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Le ridicule ne tue pas ... heureusement !

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MessageSujet: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyJeu 2 Fév - 16:07

Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lvzedeo5jJ1r3vn77

    Assit à son bureau, le français regardait ce qu’il venait d’écrire. Comme il venait d’arriver, il fallait bien qu’il commence par faire un test de niveau à ses nouveaux étudiants. Evidemment, il avait pû voir les différences. Il y avait ceux qui n’avaient aucun problème, ceux qui s’accrochaient et semblaient s’en sortir et ceux qui coulaient très clairement. Allant ensuite sur son pc portable, il regarda à nouveau les notes qu’il avait mises. Il avait prévenu que ce test n’était pas noté, mais il l’avait fait de son côté pour voir les niveaux. Il avait donc préféré attribuer des notes. Comme cela, en allant voir les étudiants, il pourrait expliquer ce qui allait et ce qui manquait. Puis, allant se chercher un soda, il revint pour continuer de lire les écrits de ses étudiants. Il y passa une bonne heure. Lunette sur le nez, il venait de donner toutes les notes, il ne restait plus qu’à toute les entrer dans son pc. Une fois que cela fut fait, il enregistra et regarda avec plus d’attention les lacunes de chacun. Ca faisait beaucoup d’étudiants en médecine, mais il savait qu’il aurait ce travail là à faire pour pouvoir faire en sorte que les jeunes s’en sortent et n’aient pas à repasser leur année. Soupirant, il regardait chaque ligne, commençant sérieusement à avoir mal aux yeux. Il vit même la souris bouger seule. Se mettant à sourire, ce dernier se figea quand en effet il remarqua que ses yeux ne lui jouaient pas des tours. Sa souris bougeait bien et semblait d’ailleurs clairement s’amuser.

    Hochant la tête négativement, il savait qui venait d’avoir accès à son pc. Après tout, une seule personne lui avait déjà fait le coup et vu que l’ordinateur fonctionnait toujours, ça devait être la même personne que la dernière fois. Deux secondes après, il vit une fenêtre s’ouvrir et Juno qui lui laissait un message. Se mettant à sourire, il avait donc eu bon. Elle était incroyable, à toujours lui faire ce genre de coup. Haussant un sourcil, il se mit à rire avant d’aller dans sa chambre. Cherchant quelque chose dans son armoire, il trouva enfin le costume qu’il avait acheté déjà en France. Il ne savait pas réellement pourquoi il l’avait prit, mais il en avait besoin aujourd’hui. En même temps, mettre un déguisement face à Juno était presque devenu une habitude. Se changeant, il alla ensuite voir son ordinateur portable et vit que le message était toujours là. Fermant l’ordinateur, il le mit dans son sac et partit pour l’université. Il savait que les étudiants allaient le prendre pour un fou, mais il s’en fichait bien. En plus de cela, il avait apprit que le doyen de l’université n’était pas un marrant, il avait également croisé et ça n’avait pas du tout accroché entre les deux hommes. Le ton était assez vite monté, mais pour le français ça n’était pas grave. Il n’était pas là pour ce doyen, mais pour les étudiants et pour lui.

    Une foi sur le parking de l’université, il prit son sac sous le bras et traversa le parking sous les sourires et rires amusées ou surprit des étudiants. Ouvrant son sac tout en marchant, il attrapa sa casquette. La mettant bien, il alla vers la salle informatique. Bon à vrai dire il y en avait plusieurs et du coup ce fut à la troisième salle qu’il vit Juno face à un ordinateur. Souriant, il ouvrit la porte et posa son sac sur la première table. Puis, il regarda la jeune femme qui venait de se retourner, sans doute pour voir qui était là. Lui se tenait là, debout, mains sur la ceinture, en tenu de policier. Menottes et matraque également à la ceinture. Avec aussi sur le nez, des lunettes de soleil.

    Mademoiselle Valentyne-Hale, nous venons de recevoir un appel. Vous auriez piraté un ordinateur portable, il va donc falloir que vous me suiviez au poste.

    Enlevant ses lunettes, il les mit au niveau de sa chemise et avança vers elle. Restant sérieux, il prit place à ses côtés avec son sac qu’il avait prit au préalable et soupira.

    On vient de me dire que je ne faisais pas Village People, si ce n’est pas la classe ça !

    Il se mit alors à rire et regarda la jeune femme.

    Par contre, je ne suis pas sûr que le doyen apprécie, mais vu que je ne l’aime pas non plus, je me baladerai en policier toute la journée s’il le faut.

