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| today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS | |
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Auteur | Message |
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Kevin F. Tatcher there's no place like berkeley › prénom, pseudo : alo. › date d'inscription : 10/11/2012 › nombre de messages : 11001 › disponibilité rp : cinq sur six ( o p e n ) › avatar : zefron
| Sujet: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Lun 19 Nov - 22:06 | |
| paradise feat aleyna-kaitlyn forzwood Cela faisait déjà quelques temps que je sentais Aleyna pas vraiment dans son assiette. Je ne sais pas comment vous dire, mais ça faisait déjà quelques jours que je ressentais le besoin d’être là pour elle, à ses côtés. Tout simplement lui montrer que j’étais présent. Que j’étais un véritable ami et qu’elle pouvait compter sur moi. Je suis comme on pourrait dire un nounours, un mec vieux jeu. Alors de un, je suis hyper romantique une fois amoureux. Je suis loin de draguer ou faire du mal aux filles. Je les respecte trop pour ça. Mais cela, Aleyna devrait le savoir. Bon, ce n’est pas parce que je suis romantique que je ne peux pas coucher juste comme ça. De nos jours, pour survivre dans ce monde, il faut vivre ainsi. Les mecs sont tous des salauds et les femmes aiment ça. Même si j’essayais d’être comme eux, je n’y arriverais pas, ce n’est pas dans ma nature. Limite si je couche avec une fille c’est avec une amie. Une amie avec qui je saurais que ça rien ne la blessera, ou me blessera. Je ne vais pas aller dans un bar et me faire la première venue. Oh mon dieu, non. Je préfère encore le faire avec une personne connue. Autant je peux faire connaissance dans le bar, mais je ne suis pas celui qui couche dès le premier soir. Quel spécimen suis-je donc ? Moi-même je me le demande, même si je suis fière de l’homme que je suis. Certes, ma personnalité ma valu d’être cocu, mais on doit tous passer par des erreurs, des obstacles pour poursuivre sa vie. Ce n’est pas cette fille qui allait tout gâcher. Certes, pendant des mois, exactement sept, j’ai été hyper mal. J’ai éternellement amoureux d’elle. Elle m’a tout simplement trahi. J’étais seul. Je n’en ai parlé à personne, excepté ma sœur. Bref. J’avais prévu d’emmener mon amie au zoo. Au Zoo ? Mais pourquoi là-bas ? Car je veux voir les animaux, passer un bon moment avec Aleyna, mais surtout lui montrer où elle pourra emmener plus tard son futur enfant. Et même peut-être que dans quelques temps on y retournera, mais pas seulement à deux, mais à trois. Oh oui ça serait génial. Ce que j’ai pu avoir une extra bonne idée. Avant de sortir n’importe où que ce soit, je fais toujours attention à ce que je porte. J’aime avoir un certain style, mais surtout une classe, tout en restant dans la simplicité. Je ne voulais pas non plus me faire trop beau. Bien que j’adore Aleyna, vraiment beaucoup, ce n’était pas encore pour elle que je réservais mes plus belles tenues. Je renfilais donc un tee-shirt gris, plus un slim. Les pantalons que je mets le plus souvent. Ils mettent mes fesses en valeurs, et puis enfin de compte toutes mes jambes qui sont tout de mêmes assez fines pour un mec. En gros, les slims me vont très bien, point barre. Je sais me mettre en valeur, et j’adore ça. J’étais sur le point de mettre mes baskets Nike mi haute couleur fauve, lorsque je me rendis compte que ça n’allait pas du tout avec mon tee-shirt. Quel faute de débutant. Si seulement vous voyiez mon dressing, tel celui d’une femme. Et toutes les paires de chaussures que je possède… Je replaçais donc cette paire pour en prendre une autre : une paire de Lacoste grise. Voilà maintenant j’étais parfait. Me manquait plus qu’une seule chose, une veste ou manteau. Je me décidai pour une veste en jean. Je pouvais enfin retrouver ma petite Leyna. J’avais vingt minutes pour être au Zoo. Oh j’étais callé. J’avais rendez-vous avec une fille, elle-même serait peut-être un peu en retard, mais en bon gentleman, je fis de mon possible pour être tout de même à l’heure, voire même en avance. Le temps de pouvoir prendre les tickets, ainsi lorsque ma belle arriverait, elle n’aurait pas à attendre. J’arrivais avec dix minutes d’avance. Qui c’est le boss ? Il n’y avait que quatre personnes dans la queue. Ce que je pouvais en avoir de la chance. Une fois les tickets en main, je me mis à l’attendre. Une fois que je l’aperçus, je souris. Je vins à sa rencontre, l’enlaçai et lui baisa le front. « Comment vous allez ? » Non non je ne la vouvoie pas, mais je parlais d’elle et du bébé. C’est ce que je faisais depuis qu’elle m’avait annoncé la nouvelle. En lui montrant les deux tickets en main, je lui dis « j’ai hésité à en prendre trois, je ne savais pas s’il comptait déjà comme une personne » Bien sur que si je savais que non, mais bon je dis toujours des bêtises. code par (c) eylika. photo de we heart it. |
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| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Mar 20 Nov - 21:25 | |
| Lucas éè Aleyna Il y a quelques semaines maintenant, ma petite avait été malade, elle avait eu la grippe et j’avais énormément eu de mal à faire face. Une grippe ce n’est rien, oui pour les personnes n’étant pas malade. Elle, étant atteinte d’une leucémie, une simple et bénigne maladie peut se transformer en maladie ‘mortel’. Oui on ne devait prendre aucuns risques, j’ai bien dis aucuns risques. Cela faisait une semaine et demi qu’elle est à l’hôpital et que je passe mes journées entre l’université, mon rôle de doyenne des sigmas, et l’hôpital pour la voir. Rien de préoccupant mais je ne voulais pas qu’elle reste à la maison. Protectrice ? Oui certainement un peu trop des fois. Tant pis.
Enfin un jour pour moi, un jour où je n’allais pas aller à l’université, où j’allais me changer les idées. J’avais un rendez vous pour une écographie et pour savoir le sexe de mon enfant, une étape assez importante dans une grossesse pas vrai. Je savais qu’après ce rendez vous j’allais voir Lucas, mon ami depuis 3ans et quelques patates. En 3ans il m’avait vu tant évoluer, je me demande encore quelle image de moi il préférait. C’était flou encore pour moi à ce moment même. Il m’avait connu en tant que simple étudiante à Berkeley et étant donné que je parlais le français j’avais pu l’aider à s’intégrer et tout ce qui s’en suivait. A l’époque j’étais en couple, heureuse et amoureuse. Notre relation était purement amicale et puis…un an et demi après, mon petit ami nous quitta à cause de sa leucémie. Et à partir de là tout bascula puisque je commençais à sortir, et à faire la fête tous les weekends…puis je mettais rapprochée de Lucas, physiquement parlant. Oui nous nous entendons bien, nous adorons passer du temps ensemble, d’ailleurs je parle pour moi. J’aime énormément lui parler, lui raconter ce qu’il se passe dans ma petite vie, et autant dire qu’il est toujours là pour moi, pour me donner un coup de pieds au derrière quand ça ne va pas. D’ailleurs à l’annonce de ma grossesse, je ne fus pas déçue de sa réaction, mais j’aurai pu attendre pire tout de même. J’avais un léger sourire au coin des lèvres, alors que j’étais assise dans la salle d’attente du gynécologue, une main sur mon ventre. Quelques minutes après me voilà allongée pour enfin entendre le cœur de mon enfant battre, et le voir en 3D quand fus la question fatidique. « Voulez vous savoir le sexe de votre enfant ? » j’avais mis quelques longues secondes interminable avant de lui répondre. Je mettais déjà posé la question durant des jours, mais je n’avais jamais eu une réponse digne de ce nom. Voulais-je le savoir ? J’avais deux possibilités, oui et non mais ce n’est pas simple de laisser une réponse sortir de ma bouche. Je regardais mon ventre avant de dire doucement. « Je ne préfère pas le savoir, la surprise…c’est toujours mieux. » en faite je savais pertinemment que si c’était une fille j’allais faire le rapprochement avec Maëlysse et si c’était un garçon…à Keyon, mon défunt petit ami. Autant attendre un peu, le temps que j’accepte encore un peu plus ma grossesse. Au début de ma grossesse, je ne voulais pas de cet enfant mais j’avais accepté cet enfant, mon enfant, pour le meilleur et pour le rire, surtout.
