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Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit!

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MessageSujet: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyLun 9 Avr - 17:03






Le quotidien d’un gosse de riche pendant les vacances scolaire ? Et bien il n’est pas difficile du tout, c’est faire tous ce qui vous passe par la tête en ne se souciant que d’une chose le temps. Beaucoup disent le temps c’est de l’argent mais quand on a déjà beaucoup d’argent le temps c’est quoi ? Et bien le temps c’est du temps, le voir défilé se dire que l’on a que deux semaines pour profiter entièrement de ses journées avant de retourner en cours et dans le train train quotidien. Pour ceux qui connaissent Andrea ils savent qu’il adore aller en cours, qu’il aime son quotidien qui est fait de sport, de cours et de sortie. C’est sur qu’il est dans une énorme routine mais que cela ne le dérange pas. Uniquement parce qu’il sait que quand les vacances arrivent tous change, bien sur il fait encore du sport, qui est un passage obligatoire pour le jeune homme, il sort toujours autant mais jamais dans les mêmes villes, pour ne pas dire pas dans les mêmes pays.
Pour les vacances de Pâques il a décidé de faire sobre, une petit semaine en Italie avec ses parents toujours entrain de leur mentir sur le fait qu’il est en couple avec Lina, toujours obligé de répondre aux phrases comme « Pourquoi elle n’arrive jamais en même temps que toi », ou autre phrase du genre. Mais bon la semaine c’est très bien passé, jouer le petit couple devant papa maman. Partager le même lit qu’une déesse et ne rien fait ce n’est pas beau l’amitié ? Les mecs qui tueraient pour être dans le même lit que Lina sont nombreux mais lui ne touche pas à la belle. Bien sur il y a toujours les pseudos jeux de séductions, pour voir si l’un ou l’autre craque mais pour le moment personne n’a craqué.

Après cette semaine en Italie direction l’Amérique mais pas San Francisco, l’endroit ou il vit toute l’année. Un petit tour dans un hôtel le plus luxueux de Las Vegas, les mauvaises langues comme Cassandra diront qu’il est dans cet hôtel pour se rappeler du premier de l’an. Jour ou il c’est marié avec une femme qu’il ne connaissait pas. Ce soir là et bien ils avaient tous les deux passé leur première soirée de mari et femme dans cet hotel grand luxe ou ils avaient fait l’amour sans protection mais fort heureusement à part le mariage il n’y eut pas d’enfant.
Revenons-en au passé proche. Arrivé dans cet hôtel somptueux dans un hélicoptère emprunté à papa. Une fois arrivé en hélicoptère vous pouvez être sur qu’il y a une dizaine de nana qui traine pas loin histoire de voir si ce n’est pas un acteur connu ou quelque chose dans le genre. Et non mesdemoiselles ce n’est que Andrea, chose qui ne les a pas dérangé, après dix nanas venus pour le dragué il réussit à se diriger vers sa chambre avant de… tomber nez à nez avec une fille qu’il avait déjà vu à Berkeley, une fille qui devait être une Gamma. Lui expliquant qu’elle était la fille du patron, mais bien sur encore une intéressé par son argent, il l’a donc gentiment écarté pour enfin retourner dans sa chambre.
Une heure après la porte s’ouvre, la demoiselle en question entre lui tendant plusieurs montres hors de prix, il n’avait qu’à en choisir une pour la porter. Surpris mais sans se démonter il en pris une. Commençant à l’essayer elle lui ôta des mains pour la casser devant ses yeux. Lui lançant un petit « Toujours pas convaincu », avant de partir. Il fut surpris de voir une jeune femme comme ça mais se dit qu’elle lui plairait bien. Malheureusement il n’était là que pour une soirée et n’eut pas le temps de faire plus ample connaissance avec la belle.

Puis vint le moment de partir, un coup d’hélicoptère pour se trouver à Los Angeles, la cité des anges mais surtout là ou sont les plages préféré du bel Italien. Pour se mettre en forme direction un petit footing d’une heure sur les cotes. Puis après un bon petit repas direction les plages, moment préféré du jeune homme. Torse nue beaucoup de filles se retournant vers lui, caché derrière c’est lunette de grande marque en train de regardé qui se trouve sur cette plage, qui se trouve de beau surtout.
Après dix minutes de marche (oui la plage est longue) le voilà enfin couché sur sa serviette, un moment de repos qu’il apprécie. Chose rare ce qu’il ignore encore c’est que l’Amérique n’est pas assez grande pour que deux gosses de riches ne se croise pas…

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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyMer 11 Avr - 15:10

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Le début du printemps, et donc des vacances de Pâques. Quoi de mieux pour décompresser que de prendre du bon temps au soleil loin de San Francisco ? En profiter pour voyager, faire les magasins, dépenser beaucoup d’argent, et boire des litres d’alcool ? Eileen avait bien l’intention de profiter de ces deux semaines de répit, pour s’amuser, faire de nouvelles rencontres, loin des cours et du brouillard de San Francisco. Première étape de ses vacances bien méritées, Vegas, son chez elle pour une semaine de pure folie. Semaine de dingue en perspective, entre soirées avec ses amis de Sin City, parties de poker endiablés elle n’avait pas eu une seconde à elle. Elle avait au moins eu l’occasion de voir son père, et de partager quelques déjeuners rapide avec lui. Elle s’était bien éclatée cette semaine à voir du monde, mais désormais elle avait besoin de repos, loin de l’agitation de Vegas. Elle savait exactement ou se rendre pour ça, Los Angeles. Elle adorait cette ville, ses nombreuses boutiques de luxe, ses plages de sable blanc interminables, l’ambiance en générale.

