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(presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots .

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MessageSujet: (presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots . (presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots . EmptyVen 18 Jan - 14:35



Donner un sens à ma vie, ça aurait été comme jouer la 5e symphonie de Beethoven avec les ongles sur un tableau.
Qu’est-ce que je faisais dans ce sex shop ? Bonne question. Très, très bonne question. J’ai une explication très simple et très compréhensible. A cette heure aussi tardive de la nuit, c’est un des rares magasins ouverts. J’étais sorti de chez Lily, pour rentrer chez moi. Je marchais un peu, quelques mètres. J’avais passé une bonne soirée. J’avais peut-être bu quelques verres et avec le froid qui caressait ma peau, j’avais cette impression d’être léger, de planer. Puis, il y avait toutes ces lumières sur cette façade. Je dois dire que je n’avais jamais mis les pieds dans ce genre d’endroit, auparavant. Cela s’explique simplement, parce que je ne vois pas ce que je pourrais y trouver. Qu’est-ce qu’il y aurait de si intéressant, si je venais y perdre mon temps ? Je me le demandais toujours mais, j’avais cette envie d’y jeter malgré tout un œil. Regarder s’il y avait du monde, si ce genre de commerce avait du succès. De cette manière, je n’allais pas mourir idiot. J’allais passer le pas de la porte. Regardant ma montre, je lisais trois heures et demie. Je me demandais ce que pouvait faire Camélia à cette heure précise et si loin de moi. C’était étrange de ne plus la côtoyer au quotidien, voir son regard qui me disait si elle était de bonne humeur ou si sa journée avait été un enfer. Voir cette complicité qui nous rapproche mais, également qui nous détruit, par moment. C’était étrange. J’étais parti. Puis, j’étais revenu. Et aujourd’hui, c’était elle qui suivait son chemin. Comme quoi la vie peut être parfois impossible à comprendre. On croit qu’elle nous envoie des signes, des messages ou que sais-je encore. Pour finalement, se jouer de nous. On s’attache. On se dispute. On s’adore. On se déteste. C’était de cette manière qu’on fonctionnait avec la jeune femme et en aucun cas, c’était calculé. C’était sans explication. Néanmoins, ce n’était pas sans importance. Oh non. Je m’y étais attaché, plus que je ne l’aurais imaginé ou même envisagé. Je n’avais aucune idée de comment lui parler, comment prendre de ses nouvelles sans être de trop. Camélia suivait sa voie et je lui souhaitais bien du bonheur. J’espérais que tous ces rêves allaient se réaliser, qu’elle allait être heureuse et combler. J’espérais tellement de choses pour elle et je n’ai jamais eu le cran de lui dire de vive voix. De la regarder droit dans les yeux, lui sourire et à mon tour l’embrasser. Parce que le seul échange que nous avions eu, était plutôt un acte d’audace. Un baiser donné, pour en déranger d’autres. Je le savais. Alors, j’aurais aimé lui dire au revoir plus tendrement. Lui prouver qu’elle n’était pas invisible dans ma vie. Lui dire indirectement qu’il y aurait toujours quelqu’un ici. Mon dieu. J’étais vraiment loin pour penser à cette demoiselle, dans un tel état. Fini les malentendus. Je secouais la tête et avançais dans les rayons de la boutique. Ils étaient moins nombreux que ceux du centre commercial. Cependant, il y avait quand même du choix. J’en étais étonné et je ne sais pas si c’était bon ou pas. Est-ce que ces gens, ces personnes qui fréquentaient ce lieu avaient vraiment besoin de tout ça ? Eh bien, ils manquaient d’imagination