Je ne mis pas énormément de temps avant d’arriver au zoo, bien que je sois un peu en retard, dû à celui du gynécologue. Je vis au loin Lucas, et j’avais le sourire sur mon visage et puis une fois à sa hauteur il me prit dans ces bras, et c’est fou comme je pouvais me sentir en sécurité quand il le faisait…y compris pour ce baiser sur le front, tel un frère protecteur. Oui c’est un peu ce qu’il représentait pour moi, à mes yeux, bien que notre amitié soit différente puisqu’il nous arrivait de passer dans le lit de l’un et de l’autre relativement souvent. Une amitié sans retenue et prise de tête. Le pied à mes yeux, et ce n’est pas qu’un jeu de mot. « On va bien, on arrive de chez le gynécologue et tout va bien. Et toi comment tu te porte ? » J’avais mis doucement une main sur mon ventre, comme à mes habitudes. Je savais qu’il était un peu inquiet pour moi, et le faite que j’avais du mal avec le vide dans mon cœur vis-à-vis de Keyon, et il savait aussi que j’avais peur pour cette grossesse…de ne pas être à la hauteur toute seule. Ce qui est normal, j’ai 20ans j’ai une fille de 9ans à ma charge, je suis enceinte, je suis à l’université et j’ai un avenir professionnel et…je suis seule. Comment ne voulez vous pas que je doute à un moment donné ? Mais je ne me plains pas, je n’ai pas le droit de le faire. Bien que. « Le cirque c’était deux rues plus loin, Luke. » Je lui fis un large sourire et puis, toujours dans ces bras, je lui déposais un baiser sur sa joue avant de passer ma main sur son bras avant de commencer à marcher. « Alors prêt pour aller voir les éléphants ? Je sais que tu adore ces animaux. » Mon dieu, il me l’avait dit une fois et vu la mémoire ‘’d’éléphant’’ que j’ai, il n’allait pas être sortit de l’auberge aussi rapidement qu’il ne l’aurait pu envisager. Nous nous dirigions vers l’entrée, mais j’étais quand même assez gênée car je n’avais pas l’habitude que l’on me paye des choses, et j’allais trouver de quoi faire pour le remercier. Mais je cherchais encore. Nous voilà entrés dans le parc du zoo, ma main toujours sur son bras. Oui on aurait pu croire que nous étions un couple mais…non. « Comme je sais que tu adore ce genre de bête, je te prendrais en photo avec, histoire que ta journée soit réussite. Vraiment réussite. » Je laissais sortir un petit rire de ma bouche. L’embêter ? j’adore le faire et ce avec tous mes amis. Puis je sentis un coup sur mon ventre, une contraction ? NOOONN, of course, juste mon bébé qui bougeait et me donnait des coups de pieds. Je souriais avant de m’arrêter et de mettre ma main sur mon ventre. « Whoo, je crois qu’il aime déjà le zoo. » Je ne savais pas si c’était une fille ou un garçon mais ‘’il’’ était le pronom le plus approprié, je pris sa main doucement avant de dire doucement. « si tu veux poser ta main…tu peux. » Non je n’étais pas difficile sur ce plan là, j’adorais même partager ce genre de chose avec mes amis proche, et il en fait partit. Énormément et sincèrement. |
| | | Kevin F. Tatcher there's no place like berkeley › prénom, pseudo : alo. › date d'inscription : 10/11/2012 › nombre de messages : 11001 › disponibilité rp : cinq sur six ( o p e n ) › avatar : zefron
| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Mer 21 Nov - 14:37 | |
| paradise feat aleyna-kaitlyn forzwood Au vu de ma personnalité, lorsque je suis en couple, je suis un des meilleurs petit ami que l’on peut s’offrir. Idem pour l’amitié. Toujours là pour les gens que j’aime, les gens comme Aleyna, qui comptent énormément à mes yeux. Pour ces personnes, je ferais énormément de choses. S’ils ont besoin de moi alors que je suis déjà en train de faire quelque chose, quelque soit la chose, je serais là pour eux. Je suis fidèle dans tous les cas. Certes, je suis l’ami parfait (encore plus parfait pour ma petite Leyna car je lui procure de temps en temps des orgasmes, mais ça ce ne sont que des détails), il m’arrive tout de même « d’oublier » les rendez-vous tel que le gynécologue par exemple. Dès qu’elle en parla, j’y repensais. Elle m’en avait parlé, d’ailleurs c’était même un des rendez-vous le plus important lors de la grossesse : si elle souhaitait elle pouvait savoir, enfin, quel sexe aura son enfant. Il y a encore quelques jours, elle était indécise sur le fait de savoir ou laisser la surprise. Bon, cette fois-ci, c’était à moi de savoir. Qu’avait-elle enfin décidé ? Franchement ? J’étais trop curieux, si la décision ne tenait qu’à moi, j’aurais pris le choix de savoir, mais il est vrai que c’est aussi cool de le savoir qu’au moment de l’accouchement. Mais va acheter tous les vêtements, va faire la chambre sans savoir. Allez, pourquoi je me dis tout cela alors que je n’ai aucune part de décisions dans ses choix, à part être un très bon ami, je n’ai aucun droit à faire des choix avec elle. « Ah oui c’est vrai. Alors tu as décidé quoi ? » Et c’est avec un énorme sourire que je lui posais cette question. J’aurais pu l’accompagner, mais lorsqu’elle m’en avait parlé pour la première fois, j’avais déjà quelque chose de prévu à cette heure là. Dommage. J’imagine que ça fait toujours du bien, pour une femme, d’être accompagné dans ces moments-là. Et là, ma chérie avait été seule. Enfin, non pas complètement seule. « Comment je me porte ? Comme toi non ? Sur mes pieds ! » Oui bon, je sais que c’est nul, mais j’aime faire voir la stupidité des expressions des fois. « Se porter » pour dire « comment ça va ». Euh ouais ok. « Non sérieusement, bah je vais bien. Mais je m’en veux de t’avoir laissé y aller seule. Promis, je me rattraperais. » Lorsque certaines personnes disent cela, elles ne le pensent pas vraiment, mais moi, Aleyna savait qu’elle pouvait vraiment compter sur moi. Mes paroles ne vont pas en l’air, comme nos parties de jambes. Non mais oh, je lui en fous du cirque moi. Ah quoique non, parce que si elle a dit cela c’est parce que j’ai un humour de clown. Cool, je les adore eux. Plus petit, je trainais très souvent avec un ami à mes parents qui était clown. D’où, surement, cet humour un peu décalé, que les gens ne comprennent pas tout le temps. « ♪ J’ai un gros nez rouge, deux traits sur les yeux… ♪ » Une petite chansonnette que l’on chante pour les enfants. Que moi-même petit je chantais lorsque j’étais très jeune. Même en étant animateur pour les enfants, il m’arrive d’être encore plus immature qu’eux. Ce que c’est bon de garder son âme d’enfant. Malheureusement, je ne connaissais pas de chansons sur les éléphants. Par contre j’adore Dumbo. « Oh oui, allons voir Dumbo ! » Aleyna avait beau essayer de m’embêter avec ça, elle n’y arriverait pas car j’assume totalement, du moins en sa présence. J’aime les éléphants, et alors ? C’est un animal comme un autre ! D’ailleurs j’ai envie d’aller dans les pays où on peut monter sur leur dos. Un petit rêve de gamin que j’ai gardé en moi. « Trop aimable miss Forzwood. Et après la photo je la mettrais en gros, l’encadrerais et la poserais juste au dessus de ta tête de lit. Comme ça, tu ne pourras que faire de très jolis rêves, crois moi.» Notre visite se continuait. Autour de nous, il y avait presque que des parents avec leurs enfants. Nous deux, on faisait un petit peu tache. A moins qu’on nous prenne pour un jeune couple bientôt parents et qui visitent où ils pourraient allez plus tard avec leur enfant. Alors déjà qu’on se promenait bras dessus-dessous, elle n’hésita pas à prendre ma main, en me disant que je pouvais toucher. Alors là j’avoue qu’elle me prenait de court. Moi qui ne suis pas facilement mal à l’aise, je l’étais à ce moment-même. Mes yeux s’arrêtèrent dans les siens. Je n’osais pas. Mais je n’allais surtout pas lui dire non. Ma main resta dans la sienne, durant un long moment. Je dirais quatre longues minutes. Quatre longues minutes où aucun de nous deux ne dit rien. On s’était arrêté devant les singes. D’ailleurs, il y eut un macaque qui vint nous regarder. Pour détendre un peu l’atmosphère, j’osais dire « Je crois qu’il apprécie la scène. » Et enfin de compte, je laissais ma main dans la sienne, sans pour autant la poser sur son ventre, et l’emmena voir les félins. code par (c) eylika. photo de we heart it. |
