the great escape
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« Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic'

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MessageSujet: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyDim 21 Déc - 23:51

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« L'homme est incapable de choix et il agit toujours cédant à la tentation la plus forte. »
ANDRÉ GIDE

    « Ça suffit Thomas, je me caille, ouvre moi cette porte !!! »

    Tiens tiens ... Qu'avons nous là ... Soukaïna & Thomas, ce n'est pas un scoop, mais la jeune femme tambourinant à la porte d'entrée du jeune homme d'une simple serviette blanche vêtue. Comment avait-elle fait pour encore tomber - malencontreusement comme à son habitude * applaudissements * - dans cette situation ?
    Et bien la jeune fille était sagement entrain de prendre sa douche histoire de redonner une ondulation naturelle - et rien de plus ! - lorsque Thomas entra doucement dans la salle de bain pour prendre tous les vêtements de la belle. Lui laissant par simple pitié une minuscule serviette blanche avec laquelle elle aurait du mal de recouvrir l'intégralité de ses parties intimes.
    A peine fut-il sortit de la salle de bain - dans la plus grand silence - qu'il dévala les escaliers et sortit de la maison. Il téléphona à Soukaïna & son portable se mit à vibrer devant le miroir de cette même salle de bain dans laquelle Soukaïna se doucha.
    Attrapant vite la serviette qu'elle mit autour de sa taille elle répondit et on assista à ce petit dialogue ... amicale :D :


    « Oh, Souki chérie, si tu veux revoir tes vêtements tu devrais rapidement regarder par la fenêtre ! »

    « Que quoi ??? Thomas ?
    »

    « Le seul et l'unique ! Allez, descend et ne perd pas trop de temps à réfléchir inutilement sinon tu ne pourras pas te pavaner sur le tapis rouge !
    »


    A ces mots, il avait raccroché et tirant rapidement le rideau de la salle de bain, Soukaïna avait vu Thomas entrain de secouer les vêtements de la belle dans le jardin. Furieuse, se retournant et voyant avec stupéfaction qu'il ne lui restait plus aucun vêtements, elle descendit à son tour les escaliers et sortit par la porte d'entrée. Thomas l'attendait dix mètres plus loin avec son sourire victorieux.

    Il se mit à courir et elle lui couru après - comme ils sont attachants ... - Il rentra par la porte de derrière qu'il verrouilla aussitôt et alors qu'elle comprit ce qui était entrain de se passer, elle fit demi-tour pour rentrer par la porte d'entrée mais malheureusement elle se heurta à quelque chose et perdit cette demie seconde qui l'emprisonna à l'extérieur de la maison, la main droite collée sur la serviette au niveau de la poitrine et la gauche un tout petit peu plus bas que les hanches (a).

    Après vous connaissez la suite, elle tambourine, il refuse d'ouvrir en ricanant & en profitant de l'occasion pour jeter un coup d'œil par la fenêtre histoire de pouffer un peu plus de rire.
    Pauvre Soukaïna, et elle qui était jusque là si sage dans sa petite douche avec son petit shampoing ...



    « Thomas, ouvre on va être en retard bon sang !!!! »

    Quelle autorité ! Ces quelques mots doux faisaient un bien drôle d'effet au jeune homme. A tel point qu'il en profita pour aller se chercher un verre d'eau - sans trop se presser -.
    Et rebelotte, elle s'énervait de plus belle ... La patience était une vertu qui était loin d'être acquise :D


    « Thomas, merde ouvre cette porte maintenant ! Je me caille et tu me fais perdre mon temps !!!! »


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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyMar 30 Déc - 18:36

La célébrité, qui n'en a jamais rêvé ? Qui ne s'est jamais inventé un personnage, devant son miroir, en racontant comment il avait reçut son Oscar ? Je crois que la réponse est plus qu'évidante, tout le monde veut et espère avoir ne serait-ce qu'un quart d'heure de gloire et de reconnaissance... Mais voilà, le seul problème dans tout ça, c'est que n'est pas Angelina ou Brad qui veut ! Alors on se console en étant plus populaire au lycée que ses amis, plus beau que ses ennemis et plus intelligents que ses rivaux... car cela apporte une sorte de célébrité, un truc qui nous fait sortir du lot pour que l'on nous remarque, à petite échelle certes, mais cela compte quand même. Et puis qui sait ce qui peut arriver plus tard ? Peut-être que les projecteurs se tourneront vers nous et qu'une foule en délire nous acclamera à notre passage, nous réclamant un autographe au feutre indélébile... Indélébile ? Quel beau paradoxe, car tout le monde sait que cela ne dure pas, que la gloire et les paillettes sont des choses frivoles qui changent aux grés des saisons... Mais l'on aime à croire le contraire, que toute cette adulation et cette reconnaissance ne s'atténura jamais... que ce rêve éveillé durera jusqu'à votre mort... Mais encore faut-il que ce rêve devienne réalité.

Voilà quelqu'un qui n'a jamais rêvé de se voir aduler par des millions de personnes, qui n'a jamais voulu faire de sa vie quelque chose de publique -pas à si grande échelle du moins !-. Et pourtant, les portes de la starisation et de la célébrité s'ouvrent à lui, comme ça, sous prétexte qu'il est canon et qu'il vient de jouer dans un film... Quel monde cruel, me direz-vous ! Thomas Johansten n'a pas mérité cela, lui qui est déjà plein aux as et qui réduit en cendres tout ce qui l'empêche d'avancer... Ne pouvait-il pas laisser sa place aux autres ? A ceux qui en ont réellement envie, ceux qui se battent chaque jour pour exister et se faire un nom dans ce monde si difficile. Voyons, King T. n'est pas de ce genre là, lui il prend ce qu'on lui donne... et basta ! Et puis d'ailleurs, si on ne le lui donne pas, il le prend quand même.