ou ils en avaient beaucoup trop. Personnellement, je ne me suis jamais servi de ces objets, de ces tenus et aucune de mes conquêtes ne s’en est plains. Peut-être qu’elles ne souhaiteraient rien dire, pour ne pas me blesser ? Noon ! Impossible. Elles étaient toutes satisfaites sur ce point-là. J’étais doué. C’était inné chez moi. Point barre et on passe à un autre sujet. J’arpentais alors les jouets. Homme. Femme. Il en avait pour tous les goûts. Je tournais mon visage, quelques secondes vers la jeune femme qui était derrière la caisse. La pauvre, elle devait également voir toute sorte de client dans le coin. Si je ne trouve rien qui puisse m’intéresser. Chose sur laquelle, je suis presque sûre.. J’irai lui parler. Je n’étais pas fatigué. La nuit n’était pas terminée. Le soleil n’allait pas se lever dans une heure. Je pouvais encore profiter des mystères de la nuit. Puis, je n’avais rien d’autre à faire. Certes, je pouvais rentrer. Faire comme si de rien n’était. Discuter quelques minutes avec ma conscience. Peut-être réveillée Reagan, en composant son numéro ou je pouvais rester ici. Découvrir cette boutique, rencontre une demoiselle et discuter tranquillement. Puis, je remarquais une autre présence. Une seconde jeune femme. « Et moi qui pensait être le seul à découvrir les mystères de cet endroit ? » Elle était blonde. Ces jambes étaient longues et de derrière, il n’y avait rien à jeter. Alors, je faisais des hypothèses. Pensant que cette jeune demoiselle était également dans sa première découverte des lieux. Si ça se trouve, j’étais complètement dans le flou. Elle était habituée des lieux et elle devait posséder plusieurs de ces jouets. Surement des roses. Les femmes préfèrent souvent cette couleur. Ne me demandez pas pourquoi. J’ai longtemps cherché en pensant que ça liait cette couleur à Barbie. Elle est toujours vêtue de rose de la tête au pied. Même quand elle sort son cheval, elle lui met du rose dans ses crins. Donc je suppose que ça vient de là. Je suppose. Puis, elle pivota son visage et je la reconnus. Presley. Qu’avais-je fais au monde pour mériter cela, encore une fois ? Elle était partout et souvent derrière mes pas. Je ne sais pas ce qu’elle cherchait, ce qu’elle pensait mais, est-ce qu’elle était du genre à suivre des jeunes hommes dans les ruelles de la ville ? Les suivre, les surveiller. N’avait-elle rien à faire d’autre.. « Tu m’as suivi ? » Ajoutais-je, naturellement et avec cette grimace sur mon visage. « Non mais tu es vraiment la plus perturbée des filles que j’ai pu connaitre. » Je me rappelle encore ce soir où elle a croisé mon chemin. Dans ce bar, elle était de loin, le plus beau parti. Il n’y avait aucun doute. Néanmoins, j’étais loin de me douter, de tous ces côtés vicieux qu’elle cachait. J’avais également du mal à croire, qu’elle pouvait la sœur de mon meilleur ami. Ils étaient totalement différents, opposés. Enfin, je le voyais comme ça. Donc, qui disait sœur à Adriel, disait également interdiction de touché. Même si elle était charmante, je passais mon tour. Elle n’aurait rien de moi. Pas le moindre baiser, pas la moindre caresse. Maintenant, si je suis à son goût. Si je lui plais, qu’elle fasse avec. Mais surtout qu’elle arrête de me regarder avec son regard de beta delta. Dangereuse Presley. Séductrice endurcie et déterminée.
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MessageSujet: Re: (presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots . (presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots . EmptyVen 1 Fév - 12:59



I’m in love with a girl, and I don’t even know her real name.
