The devil wear prada || Kitty

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« Et pour les journalistes ? Je leur demande de patienter ? » Je vous présente Gabriel MacOllister. Meilleur ami de notre milliardaire, accessoirement, son homme de main et agent de communication. Il a toujours eu un sens de l’humour déplorable. « Très drôle. Tu les raccompagnes gentiment jusqu'à la sortie. » corrigea James sans lever les yeux de son agenda. « Même la jolie blonde qui n’a pas cessé de te faire les yeux doux ? » Petite explication pour ceux qui ne connaissent pas encore Ollister. Il ne cherchait pas à caser James avec toutes les femmes de la planète, malgré ce que l’on pourrait croire. C’était même plutôt le contraire pour la bonne raison que ce charmant gentleman Anglais, était gay jusqu’au bout des ongles et en pinçait depuis des lustres, pour son patron. Alors, dans sa bouche, ce ‘prétendu’ compliment pour cette jolie blonde, ne se révélait être en fait, qu’une méchante ironie, dont elle faisait sans le savoir, les frais. « Je te la laisse, si tu sors immédiatement de mon bureau. » « Goodd ! Je suis mort de peur. » ajouta son meilleur ami avec un grand sourire blasé au possible, s’éclipsant néanmoins pour le laisser travailler. Enfin seul avec lui-même. Plus pour longtemps. Tapotant sur les touches de son portable privé, James composa le numéro d’une certaine personne, qu’il n’avait pas revu depuis quelques jours, et qui lui manquait atrocement. « Bonjour, chérie. Tu as cours aujourd’hui ? Toute la journée ? J’ai pensé qu’on pourrait se faire un petit restaurant ce soir. Il y en qui vient d’ouvrir ses portes sur le port. On ne m’en a dit que du bien. Très bien, alors ce soir. Je t’aime aussi. » Et il raccrocha. L’échange le plus discret est souvent celui qui apporte le plus de réconfort. A quoi harceler une personne à longueur de journée pour lui répéter qu’on l’aime toujours et encore plus ? James préférait faire court, dans ses mots. Et plus expressif lorsqu’elle était dans ses bras, particulièrement la nuit, si vous voyez ce que je veux dire. Dans ces moments-là, la jeune femme ne pouvait plus douter de l’affection qu’il lui portait. « Monsieur O’Malley ? » La voix de sa secrétaire à l’interphone, le ramena brutalement à la réalité. « Oui, Martha ? » « Il y a là une jeune femme qui voudrait vous parler, je la fais patienter ? » Une jeune femme ? « Comment est-elle cette ‘jeune femme’ ? » Maëlle avait-elle décidé de lui faire une petite surprise ? Il avait même esquissé un sourire de circonstance en imaginant cette idée farfelue. « Blonde, habillée avec classe. Elle ne sourit pas. » Maëlle n’était pas blonde. Son sourire s’évanouit aussitôt. Ollister n’avait tout de même pas osé inviter cette journaliste … « Faîtes-la entrer. » soupira le milliardaire en se levant du siège de son bureau, le contournant pour aller ouvrir la porte à cette mystérieuse inconnue. « Bonj… TOI ? » Sa réaction avait été immédiate. Il avait même failli faire un arrêt cardiaque lorsqu’il avait croisé son regard. Kitty Toscane Weiss. Son pire cauchemar en ce bas monde. Mais que faisait-elle en Californie ?

