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Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan

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June D. J. Martin
there's no place like berkeley
June D. J. Martin
prénom, pseudo : Fanny, Fannence, la plus mignonne des mignonnes, Fannou
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MessageSujet: Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan EmptyJeu 4 Oct - 12:50


La solitude est un sentiment ressenti par tellement de gens, qu’il serait égoïste de le ressentir tout seul. Personne ne peux savoir à l’avance quel jour sera le plus important de sa vie... Bouches toi les oreilles. Bouches toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort ! Tu entends comme je t'aime ? ESMERALDA WILLIAMS ALEXANDER & DYLAN ASHBURY BLACKWOOD

❝ Un jour quelqu’un ma dit « garde là pour toujours », c’est le « toujours » qui me pose problème.❞

    Get drunk but not too much, était le mot d’ordre de la soirée. Que je sois quelque peu bourrée était de la pure logique pour cette soirée. Mais que je ne le sois pas trop l’était encore plus puisque la gueule de bois était à éviter pour demain. La raison ? Je me mariais demain et j’entendais bien pouvoir supporter le bruit des cloches retentissant une fois le « oui je le veux » fatidique prononcé. J’avais par le passé était de nombreuses fois dans un état minable – bien plus encore – mélangeant alcool et drogue, sans jamais me prendre la tête. Plus d’une fois j’avais fini dans de mauvaises situations, me retrouvant dans des lits inconnus avec des garçons encore plus inconnus. Les séjours que j’avais pu passé à l’hôpital ne se comptaient même plus sur les doigts des deux mains, encore qu’ils ne concernaient pas réellement mon addiction, mais plus mon anorexie. Oui, j’avais été un terrible déchet durant ma jeunesse et les débuts de ma vie d’adulte. Je n’en revenais d’ailleurs pas d’avoir tant changer, d’avoir outrepasser tant de peurs, tant de difficultés. Mais tout cela appartenait au passé. J’étais maintenant une autre personne, maman d’un petit garçon de deux ans, des plus adorables dont la marraine n’était autre qu’une de mes plus vieilles amies : Esmeralda Williams ou Alexander depuis quelques années. A l’époque de l’Université, je travaillais à la fois en tant que strip-teaseuse mais aussi barmaid dans l’un des bars les plus huppées de San Francisco. Esmeralda travaillait elle aussi dans ce bar, ce qui facilita grandement notre rapprochement. Je la connaissais de vue à l’Université, mais travailler avec elle nous avait permis de nouer de très forts liens. Pour preuve, elle était aujourd’hui marraine de mon fils, et l’une de mes demoiselles d’honneur avec Elmas, Kayla et Alona. J’entretenais maintenant une relation des plus agréables avec ma sœur retrouvée à l’époque de Berkeley et je devais reconnaitre que s’en était des plus sympathiques. Je n’en revenais d’ailleurs pas d’avoir tant évoluer avec ma sœur. Et dire qu’au début, lors de notre rencontre, nous étions totalement en conflit, s’engueulant tous les quatre matins, se jetant la moindre pique possible et inimaginable à la figure. Il avait fallu que je décide de quitter Berkeley pour partir à la découverte de mes racines russes pour que nos relations s’améliorent. Finalement, cela ne m’avait été que bénéfique. J’avais eu l’occasion de rencontrer mes grands parents, de charmantes personnes mais qui ne parlaient pas un traitre mot d’anglais. Il avait fallu que j’apprenne le russe en quatrième vitesse afin d’être capable de converser avec eux, et je devais reconnaître que cela s’était avéré particulièrement difficile. Mais au fond, j’avais fait cela avec plaisir. Parce que pour la première fois depuis très longtemps, j’avais eu ce sentiment d’appartenir à une famille, une véritable famille non pas comme avec les gens qui m’avaient adoptés, les Ashbury. Je n’avais plus eu une seule nouvelle de leur part, hormis de Kayla, ma petite sœur. Elle avait beau appartenir à cette famille, elle avait malgré tout été celle qui m’avait soutenue, qui m’avait protégée lors de mon anorexie, à l’inverse de ses parents. Je ne me sentais même plus capable de dire « nos » parents, tant je leur en voulais de ses vingt premières années de cauchemars qu’ils m’avaient fait vivre. Entre insultes, dénigrements et lynchage, il avait atteint le maximum de leur connerie à mon égard. Mais tout cela appartenait au passé, rien de ce qu’ils ne pouvaient dire ou faire maintenant ne pourraient avoir un quelconque impact sur moi. Kayla serait d’ailleurs présente à mon mariage, en tant que demoiselle d’honneur. Quant à mes parents adoptifs, il était hors de question qu’ils ne soient présent en ce jour si sacré, si mémorable pour moi. Je comptais bien être heureuse et épanouie, et non pas triste et renfermée comme ils pouvaient me le faire ressentir. Demain était le big day et ce soir était LE soir où j’allais enterrée ma vie de jeune fille. Connaissant Esmeralda et mes deux sœurs, j’étais à peu près sur que je serai dans un état peu recommandable pour me marier, mais qu’importe. Au moins, j’aurai enterré ma vie de jeune fille comme il le fallait. C’était une sorte de tradition en même temps dans de nombreux pays, et même si je me sentais tiraillée entre différentes nations – Australie, France, Russie, Etats Unis – je savais que dans ces pays, la tradition était de mise et j’entendais bien la respecter jusqu’au bout.

