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something stupid JULIA&ROMEO

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MessageSujet: something stupid JULIA&ROMEO something stupid JULIA&ROMEO EmptyLun 6 Fév - 0:10

    La réputation de Keyllan n'était plus à faire. Il était certainement l'homme avec le plus grand nombre de conquêtes dans cette université et moi j'étais dans son ombre, beaucoup plus discret. Tandis qu'Aurlanne et lui avaient décidés de mener une vie des plus fêtarde, moi je préférais rester dans leur ombre, beaucoup plus discret. La lumière ne m'a jamais vraiment attiré. Déjà en France, je faisais tout pour éviter tous les paparazzis qui en avaient contre les héritiers de la firme Hermès. Il faut dire que les multiples scandales provoqués par ma famille ne faisait qu’accroître l'intention que les médias nous portaient. C'était un peu à cause de cela que j'avais atterri à Berkeley. Ici, la vie était bien plus calme et plus tranquille. Nous passions bien plus inaperçu en Californie qu'à Paris même si je ne dis pas que quelques photographes nous prennent pas de temps à autres. C'était pour moi comme une cure parce que ma tronche dans les journaux : j'en avais par dessus la casquette. Que ce soit à Cannes ou dans la capitale, je ne pouvais même plus aller faire mes courses ou les magasins sans être dérangé. Il faut dire que j'avais de quoi attirer les photographes encore plus que mon frère et ma soeur. Déjà, j'étais le dernier de la famille, celui qui avait été choyé et celui qui était donc le plus fragile car il n'avait pas pu se forger un caractère aussi fort que son frère ou sa soeur. Ouais, ça je l'entendais de partout, que je n'avais aucun mental et que j'étais totalement influençable, mais même si c'était vrai ça me passait pardessus la tête car si j'étais comme ça, c'est qu'il y avait une bonne raison. Mon adoption. Ça aussi tout le monde le sait, que je ne suis pas un Hermès de sang et on ne me manque pas de me le rabâcher souvent, très souvent même. C'est en grande partie à cause de cela que j'étais plus fragile que d'autres : mes parents avaient toujours fais en sorte que je ne manque de rien. Effectivement cela paraissait étrange mais malgré leurs milliards d'euros sur leur compte en banque ils avaient toujours peur que je manque de tout. En fait, ils m'ont surprotégé mais moi ça m'allait bien car je suis quelqu'un d'assez casanier. Ils ont toujours fais en sorte que je ne sorte pas avant mes seize ou dix sept ans. Et encore, quand j'en avais la permission, il ne fallait pas dépasser deux heures du matin grand maximum. Je sais, l'image de l'héritier à la Paris Hilton s'effondre en quelques secondes mais c'est comme ça. Certains ont encore du mal à croire que moi, héritier de douze milliards de dollars, soit né dans un des quartiers les plus pauvres de Vladivostok, à l'autre bout du monde. Comme quoi tout peut arriver dans une vie. Je ne me rappelle plus du tout de ma vie de pauvre étant donné que j'ai été adopté à trois ans, mais je ne regrette pas du tout de l'avoir quitté. Mes parents m'avaient complètement lâché, complètement laissé à l'abandon et je m'étais retrouvé dans un orphelinat limite insalubre où manger trois miettes de pain au petit déjeuner était monnaie courante. Et puis les Hermès-Cador sont arrivés. La raison de leur venue en Sibérie m'est encore inconnue mais me voilà parti à Cannes dans la plus belle des familles que je pouvais avoir. Je ne dis pas que ça n'a pas été difficile au début pour m'intégrer mais tout est venu naturellement. Et me voilà maintenant à Berkeley, dans l'une des plus prestigieuses universités du monde. Logique, mes parents n'allaient décemment pas m'envoyer dans une université de banlieue. Ici j'ai enfin pu forger mon caractère car j'ai enfin retrouvé mon frère et ma soeur. Séparé d'eux pendant une année entière, moi à la Sorbonne eux ici, cela a été plus dur que je ne le pensais. Mais bref, arrêtons de parler de ma vie sans intérêt. Aujourd'hui j'avais décidé de bouger, pour une fois. J'en avais marre de rester dans ma villa, à bouffer n'importe quoi toute la journée. Il me