Elle avait pris son Jet privé de Vegas, histoire d’arriver rapidement à destination. Elle avait loué une suite dans un très célèbre palace de la ville pour la semaine. Los Angeles ville du paraître, de l’argent, si Vegas devait disparaître de la carte, c’est sans doute ici qu’elle viendrait vivre. Le soleil, les boites nuits, les célébrités, et les cocktails, une ville de fête qui ne dormait jamais, tellement plus joyeuse que New York. Elle arriva à l’aéroport en début d’après midi, les températures étaient chaudes et le soleil brillait, ce qui lui donnait le sourire. Caché derrière de grosses lunettes de soleil doré, elle sauta dans sa limousine histoire de déposer ses valises dans sa suite. Elle savait qu’elle allait passer une superbe semaine car elle ne s’ennuyait jamais à Los Angeles et elle connaissait pas mal de personnes plus ou moins notoires dans cette ville de strass et de paillettes. Une fois au palace, elle ne voulait pas perdre une seule seconde, elle savait que cette dernière semaine de vacances allait passer à une allure folle. Son père lui avait assez répété que le temps : c’est de l’argent !

Elle vida immédiatement le contenu de sa valise sur le lit king size afin de trouver un maillot de bain. Dans un sac de plage elle mit une serviette de la plage, de la crème, quelques magasine et son MP3. Elle adorait bronzer sur sa serviette, regarder les gens passer devant elle planquée derrière ses lunettes de soleil monogrammé, siroter quelques coupes de champagne les pieds dans l’eau et voir sa peau se dorer sous l’effet des rayons. Tout sentait l’été, et Eileen adorait particulièrement l’été. Il fallait dire quelle était habitué aux températures de Vegas, ville en plein désert ou il faisait toujours chaud. Elle enfila une robe et marcha vers la plage. Dehors on se serait cru en plein mois de juillet, les gens étaient tous en robes, ou short, les plages étaient bondés, certains courageux osaient se baigner, mais la plupart des gens se contentaient de bronzer. Eileen marcha dans le sable brûlant, regardant l’océan à perte de vue, les cheveux au vent, elle était particulièrement belle. Elle posa sa serviette sur le sable, et retira avec élégance sa robe, se retrouvant en bikini, se qui mettait particulièrement son corps en valeur. Elle remarqua que plusieurs types se retournèrent sur elle, elle se contenta de sourire, avant de s’allonger. Enfin un peu de détente !

Elle se pencha vers son sac afin d’attraper sa crème solaire quand elle remarqua le type allongé sur la serviette d’a coté, elle n’y croyait pas ! Andréa de Rossi ! Un type de sa confrérie à Berkeley, un sacré crétin pour le coup. Elle l’avait croisé au Wynn à Vegas la veille et il ne l’avait même pas remise. Il l’avait prise pour une autre fille, et il ne l’avait pas cru lorsqu’elle lui avait avoué que son père possédait plusieurs hôtels sur Vegas et qu’elle était incroyablement riche. Il l’avait prise pour une de ces filles qui tombaient à ses pieds parce qu’il était plein aux as, mais Eileen était sans l’ombre d’un doute encore plus riche que lui, il l’avait snobé, elle n’avait pas apprécié ! Eileen avait la farouche tendance de se vexer facilement et d’être incroyablement susceptible malheureusement pour lui, elle ne s’était pas gênée pour lui jouer un sale tour. Elle avait dévalisé les plus belles bijouteries de Vegas en montres hors de prix, diamants, pierres précieuses et avait débarqué dans la chambre d’Andrea. Elle lui avait proposé d’en choisir une, cadeau de la maison. Puis avait détruit celle qui l’avait choisie d’un coup de talon par pure provocation, pour lui montrer à quel point son argent lui importé peu. Les autres elle les avait balancées par la fenêtre, du gâchis, oui, sans doute, mais il avait fait ressortir ce qu’il y avait de pire en elle, ses manières de petite fille pourrie gâtée ! Puis avec un sourire, elle était partie, elle savait qu’il avait compris à qui il avait à faire après cet épisode. Elle avait voulu le revoir à Vegas, mais on lui avait dis qu’il était reparti, qu’il n’était resté qu’un week end pour jouer et s’amuser en secret !

Elle laissa tomber sa crème et se releva s’approchant de lui, avec un grand sourire aux lèvres et tout en admirant les courbes parfaites du jeune homme elle ajouta.


- Andrea de Rossi, tiens donc, comme on se retrouve ! Le monde est petit …
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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyVen 13 Avr - 20:34






Ce qui était bien mieux que l’Europe en Amérique c’est que l’on prenait l’avion pour un oui ou pour un non, le transporteur le plus rependu étant bien sur l’avion. C’été déjà quelque chose de plus facile, il n’y avait pas autant d’attente dans les aéroports américains que ceux d’Europe. Mais ce qui plaisait le plus à Andrea c’était le nombre de climat qu’il y avait. Envie de froid (chose qu’il avait rarement) il lui suffisait d’aller vers le Canada ou les températures étaient souvent négatives voir même très négatives. Envie de chaud descendons vers le Mexique ou il fait toujours chaud, il y avait ensuite les climats tempérés. C’était ce qui avait toujours surpris Andrea mais aussi ce qui lui plaisait le plus, lui qui adorait la mer le soleil se retrouvait le plus souvent sur la cote entrain de bronzer, il avait même appris à surfer. Il y allait très peu tout simplement parce qu’il n’était pas fan de l’eau. Oui surtout ce que l’on peut y trouver, il se voyait mal revenir avec une jambe en moins, c’est pas tellement la mode à New York. Donc voilà il savait un minimum surfer mais la seule fois ou il avait surfé plus d’une demi heure c’été à Dubai. Ils n’ont rien donc ils créaient tout et avaient cette fois ci créé une vague artificiel, que du plastique et de l’eau pas de place aux requins le pied quoi.
Donc oui Andrea vivait à San Francisco mais dès qu’il le pouvait il partait de cette ville qui lui rappelait trop les cours, trop Berkeley (bien qu’il apprécie toute cette ambiance). Il allait souvent à Las Vegas, il ne jouait pas mais aimait cette ville la nuit, il y avait une ambiance de fou. Il y avait quelque souvenirs, enfin non souvenir plutôt, c’est là bas qu’il a épousé sa femme. Une femme qu’il a rencontré et épousé dans la foulé, il n’y a qu’en Amérique que l’on peut faire ça. Ensuite l’endroit qu’il apprécie beaucoup aussi c’est Los Angeles. Endroit qui avouons le tous a toujours fait rêver les gens, quand vous pensez Amérique certes vous voyez les université ou toutes les filles sont belles et chaudes et ensuite Los Angeles. Vous voyez les filles entrain de faire du patinage. Mais c’est aussi les belles voitures, les belles femmes et les magnifiques plages, qui prennent plus de place que la ville. Puis bon ou trouvez vous un endroit ou juste a coté de la plage vous avez tout de suite les gratte ciel ? A part ici nulle part.

