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Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth)

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MessageSujet: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyLun 11 Fév - 19:32

RESTE EN VIE ! RESTE EN VIE !


Je l’ai vue s’effondré sur le sol. J’en étais sûr que la jeune Lisbeth ne va pas bien. Je me jette sur elle pour la rattraper. J’hurle le barman d’un ton rauque mais à la fois paniquer.

« Appelez l’ambulance !!! Dépêche !!!Elle risque d’y rester ! »

Je la pose doucement sur le sol en la mettant bien sur le dos. Mes mains joignant pour donner quelque accourt. Puis mes lèvres se collent à la sienne pour donner de la respiration. Pendant quelque minute je fais ce geste répétitif. Un mouvement mécanique mais qui peut la garder en vie Puis, je repense à tous nos souvenirs entre nous. Oui j’avoue que nos souvenir se fut la haine et la rancœur entre nous. Mais là, je suis en train de la sauvé. J’aurais dû la laissé mourir mais je préfère la sauvé. Pourquoi cette aide ? Car elle le mérite ? Ou peut-être cette personne décide d’être méchante car elle se sent incomprise. Je ne sais vraiment pas….mais je vais laisser écouter mon cœur. Donc je recontinue ses gestes

L’ambulance arrive rapidement, les médecins arrivent avec leurs défibrillateurs. Il me pousse sur le côté. Mon regard triste fixe la jeune blonde qui est là étalé sur le sol. Les médecins ouvrent le haut de la femme. Puis ils mettent place les deux électro choque. Premier électro choque, il y a aucun effet. Le second aucun effet. Je sens que mon cœur est en train de battre à mille à l’heure. Oui, de plus en plus, j’ai peur de la voir perdre, peur de ne plus la revoir, mais au fond cette personne est mon égale et en quelque sorte une part de moi. Le troisième électro choque a réussie à la faire sortir de cette mort. Je me sens soulager. Les médecins embarquent la jeune femme et m’invitent à la rejoindre auprès d’elle. Je rentre dans le camion tenant la main de Lisbeth, je tiens sa main par une grosse inquiétude. J’ai envie de pleurer, mais je me refuse de pleurer

*Ellipse*

L'espoir renait de ces cendres


Cela fait quelque jour que je suis resté a l’hôpital. Depuis plusieurs jours je n’ai pas réussie à fermer ‘œil de la nuit. Depuis tout ce temps, je suis resté auprès d’elle. Je ne voulais pas la quitté quand je serais sûr qu’elle serait réveillée. Je peux même vous dire, mes cheveux sont devenus grasse et totalement décoiffé depuis ce fameux jour.
Hier dans un coin des toilettes, toute ma peur et ma tristesse a réussi à sortir. Oui je me suis mise a pleurer de tout mon corps. Pourquoi je pleure pour elle ? Mais pourquoi elle ? De plus en plus cette haine se transforme a un sentiment ambiguë qui dit même de sentiment d’un presque amour. Cependant cette amour est totalement différente que celui que j’éprouve envers Maël. Oui je dis clairement je suis complètement amoureuse de lui…Je ferais ma vie avec lui. Mais avec Lisbeth c’est une haine mais un amour bien platonique. Car oui même si elle m’énerve, je suis contente qu’elle soit revenue.

Je suis là assis sur le fauteuil tenant la main de Lisbeth toujours inquiète. Puis mon ventre me fait signe que je dois manger un peu. Je me lève en direction d’un distributeur et d’une machine a café. Je m’achète un café et une barre de Kinder Buenos. Je mange cette sucrerie qui me calme un peu. Une douceur qui me fait remonter le moral. Puis le café qui me permet de rester éveillé. Un médecin arrive doucement, il me tape sur l’épaule. Je me retourne en le fixant avec mes yeux cerné. Le docteur sourit.

« Mademoiselle votre amie est enfin arrivé. »

Je manque de peu de m’étouffer. Lisbeth est enfin réveillée. Au fond je sens la joie monté en moi. Une joie infinie. Elle est là vraiment vivante. La mort ne l’a pas enlevé. Je termine mon café et mon kinder. Je fais un léger merci à ce médecin et je me précipite dans la chambre. J’ouvre doucement la porte. JE regarde Lisbeth qui me fixe doucement. Elle peut facilement apercevoir que mes cheveux est en bataille. J’en suis sûr que la suédoise doit savoir que je suis resté auprès d’elle. La porte se ferme délicatement par mes soins, puis me voilà en train de m’approcher d’elle. Je m’assoie doucement sur le lit. Mes mains joignant la sienne avec douceur sans aucune haine. Mes yeux est larmoyant par la joie de la voir en vie. Je la regarde timidement