fallait un peu d'air frais et un peu d'action. Bon, pour l'action on repassera étant donné que j'avais pris la direction de la plage mais il parait qu'on peut faire des rencontres très intéressantes au bord de la mer. Roulant à allure modérée au volant de mon 4x4, je me garais bien correctement et sortis de ma voiture une fois les premiers grains de sables dans mon champ de vision. Nous étions en février mais, comme tous les mois de l'année, il faisait bon à San Francisco. Café à la main, je commençai à marcher lorsque, ne regardant pas où j'allais, je rentrais en plein dans une jeune femme. Heureusement pour elle, et pour moi d'ailleurs, aucune goutte de café ne sortit du gobelet. Je reconnus tout de suite celle dans qui je m'étais cogné. Comment oublier un corps pareil en même temps ? Si parfaite, si canon. Le sosie de ma soeur quand on y regarde de bien plus près. Sauf qu'avec elle, je pouvais me lâcher et ne plus être le garçon timide, peu sur de lui et manipulable que j'étais à la ville. Avec elle, je n'étais plus le même. Julia. Nous l'avions fais maintes et maintes fois sans que personne autour de nous ne s'en rende compte. Nos deux familles sont très proches, nous nous connaissons depuis l'enfance et, même si ça n'a pas toujours été la parfaite entente entre nous, personne ne se doute de rien. C'est presque un petit miracle quand on y réfléchit car, à de nombreuses reprises, nous avions faillis être surpris. La regardant, ou plutôt la dévorant des yeux, je pris l'initiative de la parole. Quelle pénible rencontre. Ah oui, j'ai oublié de vous préciser qu'en dehors de notre vie sexuelle, on ne se parle jamais. C'est peut être grâce à cela que nous avons pu garder notre petit secret en fait. Rien. Pas un mot doux, pas un bonjour, on s'évite. Pas que ça me plaise mais je suis obligé de faire avec ceux que veux madame. Moi j'aimerais que cette situation s'arrête, que l'on dise tout. Pas que je sois amoureux d'elle, loin de là, mais je suis sur que nous pourrions, une fois ces révélations faites, nous parler plus librement, comme des adultes en somme. Parce que là ... nos échanges se limites à de petits pics par ci par là pour finalement se rappeler une semaine plus tard pour se dire qu'on est en manque l'un de l'autre. Je sais, on est très difficile à suivre. C'est pour cela que ce n'est pas forcément une bonne nouvelle de la croiser là, au bord de la plage alors que je n'avais qu'une seule envie : m'évader. Au lieu de cela, c'était plutôt une prise de tête qui s'annonçait à l'horizon car bien entendu, c'était inévitable, j'allais lui demander pourquoi elle ne voulait pas révéler notre semblant d'histoire. Et ça allait encore la saouler. Et elle allait encore éviter la question, comme d'habitude quoi. Il n'y a qu'avec elle que je suis comme cela, aussi bizarre et compliqué.
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MessageSujet: Re: something stupid JULIA&ROMEO something stupid JULIA&ROMEO EmptyMer 8 Fév - 20:20


JULIA&ROMEO


    Je croyais qu'il était simple de jouer l'étudiante normale. J'avais cru y arriver et pourtant il me manquait ce sourire idiot qui se pavanait sur tous les visages innocents des gens qui me côtoyaient. J'avais été comme eux à un moment puis finalement beaucoup de choses avaient changé. J'avais perdu des amis en changeant brutalement de comportement, en coupant les ponts. Si j'étais à Berkeley aujourd'hui ce n'était pas pour les études non, loin de là mais plutôt pour me retrouver, me reconstruire et me permettre d'avancer. Et pour cela je devais détruire quelqu'un. Une personne qui avait été à l'origine de tous les drames qui m'étaient arrivés récemment. Les lettres de menace qui m'avait conduites directs aux Etats-Unis pour passer inaperçu puis ces deux mois de prison pour un jugement totalement absurde. Cette personne avait envoyé les lettres et cette personne allait le payer. Mais je ne savais même pas si cela me suffirait pour pouvoir oublier ces deux mois de détresse. J'avais eu de la chance que ma famille, comptant des cardinaux du Vatican en son sein avait des très bonnes relations et avait réussit à effacer mes