Tout ça me fait pensé à une chose, ce qu’adore le plus Andrea c’est roulé sur les étendus Américains qui séparent les états. Pas de flic, pas de radar (contrairement à l’Europe), un moyen simple de joindre deux villes en profitant des voitures de luxes que collectionnent le bel italien. San Francisco pour ça est très dangereux, ville ou il y a des bosses partout, ou votre voiture si vous allez trop vite décolle et c’est toujours la réception qui pèche, surtout quand votre voiture est rabaissé au maximum, enfin je m’égare.
Le prochain investissement du jeune homme serait à coup du un hélicoptère, il voulait apprendre à le piloter et prendre un petit avec un nom d’insecte, le genre qui passe partout qui prend pas de place et qui ne fait pas berline de l’hélicoptère. Puisque l’on parle hélicoptère parlons argent et plus précisément l’argent du jeune blond. Bien sur que la belle blonde qu’il a rencontré à Las Vegas est surement tout comme lui une fille de riche, elle est même surement bien plus riche que lui. Mais la différence c’est qu’Andrea a fait fructifier son capital et que maintenant il peut satisfaire ses caprices tous seul. Tout l’argent que son père lui a filé a été investit dans la bourse, bourse qu’il a totalement dompté et qui lui rapport des millions de dollars par mois. Pour le moment le jeune homme ne c’est pas attaqué à l’hôtellerie mais a pas mal d’appartement et de bâtiment qu’il lou au quatre coin de l’Amérique et de l’Europe. Voilà ce qui lui assure une vie sereine sans l’aide de papa, Eileen peut elle dire ça ?

En parlant de la belle blonde, il fut tout de même très surpris de la voir là, a croire qu’elle le suivait. C’est sur si elle avait voulut le suivre elle aurait pu, mais arrête d’être parano jeune italien, elle en a rien à foutre de toi. Il leva la tête toujours les lunettes sur le nez et les bijoux au nvieau de sa tête. Il avait une montre neuve, oui il avait tellement trouvé jolie la montre que lui avait offerte la blonde l’espace de quelques minutes qu’il avait acheté la même en édition limité « Incassable », cette édition limité l’avait bien fait rire rien qu’en repensant à ce qu’elle lui avait fait vivre l’autre soir.
Comme quoi même si il commençait a avoir des manière de gosse de riche il avait encore beaucoup de chose a faire et surtout à ne pas faire pour devenir comme elle. Voulait il comme ses gosses de riches imbus d’eux même ? Pas vraiment mais c’est ce qu’il devenait petit à petit et ce nouveau lui ne lui déplaisait pas, pas du tout même…

    Eileenn, miss hotel comment vas-tu ?

Il était content de la voir, une tête connue, enfin un minimum connu sur cette plage ne ferrait pas de mal

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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyLun 16 Avr - 22:37

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Eileen ressentait toujours la même chose lorsqu'elle retombait par hasard sur des gens qu'elle avait connue, rencontrer ou simplement croisée. Soudain, elle se rendait compte que le monde était vraiment petit. Malgré tout dans le cercle très fermé des personnes très riches il n'était pas rare de tomber sur quelqu'un que l'on avait déjà vu auparavant. Les riches se refilaient les bonnes adresses, et se rendaient souvent dans les mêmes endroits, des bulles aseptiser qui suintaient le fric et les privilèges. Les meilleurs hôtels du monde, les longues plages de Californie, ou les chalets privés à la montagne. Ce qu'elle ne supportait pas en revanche s'était de revoir des gens qu'elle aurait préférée oublier à jamais, des coups d'un soir, des partenaires de soirées qui l'avaient vus dans des états lamentables ou encore des fils à papa qu'elle avait plumé aux meilleures tables de Vegas. Mais la politesse obligeait, et elle n'était pas n'importe qui, elle portait un nom connu dans le cercle très fermé des milliardaires, ceux qui possédaient tant d'argent qu'ils ne savaient plus quoi en faire.

Des fois, elle aurait voulue être une parfaite inconnue, juste l'espace d'une journée afin de voir ce qu'était vraiment la vraie vie, le travail, l'effort, toutes ces choses qu'elle ne connaissait pas. Devoir économiser pour s'acheter quelque chose, faire attention à ses dépenses, tout lui paraissait si irréel, elle avait toujours tout eu sur un plateau d'argent, mais étais ce vraiment plus facile ? Quand on a tout, c'est l'ennui qui s'installe peu à peu. Eileen connaissait bien l'ennui, alors elle flambait, dépensait, jetait l'argent par les fenêtres, et ça lui plaisait, lui offrant un sentiment de puissance dans son existence si futile et des plus inintéressante. Elle savait depuis longtemps qu'avec la fortune que possédait son père elle n'avait pas le droit de se plaindre mais souvent elle l'aurait voulue. Car mise à part tous ces billets et sa belle gueule, elle souffrait, de l'absence de ses parents, de tout l'amour qu'ils ne s'étaient pas donnés la peine de lui offrir, le remplaçant par des cheques. Elle aurait aussi aimé avoir de vrais amis, mais à Vegas c'était impossible, les gens faisaient semblant d’être amis avec elle pour son argent et pour les privilèges qu'ils pourraient en tirer. Et puis Eileen était sans arrêts escortée par des gardes du corps à Vegas, ce qui en dissuadait plus d'un, intouchable, sans l'ombre d'un doute, mais seule au monde aussi.