« Ca va tu te sens mieux Lisbeth ? »

Je détourne mon regard pour éviter qu’elle me regard ainsi. Du moins, j’espère qu’elle arrêtera de me voir avec cette haine. Oui là je sens mon cœur battre pour elle. L’angoisse disparaient petit à petit pour laisser place a cette petite joie en moi. Mes yeux la fixe doucement

« Tu as besoin de quelque chose ? »
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyMar 19 Fév - 23:14

Elle n'avait jamais imaginé ça. Le cœur qui s'arrête soudainement, le noir, l'inconscience. Enfin, l'inconscience ou la mort ? Elle ne le savait pas. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle ne sentait plus son cœur battre sourdement dans sa poitrine. Elle ne sentait plus rien du tout. Elle avait juste cette soudaine impression de plénitude, de soulagement ; de repos. Comme si toute sa vie, elle n'avait attendu que ça. Comme si là était sa place : dans la mort, ou l'inconscience. Elle ne sentit pas les mains la soulever, pas plus que la décharge rentrer en contact avec elle et secouer son corps. Ils semblaient s'acharner. Quelle tristesse, quand même. Si Lisbeth avait déjà vu les effets de la coke, si elle les avait parfois expérimentés (elle n'était plus à sa première overdose), elle n'avait jamais pensé que l'arrêt cardiaque, ça aurait pu lui arriver. Mais aussi, quelle bêtise. Prendre un excitant tel que le café, alors qu'elle était déjà sous l'effet d'un psychotrope. Elle avait provoqué sa propre crise cardiaque. Mais il était un peu trop tard pour s'en mordre les doigts ; elle n'était même pas sûre de survivre. Pensait-elle, d'ailleurs ? A quoi ressemblait la mort ? Etait-ce ce noir profond dans lequel elle était plongée, tellement sombre qu'elle semblait aveugle ? Tellement intense qu'elle n'entendait plus ; tellement épais qu'elle ne bougeait plus. Bref, pour ce qu'on en sait, peut être la mort, peut être l'inconscience, ou simplement le néant.

Elle plongea finalement dans un rêve. Un rêve où tout, étrangement, était parfait. Mais tellement crédible. Une vie idéale. Ou sa vie ? A mesure qu'elle sombrait le rêve plongeait aussi. Elle semblait propre spectatrice de sa chute, de sa mort. Elle observait à travers les yeux d'un inconnu – de Dieu, qui sait – le début de la fin ; elle revoyait ses parents, la façon dont ils l'avaient chassée, puis les heures de nuit, l'université le jour, le strip club la nuit. Et la drogue. Cocaïne ou sexe, tout ce qui lui permettait de rester vivante, de rester en forme. L'excès, la colère, la haine, l'hystérie. Elle ne savait pas pourquoi elle avait sombré dans l'excès ainsi ; l'excès de tout : trop de drogue, trop de femmes, trop de vie. Mais la vie valait-elle d'être vécue si ce n'était pleinement ? C'était ce que la jeune suédoise pensait. Il fallait profiter jusqu'à son dernier souffle, même si celui-ci arrivait prématurément. Vivre vieille ne l'intéressait pas plus que ça, elle savait qu'elle finirait probablement seule : elle ne voulait pas d'enfants, et son caractère de chien aurait bien fait de rapidement faire fuir ses quelques prétendantes. Et une seule personne ! Elle ne se pensait pas faite pour la monogamie. Si lassant. Si répétitif. Comme revoir la scène encore et encore. Mêmes protagonistes, mêmes dialogues. D'où les disputes. Il fallait rajouter du piment ! Et puis le sexe énervé, elle avait toujours trouvé cela plus excitant qu'une tendre étreinte.

Je m'égare. Ce rêve, donc, représentant une version plus flamboyante de la réalité, plus belle ; plus fausse. Trop fausse, peut-être, trop parfaite. Lisbeth ne recherchait pas la perfection. Elle tiqua légèrement. Si cette réalité était crédible, elle était trop savoureuse pour la suédoise. Quelque chose clochait ; elle ne vivait pas cette réalité. Elle vivait une autre, plus sombre, plus triste, mais étrangement plus agréable. Il fallait qu'elle se réveille, ce n'était pas ça, sa vie ; elle s'était faite avoir par ce rêve si réel. Il fallait ouvrir les yeux, replonger dans la réalité, sa réalité ; sa vie, son corps fatigué. Lentement, elle reprit conscience. Elle entendait les battements de son cœur, maintenant reposants, réconfortants. Ce traître de cœur. Elle n'arrivait pas à ouvrir les yeux, ses paupières étaient trop lourdes. Elle avait l'impression d'avoir dormi pendant des années, d'avoir pris des décennies en quelques secondes. Elle se sentait vieille, fatiguée. Tellement fatiguée. Mais il fallait qu'elle se secoue ; qu'elle renoue avec la vie. Et lentement, elle ouvrit les paupières.