En attendant son heure de gloire, le jeune homme se préparait chez lui, tranquilement -façon de parler- avec son amie de toujours, celle pour qui il serait prêt à faire des sacrifices et des concessions, Soukaïna Scott... Que son nom de jeune fille sonne mieux ! Les deux Gloden Teens étaient donc à l'étage, Soukaïna dans la salle de bain -comme toujours depuis une heure- et Thomas se changeait dans la chambre... C'est alors qu'il lui vint une idée de génie -tout est relatif mes enfants-, il s'introduit dans la salle de bain et emporta avec lui les vêtements de son amie, pour les disperser dans le jardin, un peu plus bas. Un coup de fil et quelques jeux de jambes plus tard -n'y voyez rien de sexuel mes amis !-, S. se retrouva enfermé dehors... avec comme unique vêtement : une serviette des plus petite. Autant vous dire que T. rigolait bien la porte qu'il venait de fermer à clée, il se dirigea alors vers la baie vitrée du salon, où S. le rejoignit tout en criant et vociférant différentes insultes à son égard.


" Moi aussi je t'aime S. "

Il déposa alors un baiser sur la vitre qui se trouvait face à lui, ce qui énerva de plus bel son amie. Elle était dehors depuis à peine cinq minutes et elle en avait déjà assez... non mais vraiment, quelle petite capricieuse !
Voilà qu'à présent Thomas lui faisait perdre son temps, que de gentillesse amis Upper West Sidders ! Thomas agita alors les clées devant le nez de son amie qui donna un coup de pied dans la vitre... Cela eu pour effet de faire éclater de rire T.


" Arrête S. tu vas te casser quelque chose et tu pourras pas faire ta salope devant les objectifs ! "

Ah oui, j'ai oublié de mentionner un léger détail : l'avant-première du film était dans à présent trois heures... Et S. n'avait pour ainsi dire rien fait niveau préparation.
Après quelques insultes et plusieurs tours de la maison, T. se décida finalement à ouvrir à son amie qui commençait sérieusement à pèter un câble. T. dévérouilla la porte et se dépêcha de monter les escaliers pour ne pas subir les foudres de celle qui était frigorifiée et à moitié nue.


" Tu vas me taper ? " cria-t-il depuis le premier étage.

Il avait dit cela comme un pauvre petit chiot qui venait d'uriner contre le canapé et qui attendait, les yeux suppliants et la queue baissé, la punition. Il entendait S. qui montait furieusement les escaliers tout en l'insultant de tous les noms... T. se réfugia dans sa chambre qu'il ferma à clée.

" Je te laisserais pas rentrer tant que tu m'auras pas jurer que tu es calmée ! "


Oui, Thomas pouvait être très pénible lorsqu'il s'y mettait... Mais il savait très bien que S. ne lui en tiendrait pas rigueur. Il la connaissait par-coeur... C'était S. et il était T.


Repérés, nos deux rois de Berkeley en train de jouer à cache-cache chez T. ... Une histoire de clée apparement... Espérons qu'ils sauront ouvrir les bonnes portes au bon moment.
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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyMer 31 Déc - 2:01

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« L'homme est incapable de choix et il agit toujours cédant à la tentation la plus forte. »
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    « Tu m'aimes ? Prouve le moi ! Ouvre moi cette porte Thomas !!! »

    Ne prenez pas cet air étonné ! Vous savez bien que les gens qui ont de l'argent n'aiment pas attendre, encore moins lorsque ça met leur petit confort personnel - et j'insiste sur le mot C-O-N-F-O-R-T, deux syllabes et pourtant, un tel bonheur pour nos fesses (a) -. En effet, il ne s'agissait là qu'une simple histoire de confort car croyez moi, la pudeur était à des milliards d'années lumière de là !
    Outre la serviette microscopique qui entourait la taille fine de la jeune fille, Soukaïna se retrouvait nu dans le jardin de Thomas Johansten entrain de courir autour de la maison après le propriétaire de la demeure.
    Mon dieu ce qu'il pouvait-être usant ce jeune garçon ! Il connaissait tellement bien Soukaïna qu'il était la personne la plus disposé au monde à la faire souffrir et croyez moi, c'était dans des moments pareil que la jeune fille réalisait à quel point elle était un peu trop proche de lui... Une serviette en coton blanche/crème était-elle vraiment un accoutrement pour une femme presque mariée et mère de deux enfants ?! Il était évident que dans le moment présent elle s'en souciait mais était-ce suffisant de s'en soucier ?! Ne faudrait-il pas agir mlle Scott ?!

    Faisant une dizaine de fois le tour de la maison, la jeune fille finit par renoncer, cette porte ne se rouvrirait certainement pas tout de suite et encore moins tout de suite car en effet, Thomas jugeait le moment propice pour monter faire quelque chose. Si elle avait pu, je peux vous certifier qu'elle l'aurait frappé ! Le voir partir avec ce sourire au coin de la bouche, tout en lui faisait un clin d'oeil et un signe de la main ... La jeune fille perdit patience, hurla aussi fort qu'elle pu pendant près de cinq minutes avant que Thomas redescende. Il n'avait rien changé à son apparence et passa doucement sa main dans sa chevelure tout en rejetant la tête un peu en arrière.
    La jeune fille énervée par les clifs qui s'agitait sous son nez sans qu'elle puisse les attendre, frappa machinalement dans la baie vitrée. Il fallu en plus que Thomas rajoute ces quelques mots ... C'était la fin. La jeune fille hurla de plus belle, l'injuria de tous les noms avant de débiter avec un ton tellement vexée :


    « T'as raison, tu vas te retrouver tout seul ce soir, sans salope mais sans personne ... C'est vraiment trop bête pour quelqu'un qui a besoin d'aide et d'un soutient constant ! Pas ta belle, intelligente et salope - si tu le souhaite - Soukaïna ... Personne !!!
    »


    La jeune fille était folle. Elle ne prit même pas le temps d'écouter sa réponse que furieuse, elle alla tambouriner à la porte d'entrée en sonnant à la porte une bonne cinquantaine de fois en une minute. Elle détestait Thomas, elle le détestait !!!