Elle venait de revoir Andréa sur la plage, et elle savait d'ores et déjà qu'il était le genre de mec avec qui elle pourrait bien s'entendre. Tout d'abord il ne serait pas intéressé par son argent, et elle voyait en lui une certaine dose de folie. Il lui manquait une amie pour faire les pires conneries imaginables. Néanmoins, elle ne connaissait pas ce type, il était plutôt discret sur le campus, par le genre à se faire remarquer pour un oui ou un non. Mais c'était les vacances, l'occasion de se lâcher, de faire n'importe quoi, et puis Eileen était venue seule à L.A, peut être qu'Andrea aussi. Elle s'abaissa et dégagea du revers de la main les grains de sable sur la serviette d'Andrea avant de s’installer. Sans gène, sans doute, ses manières de gosse de riche qui la rattrapaient. Elle releva ses lunettes de soleil et les posa sur le haut de son crane, plongeant ses yeux bleu azur dans ceux du bel italien. Sans qu'il s'y attende dans un geste précipité elle attrapa son poignet, celui sur lequel était accroché une très belle montre, à l'identique de l'exemplaire qu'elle lui avait offert à Vegas, avant que cette dernière ne finisse fendue par un talon aiguille. Elle ne put s’empêcher de rire, avant d'ajouter :

J'ai toujours eue bon goût en matière de montre, mais tu devrais faire attention avec celle ci, il serait dommage qu'elle atterrisse entre de mauvaises mains, ou plutôt sous de mauvais talons mal-attentionnés.

Sur ce, elle reposa ses lunettes de soleil sur l’arrête de son nez, ne se gênant pas pour au passage reluqué le corps parfait d'Andréa et ses abdos incroyablement bien taillés. Elle devait l'avouer il était vraiment beau. Elle réagis alors au surnom qu'il venait de lui donner, miss hôtel. Miss, elle n'apprécié par forcement, surtout qu'elle se souvenait encore de leur fraiche rencontre, il ne l'avait pas cru, et Eileen était susceptible et rancunière, Andréa avait intérêt à s'accrocher si il voulait gagner sa confiance, malgré tout un petit quelque chose faisait qu'elle l'appréciait. D'un ton cinglant avec un sourire provocateur elle ajouta :

Eileen suffira n'en fait pas trop, par contre si tu veux m'inviter au restaurant ce soir pour t'excuser de ton comportement à Vegas j'accepte.

Sur ce, elle approcha son visage du sien, jusqu'à presque le frôler, quelque part entre la drague et la pure provocation. Au dernier moment elle se recula, ria et se releva, attrapant au passage le téléphone d'Andrea qui était négligemment posé sur sa serviette. Elle entra dans le menu répertoire et s'y ajouta – Eileen Rosenbach 415 888 9309 – Une fois fait, elle lui relança l’appareil qu'il rattrapa en vol. Elle était sur le point de retourner vers sa serviette quand au dernier moment elle se retourna.

- Passe me prendre à 20 heures, je suis au Beverly Hills Hôtel.

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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyMar 17 Avr - 18:25






Presque pathétique à dire mais tellement vrai, l’argent attire l’argent, les lieux ou vont les gens fortunés ne sont pas si nombreux que ça et ne cessent d’attirer de plus en plus de mon fortuné. Voilà pourquoi Andrea ne jouait aux gens riche que pendant ses vacances, quand il était en cours et qu’il partait en week-end la plupart du temps il arpenté les bars assez miteux, c’était toujours un moyen de trouver des gens différents et parfois même de trouver des filles un peu moins superficielles. Enfin tout avait petit a petit évolué chez Drea lui qui était quelqu’un de posé, qui sans savoir la valeur de l’argent n’aimait pas forcement montré qu’il été riche. Bien sur un en bon fils de femme dans la mode il avait toujours des tenus hors de prix, de grandes marques quand ce n’était pas de grands stylistes. Il avait aussi des bijoux hors de prix, des voitures de luxes, mais avant jamais vous ne l’auriez vu sur cette plage privée. Jamais vous ne l’auriez vu entrain de snober quelqu’un de plus pauvre que lui.
Malheureusement pour lui, heureusement pour certains il avait un peu évolué, il n’était pas encore odieux mais petit à petit il glissé vers cette façon de faire, fils à papa quoi ! Forte heureusement il n’était comme ça que durant de rares occasions, aujourd’hui par exemple, entouré de gosse de riche il aurait une attitude hautaine si quelqu’un qu’il ne connait pas et un peu bohémien sur les bords venait l’accosté. Mais il n’oublie jamais qui il est et les amis qu’il a. Si vous êtes potes avec lui, argent ou pas il s’en moque, il ne cherche jamais ça chez les gens.

Enfin bref, aujourd’hui il était en mode « Connard de riche », oui c’était une option que tous les enfants de riches avaient, vous savez l’attitude je me la joue et pourtant l’argent que j’ai-je ne le dois qu’à papa. Et alors être riche peu importe la manière c’est toujours quelque chose de bien non ? Il fut assez content de voir arrivé la belle Eileen, une blonde fille de riche. Elle avait beau se sentir supérieur et imbus d’elle-même elle n’en était pas moins sympathique aux yeux d’Andrea. Elle savait certainement a qui elle avait affaire et c’été peut être pour ça qu’elle était agréable. Il ne pu s’empêcher d’esquisser un sourire quand elle lui parla de sa montre et de talons qui pouvaient s’égarer. Cette fois-ci il ne se ferrait pas avoir, la montre étant a son poigné, la jeune femme prendrait de gros risques face à cette homme qui n’avait pas de limite. Bien sur quand je dis pas de limite tout reste dans la limite du raisonnable. Mais elle avait beau être aussi bien habillé qu’elle voulait, aussi belle que le voulait et aussi riche qu’elle le voulait. Approcher un pied à talon de son bras étalé sur la serviette lui vaudrait surement une petite balayette dont il a le secret.
Enfin même pas la peine de la faire tomber, la jeune femme s’installa à coté de lui sur la serviette et aussi rapidement qu’elle c’était assise se leva à nouveau. Elle était surement hyperactive, enfin pas de la même façon que lui mais elle ne devait pas tenir en place…

