sûrement encore plus délicieux que dans mes souvenirs. Se jouer ensemble des gens avaient été un régale et pourtant il s'avérait que je ne trainais jamais facilement avec la même personne plusieurs jours d'affilé. Il fallait croire qu'il avait été une exception. Bon d'accord, une exception qui s'était avérée revenir au même point que tous les autres hommes que j'avais pris et jeté puisque j'étais partie sans une explication en lui faisant le plaisir de le débarrasser d'un peu de sa fortune au préalable. Maline la Bony. Regard soutenu, je ne pouvais pourtant pas me détacher de son regard. La plupart des gens dans ma situation aurait sûrement pris leurs jambes à leur cou mais pas moi. Je n'étais pas la plupart des gens et je n'étais pas le genre à caser dans une moyenne c'est pourquoi je lui adressa un charmant sourire comme si rien n'était et que le plaisir s'offrait à moi de le saluer. Bon d'accord, il s'avérait que me voir sourire à un parfait inconnu était tout bonnement pas dans mes habitudes mais si les gens savaient... Doux sourire donc, voix mielleuse de la rencontre fortuite qu'il m'offrait pour pimenter ma journée. Oui, il l'a pimentait et je m'en réjouissais même d'avance alors qu'il aurait pu me jeter en pâture aux loups, appeler la police et me dénoncer. Mais je le connaissais pour savoir que ça n'allait pas être ses premiers actes de vengeance si vengeance il y avait. Oh non, il aimait trop jouer. Il était comme moi, c'était un chasseur et une chose me disait bien que finalement, j'allais bien plus apprécier mon correspondant que ce que j'avais pu penser de premiers abords. Je crois que tu en a assez profitez n'est-ce pas ? Sourire de contrôle sur le visage. Non, ce n'était pas du tout la bonne façon d'aborder la situation, lui rappeler les souvenirs et le ramener à notre séparation pour la moins imprévue ne ferait pas qu'arranger les choses mais c'était plus fort que moi. Je le cherchais. j'essayais de le pousser. Hum ... Doux jeu qui prenait vie en moi... Cette référence à mes lèvres ne le décevraient pourtant pas. Après tout, j'avais dans l'idée qu'il avait apprécié grandement ma bouche à ses heures de bassesse. J'eus un frisson dans le dos et continua sur le même ton complice bien que cela faisait comme un siècle que nous nous étions quittés. Toi ?! Et bien, ça pour une coïncidence ... Il va vraiment falloir que je vérifie maintenant ce que j'ai bien pu écrire dans mes lettres, ce serait fâcheux qu'on commence sur de fausses bases. Oh oui, c'était du tout moi craché. Je ne lui avait d'ailleurs jamais demandé son prénom ni son nom. Ce n'était pas que la chose ne m'intéressait pas, au contraire il m'avait vraiment intéressé pour sûr et pourtant, ne rien savoir de son identité me donnait encore plus l'envie de lui et l'impression de jouer encore plus dangereusement avec quelque chose qui pouvait m’échapper car il m'était inconnu. Oui, le danger, le frisson, ce grand bain profond dans lequel on plonge tête la première pour ressentir autre chose que les sentiments comme la culpabilité, les regrets ... Et bien je le faisais tout le temps, sans attendre, sans réfléchir ni m'arrêter. Et puis forcément ne sachant pas encore qu'il était le fameux destinataire de mes lettres, il me paraissait à présent évident que j'avais pu y écrire un nombre incalculables de bobards et autres conneries en tout genre quoi que en y repensant, vu le nombre de lettres que je lui avais fait parvenir, ce n'était pas bien sûr que j'ai pu avoir le temps de mettre inventé une vie de princesse au pays imaginaire ! Bony pour les intimes. Mais ça tu le sais déjà c'était ce que tu criais la dernière fois qu'on s'est vu si je me souviens bien... Croquant dans une pomme que je venais d'attraper dans un saladier, j'eus un sourire joueur tout en observant la réaction de Riley à l'image de nos derniers ébats pour le moins bestiales...
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MessageSujet: Re: Ebony&Riley :. we're devils in disguise Ebony&Riley :. we're devils in disguise EmptyDim 14 Avr - 11:52

:out:
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MessageSujet: Re: Ebony&Riley :. we're devils in disguise Ebony&Riley :. we're devils in disguise Empty

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