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MessageSujet: « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home EmptyJeu 13 Sep - 20:16

La photo est contractuelle singing :plop:

« ROSENBACH'S HOME

09/2012. »
Jorden & Pi & Eileen



Une semaine déjà qu’Eileen avait emménagé dans sa nouvelle maison, c’était une nouvelle vie qui commençait pour elle. L’indépendance la vraie, la liberté à plusieurs dizaines de millions de dollars. Nichée sur les hauteurs de San Francisco, la maison d’Eileen était à son image, luxueuse, classe, à couper le souffle. La seule ombre au tableau dans ce décor des plus parfait était son colocataire. Jorden Kol Rosenbach, son demi frère, beau brun au regard ténébreux, il avait beau être canon, il n’en restait pas moins un parfait crétin. Il était la personne la plus prétentieuse qu’elle aie eue l’occasion de voir. Jorden ne jurais que par sa petite personne, n’accordait pas d’importance aux autres, était vaniteux et égocentrique et la liste de ses défauts ne s’arrêtait pas la. Jorden et Eileen se détestaient depuis des lustres, et toutes les raisons étaient bonnes pour déclencher une troisième guerre mondiale. Elle ignorait comment elle allait réussir à le supporter chaque jours et ce pendant plusieurs mois. D’ailleurs, ça ne faisait qu’une semaine qu’ils avaient emménagé mais déjà ils s’engueulaient et elle lui reprochait des dizaines de choses. Premièrement Jorden ramenait ses conquêtes à la maison, se les tapaient sous son toit, et cette image l’a dégoûtait, deuxièmement, il prenait un malin plaisir à transformer la maison en boite de nuit des qu’il en avait l’occasion. Il invitait des dizaines de personnes, buvait jusqu’à plus soif avec ses potes tout aussi ivre et foutait en quelques minutes un bazar incroyable. Heureusement, Eileen avait une équipe de nettoyage disponible 24 heures sur 24 pour réparer les dégâts de Jorden, et d’autres personnes étaient également chargées de la maison, ainsi elle n’avait strictement rien à faire. Rien mise à part veiller à ce que Jorden ne foute pas le feu, ce dont il était parfaitement capable. Heureusement la maison était suffisamment grande pour qu’elle n’ai pas à croiser son visage à tout bout de champs, ce qui néanmoins ne les empêchaient pas de se hurler dessus par pièce interposées. Mais, elle savait qu’elle allait être obligé de vivre avec lui encore un petit bout de temps, par conséquent parfois elle prenait sur elle pour ne pas envenimer davantage les choses.

Regardant son reflet dans le miroir de sa salle de bain, Eileen arrangeait son maquillage et replaçait une mèche de ses cheveux. Il était un peu plus de dix neuf heures lorsqu’elle abandonna son reflet pour se rendre de le dressing. Sur le chemin, elle hurla dans le couloir afin que Jorden la capte peu importe ou il soit.

- Pi vient boire l’apéro et peut être manger avec nous ! Donc si t’es occupé avec une fille, tu la vires de MA maison, et tu mets une chemise !

Elle attrapa une paire de talons vernis à un prix exorbitant et outrageusement hauts et les enfila à ses pieds et replaça correctement sa robe noire de créateur qui lui faisait une silhouette parfaite. Elle descendit doucement les escaliers jusqu’à l’un des trois salons de la maison. Jorden ne lui avait toujours pas répondu, elle ne pensait pas qu’il soit accompagné mais cela ne l’aurait pas surprise, depuis leur arrivé elle avait déjà bien vu au moins trois filles différentes ici, et une chose était sure, elles ne venaient pas pour jouer aux dominos. Arrivant dans le salon, Eileen constata avec plaisir que son petit personnel s’était chargé de tout ! Toasts, bouteilles de champagne, cocktails fruités qui rappelaient les vacances. Rien n’était trop parfait pour sa nouvelle amie Pi, amie qu’elle avait en commun avec Jorden comme par hasard. Tous les trois s’étaient rencontrés à Las Vegas lors d’une soirée très très privée qui avait eue lieu dans une somptueuse suite. L’endroit était intimiste rempli de fils à papa, de futurs héritiers festoyant dans la débauche la plus totale. Jorden et Eileen avaient immédiatement sympathisés avec Pi, son humour massacrant, sa touche de folie, et surtout le fait qu’ils allaient tous les trois se retrouver à Berkeley, et dans la même confrérie. Eileen était partie le lendemain, les laissant seuls à Vegas, elle devait venir voir sa maison avant d’emménager officiellement et s’assurer d’avoir la meilleure chambre, celle qui avait la plus belle vue et qui était légèrement plus grande que les autres. Pi allait arriver d’une minute à l’autre, et elle était impatiente de lui montrer son humble demeure. Elle n’eut d’ailleurs pas le temps de se laisser tomber sur l’un des fauteuils qu’un de ses employés arriva, lui indiquant qu’une voiture était devant le portail.