Puisque la vie ne tient qu'à un fil, je vais vivre à en crever. Parfois le ciel est bleu, parfois il veut nous éblouir rien qu'à lever notre regard vers lui. C'est en ces moments qu'il nous fait une sorte de promesse, la promesse que demain, tout ira mieux ! On se laissait glisser et goûter ainsi, cette dite vie. Elle est injuste, c'est ce que la plupart disent. Bon, il faut avouer que certains s'y plaisent énormément mais j'ai entendu plus de gens se plaindre que se réjouir de leur existence. Néanmoins il faut être reconnaissant et accepter problèmes et tragédies car le bonheur n'est pas quelque chose de naturel. On ne naît ni heureux ni sachant être heureux, ça s'apprend. Pour trouver une solution à nos problèmes, il nous faudra d'abord y résister et y faire face. Rien n'est impossible. Bon d'accord, quelques choses ne sont pas impossibles ... Je n'ai encore vu personne marcher sur l'eau ou voler, ce qui est impossible. Tout ce qu'il fallait savoir, à mon avis, c'était que parfois nos esprits créaient des limites pour dire de certaines choses inconcevables alors que c'est totalement faux . Dis donc, aujourd'hui mes pensées papillonnent, pensais-je. Mes intentions ne sont pas mauvaises pour autant. La vie est donc un voyage, on peut la représenter ainsi. D'ailleurs ce n'est pas la seule représentation que l'on peut faire, mais je croyais bien que c'était la meilleure étant donné qu'elle partageait le bon du mauvais. On disait donc que la vie était un voyage, certaines personnes connaissent des séjours/destinations paradisiaques avec tout ce qu'il y a de plus beau dans cet univers ! Une destination où elles ne connaîtront plus la souffrance et ne se souviendront plus de rien qui puisse les replonger dans leurs regrets et leurs confusions passés. D'autres par contre, se retrouvent dans un lieu dénué de paix, un lieu où la misère, la souffrance et la douleur règnent. Bien évidemment, peu importe les destinations que nous prenons, on atterrira tous au même endroit, ce sera le seul point commun. Autre chose, au cours du voyage, chacun de nous emporte avec lui des choses qu'il devra utiliser. Pour certains, ces choses représentent un obstacle, sans vraiment le savoir, ils s'entraînent eux même dans une destination qui ne ferait plaisir à personne, pour d'autres, ces choses seront très utiles et ça ne leur posera aucun problème ! Quand je suis venue à Berkeley, je pensais à changer. Enfin ce que je veux dire c'est plutôt que je VOULAIS changer. Les majuscules sont souvent utiles ... Je me posais plein de questions. Je me posais des question du genre « Que vais-je faire de ma vie ? » , « Que vais-je devenir ? ». Je n'avais pas trop le temps pour réfléchir et c'était assez difficile de ne pas hésiter. D'ailleurs, l'envie de rencontrer de nouvelles personnes, de nouvelles cultures, de nouvelles habitudes s'était emparée de moi, totalement. Quitter Paris s'est vite transformé en "la meilleure décision de ma vie" en quelques secondes. Là bas, j'étais sûre de continuer à vivre une routine insupportable, à accumuler les remords et à m’apitoyer encore et toujours sur mon sort de jeune fille trahie par sa propre existence. J'ai essayé quand même, de tout oublier ... Et je suis fière de moi, je suis arrivée à me relever. J'admirais le ciel bleu. J'aimais le contempler. Grâce à lui, tant de pensées m'ont traversé l'esprit. Ceci m'inspire, la nature m'inspire. Ma muse. La réalité nous rattrape très rapidement, mais que dire, c'était malgré tout impressionnant. La chaleur de cet après midi commençait peu à peu à s'estomper, tant mieux. J'avais passé ma journée à faire ce que je faisais de mieux : écrire, comme à chaque fois d'ailleurs. C'était un dimanche et je n'avais presque rien à faire. Je transformai mes songes sur papier, différents les uns des autres, ça me permettait de profiter pleinement de mon temps libre et ça ne me dérangeait point. Après m'être inspirée et avoir trouvé ma muse dans les pars de Berkeley, je me dirige directement vers ma voiture pour en prendre quelques affaires mais je me suis très vite retrouvée au beau milieu de la ville. Ça m'arrivait de temps en temps ... De minces rayons de soleils entraient par la fenêtre entrouverte de ma voiture, j'en