Une lumière blanche, puissante, l'aveugla. Elle grimaça légèrement, refermant rapidement les yeux. Où était-elle ? Elle sentait des gens s'activer autour d'elle, perturber le calme dans lequel elle était plongée. Péniblement, elle se força à rouvrir les yeux. Elle discerna petit à petit des blouses blanches, des carreaux. Ah, hôpital. Oui, ça paraissait logique, même pour son cerveau fatigué. Ce qui était moins facile, c'était ce qui ressemblait à un médecin, et qui testait la réactivité de ses pupilles. Comme s'il n'y avait pas déjà assez de lumière, en plus il lui braquait une lampe dans les yeux ! Elle poussa un petit gémissement, et essaya de l'écarter, sans grand succès. Si son cerveau avait ordonné aux bras de bouger, ceux-ci n'avaient pas bougé d'un millimètre. Elle se sentait à leur merci. Elle ne pouvait rien faire pour empêcher leur ballet incessant. Et si peu de temps après s'être réveillée, elle se rendormit. Cette fois-ci, pas de rêve. Le néant. Un sommeil lourd, profond, réparateur. Ca, c'était ce qu'avait dit le médecin lorsqu'elle s'était réveillée pour la seconde fois. Cette fois-ci, son cerveau se faisait un peu mieux obéir : elle arrivait à bouger. Péniblement, elle se redressa un peu dans son lit, et but un peu d'eau. L'homme avait beau lui parler, elle ne comprenait pas un traître mot de ce qu'il lui disait. Il ne pouvait pas parler suédois bordel ? Elle était bien trop fatiguée pour comprendre un simple mot d'anglais.

Et il partit. Elle lâcha un soupir de soulagement, et tournant la tête, observa un peu plus en détail la chambre. Elle remit un peu ses cheveux en place. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là, mais elle se doutait que ses cheveux devaient être dans un sale état, probablement ternes. Et la porte s'ouvrit. Sursautant, la jeune femme tourna les yeux lentement vers elle, se fixant sur la japonaise. Qu'est-ce qu'elle faisait là ? Elle fronça légèrement les sourcils, la détaillant en silence. Ah, à son apparence, elle a dû rester là. Mais depuis combien de temps ? Elle la regarda s'approcher, n'osant rien dire. C'était elle qui l'avait sauvée, pour sûr, mais elle avait encore cette bouffée de haine dans la gorge. C'était plus fort qu'elle. Maintenant, elle lui devait quelque chose – et sa vie, la pire dette qu'il soit – et elle savait que ça allait être délicat à gérer. Elle ne la lâcha pas des yeux, un peu fatiguée, et détourna finalement le regard lorsqu'elle s'assit sur le bord du lit. Elle déglutit. Parler anglais, parler anglais.

« Qu'est-ce que … tu fais … là ? »


Elle avait presque balbutié ces mots. Plus que jamais, l'anglais lui semblait une langue étrangère, une langue qu'elle ne se sentait plus capable de parler. Parler suédois était tellement simplement. Elle finit par séparer sa main de la sienne, gênée. Pourquoi n'était-elle pas partie ? Pourquoi était-elle restée ? Elle voulait la faire culpabiliser, c'est ça ? Cette petite vicieuse !

« Juste qu'on me … laisse … me reposer. Va t'en. »

Elle déglutit à nouveau, baissant un peu la tête. Elle finit par se redresser, se contredisant elle-même pour attraper le poignet de la japonaise avant qu'elle ne s'échappe.