- Oui, laissez la entrer !

Se dirigeant vers la porte d’entrée, elle entendit derrière elle les bruits de pas de Jorden qui daignait enfin se montrer, il descendait un à un les escaliers avec élégance dans un costume italien très chic. Elle haussa un sourcil et le toisa du regard avant d’aller ouvrir la porte.

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MessageSujet: Re: « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home EmptyDim 16 Sep - 20:51



«Ils ont échoué car ils n'ont pas commencé par le rêve.»
feat. Eileen & Pi




Posé à côté de la baie vitrée je fumais tranquillement en pensant, je pensais beaucoup en fumant c'était comme le break de la journée. Je réfléchissais un peu à tout et à rien, des choses importantes comme inutiles. J'étais cool, posé et une voix vint me gêner, en principe quand quelque chose me saoule dans cette maison c'est bien Eileen. D'habitude je ne l'écoute que à moitié mais c'est entendant Pi que j'eus vraiment envie de l'écouter. Le seul truc c'est qu'elle hurlait à en rendre fou, en même temps elle ne devait pas trop savoir où je me trouvais. Souvent je suis dans ma chambre à m'amuser et quand je n'y suis pas je dévalise la maison. Cette belle maison m'appartient pas en fait à la base alors je n'ai pas envie d'en prendre soin. Quand je ramène quelques amis à venir pour s'amuser ça devient n'importe quoi et le lendemain c'est sûr qu'on peut changer des tapis, meubles ou autre. Je pense avoir décroché le record en ce qui concerne les tâches sur les tapis, c'est de beaux tapis ils valent quelques milliers de dollars mais bon ce qui n'est pas à moi, n'est pas à moi! De toute façon quoi qu'il en soit c'est pas ma baraque alors le fait de la saccager et d'embêter ma sœur c'est plus que cool pour moi.

Bref l'important sur le moment c'était que Pi allait venir, elle est vraiment cool et j'aime bien passer du bon temps avec elle. Je me prends pas trop la tête avec elle, c'est assez simple malgré le fait que chacun de nous ne soyons pas simple du tout. Le problème c'est qu'elle est aussi amie avec ma sœur, ce qui me ramène toujours au fait qu'on se prenne la tête pour ne pas changer. Après pour dire ça ne m'empêche pas de vivre sachant que je suis supérieur à pas mal de monde et je n'ai pas peur d'elle, je sais qu'on me préfère à moi qu'à elle. Je n'ai pas besoin de parler que juste ma présence le prouve. Tout le monde m'aime, ou presque, peut être quelques personnes de l'université et les employés de la maison à Eileen qui ont beaucoup de boulot à cause de moi; m'enfin en même temps c'est leur job et je leur donne des trucs à faire, alors je vois pas pourquoi ils me tirent la tête quand je les croise. J'entendais Eileen s'éloignait, je ne lui répondis pas car j'avais vraiment pas envie de hurler comme elle. Elle pensait que je n'étais pas seul, c'est vrai que je ramène souvent de belles filles à la maison mais sur le coup j'étais seul au monde. Après j'ai pas trop entendu la suite, je l'ai ignoré, l'important c'était de savoir que Pi venait.

Le truc c'était que j'étais vraiment pas habillé, juste un tee-shirt comme ça et en boxer, rien d'autre. Après avoir fini mon joint je me mis à me préparer dans ma chambre pour être comme toujours le meilleur et le plus beau. Comme je le dis souvent, la classe est quelque chose d'inné, on l'a ou on ne l'a pas. Moi je pense avoir pas mal de goûts et une certaine tenue qui fait de moi un mec classe. En plus c'était pas pour une fille d'une soirée pour qui je m'habillais, c'était pour Pi une fille qui vaut bien plus que ça. Je mis un beau costume doucement, en fait je ne savais pas quand allait venir Pi, j'aurais peut-être du écouter la suite de la phrase de Eileen, ça m'apprendra. Ensuite je mis mes chaussures, une belle montre et quelques coups de parfums avant de vouloir sortir de ma chambre. Arrivé à la porte je me rendis compte que j'avais pas de chaussures, c'est avec un gros soupir que je revins dans ma chambre pour récupérer des chaussures.