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| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Mer 21 Nov - 19:02 | |
| Lucas éè Aleyna Être en compagnie de Lucas me faisait du bien. Oui bon j’avais quelques coups de moins bien, relativement souvent en ce moment. Hormones ou pas hormones, je n’en savais rien, mais j’aimais bien dire que c’était de leurs fautes, c’est toujours plus simple pour éviter un sujet que nous ne voulons pas aborder. Des coups de moins bien que j’oubliais quand j’étais accompagné de mon ami. Mon ami qui savait toujours me rendre le sourire même dans les pires moments, il avait toujours le mot pour faire rire, toujours une remarque, une blague…oui je n’avais rien à dire sur ce sujet là. Loin de là ! Parfait à mes yeux, enfin sur ce point là, il ne fait pas abuser non plus. Bref, regardant mon ami dans les yeux je souriais légèrement avant de grimacer. « Je n’ai pas voulu savoir si j’attendais un garçon ou une fille…» En faite je ne savais même pas pourquoi je ne le souhaitais pas, mais ce n’était pas une décision que j’aimais prendre, j’aurai aimé en parler avec le père de cet enfant...c’est un sujet à parler à deux normalement, mais là ce n’était pas le cas. N’oublions pas que cet enfant est le fruit d’une folle nuit à deux, avec un simple ami…A croire que ça aurait aussi pu arriver à Lucas (aa) mais non. Heureusement pour moi, je ne voulais pas le perdre, il était bien trop important à mes yeux pour le voir partir. Il y a certaines personnes comme ça qui nous marque, et donc que l’on ne veut pas perdre, il en fait tout simplement partit. Je le regardais encore avant de rire doucement, pas fort, je ne voulais pas que l’on me prenne pour une imbécile…mais comment être surprise face à ces petites phrases…Il était blagueur de naissance, je crois bien. « Tu sais ce n’est pas grave pour le rendez-vous au gynécologue, la preuve…ce n’était pas insurmontable, je suis toujours vivante. » puis je souriais de plus belle, oui c’est vrai que j’aurai bien aimé qu’il vienne avec moi mais, n’était-ce pas une épreuve, une étape à vivre en couple ceci ?! Donc au fond, était-ce mieux qu’il ne soit pas venu ? Peut être…puisque les choses sont, normalement, bien carrées entre nous. Une amitié rien de plus, même si on ne peut pas se battre contre d’autres sentiments, mais je ne pense pas.
Être en couple n’était pas réellement mon envie du jour, car oui depuis la disparition de mon petit ami je n’avais jamais pensé à me remettre en couple, et la personne qui allait faire chavirer mon cœur je pouvais déjà le plaindre…réellement. Mais ne pensons pas à ceci puisque la question ne se posait pas, enfin je crois. Je secouais très légèrement la tête pour me sortir de mes pensées avant de sourire de plus belle. « Hum, j’aurai bien continué la chanson mais…je préfère que tu garde la vedette. » oui je ne voulais pas me ridiculiser même si ce n’était pas ceci, pas réellement. Il aimait me faire rire, et faire rire tout simplement. Voulant lui faire la remarque, je repris doucement mais surement. « Et comme on dit : une femme qui rit à moitié dans ton lit. » Qui sait, si ça se trouve il devait faire rire ces partenaires avant de s’amuser sexuellement avec une partenaire. D’ailleurs, nous on avait pas besoin de ça pour s’amuser. Mais je ne dévoile pas plus nos petits secrets, ça restait entre nous, je n’allais pas parler de tout ça quand même. Enfin passons un peu ce sujet et dirigeons nous vers les éléphants, histoire qu’il retrouve ces amis de toujours. Les éléphants...sa grande passion en ce moment. Je souriais de plus belle quand il me parlait de la photo que j’allais lui faire en tout les cas. « Ohh pour assouvir tout mes fantasmes je suppose ? Tu sais que j’ai toujours rêvé d’avoir une photo de toi au dessus de mon lit…. ? » je le regardais sérieusement dans les yeux, enfin il me connaissait assez pour savoir que je rigolais bien, que pour la première question, non pas spécialement. Il le savait, et il savait aussi que j’étais ouverte à toutes propositions, en même temps autant s’amuser et prendre son pied de plusieurs façon…différente. « Pour être plus sérieuse, je dirai que je prendrai un malin plaisir à te prendre en photo tu sais…d’ailleurs depuis quand tu aime les éléphants ? et … pourquoi ? » Oui je me posais souvent cette question, enfin depuis que nous étions arrivés au zoo. Personnellement je n’avais pas d’animaux préférés, d’ailleurs j’en avais presque peur de certains, mais ça il le verra par lui-même quand on arrivera devant certains. Qu’il ne soit pas surpris si je me colle doucement mais surement, contre lui.
Trêve de plaisanterie. Alors que nous marchions je sentis des coups de pieds dans mon ventre, et je fus surprise au départ. Très rapidement je m’arrêtais pour mettre ma main sur mon ventre et puis j’avais aussi dit à Lucas qu’il pouvait profiter de ceci mais…en prenant sa main tout se passait autrement. Bizarrement, il gardait sa main dans la mienne tout en me regardant dans les yeux. J’avais pu remarquer qu’il a des yeux…magnifique, oui j’avais pu le voir en ces quelques minutes que l’on venait de passer, silencieusement…et puis j’avais baissé doucement mon regard vers sa main, enfin nos mains…et je souriais légèrement avant de froncer les sourcils. Je ne savais pas quoi dire…c’était étrange mais pourtant je ne retirais pas sa main de la mienne. Pourquoi dont ?! Je n’en savais rien. Étrangement je prenais quand même un certain plaisir à avoir sa main sur la mienne. Oui je suis tactile mais pourtant là c’est différent…très. A peine avais-je remonté mes yeux sur les siens que je me mordais doucement les lèvres, à la limite de rougir. Oui j’avais du mal quand on me regardait comme ça, j’avais l’impression que l’on lisait en moi comme dans un livre ouvert et ça me déstabilisais énormément, mais ça il dû le remarquer, je pense. Je respirais doucement, mais surement, tout en ne lâchant pas son regard puis il se mit à parler, et sans comprendre je laissais un simple « de ? » puis je tournais doucement la tête en voyant un singe et je souriais de plus belle. « Uniquement lui ? » après tout, peut être qu’il n’était pas le seul à avoir apprécié la scène…au fond, je n’avais pas été réticente donc oui j’avais aimé, enfin apprécié ceci. Et ça me mettais un peu mal à l’aise puisque je n’aimais pas être dans ce genre de situation…ces situations que je n’arrive pas à gérer, à comprendre et surtout à arriver à contrôler. Certaines choses ne se contrôlent pas. Puis toujours sa main sur la mienne on marchait…je n’avais pu m’empêcher de regarder nos main, discrètement, enfin c’est ce que je pensais ça, peut être qu’il m’avait vu, qui sait. Nous marchions dans le silence et je laissais un sourire se dessiner sur mon visage…au fond il était prêt à venir avec moi au gynécologue mais pas tellement pour poser sa main sur mon ventre…ce que je pouvais comprendre. Me toucher habituellement ça ne le mettais pas mal à l’aise, loin de là même. Quand nous passions des moments intimes ensemble il était très différent de maintenant, et pourtant c’était la première fois que je le voyais comme ça et ça me déstabilisais encore et toujours. Puis arrivant devant le parc des félins…je le regardais avant de serrer un peu plus sa main, doucement, je précise. « Je…» quand il me regardais je planta mes yeux dans les siens. « Je ne savais pas que tu avais les mains aussi…’douce’ , enfin pour un homme, je parle. » un petit sourire je fermais les yeux, je venais de dire n’importe quoi, mais qu’est-ce qui se passe là actuellement ?! Je secouais la tête avant de le regarder. « Hum…je dois être en manque de quelque chose, mais je ne sais pas de quoi, je dis n’importe quoi aujourd’hui. » je fis un large sourire avant de m’arrêter, et donc d’arrêter de m’enfoncer encore et toujours…plus profondément. |
