the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

Partagez

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyLun 14 Mai - 21:47


Jules Dupuy
« On désire surtout ce que l'on ne doit pas avoir. »


Nous étions un Samedi matin le week-end était arrivé et tant mieux parce que je n’en pouvais plus des cours mais surtout de me lever le matin tôt, alors ce matin je pris le temps de me lêver tard. Je me réveilla brusquement car j’entendis soudain un gros bruit venant de la maison, j’ouvra mes petits yeux et regarda d’abord le réveil avant de me précipiter pour me lever. Heureusement il n’était que onze heures et demi, cela devait être mon colocataire qui avait laissé échappé quelque chose de ses mains ou bien qui était en train de faire je ne sais quoi. Je me frotta les yeux et m’étira durant quelques minutes et me décida de me lever, j’alla ouvrir la fenêtre pour entrevoir le beau temps dehors. Aujourd’hui allait être une merveilleuse journée avec un grand soleil, et qui dit soleil dés le matin dit bonne humeur. Car je détestait la pluie plus que tout, et puis on vas dire que ce n’était pas super agréable comparé à la chaleur du soleil qui vous tape dans le dos et sur tout le corps. Je laissa ma fenêtre ouverte et décida de descendre les escaliers pour aller en bas prendre mon petit déjeuner, je vis sur la table que mon colocataire avait amené le petit déjeuner. De bon croissant et chocolatine s’offrait à moi, quel délice. Je pris vite fait bien fait mon petit déjeuner et regarda le petit mot qu’il m’avait laissé, ensuite je remonta en haut et mit la musique à fond dans la maison. Je dansa au rythme de la musique jusqu'à aller à la salle de bain ou je me regarda quelques secondes, ensuite je prit le nécessaire pour rentrer dans la douche. Je laissa couler l’eau chaude sur ma peau cela faisait un bien fou il ne manquait plus qu’un petit massage et j’étais au paradis… Après dix bonnes minutes à me laver le corps et les cheveux je sortis alors de la douche pour me préparer, je me promena en serviette de la salle de bain à ma chambre. De toute manière je n’étais pas pudique et puis il n’y avait personne à la maison donc autant en profiter.


Je marcha jusqu'à atteindre mon immense penderie ou dedans il y avait des tas d’affaires et de paires de chaussures, une vraie collection de tout. On vas dire que je ne manquait pas vraiment d’affaires et ni de chaussures, au contraire à force je ne savais plus quoi me mettre et comment me vêtir chaque jour. Je restais quelques bonnes minutes devant comme à chaque fois, contemplant tous les vêtements qui s’offraient devant moi et hésitant sur la tenue que j’allais porter. Puis mon regard s’arrete sur une jolie robe à bretelle blanche en soie et pour la paire de chaussure, des chaussures caramel à talon. Mais il ne fallait pas oublier de choisir bien évidement un ensemble de sous vêtements coquet, j’en avais des tonnes là aussi les sous vêtements je n’en manquait pas. Je trouvais cela tellement sexy et important même si c’est en dessous des vêtements, mais bon quand on se déshabille devant une personne et bien elle se voit. J’avais opté pour des sous vêtements de couleur rouge car le rouge en dessous du blanc ne se voit pas, une petite tactique de ma mère qui connaissait tous les petits secrets de mode. C’est elle aussi qui m’avait apprit à m’habiller dans différents styles mais sans être vulgaire, car elle m’avait toujours dit que nous n’étions pas des petites couturières. Quand j’étais enfant ma mère était mon modèle vu qu’elle était la seule femme et que je l’accompagnais souvent à des défilés, galas et autres… Bref, je me mis en valeur dans ma belle robe blanche en soie. Il fallait que je me peigne les ongles des pieds et des mains avec une couleur rose saumon, et que je me maquille très légerement. Pour ne pas ressembler à une fille trop superficielle qui a un pot de peinture à la place du visage, mais bon avec mon teint assez matte de brésilienne j’avais pas trop besoin de fond de teint ! Je suis une femme très coquette qui aime prendre soin de moi dans n’importe quelle circonstance, je déteste être pas propre ou mal fringué. J’alla vite fait à la salle de bain pour une touche finale de maquillage ( léger coup de crayon noir et petit gloss rose clair pour faire ressortir mes lèvres), ensuite je laissa mes cheveux détachés et me les lissa pour aujourd’hui avec le soleil je ne risquait pas de ressembler à un caniche.