« Depuis combien de temps ? »


Elle plongea son regard dans le sien, un faible lueur dansant dans ses yeux. C'était un peu comme si elle était morte, cette nuit-là, après tout ; maintenant elle vivrait dans la peur que ça se reproduise, et dans l'appréhension. Elle ne le voulait pas ; surtout pas. Elle s'approcha soudainement d'elle, prise d'une impulsion qu'elle-même ne comprenait pas ; et sans un mot, colla ses lèvres contre les siennes. Elle avait besoin de se rassurer, de sentir son cœur battre, accélérer. Elle avait besoin de se sentir vivante ; et être ainsi proche de celle qu'elle aimait tant à détester lui rappelait presque douloureusement que oui, elle n'avait pas perdu la vie, et que tout ceci n'était pas qu'un autre rêve tout aussi réaliste que le premier.
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyMar 19 Fév - 23:53

Je la voie en train de se réveiller. Son regard en train de me fixer. Je la voie gêner par ma prise de main. Mais en quelque sorte, cela me prouve que Lisbeth est bien réveillée. Je la voie en train de retirer sa main contre la mienne. Ma tête se penche sur le côté. Lorsqu’elle me dit de partir, elle reprend vivement ma main. J’hoquet de surprise. Elle demande combien de temps elle est dans le coma. A peine je dis quelque chose, ces lèvres se collent aux miennes. Mes yeux s’écarquillent par la surprise. Pourquoi elle m’embrasse ? Pourquoi moi ? Mon corps s’accélère tout d’un coup troublé par ce baisé. Je la laisse faire. Mes mains pousse délicatement la demoiselle pour rompre se baisé. Je détourne le regard ne disant rien, en faites là je ne sais pas quoi dire. Lisbeth me perturbe encore plus. Encore une fois mes sentiments se troublent. Un mélange d’amour et de haine. J’oublie doucement mes sentiments pour revenir à la raison. Pourquoi a-t-elle fait ça ? Elle vient de se réveiller d’une mort certaine. Si j’étais elle, je me pincerais ou je me cognerais pour voir si je suis bien vivante. Tout simplement embrassé.

Je détourne mon regard reprenant doucement mon souffle. Mes yeux la fixent longuement d’un air sérieux mais légèrement protecteur.

« Depuis une semaine, tu étais dans le coma. Depuis tout ce temps je suis resté auprès de toi. »

JE fuis son regard fixant le mur puis le sol. Je suis complètement gêner, je ne sais pas quoi faire. Je serre doucement les draps agacé par ce trouble et cette gêne. Cette femme a le don de me mettre super mal à l’aise. Je dis d’une voix frêle légèrement perturbé et fatigué par cette semaine.

« Je vais te chercher de quoi manger je reviens. »

Je me lève doucement me dirigeant vers la grande cafétéria. Je pris de quoi reprendre des forces. Quelque minute après, me revoilà dans la chambre. Je viens poser mon plateau en face d’elle. Je me lève pour venir m’adosser au mur.


« Tu as été par terre face a moi. J’ai pris vite l’initiative de te faire un massage cardiaque. Heureusement car après 30 minute après l’ambulance est arrivé. JE t’avouerais que pendant la semaine. Je me suis inquiété pour toi. J’avais vraiment peur que tu mourrais. Bref je t’ai dit le peu que je ressentais vis-à-vis de toi. Alors s’il te plait, arrête cette drogue. Je pense que tu es assez grande pour le savoir. »


Je glisse contre le mur pour venir tomber mon fessier contre le mur. Mes deux genoux replié sur elle-même et mes deux bras prenant appuis sur celui-ci.

« Dit Lisbeth….pourquoi l’homme aime voir les autres souffrir ?
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyJeu 21 Fév - 15:44

Il n'y avait aucun doute. Ce doux contact, ce semblant d'excitation qui la prenait pendant un instant. Elle était bien vivante. Elle sentit son cœur accélérer, et elle en fut heureuse. Elle se laissa repousser sans broncher, retombant lentement contre les coussins. Elle détourna légèrement le regard, elle n'avait pas besoin de la regarder. Elle baissa légèrement les yeux sur sa blouse d'hôpital, l'ouvrant un peu. Evidemment, elle était nue dessous, mais il fallait juste qu'elle regarde … Pas de cicatrice. Elle lâcha un soupir de contentement. Elle n'avait pas été opérée, ça voulait dire que ce n'était pas si grave que ça, n'est-ce pas ? Certes son cœur aurait des dommages sûrement permanents, mais ça n'avait pas nécessité une opération à cœur ouvert. Elle mit quelques secondes à comprendre ce qu'elle lui disait. Une semaine. Une semaine ?! Elle faillit s'écrier ainsi, et tourna simplement la tête vers elle, totalement paniquée. Une semaine. Une semaine. Ca faisait long quand même, une semaine. Qu'avait dit l'université ? Qui avait prévenu ? Qu'est-ce qu'on avait dit à la directrice. La suédoise déglutit lentement, ayant soudainement peur.