| | | Kevin F. Tatcher there's no place like berkeley › prénom, pseudo : alo. › date d'inscription : 10/11/2012 › nombre de messages : 11001 › disponibilité rp : cinq sur six ( o p e n ) › avatar : zefron
| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Jeu 22 Nov - 17:33 | |
| paradise feat aleyna-kaitlyn forzwood Si l’enfant avait été de moi, je vous avoue que je ne sais pas du tout comment j’aurais réagis. On peut être des mecs biens, être les plus parfaits. Mais à notre âge, ça peut nous effrayer, et pour ne pas y faire face on préfère fuir. C’est compréhensible. Ah non, je suis loin de prendre la défense du père du futur enfant, mais j’essayais tout simplement de voir les choses de son point de vue. Si ça se trouve, j’aurais fais la même chose, qui sait. Mais de l’autre côté, si le mec tenait un minimum à la brunette, il serait resté à ses côtés, au moins pour montrer sa présence. Rien ne l’oblige à reconnaitre l’enfant, mais le fait d’avoir mit Aleyna enceinte l’obligeait à reconnaitre sa part de responsabilité. Franchement, le mec peut me remercier de rester là pour elle. Moi. Elle n’a jamais voulu me dire de qui il s’agissait. Et pourtant elle sait très bien que je suis le mec le plus pacifiste au monde. Ce n’est pas moi qui irais lui fracasser sa queue, car bon apparemment il ne sait pas trop en faire bon usage. Lui n’était pas là, et c’était moi qui était là en ce moment-même, à apprendre qu’elle avait prit la décision de ne pas le savoir tout de suite. Au pire des cas, elle pourra y retourner pour le savoir. Alors que si elle avait accepté aujourd’hui, elle n’aurait pas pu revenir en arrière. C’est qu’elle n’est pas si bête que ça la Sigma. Certes, elle était toujours vivante après ce rendez-vous mais quand même. Apparemment, elle voulait que je continue la chanson. Elle me laissait la vedette, ce qu’elle peut être mignonne. « ♪ Un chapeau qui bouge, un air malicieux… ♪ » Pauvre futur nouveau né, il ne va pas assumer avec toutes les petites chansons que je connais. Si seulement elle le garde. Ce choix lui est totalement réservé. « Ah ouais c’est vrai qu’on ne l’a jamais fait dans mon lit. Faut y remédier un de ces jours, nuits. » Lui lançais-je avec un clin d’œil. Ce que je pouvais aimer jouer avec les mots. C’est un de mes passe-temps favoris. Et puis ça sort comme ça, tout seul, sans même que j’y pense une seule seconde. L’expression « tourner sa langue sept fois avant de parler » est faite pour moi, avec toutes les imbécilités que je sors, ah je vous jure. Je dis des conneries, mais la Belle n’est pas mieux comme moi. En parlant de photos, elle se mit à me parler de ses fantasmes. Non mais sérieusement quoi. Toujours très ouverte cette fille, surtout avec moi. Et ouverte dans tous les sens possibles. Eh ouais, je suis de ce genre-là aussi. Romantique mais je reste tout de même un mec. « Ouais enfin si je mets une photo avec un éléphant je pense que ça va tout casser. Je t’en mettrais une de moi nu et dans une certaine position, là tu vas jouir tous les soirs en allant t’endormir. » Excusez-moi pour les expressions, mais elle m’a lancé aussi. Il ne faut pas me lancer moi. Elle m’a parlé de ses fantasmes, ça ne peut que m’amener certaines images dans ma tête. De très bonnes et sexy idées. On s’est calmé depuis sa grossesse, mais si j’avais l’occasion de le faire pendant ces neufs mois de grossesse, je n’hésiterais pas. Pour moi, elle restera la jeune fille avec qui je le fais de temps en temps. Pourquoi pas le faire quelques heurs avant l’accouchement ? J’ai entendu dire que ça facilitait l’accouchement. Si ça peut l’aider, je ne vais pas dire non. Ouais bon ok, j’arrête de parler de ça. Parlons éléphants. Je souris à sa question et je décidai de lui répondre d’une certaine façon « ♪ babar, babar, mon petit gentil éléphant, babar, babar, toi qui est l’ami des enfants… Tu veux que je continue ? ♪ » Et moi qui ne sait pas chanter, détestant ma voix, j’y vais avec le chant en compagnie de miss. Mais Babar quoi. Ce n’est pas comme si j’avais une peluche babar. Et puis il y a aussi Dumbo, le premier Disney devant lequel j’ai pleuré étant pleuré. Non mais voilà quoi, j’adore les éléphants depuis ma plus petite jeunesse. Franchement, pour un petit moment au Zoo, on ne s’ennuie pas. Le zoo, endroit qui est normalement fait pour les enfants. Normalement, je dis bien. Car ouais, il peut s’agir d’un bon endroit pour, bah euh. Non rien oublier. Cette fille me perturbe, mais dans le bon sens. Elle me perturbe et pourtant j’ai envie de rester en sa compagnie, voire ce que cette journée va nous apporter. Moi-même je me perturbe, tout autant que je la perturbe. Nous nous perturbons. Oulah, j’ai l’impression de faire de la conjugaison, ça va je m’en sors pas mal. Lorsqu’elle me demanda s’il n’y avait que le singe qui avait apprécié la scène, je ne compris pas tout de suite ce qu’elle voulait dire. Qui d’autre aurait pu apprécier ? Non vraiment. Peut-être que ça peut vous paraitre logique, mais moi je ne vois pas. Toute façon, il n’y avait que le singe qui nous regardait donc bon… Ce n’est pas que je voulais mettre fin à ce moment de bonheur, mais je décidais cette fois-ci d’aller rendre visite à Simba. Arrivés devant eux, je la sentis me serrer doucement la main. Je la regardais donc, lui demandant ce qui se passait. Si ça se trouve elle avait peur d’eux. Mais non, apparemment, ce n’était pas ça. Non, elle appréciait juste la douceur de mes mains. Que voulez-vous que je réponde à ça ? Surtout que je ne leur fais rien à mes mains. STOP. Faite pause. Elle venait de dire quoi ? Là je ne souriais plus. Je ne pourrais vous expliquer la raison, mais là, elle venait de déclencher quelque chose en moi. Je ne sais pas quoi, mais il y avait quelque chose qui avait fait tilt. De mon autre main libre, je lui caressai la joue, aussi doucement que pouvait être douce ma main. Je pouvais lire en elle qu’elle était totalement perdue, qu’elle ne savait pas qu’est ce qui lui arrivait. J’étais exactement dans le même cas. Elle, pouvait rejeter la faute sur les hormones, mais moi ? Ha mais sur les hormones aussi. Vous ne saviez pas ? Je suis enceinte aussi. C’est totalement normal que je vienne de lui déposer un baiser sur les lèvres, sans la langue pour le moment, et que je lui dise « Ce genre de manque là ? » Ouais c’est ça, ça doit être la faute des hormones, ou de Simba car n’oublions pas qu’on était devant eux. code par (c) eylika. photo de we heart it. |
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| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Jeu 22 Nov - 19:54 | |