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San Francisco. Une ville où elle n'avait plus mis les pieds depuis un sacré bout de temps. Le magasine qu'elle dirigeait ne cessait d'augmenter ses ventes, plus d'argent certes mais plus de boulot également et moins de temps pourr voir les quelques rares personnes qui lui tiennent à cœur. Grande opportunité rime avec grande décision, dans ce cas présent Kitty quittait son magasine pour une durée encore indéterminé et allé prendre la tête d'une seconde entreprise histoire de voir les différentes façons de gérer son "chef d’œuvre" mais aussi de changer un peu d'air. Bon rien n'est jamais parfait,il y aura toujours un parasite dans l'air.. mais faut dire que Louna, sa nièce lui manquait et que peu importe la réaction de ce cher James, Kitty débarquerait. Évidemment comme à chaque fois un vrai parcours du combattant l'attendait. Première phase la secrétaire, qui étonnamment ne fut pas si difficile à amadouer. De nature manipulatrice quand elle souhaitait obtenir quelque chose, la jeune femme débarqua le plus sérieusement possible, le visage dénudé de toute expression. « Je dois voir Mr O'Malley s'il vous plait, c'est important. » La secrétaire lui fit signe de patienter et Kitty l'écouta la décrire de long en large et en travers. Complétement parano, ou il attendait quelqu'un. Dans les deux cas la situation risquait d'être hilarante. Ne lui donnant jamais de nouvelles il ne savait jamais quand elle allait débarquer, et la façon qu'il avait d'être exaspéré dés qu'il la voyait procurer à Kitty un immense plaisir. « Madame, Monsieur O' Malley va vous recevoir » Elle lança un rapide merci à la secrétaire du milliardaire et se dirigea vers la porte de son bureau. Inutile de vous dire que la réaction de James était juste, à mourir de rire. D'un mouvement de bras elle poussa la porte pour l'ouvrir entièrement « Bonjour James, ravi de te voir comme toujours » Ironie par ci, ironie par là, la jolie blonde s'affala sur un des sièges en cuir du milliardaire et croisa ses jambes. « Je me suis dit que ça faisait un petit bout de temps que je ne t'avais pas rendu visite, alors me voilà ! » Elle sourit, toujours autant amusé de le voir ainsi dépité. Ils n'avaient jamais pu se blairer et aujourd'hui encore moins puisque tous les deux voulaient avoir la garde de Louna.

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Oui, il était surpris. Vous le seriez aussi si vous n’aviez pas revu un membre – prétendu – de votre famille depuis plusieurs années et que soudain celui-ci se décidait à vous rendre une petite visite dans votre propre bureau. Mais il reconnaissait bien là Kitty. Toujours imprévisible. C’était son plus grand défaut, et … sa plus belle qualité. Il détestait qu’elle débarque à l’improviste, comme s’il n’avait que cela à faire de la recevoir. Mais en même temps, il avait si souvent ignoré ses appels ou fait comme s’il avait disparu de la surface de la Terre qu’elle ne s’était pas laissée duper une fois de plus par son stratagème. Comme c’est perspicace de sa part. Sans l’inviter à entrer, ce qu’elle fit d’elle-même, naturellement, James prit plusieurs secondes avant de retrouver le masque d’impassibilité d’antan, et de refermer enfin la porte de son bureau, en priant les dieux de lui donnant le courage de ne pas se jeter sur cette femme pour l’étrangler jusqu’à ce que mort s’en suive. « Que fais-tu ici, Weiss ? » Il avait toujours eu l’habitude de l’appeler par son nom de famille, lorsqu’elle n’insupportait. Autant dire : 365 jours par an. Lentement, tel un félin qui s’apprêterait à fondre sur sa proie, le milliardaire se dirigea vers son bureau, en ne manquant pas de froncer les sourcils devant la pose ‘tu casa es mi casa’ de son invitée surprise. « Le téléphone, tu ne connais pas ? » renchérit James une fois confortablement assis, ses mains se joignant entre elles pour éviter d’attraper le coupe-papier posé en évidence devant son siège. C’est peut-être un signe. ‘Tue-la avant qu’il ne soit trop tard !’ « Tu aurais dû. J’ai énormément de travail aujourd’hui. Aussi, tu as dix minutes. » souffla James avec un calme olympien, son regard azur toujours braqué sur les épaules de la jeune femme. Le pire, c’est qu’il savait parfaitement de quoi Kitty allait parler. De sa fille. Du fait qu’elle cherchait à obtenir sa garde. Elle lui rabâchait le même refrain depuis des années. Et il ne l’avait jamais écouté. Pire, il la méprisait. Et s’il ne l’avait pas encore haché menu, c’était uniquement parce qu’elle était la tante de Louna, et qu’elle ressemblait comme deux gouttes d’eau – forcément, puisqu’elles étaient jumelles – à sa chère Cheryl.