« L'université … Qu'est-ce que vous avez dit à l'université ? »


Elle espérait presque maladivement qu'ils ne lui avaient pas dit pour la crise cardiaque. Encore moins pour la drogue. Elle serait probablement virée, s'ils l'apprenaient. A moins … A moins qu'elle ne soit déjà virée ? Non, ils n'oseraient pas. Ils avaient des professeurs beaucoup plus graves qu'elle. Ils ne viraient pas tous ceux qui couchaient avec leurs élèves, quand même ? Et c'était bien pire de coucher avec un élève que de prendre de la coke, non ? Enfin c'était ce que pensait la suédoise. Un instant, elle paniqua, avant de se calmer. Ca ne servait à rien de se stresser pour le moment, elle serait sûrement dans l'hôpital pour encore un petit moment. Et si elle n'avait pas chance, elle serait forcée à faire un tour en désintox, ce qui l'embêtait quand même un peu. Elle y couperait peut-être, si elle arrivait à négocier. La cellule psychiatrique, probablement pas, mais la désintox, il y avait des chances. Elle la vit partir, chercher à manger, et ne la retint pas.

Elle soupira légèrement, et passa ses mains sur son visage, se redressant un peu dans son lit. Il fallait qu'elle s'en aille en fait. Si elle avait été dans le coma pendant une semaine, son cœur s'était probablement remis. Il lui faudrait une après midi pour se sentir un peu mieux mentalement, et elle pourrait s'en aller. Ou s'échapper, disons plutôt. Elle n'avait pas le courage de se soumettre à tous les examens supplémentaires, les psychologues, les médecins. Elle en était fatiguée rien que d'y penser. Et évidemment, elle devrait payer les frais d'hôpitaux. Inutile de dire que ça allait lui coûter une fortune, parce que son assurance ne prenait certainement pas tout en charge. Elle manquait la Suède parfois, ce n'était tellement pas le même esprit que les USA. Ici tout le monde était, étrangement, égoïstes. Et avoir des pensées sociales, grand dieu, on criait au communisme. Mais il était bien normal de pouvoir se soigner normalement, non, quand même ; sans y dépenser une fortune. Ce n'était pas vraiment normal de sortir la carte bancaire pour se faire soigner. Enfin, elle ne pourrait pas échapper aux frais médicaux, mais aux médecins, si. Sa décision était prise, elle s'échapperait dans l'après-midi. Peut-être avec l'aide de l'autre asiatique, si elle s'ennuyait.

Elle était hors du lit lorsqu'elle rentra dans la chambre. Elle se tourna quelques instants vers elle, alors qu'elle marchait un peu laborieusement vers le fauteuil. Evidemment, ça n'allait pas être aussi simple que prévu, mais elle s'en sortirait. Elle s'installa avec maladresse dans le fauteuil, et arrangea un peu sa blouse, la remerciant d'un vague sourire. Elle se tendit un peu pour attraper un bout de pain qui traînait sur le plateau, et le grignota, se recroquevillant légèrement sur le fauteuil. Elle la regardait d'un œil distrait, sans vraiment la voir ; elle construisait son plan. Elle reconnecta avec la ! réalité lorsqu'elle l'entendit parler, et ne put s'empêcher de ricaner à la fin de son récit. Arrêter ? Pour le moment, oui, c'était certain, elle arrêterait ; elle avait trop peur que ça ne se reproduise. Mais pour toujours ? Aha ! Non, certainement pas. Déjà parce qu'elle n'aimait pas l'idée d'aller en rehab, et ensuite parce que pour l'instant elle aimait bien sa vie comme elle était. Elle la regarda glisser contre le mur, et haussa légèrement un sourcil en l'entendant. C'était l'heure des questions existencielles ?

« Pour oublier sa propre vulnérabilité. »


Elle finit de grignoter son bout de pain, et se rapprocha du plateau à nouveau, buvant une gorgée d'eau. Elle observa le contenu, et après quelques hésitations. Si elle voulait avoir les moyens de partir, il fallait qu'elle mange. Elle attrapa alors la fourchette, et commença à manger avec lenteur, observant la pièce avec attention. Elle ne pouvait pas partir comme ça, il lui fallait ses vêtements, et aussi, entre autres, son sac. Avec ses clefs. Elle n'avait qu'une envie, rentrer chez elle. Elle tourna alors les yeux vers Ayane, l'observant un instant, avant de lui demander, un peu brutalement, peut-être.