    Oula une fois pas deux. La prochaine fois je ne serais pas aussi facile a avoir. J’étais surpris qu’une petite femme de ménage m’offre une montre comme celle-ci. Mais tu sais ce que j’ai vu en sortant de l’hotel à Las Vegas ? Un vendeur de montre, des fausses montres à la sauvette quoi, bizarrement il y avait toutes les mêmes styles de montre que tu m’as proposés…

Disait-il vrai ? Bluffait-il ? Sur son visage impossible de le savoir, mais même si il bluffait il savait pertinemment que la jeune femme allait rapidement s’énerver. Elle avait l’air susceptible et rancunière une femme avec du caractère tout simplement comme le jeune homme les aime. Il savait pertinemment qu’elle devait être pleins aux as, mais lui ne jugeait pas les gens sur ça loin de là. Il fallait lui prouver sa vraie valeur, le jeune homme totalement fou, totalement cramé avait beaucoup de conneries à son actif. Que se soit avec des gens très riches comme des gens très pauvres, l’argent fait le bonheur, l’argent fait le divertissement, mais pas besoin d’argent pour être heureux et amusé.

    Passez te chercher chérie ? T’en rêves toutes les nuits depuis qu’on c’est rencontré ou quoi ? Tu prend ta baguette de pain et ton jambon tu fera un casse croute que tu mangeras sur la plage en pensant a moi ok ?

Que cherchait-il ? Simplement a la faire redescendre sur terre, lui était tranquillement sur sa serviette et elle venait lui imposer ce qu’il ferrait ce soir. D’un coté il trouvait ça très amusant très mignon même, il n’avait jamais connu de femme assez directrice, assez possessive comme elle pouvait l’être. Le jeu pouvait en être bien plus amusant. Entre le fait qu’il lui fasse croire qu’il doute de sa richesse et le fait qu’il refuse ou joue un peu de ce qu’elle lui demande. La fille à papa allait être servit, tombé sur un mec qui n’est surement pas a sa botte comme peuvent l’être les autres. Une chose est sure dans la tête de Drea, ils peuvent très bien s’entendre pour peu qu’elle est de l’humour.

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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyDim 22 Avr - 16:20

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Le soleil brillait sur les plages de Californie, les températures étaient vraiment très chaudes pour un mois d’avril. Planquée derrière d’épaisses montures noires, Eileen guettait le monde d’un œil critique. La plage était interminable, le sable fin et la mer d’un bleu profond, le doux bruit des vagues avait quelque chose d’apaisant, d’extrêmement relaxant. Malgré tout, il lui manquait une chose pour vraiment profiter de ses vacances, une personne avec qui les partager, quelqu’un d’aussi riche et fou qu’elle, sans limites, un homme de préférence. Eileen était une éternelle séductrice ; et elle savait qu’elle ne laissait pas les hommes indifférents, elle avait une classe naturelle, un petit quelque chose en plus qui fait toute la différence. Et, elle était prête à tout pour les mettre à ses pieds, et elle préférait quand le jeu n’était pas gagné d’avance, elle aimait se battre afin de mieux savourer sa victoire par la suite. Question de tactique, d’audace et de manipulation.

Eileen était ce genre de fille qui sentait l’argent, la fortune, qui en jouait quelques fois pour parvenir à ses fins, malgré tout, elle n’était une de ces garces égocentrique qui se prenait pour le nombril du monde. Elle ne se moquait pas des gens moins bien tombés, c’étaient des valeurs morales que lui avaient inculqué ces parents. Ils savaient que Vegas était une ville dangereuse et que plus qu’ailleurs, la richesse pouvait se faire ou se défaire en quelques secondes. Etre riche au début du Strip, ruiné à la fin. Oh, combien elle avait vu des gens tout perdre, devenir accro au jeu, tomber dans la dope, finir par perdre leurs jobs, leurs mariages, leurs momes et même leurs maisons, pour quelques cartes et quelques doses de crack. Eileen avait appris à rester une personne simple avec des valeurs, elle refusait de laisser l’argent lui monter à la tête même si ce n’était pas une chose aisée. Elle restait malgré tout, une fille de milliardaire, avec ces défauts, dépensière, trop bavarde, et plus que tout, elle n’avait pas pour habitude qu’on lui refuse quoi que ce soit.

Andréa était entrain de jouer avec elle, de la pousser à bout, elle savait que tout les deux allaient bien s’amuser mais pour le moment ils se lançaient quelques piques à la figure, le tout dans une tension séductrice. Oui, Andrea jouait à la perfection son rôle de petit con blindé de pognon, savamment gagné par papa maman. Il avait apporté tout l’attirail du fils de riche, montre en or sertie de diamants, serviette de plage de couturier, smartphone dernier cri, lunettes de soleil de luxe, le tout surplombé d’un sourire ravageur et de muscles en béton armé. Ils n’étaient pas si différents, presque semblables, si elle avait était un mec Eileen aurait pu être comme lui, des paroles piquantes, un air supérieur. Mais aujourd’hui, elle avait tellement envie de jouer elle aussi, à la parfaite idiote extrêmement susceptible, à la gamine pourrie gâtée, rôle qui de toute façon lui allait à la perfection. Montrer son vrai visage ? Jamais, et pourquoi le ferait elle d’ailleurs ?

- Le même genre de montre que je t’ai proposé tu dis … Sérieusement un type aussi riche que toi ne sait pas faire la différence entre une vraie et une fausse montre ? Tu es sur que tu es si riche que tu le prétend ? Je devrais dire à mon père de faire plus attention aux clients qu’il reçoit, sait on jamais tu pourrais juste être un pauvre mec qui avait envie de claquer sa paie à Vegas pour se sentir plus riche qu’il ne le sera jamais ?