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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyJeu 2 Fév - 20:57

    Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lynbomBUge1qzn43zo1_500
    MAXENCE & JUNO

    « I want to deal with my problems some place where I can get a decent Cappuccino. When you have eliminated the impossible, whatever remains, however improbable...It must be the truth. To be crazy is a state of mind...But we have it with all class in the world. You have to admitt, it is catchy ! »

    Ce qui était d’ordinaire tout à fait sérieux concernant Juno devenait toujours un jeu desz plus drôles dès lors qu’elle mettait son talent au service de son amitié avec Maxence. Malgré la différence d’âge qui les séparait, ces deux là étaient comme deux gamins dans une cour de récréation, l’imagination dont ils faisaient mutuellement preuve n’étant jamais tarie dès lors qu’il s’agissait de se provoquer. Ce n’était jamais méchant, et cela leur permettait même de mettre un brin de piment dans leurs vies mornes. Côté adrénaline, Juno avait pourtant de quoi faire : Être un hacker n’était pas exactement de tout repos, surtout lorsqu’il fallait couvrir ses traces et jongler avec les autorités pour que celles-ci ne découvrent pas son identité…Mais avec Maxence, c’était toujours simple, presque silencieux. Cela lui permettait de clouer le bec au brouhaha provoqué par son intelligence, la poussant la plupart du temps à s’enfermer dans le premier labo venu afin d’expérimenter ce qui touchait notamment au nucléaire. Ce n’était pas très féminin, n’est-ce pas ? Le français était donc devenu son alibi lorsque son cerveau se mettait à dérailler. Elle se rendait dès lors aux salles informatiques, s’emparait du premier ordinateur venu et provoquant sciemment le professeur de médecine afin qu’il ne la rejoigne…Quitte à le déranger en plein cour, qu’importe ! Ils n’étaient plus à ça près, l’un comme l’autre, et elle ferait défaut à la réputation des gammas si elle se mettait à être une gentille petite nénette sans histoires, sans ambition, sans culot. Juno aimait être aux antipodes de cette image déprimante donnée notamment par les alphas, tous plus incapables de se dévergonder que les autres. Aujourd’hui, Juno allait marquer un grand coup et quelque chose lui disait que Maxence allait la suivre les yeux fermés, comme toujours, en lui démontrant qu’il était probablement LE professeur qu’elle aurait rêvé d’avoir tant il savait mêler sérieux et gaminerie avec un brio presque indécent. Chapeau bas, l’artiste !

    « Non, ce n’est pas vrai…Vous n’avez pas osé !! On dirait un membre des Village People ! »

    Au départ, Juno avait sursauté face à son entrée fracassante et presque réaliste en tant que flic. Il ne lui avait pas fallut longtemps pour se retourner de façon brusque d’une part, et de reconnaître la voix de l’homme d’autre part. Depuis le temps qu’ils se côtoyaient, la brunette aurait pu reconnaître son ton et son accent entre mille. C’était aussi ce qu’elle appréciait chez lui : Au même titre qu’elle, en tant qu’écossaise d’origine, transportait un accent dans chacune de ses interventions verbales, Maxence était marqué par la langue de Molière.

    « J’avoue, totalement classieux, à votre niveau international…Mais je vais vous emboucher un coin : On a eu une transmission de pensée ! »

    Le culot se partage, c’est bien connu. Aussi Juno n’hésita-t-elle pas à sortir de dessous son bureau une immense coiffe en plume, comme n’importe quel chef indien en aurait porté par le passé. Pour le coup, s’ils se trimballaient ensemble dans les couloirs de Berkeley bras dessus bras dessous, ils n’avaient pas fini d’être remarqués ! Qu’importe, c’était le jeu pour jeu, se moquer des conséquences et pourquoi pas faire enrager au passage ce cher Doyen, se croyant tout permis et ayant visiblement pris en grippe la confrérie des gammas dernièrement. A croire que ces étudiants là soient les seuls à faire des conneries une fois la nuit tombée ! Et même avant…Quand on est jeune, on ne connait pas ses limites, c’est évident. Et concernant Juno et Maxence, c’était les limites du ridicule qu’ils ne connaissaient pas et éprouvaient à longueur de temps, à chaque fois qu’ils se voyaient. D’autant plus que la coiffe d’indien lui allait à ravir, il n’y avait pas de doute. Comme si elle avait été faite pour elle !
    Juno ne tarda pas à se rapprocher de Maxence, son téléphone portable en main, afin de se mettre à sa hauteur et de prendre une sublimissime photo pour leurs « archives ». A croire qu’ils cherchaient à se trouver LE costume le plus osé pour leur prochain Halloween…Et que cette idée n’était pas des moindres. La brunette n’hésitait en tout cas pas à être tactile avec le professeur, sans pour autant oublier de le vouvoyer et d’être d’une politesse indiscutable en sa présence. Le respect des aînés, tout de même !