« Aide moi à partir d'ici. »


Elle déglutit une longue gorgée d'eau, ne la lâchant pas du regard. Rapidement, elle finit son plat, et se releva, lentement, marchant jusqu'au seul placard de la pièce. Elle en sortit avec soulagement ses vêtements, certes déchirés, mais c'était ça, et son sac à main. Elle porta le tout jusqu'au lit, et ignorant totalement la japonaise, enleva sa blouse, se trouvant totalement nue. Elle frissonna quelques instants, et enfila ses sous-vêtements, puis son jogging, mettant ensuite son sweat comme elle pouvait, avant de se tourner vers Ayane à nouveau, souriant légèrement.

« Maintenant, s'il te plaît. »
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyDim 10 Mar - 19:09

Je la regarde longuement sans la moindre expressions sur mon visage. Je soupire doucement en entendant le mot université. Je la voyais paniquer. Au lieu de rigoler, je la regarde avec banalité. En même temps, je ne vais pas la sauvé tout le temps. JE l’ai bien sauvé, j’étais inquiète mais je ne vais pas la protégé contre l’université. Cependant, je sais très bien que l’université risquerait d’être sévère avec elle.

« Je crois que tu vas avoir une réunion avec l’administration. Il ne vont pas être gentil. Ce que tu as fais c’est pire que coucher avec une élève. Sachant que les profs doivent être l’exemple pour les élèves. Après tout tu sais ce que tu as fais…la je te laisse faire. »

Oui, je suis peut être gentille et je voue un drole de sentiment pour elle. Mais je ne vais pas être tout le temps la fille clémente . Non au contraire, Lisbeth est assez grande pour assumer. C’est une femme après tout même si la je me pose la question sur sa philosophie. Puis la jeune femme réponds a ma question.

« Je vois car elle est vulnérable. »

Je fixe longuement la jeune femme face a moi. Un léger sourire moqueuse et provocatrice. La je vais faire mal.donc elle est vulnérable, encore mieux. Puis je l’entends qu’elle a besoin de moi en me mettant une autorité. Je secoue doucement la tête me relevant au même moment.


« Déjà…..n’hausse pas le ton avec moi…je crois que j’ai déjà assez fais non ? Je t’ai sauvé la vie…et je ne vais pas t’aider a fuir…. Si je t’aiderais, j’ai quoi en retour ? »


Je m’adosse contre le mur fixant la femme avec un regard sérieux. Je ne vais pas aidé comme une fille toute gentille. J’attends quelque chose en retour. La je sens que ma vengeance prends forme.

« je te sauve mais en contre parti je veux ton corps et que tu te soumets a moi. »

Avant toute chose je l'a hais...Même si ce foutu sentiment éprouve autrement. Avant toute chose, je me venge après je verrais comme cela se passera entre nous deux.
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyLun 11 Mar - 14:42

Elle se décomposa un instant. Qu’est-ce qu’elle leur avait dit ? Qu’elle avait eu une crise cardiaque, certainement, mais pourquoi elle l’avait eu ? Oui, visiblement, elle leur avait dit que c’était à cause de la cocaïne. Elle serra les dents. Un mot tournait en boucle dans sa tête : « Salope ». Ca, elle ne lui pardonnerait pas. Et encore moins si elle perdait son boulot à cause de ça. Cependant, elle ne pensait pas que c’était pire que coucher avec des élèves. En se droguant, elle mettait seulement sa propre vie en danger, et pas celle de ses élèves. Et puis ça la regardait elle, non ? Qu’est-ce que ça pouvait leur foutre, à l’administration. De toute façon, ils ne la vireraient pas, ou du moins s’en persuadait-elle. Elle était bien trop douée à ce qu’elle faisait pour qu’ils puissent se permettre de « la laisser partir ». Et si ça faisait scandale, encore, mais là, à part l’hôpital, c’te saloperie de môme, et l’administration, personne ne le savait ; et elle ferait en sorte que ça resterait ainsi. Elle avait quand même une réputation à tenir.

Elle glissa ses mains dans les poches de son sweat, se rasseyant lentement sur le lit. Elle n’avait pas l’air encline à vouloir l’aider. La blonde soupira légèrement, passant finalement ses doigts dans ses cheveux. Ils étaient vraiment dans un sale état ceux-là. Ternes, et pailleux. Elle attrapa son sac à main, et le posa sur ses genoux, le fouillant distraitement. La drogue était toujours là, ce qui signifiait qu’ils avaient bien respecté sa propriété privée. Elle attrapa son paquet de cigarettes, et le reposa quelques instants après, cherchant sa boite d’allumettes, qui était … vide. Nouveau soupir. De toute façon, ce n’est pas comme si elle allait fumer dans un hôpital. Elle tourna la tête vers elle, et fronça légèrement les sourcils en l’entendant. Ton ? Quel ton ? Elle avait été un peu vive, certes, mais son ton n’avait rien d’insultant, il était seulement un peu paniqué. Mais qu’elle n’arrive pas à faire la différence ne faisait que prouver à Lisbeth ce dont elle était persuadée : son manque de finesse intellectuelle. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien lui donner ? Pourquoi lui donnerait-elle quelque chose déjà ? Elle releva lentement les yeux vers elle, plantant son regard dans le sien. Ses yeux s’étaient légèrement assombris, elle était en colère.