Elle haussa les sourcils et le regarda avec un grand sourire provocateur. Elle ne quitta pas son regard, enfonçant ses yeux azur dans ceux du jeune homme. Elle voyait bien qu’il bluffait, elle n’était pas une redoutable joueuse de poker pour rien après tout, elle savait reconnaître les menteurs, les bluffeurs, et les gens simplement cons. De plus Eileen, étudiais la psychologie, non, il ne la manipulerait pas si facilement avec quelques phrases mesquines bien placées. Par provocation, elle lui avait demandé de l’inviter au restaurant, elle savait qu’il finirait par accepter après avoir joué encore un peu son rôle de crétin. Elle savait qu’il n’était pas stupide, sinon il ne serait pas à Berkeley. Après tout cette université était réputée dans le monde entier, et la richesse ne semblait pas y être un critère d’admission suffisante, quelques capacités mentales étaient nécessaires.

- Tu ne veux pas m’inviter parce que tu ne me connais pas ou parce que tu as peur de te prendre la vérité en pleine face chéri ? Sinon oui, j’ai pas mal rêvée de toi depuis qu’on s’est rencontrés sauf que tu portais beaucoup moins de fringues sur toi et que tu ne parlais pas, t’étais occupé autrement. Si tu vois ce que je veux dire ? Sinon pour ce qui est du « casse-croûte » très peu pour moi, mais si tu me cherches tu as mon numéro.

Elle voyait le visage du jeune homme perdre son si beau sourire, il ne devait pas être habitué à rencontrer des femmes si directes, mais Eileen était convaincue que tout lui étaient dus, et elle ne se gênait jamais pour dire ce qu’elle pensait peu importe si ça déplaisait à certain. Elle avait une grande gueule et ce n’était pas près de changer. Elle se rabaissa à la hauteur d’Andrea, le sourire ou lèvres et lui murmura.

- Fais pas cette tête, tu vas trouver assez d’argent d’ici à se soir pour me rappeler, et du courage aussi.

Elle déposa un baiser sur sa joue, et se releva, elle attrapa ses affaires et partie s’installer bien plus loin sur la plage, elle avait décidé de le laisser mariner, voir, si il allait la rappeler.
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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyDim 22 Avr - 17:19






Le Paradis surement que c’est au moins la quinzième fois que je le dis mais c’est vraiment le cas. Un coin de paradis dans ce printemps qui pour le moment n’avait pas forcement été clément au niveau du temps. Aujourd’hui pourtant la température avoisiné les 30 degré, pour un mois d’avril une température énorme. Andrea ne connaissait pas la plage ou il se trouvait, c’été même la première fois qu’il allait à la plage en Amérique. N’oublions tout de même pas qu’il fait office de nouveau sur ce continent. Depuis le mois de septembre 2011 et son arrivée il en avait fait des choses, un nombre incalculable mais la plage été une première. Le sable était beaucoup plus fin que celui en Italie, l’eau était plus bleu et avait l’air bien plus agités, normal en Italie la mer était celle Méditerranée, plus proche d’un lac que d’une piscine à vague. Enfin voilà tout ça pour dire qu’il était assez étonné de comme tout se passait ici. Il avait pour la première fois de sa vie choisit d’aller dans une plage privé, on paye à l’entrée mais on a le droit à beaucoup d’avantages. Le premier est simple celui de ne pas avoir de gamins qui courent prêt de vous et qui hurlent, il ne supporte pas ça. Le second avantage c’est le droit a avoir quelqu’un qui vient vous servir et le droit à une plage propre.
Pour les gens avec un salaire normal ou moyen c’est un comble de payer pour un droit naturel, mais quand vous avez de l’argent c’est un bon moyen d’acheté le confort et la tranquillité au bord de la mer.

Il devenait de plus en plus riche et se prenait de plus en plus de plaisir de riche. Il restait le même mais évolué au fur et à mesure qu’il gagnait lui-même de l’argent. Quand il était fils à papa (même si il a toujours plus été le style de fils à maman), il ne dépensait pas tellement ou simplement pour des maisons, des voitures et des fringues. Maintenant qu’il construit petit à petit son empire il claque de la tune n’importe comment. A-t-il cette peur de l’échec ? Et bien non, puisque l’échec ne fait pas du tout partie de son vocabulaire. Fils de riche il sait qu’il a derrière lui un fond quasiment illimité au cas où. Il sait aussi que son intelligence et surtout son coté surdoué fait qu’il ne prend que très rarement des mauvais choix. Il n’est pas du tout accro aux jeux et n’aime pas boire quand il est à table. Donc les dépenses ne sont pas si importantes que ça quand on voit les gains qu’il a. Un De Rossi store vient d’ouvrir en Italie, c’est un peu le concurrent de Virgin Store, bien sur pour le moment à une échelle bien moindre et surtout une concurrence toute légère et pourtant il gagne déjà énormément d’argent et projette d’en ouvrir un second en France.
Revenons en tout de même à la petite blonde qui se présente devant lui. Surement le genre de femme a qui l’on a jamais dit non, qui ne connait peut être pas ce que signifie le mot non. Elle tombe sur un Andrea bien foutu qui forcement lui plait ne serait ce qu’au niveau du corps. Mais surtout un Andrea qui la bouscule un peu, elle qui a surement l’habitude que les gens lui mangent dans la main. Que se soit grâce à son physique ou grâce à son argent, qu’importe le flacon pourvut qu’on est l’ivresse non ?

    Dire à ton père de ne pas accepter ceux qui lui donnent ton argent. Franchement tu entends parfois ce que tu dis ou sa ne fait que raisonner dans ta tête. Que je sois riche ou simplement un travailleur qui veut se la jouer il ne me recalera pas à l’entrée. Rassure toi pour ce qui est des montres d’habitude je fais la différence, mais tu as été assez subtile pour ne pas me laisse assez de temps pour vérifier les points importants.

Plus intelligent, plus cultivé que la jeune femme c’été sur mais voilà elle avait un petit quelque chose qui lui plaisait. Oui elle était agréable à regarder et comme Andrea n’aime pas trainé avec les gens au physique ingrat c’est déjà un bon point. Mais elle essayait aussi d’avoir de la repartie, elle avait donc un coté piquant qui lui plaisait bien. Berkeley uniquement un endroit qui attire des cerveaux ? Sa se serait, non Berkeley reste le genre d’université qui a besoin d’argent et de simple frais d’admission ne servent pas. Le fait que papa ou maman donne de l’argent pour que la progéniture soit dans cette université rapporte bien plus.