    Lorsqu'il déverrouilla la porte d'entrée, il ne prit même pas le temps de regarder la jeune fille qu'il montait en courant les escaliers. La jeune fille commença à courir derrière lui quand la serviette qu'elle "portait" tomba sur le sol. En hate la jeune fille la fit tenir tant bien que mal sur son petit corps menu avant de monter les escaliers furieuse. Une fois à l'étage, elle vit la porte de la chambre de Thomas se fermer puis entendit le crissement d'un verrou. La jeune fille se rapprocha d'un pas assuré tout en surveillant sa serviette qui ne tenait plus vraiment aussi bien qu'auparavant. La jeune fille frappa à la porte avant de répondre :


    « Mais quel enfoiré tu fais Thomas ! Je suis gelée, tu viens de me faire perdre un quart d'heure et tous les voisins m'ont limite vus à poil ! C'est vraiment trop nul ! C'est même pas drôle bon sang !!! Ce que tu peux être puéril ça m'énnerve ! »

    La jeune fille regarda devant elle avant d'ajouter :


    « Oui je suis calmée ! Toi par contre tu devrais essayer autre chose pour avoir la chance de me voir à nouveau nu parce que c'est pas comme ça que ça va marcher ! »

    A ces mots, la jeune fille laissa Thomas déverrouiller la porte de sa chambre. Il la dévisageait ...


    S'il est au monde quelque chose de plus fâcheux que d'être quelqu'un dont on parle, c'est assurément d'être quelqu'un dont on ne parle pas. Mais rassurez-vous, ces deux là vont faire parler d'eux encore longtemps. Surtout que nous arrivons à la partie délicate me semble-t-il (a).

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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyMer 7 Jan - 19:54

Le temps... Quelle notion difficile à cerner et à définir. Est-il un allié ou bien le pire de nos ennemis ? Est-il réel ou juste une pure invention de l'homme pour se donner l'impression de dominer son monde ? Je ne crois pas être en mesure d'apporter de réponse à ces questions et je ne pense pas que quelqu'un le puisse... C'est d'ailleurs le problème de toute la chose. Si seulement l'on savait comment aborder cet étranger qui fait partie de notre quotidien... Beau paradoxe de la vie que voilà... ne pas connaître ce qui appartient à notre vie, ce qui fait ce qu'elle est. Mais après tout, cela fait partie du jeu, non ? Avancer à l'aveuglette, sans repère ni connaissance du lendemain, comme un enfant se réveillant au milieu d'une pièce sombre... Car au fond, nous sommes tous cet enfant perdu dans un monde méconnu et inconnu qui choisit de nous donner ou bien de nous enlever nos repères. Devons-nous nous révolter, nous battre contre cela ? J'ai bien peur que ce ne soit que de futiles actes, un gaspillage d'énergie précieuse... Gardons notre souffle pour un combat bien plus sensé : le notre. Car nous savons très bien qu'un jour ou l'autre, nous trouverons cette lumière qui nous faisait défaut.

Voilà comment Thomas Johansten avait décidé de vivre sa vie : sans peur du lendemain. C'était son choix et il s'y tenait, pouvait-il d'ailleurs faire autrement ? Certainement pas, il aimait trop sa vie pour cela. Alors que certains avaient des plans pour leur futur, lui ne s'en préoccupait guère, sachant parfaitement qu'il n'avait pas de quoi se faire de soucis... d'un point de vue matériel seulement ! Et c'est bien là le problème. Car T. vit au jour le jour pour tout et n'importe quoi... Cela va de ses études à ses relations amoureuses en passant par ses dépenses... Ce qui forcément posera quelques soucis à un moment donné, mais laissons-le à ses occupations présentes puisqu'il semblerait que rien d'autre ne l'intéresse... Vous me direz, avoir une jolie brune presque nue juste devant votre nez, ne vous permet pas vraiment de réfléchir à ce qui peut vous attendre demain !

Notre beau blond était en effet devant une Soukaïna, protégée uniquement par la blancheur immaculé d'une serviette de toilette, laissant aperçevoir quelques coins intimes de son anatomie parfaite. La jeune femme venait de rentrer -après quelques minutes passées en dessous de 10°- à l'intérieur et s'égosillait contre la porte fermée de la chambre... A en juger par le niveau sonore, T. venait de commettre un crime odieux, mieux valait donc pour lui qu'il s'en repente... mais ce n'était pas vraiment son genre !

" Puéril ... ? Voyons S. tu parles du type qui t'invite à une cérémonie privée là... ! "
dit-il d'un ton railleur à travers la cloison qui les séparaient.

C'est alors que la jolie mère ajouta qu'elle était à présent calmée et qu'il était temps qu'il dévérouille la porte... Le jeune homme s'éxécuta sur le champ... Il n'allait pas pousser les choses trop loin, cela risquait de dégénérer, une S. contrariée vaut mieux que 4 S. fachées, oh oui ! Soukaïna fit alors allusion au fait que Thomas voulait la (re)voir nue... Si ce n'était pas de la provocation ça !

T. ouvrit donc la porte pour découvrir son ami appuyée contre l'encadrement, attendant l'heure où elle pourrait réintégrer ses quartiers -à savoir la salle de bain-. Il lui fit un sourire dont lui seul avait le secret et se poussa légèrement pour la laisser entrer... elle semblait effectivement assez calme.


" Moi, te voir nue ? Comme si j'avais besoin de tout ça pour arriver à ce but... "


Il lui fit un clin d'oeil et s'assit sur le rebord du lit qui faisait face à Soukaïna. Elle le dévisagea avec un regard tueur et s'approcha de lui, la serviette perdant à chaque pas du terrain sur le corps léger de notre Muse... Ce spéctacle n'était pas pour déplaire au jeune homme, perdu dans les formes de son amie.