Elle faillit finalement s’étouffer en entendant sa proposition. Lui donner son corps ?! Se soumettre à elle ?! Mais pour qui se prenait-elle ? Et surtout, quel genre de dérangée était-elle ? Pensait-elle sérieusement qu’elle allait dire oui ? Elle en frémit d’horreur. Ce serait le pire scénario possible. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien vouloir d’elle ? Certes, ça remplissait bien de relations conflictuelles, sachant très bien que même si elle acceptait, elle ne se laisserait certainement pas faire sans réagir ; si elle voulait la soumettre, elle n’avait qu’à le faire, elle ne se soumettrait jamais d’elle-même. Elle finit par baisser les yeux. Elle avait le choix, oui, mais quel choix ! Aller en cure de désintox et sûrement perdre son boulot, ou se … rendre à elle. Elle n’en revenait même elle-même, elle était entrain de considérer son offre. Enfin son offre, son chantage odieux, disons plutôt. La partie qui rebutait Lisbeth, outre le fait que c’était … Ayane, c’était qu’elle avait juste l’impression d’être une pute. Son corps contre un service. Un long soupir s’échappa de ses lèvres. Conflit intérieur. C’était dégradant, mais sa seule option pour sortir d’ici ‘entière’.

« D’accord … »

Elle lâcha ce mot comme si ça lui arrachait le cœur, murmurant presque. Elle se redressa lentement, et se releva avec encore plus de lenteur, se tournant finalement vers elle.

« Pour une semaine, pas un jour de plus. »

Et c’était déjà bien assez. Elle n’allait pas non plus se laisser aller à elle à l’infini, elle avait d’autres chats à fouetter. Elle se demanda comment elle allait caser le temps de la jeune femme dans son emploi du temps déjà surchargé. Elle allait peut-être devoir sacrifier ses maigres heures de sommeil, ou ses heures de strip, ce qui ne l’arrangeait pas. Mais ce ne serait qu’une semaine, une semaine à tenir. Elle serra son sac entre ses bras, et restant pieds nus – elle n’avait pas trouvé ses chaussures – commençant à avancer vers la sortie à pas lents. Elle se sentait déjà plus faible de n’avoir plus la perfusion, ni le masque à oxygène, et faillit tomber. Elle se rattrapa de peu contre le lit, et s’y tint quelques instants, prenant une longue bouffée d’air. Oui, c’était sûr, elle n’arriverait pas à sortir toute seule. Elle réussit à se redresser, et se posta devant la jeune femme, les mâchoires légèrement serrées.

« Mais tu peux toujours rêver pour que je me soumette de moi-même. »


Elle retroussa un peu sa lèvre supérieure en signe de dégoût, serrant toujours son sac contre elle. Elle restait tant bien que mal debout, une lueur de défit dans le regard. Après tout, méritai-elle qu’elle se soumette si elle n’était pas elle-même capable de la soumettre ? Lisbeth ne résisterait d’ailleurs pas forcément beaucoup, puisqu’elle avait toujours ce malheureux faible pour elle, qui l’avait aussi influencée pour dire oui.
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyLun 11 Mar - 18:44

Je me mets a rire en la voyant faire une drôle de tête. La jeune femme est complètement paniqué, c’est vraiment marrant de la voir ainsi. C’est vrai que j’ai dit qu’elle s’est drogué ! Là c’est sur j’étais bien méchante…puis je l’ai défendu en lui disant qu’elle était une bonne professeur en étant moi-même son élève. Je la fixe avec un sourire très malicieux.