profitais tout en me promenant dans la ville, rien que pour jeter un coup d'oeil à ce qu'il se passait ... San Francisco est décidément une ville magnifique, on m’avait toujours dis que j’été née dans la plus belle ville du monde Paris, mais je dois dire que SF avait ce petit coté pétillant qui me faisait fondre. Ou bien alors j’avais tellement un mauvais souvenir de ma vie à Paris que je trouvais maintenant cette ville dénuée de charme. La nuit été tombé, et maintenant je poursuivais ma route au travers des rues. De loin j’aperçu cette petite boutique, plein de lumière. Un sex shop. Je n’étais absolument pas gêné, j’y avais déjà été plusieurs fois auparavant, je suis une fan de costume et la plupart du temps c’est bien ici que je viens les chercher. C’est avec un grand sourire alors que j’entrais dans la petite boutique, en prenant soin de saluer la vendeuse qui me connaissait bien. Je parcourrai les rayons quand une voix m’interpella. « J’ai l’habitude de trainer ici. » dis-je d’une voix joyeuse, j’avais très bien reconnu ce timbre de voix qui m’avait interpellée. Et c’est alors que je pivoter moi et ma belle crinière blonde or vers le jeune epsilon. « Tu sais j’ai plusieurs costumes, si tu a besoin de voir ce que ça donne en vrai, je me porte volontaire. » Le suivre, non mais Jayan très sérieusement je n’ai pas que ça à faire tu sais bien. « Et j’ai l’impression que ça t’agace qu’on te suive. Tu es bien difficile. » Dis-je tout en me contemplant dans le miroir. « Bon allez, dis moi ce que tu fais là, c’est pourtant pas ton genre, Ô sage petit Jayan. » Est-ce que par hasard il me traite de folle ? Il allait vraiment finir par me vexer celui là. « J’ai l’impression que tu inverse les rôles je suis tout à fait normal. Monsieur parano. »
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MessageSujet: Re: (presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots . (presley) . j’aimerais être un flan. Un flan aux abricots . EmptyDim 10 Fév - 14:25



La femme est souvent pour l'homme un agréable compagnon de jeux.
J’ai surmonté bien des épreuves. Je suis un homme qui est tombé amoureux. Un homme qui a été trahi, mûrti à plusieurs reprises. Je suis de ces hommes qui dévient souvent de leur trajectoire. De ces hommes qui se laissent guider par la douce musique et les belles formes. J’aime les jolies choses mais, tôt au tard, elles finissent par me glisser entre les doigts. Vraona. Ebony. Camélia. J’avais fait des choix. Ils n’avaient pas toujours été les meilleurs mais, l’essentiel était de les assumer. Au quotidien, je me tuais à ne pas les renier, à me dire que tout aurait pu être différent si j’avais tourné à droite et pas à gauche. Je ne pouvais pas, sans cesse, regarder en arrière. Vivre avec son passé était fortement déconseillé et je le savais. Mieux que quiconque. Je devais continuer à regarder droit devant moi. Parce que tout le monde partira un jour ou l’autre. Parce que je ne peux pas profiter de cette existence qu’on m’offre, si j’ai sans cesse la tête tourné vers les souvenirs, les faux pas ou les choix que j’ai pris. Je ne pouvais pas. Alors, même si cette belle brune me manquait énormément. Même si j’aurai voulu lui dire ces mots qui peuvent changer une vie, ces mots qui peuvent donner un sens à notre relation. Je n’ai jamais trouvé le courage de lui confier. J’avais commis une erreur. Elle était partie. Et cette fois, je suis celui qui est resté. Errant dans les rues de ville, en quête de mon ombre que j’avais perdu. En quête de la personne que j’étais, il y a encore quelques semaines. Sans cette solitude qui me colle aux fesses. Sans ce silence pesant que je promène dans les quatre coins de San Francisco. J’étais arrivé devant cette façade lumineuse. J’avais hésité et puis, je m’étais lancé. Entrant sur la pointe des pieds, pour ne pas déranger. Je parcourais les rayons de cette petite boutique. Souriant, en réalisant que je n’avais jamais mis un pied ici. Pourquoi ? A quoi bon, venir dans ce genre d’endroit, quand on a tout ce qu’il faut pour combler sa partenaire. Je n’ai pas besoin de ces jouets, parfois douteux, d’autres biens trop amusants pour s’en servir et garder son sérieux. Je me satisfais du naturel, de ce que j’ai et