Je marchais dans le couloir en regardant la maison, c'est vrai que c'était une putin de belle baraque. Après avoir fumé j'étais un peu ailleurs, rien d'exceptionnel mais plus que cool. Je me disais qu'au final j'avais de la chance d'habiter dans une maison comme ça, malgré qu'elle soit à ma sœur et qu'elle me le répète assez. Je me rendis vers les escaliers pour rejoindre Eileen, je savais pas vraiment si Pi était arrivée ou pas alors je devais pas trop traîner non plus. Finalement non, en haut des escaliers je voyais les employés en train de finir de faire un beau truc pour notre invité. Il y avait à boire, à manger, tout pour passer une soirée cool. Bon il y avait toujours le plus obstacle nommé Eileen mais je pense que boire un peu me le fera oublier et même à m'amuser avec elle, c'est comme ça avec moi. M'enfin bref je descendis doucement les escaliers, elle m'entendit et se retourna quelques secondes. Je mis mes mains dans les poches, je fis un air un peu agacé avant de lui lancer quelques mots.

La prochaine ne fois, crie pas comme ça, tu m'as vraiment gênée pff..


Elle me regardait avec sa belle tronche en haussant d'un sourcil, ça me fit sourire légèrement avant que je n'arrive à la fin des escaliers. Un mec, un employé lui avait dit que Pi était la. Je mis ma main dans mes cheveux pour remettre ma coiffure et je me dirigeai vers la porte, un peu à la traine derrière Eileen qui elle était déjà devant prête pour lui ouvrir. Je n'avais qu'une envie et malgré la présence d'Eileen c'était de m'amuser. Mais faut avouer que je pense même, malgré moi, que sans elle je ne m'amuserais pas autant dans ma petite vie et qu'on ne s'amuserait pas autant avec Pi, en dehors de la chambre bien sûr.


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MessageSujet: Re: « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home EmptyMar 18 Sep - 9:42

« CRUEL INTENTIONS. »

« Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home 113511396_10_1

Ce soir, tu es invitée chez les Rosenbach. Tu en as donc profité pour sécher le dîner familial, comme toujours. Cela devient de plus en plus dur d'éviter tes parents. Ces derniers, n'ont toujours pas compris que tu n'es guère intéressée par leurs offres minables concernant ta vie privée. Ils commencent vraiment à te faire chier à te présenter tous les jours un nouveau prétendant. Toi - en contre partie - tu t'amuses à les martyriser et à inventer à chaque fois une nouvelle méthode pour les faire fuir. Tu n'as jamais pensé aux mariages, contrairement à tes parents. Parfois, tu te demandes si tu n'as pas été adoptée. Tu n'as aucune liaison, aucun point en commun avec les Dell'Anna. Ta famille est très conservatrice, ça te rend folle. Ils sont énormément limités par les traditions et les coutumes. Toi, tu n'es pas comme ça. Toi - Pi - tu vis au jour le jour. Tu profites de ta vie au maximum. Tu es riche et tu en abuses. Tu sais que l'argent symbolique le pouvoir et tu en profites. Le mariage, les gosses et toutes ces conneries; ne te concernent pas. Tu refuses d'en discuter. La simple idée d'imaginer que ta vie ressemblera un jour à celle de tes parents, t'angoisse. Tu ne veux pas du tout entamer une vie monotone, ennuyeuse, dégueulasse et ancrée par les disputes nuit et jour. Bref. Tu t'es donc rendue chez toi pour mieux te préparer. Tu n'as pas vu Eileen ni Jorden depuis la fameuse fête de Vegas ou plein de choses se sont passées, d'ailleurs. Depuis cette rencontre, vous êtes devenus de très bons amis. Tu as tout de suite remarqué qu'entre eux d'eux ce n'était pas le grand amour et cela t'a beaucoup amusé. Tu aimes les relations pimentées et votre trio ne sera guère ennuyeux. Tu as donc pris ton temps - comme d'habitude - pour t'habiller. Une mini robe noire Gucci, des louboutins, un peu de maquillage et tu étais enfin prête. Je sors. Tu laisses rapidement un message à ta colocataire pour la prévenir que tu rentreras sûrement tard ce soir. Cette dernière est dehors comme d'habitude. A vrai dire, vous ne vous croisez pas énormément. Bien que vous soyez proches, vous n'avez plus vraiment le temps de papoter tranquillement. Chacune de vous mène un rythme de vie très accéléré. Tu quittes donc la villa et montes dans ta voiture. Cela te prend à peine dix minutes pour te rendre à la grande villa des Rosenbach. On te laisse entrer et tu affiches un énorme sourire en voyant Eileen et Jorden entrain de t'attendre devant la grande porte d'entrée. Vous êtes beaux. Tu fus tout de suite frappée par la ressemblance incroyable entre eux d'eux. Tu hésites même à leur faire remarquer cela mais tu es sûre que ça les agacera. Pour une fois, tu préfères donc te taire. Tu adores les taquiner certes mais faut pas exagérer. Tu leur fais la bise et balade tes yeux un peu partout à l'intérieur de la villa. Celle-ci ressemble énormément à celle de tes parents et ça te rend un tout petit peu inconfortable. Alors ? Comment ça va ? Vous m'avez énormément manqué depuis Vegas. Tu ne peux t'empêcher de jeter un regard plein de sous-entendus à Jorden. Vous savez tous les deux ce qui s'est passé à Vegas après le départ de Eileen. Mais tu es sûre qu'il n'a pas osé en parler à sa soeur. Et d'ailleurs toi non plus. Tu aimes les relations compliquées, cela te divertit.