« Ho tu sais !!! L’université sait tout sur l’histoire de drogue….par contre il ne te vire pas ! Cependant ! Oui il y a un mais ! C’est moi qui dois te surveiller à l’université ! Pour voir si tu ne fumeras des choses pas très légales. Oui j’ai vu que dans ton sac tu l’as encore ton machin. Alors contente !!! Que c’est moi qui assure ta sécurité ! »

Je penche ma tête doucement sur le côté. Je m’approche d’elle doucement avec un air bien déterminé. Je me colle limite à cette femme. Je souris doucement et je rigole. Puis je secoue légèrement ma tête. Alors là, je ne vais accepter son marché. 1 semaine ! Elle est mignonne !!! Avec toute l’humiliation qu’elle m’a faite. Alalala tu es naïve ma Lisbeth.

« Une semaine….hélas, hélas, cela me suffit pas…C’est moi qui décidera quand tu ne seras plus ma soumise. Tu pensais vraiment que depuis toute ma jeunesse je ne cherchais pas un moyen de me venger. Mhh ? Rappelle-toi, que tu m’humiliais sans cesse sur mon passé. Donc ton service et de te soumettre à moi quand moi je le décide. Si tu dis non, et bien, je dirais tout à l’administration et tu te fais viré…dure non et tu auras un sale dossier sur toi. Même si je te hais ! Je te hais a tels point que je savoure cette vengeance, j’avoue que tu es un bon professeur »

Puis je retire doucement son sac la fixant toujours. Je prends son sachet de drogue, la mettant dans ma poche.

« Par contre, tu ne vas pas te droguer quand je l’aurais décidé…La tu ne te drogue pas…c’est beaucoup plus amusant de soumettre une fille qui est consciente. Tu pourras envenimer ta haine contre moi…même si je pense dans le fond que tu as un petit quelque chose qui m’apprécie »

Mon doigt touche doucement son cœur puis un léger sourire aux lèvres montre encore mon côté très joueuse. Puis je la fixe avec un regard sévère en répondant à son regarde de défis. Oui, depuis des années j’ai changé, énormément changé, surtout, je ne suis pas du genre la fille à être soumise.

« Ton regard me dit que tu penses que je ne suis pas capable de soumettre…Ma pauvre Lisbeth, tu crois vraiment que je suis la Ayane qui était encore jeune et qui montrer à peine son côté rebelle. Tu sais en 6 ans, j’ai énormément changé, les gens comme toi m’ont appris encore plus à haïr l’espèce humaine et je vais te dire un truc, pendant ces 6 années, j’ai appris à me forger, la prostitution m’a appris encore mieux de manipuler et de me sentir au-dessus de tout le monde. Tu vois Lisbeth, je peux être gentille avec des gens mais je peux être la pire ordure de ce monde….Crois-moi, je t’ai sauvé, mais j’avais tellement envie de te laisser pourrir la devant moi. Cependant, je t’ai sauvé car tu vas être parfaite pour combler mes moindres envies. »

Ma main glisse doucement vers sa poitrine la pilotant doucement. Je prends plaisir de voir cette chose devant moi. Cependant, je sais que ce genre de contrat est juste une vengeance mais dans le fond je regrette un peu de ce que je suis en train de faire. Cependant, l’autre moi réclame vengeance.

Je la pousse doucement contre le lit retirant sa veste et son sweat sans la moindre compassion. Je retire mon pull donnant à cette femme. Je ne vais pas la laissé ainsi, voir les hommes la mâter, je ne suis pas d’accord. Puis je sais dans le fond que voir des vilains pervers la relooker la ferait énerver. Je m’éloigne d’elle regardant la fenêtre.

« Mets mon pull, je ne vais pas te laisser ses pervers te relooker et en plus avec ton état. Encore moins. Bref suis moi, tu te fais toute petite ! Puis le contrat est conclus, ne tente pas d’arranger le marché, c’est moi qui décide de tout….Bref.. »

J’ouvre la porte et je la refixe froidement.

« Dit Lisbeth, ça fait quoi d’être une catin au service de moi. C’est dure hein ? C’est dur d’obliger de s’ouvrir les cuisses à une personne qu’on n’aime pas. On se sent faible hein ? Tellement faible et qu’on doit fermer sa gueule car on a une contrainte. Voilà ce que j’ai vécu dans ma jeunesse, obligé d’être une soumise, mais la pire chose, c’est de se faire violé par un client qui n’a aucune considération pour les femmes…Oui être juste un objet de plaisir. La maintenant, tu respecteras mieux les prostitués. »

Je fais signe de me suivre, j’ouvre la porte en direction de la sortie.
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyMar 12 Mar - 12:56

Suite Ici :mimi:
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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) EmptyJeu 25 Avr - 21:09

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MessageSujet: Re: Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Je ne te déteste pas mais s'il te plait reste en vie( Pv Lisbeth) Empty

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