(autumn) + experimental game

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“ And... here... we... go. ”

Grincheux était de sorti aujourd’hui. Là où la plupart des étudiants se préparaient gentiment à partir en vacances, Jaxhuem continuait de darder leurs sourires d’un œil agacé. De fâcheuses circonstances avaient fait en sorte de froisser l’Epsilon en cette fin de matinée. Sa mère bien aimée avait en effet pris l’initiative de lui imposer un rendez-vous chez un psychologue. « Seulement pour t’aider mon Ange. » lui avait-elle susurré en gage d’explication. Apparemment, monsieur le doyen avait décidé de décrocher son royal téléphone pour avertir madame Redstill-Hawke du comportement agressif de son enfant. Une fâcheuse nouvelle qui eu pour conséquence la révolte dudit garçon. En d’autres termes : monsieur risquait d’être exécrable et de mauvaise humeur pour le restant de la journée. Un fait regrettable pour ses petits camarades qui passaient au trot devant lui et ses clopes. Le premier qui oserait lui adresser la parole se condamnerait lui-même à en payer les douloureuses suites. Tabac pincé entre ses lèvres, il se régalait silencieusement de cette bouffée de goudron qui s’immisçait au creux de ses poumons. Un moyen autodestructeur d’apaiser ses élans de violence. Un psychologue. Lui. Deux éléments totalement incompatibles et une rencontre qui risquait malheureusement de ne pas voir le jour. Il était tout bonnement hors de question qu’un médecin à lunettes s’amuse à lui poser mille et une questions sans queue ni tête pour déterminer si oui ou non il devait être incarcéré. Sa réputation de méchant garçon en prendrait un vilain coup, sans parler du fait que Léo serait certainement confié à une famille d’accueil à cause de la ‘’fragilité mentale’’ du papa. Non, décidément non. Un soupire acerbe s’échappa de la commissure de ses lèvres tandis qu’il jetait rageusement le mégot de sa clope au sol. Bien, au lieu de râler comme un vieux bouc dans sa barbe, peut-être serait-il plus judicieux pour lui d’aller trouver sa source personnelle de distraction. L’Eynsford-Baxter avait beau faire naître chez lui une haine insatiable, elle n’en restait pas moins terriblement délassante. Faire de son visage un pushing-ball saurait sans doute parvenir à faire taire sa fureur contenue jusqu’à présent. D’un bond habile, il sauta des marches sur lesquelles il siégeait afin de regagner la cour de Berkeley. Sous les rayons frais d’un soleil hivernal, Jax s’engagea d’un pas assuré le long des chemins menant à la maison Epsilon. Toutefois, son attention fût bien rapidement distraite par une silhouette entrevue à l’horizon. Chevelure blonde, taille de mannequin. Si un instant il cru apercevoir sa Jacqueline préférée, ses lèvres se courbèrent bien rapidement en croisant le regard de celle qui n’était autre que la princesse Iota : Autumn Rowen-Glaswell. Si mademoiselle ne faisait pas encore partie des fréquentations de l’Epsilon, cela ne saurait tarder. En effet, d’après certaine langue –un peu trop pendue- il paraîtrait que la miss était une fervente adepte des coucheries avec des personnes du même sexe qu’elle. Bien sûr, la coupable n’était autre que la partenaire concernée en personne : Jamie. Quel homme n’a jamais rêvé d’avoir à ses pieds deux femmes entrain de s’embrasser langoureusement ? Un fantasme irréalisable pour beaucoup, mais que le jeune étudiant s’était promis d’assouvir au cours de ses années universitaire. Ne serait-ce que pour emmerder un bon coup sa fausse petite amie, il était capable de bien des choses. Le mariage à Vegas qui les unissait avait beau l’avoir contraint à se plier aux règles de mademoiselle, cela n’empêcherait pas Jaxhuem de mener dans son coin une petite vengeance de bonne guerre. Et quoi de plus mesquin pour cela qu’organiser un joli et gentil petit threesome avec une belle bête telle que l’Iota ? Sexe à trois = orgasme garanti pour chaque partenaire. Un rictus mutin se profila sur son visage alors qu’il accélérait doucement le cadence jusqu’à parvenir à sa proie. « Rowen-Glaswell ! » Sa voix vive et autoritaire se fit entendre dans le parc. La jeune blonde stoppa sa marche, lui, arrivait sereinement à sa hauteur, les mains plongées dans les poches de sa veste. Sans la moindre gêne, il dévisagea de haut en bas sa nouvelle Muse avant d’hausser naïvement les épaules. Jolie plastique. Au moins, Jamie avait du goût aussi bien en matière d’hommes que de femmes. « Aka l’Iota qui se tape garçons et nanas... Ravi de pouvoir enfin te rencontrer ma belle. » Annonça-t-il