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MessageSujet: Re: « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home EmptyJeu 20 Sep - 21:52

« ROSENBACH'S HOME

09/2012. »
Jorden & Pi & Eileen



Eileen se souvenait très bien de sa rencontre avec Pi à Vegas, une soirée des plus mémorables. La petite sauterie avait eue lieu dans le très célèbre hotel-casino Bellagio en plein milieu du Strip. De vagues connaissances d’Eileen et Jorden avaient réservés l’une des plus belles suites du palace afin d’y organiser une soirée complètement sans limites, aucunes. Rapidement la suite s’était remplie d’une petite vingtaine de privilégiés, pour la plupart des fils à papa, héritiers de familles très fortunées et qui comptaient profiter de leur séjour à Vegas pour dépenser sans compter et faire la fête dans les règles de l’art. Eileen se souvenait très bien de l’ambiance apocalyptique de cette soirée. Les grands crus de champagne français défilaient à une vitesse folle, tout le monde était complètement ivre, des couples ou des trios squattaient les chambres de la suite afin de faire « plus ample connaissance », d’autres sniffaient des rails de cocaïne avec en guise de paille des billets de cent dollars, dans ce monde l’argent n’était pas un problème. Assis à une table des personnes jouaient au poker misant des sommes complètement exorbitantes, ils jouaient des mises de 50 000 milles dollars comme ci ce n’était pas grand-chose. Tout était poussé à l’excès, tout était permis, ils étaient libres de tout, et rien ne leur était refusé. Eileen était venu accompagné de Jorden, ils aimaient ce genre de soirée qui peut dégénérer à n’importe quel moment. Elle s’était laissée tenter par le champagne et par la coke, le reste elle n’en gardait qu’un souvenir flou. Elle se souvenait avoir rit comme jamais, hurler face aux fontaines du Bellagio et jeter des cadavres de bouteilles par la fenêtres. Elle se souvenait également de Pi, les deux jeunes femmes étaient complètement ivres et riaient pour un oui ou pour un non, à elles deux elles s’étaient facilement descendues trois ou quatre bouteilles, elles avaient embrassés de parfaits inconnus à pleine bouche. Des faits qui en soient rapproche les gens, et puis elles avaient décidées de garder contact. Le lendemain elles s’étaient données rendez vous pour une séance de shopping, et puis lorsqu’Eileen avait du partir elle l’avait laissé entre les mains de Jorden. Elle avait bien remarqué l’entente entre Jorden et Pi, eux aussi avaient bien sympathisés lors de cette soirée, aujourd’hui tous les trois étaient de véritables amis, complètement déjantés. Eileen était très contente d’apprendre que Pi allait elle aussi venir à Berkeley et fréquenter la même confrérie qu’eux, c’est pourquoi ce soir pour fêter cette nouvelle année elle avait décidé de l’inviter à prendre un verre et pourquoi pas faire la fête jusqu’au bout de la nuit, après tout l’aéroport n’était pas loin et le jet privé pouvait les conduire à Vegas en seulement une heure et demie, tentant non ?