    « Ce n’est pas pour dire, mais on est « too much » je trouve ! Notre génie a trouvé écho dans nos cerveaux respectifs, et j’irais même jusqu’à dire que cela manque d’accessoires…Les soldes ne sont pas encore finies, si vous voyez ce que je veux dire ! Et si on croise le Doyen, il sera toujours temps de le menotter une fois que l’on aura acheté les bons accessoires…C’est un pisse-vinaigre, il mérite ce genre de leçons ! »

    Petit clin d’œil. C’est fou comme un simple ordinateur peut rapprocher deux gamins en puissance, déguisés de manière folle, et complètement fiers d’être décalés !
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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyJeu 2 Fév - 22:59

Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lvzedeo5jJ1r3vn77

    Etre un gamin pour Maxence c’était sa nature. Pas besoin d’avoir cela en seconde nature. C’était sa façon d’être, sa façon de se comporter. Il savait également être adulte et prendre des décisions importantes. Mais, faire des bêtises comme un gosse était toujours bien plus agréable. Prendre du bon temps en s’amusant était toujours plus qu’agréable et Max en profitait pleinement. Surtout quand Juno était dans les parages. D’ailleurs, aujourd’hui mademoiselle avait décidé de jouer avec le pc portable de l’enseignant. Ce dernier devait avouer qu’elle savait clairement y faire. Il connaissait son petit secret et du coup plus il pouvait l’éloigner des ordinateurs, mieux ça serait pour tout le monde, surtout pour elle. Alors, pensant au fait qu’ils se déguisaient souvent, il pensa à mettre un de ses costumes. Il ne l’avait pas encore essayé d’ailleurs, mais il devait avouer qu’il l’appréciait ce costume de policier. Allant alors à l’université, sous les regards des étudiants, il devait avouer que ça ne le dérangeait pas de marcher ainsi avec cette tenue. Après tout si quelqu’un devait ne pas être à l’aise, ça ne serait clairement pas lui, sinon il n’aurait pas porté cette tenue. Finissant alors par trouver l’étudiante dans une des salles informatique, il entra en scène pour parler du fait qu’elle avait piraté un ordinateur. Prenant un air outré à ce qu’elle disait, il posa sa main sur son cœur.

    Oh ça, ça fait mal.

    Puis, il se mit à sourire. Etre traité de Village People n’était pas très agréable. Non pas qu’il était homophobe ou qu’il n’aimait par leur musique, mais c’était tout de même prendre un coup. Evidemment, tout cela restait dans la rigolade. Avec son sac sous le bras, il avança vers la jeune femme et l’écouta alors parler. Haussant un sourcil quand elle parla de la transmission de penser, il la regarda traficoter quelque chose sous le bureau et il ne pû s’empêcher de rire en voyant les plumes. La regardant placer le tout sur sa tête, il prit ensuite la pause pour qu’elle puisse faire une photo. Se mettant à sourire à nouveau, il apprécia le touché de sa partenaire. Ca n’était jamais déplacé, mais toujours agréable. De toute façon, même s’il couchait avec quelques étudiantes, enfin c’était surtout à La Sorbonne, il n’avait pas encore eu l’occasion ici, Juno était différente. Quoi qu’il devait avouer qu’elle n’était pas non plus moche. Elle était d’ailleurs très agréable à regarder mais de ce genre n’avait encore prit jour, même si s’amuser à flirter était parfois présent. Ecoutant alors ce que lui disait son interlocutrice, il hocha la tête doucement de gauche à droite.

    Oui pour les soldes, mais pour les menottes, je ne me vois pas les lui passer. Je réserve cela pour les femmes qui passent par mon lit.

    Haussant les sourcils, il savait et d’ailleurs, on le lui avait déjà dit, qu’il pouvait parfois être perçu comme un pervers de par certains propos. Il s’en fichait bien, parlant comme il en avait envie la plupart du temps.

    Mais il y a bien une image qui me ferais rire pour lui. Tu as peut-être déjà regardé la série Veronica Mars. Ils mettent les nouveaux en caleçon ou nus accroché à un mât. Ca je dois dire que ça pourrait être amusant, même si lui n’appréciera pas du tout.

    Souriant de plus belle, il devait en effet admettre que mettre en mauvaise posture le doyen était quelque chose qui le brancherait bien.