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Bon c'est vrai, elle le détestait plus que n'importe qui sur cette terre. Faut dire qu'elle avait ses raisons, de femmes, puisqu’il n'était même pas au courant de l'existence de son fils. C'était pas sa faute, je vous l'accorde, il était dans l'ignorance. Mais sa tronche de milliardaire trop sûr de lui, ça c'était certain elle ne pouvait plus l'encadrer ! James n'avait jamais compris comment fonctionner la jolie blonde,plus il l'ignorait plus elle viendrait le rendre fou. C'est la dure réalité qui veut ça. Blague à part, Kitty avait toujours sa nièce, et c'était également la raison de sa venue. Enfin, elle était à présent affalé dans un des fauteuils de bourgeois supra inconfortable de James et comptait bien lui gâcher sa petite journée et aller ensuite gâter sa nièce avec des montagnes de cadeaux. « Que fais-tu ici, Weiss ? ». Toujours aussi agréable ce cher James, elle haussa grossièrement les épaules avant de souffler « Tu me manquais que veux tu que je te dise d'autre.. » Un sourire amusé apparu sur son visage, il commençait à bouillir, bouillir, bouillir et encore bouillir intérieurement mais il n'oserai jamais explosé. Elle ressemblait trop à sa défunte sœur heureusement pour elle et malheureusement pour lui.. Elle avait toujours fais comme chez elle avec lui, quand je vous dis qu'elle cherche à la rendre fou elle ne le fais pas qu'a moitié. Deux véritables enfants qui se cherchent des poux toute l'année. « Le téléphone, tu ne connais pas ? ». La jeune femme fit mine de réfléchir et finit par secouer brièvement la tête Elle aurait été stupide de le prévenir en avance, il aurait eu cent fois le temps de réorganiser son planning pour être introuvable, et Kitty c'est précisément ce qu'elle voulait: lui faire face. Et pourrir un peu sa journée. « Tu aurais dû. J’ai énormément de travail aujourd’hui. Aussi, tu as dix minutes. » Argh, cet air de c**, des baffes et des baffes se perdaient à ce moment même. Si elle ne s'était pas fait la promesse de rester zen pour passer un bon séjour avec sa nièce elle lui aurait sauter à la gorge comme une sauvage. « Oh James » Elle se leva du siège et avança lentement vers son bureau ou elle posa ses deux mains, se penchant en avant « Arrête voir de prendre un air si sérieux, ça ne te va pas du tout crois moi. » Elle posa son derrière sur le rebord du bureau et croisa ses jambes « En fait, je suis venue t'annoncer une excellente nouvelle. J'ai pris la direction de mon magasine également à.. San Francisco. ». Elle lui jeta un regard et lui fit un grand sourire. « Ça te fait plaisir j'espère ? ».

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Je lui manquais. Ca, c’était la meilleure. Si je n’étais pas aussi gentleman, je lui aurais sans doute renvoyé la balle avec un tant soit peu plus de cruauté dans la voix. Mais je n’étais pas de mauvaise humeur, malgré sa présence dans mon bureau, ce matin-là, ce qui contribua grandement à mon calme apparent. Lorsqu’elle se pencha en avant, malgré le ressentiment que j’avais pour cette femme, je n’étais qu’un homme. Mes yeux avaient dévié. Bien loin de croiser son propre regard, ils étudiaient sa plantureuse poitrine. Je pensais à Maëlle. Je l’aimais, croyez-moi. Mais Kitty et moi, c’est une longue histoire. Ce n’était pas du plaisir que d’admirer ses seins, quoique même un moine aurait eu du mal à détourner les yeux, mais plutôt l’envie de lui déplaire en jouant les salops de service. Même si je m’étais montré discret lorsque je la contemplais. L’habitude sans doute. La discrétion faisait partie intégrante de mon caractère. Dans ce métier, ce n’était pas très étonnant. « C’est ça. » ne puis-je que lui répondre en fronçant les sourcils. Que voulait-elle enfin ? Allait-elle finir par m’annoncer l’objet de sa venue ou devrais-je attendre que les poules aient des dents – ou que mes nerfs ne lâchent – pour enfin le savoir ? « En fait, je suis venue t'annoncer une excellente nouvelle. » « Tu t'es enfin décidé à cesser de me gâcher la vie en sortant de mon bureau et en me faisant tes plus plates excuses ? » Quoi ? On ne peut même plus plaisanter, de nos jours. « Ah. Félicitations. » Je n’en pensais rien. Je n’avais même pas relevé le nez de mon journal. « Rien n’aurait pu me faire plus plaisir. En quoi cela me concerne ? » Elle pouvait tout aussi bien m’annoncer qu’elle avait décidé d’élever un élevage de poules que je n’aurais pas eu l’air plus surpris que cela.