Il était dès à présent deux heures et demi environ, comme j’avais déjeuner tard je n’avais pas faim pour le repas du midi. Donc je décida de prendre ma voiture et d’aller faire un tour à l’agence de mannequinat comme chaque Samedi en début d’après midi, j’arrive à l’endroit avec ma petite voiture. Il y avait du monde pleins de mannequins, j’en connaissais quelques uns mais d’autres pas ! Puis je m’installa sur une chaise pour qu’on me prépare un peu pour que je fasse un shooting photo, le thème de ce shooting était glamour. J’allais poser avec deux autres jeunes femmes aussi jolies que moi, et donc il fallait être belle et glamour comme l’intitulé. Je joua avec l’objectif et j’étais maintenant habitué depuis tout ce temps à faire des shootings photos, il fallait aussi bien s’entendre avec ses camarades de photo mais les filles étaient sympathique. Ensuite il fallait que je reste pour faire un autre shooting avec un bel homme qui cette fois le thème s’intitulé l’amour entre hommes et femmes. On posa dans différentes positions et dans différents lieux, j’aimais être la reine derrière l’objectif et que tout le monde me regarde. Cela faisait maintenant un peu plus de deux ans que je connaissais cette agence et j’étais l’une des égéries d’ici, l’un des mannequins les plus connues quoi. Je pratiquais aussi des défilés de mode quand il y en avait et par moment on me demandé de coatcher les nouvelles, ce n’était pas toujours la mère à boire. Ensuite j’avais tout terminé, je demanda à l’une de mes amies de l’agence si elle souhaitait aller faire un tour en ville pour faire les magasins (comme si je n’avais pas assez d’habits hein). Elle accepeta avec plaisir, on se changea et nous voilà partit direction la ville. Nous étions arrivées et voilà tous les magasins s’offraient à nous, la carte bleue allait chauffer cette après-midi de beau temps ! Après plusieurs heures à entrer sortir des magasins, on avait pleins de poches à nos bras plus grandes les unes que les autres. Nous allons tranquillement nous reposer à boire un petit quelque chose avec cette chaleur dans un bar, on s’asseya et on commanda une boisson fraîche. On en profitait aussi pour bronzer et je lui demanda si ce soir elle avait quelque chose de prévue, car on pourrait aller s’amuser au Lexington Club.


La discothèque la plus branchée et huppée de San Francisco, elle accepta avec grand plaisir et demanda à l’une de nos amies en commun de nous rejoindre ce soir à l’endroit prévu. Il était maintenant temps de partir à la maison pour déposer toutes ses affaires et pour se pomponner un petit peu. Arrivé à la maison je déposa mes affaires dans ma chambre, je prit mon sac à main. Mais avant de partir nous mangeons quelque chose car on ne pouvait pas partir sans rien avoir dans le ventre, après avoir mangé la soirée allait commencé et nous sortions dehors pour prendre un taxi car cela était plus prudent ! On marcha jusqu'à trouver un taxis non loin, plus on fît signe au chauffeur de nous prendre, il s’arrêta et on monta dedans comme des folles et on lui donna notre destination. Dans le taxis on discuta et on rigola de la soirée qui allait être prévu, on envoya un message à l’autre fille pour qu’elle nous rejoigne. Après peu de temps nous voila arrivées à destination, déjà dehors il y avait du monde qui faisait la queue. On se mit tout derrière et on attendait notre tour pour que le videur nous fasse rentrer, c’était à nous on rentra dans la boîte et il y avait déjà de l’ambiance le son de la musique vibrait et on était au cœur de la fête. On alla directement au bar pour se commander deux bonnes vodka des chupito, je regarda un peu partout dans la salle pour voir si je ne connaissais personne mais aucune tête connu. On était assise au bar puis un homme arriva vers nous et commença à nous parler, il s’installa à côté de nous et nous dragua ouvertement. Je regarda mon ami et rigolait à l’intérieur de moi, on avait trouvé notre pot de colle pour la soirée il était pas si mal que ça mais bon ![/color][/b]
Codage fait par moi