" Je ne me souvenait pas que tu étais si... "


Il ne pu finir sa phrase car à présent S. était à deux doigt de le toucher... Il était assez décontenancé par tout cela -une fois n'est pas coutume !-, il ne savait pas comment le prendre... Un seul faux pas et tout pouvait tourner à l'affaire d'état. T. ne pouvait s'empêcher de penser aux fois où il avait été dans le même lit que Soukaïna, le temps où il pouvait toucher son corps à volonter sans peur de briser quelque chose... Un frisson le parcouru alors, S. ne pouvait l'avoir manqué... Elle l'effleurait maintenant.



Mais que vois-je Upper West Sidders ? Ne serait-ce pas le jeu du chat et de la souris qui touche à sa fin ? Il ne reste plus qu'à savoir qui se fera manger en premier... Une chose est sûre en tout cas, Luke James n'est pas prêt de digérer ce plat.
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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptySam 10 Jan - 2:20

{Profite de cette insomnie d'une part pour me faire pardonner (a) & aussi car elle me permet de faire ce RP ^^ Au fait, Phèdre était inadaptable en fait ... :rire1: }

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    Pourquoi l'Homme est-il en quelle circonstance que ce soit, forcé d'agir non pas par raison mais par pulsions ? Que ce soit des pulsions sentimentales, des pulsions presque bestiales ou simplement une pulsion poussant la race humaine à faire quelque chose d'interdit ... Les 7 péchés capitaux mes amis, souvenez vous de leurs noms : Paresse, orgueil, gourmandise, luxure, avarice, colère, envie. Le dernier étant l'envie ... Les pulsions ne relèveraient-elles pas d'une envie, aussi passagère soit-elle ?!
    Bien sur que si & vous le savez très bien ! A quoi bon se contenter de n'avoir qu'une seule chèvre alors que vous voudriez avoir un élevage entier ... Ce n'est qu'une question de temps. Quel courage de lutter contre ses envies ... Ces gens qui disent et se disent raisonnables, sont, il me semble les plus déraisonnables de tous. Ont-ils seulement écouté le cour d'un de leur professeur qui, dès le premier mot leur apprendra qu'en se donnant les moyen, en prenant le temps, l'énergie et en faisant assez d'efforts, on arrive toujours à ses fins ?! Une fois le désire accompli, croyant avoir gagné la paix, un autre fait son apparition.

    En parlant d'assouvir une pulsion, un désire, une envie ... Que ce passe-t-il dans cette chambre ayant les rideaux mi-clos ?!

    Que je vous explique ...
    Soukaïna se trouvait debout, face à Thomas qui reculait doucement. Finissant par s'assoir sur le rebord du lit, le jeune homme l'épiait du regard en s'attardant sur toutes les parcelles de sa peau qu'il serait susceptible de dévorer dans la seconde. Son regard était brûlant et celui de Soukaïna plutôt électrique. La jeune fille n'avait pas freinée son avancée vers Thomas, alors que petit à petit sa serviette glissait pour dévoiler une partie de sa poitrine. Plus par devoir que pudiquement, la jeune fille réajusta la serviette afin de la faire tenir. Je vous laisse imaginer que ses efforts furent vain et que la serviette recommençait petit à petit à glisser sur la peau blanche et douce de la jeune fille qui se trouvait à moins d'un mètre de Thomas. Il la dévorait du regard cherchant néanmoins une réponse dans ses yeux et articulant un semblant de phrase.
    Sa voix s'était cassée, il était incapable de prononcer un seul mot de plus, Soukaïna était trop près, beaucoup trop près pour vouloir simplement lui dire quelque chose. Elle avait franchit une barrière qu'elle s'était fixée il y a plusieurs année.

    On dit toujours qu'on n'oublie jamais d'où l'on vient. Finalement, Los Angeles était peut-être plus proche de cette chambre qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Se revoyant une poignée d'années plus tôt, totalement dévêtue à la lumière du jour par Thomas, la belle se rendait aujourd'hui compte à quel point l'un comme l'autre avait pu changer ...

    Miss Scott se penchait dangereusement de Thomas venant doucement poser une main sur la main droite du jeune homme dont il se servait d'appui. Ce n'est que lorsque le souffle de la belle chatouilla le creux de la nuque de Thomas que le jeune homme frissonna. La regard de la jeune fille passa instantanément du regard électrique à un regard beaucoup moins froid sans pour autant être tendre. Alors que la jeune fille ouvrit doucement la bouche, elle articula une phrase avant de déposer un baiser qui n'était que la superposition de la peau juste au coin de la lèvre du jeune homme est celles de la jeune fille.

    Sa bouche se pinça machinalement, provoquant un rehaussement des fossettes et dévoila un petit sourire. Retirant doucement sa main de celle de Thomas tout en laissant le temps à tous ses doigts de balader la peau du jeune homme, elle fit un pas en arrière. Qu'attendait-elle, que lui avait-elle susurré ?! Thomas n'avait-il pas compris ou cette tétanie si subite était sa technique à lui de répondre aux exigences de la jeune femme à savoir, faire plus pour la voir nue et surtout avoir la chance de toucher cette peau nue ?

    Lui faisant un clin d'œil, la jeune fille se hissa sur la pointe des pieds avant de croiser les jambes et de faire un tour sur elle même tellement lentement que Thomas eut le temps de se lever et de venir poser, une fois qu'elle fut face à lui, une main dans le creux de son dos. Il l'attira près de lui. Leurs corps étaient collés et leurs regards s'entrecroisaient de façon effrayante. Ce fut au tour de Soukaïna, lorsque Thomas l'attira contre lui de frissonner.