    Joue pas aux grandes avec moi. Sinon on va tous les deux se retrouver moins habillé et tu ne parleras pas du couinera de plaisir. Pour le restaurant on verra bien si je ne trouve rien d’autre de mieux à faire.

Andrea sur de lui ? De plus en plus, sa pouvait même faire froid dans le dos parce que si il prenait trop confiance il ne deviendrait pas forcement un modèle pour les gosses si vous voyez ce que je veux dire. Elle était quand même très forte comme jeune femme, pourtant elle n’avait pas l’air vieille, même plus jeune qu’Andrea qui faisait office de mino à Berkeley. Il sourit à la dernière phrase, du courage ? Il ne pu s’empêcher de rire en voyant la jeune femme tourner le dos.

    On va dire que toi tu n’en manques pas de courages c’est surement pour ça que je te rappellerai, après pour ce qui est de l’argent je trouverais certainement une petite pièce au fond d’une de mes poches.

Voyant qu’elle partait il mit des écouteurs sur son portable et se coucha tranquillement profitant du soleil et du calme, surtout du soleil, ou peut être du calme…

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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyMer 9 Mai - 15:31

Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Tumblr_m2az172PV61rpwluto1_500




Eileen aimait par dessus tout se faire désirer auprès des hommes, elle savait que très peu d’entres eux étaient insensibles à son charme. Elle avait tout pour plaire après tout, un visage d’ange, de longs cheveux blonds, de grands yeux azur, une taille de déesse, et un sacré sens de la repartie. Elle ne ratait jamais une seule occasion de faire son show, de faire tourner quelques têtes. Aujourd’hui sa proie n’était autre qu’Andrea de Rossi et elle n’était pas prête d’abandonner si facilement. Un autre élève de sa confrérie, beau, avec des origines italiennes, et forcement riche. Rencontré à Vegas la veille, elle savait que pour le moment il ne la prenait pas au sérieux, la voyant comme une énième gamine prête à tout pour ses beaux yeux, il se trompait. Depuis leur rencontre, il jouait la carte de l’humour, de la nonchalance, il fallait avouer que le rôle de fils à papa ingrat lui allait comme un gant. Elle était malgré tout ravie de retomber sur lui aujourd’hui sur les longues plages de L.A. Elle ne savait pas encore pourquoi mais elle était persuadée qu’elle allait bien s’amuser avec lui, au fond ils n’étaient pas si différents. Pire encore, elle avait l’impression de le connaître depuis des années comme un vieil ami qu’elle aurait perdue de vue et qui aurait réapparu. Elle observa une dernière fois son corps musclé prenant le soleil avant de s’en aller. Elle savait qu’il allait la rappeler et sortir le grand jeu, il voulait en savoir plus sur Eileen, ça ne pouvait être autrement.

Eileen passa le reste de l’après midi sur Rodéo Drive, flânant entre les boutiques de luxe de Beverly Hills. Elle adorait faire du shopping à L.A, tout était tellement tendance, les prix exorbitants, les vendeuses incroyablement serviables, elle s’y plaisait. Elle était en quête d’une tenue chics mais pas trop, sexy mais pas vulgaire pour la soirée. Elle tomba rapidement sur une enseigne d’une nouvelle créature qui faisait des robes époustouflantes et en acheta plusieurs ainsi que les chaussures qui allaient avec. Elle fuma quelques cigarettes en marchant et s’arrêta prendre une glace à l’Italienne. Les desserts étaient sans l’ombre d’un doute l’une de ses plus grandes failles. Eileen raffolait des sucreries, pâtisseries et autres cupcakes multicolores. Par ailleurs l’un des desserts de la carte de l’un des restaurants du père d’Eileen portait son nom, elle l’avait elle-même conçue cet été avec le chef pâtissier. Il s’agissait d’un assortiment de fruits rouges nappés de chocolat blanc et reposant sur un lit de glace à la vanille le tout sur un fond de champagne, un pur délice. A cette pensée sa glace lui parut immédiatement moins bonne. Elle attrapa son smartphone dans son sac, toujours aucuns appels d’Andrea. Il n’allait pas oser lui mettre un lapin tout de même ? Elle soupira et monta dans un taxi afin de rentrer à son hôtel.

Arrivée dans sa suite, elle jeta ses derniers achats sur le lit et fonça prendre une douche. Si Andrea avait l’intention de la voir ce soir il ne tarderait plus à appeler. Elle décida de se préparer, après tout qu’il l’invite ou pas elle n’avait pas l’intention de rester enfermée dans cette suite. Los Angeles était une superbe destination pour faire la fête, et elle connaissait pas mal de personne dans cette ville. Elle y avait ses habitudes, ses clubs fétiches, ses bars préférés. Elle enfila l’une des robes qu’elle avait achetée plus tôt dans l’après midi, se maquilla et se coiffa. Elle regarda alors son reflet dans le miroir, elle était juste parfaite, des jambes fuselées, de longues mèches blondes qui retombaient en cascades sur sa poitrine. Son teint parfait, légèrement dorée, et ses yeux deux énormes pupilles bleues mises en valeur par quelques couches de mascara savamment appliquée. Elle était belle et elle ne s’en cachait pas, au contraire elle aimait en jouer. Sur son portable, toujours aucun signe d’Andrea, elle décida donc d’aller boire un verre au bar de l’hôtel histoire de faire passer le temps. Un fois dans le hall, elle remarqua que plusieurs types se retournèrent sur elle, elle se contenta de leurs répondre par un sourire des plus ravageur, avant de s’installer sur l’un des nombreux tabourets disponibles. Elle commanda une tequila sunrise, mauvaise habitude, addiction à la tequila.