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyLun 14 Mai - 23:14



✖ CANDICE & JULES ✖
« Si j'avais à choisir entre une dernière femme et une dernière cigarette, je choisirais la cigarette : on la jette plus facilement ! »

La tête dans les nuages, le cœur vide; je m’apprêtai à passer un week-end fort chaotique. Je n'avais pas d'astuce pour sortir de ce sinistre tableau dont j'étais l'unique personnage. Mes livres et poèmes étaient mes seuls compagnons en ce samedi après-midi. Plongé dans un univers dramatique, j'avais de l'inspiration à écrire des histoires sombres. J'étais surpris de mon humeur dépressive. Je n'avais pourtant pas l'esprit à être ainsi. Tout pouvait me sourire aujourd'hui. J'étais désormais inscrit dans une université. J'avais rencontré des gens intéressants. Je m’épanouissais dans les cours. Je devenais presque heureux. Alors pourquoi cette mélancolie m'avait-elle traversée l'esprit ? J'étais songeur. Ce sentiment me fit écrire, écrire et écrire. Je devenais maître de ma plume. J'étais sous son emprise. D'ailleurs, c'était bien la seule qui l'était. Anecdote qu'aucune femme n'a encore atteint mon cœur... Bien que certaines ne me rendent pas indifférent. Je n'avais pas envie de passer ma journée cloitrer dans cette chambre. Je devais m'oxygéner. Je partais donc en direction du centre ville afin de découvrir les commerçants. Les librairies ainsi que les disquaires étaient mes endroits fétiches. Le sourire était au beau fixe; la météo également. Mon humeur avait changé. L'atmosphère enrichissante que pouvait m'apporter ces lieux me donnaient la joie de vivre. Petit français que j'étais, je devenais quelqu'un de bien. Émerveillé par les quartiers de San Francisco, je me promenais comme un bon touristique dans les rues. J'étais à l'affut de ce qui pouvait m'inspirer. Je fis un saut chez ami qui habitait à quelques mètres de là où je me situais. Son appartement était aussi sinistre que ma chambre d'étudiant. Je ne sais pas pourquoi mais je me sentais bien chez lui... Peut être était-ce l'odeur des chaussettes sales trainant sur le sol. On se racontait nos journées respectives. L'un comme l'autre, on n'avait pas fait de miracle aujourd'hui. Se sentant inutile et à bout de force, nos bières étaient notre soutient mental.

Comme ci cela n'était pas aussi glorieux, cet ami eut la bonne idée de proposer d'aller en discothèque. Lui était clairement motivé pour se bouger sur le "dance floor", moi j'étais plus motivé à organiser une soirée posée dans son appartement. Ne souhaitant pas le conflit, nous irions à cette soirée. L'heure était venue de sortir. Nous allions pénétrer dans l'araine. Je n'étais pas seul ce soir là. L'alcool faisait parti de mon sang. Avant de s'offrir le bonheur de s'éclater au Lexington Club; nous avions bu. Je ne suis pas du genre de nature à aller en discothèque. Il vaut mieux pour tout le monde que je sois bien gai. De jolies demoiselles se dandinaient sur la piste ainsi que certaines étaient au bar. Nous options également pour le comptoir du bar afin de commander une bouteille de champagne. Je pris un instant pour visionner les visages qui m'étaient proche. Je ne reconnaissais personne. Aucune tête familière était présente... A ma gauche était installé deux jeunes femmes dont un jeune homme s'avança brutalement vers elle. Il faisait sans doute partie de leur cercle d'amis. A ma droite un couple d'amoureux s'embrassaient langoureusement. A cet instant, je me demandais si je n'étais pas le seul à penser que ces derniers sont ridicules. Je revenais vers mon ami qui était très excité par toutes ces femmes. Certes, les paris étaient pris. Qui allait finir la soirée seul ou accompagné ? La soirée ne faisait que commencer.

code by shiya.





Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyMar 15 Mai - 22:10


Jules Dupuy
« On désire surtout ce que l'on ne doit pas avoir. »


Le genre d’homme que je détestait c’était le gros pot de colle qui une fois qu’on lui a dit non continu à rester là devant vous et ne bouge pas d’un poil. Ou sinon le gros lourd qui en plus de ça est saoul et il insiste de plus en plus, bon avec mon caractère fort je dis ouvertement ce que je pense à la personne mais quelques fois c’est compliqué. Surtout quand c’est un homme saoul car on ne sait jamais ce qu’il pourrait faire, même si je n’ai peur de personne et certainement pas peur de me battre contre n’importe qui. Mais par contre le genre un peu bad boy rigolo et sympathique ne me dérange pas du tout tant qu’il ne me colle pas et qu’il est vulgaire ! Sinon je ne suis pas difficile en ce qui concerne la gente masculine, bien sur il ne faudrait pas que ce soit un gros thon non plus ! Vous voyez le genre intello à lunette avec pleins de boutons sur le visage et un appareil dentaire le must quoi, le pauvre type qui n’aura jamais de copine ou alors dans son genre. Ou évidement qu’il aura une petite copine jolie si il a de l’argent, avant c’est ce que je faisait mais nuance avec de beaux hommes… J’étais attirée que par ce genre d’homme riche et beau à la fois, mais dans la vie on ne peut pas tout avoir donc il faut choisir. Mais aujourd’hui cela à changé je préfère les hommes beaux en premier lieu si il est assez aisée tant mieux sinon tant pis, on dit que l’argent ne rend pas heureux ? Mais je ne suis pas tout à fait d’accord avec cette phrase car si tu a de l’argent tu peut tout avoir certes tu peut tout perdre mais il faut faire un minimun attention comme à tout. Il faut savoir gérer son argent son compte en banque quoi et ne pas gaspiller et jeter l’argent par les fenêtres, mais bon cela ne me concerne pas donc passons. J’étais à l’instant précis en compagnie de mon amie avec qui je voulais passer une soirée amusant et sympatique, pourquoi pas pour ensuite faire la connaissance de charmant garçons ? Nous étions tranquillement assise au bar toutes les deux avec nos verres de vodka à boire cul sec et voilà qu’un homme venait déjà à nous, et nous draguer l’une et l’autre.


J’avais mon verre à la main puis je bus mon petit chupito cul sec, la vodka me piquait un peu la gorge mais c’est parce que ce n’était que le début. J’en recommanda une autre tournée et en même temps j’écouta l’homme au prénom inconnu nous parler, je regarda Solweig du coin de l’œil parce que j’avais envie d’exploser de rire. Franchement c’était quoi cette tactique de drague vraiment bidon, il avait pas plus pourri encore et en plus son humour à la noix. Non mais lui c’était le gros lourd de base c’était pas possible quoi, il était beau mais c’est tout le pauvre ! Heureusement d’ailleurs qu’il avait quelque chose parce que dés qu’il ouvre la bouche ça gache tout, je me demande même si il n’avait pas un petit pois dans la tête ! Rien que de l’écouter j’en avais mal au crâne et la tête qui tourné alors je décida de boire cul sec mon deuxième verre de vodka au moins elle me saoulera pour de bon elle. Puis il nous proposa de nous payer une troisième tournée on accepta avec plaisir autant profiter de ce pigeon non ? Et puis ce soir on ne voulait pas rester trop sobre et être fraiche, pas non plus au point de vomir partout dans la discothèque on savait se gérer et arrêter. On connaissait le taux d’alcool qu’on pouvait boire mais quand on est saoul on boit on boit et paf c’est la claque dans la gueule ! Je regarda durant un petit moment de l’autre côté de nous, je voyais un couple qui était presque en train de coucher sur la bar ils s’embrassaient langoureusement mais c’était chaud bouillant là bas. Et puis nous étions au Lexington Club c’était pas n’importe quelle boîte de nuit, puis d’un coup je dis à mon amie que je revenais j’allais juste faire un tour au toilette. Non pas pour me re maquiller juste pour voir à quoi je ressemblai encore et pour aller au petit coin ou personne ne peut aller à ma place. Je rentrais dans les toilettes il y avait un groupe de fille qui était devant les glaces en train de se re faire belle certaines ressemblaient à un pot de peinture et d’autres à des péripatéticiennes.