    Reprenant ses esprits, la jeune fille sourit en disant :


    « Tu ne te souvenais pas de quoi Thomas ?! Si tu agissais sans te soucier d'hier ou de demain veux-tu ... »

    La jeune fille donna un certain "pouvoir" à ces quelques mots en rougissant, malgré elle.
    Elle réajusta une dernière fois (et j'ai bien dis d-e-r-n-i-è-r-e) sa serviette avant de cesser de sourire. La jeune fille plongea son regard dans celui de Thomas en reculant de quelques centimètres. Il ne la lâchait pas, sa main restait posée dans le creux de son dos (même si elle avait tendance à glisser) et son regard lui était plongée dans celui de la jolie brune qui jouait avec ses nerfs, qui usait de son charme pour se faire désirer comme il le fallait. Ni trop peu et surement pas encore assez.


    « Sois convainquant Thomas, mon corps sera à toi. Tu le désires, tu me désires ! Tes yeux et ton incroyable sourire te trahissent ... »

    A ces mots, la belle baissa la tête une demie seconde avant de replonger son regard du jeune homme. Ce qui allait se passer n'était plus un secret et était maintenant irréversible. Tachons seulement de ne pas oublier qui ils sont, d'où ils viennent et ce qu'ils sont devenus.


    Le monde ne rougit de honte que lorsque la femme pâlit d'effroi ... Et quel monde que celui des légendes californiennes ... La belle rougit, le monde pâlit, aurions nous droit à la fin d'un commencement en apothéose ou est-ce simplement l'illusion passionnelle de deux cœurs. (Deux cœurs ayant la marque de fabrique UWS. Tout est possible ... Si tant-est qu'ils aient un cœur ...)

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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptySam 21 Fév - 20:38

Une cérémonie d'avant-première d'un film de Woody Allen ne peut pas se manquer, cela va tout bonnement contre la logique, surtout lorsque l'on y tient le rôle principal... Non, vraiment, ne pas assister à cet évènement quasi international n'est pas envisageable. Il y aurait beaucoup de personnalités, des critiques en masse, des attachés de presses débordés, des gardes du corps ne sachant plus où donner de la tête -ou des poings-, des paparazzi mittraillant à tout va et des fan histériques tendant désespérement un morceau de papier accompagné d'un feutre indélébile. Les fans... ces petits adolescents d'à peine plus de treize ans, ou alors mères au foyer totalement ravagées... Dans les deux cas, ces personnes partagent la même envie, le même rêve : voir -et toucher, seulement si Dieu éxiste- leur idole qu'ils vénèrent devant leurs écrans et dans les salles obscures. Se rendent-ils seulement compte de leur bêtise, ces gens ? Savent-ils que ces soit-disant stars du cinéma ne sont en réalité que de vulgaires personnages, inventés de toute pièce ? Car les acteurs, les actrices et autres starlettes ne sont généralement pas les même "In or Out Cameras".... mais ça, personne ne veut l'admettre, et encore moins les principaux intéressés. Après tout, Hollywood n'est qu'une machine à rêve, non ? Alors pourquoi casser ces pauvres petits citoyens en quête d'une personnes derrière laquelle se cacher, et oublier leur misérable existence. Alors de qui est-ce la faute ? Qui est responsable de tout cela ? Si seulement il n'y avait qu'une seule personne responsable...

Thomas était tout à fait conscient de cela, même s'il n'aimait pas vraiment y penser... Il préférait savourer ses dernières heures d'anonyma en compagnie des personnes qu'il aimait... Et Soukaïna James en faisait partit, c'était même la présidente du club. En effet, T. n'avait jamais passé plus d'une semaine sans recevoir ne serait-ce qu'un coup de fil de son amie, il n'aimait pas se savoir loin de sa belle brune. Mais voilà, les temps changent et les vies ne font que suivrent les temps... S. est maman de deux jumeaux et s'apprête à épouser l'homme de sa vie -selon elle- et T. est sur le point de devenir l'un des sex symbols d'un cinéma américain en quête d'identité, qui l'eu cru ? Même Watch Out n'avait certainement pas vu le coup venir. Les deux Upper West Sidders étaient en train de devenir adultes plus vite que prévus, mais voila, une chose cloche encore : il ne suffit pas de gagner sa vie pour entrer dans le monde fermé de la maturité. Thomas et Soukaïna étaient-ils au courant de cela ? Personne ne peut réellement le dire, peut-être même pas les deux intéressés qui avaient d'autres questions à l'esprit à ce moment précis.

T. & S. étaient l'un en face de l'autre, devant le lit. Soukaïna ne portait comme unique vêtement qu'une serviette immaculée qui jouait la farceuse à toujours vouloir s'envoler. Quant à Thomas, sa chemise était entre-ouverte sur son torse à la fois imberbe et superbe. Les deux jeunes gens se regardaient avec une certaine intensité, sans pour autant que la pièce soit irradiée de chaleur... C'était un peu Hot and Cold, comme le chante si bien Katy Perry. Quoi qu'il en soit, quelque chose d'irréversible n'allait pas tarder à se produire, et toutes les personnes impliquées seraient consentantes.
Thomas baissait petit à petit sa main dans le dos parfait de Soukaïna, il pu alors ressentir le léger frisson qui la parcouru, un sourire se dessina sur ses lèvres, il savait qu'elle en avait autant envie que lui... C'était clair à présent. Sa main était maintenant à proximité de la chute de rein de son amie, il ne voulu aller trop loin de manière à ne pas précipiter les choses... Chaque chose en son temps. Il approcha sa bouche de celle de S. et y déposa un baiser des plus tendres qui ne dura que quelques secondes. Il glissa par la même occasion, ces quelques mots à l'oreille de la jolie brune.