| Lucas éè Aleyna Non, en venant ici je ne savais pas du tout ce qui m’attendait. Enfin, je savais que j’allais retrouver mon ami, que j’allais passer une super après midi, et surtout avoir le sourire aux lèvres comme j’avais l’habitude de faire avec lui. De toute façon si je n’avais pas le moral, il avait toujours ces quelques blagues pour me faire rire ou plus exactement sourire. C’est un peu sa façon à lui, de me faire sentir qu’il tient moi, sans pour autant jouer au chamallow. C’est vrai que j’aime bien savoir ce que l’on pense de moi, mais avec lui ce n’est pas pareil…On s’est connu alors que j’étais en couple donc il m’avait connu sage et surtout une fille qui croque la vie à pleine dent…En réalité, il a connu les deux facettes de ma personnalité, et là c’est la plus ‘glauque’ que je puisse lui offrir puisque je me fous de tout, que je couche avec tout ce que je peux et surtout...MAIS n’oublions pas le sujet de départ : la démonstrations de sentiments. Des siens envers moi. J’ai pris l’habitude de toujours dire ce que je pense…de peur de ne plus avoir le temps pour leur dire. On ne sait jamais de quoi sera fait le lendemain. Quant à lui, le voir toujours aussi proche de moi après de nombreux mois à mes côtés et de nombreuses fois dans le même lit…Oui on pouvait parler d’amitié, et j’en étais heureuse. Entièrement. Enfin j’essayais de ne pas me perdre dans mes pensées afin de ne pas perdre le fil de notre conversation et surtout pour rester, psychologiquement, proche de lui, comme j’aimais ceci. Je l’écoutais chanter, encore avant de rire doucement et mettre doucement mon doigt sur ses lèvres. « Chutt…tu va faire fuir les enfants. » je fis un léger clin d’œil avant de retirer mon doigt et puis je le regardais encore une nouvelle fois dans les yeux, en même temps j’avais du mal à me détacher de ses yeux…c’est la seule façon d’arriver à percer le vrai visage d’une personne, de pouvoir lire dans ces pensées, dans son âme…de le mettre à nu, dans un certain sens. Puis que tout le monde sait que je n’ai pas besoin de ça pour le mettre nu, ce bel étalon. Arquant un sourcil je souriais mais je restais sérieuse, sans pour autant parler fort, ne voulant pas traumatiser des petites vieilles qui pouvaient passer à nos côtés. « Quand tu veux, tu sais que je suis toujours ouverte à ce genre de propositions…surtout quand tu me le propose. » Je souriais de plus belle, il n’y avait rien de bien choquant dans cette phrase mais ne sait on jamais, je ne voulais pas être la cause d’une crise cardiaque, non merci. J’étais toujours partante pour des parties de jambes en l’air…enfin appelons un chat un chat. D’ailleurs on ne parlait que très rarement de comment se déroulait ce genre de rapport entre nous mais on adorait en plaisanter un peu de temps en temps, et je crois que nous sommes tombé dans ce jour là. Celui où nous n’allons qu’en parler, enfin…pas tout le temps. La preuve avec la suite. Un large sourire sur mon visage, je le regardais avant de secouer la tête. « Je préfère prendre mon pieds physiquement parlant, plutôt que face à une photo…seule, si tu vois ce que je veux dire. Un partenaire est toujours plus apprécié, enfin chez moi en tout les cas. » C’est vrai que je n’étais pas une habitué de ce genre de situation surtout avec des jeux en plastique que certaines femmes utilisent, d’ailleurs je n’aime pas ça, mais ne parlons pas de ma libido, à la limite on s’en fiche un peu non ?! « Je suis même sûr que tu préfère que ce partenaire soit...toi, je me trompe ? » En faite je n’en savais rien, il ne s’était jamais plain de ce genre de rapports entre lui et moi mais il faut une première fois à tout non, et puis c’était l’occasion de savoir ce qu’il pensait réellement de ça entre nous. Une simple question sur l’éléphant et le voilà partit dans ces petits délires seuls. Oui ça me fait sourire, parce que je commence à le connaître et que bien évidemment, comme une blonde, je ne m’attends jamais à ce genre de réponse et pourtant je pourrais non ?! Hochant la tête je repris. « Je pense que j’ai compris que tu adore les éléphants depuis ton plus jeune âge mais sans vouloir t’offenser…tu devrai travailler un peu ta voix, avant de faire peur aux enfants. » Je le taquinais un peu certes, mais heureusement qu’il n’avait pas le rêve de percer dans la chanson, sinon il pouvait déjà faire une croix voir plus, sur ce rêve. Dieu merci. Bref, voilà que tout ce que j’avais sur le cœur était entrain de changer.
Tout basculait en un seul claquement de doigt, enfin pas exactement, mais il fallut que je bafouille, que je m’embrouille dans mes pensées, dans mes dires et le voilà qui dépose sa main doucement sur ma joue, autre main que celle qu’il avait laissé sur la mienne…et quelques secondes après alors que je le regardais dans les yeux il déposa un simple baiser sans artifices. Je ne prolongeais pas ce baiser tout simplement parce que j’avais été prise de court et que je ne savais pas comment reprendre, pas comment interpréter, d’ailleurs…pour lui c’était surement un baiser ‘comme ça’ sans importance. Laissant ma main dans la sienne, je le regardais dans les yeux tout en appréciant sa deuxième main sur ma joue...d’ailleurs sa question me fis légèrement rougir, pas de là à ce qu’il puisse le voir physiquement mais il me connait assez pour savoir comment je réagissais quand on me parlait comme il venait de faire. Je passais doucement ma langue sur mes lèvres avant d’hocher délicatement mon visage et de dire à douce voix. « Oui..ça en fait partit, je suppose. » J’avais goûté qu’une seule fois à l’amour, et ce avec mon défunt petit ami et la présence d’un homme, dans ce sens là, me manquait c’est vrai, je ne pouvais pas mentir mais…c’était peut être encore trop m’en demander en ce moment. Puis de ma main libre je vins mettre cette dernière sur sa main qui était sur ma joue avant de la caresser de mon pouce et tout en le regardant dans les yeux, je pris mon courage à deux mains…« Je, enfin, pourquoi ce baiser ? » C’est vrai que ce baiser était complètement à l’opposé de ceux qu’il pouvait me donner, me procurer lors de nos début de relations. Il avait seulement déposé ces lèvres contre les miennes sans pour autant en faire trop et c’est ce qui me déstabilisait complètement, je ne savais même plus pourquoi il avait fait ça, pourquoi ce baiser, la signification...Qui a dit que je n’étais pas perdue à ce moment précis. Incompréhensible et pourtant si apprécié. Si je n’avais pas peur de le perdre, oui je lui aurais rendu ce baiser, oui j’aurai fais la même chose mais…je n’étais pas prête à mettre en risque cette amitié et de le perdre avec un baiser…bien que je savais pertinemment que si il m’en donnait un nouveau j’allais prolonger tout simplement et naturellement…J’étais plutôt bien dans mes pensées mais j’en sortis assez rapidement quand je sentis un coup au niveau de mon ventre. Je souriais avant de retirer doucement sa main de ma joue et de la déposer sur mon ventre, là où je pouvais sentir les coups et en regardant nos deux mains sur mon ventre je repris. « Je crois, que je ne suis pas la seule à avoir apprécié ce baiser.» Oui je venais de lui dire ce que j’avais pensé de ce baiser, et si il y avait un troue de souris j’y serai bien allée à ce moment, mais non je ne voulais pas me défiler, pas maintenant. Cependant je n’osais même pas remonter mon visage vers le sien, et je le laissais donc en bas pour regarder mon ventre avec un léger sourire. |
| | | Kevin F. Tatcher there's no place like berkeley › prénom, pseudo : alo. › date d'inscription : 10/11/2012 › nombre de messages : 11001 › disponibilité rp : cinq sur six ( o p e n ) › avatar : zefron
| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Ven 23 Nov - 11:20 | |