fautes et me sortir de ce mauvais pas. Mais je n'avais réussit en revenant à redevenir moi-même. La fille forte, qui ne se laissait pas marcher sur les pieds, se faisaient suivre, jalouser, envier et qui rabaissait les autres car elle savait que sa vie était la plus parfaite des vies. Mais le destin en avait voulu autrement pour moi. Les lettres de menace avaient été vus finalement comme une blague de mauvais goût. Et j'en avais déduit que c'était à cause de ces fameuses lettres que tout m'avait emmené par la suite à aller en prison. Maintenant mon obsession me rongeait. J'en devenais folle à savoir comment punir la personne qui inconsciemment m'avait profondément changer. J'espérais seulement qu'après tout, j'arriverais enfin à reprendre le cours normal de ma vie si ce n'était pas déjà trop tard. Je me leva tranquillement de mon lit et réfléchit. J'avais passé presque toute la journée au lit. Sortir ne me faisait vraiment du bien, j'étais une petite nature après tout ! Je réfléchissais. Un brin de plage ne m'aurait pas fait de mal et vu qu'en ce moment j'aimais ma solitude pour réfléchir, je n'appela personne. Je ne savais même pas qui appeler. Les secrets vous rongent de l'intérieur et surtout lorsqu'ils sont aussi gros que ceux que je portais. Je pris la voiture. Un cadeau de ma famille en Italie qui, par ce présent, me montrais que je leur manquais considérablement mais qu'ils acceptaient pas décision. La route prit des allures de parchemin sur lequel j'avais l'impression que ma vie s'étalait et qu'arriver à l'année dernière où j'avais vécu plusieurs traumatismes, il était troué, brulé et usé. Qui avait-il après ? Je ne savais pas et arrivais alors à la plage sans avoir eu le temps de remarquer que j'avais été autant plongé dans mes pensées. Je sortis enfin de la voiture et ferma les yeux. Les rayons du soleil présent égaillaient en quelque sorte ma journée et caressaient ma peau d'un doux picotements chauds. Je commença alors à marcher sans réel but. J'avais juste envie de sortir, ne pas reprendre les cours, ne pas le croiser, ne pas croiser les gens qui écoutaient les rumeurs sur moi. Respirer, reprendre mon trône, ma place, ma vie d'avant. Merde ! J'étais, sans le vouloir entrer dans quelqu'un ou plutôt cette personne m'étais rentrée dedans. Un café à la main, je vérifia de suite si ma robe n'avait rien. Une création unique, ma mère n'aurait sûrement pas apprécié étant la fameuse designer qui avait imaginé cette tenue. Je leva un regard furieux vers la personne qui me toisait également et reconnut aussitôt le jeune homme. Brun, visage enfantin, yeux magnifiques, il était craquant à souhait. Mais ce jeune homme était aussi le frère d'une de mes meilleures amies et surtout et avant tout, je connaissais Roméo depuis l'enfance. Comme le monde était petit ! Je le regarda et ne savais si je devais sourire et tracer mon chemin. Je n'étais pas très agréable avec lui mais il était le frère d'Aurlanne et cela me génait de savoir que lui et moi avions déjà tenté nombre d'expériences. Il était le petit frère de mon amie et ça devait s'arrêter là. Si seulement mes actes avaient été aussi sérieux que mes paroles mais ce n'était pas le cas. J'avais une fâcheuse tendance à vouloir ce qui ne pouvait l'être. Je soupira enfin faisait mine d'être irrité mais au contraire, je ressentais comme un picotement, finalement, je ne m'étais pas levée pour rien ... Comme tu dis ! T'as de la chance d'être adroit ! Je lançais un regard à son café pour lui démontrer ma remarque puis le regarda de nouveau. Il n'avait pas changé et pourtant j'avais l'impression que depuis la dernière fois que nous nous étions parlés il s'était passé des siècles. En faîtes il ne s'était passé que peu de temps mais un drame dans une vie pouvait dérégler le temps. Sa fait longtemps ... Je ne savais pas si j'aurais dû dire ça mais maintenant que c'était dit, c'était dit. J'aurais peut-être dû m'en aller sans lui lancer de nouveau un regard mais mes pieds restaient statiquement devant lui comme si mon corps voulait rester avec lui et mon esprit partir pour ne pas culpabiliser. L'effet Roméo je présume ...