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Pourquoi tant de haine me direz-vous? C'était comme ça, ça ne s'expliquait pas la situation entre les deux adultes n'avait jamais bougé. A force, cela devenait une sorte de jeu, sacrément sadique même. Kitty était tout simplement l'opposé de James, bien qu'elle le détestait elle mettait toujours une petite touche d'humour ou d'ironie dans ses paroles. Lui, renfermé, grognon jamais agréable. Elle soupira restant penché au dessus de son bureau, le regard fixé sur le milliardaire. « Tu t'es enfin décidé à cesser de me gâcher la vie en sortant de mon bureau et en me faisant tes plus plates excuses ? ». Aaarg ! Il ne changera donc jamais, cette humour noir qu'elle n'arrivait pas à cerner. Elle secoua négativement la tête, pas cette fois ni même jamais. Lorsqu'elle lui annonça qu'elle restait à San Francisco. Aucune réaction. Malheureusement ils allaient bien falloir qu'ils communiquent puisqu'elle aller profiter de ce moment prés de sa nièce pour la voir un maximum. « En quoi cela me concerne ? » Le plus dure n'était pas encore passé. Le nom de Louna n'avait pas été prononcé, James n'avait pas encore explosé. Elle continuait à demander la garde de sa nièce mais elle en parlait moins, de toute manière ça ne servait strictement à rien de parler avec cet homme. Il ne sait même pas qu'il a un fils quelque part qui le cherche et qui va mettre Kitty dans une belle m*rde si il le trouve. « Maintenant que je suis sûr place, j'aimerai que tu me confis Louna un ou deux jours dans la semaine. Ça lui ferait du bien. » Il n'avait jamais apprécier la relation qu'entretenait Kitty et sa fille, mais elle existait et elles étaient réellement proche. La petite lui manquait et elle était sûr qu'elle lui manquait également. Elle n'arrivait pas vraiment à savoir ce que James allait bien pouvoir lui répondre.

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Ah, c’était donc ça. Je ne quittais pas le dossier que j’avais sous le nez des yeux. L’indifférence est la plus jouissive des tortures. « Laisse-moi réfléchir… » Trois. Deux. Un … « C’est non. » Quoi ? Ne me dis pas que tu t’attendais à une réponse positive de ma part ? Depuis le temps, tu devrais me connaître, Weiss. « Je n’ai pas l’intention de laisser ma fille à la femme qui cherche à avoir sa garde depuis plus de 7 ans, je regrette. » Tu parles ! Un chat qui aurait avalé une souris aurait plus de regrets que moi. « C’est tout ? » On peut terminer l’entretien ? J’ai beaucoup de boulot. Il y eut quelques minutes de silence, évidemment. Minutes qui me permirent de réfléchir. Malgré la haine que je ressentais pour Kitty, je n’avais pas le droit de priver ma fille de la seule famille de sa mère qu’il lui restait. C’était égoïste et malsain. Surtout que j’ai l’espoir de regagner un jour, l’affection de mes ‘beaux-parents’, et que l’aide de leur fille pourrait bien m’être utile à ce sujet. Je devais donc la caresser dans le sens du poil, si l’on peut dire. Tant qu’elle ne sortait pas les griffes … « Bon, très bien, mais à une condition. Deux jours, pas plus, et elle doit prendre le lit avant 22h, et pas de sucres avant de se coucher. Et ne lui mets pas encore dans la tête qu’elle serait bien mieux avec sa tatie Kitty, je te préviens. Je t’aurai à l’œil. » grognai-je à son intention. Cette fille était à surveiller comme de l’eau sur le feu. Plus imprévisible que moi, et aussi traîtresse. « Au fait, tu as quelqu’un en ce moment ? » Non, loin de moi l’idée de me montrer curieux, rassure-toi. Ta vie m’intéresse autant qu’un cours de philosophie sur la bêtise humaine. Il y a trop à en dire pour pouvoir s’y accrocher. C’est surtout que je n’avais pas envie de voir l'idiot de service – parce que naturellement tous les hommes qu’elle côtoyait étaient soit fous, soit aveugles – tourner autour de ma progéniture.