vaillamment tout en gratifiant son interlocutrice d’un clin d’œil. Depuis le temps qu’il rêvait de faire la connaissance de la fameuse lesbienne à Jaja. Chose faite désormais. Le but de la manœuvre à présent : ne pas effrayer la donzelle et tâcher de la convaincre de participer à son petit projet. Réaction prévisible attendue : une baffe en plein visage. Mais qu’à cela ne tienne : on n’a rien sans rien. Faisant calmement les cents pas autour de l’Iota, Jax détaillait avec malice son imposante stature. Depuis qu’il était arrivé à Berkeley, jamais il n’avait pris la peine de s’attarder longuement sur ses congénères vivant à l’université. Hormis une poignée d’exception, la plupart de ses fréquentations demeuraient chez les mauves. Le reste, sans valeur à ses yeux. Pourtant aujourd’hui, voilà que notre homme s’apprêtait à faire une rencontre –et pas des moindres-. Face à l’expression sceptique de la miss, il éclata d’un rire sobre avant de stopper sa petite promenade. Les bras croisés derrière lui, il secouait mollement le visage de gauche à droite. « Jamie m’arracherait certainement la tête si elle savait que je suis là, mais il fallait absolument que j’en sache un peu plus sur votre partie de jambes en l’air. » Redstill-Hawke et son talent pour utiliser les mots les plus simples dans ses conversations. D’ordinaire gentleman et poli envers la gente féminine, il ne pouvait s’empêcher d’étaler ses sarcasmes en présence d’une femme qui avait partagé bien plus qu’un baiser avec l’une de ses propres exs. Une curiosité malavisée qui ne le dérangeait pas le moins du monde. C’est avec un soupçon de culot que l’on peut parvenir à nos fins. Les yeux pétillants de malice, il s’avança calmement jusqu’à venir poser une main sous le menton de l’Iota. Très joli visage. A croire que seules les blondes parvenaient à attiser sa curiosité et sa luxure. Il se pinça machinalement les lèvres tout en retrouvant sa contenance perdue. A la manière d’un gosse agité par un nouveau jeu vidéo, Jaxhuem ne cherchait même pas à masquer son excitation. Se souvenant subitement que les présentations n’avaient pas encore été faites, il s’en excusa d’un air distrait. « Oops, navrée ma grande. Je ne me suis pas présenté mais tu peux m’appeler Jax. Je suis le… ‘’petit ami’’ de ton ancien plan cul féminin. Enchanté. » Une petite courbette ironique en gage de politesse, et il se releva avec le même sourire amusé au bout des lèvres. Âge mental : cinq ans. Mille questions lui brûlaient dors et déjà la langue, et inutile de préciser qu’il devait se faire violence pour ne pas séquestrer la jeune femme afin de lui poser mille questions à propos des rapports sexuels entre femmes. Hé oui, puisque Jamie avait refusé de lui décrire avec précision ce qu’il s’était passé ce jour-là, autant aller directement trouver sa partenaire qui serait peut-être un tantinet moins rabat-joie. Quitte à passer pour un sociopathe fou et pervers, le jeune homme s’en fichait délibérément. Le campus le connaissant suffisamment pour savoir qu’il était le genre de type incontrôlable aux réactions imprévisibles. Ses doigts longèrent gracieusement le bras d’Autumn tout en remontant jusqu’à son menton. Capturant le regard sévère de son interlocutrice, il la gratifia d’un charmant sourire ainsi que d’un regard presque suppliant. « Alors ma petite Tutumn –tu permets ? oui bien sûr que tu permets- je serai ravi de pouvoir te payer quelques coups à boire (ou un fondant au chocolat, à ta guise) en échange d’une poignée de détails à propos de votre aventure. J’ai toujours voué une grande admiration aux couples lesbiens, et j’encourage le mariage gay mon amie. » Comme si cela allait suffir à ce qu’elle lui fasse un compte rendu détaillé de son aventure. Le petit Redstill était capable de tout et n’importe pour pouvoir gagner un pari avec Jamie. Finalement, même pas besoin de Jacqueline pour occuper son après-midi. Il venait tout juste de trouver une distraction mille fois plus prenante. A bien y penser, sa mère n’avait peut-être pas tord de vouloir le faire consulter un psychologue…