| paradise feat aleyna-kaitlyn forzwood Ce que je pouvais apprécier le contact qui existe entre nous deux. Non pas seulement celui qui se fait lors des actes sexuels. Mais aussi ceux qui se font très souvent, comme ça, amicalement. Rien que les embrassades pour se saluer ou se dire au revoir. Les câlins qu’on peut se faire. Oh, bref, vous avez compris le truc. Donc vous comprendrez que j’aime le fait qu’elle mette son doigt sur mes lèvres pour me dire d’arrêter de chanter, soit disant parce que je vais faire fuir les enfants. Non mais oh ! Les enfants m’adorent. On pourrait ne pas le penser, et pourtant ; je suis toujours un de leur animateur préféré. Même les enfants les plus compliqués, les timides. Je n’ai pas qu’un don en psychologie, mais aussi avec le contact des enfants. Je sais m’adresser à eux, je suis extrêmement patient, mais qu’avec eux, je sais comment les distraire selon leur besoin de la journée, etc. Je suis tout simplement parfait pour eux. Enfin de compte, je suis parfait dans tous les domaines. Non je rigole. Ce n’est pas du tout vrai. Trêve de plaisanterie. Ah vous savez aussi ce que j’adore dans ma relation amicale avec la future maman ? C’est qu’on peut passer du coq à l’âne avec elle. J’étais en train de chanter un truc pour les enfants, et voilà qu’on parlait de nos ébats. Franchement, il n’y a aucun lien qui puisse relier ces deux conversations, et pourtant on en parle comme ça. Comme si c’était tout à fat normal de chanter et de parler sexe la seconde après. En tous les cas, ça parait normal pour nous deux, il faut croire. Avec ce qu’elle venait de me dire, je ne pus que sourire. C’est limite si elle était en train de me dire qu’elle m’était offerte, je n’oserais utiliser le mot « soumis », mais vous voyez le truc. En aucun cas je ne profiterais d’elle, je la respecte trop bien. Et si un jour j’osais ne pas la respecter, je risquerais de la perdre, et c’est loin mon envie. Je l’ai rencontré par hasard, et depuis je ne veux pas la perdre. Elle sera à moi pour toujours, même si elle finit mariée avec je ne sais qui, et qu’elle va vivre à l’autre bout du monde. Son cœur m’appartiendra toujours, ainsi qu’un bout du mien. C’est étrange de dire cela, je l’avoue. Mais il y a quelque chose entre nous deux. Coucher avec une amie comme ça, et continuer à être aussi bon ami, c’est qu’il y a un truc derrière tout ça. On s’apprécie, et on ne se le cache pas. « Je retiens ce que tu viens de me dire beauté. » Malgré toutes les fois où on a pu le faire tous les deux, elle me disait encore qu’elle préférait être accompagnée que seule. Je la comprenais totalement. Une fois de plus, on était sur la même longueur d’onde. Elle me fit encore plus sourire lorsqu’elle me dit qu’elle pensait que je préférais penser que le partenaire soit moi. « Oh mais bien sur que tu te trompes… » Lui répondis-je avec un petit sourire « je ne suis pas aussi modeste pour dire, ou même penser ça. Je suis un partenaire comme un autre pour toi » et pour moi, avais-je eu envie de rajouter, mais j’avais peur qu’elle ne le prenne mal. Bien sur, tout est clair entre nous, ce n’est pas parce qu’on le fait de temps en temps qu’on est exclusif l’un à l’autre. Et pourtant j’avais peur qu’elle ne le prenne mal. Bon en même temps, ce n’était pas comme si j’allais voir toutes les filles hein, mais bon. Ca peut m’arriver de le faire avec une autre. A défaut de ne pas avoir retrouvé l’amour, je peux bien trouver du sexe à quelques endroits. Après avoir parlé de sexe, et de tout ce qui est autour, on se mit à parler de mon amour pour les éléphants. Ce que je peux en être fier de les aimer. Après chanter, elle me dit très gentiment, que je devais travailler ma voix. Ca aurait été quelqu’un d’autre j’aurais pu mal le prendre, mais là non. De toute façon, personne d’autre ne m’entendra chanter, ça c’est certain. « Ah bah écoute on ne peut pas être parfait partout. Je travaille déjà énormément mon corps, je ne peux pas tout faire. Et puis ma voix peut être très sensuelle lorsque je le veux. » Haussais-je des épaules en lui disant cela. C’est vrai.
Après une petite visite, et arrivés aux félins, quelque chose de bien bizarre se passa entre nous. Comme si l’ocytocine nous avait remplis tous le corps, toute notre raison et pensées. L’ocytocine étant l’hormone dite de l’amour. Mais que m’avait-il prit de lui déposer ce baiser ? Aucune idée. Tout était brouillon dans ma tête. Je n’arrivais plus à aligner deux minuscules pensées. Je ne savais plus ce que je voulais ou non. Et pourquoi lui avoir dit ça en plus ? Surement pour ne pas laisser un blanc entre nous après cet « incident » heureux ou non. L’avenir nous le dira. Fort heureusement pour moi, elle ne prit pas fuite. Elle laissa même sa main dans la mienne, et me laissa lui caresser sa joue. Nos regards ne faisaient que se croiser. Cette fois-ci, ça devait être les lions et toutes autres espèces qui mataient la scène. Je suis sur qu’ils pensent qu’un porno va arriver. Et oui, je parle bien des animaux qui matent du porno, mais non ça ne va pas arriver. Le porno c’est bien trop… enfin ça ne représenterait pas du tout ma relation avec Aleyna. Alors que j’étais dans mes pensées que j’avais enfin réussies à rassembler même si ce n’était pas pour penser à ce baiser, mais aux animaux, j’entendis mon amie me poser la question qui tue. Si j’étais salaud comme tous les autres mecs, j’en aurais eu des réponses à dire. Mais moi non. J’avais soit le choix de ne pas répondre, soit lui dire la vérité. Mais c’était quoi la vérité ? Ca m’avait prit comme ça. J’en avais peut-être envie depuis longtemps. Je n’allais pas la laisser sans réponses, alors je lui répondis simplement « tes lèvres appelaient les miennes. » A elle d’interpréter ça comme elle le souhaite. A la suite, elle me prit ma main et la posa sur son ventre avec sa propre main. Je pouvais sentir le bébé. C’était la première fois que je sentais ça. Enfin non, pas vraiment. J’avais fait la même chose lorsque ma mère était enceinte de ma sœur, mais ça datait et ce n’était pas du tout la même sensation. Il s’agissait de mon sang, du ventre à ma maman. Or là, il s’agissait d’une jeune fille que j’appréciais fort bien. Venait-elle réellement de dire qu’elle avait apprécié le baiser ? Eh oh, je me lave les oreilles tous les jours, donc ça ne peut qu’être ça. J’étais obligé d’avoir bien répondu. De plus, si elle ne relevait pas la tête pour affronter mon regard ce n’était pas pour rien. Et maintenant ? On pouvait continuer la visite, et faire comme si de rien n’était, ou alors… j’étais partagé entre ça, ou l’embrasser encore une nouvelle fois, mais cette fois-ci autrement. Pas un seul baiser sur ses lèvres. Ce genre de baiser de cinéma. J’essayais d’évacuer tout ce qui était dans ma tête, ce qui était pour ou contre cet autre baiser, et j’essayais de laisser faire mon vrai désir. Ce que je voulais vraiment, au plus profond. Je posais ma tête sur la sienne, et fermai les yeux. Jusqu’au moment où je les ouvris de nouveau. Je lui relevai la tête, et vint l’embrasser à nouveau. Je venais de l’embrasser comme je ne l’avais plus fait depuis longtemps. Durant notre baiser, j’entendis un lion rugir. Un peu plus loin, un enfant qui devait nous montrer du doigt à ses parents. M’en fous si on « choque » les petits. Oh ça va, leur parents on fait pire pour les mettre au monde. code par (c) eylika. photo de we heart it. |
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| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Ven 23 Nov - 18:09 | |