" Tu es sûre que c'est ce que tu veux ? "

Ce à quoi Soukaïna répondit qu'il devait être convainquant... Ce genre d'enjeux, nos deux Upper West Sidders en raffolaient, ils étaient les maîtres en la matière. Thomas sourit alors et entraîna Soukaïna sur le lit qui se trouvait juste derrière eux, ils étaient à présent allongés l'un contre l'autre. Leur regards toujours aussi impénétrables... C'était étrange, on aurait dit qu'ils ne voulaient pas vraiment de ce qui allait arriver, mais qu'ils devaient tout de même passer par là. Il en était évidemment tout autrement.

" Fais moi confiance... Je peux être très persuasif. "

Il embrassa alors de nouveau Soukaïna, plus longtemps cette fois. Cette sensation de chaleur le parcouru entièrement, c'était comme un rayon de soleil qui l'aurait transpercé d'un seul coup... Il n'avait pas ressentit cette sensation depuis longtemps. Il savait que S. était la bonne, il n'était plus permis d'en douter maintenant.
T. se rapprocha de la belle, collant son corps au sien et carressant doucement ses cheveux... Ses mains descendaient, elles étaient à présent au niveau de sa poitrine. Les choses sérieuses commençaient...


Il était temps chers U.W.S ! Nous avons faillis partir à l'entracte... Mais voilà que tout s'accélère, notre inattention n'aura été que de courte durée. Une chose est sûre, mon blog lui, ne s'ennuira jamais avec ces deux-là.
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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyJeu 26 Fév - 22:56

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« L'homme est incapable de choix et il agit toujours cédant à la tentation la plus forte. »
ANDRÉ GIDE

    Les yeux sont en général très révélateurs de l'état d'esprit et des désir des personnes qui nous entourent. Bien au delà d'un regard couleur noisette ou océan et bien plus encore de sa forme d'amande ou de cacahuète ... Ce sont là les adjectifs, les petits compliments qu'on pourrait laisser avec joie aux petits joueurs, aux mauvais charmeurs, aux poètes refoulés et aux faux Don-Juan. Les personnes ayant un minimum d'esprit ne voit non pas les yeux comme un simple sujet de conversation mais bien comme un outil nécessaire à toute séduction. La preuve, il ne suffit que d'un regard pour que l'on parle parfois de "coup de foudre", cet échange instantané, presque électrique d'un furtif petit regard à un(e) inconnu(e), suivit bien souvent d'un frisson, d'une instabilité et d'un long questionnement, c'est une communication toute particulière.
    Bien plus encore que le coup de foudre mais tout aussi communicatif et séducteur, nous avons les regards par dessus l'épaule dénudée, les clins d'oeil et l'échange qui fait et ferra rêvé pendant de longues années les générations futures : le croisement de deux regards, long et silencieux accompagné d'un petit corps à corps ou d'une proximité certaine. Ce geste n'est pas anodin, il n'est pas prit à la légère et il est si délicieux qu'on pourrait en redemander encore et encore chaque jour qui passe.

    Soukaïna connaissait les conséquences de ses actes et n'était sous l'emprise d'aucune drogue et bien que les quelques verres de vin blanc du repas avaient finis par lui donner la tête lourde et le sang chaud, ils ne faisaient maintenant plus aucun effet à son organisme.
    La relation qu'avaient entretenus Thomas et la belle prune depuis qu'ils se connaissaient n'avait jamais été la bonne. Qu'ils soient en couple, séparés, dans une amitié amélioré ou de simple amis, ils n'avaient jamais su trouvé le juste milieu, la situation qui leur convenait à la perfection. Aujourd'hui encore Soukaïna en doutait, ils avaient franchis dès l'après midi une certaine barrière, en se faisait des sous-entendus, des petits regards (justement très révélateurs). Thomas ne n'avait pas encore eu l'occasion de la voir mais la robe qu'allait porter Soukaïna ce soir était loin d'être une robe digne d'une jeune mère bientôt mariée. C'était une robe assez longue, qui lui tombait sur les orteils des pieds, échancrée jusqu'au haut des cuisses, elle laissait dévoiler les escarpins argentés qu'elle avait trouvé dix jours plus tôt dans une boutique de San Francisco qui venait d'ouvrir. La robe blanche dans l'ensemble, le tour du décolté plongeant était parsemé de paillettes bleues océan et argent. La robe n'avait pas de manches à part entière mais deux brides le long desquelles pendaient de légers voiles.
    Soukaïna portait magnifiquement la robe qui mettait en avant ses atouts tels quel la poitrine et le ventre qui, même après une grossesse de jumeaux était on ne peu plus P-A-R-F-A-I-T.

    Il ne s'agissait maintenant plus que de simples regards et allusions douteuses, la main droite de Thomas était logée juste à la hauteur de reins de la demoiselle tendis que sa main gauche s'était lotie dans la nuque brulante de la jeune fille qui, après dix minutes dans le froid avait retrouvé une chaleur presque inhumaine.
    Les mains de Soukaïna elles, se trouvaient un peu partout, sur le torse couvert du jeune homme, sur ses épaules, sur sa joue ...
    Seuls leurs regards étaient en accords et trahissaient les intentions des jeunes californiens jusqu'à-ce-qu'un baiser vint confirmer toutes les hypothèses, les attentes, les peurs, l'anxiété de Soukaïna, Thomas, Luke et bien d'autres personnes encore.
    Ce baiser était donc si prévisible ?!

    Toujours est-il que la seconde d'après, Soukaïna se trouvait allongée dans le lit de Thomas, l'écoutant lui susurrer quelques mots qu'elle écouta avec attention, passion et désir. Les deux Upper West Siders étaient allongés l'un contre l'autre et Thomas vint bientôt déposer un nouveau baiser sur les lèvres de la jeune fille, baiser qu'elle prolongea quelques secondes, juste ce qu'il fallait.
    Thomas éfleurait la peau de la jeune fille, il baladait sa main droite sur l'épaule dénudé de la jeune fille qui se crispa lorsqu'il toucha la cicatrice encoure rouge de l'accident d'il y a quelques semaines. Soukaïna sera les dents en regardant Thomas, décrochant au bout de quelques secondes un semblant de sourire, pour ne paraitre déstabilisée, la jeune fille passa doucement sa main droite le long du bras du jeune homme jusqu'à aller la loger dans le haut de sa nuque, elle décolla son buste du matelas et déposa un doux baiser sur les lèvres de Thomas. Elle fit redescendre sa main le long de son cou et commença quelques secondes plus tard à défaire, très doucement les boutons de la chemise de Thomas alors qu'il couvrait la peau de son coup et du haut de son buste de petits baiser et des caresses visant à faire petit à petit descendre la serviette de la jeune fille.