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L’écho de ses pas sur le pavé semblait se répercuter un milliard de fois plus violemment à l’intérieur de sa boîte crânienne. Des images, froissées, floues dans son esprit, d’une nuit dont elle n’osait pas se souvenir, se moquaient d’elle, flottant devant ses prunelles endormies un instant avant de s’évanouir. Elle était avec son meilleur ami, pour sûr, elle reconnaîtrait son rire entre mille, et la délicate caresse de sa main sur son avant-bras la guidant au travers de la pièce bondée, de danseurs, de buveurs, du son de la basse les suivant à chacun de leurs pas. Elle se souvenait de la nuit dernière ainsi, de ces brefs instants anodins, puis, plus rien. Oh, ce n’était pas la première fois que cela arrivait, les événements avaient une fâcheuse tendance à s’oublier, lorsque l’on a une quantité déraisonnable d’alcool circulant dans les veines, mélangée à des substances illicites passant de mains en mains dans les soirées, dont celle de la nuit dernière, qu’ils avaient organisées, ou crashée, elle ne s’en souvenait plus. Leurs éclats de rire, la caresse de sa main, les personnes se mouvant, dont elle parvenait encore à distinguer les corps, mais dont les visages étaient flous, circulaient un instant devant elle, ombres d’un passé proche qu’elle avait pourtant oublié, avant de s’évaporer. Avec un peu de chance, tous les événements de cette nuit lui reviendraient, avant qu’il ne soit trop tard…cette fois-ci. Un frisson glissa sur sa peau un instant, avant qu’elle ne se ressaisisse. Prunelles azur rivées sur leur objectif, cachées derrière ces immenses lunettes Chanel la protégeant de quelques éclairs de soleil parvenant à percer les nuages. N’importe qui couché après cinq heures du matin, éveillé peu de temps après les coups de neuf heures, ressemblerait à un zombie. Mais Autumn Rowen-Glaswell n’était pas n’importe qui. Son statut de reine des iotas –enfin, presque, Constance tenant ce titre tant convoité-, la forçait à faire bonne figure en toutes circonstances. Fabuleuse jusqu’au bout des ongles, elle faisait donc claquer ses talons d’une dizaine de centimètres sur les pavés de la cour de Berkeley, jugeant chacun d’un regard qu’ils ne pouvaient voir derrière ses larges lunettes, les laissant s’imaginer des scénarios, inventer des rumeurs sur son compte, comme ils le faisaient à chacun de ses passages parmi les étudiants qui n’avaient pas le privilège de la côtoyer. Fabuleuse jusqu’au bout des ongles, certes, il y avait pourtant bien plus d’ombres au tableau que la jeune femme ne le laissait entrevoir. Outre ses préoccupations bien trop importantes et confuses sur un plan personnel, elle avait récemment appris que l’un de ses professeurs adorés avait osé mettre une note qui ne la satisfaisait pas pleinement. Incapable de supporter l’échec, incapable de s’imaginer ne pas être en tête un instant. Evidemment, le seul moment où elle était certaine de retrouver ce sombre crétin qui avait osé la sous noter, était à l’aube. Tant pis, elle vivrait avec quelques rares heures de sommeil, et ce sourire qui commençait à se peindre sur son visage lui servirait bien dès lors qu’elle pousserait la porte de son bureau. Parcours sans embuche, matinée parfaitement planifiée, comme à l’accoutumée, une fois son charme usé, aspirine et récupération d’heures de sommeil, elle dardait son regard glacial à tous ceux qui croisaient son chemin. You don’t mess with the Rowen-Glaswell, adage que tout le monde connaissait, et que tout le monde semblait bien appliquer à cette heure bien trop avancée pour une reine telle qu’elle. Tous ? Sauf une personne, apparemment, une voix qu’elle ne reconnut pas, une voix qu’elle détesta immédiatement. Ton sans appel, elle qui d’ordinaire aurait poursuivi sa route, fut intriguée par celui qui osait l’accoster ainsi. Son pas se ralentit, puis se stoppa, son regard inquisiteur se promenant sur l’intrus. Morceau de choix, teinté d’une insolence qui la faisait doucement sourire. Pour l’instant. Elle ne le connaissait pas, bien que son apparence ne lui soit pas inconnue, sans doute avait-elle eu l’occasion de croiser son chemin, au détour d’un couloir. « Qu’est-ce que tu veux ? lança-t-elle sans préambule. A moitié agacée d’être ainsi accostée, à moitié amusée par son interlocuteur, un demi sourire flottait sur son visage, mais son ton était glacial. Interloquée par les informations qu’il semblait posséder sur son compte, elle fronça légèrement les sourcils, le dévisageant de bas en haut comme il l’avait fait précédemment. Plaisir non partagé, se contenta-t-elle de répondre après son examen silencieux, toujours ce demi sourire posé sur ses lèvres, papillon prêt à s’envoler à la moindre remarque de travers. Elle ne niait pas, évidemment, ses…aventures, dirons-nous, avec Jamie prouvaient sans doute qu’elle était capable de s’amuser avec les deux genres. Le silence s’effritait entre leurs doigts, doucement, elle attendait qu’il lui explique son audace, s’imaginant déjà les