| Lucas éè Aleyna Être ou ne pas être, telle est la question, non ?! Bon à la limite ce n’est pas réellement le sujet à ce moment là puisque nous passons du temps comme deux bons amis, car oui nous sommes plus que de simples potes, enfin à mes yeux. Un pote est une personne que l’on voit de temps en temps, très rarement alors qu’un ami est une personne que l’on affectionne et avec qui on passe du temps. Pour moi ce sont deux mots bien différents, et Lucas fait partit des personnes que j’affectionne le plus…il a toujours été là, dans n’importe quelles situations et bien que ça puisse en mettre mal à l’aise certains de passer du lit à une amitié profonde, moi ça ne me mettait pas mal à l’aise et puis si on veut vraiment se pencher sur cette question…Je préfère prendre du bon temps avec un ami, une connaissance ou autre puisque l’on fais un minimum confiance que de passer une nuit avec un inconnu. C’est comme ça. Lucas avant était un inconnu aussi à mes yeux. Il a fait son arrivé à Berkeley il y a maintenant 3ans, et je l’ai prit sous mon aile étant moi aussi doué en langue (et différent des autres), le français plus exactement, j’ai réussi à le mettre un peu plus en confiance et à l’aise. On a alors petit à petit parlé, mais seulement à l’université puisque mon petit ami était relativement jaloux…mais une amitié s’est crée entre nous et puis tout à basculé le jour du décès de mon petit ami. A partir de ce jour ma vie prit une toute autre tournure, en effet j’ai commencé à ne plus venir en cours, à rester chez moi…mais j’ai dû reprendre un peu du poil de la bête. Avec difficulté puisque même aujourd’hui j’ai encore du mal, horriblement mal. J’ai commencé à sortir en boite de nuit, à coucher à droite et à gauche et…c’est donc depuis 1an et demi que nous avons cette relation avec Lucas. Plus exactement depuis un jour à l’université. Il avait voulu venir me voir pour savoir comme j’allais, en tant qu’ami et puis une chose entraînant une autre nous nous étions retrouvés tous les deux dans une étroite salle où nous avions passé beaucoup plus de notre temps à s’embrasser et à se découvrir autrement, qu’à parler. Et donc depuis ce temps, entre nous tout s’est amplifié et pourtant, ce n’est qu’un ami avec la mention sexfriend. Oui on peut donc appeler ça une amitié améliorée, dans le jargon. Puis hochant la tête je comprenais ce qu’il venait de me dire. « Certainement oui…mais ne va pas penser que je me fiche royalement de nos moments de coucheries, loin de là. » Oui c’est vrai que je changeais souvent de partenaires et que j’avais autant d’expériences chez les hommes que chez les filles mais je prenais à chaque fois mon pied et bien évidemment je respectais toujours mes partenaires y compris mes amis. J’avais beau avoir un tableau de chasse aussi grand que…ouais non oublions cette comparaison, c’est mieux. De toute façon sans respect le monde n’avancerais pas et puis, le respect c’est la base de tout j’ai envie de dire. Puis je me mis à sourire malicieusement quand il me parlait de sa voix mais plus particulièrement de son corps, hochant la tête pour valider ce qu’il venait de me dire, je ne pus m’empêcher de rire doucement, tout en étant sérieuse. Car oui, je pense toujours ce que je dis, enfin normalement. « Ton corps…je valide, tu le travaille super bien mais je suis certaines que tes conquêtes t’aident aussi. » je le regardais dans les yeux, car oui, lui aussi était un homme à femme. N’oublions pas ce ‘détail’ ou non d’ailleurs. « Sensuelle, tu as une voix sensuelle ? Alors je n’ai jamais eu la chance de l’entendre…» il devait certainement garder ça pour les meilleurs moments et pour la personne la plus adaptée à ces yeux, sa petite amie. Tout simplement.
D’ailleurs je savais qu’en ce moment il n’avait pas de petite amie et si mes souvenirs sont bon, il avait eu un peu de mal après sa dernière rupture bien que je n’en sache rien…oui nous sommes amis mais nous ne parlons jamais de chose bien sérieuse, de là à se mettre à nu…je parle au niveau de nos âmes, puisque nous nous mettons à nus à une vitesse assez spectaculaire lorsque l’on veut en venir au choses sérieuse, une relation sexuelle. On sait très bien s’y prendre, ne vous en faite pas pour nous. (aa) J’aurai encore pu parler de cette relation, des heures et des heures mais ce qui allait me faire changer de pensées n’était autre que ce baiser qu’il ne m’avait donné quelques instants plus tard. J’aurai pu fuir, j’aurai pu lui donner une gifle…mais je ne savais pas d’où était venue sa pulsion, si ça se trouve il voulait juste me rassurer ou que sais-je. J’étais complètement paumée en plus il ne m’aidait absolument pas. J’avais posé une question, une simple et bonne question : pourquoi ce baiser. Et là encore une fois, il brouilla les pistes en ne répondant pas directement, et je ne comprenais pas. Était-ce donc moi qui lui avais fais comprendre que je voulais ce baiser ? Car oui sa phrase voulait aussi dire ça. Ou alors voulait il me donner un peu d’affection et me dire que oui malgré tout, je vie. Je n’en sais rien. Je fis une légère grimace avant de le regarder doucement dans les yeux. Doucement ? Oui timidement, c’était d’ailleurs la première fois que ça m’arrivait ça. Étrange quand tu nous tiens. « Mes lèvres … ? » puis je repris quelques secondes de silence plus tard. « Je n’aurai jamais une réponse plus clair, je suppose ? » Il avait le don de me faire balader de gauche à droite, d’en haut en bas, et j’avais le cerveau complètement à l’envers et c’est aussi peut être pour ça que j’avais pris naturellement sa main pour la poser sur mon ventre, alors que mon enfant donnait quelques coups. C’est une chose que j’aurai dû partager et vivre avec mon petit ami, avec le père de l’enfant, mais non, à croire que notre génération ce n’est plus ça maintenant. Je ne savais même pas pourquoi je voulais lui faire vivre ça, c’était sans sens…ma fois. Puis je sentis qu’il venait de poser sa tête sur la mienne et doucement je fermais les yeux et caressais très légèrement sa main, puis quelques secondes après il releva mon visage pour m’embrasser à nouveau…mais ce baiser était tout aussi différent que le précédent…mais attendez. Deux baisers en quelques minutes, c’est moi ou je commence à me faire des films. Était-il entrain de jouer avec moi ? J’arrêtais tout simplement de penser pendant cet instant tout en prolongeant tout simplement son baiser. Un baiser bien différent de ce que nous avions l’habitude de se donner lorsque nous nous voyons, pendant nos ébats. C’est pour ça que ça me perturbais. Je ne savais pas tellement où mettre les pieds mais je savais où mettre ma langue en ce moment. Blague à part. Je n’avais pas réellement envie que ça se termine mais je mis fin à ce baiser et je posais doucement mon front contre le sien quelques instants, le temps de reprendre un peu mes esprits. Enfin c’est un peu loupé, croyez moi. Je suis pire que le petit poucet, je suis complètement perdue. Honte à moi. Je reculais doucement mon visage avant de le regarder dans les yeux, mais il avait encore ce don de m’intimider et je me sentais pire que petite face à lui. Je n’avais pas arrêté de caresser doucement et très légèrement sa main. Je ne voulais pas rompre ce bon moment mais il me fallait une réponse…vraiment, et je ne pouvais pas y aller par 4chemins, en espérant pas le brusquer ni le braquer ni le vexer. « Ce baisers…enfin ces baisers, que représente-t-ils à tes yeux ? Est-ce parce que tu veux me montrer que je ne suis pas que cette fille qui couche à droite et à gauche ? Est-ce que tu t’amuse de cette situation ou…est-ce que c’est… » Bordel pourquoi c’est plus dur de dire : sincère, que de lui demander si il se fout de moi, si il a pitié de moi…pourquoi ? Ça devrait être l’inverse non ? « Sincère ? » je soufflais doucement, et je secouais la tête, sentant déjà que mes hormones allaient bientôt entrer en scène. Je sentais que mon cœur s’emballait petit à petit, je venais certainement de tout casser, de tout rompre…puis doucement mais assez fort pour qu’il m’entende « je suis trop conne ! » puis je le regardais toujours sentant mes yeux s’humidifier. « je suis désolée…» et faiblement, et d’une grande lâcheté je baissais une nouvelle fois mes yeux avant de regarder nos mains, d’ailleurs allait-il mal le prendre ? Allait-il lâcher ma main ? Je n’en savais rien, seul lui pourra me le dire. |
| | | Kevin F. Tatcher there's no place like berkeley › prénom, pseudo : alo. › date d'inscription : 10/11/2012 › nombre de messages : 11001 › disponibilité rp : cinq sur six ( o p e n ) › avatar : zefron
| Sujet: Re: today i saw an elephant, i was in paradise ♣ ALEYNA&LUCAS Sam 24 Nov - 11:20 | |