J’alla comme convenu au toilette et ensuite j’entendis quelque à côté en train de vomir, je pensais t’avait qu’a boire encore plus continue. Puis je sortis et les catins de ce soir étaient sorties je me mis devant la glace je n’étais pas trop moche ça allait, puis je sortis des toilettes et au moment de pousser la porte je ne regarda pas devant moi et percuta un jeune homme. D’ailleurs pas mal du tout un beau brun avec des cheveux mi longs vraiment mignon comme tout. « Oh excuse moi, j’étais un peu dans la lune. J’espère pour toi que tu n’aura pas de bleue » Puis je lui fis mon plus beau sourire et marcha jusqu'à Solweig qui était toujours avec l’autre pigeon. J’arriva et deux verres de vodka n’attendait que moi, je repris la conversation en cours de chemin et bu cul sec mon quatrième verres bref j’en savais plus rien. Je commençais à ne plus trop sentir le goût de l’alcool, ce qui voulait dire que j’allais commencé à rentrer dans le période en mode joyeuse. Puis je bu encore l’autre verre cul sec et là c’était partie, en plus une de nos chansons préféré avec Solweig passa on était obligé d’aller bouger nos fesses sur le dancefloor. La chanson était celle de LMFAO « i’am sexy and i know it », et bien sûr le collant nous accompagné toujours et dancé avec nous. On arriva sur la dance floor et on poussait tout le monde en dansant, quand les gens entendent cette musique j’ai l’impression que ce sont des animaux ou des fou un peu comme nous quoi… Je dansa et l’homme dansa juste derrière moi, je lui demanda d’aller nous chercher deux verres bien remplis de vodka puis il s’exécuta rapidement. Je parla ensuite à mon amie puis on explosa de rire dans la conversation, vous vous doutez de qui on parlé. Puis deux hommes arrivérent vers nous et ils se mirent derrière nous durant la chanson, ils nous prient par la taille. J’étais un peu joyeuse et je voulais m’amuser sans paraître vulgaire mais bon il ne fallait pas non plus être coincé, puis l’autre pingouin arriva avec nos verres et j’en bu au moins la moitié. Il était dégouté parce que deux autres hommes nous collés mais qui vas à la place perd sa place non ?


Nous dansions pendant un bon moment car j’avais envie de bouger un peu et ne pas rester la soirée assise le cul sur un tabouret à ne rien faire, on trinqua avec Solweig les yeux dans les yeux et on buva cul sec. Là on commençait vraiment à être un peu plus que joyeuse et on pouvait le voir à nos yeux qui commençait à briller, ils étaient pétillant. Mais le pot de colle était toujours présent pire qu’une abeille, puis je me tourna brutalement et vu non loin derrière l’homme que j’avais percuté en sortant des toilettes. Je le regarda et beuga dessus, puis je bu la vodka avec une paille et souria. Ce soir allait être monumental et bien plus, attention messieurs ! Le Dj passa une chanson un peu mouvementé et hot puis le pot de colle vient se mettre derrière moi et il voulait danser le collé serré donc on le dansa durant la chanson pour déconner.[/color][/b]
Codage fait par moi