Lorsqu’Eileen entendit Pi elle se précipita sur la porte et l’ouvrit, Pi était resplendissante et affichait un immense sourire, sa tenue était sexy, un poil provocante mais incroyablement chic. Jorden accouru auprès d’Eileen non sans avoir manifester son mécontentement par rapport à la manière dont Eileen lui avait dit de venir, elle haussa les sourcils et soupira en voyant son frère. Néanmoins son sourire réapparu lorsqu’elle vit Pi et elle la serra délicatement dans ses bras avant d’ajouter sur un ton mélodieux.

- Merci mais c’est toi la plus belle Pi ! Entres je t’en prie fais comme chez toi, le champagne viens tout juste d’être servi !

Eileen fit signe à Pi de rentrer, elle remarqua que la jeune femme observait la villa d’un œil attentif, Eileen lui avait énormément parlé de sa nouvelle maison. L’endroit était magnifique c’était incontestable, symbole d’un luxe sans limite, et d’un compte en banque qui l’était tout autant. Eileen marcha jusqu’au salon ou l’apéritif était servit accompagné de Pi et Jorden. Plusieurs serveurs se tenaient prêts et leurs tendit des coupes d’un très bon champagne. Eileen se laissa tomber sur l’un des énormes canapés et fit signe à Eileen et Pi de s’asseoir.

- Toi aussi tu nous as énormément manqué, mais maintenant que nous sommes tous les trois à San Francisco nous avons largement le temps de rattraper le temps perdu. Sinon ça ne va pas trop mal, mais j’essaye encore de comprendre comment faire pour réussir à cohabiter avec ce type.


Elle désigna Jorden du regard, de manière plutôt hautaine, ils allaient encore s’engueuler mais ça Pi en avait l’habitude.

- Sérieusement il est invivable, pire qu’un gosse. Devines seulement combien de plans cul il a ramené ici la semaine dernière ! Je crois qu’il n’a pas encore saisit que c’était ma maison et non la sienne.

Elle termina sa phrase en buvant une longue gorgée de champagne et reporta son attention sur Pi, elle aimait descendre Jorden face à elle, après tout il le méritait, ce n’était qu’une simple et douce vengeance.

- Et toi racontes nous, quoi de beau depuis cette fameuse nuit à Vegas ?

Elle fit un clin d’œil à Pi, les deux jeunes femmes se comprenaient d’un simple regard.





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MessageSujet: Re: « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home EmptySam 22 Sep - 17:32



«Ils ont échoué car ils n'ont pas commencé par le rêve.»
feat. Eileen & Pi




Elle était enfin arrivée, presque si comme on l'attendait comme le messi. J'étais content de la voir, juste le fait de la voir rentrer avec son sourire et son style toujours aussi nickel. Il y avait quelque chose qui gâchait le paysage, c'était Eileen. Belle maison, belle fille mais elle continuait à se trouver dans mon chemin cette gamine. En même temps Pi est venue pour nous deux, je ne peux pas l'avoir pour moi tout seul mais ce n'est pas grave je m'y fais. En entrant elle nous fit un compliment, j'ai souris ça fait toujours plaisir un compliment. Tout avait été préparé parfaitement pour elle, c'était une organisation de ma sœur ça. Tout était fait au centimètre prêt elle fait les choses bien c'est un truc que j'aime bien chez elle. Je pense qu'on se ressemble plus ou moins à ce propos, faire les choses bien et surtout si c'est pour une personne aussi cool qu'est Pi. J'ai vu qu'elle regardait la maison de Eileen, à ce moment là j'étais sûr qu'elle allait encore ramener sa fraise.. c'est ma maison, mon frère, mon frère, mon frère etc etc. J'allais encore devoir la remettre en place et lui apprendre quelques trucs. Je devais pas trop y penser, Pi vient me faire la bise et je lui répondis donc "J’espère que ça va toi, c'est vrai que je suis beau mais c'est toi la plus belle bien sûr." On marcha alors jusqu'à l'apéritif pour manger quelques trucs et boire quelques verres histoire de commencer la soirée. Il y avait quelques serveurs, le personnel était prêt à recevoir notre invité et à nous servir aussi bien, bien sûr.