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Honnêtement, elle savait à l'avance ce qu'allait lui répondre James avant même qu'elle n'est posé la question. Mais qui ne tente rien n'a rien n'est-ce pas? Au yeux de la loi, et officiellement elle n'avait absolument aucun droits sur la petite. Elle pouvait taper du pied autant de temps que ça lui plaisait si Monsieur le milliardaire disait non, à part lui arracher les deux yeux, elle serait obligé de s'y tenir. L’enlèvement de sa nièce ? Une possibilité, ou pas. Cette situation la rendait malade, verte, jaune, bleu enfin tout ce que vous voulait. Elle ne réagit même pas au "Non" de James, quel crétin ! Il ne pensait donc jamais au bonheur de sa petite fille mais bien qu'a sa propre personne. Évidement il agrémenta sa réponse du fait qu'elle tentait de lui arracher la garde de sa fille et tout le blabla qui s'en suit. La blonde leva les yeux au ciel, exaspéré par cette situation. Je ne vous cache pas que parfois, genre là, elle lui balancerait bien en pleine tronche qu'il avait aussi un fils. Et qui plus est avec le diable en personne comme il dit si bien. Arrêt cardiaque immédiat, ou peut être le meurtre de Kitty avant pour lui avoir cacher un détail aussi important. Elle allait tourner les talons et partir tout simplement. « Bon, très bien, mais à une condition. Deux jours, pas plus, et elle doit prendre le lit avant 22h, et pas de sucres avant de se coucher. Et ne lui mets pas encore dans la tête qu’elle serait bien mieux avec sa tatie Kitty, je te préviens. Je t’aurai à l’œil. » Lisait-il dans les pensées ? Elle se retourna brusquement et arqua un sourcil en le regardant. Il avait l'air plutôt sérieux. Lentement elle se rapprocha à nouveau de son bureau, qu'est ce qu'il manigançait? Enfin, pour le moment elle avait eu ce qu'elle voulait. « A vos ordres chef..» murmura t-elle, un petit sourire au coin des lèvres. Quoi? Si elle avait eu quelque chose en bouche à ce moment elle se serait probablement étrangler avec. Là, il l'avait prise de court. Elle secoua négativement et brièvement la tête. Que cherchait-il à la fin?Aussi sournois qu'elle, Kitty ne se sentait jamais complétement sûr d'elle à 200% en sa présence bien qu'elle ne le laisse pas paraître. « Tu me surprendras toujours O'Malley ».

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Cette situation ne m'amusait pas du tout. Oh biensûr, Kitty elle, en riait, forcément, puisqu'elle s'amusait toujours à essayer de me faire tourner en bourrique dès que l'occasion se présentait. Au moins là, elle était prévenu. Je l'aurai à l'oeil, et le bon. Si jamais elle s'avisait de mettre encore des idées de ce genre dans la tête de ma fille, je la ferai cuire en steak tartare. Sauce ajoutée, s'il vous plait. « Humm, un compliment ? » Etrange et suspect venant de cette femme sans foi ni loi. « ...ou tentative désespérée de me soudoyer. Inutile, tu n'obitendras rien de moi, quelque soit la chose que tu souhaites obtenir d'ailleurs. » Parce qu'avec Kitty, aucun compliment n'était donné sans rien obtenir en échange. Enfin, c'est ce que moi, j'avais toujours cru en tous cas. « A quelle heure est-ce que tu veux que je dépose Louna ? » Oui, c'est moi qui l'emmènerais. Pour savoir où tu loges et pouvoir, une fois ma fille retournée au château, bombarder ta maison de missiles.

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» Moi, la forêt et...euh toi?! [PV Kitty]
» « Le diable s'habille en prada. Il est même de souche royale, si si, j'te jure. » || Aloysia
» THINK OF ME AS YODA, ONLY INSTEAD OF BEING LITTLE AND GREEN, I WEAR A SUITS AND I'M AWESOME • VRAYLLAN
» rowen-glaswell² ✗ shup up, i wear heels bigger than your dick.
» Rencontre. [ PV Kitty ]

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