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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyVen 3 Fév - 9:35

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    MAXENCE & JUNO

    « I want to deal with my problems some place where I can get a decent Cappuccino. When you have eliminated the impossible, whatever remains, however improbable...It must be the truth. To be crazy is a state of mind...But we have it with all class in the world. You have to admitt, it is catchy ! »

    Avec Maxence, le sérieux n’était pas de mise. Voilà pourquoi leurs petites piques qu’ils s’envoyaient ne pouvaient pas être mal prises : Il n’y avait jamais que du second degré entre eux ! Déjà que Juno n’était pas susceptible pour trois sous de nature, elle apprenait diablement en présence de l’enseignant que même après la trentaine, y compris si l’on a déjà eu des enfants et été marié, on peut rester un enfant dans l’âme. On n’est jamais complètement contraint d’entrer dans un carcan de sérieux, de faire peur à ses élèves et d’ôter toute fantaisie à son existence. Fantaisie, pour Juno, c’était son deuxième prénom. Elle faisait de tout un jeu, et son existence entière ressemblait à une énorme fête foraine, lumineuse, colorée et sans fin. C’est pour cette raison qu’elle appréciait autant la présence de Maxence, parce qu’il rendait possible ce que beaucoup d’autres élèves n’osaient jamais faire : Quitter leur masque d’impassibilité, se rendre ridicule pour le fun et avancer plus avant. Ils avaient beau être deux archétypes des Village People à l’heure actuelle, il n’était rien qui puisse davantage amuser Juno. Ils étaient déguisés ! Elle se souviendrait d’ailleurs toujours des différentes fêtes Halloween qu’ils avaient improvisées ensemble, à aller réclamer des bonbons chez autrui en toute impunité, bien qu’ils n’aient jamais été accompagnés par des enfants. Sauf une fois : Avec Jaimie, le petit frère de Juno, qui ne s’était pas étonné outre mesure de leur goût pour le déguisement. Bien qu’il soit nettement plus timide que sa sœur, il s’était laissé entraîner et au final s’était parfaitement amusé…La seule ombre au tableau pour leur tandem terrible, c’était évidemment le Doyen de Berkeley. Celui là leur donnait parfois du fil à retordre et avait même menacé Juno à plusieurs reprises de sanctions disciplinaires. Fallait-il qu’elle ait parfois un grain pour hausser les épaules face à de tels propos…Encouragée de près par Maxence, évidemment !

    « Il rigole à chaque fois qu’il se brûle ce bon doyen, c’est une horreur ! Il faudrait vraiment qu’on lui apprenne à s’amuser, que diable ! Quant aux menottes, voilà qui ne m’étonne pas de vous. Ce qui m’étonne en revanche, c’est que les nénettes ne se bousculent pas au portillon devant la porte de votre bureau ! Avec le ramassis de perverses qu’il y a dans les parages… »

    Haussant les épaules comme si elle venait d’apprendre la nouvelle la plus improbable du siècle, Juno ne pu s’empêcher de s’attabler à nouveau, de rallumer l’ordinateur dont elle s’était servie précédemment et de consulter les sites pour caleçons masculins les plus originaux de San Francisco. Ce n’étaient pas les sites fantaisies qui manquaient, surtout lorsque les adresses se trouvaient en ville. Maxence devait par ailleurs être rassuré, elle n’avait pas cherché à hacker l’ordinateur du Doyen, bien que l’idée soit tentante, et se contentait actuellement de mettre en place ce fameux plan évoqué par l’enseignant quelques minutes plus tôt. Il serait toujours temps de passer à la phase « vengeance » sur ce bon Doyen une fois qu’ils se seraient occupés de quelques nouveaux consentants !

    « Je suis sûre qu’il y a moyen de trouver des volontaires qui joueront très bien le rôle de victimes…Vous savez, on ne porte pas ce bon Doyen dans notre cœur, mais c’est réciproque chez beaucoup d’autres étudiants, y compris chez ceux qui ne sont pas là depuis longtemps ! Il y a moyen d’acheter quelques caleçons bien provocateurs et ensuite, on passe à la phase recrutement. S’occuper de son ordinateur sera ma phase finale, que dis-je, mon œuvre d’art ! »

    Juno était fantaisiste, osait énormément de choses, c’était indiscutable. Mais elle n’oubliait pas son talent de hacker pour autant et ne voyait pas le mal qu’il y avait à le mettre au « service » d’une aussi noble cause. Le Doyen ne parviendrait jamais à trouver qui avait hacké son ordinateur professionnel et personnel en le remplissant de choseries, qui plus est…Juno était bien trop maligne pour cela ! L’idée était tentante, très tentante. Presque autant qu’un combat de costumes avec Maxence et l’achat potentiel de caleçons pour leurs futurs cobayes…

    « Imaginez qu’il découvre son ordinateur professionnel et personnel rempli de conneries…Ca vaudrait son pesant de cacahuètes non ? »
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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyVen 3 Fév - 14:49