    Thomas retirait bientôt son pentalon tendit que le seul vêtement de Soukaïna n'était absolument plus attaché. Les deux bouts de la serviette étaient supperposés et Thomas attendait le moment propice pour les séparer.
    Relevant de nouveau son buste très doucement, Soukaïna vint loger sa tête contre celle de Thomas et lui sussurra à l'oreille :


    _ Depuis combien de temps Thomas Johansten attend-il un feu vert ?


    Il est bien trop tard pour parler de coup de foudre avec ces deux là, je dirais pourtant que le courant passe tellement bien que cette soirée risque d'être ... Unique en son genre !

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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyMar 3 Mar - 20:53

Sensualité, fraicheur, chaleur, timidité, impatience... Toutes ces sensations étaient réunies dans ce même lit. Tous ces mots ne faisaient qu'un dans le coeur de nos deux jeunes amants. N'est-ce pas un phénomène étrange d'ailleurs, que celui qui se produit en nous lorsque nous transgressons une limite, lorsque nous passons de l'autre côté ? Tout semble différent, nous ne voyons plus rien de la même façon, nous ne somme plus celui qui regarde mais celui qui ai regardé... Le contrôle nous échappe, à nous qui étions persuadés d'être maîtres de notre destiné, seul commandant de notre navire. Lorsque l'on a franchie cette limite, alors nous savons... nous prennons conscience de notre condition : nous ne sommes pas les seuls à avoir les commandes dans ce monde pour la simple et bonne raison que nous somme pas seuls dans ce monde... Logique lorsque l'on y repense mais pas toujours évident à saisir. Voilà à quoi servent les limites, à nous faire rester à notre place, à nous éviter de nous prendre pour quelque chose ou quelqu'un que nous sommes loin d'être. Et si par malheur nous transgressons ces limites, alors il y aura quelqu'un pour nous le faire remarquer et cela un jour ou l'autre... Soyez-en certains. Le voleur se fait couper les mains, le menteur se fait couper la langue, le criminel se fait exécuter... et l'amant dans tout ça ? Se fait-il arracher le coeur violemment ou une autre partie bien plus intime ? Mais d'ailleurs, est-ce un crime que de te tromper ? Le voleur et le menteur trompent et ils sont punis alors pourquoi l'amant ne le serait-il pas aussi ? Tant de questions sans réponses. Une seule chose est sûre, puni ou pas, l'amant s'en mord toujours les doigts.

Nos deux jeunes tourteraux étaient loins de philosopher à ce stade de la journée... Ils devaient se préparer pour une cérémonie d'avant-première mais étaient visiblement occupés à tout autre chose. Leurs lèvres, leurs jambes, leurs mains et leur corps s'agitaient, leur coeur palpitait tel un tambour le jours de l'armistice. De la buée commençait à se former sur les larges vitres de la chambre sombre, Thomas et Soukaïna se redécouvraient, pour leur plus grand plaisir. S. était sur le torse nu de T. et lui susurait des mots à l'oreille tandis que le beau mâle retirait doucement son pantalon pour se retrouver en caleçon devant la belle brune qui elle avait déjà dépassé cette étape. La serviette blanche ne recouvrait à présent plus que la partie la plus intime de notre jeune Queen S. Thomas se redressa alors quelques instants pour placer ces mots à la hauteur de son amie.


" Je ne compte plus... "

Il embrassa la belle sur la fin de sa phrase pour lui faire comprendre qu'à présent, le temps était à eux et qu'il ne servait à rien de se replonger dans le passé. Puis le jeune homme renversa Soukaïna pour se retrouver sur elle et inverser les rôles... Il pronlongea son baiser, descendant doucement dans le cou, puis au niveau de sa poitrine pour finir sur le ventre parfait de celle qui venait d'avoir deux jumeaux quelques mois auparavant. Il fit alors glisser la serviette qui se retrouva en boule sur le sol en moins de deux secondes... Il regarda S. et lui sourit. Tout ce temps à attendre ce moment, il avait du mal à croire que tout ça soit vrai... Il voulait profiter de cet instant fusionel.

" Tu es sûre que c'est ce que tu veux, je ne... "

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que Soukaïna l'embrassa tendrement, elle n'avait pas besoin de parler, il n'avait pas besoin de l'écouter... Tout était clair. Thomas enleva son caleçon, dernier vestige d'un homme habillé en Prada il y avait moins de dix minutes... Les deux Upper West Sidders étaient à présent nus dans le lit, plus aucune barrière ne se dressait devant eux. Thomas se pencha sur Soukaïna, caressant sa poitrine tout en l'embrassant... L'excitation était à son comble...
T. et S. ne faisaient à présent plus qu'un, leur corps était lié par la chaleur, leur respiration était forte et saccadée. Thomas n'avait pas ressentit cela depuis longtemps, toutes les filles avec qui il avait couché n'avait jamais réussit à lui faire cet effet. Il avait les yeux fermés et cache mouvement lui proccurait un plaisir immense. Soukaïna laissait échapper de légers cris, T. ne les entendait même pas, il était dans un autre monde, dans une autre réalité... Peut-être le 7ème ciel.