jusqu’ici aucune femme ne s’en est plainte. Alors, je pense que même si ma curiosité m’a amenée jusqu’ici, je ne ferai aucun achat. Faisant quelques pas vers l’arrière du magasin, je remarquais cette autre présence. Une jeune femme. Blonde et avec des jambes si longues. A en perdre la vue. Je décidais de l’accoster, de discuter un peu. Avant de réalisé que cette inconnue n’en était pas une. Destin ! La sœur d’Adriel. Avec son petit air coquin et malicieux, elle m’avoua être une habituée des lieux. Du coup, j’avais envie de rajouter que cela ne m’étonnait pas tant que ça. Mais, je me retenus. Un peu de retenue en présence de la sœur d’un de mes plus proches amis. Même si Presley est une jeune femme tout à fait craquante, charmante et dangereusement belle. Je m’imaginais à la place de son frère. Comment je réagirai si Adriel agissait de la sorte avec Reagan ? Est-ce que je le prendrais bien ? Est-ce que je me sentirai trahi ? Je n’en sais rien. Face à ce regard qu’elle me porte, j’avoue être troublé. Ce soir, la solitude avait été ma plus fidèle compagne jusqu’à ce que mon chemin croise le sien. « Non, sans façon. » Répondis-je d’un ton un peu distant et froid. Je ne devais pas craquer face à son charme. Face à ces propositions plutôt intéressantes et très intrigantes. Du coup, il n’avait pas fallu cinq secondes de plus, pour que mon imagination, lui colle un costume très sexy. Je secouais la tête de gauche à droite, très discrètement. Essayant d’évacuer ces pensées plutôt déplacées. Avec l’alcool que j’avais consommé, j’avais encore plus de difficulté à les contrôler. Partagé entre mon moi raisonnable et mon moi influençable, je ne la quittais pas du regard. « Je suis difficile. Peut-être. Mais, vous les femmes, vous êtes comme ces vipères qui rampent vers leurs proies, qui les guettent, s’en approchent avant de les avaler pour leur petit déjeuné. » J’avouais cette vérité d’un ton plutôt sérieux. Je ne voulais pas finir dans l’estomac de Presley. Puis, on savait également lorsqu’une femme arrive trop facilement à ses fins, elle se lasse. Étrangement, je n’avais pas envie de la voir se lasser. Une présence pourrait me changer les idées. Elle pourrait m’occuper un temps. Alors, avant de trop réfléchir, j’entrais dans cet échangé, dans cette discussion.
« Parce que j’ai l’air d’un sage ? Tu es bien la première qui me le dit mais, il faut une première fois à tout. Pas vrai. Puis, ce n’est pas parce que je ne cherche pas à te mettre dans mon lit, comme la plus part des hommes qui doivent croiser ton regard, que je suis forcément un ange. Très chère. » J’imaginais que Presley n’avait aucun mal à avoir un peu de compagnie, de chaleur et tendresse masculine. Avec cette silhouette et ce regard, elle pouvait certainement avoir qui elle voulait. Je suis même sûr que rares sont les hommes qui lui ont refusé de telles propositions. La voir dans ses petites tenues sexy. J’y repensais, du coup. Je la voyais déjà faire un défilé devant un de ces hommes faibles, devant un de ces hommes qui n’avaient pas su lui dire non. Même s’il avait une femme ou des enfants. Je suis sûr que Presley obtenait tout ce qu’elle désirait et quand elle le désirait. Elle est de ces femmes qui aiment tout contrôler et il ne m’avait pas fallu dix minutes pour le comprendre, pour la cerner. Il ne m’avait pas fallu tout ce temps pour la ranger dans ces filles que je qualifie de dangereuse. Elle devait être la seule que j’avais mise de ce côté-là. Celle que je ne voulais pas toucher, pas même un baiser, parce que je savais que ce serait des ennuis. Je n’avais aucune idée sur sa façon de procéder. Est-ce qu’une fois, que je lui aurai donné ce qu’elle voulait, elle me lâcherait ? Pire, encore, est-ce qu’elle en redemanderait ? Presley serait-elle accroc ? Je n’ose même pas l’imaginer. Ne cherchant pas à peser le pour et le contre, parce que je connaissais le résultat et de loin. Très persévérante, parfaites courbes, pour une nuit, elle ferait une excellente partenaire. Je le savais. Je ne voulais juste pas, y penser. « Une chose est sûr, je ne t’ai pas suivi. Au moins, tu le sais. » Ajoutais-je, à mon tour avec ce petit sourire au bord des lèvres.
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