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    Le doyen, Maxence avait apprit qu’il n’était pas là depuis très longtemps, mais qu’il voulait déjà faire sa loi. En 2010 Max ne l’avait clairement pas vu, sinon il se serait souvenu de ce type. Il se souvenait de Carl l’ancien directeur qui n’était plus là désormais, plutôt remplacé par Maria, l’ex de Maxence. Cependant, ce détail, il ne préférait plus y penser désormais. Il faisait sa vie comme il l’entendait et ça lui allait parfaitement bien. Il avait eu un poste ici et c’était le principal pour lui. Du coup le français avait apprit les intentions du doyen vis-à-vis des étudiants et du fait qu’ils devaient travailler toujours plus. Il avait parfois l’impression d’entendre le président français parler. Oui, étant encore en France, quelques mois auparavant, il se souvenait de ce qu’il avait dit sur le fait de travailler plus pour gagner plus. Seulement à Berkeley, ça semblait être les élèves qui allaient devoir travailler plus, pour que le doyen touche plus sur les donations et sur un salaire joliment composé d’au minimum six chiffres. Parlant alors de cet homme, le français ne pû s’empêcher de sourire.

    On dirait qu’il n’a jamais été jeune.

    Dire cela pour un enseignant ça semblait souvent inattendu, mais Max devait avouer qu’il avait l’impression que ce type prenait clairement l’université pour une entreprise. Parlant ensuite des menottes, il haussa les épaules.

    Je m’attendais à plus de femmes également. Au niveau des enseignantes, il n’y en a pas tant que cela, c’est dommage. Mais pour les étudiantes, il y a en a pas mal, mais certaines je préfère sourire et dire non poliment.

    C’est vrai que certaines semblaient un peu folles, ce qui avait tout de suite repoussé l’enseignant. Par la suite, il évoqua une scène parfois vu dans une série télé pour adolescent. Le fait que les nouveaux soient placés en caleçon ou nus sur un mât au milieu de la cours. Ca pouvait donner quelque chose d’intéressant si le doyen était la cible de cette attaque. Ecoutant alors ce que l’étudiante lui disait, il hésita pour la dernière partie.

    Va pour les caleçons, par contre pour l’ordinateur je ne suis pas sûr.

    C’était une bonne idée, il le savait, seulement, il n’avait pas envie que Juno se mette là-dedans.

    On laisse cette idée de côté pour l’instant, ça vaut mieux.

    Sur le sujet l’enseignant en médecine n’était pas particulièrement à l’aise. Il savait que la jeune femme était plus que doué dans le domaine, mais il n’était pas certains que ça soit une bonne idée. Autant commencer par quelque chose de simple et efficace avant de penser aux ordinateurs personnels.

    Par contre s’il a un bureau ici, ça pourrait être intéressant de passer y faire un tour.

    Il y avait peut-être déjà des choses intéressantes rien qu’en fouillant un peu dans ses papiers personnels. Au pire du pire si le doyen était marié, Max pourrait s’amuser à tomber par hasard sur madame en ville et pourquoi ne pas s’amuser à mettre en avant quelques techniques de drague juste pour voir si le doyen en entendrait parler par sa chère et tendre.
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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyVen 3 Fév - 18:24

    Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lynbomBUge1qzn43zo1_500
    MAXENCE & JUNO

    « I want to deal with my problems some place where I can get a decent Cappuccino. When you have eliminated the impossible, whatever remains, however improbable...It must be the truth. To be crazy is a state of mind...But we have it with all class in the world. You have to admitt, it is catchy ! »

    « Clairement ! Certains pourraient même dire qu’il est vieux avant l’âge… »

    Juno n’alla évidemment pas jusqu’à dire qu’il était déjà vieux, par pur respect pour celui de Maxence, mais il y avait de quoi le penser. Bien que l’âge physique ne fasse pas tout, le français en étant un magnifique exemple ! Il n’y avait pas grande différence entre l’étudiante de vingt-trois ans et l’enseignant, d’à peu près vingt ans son aîné. Ils avaient la même facilité à se plonger dans un personnage qu’ils n’étaient pas et jouaient pour le pur plaisir de s’abandonner l’espace d’un instant. Dans des moments pareils, il n’y avait ni calcul dans l’esprit de Juno, ni programmation nucléaire et encore moins d’équations à on ne sait combien de degré. Un silence, une paix qu’elle aurait rêvé de garder évidente pour l’éternité…L’intelligence a ses limites et son petit côté « malédiction » comme quoi. Mais ce n’était pas le propos ici : Ce qu’était en train de lui proposer Maxence était beaucoup mieux qu’un TD de Physique. A défaut qu’il n’accepte qu’elle ne mette en place son petit manège à l’aide de l’informatique, son outil préféré, il venait de lui offrir une chance de devenir deux Sherlock Holmes en herbe, à ceci près que leurs tenues respectives n’étaient pas du tout dans le ton du célèbre détective inventé par Conan Doyle. Cela pouvait trouver remède, cela dit…