Un serveur tendait quelques coupes de champagne, j'en pris une avant de regarder autour de moi. Je n'ai pas pu m'empêcher de regarder dans les yeux les serveurs, c'était le personnel et comme je n'étais pas trop trop amis avec eux ils me lançaient tous un regard froid. Il n'y avait que le chef cuisiner dans cette maison avec qui je m'entendais, il est le meilleur que je n'ai jamais vu et je m'empresse à chaque fois d'aller le voir et de me régaler. M'enfin bref je fis un petit sourire au serveur avant de me retourner et voir Eileen s'assoir. Elle nous invita aussi à nous assoir comme si j'avais besoin de son autorisation ou qu'elle le demande pour me mettre sur un fauteuil. Je fis un petit soupir avant de m'assoir et je m’apprêtais à écouter ma sœur qui allait comme d'habitude me saouler. Heureusement qu'il y avait Pi à côté de moi, sinon je pense que je n'aurais pas pu rester aussi longtemps avec elle. Franchement juste le fait de la revoir m'a mis de bonne humeur et ça m'a presque fait oublier le fait que j'étais pas très ami ami avec ma sœur. Cette fille je l'adore, j'ai passé pas mal de bons moments avec elle que ça soit en dehors ou dans ma chambre. Je ne suis pas trop sentimental à la base mais quand une fille aussi cool que Pi dit qu'on lui a manqué, j'avoue que c'est top.

Pi me regarda et je compris directement à ce qu'elle pensait, ça me fit sourire à mon tour. Je n'eus même pas le temps de répondre que Eileen commençait à parler, au début c'était cool elle parlait gentiment et sans m'inclure dans sa conversation mais elle ne put s'empêcher de parler de son idole, moi. Je mis ma main droite dans mes cheveux pour me recoiffer en regardant Eileen l'air amusé, elle se demandait comment cohabiter avec une personne aussi parfaite que moi. Bah moi j'avais la solution en fait, faut être parfait comme moi sinon ça ne peut pas trop coller. Elle me faisait déjà rire, je me mis à regarder Pi lui lancer un sourire aussi. Elle avait l'habitude qu'on se dispute en sa compagnie, elle sait qu'on ne peut se supporter quand on est dans la même pièce. Je fis mine d'ignorer les dires de Eileen pour regarder Pi et lui répondre.

Tu m'as manqué aussi, tout ce qui vient de toi m'a manqué, content de te revoir.


C'est un truc que j'adore faire avec Eileen, elle comme moi aime attirer l'attention, aime qu'on l'écoute alors lui faire ça et ne pas répondre à ses premiers petits pics c'est encore plus chiant. Je pense que c'est comme une conversation à sens unique, on veut tous les deux parler à Pi mais sans vraiment se parler à notre tour. Elle a commencé doucement ce soir en me cherchant de cette manière, moi je ne voulais pas répondre directement, je savais que c'était pas la dernière fois. Je repris mon verre pour boire une gorgée toujours en écoutant la petite sœur adorée qui ne faisait que parler. Elle me lançait des regards de manière me provoquer, comme à son habitude. Eileen continua, disant que j'étais invivable mais elle en rajouta en parlant des mes plans avec les filles et tout et tout. Comme si Pi ne savait pas comment j'étais et comme si ça pouvait me gêner. Moi bien au contraire, c'est cool d'en parler ça montre à quel point je suis fort avec les filles. Poursuivant, elle parla d'une fameuse nuit à Vegas. Je me mis à sourire pour prendre la parole.

Moi invivable? quelle blague, c'est toi qui est insupportable! T'es qu'une petite gamine qu'on a envie d'enfermer dans sa chambre, t'es toujours en train de casser les pieds à tout le monde.
Sinon ma belle Pi, quoi de neuf depuis les fameuses nuits qu'on a partagé tous les deux?


J'aurais pu écrire un film! "Depuis les fameuses nuits" ça porte à confusions et c'est ce que je voulais. Ca a plusieurs sens faut dire, les fameuses nuits peuvent dire les fêtes et tout ou alors avoir couché avec elle. Je voulais faire durer le plaisir de la voir s'énerver,commencer à se déchaîner, porter à confusion.



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MessageSujet: Re: « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home « Etre riche, c'est posséder trop. » Rosenbach's Home EmptySam 24 Nov - 12:34

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