    J’attendais avec impatience qu’Esmeralda débarque et m’emmène dans ce fameux lieu où je devais célébrer cette soirée. J’avais beau connaître Paris comme ma poche, je me demandais bien où j’allais pouvoir être emmener. Mon futur mari étant français, nous avions décidé d’organiser la noce dans la ville de l’Amour par excellence, à savoir Paris. Aussi, l’enterrement de vie de jeune fille s’y déroulerait aussi, rien de plus logique. D’un coup j’entendis sonner à la porte et je vis Esmeralda débarquer telle une furie dans la maison m’appelant tout en criant. Sans que j’eus le temps de dire ouf, je me retrouvais les yeux bandés, jetais dans une voiture en attendant de débarquer dans ce lieu tenu secret. J’entendais mes deux sœurs, Elmas et Esmeralda pouffer de rire à n’en plus pouvoir. Voir deux de mes meilleures amies rires aux éclats quand j’étais dans l’impossibilité de comprendre ce qu’il se passait, c’était assez ennuyant pour moi. Mais je l’acceptais pour leur faire plaisir parce qu’au final, elles le faisaient pour moi et c’était bien là tout ce qui comptait. Après dix minutes à tourner, nous finimes par nous arrêter dans un club que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam, mais qui au vu de la queue s’étalant sur le trottoir, devait être pas mal. « Les filles vous avez vu la queue ? On n’y entrera jamais, laissons tomber ! » Elmas posa un doigt sur mes lèvres alors même qu’Esmeralda m’attrapait la main et m’emmenait droit vers le videur. Elle annonça notre nom et celui-ci se décala pour nous laisser passer. Let’s get the party started.
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MessageSujet: Re: Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan EmptyLun 19 Nov - 15:54

« Et ce n’est pas si important qu’on vive heureux pour toujours, ce qui compte, c’est être heureux maintenant. De temps en temps, même si c’est rare, les gens vous surprennent. Et une fois de temps en temps, certaines personnes peuvent vous couper le souffle. »