    « Un bureau…Ca c’est une idée qu’elle est bonne ! Il faudrait trouver où il est, ainsi que la façon de s’y introduire. Il n’est pas assez stupide pour le laisser ouvert en son absence, c’est bien connu. Je le pense même suffisamment intelligent et sadique pour cacher les clefs dans un endroit particulièrement improbable. Et pour cela, il faut que l’on se mette dans sa tête : Pour plus de discrétion, on va même changer de costume ! »

    N’est pas Juno qui veut, à être une véritable matrice à plans B en puissance. Après tout, qui irait inspecter un placard en pleine salle informatique ? Personne, à l’exception de cette charmante brunette qui y avait caché quelques idées de déguisements futurs pour l’un comme pour l’autre, histoire d’être toujours dans le ton de leurs folles aventures communes. Dans le lot, il y avait évidemment des habits d’époque, qui pourraient parfaitement convenir pour une petite virée au temps de Sherlock Holmes et de son célèbre acolyte Watson. Pour le coup, Juno allait devoir se déguiser en homme, mais à cœur vaillant rien d’impossible !

    « L’expression je suis votre homme va très bien m’aller, qu’en dites-vous ? Soyez mon Sherlock et je serais votre Watson ! J’ai jaugé votre taille en une seconde, comme vous pouvez le constater. Nous allons enfiler ça et je suis certaine que nous allons très facilement trouver ce fameux bureau qui nous tend les bras !! »

    Juno semblait aussi excitée qu’un acarien au salon de la moquette. La preuve, elle s’était retournée et avait commencé à déboutonner sa chemise, afin d’enfiler son nouveau costume qui allait à coup sûr la faire passer pour un simple homme ayant une araignée au plafond au sein de Berkeley. Elle ne savait pas si Maxence en avait profité pour se rincer l’œil au passage pendant qu’elle se déshabillait puis se rhabillait, mais qu’importe : La pudeur ne faisait pas exactement partie de ses attributs et elle n’avait pas davantage de honte à être désormais vêtue d’un pantalon, d’une redingote dernier cri et même d’une espèce de nœud papillon sans l’ambiance gala et bal qui va avec. Elle avait même prévu le chapeau et la canne épée, pour dire si elle était dans le ton…Et lorsqu’elle se retourna vers Maxence, elle s’appliqua évidemment à se faire un chignon histoire de cacher ses longs cheveux noirs dans le chapeau allant avec le reste de son déguisement.

    « Vous avez une petite idée de l’emplacement où ce bureau pourrait être ? Ou du moins où nous pourrions commencer nos investigations ? »
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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyVen 3 Fév - 23:02

Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lvzedeo5jJ1r3vn77

    Acquiesçant à ce que venait de dire la jeune femme, il devait en effet avouer que le doyen ne semblait pas du tout du genre rigolo et bon vivant. C’était plutôt le genre de type à dépenser trop d’argent dans des costumes pour paraître très classe et mettre l’argent en avant, avant de penser à la personne. Maxence devait avouer qu’avoir de l’argent, beaucoup d’argent restait quelque chose qui paraissait agréable. Mais si c’était pour ne pas pouvoir s’amuser à côté de cela et de se retrouver à ne pas avoir de vie sociale en plus d’être haït de tout le monde, ça n’en valait clairement pas le coup. En tout cas lui n’avait pas envie d’une vie comme celle là. Juno et Max se mirent alors à penser à une façon de piéger le doyen. L’hypothèse des caleçons fut apprécier par l’enseignant, mais celui sur l’informatique un peu moins. Même si l’idée de voir ce type devoir se dépatouiller avec ses ordinateurs parce qu’il y aurait du grand n’importe quoi à l’intérieur serait plaisant à voir. Seulement, il ne voulait pas que la jeune femme fasse ce genre de choses, s’ils pouvaient l’éviter. Du coup, il proposa de pourquoi pas parvenir à faire un tour dans le bureau du rabat joie. Ecoutant alors la jeune femme lui répondre, il sourit de plus belle.

    Oh pas besoin de clé. Si on de quoi crocheter la serrure, ça sera parfait. Et puis évidemment les gants, pas d’empreintes ça vaut mieux. Il est capable de nous chercher les Experts avec tout le fric qu’il a.