Ce n'est qu'au bout d'une heure que les jeunes Californiens s'effondrèrent littéralement sur le lit, en sueur et le sourire aux lèvres. Ils venaient de se retrouver, de refaire connaissance... Il leur faudrait du temps pour s'habituer à ces nouvelles personnes...



Une ère vient de prendre fin chers U.W.S, mais ne vous inquiétez pas, je pense que celle à venir sera encore plus torride et excitante... Une chose est certaine, je serais là pour tout vous dire et je ne manquerais aucun détail... But don't forget that : We love watching them.
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MessageSujet: Re: « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' EmptyJeu 5 Mar - 23:01

« Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' Sb_45qzx « Eyes, lips, legs, body ; Our anatomy was never so dangerous » 'Devils's private topic' Jg_d77
« Il y a dans tout Homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l'une allant vers Dieu, l'autre vers Satan.
L'invocation à Dieu ou Spiritualité est un désire ou montée en grade, celle de Satan ou Animalité est une joie de descendre. »

CHARLES BAUDELAIRE

    Vous est-il déjà arrivé de prendre une décision qui allait changer la totalité de votre vie ? Le genre de choix irréversibles que ce soit un enfant, un mariage, des études, la prise du volant ou bien des retrouvailles ... Une seule seconde et tout bascule, rien n'est plus comme avant. Mais revenons en arrière voulez-vous, lorsque rien n'est encore joué, que dans ce paradis spleenique et idéologique qu'est le cerveau rien n'est encore joué et qu'il ne vous reste plus qu'une poignée (si précieuses pourtant) de secondes qui vous permettrons peut-être d'éviter une grosse erreur ou bien de vous rassurer en accumulant arguments, motifs et souvenirs de sorte à former un bloc, le bloc de la certitude bien trop armé pour se laissé détruire par un soupçon d'incertitude ...
    Alors que l'échéance arrive, le pour et le contre sont pesés, que les passions et la tentation l'emporte ou que la raison soit plus forte là n'est pas l'important, la question existentielle est de savoir ce que cette décision va engendrer, les bouleversement que cette seconde va provoquer, aussi bien sur votre moral, sur celui des autres, sur votre existence tout entière peut-être bien (qui sait ..), petit à petit il ne reste plus qu'une seconde et alors que votre raison vous l'interdisait, qu'il y avait beaucoup plus d'arguments défavorable, les passions l'emporte et là ... C'est toute autre chose !

    Quelque chose de bien peu comparable aux précédentes fois : des cris, des regards, des petites morsures, des griffures, des draps, des jambes, des bras, des pieds, des pensées, des remords, des appréhensions, des attentes, des choix, des mouvements, des baiser, des regards (encore ?), des découvertes, des sourires, des rires, du plaisir, des personnes, deux personnes, un homme, une femme, des amis, des amoureux, des amants, des ennemis ... La part de vérité n'est pas plus visible que celle du mensonge et pourtant ce sont des faits, des preuves de ce qui s'est passé cette soirée là, dans cette chambre, entre ces deux ... ces deux personnes ...

    Soukaïna avait bel et bien réfléchit, plus qu'on ne pouvait le penser d'ailleurs et maintenant qu'elle se trouvait allongée sur le torse de Thomas entrain de jouer à promener son index sur la peau du jeune homme, elle ne regrettait rien, elle ne pouvait ni ne voulait oublier ce qui venait de se passer et le sourire des deux jeunes révélait bien là leur état d'esprit et leur aptitude à masquer plus ou moins les choses. Nombreux étaient les secrets masqués derrières ces sourires satisfaits et fiers mais ces tromperies n'avaient l'air de n'avoir que peu d'importance mais encore une fois, ce n'est qu'une constatation (pas très objective je l'avoue ..).

    Le silence n'était pas lourd, contrairement à ce que l'on aurait pu le croire, Soukaïna écoutait les bruits de la pièce, les battements du cœur de Thomas qui étaient plutôt réguliers mais qui s'accéléraient tout à coup lorsqu'elle déplaçait d'un demi centimètre sa tête de façon à plonger son regard dans celui du jeune homme. Il l'embrassa une fois, se lassa, lui caressant le visage puis re-déposa un baiser sur son front.
    Malheureusement cette état de calme, de non activité et surtout de sérénité ne leur correspondait ABSOLUMENT PAS !

    Alors que sa main était toujours posée sur le torse du jeune homme, Soukaïna se redressa se couchant au dessus de lui, leurs corps de nouveaux collés puis, après lui avoir fait un petit sourire, elle regarda derrière elle une seconde puis regarda Thomas en disant le regard rivé vers son visage mais pas vraiment vers ses yeux :


      _ J'ai bien peur que ma douche n'est servie à rien...une petite pause et un sourire Après vérification, je dirais que nous avons le temps de nous pavaner quelques minutes sous une douche brulante ... A moins que tu es une autre idée pour que nous sentions bon dans quatre heures ?


    En effet, il leur restait quatre heures pour se laver, s'habiller, se coiffer, se maquiller, aller à l'aérodrome, prendre le jet qui les attendait et voler une heure pour arriver à Los Angeles 30 minutes avant l'ouverture officielle du tapis rouge.
    Le planning avait été conçu comme si cet évènement allait être prévu. Qui avait fait le planning horaire à ce propos ?! (Question oratoire sans importance vu que nous savons parfaitement qu'ils s'étaient mis d'accord bien avant de le prévoir ...)

    La jeune fille embrassa Thomas au coin des lèvres et lui dit avant de déposer un baiser à l'extrémité de sa joue, vers son oreille :


      _ A moins que l'on ne prolonge ce moment qui, bien qu'épuisant sera je pense ... inoubliable !




    Ne voyons que ce que nous avons envie de voir, subjectivité et préjugés vous mèneront sur un chemin tellement proche de la vérité que vous serez même incapable de l'apercevoir.
    Un petit effort, ouvrir les yeux n'est pourtant pas si compliqué !!!

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