En sirotant son verre, elle repensa à sa conversation avec Andrea plus tôt sur la plage. Elle avait remarqué qu’il aimait son sens de la repartie, sa grande gueule. Quant à elle, elle avait aimé la manière dont lui avait répondu Andréa, franc, naturel, direct, un peu effronté. Mais elle savait qu’il n’était pas ainsi à Berkeley, sinon il aurait fait des vagues et elle aurait bien plus entendu parler de lui. Soudain alors qu’elle était perdue dans ses pensées, son téléphone se mit enfin à sonner, un numéro s’afficha un numéro qu’elle ne connaissait pas. Elle savait que c’était lui, ça ne pouvait être personne d’autre, un large sourire s’afficha sur ses lèvres.

- C’est pas trop tôt, j’ai faillie attendre. Et j’ai faim, il parait que je deviens exécrable quand je suis affamée !

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MessageSujet: Re: Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! Los Angeles : Mon Dieu que le monde est petit! EmptyDim 13 Mai - 13:54








Les femmes belles, intelligentes, grande et tout ça ont toujours l’impression qu’elles sont les reines du monde, que rien ne peut leur arriver. Elles pensent surement que comme elles ont le physique qui va bien les hommes ne peuvent pas leur dire non, ne peuvent pas leur résister. Et pourtant ce qu’elles n’aimaient pas dessus tout c’est bien qu’on leur résiste, une femme quand vous lui mangez dans la main se lasse bien vite, mais quand vous n’allez pas dans son sens, quand vous la contredisez tout le temps alors c’est là qu’elles viennent gratter à la porte. Oui le fuis moi je te suis, suis moi je te fuis est totalement d’actualité. Voilà surement pourquoi Andrea avait souvent la même façon d’être avec les femmes qu’il rangeait dans la catégorie comme celle d’Eileen. Il les faisait galérer, les vannait, n’allait pas dans leur sens les rabaissaient. Les femmes en générale n’aiment pas ça, elles n’ont plus mais étrangement elles reviennent pourtant à la charge.
Bien sur Andrea savait bien qu’avec la belle blonde il ne s’ennuierait pas, elle avait le sens de l’humour mais aussi le sens de la repartie, elle ne faisait pas partie des filles de riches qui en plus de se penser les reines du monde n’ont ni conversation, ni la moindre intelligence. La petite se défendait bien, était elle au niveau du grand De Rossi ? Ce n’est pas sur mais elle avait du temps pour arriver à ce niveau ci. Il avait apprécié son entrée en matière avec les montres, une chose qui montrait bien qu’elle n’avait pas seulement beaucoup d’argent, elle avait aussi un honneur, de l’orgueil. Vous allez me dire c’est le genre de chose que l’on classe dans les défauts, mais lui ne devait pas être normal, il aimait bien les gens avec ses traits de caractères…

Andrea sur joué un peu le fait d’être un fils à papa odieux et mal élevé. Il n’était pas du tout comme ça même si être chez les EPSILONS, vivre avec une bande de gosse de riche à qui on ne dit jamais non l’avait quelque peu transformé. Il changeait pas forcement en bien aux yeux de ses parents mais lui trouvait qu’il se comportait comme un parfait Américain. Le rêve Américain, le fait d’avoir les choses les plus grosses et les plus brillantes, les faits de toujours vouloir être le premier. Il aimait bien ce coté très capitaliste de l’Amérique surtout qu’il y arrivait avec des cartes bien plus intéressantes que la moyenne. Papa et maman étaient loin, ne pouvaient donc pas lui reprocher de ce comporter comme ils ne voulaient pas qu’il se comporte, plus d’autorité, il pouvait enfin vivre sa jeunesse. Lui qui avait toujours été le gamin parfait, celui qui ne boit pas, ne fume pas, ne fait pas la fête et encore moins des conneries. Tout ça avait beaucoup, mais alors beaucoup changeait, pour le plus grand bonheur de ses amis.

La journée plage se terminant tranquillement, ne comptant même plus le nombre de filles qui lui avaient proposé d’aller faire un tour dans la petite cabane sur la plage. Comme si il n’y avait pas assez de beaux mecs sur la plage, il ne voulait pas croire qu’elles venaient toutes le voir lui. Sa théorie étaient simples, les filles qui voulaient un mec riche venait sur cette plage et passait un à un les mecs en revues. Essayait de les draguer puis il y avait ensuite surement plusieurs façons de le garder. Ce qui se fais souvent sur certaines iles ? Et bien avoir des préservatif troués, la femme tombe enceinte et hop quand vous avez un gamin avec une femme autant vous dire que vous allez cracher le pognon. Ou la tactique plus propre, le draguer, qu’il tombe amoureux et ensuite se marier avec lui. Oui vous n’imaginez même pas le nombre de femmes qui sont prête à tout pour se marier avec un mec riche, qu’il soit beau est accessoire. Mais s’il est beau et riche comme le bel Italien elles ont tout gagnés.
Après la plage direction un petit massage, le jeune homme ne se refusant pas grand-chose durant ses vacances. Pensait-il à rappeler la belle blonde ? Pas franchement, il savait pertinemment qu’il allait la rappeler, qu’il allait passer la soirée avec elle. Mais plus elle attendrait mieux c’été enfin à son humble avis. Voilà pourquoi il prit son temps ne l’appelant que vers 22h00, normalement une heure à laquelle on est déjà attablé, déjà un peu alcoolisé…

    Putain t’été entrain de rêver de moi ? Un seul bip, une réponse toute faite pour moi !

Dit il en riant, il était un peu sur le cul pour vous dire vrai, comme si elle avait attendu la soirée à coté de son téléphone pour que le beau blond la rappel. Presque pitoyable mais bon il savait que ce n’était pas le cas.

    Tu crevais la dalle alors à la plage non ? Bon t’es ou ? Prend un taxi est rejoint moi au Patina !

Il savait bien qu’elle allait vouloir qu’il vienne la chercher en voiture et tout ça mais pour le moment c’était bien plus intéressant de la faire un minimum marcher. Comme le fait qu’il est appelé la jeune femme alors qu’il n’était pas prêt, pas prêt du tout. Un moyen de la faire poireauter un max ! Odieux vous avez dit ? Non il pense à tout et aime bien ramener sur terre les femmes qui pensent pouvoir dompter le lion qui se cache à l’intérieur de lui.

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