    Ecoutant par la suite ce que lui disait la jeune femme sur le changement de déguisement, il regarda ce qu’elle avait en réserve, tout en souriant. Elle avait de la ressource et c’était parfait. Attrapant le costume qu’il avait mettre, il sourit. Se changeant aussi ouvertement que sa partenaire, il était en train de fermer sa chemise quand elle reprit la parole. Il releva la tête pour la regarder et hocher la tête à ce qu’elle disait.

    Les bureaux sont dans le bâtiment principal. Mais je ne l’ai pas vu près de ceux des enseignants et de la direction. Donc, il doit se trouver dans le secteur, mais pas à la vue de tous non plus. Oui, je pense que monsieur le doyen est un peu parano sur les bords.

    En même temps, ils comptaient entrer dans son bureau, donc il avait de quoi être parano. Mais ça, il préférait passer sur le sujet. Attrapant la veste, il la mit, plaça le col comme il fallait et prit son chapeau. Jouant avec, il finit par le mettre sur sa tête avant de mettre le costume de policier dans son sac. C’est vrai qu’il était venu vêtu ainsi, donc forcément il n’avait pas de vêtement civil si on lui tombait dessus.

    Près Watson ?

    Souriant à sa partenaire, ils sortirent de la salle pour aller donc vers les bureaux présents dans le bâtiment principal. Se fichant pas mal des regards des autres étudiants, il marchait tranquillement, de couloirs en couloirs.

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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptySam 4 Fév - 15:01

    Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lynbomBUge1qzn43zo1_500
    MAXENCE & JUNO

    « I want to deal with my problems some place where I can get a decent Cappuccino. When you have eliminated the impossible, whatever remains, however improbable...It must be the truth. To be crazy is a state of mind...But we have it with all class in the world. You have to admitt, it is catchy ! »

    Pour se ficher du regard des autres étudiants, ils s’en fichaient comme de leur premier déguisement ! Ces deux là semblaient avoir inventé l’arme suprême anti ridicule à force de s’offrir des défis toujours plus loufoques que les précédents. De toute évidence, ils étaient aux antipodes du personnage du Doyen : Ils osaient, se métamorphosaient sans craindre le regard d’autrui et se moquaient justement d’avoir des costumes dont le prix était trop indécent pour être prononcé à haute voix. Il faut dire que Juno venait d’une famille modeste, et connaissait le prix comme la valeur des choses mieux que quiconque. Elle haïssait plus que tous les richards et leur suffisance, cette façon qu’ils avaient de s’afficher et de combiner tous leurs efforts afin de s’enrichir encore davantage. Juno préférait la simplicité, et de ses moyens, et de son état d’esprit. Elle aurait pourtant pu détourner des sommes astronomiques sur les comptes en banque des personnes les plus influentes du pays, sans jamais que l’on ne retrouve sa trace, mais elle cherchait à garder les pieds sur terre. L’argent facile, le confort…Cela ne pourrait que la transformer en une demoiselle suffisante et déboussolée qu’elle ne voulait surtout pas devenir. Avoir la tête sur les épaules était primordial pour elle à l’heure actuelle, quitte à ne se contenter que des moments comme celui qu’elle était en train de vivre justement avec Maxence, avec pour seule fioriture deux costumes, de Holmes et de Watson…

    « Plus que jamais mon cher Holmes ! »

    Petit clin d’œil tandis qu’elle mettait en place les gants noirs peaufinant définitivement son magnifique costume. En moins de temps qu’il n’en fallut pour dire Quidditch, les deux compères improbables s’étaient rendus aux bureaux principaux, à la recherche de celui du Doyen. Pour sûr, il allait avoir LA surprise du siècle lorsqu’il découvrirait avec quelle enthousiasme ces deux là avaient ruiné ce qui lui servait d’outil de travail principalement…Quel dommage, il ne pourrait pas « torturer » à nouveau les étudiants de Berkeley dans son bureau avant que celui-ci ne soit remis en ordre ! Pour un peu, Juno en aurait presque versé une larme. Mais en attendant, elle dû admettre que ladite officine fut particulièrement dure à trouver, tant elle était cachée entre différents labos et casiers utilisés habituellement par les professeurs. Il n’y avait pas de doute, si le Doyen n’était pas paranoïaque, la brunette ne s’appelait plus Juno !