Ce n'était pas tous les jours qu'on se retrouvait demoiselle d'honneur, je l'avais été par le passé pour le mariage d'une amie mais, aujourd'hui les choses étaient différentes. Tout était toujours différent lorsqu'il s'agissait de Dylan. Son départ de berkeley quelques années auparavant m'avait brisé le coeur, elle était devenue avec le temps la soeur que je n'avais jamais eu. Mais, je savais que c'était la meilleure chose pour elle. La preuve. Lorsque j'avais reçu son coup de téléphone et qu'elle m'annonçait la bonne nouvelle, je n'avais pu contenir ma joie tellement elle était immense. Je n'aurais su dire ce qui me ravissait le plus, son mariage ou nos retrouvailles. Surement les deux. Dire que rien ne présageait que toutes les deux on aurait pu devenir si proche que même avec les années et les kilomètres qui nous séparaient, nous nous serions retrouvées pour célébrer l'un des plus beaux jours. Savoir que ma Sampi préférée était sur le point de dire oui devant une centaine de personnes, un sourire radieux illuminant les fins traits de son visage me remplissait de joie. Je me souvenais encore de notre rencontre à l'absinthe bar, j'avais des factures à payer et bosser était la seule solution qui s'était offerte à moi. J'avais déjà travailler dans un bar lorsque je vivais à New York, ce n'était donc pas un problème pour moi. Seulement, la rencontre avec Dylan avait tout changé. Je savais que je pouvais me confier à elle sans craindre qu'elle ne me juge. Et cette seule certitude m'avait suffit à savoir qu'une amie comme elle n'était pas à perdre. Nous avions donc gardé le contact et même s'il m'arrivait parfois de regretter le temps où nous vivions dans la même ville, cela ne nous empêchait pas d'être aussi proche que par le passé. J'avais atterri sur le sol français quelques jours auparavant. Je n'aurais voulu manquer son mariage pour rien au monde, son enterrement de vie de jeune fille encore moins. Je me souvenais encore de l'expression de son visage lorsque je lui avais annoncé que j'étais devenue Madame De Rossi. Ce mariage à Las Vegas n'avait rien avoir avec celui qui allait être célébré à Paris. Dylan n'aurait pu choisir meilleure ville pour fêter son amour avec l'homme de sa vie. Ma chérie ne savait pas encore ce qu'on lui avait prévu pour cette inoubliable soirée. Je n'étais pas sûre que les conséquences de cette petite fiesta entre filles soient celles attendues pour une future mariée mais, ce n'était pas tous les jours que ma Sampi préférée se mariait et je comptais bien faire en sorte que ça reste inoubliable. Heureusement, je pouvais compter sur ma complice, Elmas, pour faire oublier à Dylan toutes ces craintes qui caractérisaient les futures mariées.

Je raccrochais le téléphone, un sourire radieux aux lèvres. Dylan ne savait pas à quoi s'attendre. Je jouais avec ma petite princesse en attendant que la nounou que j'avais contacté pour la garder lors de cette soirée entre filles ne vienne. J'aurais pu confier Eleanore à son parrain, il aurait été ravi de l'avoir avec lui, comme à chaque fois mais, j'avais préféré l'amener avec moi. Qui plus est, Dylan ne m'aurait jamais pardonné d'être venu sans sa nièce. Car oui, pour elle, Eleanore était sa nièce et ça me convenait parfaitement, je n'aurais pu lui trouver meilleure tante qu'elle, surtout qu'elle la gâtait plus que je ne l'aurais espéré. A peine la baby-sitter arrivée que je m'éclipsais pour me rendre chez la future mariée. Je trépignais d'impatience à la seule pensée de la soirée qui nous attendait. « Dylaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan! » Criais-je, à peine avoir passé le pas de sa porte. Il était grand temps pour nous de passer aux choses sérieuses. Offrant un sourire complice à Elmas, nous laissions notre chauffeur pour la soirée nous emmener vers le lieu de toute festivité. « Interdiction de poser des questions ce soir ma chérie! Tu nous laisses faire... » Lui lançais-je avec un regard énigmatique. Avançant parmi la foule qui attendait la permission de pénétrer dans le club, je donnais notre nom au videur qui nous laissa entrer. A l'intérieur, la musique résonnait, je laissais mes yeux se poser sur toutes les personnes présentes, à la recherche de celle qui m'intéressait. Je la trouvais sans peine, je faisais signe à Elmas avant de prendre la main de Dylan et de l'entrainer avec moi. Une partie du club avait été aménagé pour qu'on puisse profiter de cette soirée sans être dérangée. Le gérant était un ami que je ne connaissais que trop bien, alors autant en profiter. J'offrais une coupe de champagne à la reine de la soirée avant que les filles et moi levions nos verres. « A Dylan et à cette soirée qui risque d'être mémorable! » Un tintement de verre plus tard et voilà que la fête pouvait commencer. Et tandis qu'on savourait ce début de soirée, je posais mon regard sur Dylan alors que certains messieurs -très agréable à regarder- se plaçaient en face de nous en une danse endiablée. Je me penchais à son oreille pour lui murmurer. « C'est ta soirée et ce soir tout est permis... »