pires scénarios possibles sur les intentions du jeune homme, dont elle ignorait le nom. Cela l’agaçait au plus haut point, d’ailleurs, et, durant les quelques secondes de suspense qu’il lui offrit, elle fouilla dans sa mémoire, incapable pourtant de le replacer. Lui avait-elle fait quelque chose, le soir précédent, et il venait réclamer encore plus…avec un-e troisième invitée ? Lorsqu’il ouvrit à nouveau la bouche, Autumn laissa échapper un rire. L’intrus de la matinée n’était en fait qu’un pervers curieux, qui ne tarderait pas à s’inviter, à la première occasion offerte, dans le lit des deux blondes les plus sulfureuses de l’université. En savoir plus, vraiment ? Tu souhaiterais peut-être que je t’envoie une carte postale, à notre prochain rendez-vous, que tu puisses le voir de tes propres yeux ? demanda-t-elle, un air plus que sérieux peint sur son visage, ses lunettes Chanel à présent relevées sur son front. Doucement, elle secoua la tête, un autre rire cristallin faisant tourner les têtes en la direction du petit duo inédit. La caresse de sa main, soudainement flirtant avec son menton, l’agaçait au plus haut point. Cependant, un autre sentiment prenait le dessus sur sa mauvaise humeur matinale, doucement, en apercevant le jeu et les petites prunelles brillantes de malice de l’inconnu. Un amusement, certain, de le voir essayer d’entrer peu à peu, percer certains de ses secrets, pour finalement le détruire. Oh, décidément, cette matinée s’annonçait sous les meilleurs auspices. Jax. Enfin un prénom sur un visage, et une fonction. Petit ami de Jamie. Un sourire se dessina à nouveau sur ses lèvres. Well, Jax, dit-elle, faisant claquer sa langue sur son nom, plus que de nécessaire. Ton prénom s’accorde avec ton insolence… Tout aussi insupportable. Elle poussa un soupir, doucement, ses prunelles voguant vers le ciel avant de retrouver le regard pétillant du jeune homme. Qui te dit que c’est de l’histoire ancienne ? souffla-t-elle, doucement, telle une confidence. Jouer avec ses sens, laisser son imagination s’emballer, elle n’attendait que cela. Lui aussi, apparemment. Sa caresse descendait le long de son bras, remontant retrouver son menton, petit jeu familier qu’elle ne connaissait que trop bien. Il n’attendait qu’une chose, oh, comme ce serait amusant. Une grimace s’apprêtait à prendre place sur son visage au surnom écœurant dont il osa la gratifier, cependant elle la retint, lui permettant, exceptionnellement de s’en tirer. Juste parce qu’il l’amusait, et qu’elle avait prévu de grandes choses, pour lui, cette jolie petite marionnette. Elle resta silencieuse quelques secondes après son interrogation, puis, apercevant le paquet de cigarettes dépasser de l’une de ses poches, elle s’approcha et glissa sa main à l’intérieur afin de l’attraper. Bien sûr, lâcha-t-elle, le plus naturellement du monde, et sans doute à sa plus grande surprise. Cigarette entre ses lèvres, se servant, prenant son briquet sans la moindre gène, elle l’alluma, darda son regard de longues secondes sur le jeune homme pendu à ses lèvres. Ce genre d’information se mérite, cela dit, poursuivit-elle, soufflant de la fumée sur son visage. Je regrette, même le fondant le plus merveilleux du monde ne sera pas assez…murmura-t-elle, s’approchant à son tour. Marche avec moi. Ton sans appel, elle comptait bien utiliser le jeune homme tant qu’il la suivrait, en échange de quelques informations…ou pas, cela dépendrait de son niveau d’amusement. J’en attends un peu plus. Un défi relevé, un secret avoué, qu’en penses-tu ? Question rhétorique, elle n’attendit aucune réponse de sa part, sourire flottant sur son visage, elle observa les alentours, bien peuplés, puis reporta son regard sur Jax. Allez, un facile, pour commencer, affirme donc au monde tes penchants zoophiles...je suis généreuse, je te laisse le choix de comment tu souhaites annoncer la nouvelle au peuple, ici présent. » Sourire amusé posé sur son visage. « Un défi, une information….le fondant au chocolat en vaudra peut-être deux, si tu m’emmènes dans un endroit exceptionnel. » Folle, oui. Le défi était simple, le secret en vaudrait-il la chandelle ? Autumn allait-elle seulement avouer tous ses secrets au premier abord ? Well, joue avec moi, Jax, et tu verras, disaient ses yeux pétillants de malice.

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» Why should I be the first to say it ? [GAULTHIER&&AUTUMN]
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» – Let's make a deal ; autumn&damian
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