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyLun 21 Mai - 16:22



✖ CANDICE & JULES ✖
« Si j'avais à choisir entre une dernière femme et une dernière cigarette, je choisirais la cigarette : on la jette plus facilement ! »

La soirée au Lexington Club avait commencé. Deux bouteilles de champagne plus tard, nous étions installé à une table accompagnée de deux banquettes et un pouf. N'étant pas frétillant de danser, mon ami fit les premiers pas sur la piste. Je fus impressionné de le voir bouger si bien. A vrai dire il avait ce don que je n'avais pas; ne pas être ridicule. Je suis quelqu'un de compliqué et je n'ose pas me laisser aller. La musique était pourtant alléchante mais rien n'y faisait; je n'étais pas à ma place. Je buvais de désespoirs noyant cette soirée dans l'alcool et les cigarettes. L'unique chorégraphie que je connaissais par cœur; était celle de la table et du fumoir. D'ailleurs j'en sortais régulièrement. Je revenais à l'état de ce matin... C'est à dire à brouiller du noir. Il fallait que je réagisse afin de pas gâcher cette soirée. Pourquoi ne pas se rapprocher d'un groupe de femmes ? Idéalement ce que je fais souvent pour me détendre. Je suis à l'aise avec ces dernières et leur présences m'attirent. Alors je regardais la salle si je ne voyais pas de charmantes demoiselles. J'étais surement aveugle mais aucunes d'entre elles me plaisaient. N'étant pas difficile pour autant, j’engageai la conservation avec l'une d'entre elle. Pas compliqué de se déplacer, elle était à côté de moi. Assise seule sur la banquette de droite, elle n'avait pas l'air de s'amuser. Elle fixait la piste de danse et je compris qu'elle scrutait l'homme qui dansait avec deux femmes. Je m'approchais d'elle en lui demandant ce qu'elle faisait ici. Je ne comprenais pas ce qu'elle me disait à cause du bruit de la musique mais très vite je décrypta qu'elle était venue en couple soit et que finalement elle repartira peut être seule. Elle montra du doigt la scène qui se dessinait sous nos yeux. C'était bien cet homme qui aguichait ces demoiselles. J'essayais de la réconforter en lui disant qu'il s'amusait mais elle me réponda que ça faisait déjà trop longtemps qu'il s'amusait avec elle. Ne voulant pas envenimer les choses, je pris mon envole en direction des toilettes. Nous n'allions pas être deux à ne plus supporter cet environnement. Bonne nouvelle, il n'y avait pas de queue au W.C. Je ferma la porte et me divergea près du lavabo et au même moment une jeune femme me percuta. Elle avait la tête ailleurs et son côté maladroite était séduisant. Elle s'excusa poliment et je répondis en m’essuyant les mains « T'en fait pas, j'aurais juste un bon souvenir de ce contact physique. » N'était-ce pas la demoiselle qui dansait avec le compagnon de la pauvre fille solitaire assise à côté de moi tout à l'heure. En tout cas, elle y ressemblait beaucoup.

Je ne souhaitais pas revenir à ma place pour y rejoindre la pauvre nana. J'avais joué le gros lot là. Une malheureuse qui pleurait en boîte de nuit. Je fis signe à mon ami de me rejoindre un peu plus loin. Nous étions désormais assis plus près du bar et loin de la folle. Son malheur me donnait la pêche. Certes, c'est cruel mais tellement jouissif de rencontrer quelqu'un de déprimant. On se sent mieux à vrai dire. Comme-ci les malheurs des autres font le bonheur de certains. Je buvais à foison. Mon corps ne répondait plus. Je prenais goût à cette ambiance. Ma tête était toujours présente... D'ailleurs je remarqua la jeune femme des toilettes qui était en train de danser avec son amie. Je la regardais puis alla me poser au bar. Je commanda au serveur un verre de vodka dont il lui apporta sur la piste. Il montra en ma direction que ce verre était de moi. Elle me remercia de la tête en me souriant. Je pris la peine de la regarder une dernière fois avant de m'installer face au comptoir. J'attendais que la musique soit finie pour voir sa réaction. Allait-elle venir jusqu'ici ?

code by shiya.





Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyMer 23 Mai - 18:27


Jules Dupuy
« On désire surtout ce que l'on ne doit pas avoir. »


La machine était lancée ce soir et personne ne pourrait plus nous arreter, j’avais déjà encaissé plusieurs verres et je commençais vraiment à être joyeuse. Attention car quand je suis joyeuse et que j’ai une touche dans le nez et bien je peux être différente que quand je suis sobre, c'est-à-dire qu’on peu plus facilement profiter de moi ce qui est normal car quand je suis moi sans alcool dans le sang je suis pas toujours très sympathique. J’aimé beaucoup rester au bar pour boire quand j’allais dans une discothéque ou dans une fête je faisait tout le temps ça, mais j’aimais aussi aller sur le dancefloor pour remuer mon popotin quand il y avait de bonnes musiques qui passaient. Je ne dansait pas vulgairement car je n’étais pas une péripapéticienne mais bon avec un verre d’alcool en trop quelques fois on peut faire n’importe quoi et pas toujours ce que l’on veut. Mais pour le moment on était deux j’étais encore avec mon amie, et on dansait justement avec un homme qui nous collait depuis le début de la soirée ! Et puis vous savez quoi franchement je m’en foutais d’être ridicule car le ridicule à ce que je sache n’a jamais tué personne. Et puis si le ridicule peut attirer l’attention et quelques regards alors là je dis oui. Tout à l’heure quand j’étais soudainement partie au toilette, je croisa un jeune homme que je n’avais pas remarqué au début de la soirée. Un jeune homme tout à fait charmant et qui avait l’air vraiment sympathique, comment j’avais pu louper cela ? Je l’avais bousculé comme une boufonne mais j’avoue que j’avais fait un tout petit peu exprés car c’est en faisait la maladroite qu’on fait des connaissances. Et d’ailleurs quelques fois quand je le regardais il n’était plus là et disparaissait comme par magie, mais bon il était le cul assit sur un fauteuil seul avec son verre devant et à côté une jeune femme. Qui d’ailleurs avait plutôt l’air de l’enmerder plutôt qu’autre chose, dans ce cas je préféré être seul que mal accompagné je le dis de suite.




L’homme qui dansait avec nous continué et il commençait vraiment à être bien plus que bourré il allait bientôt tomber par terre, d’ailleurs le pauvre il fît un geste qu’il n’aurait jamais du faire. Il me toucha les fesses et je n’apprécié vraiment pas, donc je lui dis gentillement d’arreter mais comme il ne comprenait pas (ce que je pouvais comprendre vu comment il était). Donc pour faire clair je lui colla une baffe sur la joue et lui sourit, au moins cela ne pouvait pas être plus clair et tant pis l’alcool n’excuse pas tout malheureusement. Puis je continua à danser sur la musique envoutante avec mon ami sans l’homme collant, je donna un petit coup d’œil à l’homme qui était toujours assit sur la banquette en train de discuter avec la jeune femme et je le fixa avec un regard malicieu. Je me demandais que peut-être c’était sa copine qui était à côté et elle était en train de lui faire un caprice parce que tout à l’heure au toilette on s’était heurté. Peut-être un genre de femme vraiment jalouse et très possesive, je le plaignais le pauvre type ! Mais ce soir je ne voulais pas passer une soirée morose à m’ennuyer et ne pas profiter de la soirée et des hommes qui s’offrent à moi. Normalement le malheureux des autres fait le bonheurs des autres donc bon, quand tu est déprimé tu reste chez toi avec un bon pot de glace devant la télé en train de pleurer avec une amie qui veut bien te consoler ! Mais bon il ne faut pas de ça dans une discothéque parce que le pauvre celui qui a une amie déprimé c’est pas très cool pour une soirée… Ensuite d’un coup on partit avec mon amie dehors et on se roula un bon joint, il faisait tellement bon dehors en plus c’était le temps idéal. On dit que l’alcool et la drogue ne font pas bon ménage mais franchement tant pis et puis ce n’est pas comme si je n’avais pas l’habitude de ne pas en prendre c’était plutôt le contraire. Donc on se le fuma à deux tranquillement à l’abris des regards et on commença à rigoler entre nous pour n’importe quoi. Par la suite on rentra à l’intérieur de la boîte et on alla sur la piste pour danser car en plus on ne pouvait pas louper cette musique de folie. La musique résonnait dans ma tête on dansa comme des folles, la danse et la musique j’adorais ça. Un serveur arriva vers moi avec sur la plateau un verre de vodka puis il pointa son doigt vers le jeune homme que j’avais percuté au toilette, je le regarda et lui fît mon plus beau sourire pour le remercier. Quesque voulait dire véritablement ce verre ? Vient me voir je veux faire ta connaissance et plus ? On ne sait vraiment jamais ce que veulent les hommes.