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June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan EmptySam 15 Déc - 18:00


La solitude est un sentiment ressenti par tellement de gens, qu’il serait égoïste de le ressentir tout seul. Personne ne peux savoir à l’avance quel jour sera le plus important de sa vie... Bouches toi les oreilles. Bouches toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort ! Tu entends comme je t'aime ? ESMERALDA WILLIAMS ALEXANDER & DYLAN ASHBURY BLACKWOOD

❝ Un jour quelqu’un ma dit « garde là pour toujours », c’est le « toujours » qui me pose problème.❞

    Get drunk but not too much Mon dieu, est-ce que j'avais choisi réellement la meilleure chose à faire pour la veille de mon mariage? Je n'en étais guère sur. J'avais bel et bien peur d'être dans un état catastrophique pour la journée de demain, qui s'annonçait grandiose et épique à la fois. Je savais que je me souviendrais de ce moment ma vie entière, que tout dans le déroulement, dans le moindre petit détail serait gravé dans ma mémoire comme on ancre dans notre tête dès l'enfance des habitudes tels que la lecture, l'écriture ou encore l'arithmétique. En pensant à cette journée, tous mes cours de psychologie que j'avais étudié durant plus de deux ans à Berkeley me revenaient de pleins fouets en mémoire, et la seule chose que cela me rappelait, était qu'étudier la psychologie avait été salvateur pour moi. D'une période où j'étais anorexique, droguée et à la limite de l'alcoolique, ces cours m'avaient permis de redevenir forte, fière de mon corps, et de mettre un terme à ce trop pleins de drogue qui me bousillaient les neurones. D'autant qu'à l'époque, je commençais tout juste ma carrière de surfeuse semi professionnelle, et la drogue était totalement proscrite dans ce milieu. Il m'avait fallu alors toute la force de caractère à laquelle j'étais capable de faire appel, pour pouvoir me sortir de toutes ces merdes. Bien sur, rien n'avait été facile, surtout lorsque j'avais perdu Elena, ma soeur de confrérie, ma soeur de coeur, morte dans la fusillade de la Saint Valentin. Je venais à peine de me sortir de la drogue et de l'anorexie qu'un sale coup me tombait sur la tête, et je devais dire que sans l'aide de ma cousine Kyarah, je ne serai jamais sorti indemne de cette dépression. Et puis un jour, tout s'était arrangé. J'avais rencontré ma soeur biologique au détour d'un rayon de livre de la bibliothèque, et après des semaines, voir des mois de conflits, nous avions fini par trouver un moyen d'entente, au point que je quittais l'Université en sa compagnie, pour partir en Russie, pays de mes origines et de ma famille biologique. J'avais donc découvert une toute autre culture, à l'opposé de celles que je connaissais. Alors que je m'étais toujours pensée Australienne avec des racines françaises, j'avais fini par me sentir en partie Américaine, avant de découvrir que j'appartenais à la culture Russe. En somme, je me retrouvais partagée entre différents pays, différentes cultures, et cela ne me dérangeait pas outre mesure, bien au contraire. Mais malgré ces différentes cultures, j'avais choisi la France comme lieu de mon mariage, en rapport avec mes racines françaises, mais surtout parce que mon futur époux était lui aussi français pur souche, et que l'épouser dans son pays me semblait la chose la plus simple à faire.