    « Élémentaire mon cher Holmes…Ce Doyen a une petite tendance à la paranoïa, vous ne trouvez pas ? Désormais, crocheter sa charmante serrure qui nous tend les bras, nous aviserons après. »

    Une chance qu’elle soit la « femme » de la situation et soit justement en position de plusieurs épingles à chignon. Le couloir menant au bureau du Doyen était justement désert à cette heure-ci, voilà pourquoi elle n’hésita pas à s’agenouiller devant la porte afin d’atteindre plus facilement la serrure. C’était la toute première fois qu’elle s’adonnait à ce genre d’activité et très étonnement, elle parvint à ouvrir la porte d’entrée sans aucune peine. Pour un peu, c’en était presque effrayant. Juno attendit cependant que Maxence ne soit effectivement entré dans ledit bureau en sa compagnie avant de faire le moindre commentaire : Sait-on jamais, souvent les murs ont des oreilles !

    « N’allez pas croire que c’est un passe-temps ! C’est la première fois que je crochète une serrure…Maintenant, à quoi s’attaque-t-on en premier ? Ohhhh ! Regardez qui est narcissique au point d’avoir une armoire pleine de costumes hors de prix ? J’ai deux bombes de peinture en spray dans ma sacoche, si vous me suivez… »

    Et pour faire bonne mesure, tout en essayant évidemment de tenter Maxence, Juno avait justement sortit les deux bombes, l’une blanche, l’autre jaune poussin. Pourrir ses costumes n’était pas si criminel que cela, n’est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! EmptyDim 5 Fév - 14:09

Le ridicule ne tue pas ... heureusement ! Tumblr_lvzedeo5jJ1r3vn77

    La journée qui semblait ennuyante au premier abord pour le français, parce qu’il devait se concentrer sur les notes qu’il avait à donner à ses étudiants en médecine, se transforma en attaque surprise vers le bureau du doyen. Au début, il avait juste voulu faire peur à la jeune femme, habillé en policier, vu que cette dernière avait piraté son ordinateur. Mais, il s’était amusé ensuite à parler d’eux et finalement du fait que ce cher doyen leur menait une vie digne des enfers. Bref, une fois changé, il demanda à son acolyte Juno, devenu Watson si elle était prête. Souriant, il apprécia également son clin d’œil et ils sortirent de la salle. Maxence avait tout de même rangé son sac avec les autres costumes pour être sûr de retrouver celui de policier et surtout son ordinateur portable en vie. Puis, ils avaient arpenté les couloirs avant de se retrouver face au bureau de vieux monsieur bougon. S’étant rendu au bâtiment principal, les deux scientifiques se mirent à chercher le bureau de doyen. Difficile à trouver avant de remarquer que certaines choses ne collaient pas. Du coup, ils mirent la main dessus et Max hocha la tête aux propos de sa partenaire. La laissant prendre ce qu’il fallait pour crocheter la serrure, il s’assura que personne ne passerait par là. Normalement ça serait désert, mais sait-on jamais.

    Entendant alors le bruit de la serrure, il se mit à sourire, mais reprit ben vite son sérieux au cas où. Entrant ensuite dans le bureau, il ferma la porte et regarda la jeune femme en souriant de plus belle. Haussant un sourcil à ses propos, il attrapa la bombe de peinture blanche. Allant vers les costumes, il regarda celui qui lui semblait parfait pour commencer. Secouant la bombe de peinture, il commença donc à tout repeindre, mettant quand même sa main devant sa bouche. Il tentait également de faire en sorte que la peinture ne vienne pas jusqu’à lui au cas où. Une fois fait, il ferma la bombe et regarda l’endroit pour savoir ce qu’il pouvait ensuite choisir. Allant vers les casiers, il en ouvrit quelques uns et vit les dossiers à l’intérieur. Etudiants et enseignants y étaient classés. Ils étaient classés par noms de famille. Sortant le dossier de Juno, il sourit.

    Ton dossier n’est pas trop épais, il doit t’apprécier.

    Souriant, il attrapa ensuite son dossier. Tout semblait correct et il vit un commentaire sur leur rencontre qui s’était mal passé avec des mots écrit en rouge.

    Arrogant, prétentieux, grande gueule et têtu. Tant de compliments vont me faire rougir.


    Gardant son sourire, il regarda son dossier entièrement, vérifiant tout avant de le remettre à sa place.

    Il t’a mis uniquement des compliments aussi ?

    C’est vrai qu’il se demandait ce qu’il avait bien pû mettre dans le dossier de la jeune femme où alors s’il avait le droit à un traitement de faveur. Puis, il regarda les dossiers des autres enseignants, y comprit celui de Maria, la directrice. Etant doyen, il voudrait peut-être lui piquer sa place. Apparemment monsieur avait des ambitions et celle d’évincer le directrice des lieux semblaient une option qu’il avait inscrite dans le dossier de la jeune femme. Si ça devait arriver, max devait avouer qu’il ferait tout pour protéger le poste de la jeune femme. Il préférait encore avoir son ex à la tête des lieux, plutôt que le nain Grincheux.

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