Il fallait quand même que j’aille le voir il n’avait pas fait ce geste pour rien et il en vallait la peine je suis certaine, puis mon amie me dit que à la fin de la chanson je devrais aller le voir. Je continua à bouger et en même temps à déguster la vodka qui m’avait été offerte avec plaisir, je sentais plus rien ça passait comme de l’eau. Voilà la chanson était finit et mon amie me fit signe d’aller le retrouver déjà pour le remercier et ensuite on verra bien. Je bu cul sec mon verre puis je marcha lentement jusqu'à arriver en direction du beau jeune homme, je me mis derrière lui je déposa le verre sur le bar et commença à lui parler. « Au faite monsieur l’inconnu, je te remercie pour ton geste. Pourtant ça aurait du être l’inverse vu ce qu’il c’est passé au toilette. » Puis je laissa échapper un petit rire.




[/color][/b]
Codage fait par moi

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyJeu 7 Juin - 14:35



✖ CANDICE & JULES ✖
« Si j'avais à choisir entre une dernière femme et une dernière cigarette, je choisirais la cigarette : on la jette plus facilement ! »

La fatigue semblait gagner mes paupières lourdes. Je commençais à m'amuser mais la journée chaotique que je venais de passer ne semblait pas faire l'action d'adrénaline escompté. L'unique jeu qui pouvait me remettre sur pieds; était la jeune femme que j'avais croisé plus tôt dans la soirée. Je venais donc de lui offrir un verre et si elle ne venait pas à ma rencontre alors j'irais la voir en essayant de la séduire. Une fille qui a de l'alcool dans le sang est plus performante pour discuter et faire bien d'autres choses comme certaines folies avec un homme. Attendons un instant avant que celle-ci soit à côté de moi. Je venais à peine de tourner la tête que la jeune femme se rapprocha de moi. Elle semblait amuser par la situation et évoqua sur un trait d'humour l'étrange situation des toilettes. Tout jeune homme doit offrir un verre lorsqu'une jeune femme lui plait. C'est une preuve de séduction... Les femmes aiment être séduites par des attentions particulières. Le jeu venait de commencer entre elle et moi.

U.C

code by shiya.





Revenir en haut Aller en bas
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  EmptyLun 25 Juin - 16:22

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty
MessageSujet: Re: Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy  Empty

Revenir en haut Aller en bas

Il y a les femmes avec qui on fait l’amour et celles avec qui l’on en parle, PV Jules Dupuy

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» On fait l'amour par désir. On le fait par vice. On le fait aussi par amour-propre !
» Ton amour m'a fait souffrir soyons ennemis, au nom de l'amour } Caroll
» Soirée de rêve avec la plus merveilleuse des femmes (PV)
» CALLUM&DAMEN • Un conseil ? Ne me touche pas. Ne me parle pas. Ne me regarde même pas. Ça en fait plus qu'un ça !
» « Je suis dans un arbre avec un homme qui parle aux singes... »

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-