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MessageSujet: Re: something stupid JULIA&ROMEO something stupid JULIA&ROMEO EmptyLun 20 Fév - 18:28

    Toujours planté dans mes bouquins. C'était une obsession pour moi : il fallait toujours que je sache tout. Je ne pouvais me rendre à un cours sans avoir révisé auparavant. Ouais, je suis du genre petit élève modèle et sérieux mais cet état d'esprit ne m'est pas venu comme ça, en claquant des doigts. A vrai dire j'aurais préféré ne pas être comme ça et me sentir plus libre et détendu sauf que je ne pouvais pas. J'avais un cruel besoin de montrer à certaines personnes que j'étais le meilleur, que personne ne pouvait m'égaler dans mon domaine : le droit. Jouer l'avocat, ça a toujours été ma passion. Je me souviens défendant lors de faux procès mon frère et ma soeur qui avait commis des crimes irréparables tels que le vol de bonbon ou de dessert. Plus tard, je me vois parfaitement comme l'avocat principal d'Hermès International. Quoique, reprendre l'entreprise tout court me convient parfaitement mais quand on voit que certains oncles ou tantes refuses que je prenne la succession car je n'ai aucun sang Hermès qui circule dans mes veines, vous comprendrez que je veuille leur en mettre pleine la vue en décrochant une moyenne frôlant les 100/100. Oui, certains vieux bourgeois coincés ne veulent pas de moi. Je m'en fiche, ce sont mes parents qui décideront si je suis sur leur testament, et vu l'état de nos relation, je ne vois pas comment je pourrais ne pas y être. Malgré cela, il faut à tout prix que je montre ma valeur. Je veux montrer que je suis même meilleur qu'eux, que personne ne pourrait être mieux que moi en actionnaire principal d'Hermès. Bon, j'admets que j'aime également m'amuser, mais n'aller pas me comparer à mon cher frère. Celle avec qui je m'amuse le plus, au lit, c'est Julia. Quand on y pense, ce serait bête de tout révéler, maintenant que j'ai Chuck dans ma vie. Même si elle est au courant et accepte parfaitement le fait que l'on ait chacun nos petites aventures à droite à gauche, c'est plutôt excitant, vis à vis de nos familles, de rester dans le secret le plus total. J'imagine déjà la tête d'Aurlanne si je lui apprenais que je m'envoyais en l'air avec l'une de ses meilleures amies, ce ne serait pas beau à voir et je donnais pas cher de ma peau car mon frangin et ma frangine ont tendance à oublier que j'ai vingt et un an. Pour eux, je suis encore le petit bébé à protéger de tous les maux de cette terre. Si je les écoutais, je ne devrais pas sortir tout seul, je ne devrais pas boire, je ne devrais presque rien faire. N'importe qui pourrait être étouffer dans cette situation mais moi je les pardonnais, je n'écoute pas ce qu'ils disent, mais je les pardonne. Après tout, ils ne veulent que mon bien. Et mon bien ne passerait certainement pas par avoir deux filles en même temps. Même si avec Julia ce n'était que par intermittence, ils n'apprécieraient pas, bien qu'ils n'aient aucun conseil à me donner sur mes conquêtes à la vue des expériences qu'eux même ont vécus. Avec Julia, c'était uniquement physique, rien d'autre. Pas de sentiments, rien. D'un côté c'était pas mal, on se voyait que quand on en avait envie. Sauf qu'aujourd'hui, j'avais nul besoin de ses services bien qu'agréables. Aujourd'hui j'avais juste envie d'être seul. Oui, j'avais envie de faire chier le monde en ce moment et cette pauvre Julia allait certainement en faire les frais. Je m'excuse d'avance, ce n'est pas dans mes habitudes à l'ordinaire. En une phrase j'avais résumé toute la situation, ce n'était pas une agréable surprise que de la voir ici, en face de moi. Je ne lui souhaite pas du mal mais quand même. En plus je lui avais foncé dedans, que je pouvais être nul franchement, c'est pas bien dur de lever les yeux une seconde pour regarder ce qu'il se passe autour de moi. A croire que c'était au dessus de mes moyens, du coup j'avais évité la catastrophe en ne versant aucune goutte de mon café sur sa robe qui valait certainement plusieurs centaines de dollars. Ça aurait été la catastrophe si je lui avais renversé rien qu'une goutte. Je repris donc mes esprits car, il allait falloir que je m'y fasse, mon corps ne semblait pas vouloir partir. C'étrange cette sensation. Mon coeur me disait de partir, mais mon corps restait là, devant elle. Ce que je pouvais être niais quand je m'y mettais quand même ... Quoique, ça aurait put être marrant que la moitié de mon café aille sur ta robe. Je vis que ça ne la fit pas du tout rire, ne voulant pas créer d'histoires, je me précisai. Humour. Je me sentais mal à l'aise, je ne savais pas comment positionner mes bras, je n'arrêtais pas de gesticuler, et pourtant dans ma tête je me sentais bien. Seul mon coeur semblait toujours réticent à ce que cette rencontre s'éternise en fait. Julia reprit la parole. Ce qu'elle dit me perturba encore plus. Décidément, je n'étais pas franchement dans mes baskets aujourd'hui. Le moindre mot me mettais mal. Je me rendis compte que je ne lui avais rien dit pour Chuck. Même si on en était qu'au début, elle comptait beaucoup pour moi et je ne souhaitais pas la voir partir, je voulais rester avec elle. Tu sais, ce serait pas plus mal si on ne se voyait pas de quelques temps. Enfin ... si tu n'y vois pas d'inconvénients. Je paraissais de plus en plus niais. Plus j'ouvrais la bouche, plus j'étais niais c'était simple. Je ne savais pas si c'était le bon moment pour lui parler de Chuck et tout alors je préférai me taire en attendant sa réaction à mes précédents propos.
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MessageSujet: Re: something stupid JULIA&ROMEO something stupid JULIA&ROMEO EmptyLun 26 Mar - 17:10

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