| paradise feat aleyna-kaitlyn forzwood Ce que j’aimais dans mes moments avec ma belle, c’est qu’on pouvait très bien rire, tout en discutant sérieusement, de sujets que seuls les adultes peuvent aborder, on se demande des nouvelles, on parle de notre relation en en rigolant. Ce que ne feraient pas énormément de monde. Au contraire, pas mal de monde ferait comme si rien ne se passait, mais pas nous. On en parle haut et fort, tout en y rajoutant de temps en temps de l’humour. Mais apparemment aujourd’hui on allait aussi être un peu plus sérieux à propos de ce sujet. Nous avons tous les deux nos vies, nos coucheries à droite, à gauche, on le sait, mais c’est vrai qu’on n’en a jamais parlé. Pourquoi en parler alors que tout est clair entre nous ? Je ne suis pas le seul à connaitre son corps, à lui procurer du plaisir. Et elle n’est pas la seule pour moi non plus. On se connaissait, et on savait pertinemment comment était l’autre. On sait tous les deux que si on couche de cette manière ce n’est pas pour autant qu’on pourrait faire partie des Deltas. Loin de nous de draguer tout ce qui bouge autour de nous, et potable d’aller dans nos lits respectifs. Les personnes avec qui on le fait ne sont pas n’importe qui. On n’est pas du genre à coucher un soir et partir comme un voleur le lendemain, en ne laissant même pas un numéro de téléphone. On le savait, alors pourquoi en parler aujourd’hui ? Je sais très bien qu’elle ne se fiche pas de moi lorsqu’on le fait, moi non plus d’ailleurs. S’il le fallait, je pourrais coucher qu’avec elle, mais ça n’en est pas ainsi. Ca compliquerait encore plus notre relation qui est déjà assez ambigüe comme ça. « Je le sais très bien ma belle… Nous sommes tous les deux sincères lors de ces moments-là. » Lorsqu’on le fait ce n’est pas par manque de sexe. Du moins pas pour moi. C’est vraiment parce que j’en ai envie, avec elle. Elle a tout ce que j’aime chez une femme. Alors pourquoi s’en priver ? Surtout si elle est d’accord, et qu’elle apprécie aussi mon corps. On profite l’un de l’autre, comme on le peut. Elle me répondit au sujet de mon corps, en finissant sur mes conquêtes. Je pris cela comme une petite pique. Vous savez ces petits trucs que l’on n’ose pas dire directement, du coup on le place dans une phrase tout à faire innocente. Ce n’était pas bien méchant, mais j’avais l’impression qu’elle ne le disait pas au hasard. Peut-être qu’en y pensant, elle n’apprécie pas trop l’idée de me savoir avec d’autres. A vrai dire, lorsque je l’imagine avec d’autres hommes, je ne vais pas dire que je le prends mal, mais je me mets à me poser pleins de questions. Des questions complètement stupides, du genre : « est-ce qu’elle pense à moi ? » bien sur que non, elle ne va pas penser à moi alors qu’elle est avec un autre. « font-ils des choses que j’ai pu déjà faire avec elle ? », « prend-elle plus son pied avec lui plutôt qu’avec moi ? », tout ce genre de questions là qui te fait te sentir vite fait un peu mal. Et du coup, je vais en voir d’autres. C’est juste un cercle infernal. Mais après tout, on n’est pas ensemble, on est juste amis, elle a le droit d’aller voir d’autres personnes. « Je fais beaucoup plus de vrai sport que de sport avec des partenaires, rassures-toi. » Et puis de toute façon, si je faisais autant l’amour que je fais du sport, je serais tout simplement extenué, vu le nombre d’heures où je fais du sport. Et oui, même avec ce corps de sportif, je peux avoir une voix très sensuelle, que oui, je ne montre qu’à de très rares personnes. Je pourrais l’utiliser pour charmer les nanas, mais non. Je préfère l’utiliser pour la femme que j’aime, lorsque je lui dis des mots doux, pour la réconforter. Je l’utilise surtout lorsque je prends ma copine dans mes bras. C’est ce que je faisais avec mon ex, et je sais qu’elle adorait. C’était un moment qu’elle adorait. Et pourtant ce n’était pas suffisant car elle est partie. « Il faut être une privilégiée pour l’entendre Choue. » En fait, je ne la faisais pas sur commande. Elle venait comme ça. L’esprit doit aller avec.
Pour le coup, mon esprit était partit très loin, me laissant seul face à Aleyna que je venais d’embrasser d’un doux baiser sur les lèvres. C’était mon esprit qui m’avait dicté de le faire, et maintenant il était au loin. Comment pouvais-je savoir pourquoi j’avais fait ceci ? Je n’en avais pas la réponse. Comment pouvais-je répondre à ma belle ? Comme d’habitude, avec des réponses très vagues, des réponses dont elle-même doit être la propre interprétatrice. Elle me connaissait par cœur, donc elle avait su tout de suite qu’elle n’aurait pas de réponse plus précise. Ce n’était pas que je ne voulais pas, mais plutôt que je ne pouvais pas. Je n’allais pas inventer une réponse. C’était peut-être méchant, mais je n’y pouvais rien. « Pas pour le moment…non. » Peut-être qu’un jour j’aurais la réponse, alors là je lui répondrais, mais ce n’était pas pour aujourd’hui. Pas pour l’instant présent. J’aurais pu m’arrêter là, et continuer la visite tranquillement en sa présence. Mais non. Mes lèvres avaient rencontré une nouvelle fois celles d’Aleyna. C’était un tout autre baiser que je lui donnais, pas ce même baiser que je peux lui donner lors de nos ébats sexuels. En fait, je n’avais jamais donné un tel baiser à une fille. Je ne savais pas ce que je ressentais. La seule chose que je savais c’était que j’étais heureux. Ce baiser m’avait procuré du bonheur. J’étais empli de bonheur, mais aussi de peur. Peur de voir la réaction de mon amie, ou même d’entendre ces questions, parce que oui : je la connais, et je savais qu’elle n’allait pas laisser passer ça aussi facilement. Pourtant j’aurais aimé. J’aurais aimé, pour une fois, faire comme si de rien n’était et continuer la visite du zoo. Ses questions me mirent très mal à l’aise. Pour rien au monde je ne m’amuserais d’elle, et ça elle devait le savoir « Non… Non… ne penses pas que je joue… je t’en supplie. » C’était la seule chose que j’avais réussi à faire sortir de mes cordes vocales. Après, la vraie raison du pourquoi, je n’en avais aucune idée. Je tournai la tête vers les félins, jusqu’à je l’entende s’insulter de conne, et s’excuser. Mais pourquoi ? S’il n’y en avait un qui devait s’excuser, c’était moi. J’avais peut-être tout basculé dans notre amitié. Et ce n’était pas sans réponses que j’allais pouvoir tout remettre en place. Je lui lâchai les mains. Pour la prendre dans mes bras et lui faire un énorme câlin. Je la serrais fort contre moi, ainsi j’avais l’impression de lui dire que pour rien au monde je voulais la perdre, même pas pour ces baisers. « C’est à moi de m’excuser. Je ne sais pas pourquoi. » Bon allez, tant pis je lui dis tout ce que j’ai sur le cœur. Je ne peux pas rester là en la voyant si mal, et ne rien dire. Au risque qu’elle le prenne bien plus mal que les non-réponses. « Aleyna… j’en avais envie. Tu m’attires. Tu es si … parfaite à mes yeux. Je t’adore à un point. Seulement… » Elle devait bien s’en douter qu’il y avait un mais. J’avais du mal à le dire, mais il le fallait. Je ne suis pas un mec franc pour rien. « Même si je le voulais et que toi aussi, je ne veux pas me mettre avec toi… ou une autre. Je n’aurais peut-être pas du t’embrasser en fin de compte, mais, tu es celle que j’apprécie le plus. S’il le fallait que je me mette avec quelqu’un, ça serait avec toi. » Très contradictoire, je sais. Mais bien que je l’apprécie autant, je ne me sentais pas en force d’être avec qui que ce soit. Je voulais rester, pour le moment, son ami. Je savais que ça allait peut-être changer quelque chose à notre amitié, mais la vie est ainsi faite. code par (c) eylika. photo de we heart it. |
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