    Accompagnée de mes deux soeurs, Elmas et Esmeralda, je me retrouvais enfournée dans une limousine, les yeux bandés, avant d'en ressortir quelques instants plus tard, un souffle chaud m'atteignant de plein fouet sur le visage, un bruit assourdissant faisant bourdonner mes oreilles. Le foulard tomba de mes yeux pour laisser apparaître devant mes prunelles un club parisien des plus populaires, connu pour être toujours blindés. J'expliquais aux filles qu'il ne fallait pas se leurrer, nous n'arriverions jamais à intégrer ce club si sélect. Mais apparemment, je devais me tromper car sans dire quoi que ce soit, le videur nous fit rentrer avec un sourire discret. La musique et la chaleur qui régnaient dans le club me m'atteignirent de plein fouet. Je ne doutais pas qu'avec quelques grammes d'alcool dans le salon un peu plus tard, je serai très vite bourrée. Merci les filles, je sens que le réveil risque d'être rude. Esmeralda me prit par la main avant de m'entrainer dans un coin tranquille, où tout avait été préparé pour que nous soyons tranquille. Installées confortablement dans nos sièges, les filles trinquèrent à ma santé et à la soirée qui promettais d'être folle et instable! J'explosais d'un grand rire cristallin, avant de trinquer avec les filles et de porter la coupe de champagne à mes douces lèvres, tout en sachant que cette première coupe était loin d'être la dernière de la soirée. Des jeunes hommes venaient de se diriger vers nous pour danser dans un rythme endiablé, ce qu'Esmeralda ne manqua pas de remarquer ces garçons, puisqu'elle me glissa à l'oreille que tout était permis pour cette soirée. "Ma chérie, demain je me marie. Alors alcool oui, garçon non" Répliquai-je à la demoiselle, en posant les bases de la soirée. J'avais bien l'intention de profiter de la soirée oui, c'était une évidence sinon je n'aurai jamais accepté de mettre les pieds dans ce club. Mais en même temps, je n'avais guère l'intention de m'amuser à draguer les garçons alors que j'allais unir mon destin à celui d'une autre personne, de mon fiancé. Je passais mon bras par dessus l'épaule de mon amie, avant de lui dire de ne pas s'inquiéter, cela ne m'empêcherait pas de m'amuser comme il se doit. J'attrapais la main de mes deux meilleures amies, avant de les entrainer sur la piste de danse, prête à me déhancher et profiter un maximum de cette soirée qui s'annonçait comme une soirée épique à devenir. Je me mis à danser avec les deux jeunes femmes, bien que je sois totalement nulle pour danser. J'avais toujours été incapable de danser convenablement et sensuellement, et ce soir n'échappait pas à la règle. Un serveur passa près de moi et j'attrapais une coupe de champagne au vol, avant de l'ingurgiter le plus rapidement possible. Après une dizaine de minutes à danser, je repartis en direction des fauteuils avant de m'affaler sur le siège à côté de mes deux soeurs. "Alors les filles, on ne va pas danser??" Je jetais un oeil à Kayla avant d'exploser de rire. Je déposais un regard sur le ventre arrondi de ma soeur adoptive, déjà bien gros pour six mois de grossesse. Je posais une douce main sur son ventre, avant de le caresser avec amour. Ma futur ou mon futur neveu était encore au chaud pour trois mois, mais j'attendais de pieds fermes sa venue, et j'espérais bien le/la voir rapidement, prête à la gâter comme pas possible. Esme se rapprocha de moi, un grand sourire sur le visage. Ou cela n'annonçait rien de bon, je sentais la connerie venir gros comme une maison. Let’s get the party started.
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MessageSujet: Re: Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. Esmeralda & Dylan EmptyMer 13 Fév - 14:33

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